L’an dernier, le vénérable Paris American Club lançait son Comité jeune. Pour fêter ce premier anniversaire, et l’amitié franco-américaine, ses membres vous invitent à les rejoindre pour une soirée au Consulat de France le 23 mai de 6:30pm à 9 pm.
La Chorale franco-américaine de New York chantera les hymnes nationaux, avant que Chloé Perrier et son groupe de jazz ne prenne le relais.
Une partie des recettes de la soirée ira au programme français de la Boerum Hill School for International Studies.
Tickets ici.
Les jeunes du Paris American Club font la fête au Consulat
Angélique Kidjo va bouleverser le public du Theatre du Ace Hotel à Los Angeles
Sa voix exceptionnelle, embrassant le jazz, la soul ou les mélodies populaires africaines et latines, a déjà séduit le public américain. La compositrice engagée Angélique Kidjo sera sur la scène du théâtre du Ace Hotel, le samedi 5 mai.
Lauréate de trois Grammy Awards, la diva béninoise, qui vit à New York, s’est faite connaître par ses plus grands tubes, tels que “Agolo”, “We We”, “Adouma”, “Wombo Lombo”, “Afirika” et “Batonga”. A Los Angeles, elle revisitera “Remain in Light”, le quatrième album studio de Talking Heads, sorti en 1980. Elle reprend des chansons inoubliables telles que “Crosseyed and Indolore”, “Once in a Lifetime” et “Born Under Punchs”, les réinterprétant avec des guitares africaines, des rythmes électrisants et des choeurs superposés.
Agathe Bousquet, nièce du fondateur de Cacharel, lance sa marque à Miami
La mode, pour Agathe Bousquet, c’est une histoire de famille. Après avoir développé pendant plus d’une dizaine d’années la célèbre marque Cacharel, fondée en 1958 par son oncle Jean Bousquet, la Française, qui est aujourd’hui installée à Miami, lance sous les palmiers floridiens The Undertropic, une boutique en ligne d’accessoires féminins.
« Je rêvais d’un nouveau challenge et de pouvoir construire un projet personnel avec ma propre vision artistique », raconte Agathe Bousquet qui a acquis son expérience professionnelle en France puis aux États-Unis au sein de l’entreprise familiale Cacharel. « Même si la marque appartient à mon oncle, j’ai commencé au bas de l’échelle, en travaillant dans les boutiques comme n’importe quelle autre employée », souligne avec humour la jeune femme de 35 ans. « Cacharel est avant tout une entreprise et il n’y a eu aucune préférence familiale ».
Après avoir gravi rapidement les échelons, Agathe Bousquet prend la direction de la marque à New York pendant plus de quatre ans. « Je me suis battue pour que Cacharel se fasse un nom sur le territoire américain. C’est aujourd’hui chose faite. Je pars donc la tête haute avec le sentiment du devoir accompli », indique la jeune entrepreneure qui a souhaité prendre son envol. « Il était facile de rester au sein de l’entreprise familiale, et même si je garde toujours un pied dedans, je désirais voir autre chose et donner une nouvelle orientation à ma carrière professionnelle ».
Sa nouvelle aventure a débuté lors d’un séjour au Pérou durant lequel Agathe Bousquet avoue avoir eu une véritable révélation. « La mode est aujourd’hui influencée par la création des grandes villes modernes, mais au Pérou, comme dans d’autres pays, la situation est différente, explique-t-elle. Les femmes artisanales respectent profondément leur culture et leurs traditions, et avec peu de moyen et une créativité débordante, elles amènent une authenticité dans leur art, ce qui a tendance à disparaitre dans cette industrie ».
Avec sa marque The Undertropic, Agathe Bousquet souhaite ainsi rapprocher l’artisanat de l’industrie afin de créer une nouvelle mode. La jeune femme mixe des pièces artisanales avec celles de grands créateurs produisant un univers bohème chic et coloré. « C’est un mélange unique où la mode n’a plus de limites de frontières et se modernise à travers diverses influences, précise-t-elle. Cela permet également de soutenir le travail de ces femmes artisanales et de faire connaitre leurs talents à travers le monde ».
Agathe Bousquet, qui partage aujourd’hui sa vie entre la France et les États-Unis, espère ouvrir prochainement une enseigne à Miami. En attendant, la trentenaire poursuit ses voyages dans différents pays afin de réaliser de nouvelles découvertes avec les artisans locaux et ainsi développer sa boutique en ligne.
