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6 plages pour se dorer la pilule dans la baie de San Francisco

Bordée par l’océan Pacifique, la baie de San Francisco propose de nombreuses plages et lieux mystérieux pour faire bronzette. Avec l’arrivée des beaux jours, il est grand temps pour vous de connaître ces quelques incontournables.
Natural Bridges

@JoannaValdant
@JoannaValdant

Reconnu comme parc naturel par l’Etat de Californie, Natural Bridges a tout d’un havre de paix. Cette merveille pour les yeux et les objectifs se situe à Santa Cruz, une heure au sud de San Francisco. Une fois sur place, vous pouvez soit profiter de la beauté des lieux soit vous aventurer sur les hauteurs qui entourent la plage. Petit bémol : aucun spot aux alentours pour se rassasier. Prévoyez donc en amont snacks et boissons ! 2531 W Cliff drive, Santa Cruz (95060).
Poplar Beach 
@Tony Webster -Wikimedia Commons
@Tony Webster -Wikimedia Commons

Parfaite pour le week-end, Poplar Beach ne ressemble en rien aux autres plages de la baie. Sous ses airs méditerranéens, elle accueille généralement familles, propriétaires de chiens et cavaliers en quête d’évasion. Cet espace idyllique se trouve en retrait de la circulation, entouré par une protection rocheuse qui le rend d’autant plus unique. Quelques heures sur place vous suffiront amplement pour recharger vos batteries ! Poplar St et Railroad Ave, Half Moon Bay (94019)
Crissy Field
@JoannaValdant
@JoannaValdant

Ancien aérodrome militaire, Crissy Field a été transformé en espace de loisirs en 2001. Doté d’une plage mais aussi de pistes cyclables, il est possible d’y admirer depuis son sable fin le Golden Gate et une partie de la baie. Durant le week-end, d’innombrables familles et propriétaires de chiens s’y rendent pour se détendre tandis que les sportifs foulent le bitume. Le plus : la mise à disposition de stationnements (gratuits) aux alentours. 1199 E Beach, San Francisco (94129)
Sharp Park Beach
@JohnMenard-WikimediaCommons
@JohnMenard-WikimediaCommons

Situé dans le comté de San Mateo, le Sharp Park Beach se trouve à une quinzaine de minutes de San Francisco. Cette plage de sable noir est quelque peu isolée de la vie citadine, assurant ainsi calme et paix. Pour autant, elle reste fréquentée été comme hiver grâce à l’activité de son port et ses différents chemins de randonnée. Sur place, vous pourrez bénéficier d’un stationnement gratuit, d’un espace dédié au pique-nique mais aussi d’une cafétéria ouverte 7j/7.  À l’instar du Natural Bridges, Sharp Park Beach est l’une des plus belles surprises de la Bay Area. Highway 1, Pacifica (94044)
Ocean Beach
@Brocken Inaglory -Wikimedia Commons
@Brocken Inaglory -Wikimedia Commons

Située en plein coeur de San Francisco, Ocean Beach est l’une des plages les plus populaires de la ville. Dès que le soleil pointe son nez, les plus courageux profitent des vagues pour s’offrir une petite séance de surf (à noter que la température de l’eau dépasse rarement les 15°C). Avec une ambiance des plus californiennes, ce spot se fréquente de jour comme de nuit et propose des feux de camp dignes de ce nom. Pont Lobos Ave, Great Hwy, San Francisco (94121)
Marshall’s Beach
@Blake Everett - Wikimedia Commons
@Blake Everett – Wikimedia Commons

Marshall’s Beach a trois avantages : elle se situe à 20 minutes de Downtown SF, elle offre la meilleure vue sur le Golden Gate et propose une certaine intimité à ceux qui la visitent. Accessible par un chemin de randonnée, cette plage mi-roche / mi-sable est synonyme de détente et de bonheur oculaire. Parfait pour une journée de méditation ou une sortie touristique avec ses proches. Langdon Ct, San Francisco (94129)

