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The Senses : une expo dans tous les sens au Cooper Hewitt Museum

Et si le design offrait plus qu’une simple expérience visuelle? C’est le challenge qu’a décidé de relever le Cooper Hewitt Museum de New York, avec sa nouvelle exposition The Senses : Design Beyond Vision.
Visible jusqu’au 28 octobre au troisième étage du musée, l’exposition réunit une quarantaine d’installations collaboratives dédiées au toucher, à l’odorat, à l’ouïe et à la vue. “Le design multi-sensoriel améliore la capacité de chacun à recevoir l’information, à explorer le monde, à satisfaire ses besoins essentiels, et à expérimenter la joie et l’émerveillement“, explique la curatrice de l’exposition Ellen Lupton.
Dès l’entrée, un grand mur recouvert de fourrure synthétique invite le public à un concert tactile. En agitant votre main sur les parois, un instrument se met à jouer au rythme de vos mouvements. Ajoutez une deuxième main et un nouvel instrument se lancera. Une expérience à tester à plusieurs pour une symphonie collective.
Dans la pièce attenante, l’installation “Seated Catalog of Feelings” offre un catalogue de sensations plus ou moins originales à expérimenter. Assis sur une chaise vibrante, un coussin sur les genoux -vibrant lui aussi-, et un casque audio sur les oreilles, vous pourrez vous laisser aller à “péter dans le bain” (farting in the bathtub) ou à “faire du vélo sur des pavés” (riding a bike in cobblestone).
“The Senses : Design Beyond Vision” présente également le travail de deux parfumeurs français: Christophe Laudamiel et son assistant Ugo Charron. Leur création, intitulée “Scent Fountain: Fear and Volatile Marilyn”, s’intéresse aux liens entre le toucher et l’odorat. “Le but était de créer une opposition sensorielle en lien avec deux sensations physiques“, explique Ugo Charron. “D’un coté de l’installation, nous avons voulu représenter Marilyn Monroe avec une odeur agréable aux notes aldéhydes renforcée par des formes arrondies, sinusoïdales. De l’autre, la peur, avec une forme tranchante dont se dégage une odeur putride”. En intervertissant les odeurs et les formes, la fontaine odorante de Christophe Laudamiel et Ugo Charron prend tout son sens. “La perception de l’odeur est alors altérée par le toucher et inversement“, conclut Ugo Charron.

French Morning se lance dans le podcast

French Morning écrit, French Morning fait de la vidéo et French Morning fait désormais des podcasts. Après le rachat de French Radio London (FRL), radio communautaire des Français de Londres, nous nous lançons donc dans la production d’émissions pour traiter autrement les sujets qui intéressent les Français et francophiles dans le monde entier.
A partir du vendredi 13 avril, retrouvez notre nouvelle séquence “On vous avait pas dit”. Dans ce podcast, le journaliste Eric Gendry vous racontera l’actualité, “celle de complément, celle qui ne fait pas les gros titres, mais dont on se souvient parce qu’elle est originale, décalée”.
Pour écouter l’épisode 1, c’est ici.
Tous les podcasts sont à retrouver sur Soundcloud. “Stay tuned” pour les nouveautés !
podcast

Ecouter un milliard d'utilisateurs: un "business & wine" à Palo Alto

Comment entretenir une relation avec un milliard d’utilisateurs ? C’est un problème que beaucoup d’entreprises dans la tech aimeraient avoir. Le réseau de chefs d’entreprises et de cadres-dirigeants français aux Etats-Unis FrenchFounders organise un “business & wine” le jeudi 19 avril pour aborder cette question, et d’autres, avec quelqu’un qui se la pose tous les jours: Alex Deve, directeur produit chez Facebook Groups.
Le “serial entrepreneur” reviendra sur les manières de créer des espaces de conversation entre les clients et les employés d’une entreprise et partagera sa philosophie du management de produit. Il évoquera aussi l’avenir de Facebook Groups, un système de groupes d’utilisateurs réunis autour d’un même centre d’intérêt.
L’événement est réservé aux membres de FrenchFounders. Les non-membres doivent faire une demande de participation.
 
