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Leïla Slimani vient présenter son Goncourt "Chanson douce" à Los Angeles

Chanson douce, prix Goncourt en 2016 vendu à 600.000 exemplaires la première année, sort en anglais sous le nom de The Perfect Nanny. Son auteure, Leïla Slimani, vient le présenter aux Etats-Unis et le dédicacera au Last Book Store à Los Angeles, le samedi 14 avril.
L’auteure franco-marocaine raconte comment une femme qui semblait incarner la nounou parfaite a fini par tuer les deux enfants dont elle avait la charge à Paris. Leila Slimani parle notamment de l’ambivalence maternelle, entre une carrière active et la culpabilité de ne pas s’occuper assez de ses enfants.
L’auteure a puisé son inspiration dans un fait divers datant de 2012, et jugé fin février: une mère de famille avait retrouvé ses deux jeunes enfants morts, poignardés par leur nounou de 50 ans, Yoselyn Ortega, à New York.

Start-ups, présentez votre candidature au Prix de l'Innovation de la FACC Floride

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Les candidatures pour le Prix de l’Innovation 2018 de la Chambre de commerce franco-américaine de Floride (FACC) sont ouvertes. Les entreprises intéressées ont jusqu’au 11 avril pour postuler.
Le Prix récompense des sociétés franco-américaines basées en Floride. Quatre récompenses seront attribuées: “Start-up” (entreprise lancée après le 1er janvier 2016), “Environnement” (entreprise proposant un produit ou service écologique), “Digital” (produit ou service utilisant les technologies digitales) et “Art de vivre” (entreprise issue du domaine du lifestyle ou de la gastronomie).
La FACC déterminera, le 24 avril, quatre nominés par catégorie. Les lauréats seront annoncés lors du gala de la Chambre le 17 mai. L’une d’elles sera sacrée “Top winner” et repartira avec 3.000 dollars. Elle pourra, comme les lauréates de chaque catégorie, bénéficier d’un an de coaching et de visibilité sur différents supports.

"Révolution dans l'air": Mai 68 sur grand écran à Washington

Mai 68 a 50 ans. Et la Maison Française de l’Ambassade de France à Washington commémore comme il se doit cet anniversaire historique. En avril et mai, la série de films “Révolution dans l’air” propose trois films et trois perspectives différentes sur les événements qui ont façonné une génération. Tous les films sont en français et sous-titrés en anglais.
A l’affiche, le mardi 10 avril (7pm), « A Grin Without a Cat / Le fond de l’air est rouge », par Chris Marker. Réalisé peu après les événements de mai 1968, il explique les moteurs idéologiques des forces de gauche de 1967 à 1977.
Le mardi 8 mai (7pm), place à « Godard Mon Amour / Le Redoutable », de Michel Hazanavicius. L’histoire se déroule à Paris en 1967. Ce film raconte l’introspection du cinéaste français Jean-Luc Godard lors des événements de mai 1968 et l’impact personnel que ces événements ont eu sur lui.
« Something in the Air / Après mai », par Olivier Assayas, le mardi 22 mai (7pm) clôturera cette série. Il sera question ici de l’après-mai 68. Le film montre un groupe d’élèves du secondaire pris dans la tourmente politique et créative de l’époque. A travers des rencontres romantiques et des découvertes artistiques, ils cherchent à trouver leur place dans cette société nouvelle.

Cinq musées rien que pour vos enfants à Washington DC

Washington DC a plus d’une centaine de musées, mais seulement une poignée se met vraiment en quatre pour plaire aux enfants. Tous situés sur le Mall, sauf pour le musée de l’Espionnage qui, lui, est près de Chinatown, ils sont facilement accessibles par l’esplanade centrale de DC.
National Museum of Natural History

Une baleine géante décore la salle principale du musée.
Une baleine géante décore la salle principale du musée.