Felix Denis ramène l'Age d'or à l'Alliance Française de Los Angeles
Et si on s’interrogeait sur le concept de l’or et ses significations ? C’est ce que propose l’exposition “Gold Can Stay” de Felix Denis, présentée à l’Alliance Française de Los Angeles du 10 mai au 15 juin.
En quelque 30 ans de carrière, l’artiste français a traversé une vingtaine de périodes artistiques allant des clowns aux portraits, en passant par les paysages. La dernière série de Denis Felix est dédiée à l’Âge d’or. Il y défie la déclaration de Robert Frosts : «Rien d’or ne peut rester» au travers de 16 pièces (photographies et peintures) qui englobe l’idée que l’or est permanent. Cette série a été nourrie par ses voyages en Israël, au Pérou, en Inde, au Japon et en Chine, où cette matière est très présente.
Felix Denis a commencé à peindre en 1989 et recherche constamment de nouvelles techniques et matériaux. L’artiste français peint principalement, mais travaille également avec la photographie, la vidéographie et l’écriture.
Gazette expose le savoir-faire français dans Hayes Valley
Vêtements, cosmétiques, objets design en bois, maroquinerie…Le Made in France va s’exposer à partir du 4 mai, pendant deux mois, dans un nouveau concept store de Hayes Valley, baptisé Gazette. “Chacune des marques que j’ai sélectionnées ont une histoire intéressante que l’on veut raconter aux clients, un peu comme un article dans un journal“, explique Charlotte Boëdec, instigatrice de Gazette et créatrice de la marque de maroquinerie SOFRANCISCO.
Gazette entend sélectionner des marques autour d’un thème qui changera tous les deux mois. Pour commencer, “Voilà” met l’accent sur le savoir-faire français dans des domaines variés: C.Lavie fabrique des cosmétiques bio, Le Collégien est une marque de chaussettes du Tarn qui existe depuis 1947, Reine Mère crée des objets en bois du Jura, Naturellement Petits fait du prêt-à-porter en coton bio… “La tendance est aux achats responsables: choisir un objet produit de manière éthique et transparente plutôt que du jetable aux origines inconnues.“
Ces marques que les Français et les Américains prononcent différemment
Attention spoiler: les Américains ne portent pas de “Naïke”, de jean “Lévisse”, et n’achètent pas de “Fébraize”.
"Arktika Incognita": l'expédition en terre inconnue de Luc Hardy
French Morning vous racontait en 2014 les aventures de Luc Hardy dans les îles Sandwich du Sud, au large de l’Antarctique. Ce Français qui vit dans le Connecticut avait monté une expédition scientifique en voilier autour de ces îles, dont un film était sorti au printemps 2015.
Trois ans plus tard, Luc Hardy revient avec un nouveau documentaire, Arktika Incognita, projeté en avant-première au FIAF mardi 1er mai à 4pm, dans le cadre du festival Focus on French Cinema.
En 1879, à bord de l’USS Jeannette, le capitaine américain George De Long et son équipage ambitionnent de rejoindre le Pôle Nord. Ils découvrent alors cinq îles -les îles de Nouvelle-Sibérie- mais n’atteindront jamais leur objectif, échouant leur navire dans les environs. “En lisant cette histoire, je me suis dit que j’aimerais partir sur les traces de George De Long un jour. Encore aujourd’hui, les îles de Nouvelle-Sibérie font figure de terra incognita, diamants blancs sertis sur l’océan et sanctuaires de la faune sauvage”, raconte Luc Hardy.
Deux ans de préparation ont été nécessaires pour mettre au point cette expédition de 15 jours en mer. “Nous sommes partis à la fin d’été 2017 pour avoir le moins de glace possible sur place. Les températures oscillaient quand même entre -20 et -10 degrés. Ce fut éprouvant physiquement même si ce n’étaient pas des conditions extrêmes”, explique le Français de 62 ans.
Pour ce voyage “éco-scientifique” au bout du monde, Luc Hardy s’est entouré d’une équipe de scientifiques “pour collecter du data sur la fonte du permafrost“. Une géo-informaticienne a également aidé à cartographier les îles, et des apnéistes ont plongé sur les lieux du naufrage de l’USS Jeanette. “Notre but n’était pas forcément de retrouver le navire. Nous avons construit cette expédition pour émerveiller et sensibiliser”, confie l’explorateur.