 

J'ouvre ma boulangerie à New York : épisode 5 – la fin

French Morning a suivi semaine après semaine le parcours de Noellie Hug, 35 ans, qui a décidé d’ouvrir une boulangerie en plein coeur de New York.
Après cinq mois de hauts et de bas, l’Alsacienne touche enfin au but. Dans ce cinquième et dernier épisode, elle et son équipe préparent leurs dernières recettes avant le jour J. Mais l’ouverture se passera-t-elle comme prévu ?
Pour rendre visite à Noellie et tester ses produits: Alsace Bakery, 213 W 40th St.
Retrouvez tous les épisodes de “J’ouvre ma boulangerie à New York”.

Sa grand-mère a survécu aux camps. Cette jeune Française en a fait un docu

Elle était la traductrice forcée du docteur Josef Mengele. Cet officier allemand, surnommé “Ange de la mort”, réalisa diverses expérimentations médicales meurtrières sur de nombreux détenus des camps. Aujourd’hui, Maryla Michalowski-Dyamant est le personnage principal du documentaire “NANA”. Il sera présenté à partir du vendredi 13 avril au Cinema Village.
Dans ce documentaire, l’histoire de cette rescapée des camps de la mort de Ravensbrück, Malchow et Auschwitz, est racontée par sa fille, Alice Michalowski, et sa petite-fille, Serena Dykman. Cette dernière, une Française de New York âgée de 26 ans, est aussi la réalisatrice du documentaire. Les deux femmes se sont rendues dans les endroits marquants de la vie de Maryla Michalowski-Dyamant, à la rencontre des personnages qui l’ont connue. Il en ressort un témoignage poignant sur cette rescapée qui a consacré sa vie d’après-guerre à parler publiquement de son sort aux jeunes, afin que l’horreur de l’Holocauste ne soit jamais oubliée ou répétée.
A travers ce projet, Serena Dykman veut relancer le combat de sa grand-mère, qu’elle a toujours surnommé “Nana”. « J’ai perdu ma grand-mère quand j’avais 11 ans et je savais qu’elle était rescapée des camps. Mais avant cet âge-là, on ne comprend pas vraiment ce que ça veut dire. Puis elle est décédée et, pendant une dizaine d’années, je n’y ai plus du tout pensé ».
Elevée entre Paris, Londres, Bruxelles et New York, Serena Dykman voyageait depuis quelques années avec le mémoire que sa grand-mère a écrit à la fin de sa vie. N’ayant jamais eu le courage de l’ouvrir, c’est après avoir été témoin des attaques terroristes au Musée Juif à Bruxelles et présente à Paris le jour des attentats contre Charlie Hebdo qu’elle décide de le lire. « Ces attaques m’ont touché personnellement car elles ont pris place dans les villes où j’ai grandi, se souvient-elle. J’ai lu le mémoire et j’étais très fâchée parce que j’avais tout à coup tellement de questions à poser à ma grand-mère mais que je ne le pouvais plus. J’étais fâchée parce qu’elle avait fait un travail tellement remarquable et elle n’était plus là pour le faire ».
Réalisatrice, productrice, scénariste, Serena Dykman s’est installée à New York en 2010. Ses deux parents, cinéastes aussi, lui ont transmis la passion et l’amour du 7ème art. Adolescente, elle s’inscrit à des cours de théâtre. Mais une formation à Londres va l’orienter vers le cinéma. Elle part étudier à la Tisch School de NYU.
Sa grand-mère était une activiste contre l’intolérance, le racisme et l’antisémitisme, mais dotée aussi d’un grand sens de l’humour, selon elle. « La majorité des survivants ne sont plus là pour faire ce travail et, dans quelques années, il n’y en aura plus du tout. Je me suis donc sentie investie d’une mission ». À la fin de son dernier semestre à NYU, la jeune cinéaste décide de commencer le tournage de “NANA”. Elle a reçu plus d’une centaine de témoignages de la part d’institutions et d’individus ayant connu sa grand-mère. « J’ai pu découvrir ma grand-mère quatorze ans après son décès grâce à ces archives vidéo ».
La cinéaste espère grâce à son film toucher un public jeune. “Mon but depuis le début est de l’amener aux nouvelles générations, dans les écoles, dans le circuit de l’éducation, qu’il soit utilisé comme outil pédagogique. Je serais heureuse qu’il soit vu par des gens entre 12 et 120 ans, et en dehors de la communauté juive”.