Dans ce musée, vos bambins partiront à la découverte du monde qui les entoure, et de celui qui a existé. De la préhistoire (avec les dinosaures) à l’exposition temporaire sur les papillons, l’espace grand comme 18 terrains de football est prêt à divertir les enfants. Les minéraux occupent également une grande place. Le tout est intégré dans une architecture impressionnante. Des animaux modelés grandeur nature peuplent le musée. 10th St. & Constitution Ave. NW. Site.
Indian-American museum 
Des films documentaires sont aussi proposés dans le musée.
Dessiné par des architectes amérindiens, l’extérieur du musée est flambant neuf – il a été fini en 2017. L’histoire des Indiens-Américains est très bien expliquée dans cette institution pédagogique. On y apprend l’histoire de différentes tribus et leurs coutumes religieuses et culturelles au travers de vidéos et de photographies. Et si vous avez un petit creux, dirigez-vous vers la cafétéria qui a la réputation d’être une des meilleures de DC avec, par exemple, une sélection de sandwiches au saumon fumé et de plats typiquement amérindiens. 4th St SW & Independence Ave SW. Site.
Air and Space Museum
De nombreux modèles d'avion, parfois les originaux, sont présentés.
De nombreux modèles d’avion, parfois les originaux, sont présentés.

Avec le musée de l’Air et de l’Espace, les enfants auront la tête dans les étoiles. Il met en vedette les réalisations technologiques qui ont fait progresser l’aviation et l’exploration spatiale au cours du siècle dernier. Cet endroit est l’un des musées les plus visités au monde. On y trouve le 1903 Wright Flyer, l’avion qui a effectué le premier vol réussi au monde. Il y a aussi le Spirit of St. Louis de Charles Lindbergh, le premier avion à effectuer un vol sans escale de New York à Paris. 600 Independence Ave SW. Site.
International Spy Museum
Le musée de l'Espionnage est ouvert pour les enfants de 12 ans et plus.
Le musée de l’Espionnage est ouvert pour les enfants de 12 ans et plus.

C’est le seul musée payant de la liste (à partir de 14 dollars), mais incontournable dans la région où sont installés les bureaux de la CIA. Les espions en herbe adoptent une couverture, apprennent les codes et identifient les espions déguisés. Ils liront l’histoire de l’espionnage dans le monde et découvriront des centaines d’outils utilisés par les espions. Le musée propose aussi de guider les enfants à travers le Mall de Washington D.C. sous forme de jeu d’espionnage. 800 F St. NW. Site.
Botanic Garden
Le jardin des enfants propose des jeux à l'extérieur et des jardinières pour s'amuser.
Le jardin des enfants propose des jeux à l’extérieur et des jardinières pour s’amuser.

Si vous souhaitez transmettre votre main verte à vos enfants, allez faire un tour au jardin botanique de Washington DC, l’un des plus anciens jardins des Etats-Unis. Le jardin pour enfants, ouvert d’avril à novembre, accueille les apprentis jardiniers dans un espace en plein air, avec des jeux et des bacs pour s’occuper des plantes. 100 Maryland Ave SW. Site.