5 "day trips" autour d'Austin

Activités de plein air, musées, barbecue, artisanat, exploitations viticoles… Cet été, explorez les alentours d’Austin. Voici cinq idées de destinations pour une virée pour la journée.
Dripping Springs. Distance d’Austin : 24 miles
La bourgade de Dripping Springs est en plein boom. Bénéficiant du dynamisme économique d’Austin et de la région, sa population a doublé depuis 2010. Elle a néanmoins gardé de son charme typique. Auto-proclamée “porte d’entrée du Hill Country“, elle est une destination à part entière. Promenez-vous sur Mercer Street, la rue principale, pour du shopping d’antiquités, de vêtements ou d’artisanat local. Déjeunez sur le pouce à la boulangerie Rolling in Thyme & Dough ou plus copieusement chez Epicure et sa belle carte des vins.
Pour se rafraîchir, direction la fameuse  Hamilton Pool Preserve pour faire trempette. Cette merveille de la nature est constituée d’un lagon au fond d’un cirque rocheux dans lequel se jette une chute d’eau. (Réservation obligatoire). Pour se désaltérer ce n’est pas le choix qui manque puisque les brasseries et distilleries ont explosé dans la région depuis quelques années. On vous recommande Acopon Brewing Co. ou Family Business Beer Co. Pour terminer la journée, rendez-vous au Mercer Street Dance Hall pour danser le two-step avec les locaux.
Wimberley. Distance d’Austin : 38 miles
L’été est en avance cette année et le besoin de se rafraîchir se fait déjà clairement ressentir. Pour cela, direction Wimberley et ses nombreux spots pour la baignade. On recommande notamment le Blue Hole Regional Park. Cette oasis ombragée offre suffisamment d’espace pour faire des longueurs ou se laisser flotter librement, et assez de profondeur pour se balancer des cordes installées à cet effet sur les arbres. A tester également: Jacob’s Well, cavité naturelle creusée dans la roche de quatre mètres de large sur dix de profondeur. La pureté de l’eau en fait un endroit unique et fascinant.
Wimberley est aussi connu pour son artisanat. A voir, les souffleurs de verre de la Wimberley Glassworks qui proposent des démonstrations en direct, ou les galeries mises en avant par la Wimberley Valley Arts & Culture Alliance. A moins que vous ne préfériez admirer la beauté de la nature environnante à 50 km/h suspendu à un fil avec Wimberley Zipline Adventures. Et pour goûter la cuisine locale, rendez-vous au Leaning Pear.
Driftwood. Distance d’Austin : 25 miles
Pour les amateurs de barbecue, il y a bien sûr Lockhart mais il y a aussi Driftwood, qui vous permettra en plus de goûter les vins locaux. Depuis 50 ans, Salt Lick a fait la réputation de la ville grâce à ses viandes fumées. Pas besoin d’en dire plus. Les ribs et les briskets méritent le trajet à eux tous seuls. Pour faire passer tout ça (Salt Lick ne vend pas d’alcool), un petit tour des wineries avoisinantes s’impose avec notamment Driftwood Estate Winery (admirez la vue), la Duchman Family Winery ou Fall Creek Vineyards. A moins que vous ne préfériez quelque chose de plus corsé et souhaitiez découvrir le sotol (alcool d’origine mexicaine proche du mezcal). Dans ce cas, direction la toute nouvelle distillerie Desert Door. Et pour la photo souvenir, arrêtez-vous au Driftwood General Store and Post Office, célèbre pour sa pompe à essence vintage et son signe Texaco.
Seguin. Distance d’Austin : 52 miles
Pour une virée dans le vieux Texas à la découverte du passé, direction Seguin. La bourgade doit son nom à Juan Seguin, un révolutionnaire qui participa à l’indépendance du Texas (donc aucun lien avec la chèvre a priori). Fondée en 1838, elle est connue pour ses monuments en béton, découlant de la forte présence de calcaire dans la région. Au milieu du XIXème siècle, elle était même la ville du pays avec la plus forte concentration d’édifices en béton. A voir donc les bâtiments du centre historique mais aussi le Heritage Museum retraçant les 150 ans d’histoire de la ville et des alentours.
Mais pour un peu de fun, il y a aussi le parc d’attractions de ZDT’s Amusement Park avec son grand huit, ses montagnes russes et son circuit de kart. A tester aussi sur place, Davila’s BBQ, un barbecue texan à l’accent latino, et la Seguin Brewing Company. Il faut aussi mentionner que Seguin est la ville de la plus grosse noix de pecan au monde, commémorée par une statue. Et ça, ça vaut le détour !
San Antonio. Distance d’Austin : 80 miles
La ville fête son tricentenaire cette année avec de nombreux évènements au programme. Une excellente occasion d’aller découvrir ce berceau du Texas. Impossible de ne pas aller voir The Alamo si vous n’avez jamais été à San Antonio. Mythe fondateur du Texas, il est le site historique le plus visité du Texas et permet d’appréhender la culture de cet Etat à part. A compléter par une visite du Witte Museum qui, à l’ occasion du tricentenaire, propose une exposition Confluence and Culture: 300 Years of San Antonio History, qui met en avant le rôle de carrefour des cultures anglaise, espagnole et indienne de la ville. Revivez également la bataille de Fort Alamo en réalité augmentée.
Pour manger un bout, boire un verre ou faire du shopping, rendez-vous au complexe créé autour de la Pearl Brewery (datant de 1883), regroupant des stands de nourriture, de petites boutiques et des marchés fermiers. Le North St. Mary’s Strip, au nord de downtown, offre une alternative. San Antonio est à visiter également pour sa nouvelle scène gastronomique. Encore sous-estimée, elle vaut clairement le détour avec notamment : Range, NOLA Brunch & Beignets, Ming’s Noodle Bar ou Periphery.