La FACC Dallas parle intelligence artificielle

L’intelligence artificielle (IA) vous inquiète, passionne, fascine ? La prochaine conférence de la Chambre de commerce franco-américaine de Dallas est pour vous. L’organisme accueille Stéphane Mallard, spécialiste de l’IA au sein de sa structure Blu Age Corporation et “évangéliste du digital” auto-proclamé, le jeudi 19 avril pour une conférence nommée “AIdapt: disrupt or be disrupted”.

Il parlera de l’importance pour les entreprises de bousculer les traditions dans leur secteur en utilisant les technologies digitales, en particulier l’intelligence artificielle, et comment elle peuvent mettre en place des stratégies de “disruption”. La conférence est ouverte aux non-membres de la FACC.
 

Un an de prison pour l’historien français voleur d’archives

Antonin Dehays, dont French Morning avait fait le portrait l’an dernier, vient d’être condamné par un tribunal du Maryland à 364 jours de prison et 43.457 dollars de dommages-intérêts pour le vol de nombreux objets ayant appartenu à des vétérans américains de la Deuxième Guerre mondiale. La décision de justice a été publiée mercredi 11 avril.
Passionné par le Débarquement, cet historien de 33 ans installé en banlieue de Washington depuis 2012, avait demandé à consulter les Archives nationales du Maryland sur les pilotes tombés face aux nazis. Découvrant, nous expliquait-il, une véritable « caverne d’Ali Baba » historique, Antonin Dehays finit malheureusement par se comporter comme les 40 voleurs.
En mai dernier, deux semaines après son dernier passage, les archivistes qui lui avaient donné le sésame signalent la disparition de 30 plaques d’identité militaires de pilotes – les fameux dog tags. Après enquête, il s’avère qu’entre 2015 et 2017 l’historien a dérobé près de 300 de ces plaques et plus d’une centaine d’autres divers objets pour les revendre sur eBay.
Vénal mais tout de même passionné, il a par ailleurs offert un des dog tags volés à un musée de l’Etat de Virginie, en échange de la permission de s’asseoir dans le cockpit d’un Spitfire, le mythique avion de combat anglais de la Seconde Guerre mondiale.
Pour ce délit « flagrant et moralement répugnant » selon les mots du juge, Antonin Dehays – qui a plaidé coupable – écope donc d’un an de prison, de trois ans de liberté conditionnelle dont huit mois d’assignation à résidence et de 100 heures de travaux d’intérêt général. Il devra aussi débourser 43.457 dollars pour dédommager les acheteurs qu’il a floués sur eBay.

5 endroits en plein air pour profiter des beaux jours à New York

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City Vineyard (TriBeCa)

A post shared by City Vineyard (@cityvineyardnyc) on Feb 15, 2018 at 11:10am PST

Pour apprécier New York, vous pouvez prendre de la hauteur en allant sur un rooftop, mais vous pouvez aussi aller sur les rives tranquilles de l’Hudson, où plusieurs bars vous attendent sagement au fil de l’eau. On aime particulièrement City Vineyard, le restaurant-bar à vins de City Winery. Cette structure située sur Pier 26 dispose d’un restaurant fermé et d’une terrasse, où l’on vient faire le point sur la vie en regardant le soleil se coucher. Si vous arrivez tôt, allez à l’étage pour profiter du rooftop et apprécier les plats à partager et la sélection de vins qui fait la réputation de City Winery. 233 West St, New York. 646-677-8350. Site

Studio Square (Astoria)

Studio Square
Studio Square

Il y a beaucoup de biergartens à Queens, mais s’il fallait en choisir un, ça serait Studio Square. Ce grand bar, divisé en plusieurs espaces, dispose d’une grande cour avec de longues tables de pique-nique. Elles sont parfaites pour accueillir les groupes d’amis assoiffés et faire des rencontres. Vous croiserez parfois des groupes de musique assurant l’animation depuis la scène au fond de la cour. Le, ou plutôt les six bars sur place servent une belle sélection de bières américaines et internationales, ainsi que de la nourriture de bar classique. 35-33 36th Street, Long Island City. Site

The Roof at Public Hotel (Lower East Side)