Leurs fleurs ont conquis Paul Bocuse. Prochaine étape: New York


C’était une grosse pression. On n’avait pas le droit à l’erreur. La fleur, c’était à la virgule prêt“, se souvient Sébastien Barrancos en évoquant son travail pour Paul Bocuse. En collaboration avec un autre fleuriste, Bernard Douzelet, il a conçu pendant trois ans des créations florales pour l’Abbaye de Collonges, restaurant du chef mythique dans la région de Lyon. “Il nous disait toujours qu’il voulait plus que des fleurs dans un vase“.
Avec son compagnon Jérôme Briday, Sébastien Barrancos a fondé Flowers and Creations. Etablis depuis quelques mois à New York, ils cherchent à séduire les New-Yorkais avec les bouquets insolites et travaillés qui ont fait leur réputation à Lyon. Outre Paul Bocuse, ils ont habillé les devantures de plusieurs bistrots de la capitale des Gaules ainsi que le lobby et la façade de l’hôtel Roosevelt (quatre étoiles). “Toutes les fleurs ont leur place. Il faut juste les placer. Un fleuriste ne dit pas qu’une fleur est moche. Non, elle existe. Il faut l’utiliser. Il n’y a pas de fleurs moches ou belles“, explique Sébastien Barrancos.
Le couple a eu pas loin de mille vies avant de se lancer dans la fleur. Sébastien Barrancos a fait des études qui le destinaient à travailler “dans la sismologie et la vulcanologie“. Parce que ses parents manquaient d’argent pour financer ses études, il part travailler chez Quick, puis pour la chaîne d’habillement Zara à Lyon. “J’ai fini meilleur vendeur”, glisse-t-il. La marque lui fait miroiter un poste de responsable de magasin à Paris, qui ne vient pas. Il démissionne.
Jérôme Briday, lui, travaillait dans le secteur de la restauration quand le couple se met en tête d’ouvrir un bar-tabac. Mais ils découvrent dans le journal un magasin de fleurs en liquidation judiciaire, situé dans le quartier de la Croix-Rousse. Ils le rachètent en 2001. “Les six premier mois, on a eu zéro client. On démarrait de zéro. On a fait des bouquets avec des prix d’appel et on a reconquis une clientèle petit à petit“, se souvient Sébastien Barrancos.
L’aventure dure sept ans. Après avoir revendu l’affaire florissante à une de leurs apprenties, ils se lancent un nouveau défi et s’offrent une boulangerie-sandwicherie, toujours à Lyon. Et comme l’espace d’une centaine de places ne leur suffit pas, ils ouvrent aussi un restaurant – le Koodetta – et une boîte de nuit, le Bloc, aujourd’hui fermée. “Au total, on avait 32 employés. C’est 32 soucis“. Ils finiront par vendre leurs parts en 2014 en raison d’un différend avec leur associé.
En 2017, Sébastien Barrancos et Jérôme Briday décident de partir pour New York, où ils veulent se faire un nom dans la création florale. “C’est dans ce domaine-là qu’on s’est toujours éclaté. On s’est dit qu’on a pu relancer une affaire en faillite dans un petit quartier lyonnais. Vu le nombre d’habitants et d’événements à New York, et notre style, on pense apporter quelque chose de différent“, explique Sébastien Barrancos.
“Quelque chose de différent“, comprenez: “on ne se contente pas de mettre un bouquet dans un vase“, poursuit-il. Les créations spectaculaires de Flowers and Creations incorporent des éléments non floraux, comme des fruits, des métaux, des cailloux collés, des plumes. “Tout le monde peut aller au supermarché pour acheter des fleurs. Nous apportons le côté créatif et technique“. Depuis leur arrivée, les créateurs ont composé des bouquets pour Laurent Claquin, patron du groupe de luxe Kering, à l’occasion de la Fashion Week. Et pour des événements au consulat de France, dont un dîner privé avec la chanteuse Sheila pour laquelle ils ont préparé des chaussures à talons remplies de fleurs et placées sous des cloches de verre. Ils espèrent à présent décrocher des contrats avec des hôtels, des restaurants et des particuliers. “Dans la fleur, on doit s’adapter à tout: la personne, la déco, les goûts… Tout est lié, explique Jérôme Briday. Il n’y a pas de routine“.
Texte: Alexis Buisson. Vidéo: Maxime Aubin