“Moi impat”, histoires de retour au pays, épisode 4

Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour cet épisode 4, rencontre avec Myriam Lacombe, “Française mais toujours avec un pied à l’extérieur”, qui se confie entre autres sur la difficulté de trouver un travail une fois revenu(e) en France, un pays qui “vous oublie très vite”.

Nos 5 meilleures adresses pour dénicher des vinyles à Los Angeles

Pour ceux qui n’ont pas conservé les vieux 33 ou 45 tours de leurs parents ou veulent enrichir leur collection, Los Angeles ne manque pas d’adresses pour trouver les vinyles de vos rêves. Cinq ont retenu notre attention.
5. Vacation Vinyl à Silverlake


La boutique a changé d’adresse, mais pas de quartier. A Silver Lake, Vacation Vinyl est une institution pour dénicher les derniers vinyles des artistes locaux (qui habitent les scènes de The Satellite, The Echo ou The Bootleg). Et si vous ne savez pas par où commencer, faites confiance aux employés de Mark Thompson, toujours disponibles pour vous aiguiller vers des vinyles neufs ou de seconde main (et même des cassettes). En plus de ses disques, Vacation met en vente les accessoires indispensables pour prendre soin de sa collection (pochettes de protection et caisses). Vacation, 4166 Santa Monica Blvd, Los Angeles.
4. Amoeba Music à Hollywood

amo music ??❤️ #amoebamusic

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On a rarement vu plus grand disquaire indépendant qu’Amoeba Music. Ce sanctuaire de la culture pop recense les dernières sorties, que ce soient les bandes originales de Call Me By Your Name ou Lady Bird, ainsi que les derniers albums de Dua Lipa et Justin Timberlake. Mais, vous pourrez également trouver dans l’institution hollywoodienne des oeuvres d’occasion rares avec une collection respectable de jazz, de blues, de techno et de house, parmi d’autres genres. Sans compter qu’Amoeba a un certain don pour accueillir sur sa scène (et pour des concerts gratuits) des talents de premier ordre. Amoeba Music, 6400 Sunset Blvd, Hollywood.
3. Mount Analog à Highland Park


Ne cherchez pas les “Beatles” ou les “Daft Punk” dans les rayons de cette boutique de l’est de la ville. À Mount Analog, la collection unique de vinyles neufs et souvent importés (aux prix en conséquence) se veut “ésotérique”, avec de la techno, de la deep house, de la darkwave. Vous pourrez d’abord écouter ces perles aux stations d’écoute destinées aux clients. Outre une organisation appréciée des clients, la force de Mount Analog est de rassembler une communauté de passionnés, qui seront émus de trouver le dernier EP d’un artiste électro européen inconnu au bataillon. Le magasin organise des concerts le samedi soir. Mount Analog est à 5906 1/2 N Figueroa St, Highland Park.
2. Poo-Bah Record Shop à Pasadena

#recordstoreday customer love

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On ne pense pas aller à Pasadena pour chiner des vinyles. Et pourtant, le quartier accueille l’un des plus anciens magasins de disques de Los Angeles. Ouvert depuis 1971, Poo-Bah fut une plaque tournante pour la scène musicale expérimentale durant la période hippie. Depuis sa reprise en 2003 par Ron Stivers (et un déménagement), cette échoppe s’est diversifiée et dispose de collections importantes de jazz, rock et hip-hop. Vous y trouverez notamment, et ce n’est pas une mince affaire, des productions des labels Leaving et Brainfeeder. Poo-Bah Record Shop, 2636 E. Colorado Blvd., Pasadena.
1. Atomic Records à Burbank

Nice pic! ?