19222714_1373985805969842_4459717510911481052_oLe Public Hotel a ouvert l’an dernier avec l’ambition “d’offrir le luxe d’un cinq étoiles à prix modéré“, explique son propriétaire Ian Schrager. Niché au 18ème étage, son rooftop offre deux beaux espaces extérieurs décorés dans des tons clairs avec une vue imprenable sur Manhattan -chose plutôt rare dans le quartier. L’intérieur est plus “bling-bling” avec un bar couleur or, des tables en marbre et des néons bleus pour seul éclairage. Cocktails dans la moyenne des prix new-yorkais. Appelez avant d’y aller, l’endroit est souvent réservé pour des soirées privées. Public Hotel. 215 Chrystie Street. Site

Bricolage (Park Slope)

bricolageIl y a plusieurs raisons d’adorer ce gastropub vietnamien de Brooklyn: sa carte de plats raffinés et ses cocktails savoureux en sont une; son “backyard” coloré et bourré de plantes en est une autre. Commencez les hostilités en commandant les “rouleaux d’été” et enchainez sur l’agneau ou le porc. Les réservations sont conseillées car, malheureusement, beaucoup de locaux ont découvert cette bonne adresse avant vous. 162 Fifth Avenue, Brooklyn. Site

Fornino at Pier6

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Un endroit reposant pour admirer le coucher de soleil sur la Statue de la Liberté et  Lower Manhattan. Ce restaurant italien possède un espace intérieur et une terrasse, mais il vous faudra monter sur son rooftop pour profiter de la vue. La carte est à l’image de la décoration, simple mais réussie: pizzas à partir de 10$, bières à 8$. Les plus sportifs commenceront par une partie de beach-volley sur l’un des trois terrains environnants. Pier 6 Brooklyn Bridge Park. Site

Maxime Aubin et Alexis Buisson

La pâtisserie Bliss Délice carbure à Austin

Bonne nouvelle pour les gourmands. L’offre en pâtisseries françaises à Austin commence à sérieusement s’étoffer. C’est au tour de la Parisienne Séverine Nobis de lancer son activité Bliss Délice. Elle a lancé sa pâtisserie fin 2017, mais son histoire avec Austin est bien plus ancienne. « Je suis venue dès 1994 et j’ai eu un véritable coup de cœur pour la ville. Je lui trouve une odeur douce et sucrée »
Son installation ne s’est pas faite d’un seul coup. « Je laisse la vie m’offrir des opportunités, mais quand je les saisis, je ne lâche rien. C’est le mélange de mes origines malgaches et normandes. » Et il aura fallu que la chance s’en mêle et qu’ils gagnent leur carte verte à la loterie pour qu’elle, son mari (qui l’assiste dans les tâches administratives) et leurs deux enfants adolescents franchissent le pas.
A Austin depuis février 2017, cette ancienne directrice artistique dans une agence de publicité ne s’est véritablement lancée dans la pâtisserie qu’en 2009 «après mon deuxième enfant ». Elle qui a commencé à faire des desserts adolescente grâce à un livre de recettes offert par sa grand-mère « pour s’occuper et pour expérimenter » y trouve un moyen d’exprimer son sens du partage. Après un CAP, elle est formée par Cyril Gaidella, champion de France des desserts 2017, et Yann Brys, Meilleur Ouvrier de France pâtissier 2011, puis passe deux ans chez Dalloyau. Elle décide ensuite de monter des cours de pâtisserie pour les touristes de passage à Paris. « J’adore enseigner ».
Sa pâtisserie, elle la veut « simple, équilibrée, pas élitiste. Ce sont des desserts du quotidien. » Cette admiratrice du chef pâtissier Philippe Conticini tente de limiter le sucre dans ses productions : « tout est fait maison, sans colorant ni arôme artificiel. » Ses spécialités : le kouign amann revisité (avec moins de beurre et moins de sucre), le cannelé, la tarte à la framboise, la tarte au citron… Elle a aussi commencé à faire des desserts sans gluten.
Elle a commencé son activité dans un food truck, « mais on s’est rendu compte que ce n’était pas adapté à la vente de desserts ». Elle vend à présent à domicile (la carte est disponible sur son site web) et le samedi sur les marchés de la ville. Ses desserts sont aussi disponibles chez Paris In A Bite, Café Medici et Bento Picnic. Elle a également développé une activité de traiteur. « J’aimerais avoir plus de moyens car je commence à avoir du mal à répondre à la demande.» Elle admet profiter pleinement du changement d’Austin : « C’est bien pour nous car les goûts évoluent et s’affinent. Cela aurait été impossible d’ouvrir une pâtisserie française ici il y a 20 ans. »
Mais il reste encore du chemin. « C’est beaucoup d’éducation. Sans compter la difficulté d’approvisionnement. Je dois importer des ingrédients de France comme le chocolat, les purées de fruits, mais il faut savoir aussi adapter ses recettes. Cela correspond à ma philosophie. Les recettes doivent sans cesse évoluer pour s’améliorer. On essaie aussi d’offrir des produits aux normes de qualité françaises à des prix raisonnables