Votez pour élire le meilleur croissant de Los Angeles

Où trouver un bon croissant à Los Angeles ? C’est la grande question que nous soumettons aujourd’hui à nos lecteurs.
Après New York, San Francisco et Miami, French Morning organise sa Croissant Battle dans la Cité des Anges. Et nous avons besoin de votre aide.
On vous explique le principe: vous nous donnez vos boulangeries préférées dans le formulaire ci-dessous (trois réponses possibles); les premiers seront qualifiés pour une grande finale, organisée le 2 juin au Petit Paris. Là, un jury de professionnels goûtera -à l’aveugle- les précieuses viennoiseries présentées par les finalistes. Vous pourrez assister à l’évènement, goûter vous-même les croissants et voter pour votre favori, tout en participant à un brunch géant.
C’est à vous de jouer! Dites nous où vous trouvez le meilleur croissant à Los Angeles, quel que soit l’endroit (boulangerie, supermarché, deli…). Nous nous assurerons ensuite que les viennoiseries sont bien fabriquées artisanalement de A à Z. Tous les critères sont admis dans votre choix, que vous les aimiez bien croustillants ou très moelleux, ou que vous privilégiez le sourire du boulanger -ou de la boulangère. Vous pouvez entrer, dans l’ordre de préférence, jusqu’à trois établissements:
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Ayọ : "Personne ne sait d'où je viens"

C’est dimanche après-midi, et la chanteuse Ayọ s’interroge sur le programme de son concert deux jours plus tard (mardi 27 mars) au Lycée français de New York. Peut-être chantera-t-elle des morceaux issus de son premier album, “Joyful”, où figure son tube “Down on my knees” ? Quelques chansons de son petit dernier, “Ayo”, sorti l’an dernier ? “Ou peut-être une qui n’est sur aucun disque, s’aventure-t-elle. J’essaie de rester libre et ouverte, ne pas avoir trop d’idées pour ne pas me limiter“.

“Libre”, un adjectif qui décrit bien l’état d’esprit actuel de l’artiste. Après dix ans de collaboration avec le label Universal, elle a décidé de se lancer de manière indépendante dans la production de sa musique. “Ayo”, enregistré en partie sur son portable et dans son appartement à Brooklyn, est le fruit de ce nouveau chapitre. “Beaucoup de choses avaient changé à Universal. J’étais perdue. Je travaillais avec des gens qui ne me connaissaient pas du tout, qui ne comprenaient pas ma musique. Ils privilégiaient la quantité sur la qualité“, raconte-t-elle.

Ayọ (qui signifie “joie” en yoruba) ne recommence pas pour autant de zéro. À 37 ans, l’artiste a déjà une longue carrière entre plusieurs continents. Né d’un père nigérian et d’une mère roumaine tsigane, Joy Ogunmakin de son vrai nom a vu le jour en Allemagne et a vécu tour à tour au Nigéria, à Londres et à Paris notamment. C’est en France, où elle s’installe avant la sortie de “Joyful” en 2006, que l’autodidacte de la guitare connaît son succès le plus retentissant. L’album, une forme de thérapie dans lequel la chanteuse évoque les traumatismes de son enfance (placement dans une famille d’accueil, mère droguée à l’héroïne…), devient rapidement double disque de platine et fait d’elle une véritable sensation. “Quand je pense à la France, je deviens émotive. C’est une histoire incroyable. J’ai reçu tant d’amour en France et je n’ai pas d’explication sur les raisons, dit-elle. C’est en France que mes rêves sont devenus réalité. Et plus que ça encore! J’ai pu faire ma musique et faire entendre mon message: être moi-même.

Bien du temps s’est écoulé depuis ce premier succès. Depuis, elle a sorti quatre autres albums, est devenu mère pour la troisième fois, s’est installée pour de bon à Brooklyn, où elle avait un pied-à-terre. Partir vivre aux Etats-Unis était plus pratique pour faire des tournées. “New York a une énergie similaire à Paris, sauf que c’est plus grand et plus neutre, raconte-t-elle. J’avais besoin de sortir de Paris, qui était devenue trop petite. Comme dans une relation amoureuse qui dure dix ans, les besoins changent. J’avais besoin de me retrouver avec mes enfants, d’être dans un endroit sans savoir ce qui allait se passer“.

Et l'”arc-en-ciel” de New York, “l’un des seuls endroits où la couleur n’existe pas”, sied à la chanteuse aux identités multiples. “Il y a des jours où je me sens un peu perdue. Je ne sais pas où j’appartiens, s’amuse-t-elle, en référence à ses racines. En Allemagne, on me demande d’où je viens alors que je suis née là-bas. Ici, on pense que je suis Brésilienne, Française, Anglaise… J’ai un accent universel. Bref, personne ne sait d’où je viens“.