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Si vous passez la porte d’Atomic Records,il faudra vous armer de patience pour fouiller dans les caisses débordant de vinyles de seconde main (soul, Rn & B, funk, metal, rock classique). La petite boutique offre une belle sélection de jazz, à des prix attractifs, mais également des vinyles autour de thématiques loufoques comme la musique d’Halloween. Dans ce repaire d’amoureux de la musique (où l’amabilité des vendeurs n’est pas la qualité première), on peut aussi se laisser tenter par les étagères de vieux CD à un dollar. Atomic Records, 3812 W Magnolia Blvd, Burbank.

Le magicien-cascadeur David Blaine vient envoûter Miami

C’est l’un des magiciens les plus connus (et timbré) de sa génération. Le Britannique David Blaine vient en spectacle à l’Adrienne Arsht Center le vendredi 8 juin.
Vous avez sans doute déjà entendu parler de lui. Habitué des plateaux télé, le magicien est connu pour ses spectacles qui mêlent illusion, cascades et endurance physique. Il est, par exemple, resté enfermé pendant 44 jours dans une boite à Londres avec de l’eau uniquement ou dans une sphère de 2,4 mètres de diamètre immergée pendant une semaine devant le Lincoln Center à New York. Et ce ne sont que quelques-uns de ses exploits. Lors de sa carrière, il s’est produit dans 20.000 salles dans le monde.
 

TV5 Monde USA dans la magie des 24 heures du Mans

Start your engines !” La chaine francophone TV5 Monde USA vous embarque dans la magie des 24 heures du Mans avec la diffusion d’un documentaire original de Frédéric de Brabant, “Michel Vaillant, le rêve du Mans”, le 18 juin. 
Dans ce docu sorti cette année, les prototypes de voitures inventées par le dessinateur Jean Graton, auteur de la BD Michel Vaillant dans les années 50, s’invitent aux 24 heures du Mans. Le documentaire est ponctué d’interviews de pilotes comme Nicolas Prost, Bruno Senna and Nelson Piquet Jr, qui racontent la course légendaire.

Depuis Miami, il ouvre une académie de foot en France

Après avoir lancé en 2014 la PSG Academy Florida, une académie de football à Miami, le Français Ravy Truchot, président du FC Miami City, renouvelle l’expérience en France. Son International Center of European Football ouvrira ses portes début septembre en Haute-Savoie.
C’est un projet au long cours entamé en septembre dernier. Ravy Truchot a tout d’abord racheté aux enchères le club en faillite Thonon Evian Savoie FC, anciennement Evian Thonon Gaillard, ainsi que son centre d’entraînement. « L‘idée est de renforcer l’équipe première du club qui est retombée au niveau amateur, précise le Parisien installé depuis six ans en Floride. Nous souhaitons monter chaque saison afin d’atteindre au minimum le niveau National ». Pour y parvenir, le passionné de football a nommé comme coach Régis Beunardeau, qui a disputé toute sa carrière au Mans, et espère voir arriver plusieurs joueurs. « Ce sont des sportifs très connus ayant joué dans de grandes équipes françaises et même à l’étranger, mais les discussions sont toujours en cours ».
En parallèle, Ravy Truchot a créé l’International Center of European Football, une académie de football destinée aux joueurs internationaux. « Nous voulons donner leur chance aux jeunes joueurs issus de marchés peu défrichés pour qu’ils puissent suivre une formation professionnelle européenne », indique le Français qui cible notamment les joueurs venus d’Asie et des États-Unis. « Certains sportifs rêvent de venir jouer en Europe, mais il leur est pratiquement impossible de frapper à la porte du PSG par exemple, souligne-t-il. L’académie pourra ainsi leur permettre d’avoir un pied dans le football français ».
Dirigée par Patrick Trotignon, l’ancien président du club Evian Thonon Gaillard, l’académie accueillera dans un premier temps une cinquantaine de jeunes joueurs. Après une série de travaux de rénovation et d’agrandissement, elle devrait être en mesure d’en accueillir 150 d’ici un an. Les nouvelles recrues suivront un cursus académique qui les formera au football avec les méthodes européennes tout en leur permettant de continuer leurs études et d’apprendre le français.
Ainsi, avec le rachat du club Thonon Evian Savoie FC et la création d’une nouvelle académie, Ravy Truchot espère créer une passerelle footballistique entre la France et les États-Unis. « Les meilleurs joueurs sortant de l’académie pourront éventuellement intégrer les équipes nationales du club Thonon Evian Savoie FC, tandis que d’autres pourront venir s’exposer aux championnats américains en poursuivant leur carrière au FC Miami City, précise le quadra. C’est une belle opportunité puisque chaque année plusieurs de nos joueurs signent un contrat professionnel aux États-Unis ou en Europe ».