De ce voyage en “terra incognita“, le Français en garde un souvenir impérissable, celui d’avoir été le premier étranger à mettre le pied sur l’île de Jeannette. “C’est un endroit inaccessible dans le vrai sens du terme: brumeux, très rocailleux, presque mystique. Et y voir des ours polaires est toujours impressionnant”.
Réalisé par deux Français, Bertrand Delapierre et Alain Zenou, le documentaire Arktika Incognita témoigne de ce monde méconnu et de l’aventure humaine de son équipage, qui à la manière des explorateurs du XIXème siècle, sont partis en quête d’un horizon inconnu. “L’ironie de l’histoire, c’est que George De Long pensait que les eaux du Pôle Nord étaient chaudes. 140 ans plus tard, le réchauffement climatique est en train de lui donner raison tout doucement“, constate Luc Hardy.
"Les Gardiennes", portraits de femmes fortes pendant la guerre, sort à New York
Le Quad Cinema présente le film “Les Gardiennes” le vendredi 4 mai. Ce drame français, sorti en 2017, est réalisé par Xavier Beauvois, à qui l’on doit aussi “Des Hommes et des Dieux” (2010). L’histoire est tirée du roman d’Ernest Pérochon.
Le film réunit à l’écran Nathalie Baye et Laura Smet, mère et fille qui se retrouvent pour la première fois dans le même film. Elles avaient déjà joué ensemble dans la série télévisée “Dix Pourcent” mais jamais au cinéma. Une actrice encore inconnue nommée Iris Bry se retrouve dans l’un des rôles principaux, celui de Francine.
L’histoire se passe en 1915, à la ferme du Paridier où les femmes ont pris la relève après le départ des hommes au front. Leur vie est rythmée par le dur labeur et le retour des hommes en permission. Elles travaillent sans relâche. Hortense, la doyenne, engage une jeune fille de l’assistance publique pour les seconder. Francine pense avoir enfin trouvé une famille.
“Les Gardiennes” met en lumière le travail des femmes durant La Première Guerre mondiale en évoquant le courage dont elles ont fait preuve. Ce film de guerre qui ne montre presque aucun combat raconte surtout comment les femmes ont maintenu l’économie française à bout de bras, en l’occurrence ici dans la gestion d’une ferme, alors que la mobilisation en masse des hommes pendant la guerre a laissé de nombreux emplois inoccupés.
Xavier Beauvois dresse le portrait de femmes fortes, qui travaillent sans relâche pour continuer à vivre. Il s’agit d’un témoignage poignant sur le quotidien de ces femmes. Le rythme est lent mais nécessaire pour mettre au premier plan le rituel du travail, mais aussi l’attente de ces femmes qui espèrent revoir leurs fils, frères, époux et pères partis dans les champs de bataille.
Des camps d'été pour des vacances en français à New York
Les cerisiers sont en fleurs. On sait tous ce que cela veut dire: c’est l’heure de penser aux inscriptions en camps d’été. French Morning vous dresse la liste des camps de vacances francophones.