Les bijoux noués d'Anna Dubessy au Museum of Arts and Design

Pour tous les accros aux choses qui brillent, le Museum of Arts and Design présentera LOOT: MAD About Jewelry, son exposition annuelle et marché mettant en vedette les créations de 35 artistes émergents et confirmés, du lundi 16 au samedi 21 avril. C’est la 18ème édition de ce rendez-vous qui vise à rappeler au grand public que la joaillerie est aussi une forme d’art.
L’artiste d’origine franco-espagnole Anna Dubessy, fondatrice en décembre 2016 de l’atelier ARTDENOUER, viendra présenter sa collection de “sculptures à porter”. Intitulée “Close Up”, cette collection est composée de pièces faisant la part belle aux noeuds sous toutes les formes. Chaque pièce est forgée par la Maison Maluro, orfèvre parisien. La collection est déjà référencée chez Colette (Paris) et Isetan (Tokyo).

House of Small Wonder voit les choses en petit à Brooklyn

@Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent chaque semaine leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning
House of Small Wonder (77 N 6th St, Brooklyn)

Passer la porte de House of Small Wonder au coeur de Williamsburg, à l’angle de North 6th et Wythe, c’est un peu comme se retrouver dans une petite cabane chic à Bali.
Au milieu de la petite salle: un arbre, une cheminée, et beaucoup de plantes. On y sert une cuisine simple, qui mixe les classiques du brunch (croissants et autres viennoiseries, croque madame, petits sandwiches, oeufs brouillés…) et de délicieux plats japonais (sashimi sur riz gluant, curry de légumes…).
A l’origine, le restaurant s’appelait Anytime, était ouvert 24h/24 et se spécialisait dans la livraison de plats rapides, cigarettes et bières pour les artistes et hipsters du quartier. Un an après l’ouverture du restaurant, le propriétaire Shaul Margulies a rencontré celle qui allait devenir sa femme: Motoko Watanbe, une chercheuse originaire de Tokyo.
Ensemble, ils ont voyagé régulièrement au Japon et Shaul Margulies a découvert l’ambiance intimiste des lieux et les saveurs incroyables de la nourriture japonaise. Malgré le succès de la formule Anytime, ils décident de tourner cette page et ouvrent en 2006 Zenkichi, un restaurant caché où ils servent les plats traditionnels japonais qu’ils avaient envie de retrouver à New York.
House of Small Wonder suivra en 2010 dans l’optique d’offrir une carte simple et accessible à l’heure du déjeuner. Depuis 2015, le couple s’est installé à Berlin où il a répliqué le concept !

Le must-have: le sashimi zuke don – disponible en quantité très limitée, il faut arriver tôt !

Lecture du conte bilingue "Oooh La La !" à Greenpoint

C’est l’histoire d’un lapin nommé “Lapin” qui s’égare sur le chemin de la coopérative de carottes. Caroline Perry, une Française qui habite à Greenpoint, organise la lecture de son conte Oooh La La! (Ed. Léontine) le samedi 14 avril à la Woops! Bakeshop dans le quartier du nord de Brooklyn.
L’histoire, dont les illustrations ont été assurées par Félicité Parisot, est en français et en anglais. C’est le premier ouvrage de Caroline Perry, qui est par ailleurs l’auteure de nouvelles. L’auteure profitera de la lecture pour dédicacer son livre, qui s’adresse au 2-4 ans.