Le Belge Anthony Evrard pionnier des tennis clubs "rien que pour les enfants"

Certes, les enfants américains n’ont pas attendu Anthony Evrard pour jouer au tennis. “Mais avant, c’était en général sur des courts pour adultes, avec bien souvent des raquettes trop grandes et des balles trop lourdes”. En lançant Court 16, l’entrepreneur-tennisman a voulu créer des tennis clubs spécifiquement dédiés aux enfants de 3 à 11 ans.

Le second “Court 16” a ouvert il y a quelques semaines à Long Island City. “C’est le premier club de tennis au monde avec une surface en verre” explique-t-il fièrement. Ces “LED surface courts” ont des lignes qui s’allument à volonté et évitent l’entremêlement de lignes peintes dans les gymnases. Ce club est le deuxième d’Anthony Evrard, qui avait ouvert le tout premier Court 16 à Brooklyn (Gowanus) il y a trois ans. Au total, il a levé 3 millions de dollars pour financer ces deux premiers clubs.

Né dans le sport et le tennis en particulier -son entreprise tire son nom du court N° 16, le préféré de son grand-père au Royald Leopold Club de Bruxelles-, Anthony Evrard a joué en équipe nationale de Belgique, avant de bénéficier d’une bourse d’une université californienne pour y venir jouer et étudier. Il n’a plus quitté les Etats-Unis depuis. Après avoir travaillé dans le marketing pour Trace TV, puis chez Puma, il commence à réfléchir à “un nouveau concept de club de tennis” avec un but: “amener de nouvelles familles au tennis dans une ville où jouer est plutôt compliqué”.

Le pari est vite gagné. Le club de Brooklyn affiche quelque 800 familles membres, qui paient de 350 dollars à 500 dollars par an, plus les classes. “Nous offrons un programme rigoureux, pas du baby-sitting” explique-t-il. Les profs sont tous des joueurs confirmés, souvent Français précise-t-il, et le lien avec le tennis au plus haut niveau est soigneusement entretenu. Lors du dernier US Open, le joueur américain Jack Sock est venu au club pour une animation. Et pour parfaire son ancrage dans la communauté, Anthony Evrard multiplie les initiatives caritatives. Chaque dimanche, quelque 35 enfants des “projects” du quartier apprennent gratuitement le tennis grâce à un partenariat avec Adidas. Un autre programme permet à une vingtaine de non-voyants de jouer au tennis, au moyen de balles sonores.
Anthony Evrard a encore bien d’autres ambitions pour ses “Courts 16”. Des ouvertures ailleurs, mais aussi de s’ouvrir aux adultes grâce à des cours pour débutants, mais aussi au “pickleball”, un sport qui explose aux Etats-Unis et se joue avec des raquettes en bois et des balles perforées en plastique, sur des petits terrains, qui ont approximativement la taille de ceux de Court 16. L’occasion était trop belle d’utiliser les installations aux heures où les enfants ne sont pas au club. L’entrepreneur est monté au filet sans hésiter.
 

Investir dans la location saisonnière à Miami

(Article partenaire) Pourquoi investir dans l’immobilier à Miami ? Quels sont les avantages et les inconvénients de la location saisonnière ? Comment s’y prendre pour réussir son investissement ?
Voilà quelques-uns des thèmes qui ont été abordés, jeudi 17 mai, lors d’une conférence organisée à New York par French Morning, avec l’agent immobilier Brigitte Respaut-Clément et l’avocat immobilier et successions Alexandre Ballerini, associé au cabinet Diaz Reus Targ.
Soulignant la vitalité du marché touristique à Miami, malgré l’intense saison des ouragans de l’an dernier, Brigitte Respaut-Clément a invité les participants à regarder au-delà de Miami Beach et South Beach pour une éventuelle acquisition de bien. Fondatrice d’OfCourse Miami, agence qui accompagne la clientèle francophone dans ses investissements immobiliers en Floride, elle a expliqué le rôle de son agence dans le soutien aux investisseurs pour garantir une “rentabilité sans risque“.
Pour elle, “le manque de connaissance des règles et usages de l’immobilier aux Etats-Unis et le service après-vente souvent mal assuré” sont les deux obstacles majeurs à l’investissement des Français en Floride. “Même si les francophones de New York sont très américanisés, ils ne connaissent les règles de l’immobilier en Floride, chaque Etat étant soumis à des règles propres“.