Lycée français de New York (Manhattan)
Apprendre le français ou baigner dans une ambiance francophone pendant les vacances en s’amusant, c’est ce qu’entend offrir le Lycée français avec son camp d’été pour les 4-10 ans, ouvert du 25 juin au 13 juillet. En fonction de leur âge, vos enfants seront accueillis en camp de création, découverte ou exploration. Sport, théâtre, musique, cours de cuisine sauront occuper les vacanciers tous les jours de la semaine de 9am à 3pm. Maximum 15 enfants par section. 700$/semaine. Infos ici
Ecole Internationale de New York (Manhattan)
Les enfants de 3 à 10 ans, francophones ou non, seront accueillis du 27 juin au 20 juillet, au camp de vacances de l’EINY. Au programme: des activités artistiques, du sport, de la musique, des visites… Ceux qui opteront pour la journée complète passeront la matinée en français et l’après-midi en anglais. De 9am à 12pm: 70$/journée, ou de 9am à 3:30pm: 120$/journée. Possibilité de garderie à partir de 8am et jusqu’à 5pm pour 30$/jour. Infos ici

Bleu Blanc Rouge (Manhattan)
Du 25 juin au 17 août, Bleu Blanc Rouge accueille vos enfants autour d’activités ludiques en français. Au programme: pique-nique à Central Park, balade dans les musées… De 9am à 3:30pm et garderie possible à partir de 8am et jusqu’à 5:30pm pour 15$/heure. Semaine entre 530 et 625 $. Infos ici
Arc en Ciel (Manhattan)
Du 25 juin au 27 juillet, la pre-school bilingue de l’Upper East Side propose aussi un summer camp. Demi-journée de 8:30am à 11:30am ou de 12:30pm à 3:30pm pour 350 $/semaine. Journée complète de 8:30am à 3:30pm pour 500 $/semaine. Infos ici
The Language Workshop For Children (Manhattan)
Après deux semaines de camp, The Language Workshop For Children promet que votre petit commencera à penser en français. Du 18 juin au 20 juillet, diverses activités sont proposées: des cours de cuisine, d’art, des visites et des cours de français ludiques. Accueil de 6 mois à 8 ans de 9am à 12pm pour 395 $/semaine. Garderie gratuite à partir de 8:30 am. Infos ici
La Petite Ecole (Manhattan)
Deux locations pour le camp de vacances de la Petite Ecole: Washington Square et l’Upper West Side. Du 18 juin au 13 juillet, vos petits âgés de 2,5 à 5 ans, francophones ou non, participeront à des cours de cuisine, de dessin, de chants, le tout en français. De 9am à 3pm, semaine de 575$ à 620 $. Infos ici

French Institute Alliance Française (Manhattan et Montclair)
Découvrir l’Hexagone grâce au Tour de France, c’est la promesse du FIAF, pour les enfants jusqu’à 10 ans. Pour les ados, le camp propose des sorties thématiques « Entre amis », « Entre artistes » et « Entre foodies ». Le camp du FIAF est l’un des seuls à accueillir les enfants sur les deux mois d’été: du 18 juin au 31 août, dès 1 an et jusqu’à 17 ans. Les tarifs varient en fonction de l’âge et du temps passé. Garderie proposée pour 15$/jour. Infos ici
PSG Academy (Manhattan et Brooklyn)
Vos enfants sont fans du PSG et plus généralement de soccer ? Les stages intensifs de la PSG Academy, avec ses coachs officiels du club, sont pour eux. De 5 à 14 ans, les futurs pros seront accueillis de 9am à 3pm, soit à Randall’s Island (du 18 au 22 juin, du 25 au 29 juin, du 20 au 24 août et du 27 au 31 août), soit sur le Pier 5 de Brooklyn (du 9 au 13 juillet, du 16 au 20 juillet et du 23 au 27 juillet). Bonus, à la fin du stage les petits footballeurs repartiront avec un maillot et une paire de chaussettes du PSG. 585$/semaine. Infos ici
Bonjour New York (Manhattan et Brooklyn)
Découvrir le français ou améliorer son niveau en apprenant à faire du pain ou à jouer au foot, c’est ce que propose Bonjour New York pour les enfants de 3,5 à 11 ans. Là aussi, les deux mois d’été sont couverts avec un accueil du 2 juillet au 31 août. Demi journée de 9am à 1pm et journée complète de 9am à 4:30pm. Possibilité de garderie à partir de 8am et jusqu’à 5pm. Au programme: zumba, legos, piscine, jeux d’eau… De nombreuses activités sont proposées du 3 juillet au 1er septembre jusqu’à 5pm. Possibilité de bus scolaire. A Brooklyn l’accueil se fera cet été à l’école A. Fantis. À Manhattan, à l’école Solomon Schechter. De 550$/semaine pour une demi-journée à 650$/semaine pour une journée complète. Infos ici
The Language and Laughter Studio (Brooklyn)