Le plus grand risque pour les non residents est de tomber dans des pièges fiscaux et les retenues à la source qui peuvent être évitées avec un peu de planification“, insiste pour sa part Maitre Ballerini. Il explique notamment que “la fiscalité d’une succession aux USA est très défavorable aux non-residents” et rappelle l’importance de se faire aider par un avocat dès le début du processus d’acquisition. “Avoir un avocat de succession et d’immobilier permettra aux clients de preserver leur capital, et d’éviter des situations compliquées lors de leur transaction.

D’autres conférences sur le même thème seront organisées fin 2018 et en 2019 en Europe.

Voir le live de la conférence ici

Pour en savoir plus:
Contacter Brigitte Respaut-Clément
Cell: (+1) 305-934-2870
927 Lincoln Road # 200, MIAMI BEACH FL 33139
[email protected]
www.ofcoursemiami.fr

Contacter Alexandre Ballerini
3400 Miami Tower
100 S.E. 2nd Street, Miami, Florida 33131
+1 305-375-9220
[email protected]
www.diazreus.com


Note: les articles partenaires sont écrits ou commandés par un annonceur qui en détermine le contenu. Ils ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning.

Le duo Amadou & Mariam fait danser Los Angeles

Un vent de disco africain va souffler sur la ville de Los Angeles. En pleine tournée internationale, le duo malien Amadou & Mariam va faire une halte le jeudi 14 juin à El Rey Theatre.
Fidèle à ses racines, le célèbre couple de musiciens aveugles, connu pour son album “Dimanche à Bamako” produit par Manu Chao, a l’étonnante faculté de transposer la musique malienne à d’autres genres, comme l’Afrobeat-Funk, très présent dans leur huitième album. Intitulé “La Confusion”, il fait référence aux soubresauts qui agitent leur pays depuis quelques années. Pour cet opus, ils se sont entourés d’un producteur et d’un mixeur de renom (le Français Adrien Durand et l’Américain Jimmy Douglas, à l’origine des tubes de The Weeknd et de Björk).
Avec son répertoire de chansons en anglais, français ou malien, le duo parvient à faire tomber les barrières culturelles avec des titres comme “Bofou Safou” (terme bambara désignant de jeunes garçons préférant danser que travailler) ou l’émouvante ballade “Mokou Mokou”.

Une soirée parisienne à Washington

Envie d’une virée parisienne sans quitter Washington ? Direction « An evening in Paris », orchestrée par la chambre de commerce franco-américaine de Washington DC, vendredi 1er juin à l’Ambassade de France.
Au programme : un buffet français avec assortiment de plats et de pâtisseries, un bar à l’Européenne avec vin et champagne pour les palais chics (bières et boissons douces également disponibles), un concert live de « Reservoir Frogs », groupe pop rock français, une tombola et un DJ pour clore la soirée en beauté. Un caricaturiste sera sur place pour une petite touche de Montmartre.
Tenue des cocktail exigée. Les touches de bleu-blanc-rouge sont les bienvenues.

Le FIAF débouche le rosé à New York

Pas la peine d’attendre l’été pour sortir le rosé. Le French Institute Alliance Française (FIAF) l’a bien compris et organise une grande dégustation de rosé le mercredi 13 juin.
Lors de cet événement, nommé “The Rosé Renaissance”, les participants découvriront sept rosés de Provence (Château La Gordonne Cuvée Chapelle Gordonne, 2017, Château La Gordonne Cuvée Vérité du Terroir, 2017, Domaine Sainte Marie Cuvée Vievite, 2017, Château de Berne, Cuvée Inspiration, 2017, Château de la Clapière Cru Classé Rosé, 2017, Château de la Galiniere, 2017, Château d’Esclans, Garrus, 2016). La soirée sera présentée par l’oenologue Nefissa Sator.