LLS fête ses dix ans de summer camp! Du 16 juin au 27 juillet, les enfants sont accueillis de 18 mois à 9 ans. Immersion en français grâce aux nombreuses activités proposées. De 10:30am à 12pm pour les 1 à 4 ans et de 9:30am à 3pm pour les plus grands. Cette année, The Language and Laughter Studio propose sur une semaine un camp d’immersion en italien (depuis Brooklyn!) avec une initiation à la langue grâce aux arts et à la gastronomie. Pour les petits: 200/semaine, pour les grands: 550$/semaine. Infos ici

Smith Street Workshop (Brooklyn)
Ce camp de vacances de Carroll Gardens s’adresse aux enfants de 2 à 6 ans qui veulent s’initier au français ou jouer en français. Du 25 juin au 3 août les semaines sont organisées en thèmes: marionnettes, cirque, collages, Provence. 395$/semaine en demi-journée, 595$/semaine de 9am à 2:30pm. Possibilité de journée allongée de 8:30 à 4pm. Infos ici
International School of Brooklyn
L’école internationale de Brooklyn gardera ses portes ouvertes cet été pour recevoir vos enfants de 4 à 15 ans. Du 25 juin au 3 août pour les 4-7 ans et du 25 juin au 6 juillet pour les plus grands. Chaque semaine est organisée autour d’une thématique: mythes et légendes, voyage dans le temps, sauvegarde de la planète. 550 $/semaine. De 9am à 3pm. Garderie à partir de 8am et jusqu’à 6pm. Infos ici
French American Academy (New Jersey)
Deux localisations sont proposées: à New Milford (du 25 juin au 3 août) et à Jersey City (du 25 juin au 17 août) pour les 3-7 ans. De 8:30am à 3pm, avec possibilité de garderie jusqu’à 6pm. Plusieurs thèmes seront abordés au travers des jeux et des activités au cours de l’été: la nature, la santé et le sport, la musique ou encore la danse. 510$/semaine à Jersey City et à partir de 295$/semaine à New Milford. Infos ici
Tessa International School (New Jersey)
Du 25 juin au 24 août, Tessa International School à Hoboken accueillera vos enfants de 2,5 à 6 ans. Demi-journée de 8:30am à 12pm ou journée complète de 8:30 à 4pm. 265$/semaine en demi-journée et 490$/semaine en journée complète. Infos ici
Camp Tékakwitha (Maine)
Pour échapper à la moiteur de New York en été, rien de tel qu’un camp de vacances au bord d’un lac. Soirées au coin du feu, chansons françaises à la guitare, kayak, escalade: vos enfants de 8 à 17 ans ne voudront plus repartir de Camp Tékakwitha. Les campeurs sont répartis selon les âges en quatre groupes avec des activités spécifiques. Les séjours durent 27 jours ou deux semaines pour les moins de 12 ans. 1475 $ (deux semaines), séjour d’un mois: 2555 $. Infos ici
"Mohammad, ma mère et moi" présenté chez Albertine
“Mohammad, ma mère et moi”, c’est l’histoire d’une rencontre. Rencontre entre Marie-France, une Parisienne retraitée du très privilégié 7e arrondissement et un jeune réfugié afghan. Une histoire vraie, racontée par Benoît Cohen, le fils de Marie-France.
L’auteur et réalisateur qui vit à New York depuis 4 ans avec sa famille a appris la nouvelle à l’occasion d’un coup de fil. Pourtant révolté par l’arrivée de Donald Trump au pouvoir aux Etats-Unis et sa promesse de politique agressive à l’égard des réfugiés, Benoît Cohen ne peut s’empêcher de s’inquiéter pour sa mère, qui s’apprête à ouvrir les portes de son hôtel particulier où elle vit seule à un jeune homme qu’elle ne connaît pas.
De l’appréhension à la découverte de l’autre, c’est toute une famille qui va s’ouvrir à Mohammad, ancien traducteur pour l’armée française en Afghanistan.
Benoît Cohen viendra raconter cette rencontre improbable, et la richesse des échanges entre deux mondes que tout sépare à la Librairie Albertine, le 14 mai à 7pm.
French Waves : 30 ans de musique électronique française à Washington
Pour les amoureux de musique électronique française, le documentaire French Waves sera projeté au Dupont Underground, le jeudi 10 mai à 7 pm. Cet événement fait partie du festival de musique EUROBEATS.
A travers une série d’entretiens avec des artistes emblématiques, le documentaire de 65 minutes réalisé par Julian Starke est un regard sur l’électro française du point de vue de la jeune génération. Il traque les racines américaines de la musique techno et house, fait revivre l’ère des raves illégales et raconte l’histoire de French Touch, un style musical qui a joué un rôle central dans la reconnaissance de la musique électronique à travers le monde. Il présente également la nouvelle vague d’artistes français.
La projection sera suivie d’une présentation et d’un DJ set par DJ Maxime. L’artiste est un passionné de la house culturelle et de la techno. Il a notamment lancé le blog “All In Electro”, qui a reçu deux Golden Blog Awards en 2013.