Mais en tant que femme noire, elle reste lucide sur les tensions raciales qui perdurent dans l’Amérique d’aujourd’hui. Sur son dernier album, figure une chanson intitulée “Boom Boom” dédiée à Michael Brown, un jeune Afro-américain tué par un policier blanc en 2014 à Ferguson (Missouri). “Les gens sont plus forts que le système, mais celui-ci est dangereux. La police l’incarne. Quand je pense aux victimes de violence policière, je commence à revoir les couleurs (de peau, ndr) et à avoir peur”.

“Paname”, une autre chanson de ce cinquième album, autrement plus légère, rend hommage à Paris et comporte quelques mots de français. “J’ai appris le français grâce à mon batteur en France. Avant, je savais dire: “où se trouve la Gare du Nord ? Où se trouve Richard ? Je veux bien du chocolat chaud…, sourit-elle. Mon français était horrible. Je disais ‘meuf’, ‘nana’ car mon batteur parlait comme ça. J’étais comme une ‘caille-ra’ (verlan de racaille)!” A-t-elle envie de composer dans la langue de Molière ? “J’aime beaucoup la langue, mais quand j’écris, c’est pour dire des choses très personnelles. C’est une langue difficile”. 


Au-delà de la langue, Ayọ veut retranscrire dans ses chansons “des émotions“, et tant pis si cela se fait en dehors des circuits du show biz. Elle ne veut pas se retrouver comme d’autres célébrités qui “ont de l’argent mais ne savent pas quoi en faire“. “C’est quoi être une star ? Ca peut se terminer du jour au lendemain, lance-t-elle. Je trouve que je suis restée simple, mais je pourrais l’être encore plus. Je recherche encore plus de simplicité“.

Christine and the Queens nouvelle formule, de retour à Los Angeles

Christine and the Queens devient Chris pour cette nouvelle tournée. Près de quatre ans après la sortie de son premier album “Chaleur Humaine”, écoulé à 1.3 million d’exemplaires à travers le monde, la chanteuse nantaise a annoncé quatre dates (Los Angeles, New York, Londres et Paris) pour la fin de l’année. Elle sera le samedi 27 octobre sur la scène de The Wiltern à Los Angeles.
L’affiche des concerts la dévoile dans une apparence plus androgyne que jamais, cheveux bruns courts, débardeur nonchalant et baskets XL. Son deuxième album devrait sortir cette année. Seul indice à ce propos : une phrase, en anglais , sur ses affiches : “Girlfriend don’t feel like a girlfriend but lover damn, I’d be your lover”. Le mystère est entier.

Spring time ! 🙂 link in bio

A post shared by CHRIStine and the queens (@christineandthequeens) on


La Française, Héloïse Letissier de son vrai nom, avait été adoptée par les scènes britannique et américaine; et a connu la gloire quand Time Magazine l’a placée en couverture de son édition du 3 octobre 2016.

Christine and the Queens revient à New York en "Chris" en octobre

Christine and the Queens devient “Chris” pour cette nouvelle tournée. Près de quatre ans après la sortie de son premier album “Chaleur Humaine”, écoulé à 1.3 million d’exemplaires à travers le monde, la chanteuse nantaise a annoncé quatre dates (Los Angeles, New York, Londres et Paris) pour la fin de l’année. Elle sera le samedi 31 octobre sur la scène de Brooklyn Steel (tickets en vente à partir du lundi 26 mars).
L’affiche des concerts la dévoile dans une apparence plus androgyne que jamais, cheveux bruns courts, débardeur nonchalant et baskets XL. Son deuxième album devrait sortir cette année. Seul indice à ce propos : une phrase, en anglais , sur ses affiches : “Girlfriend don’t feel like a girlfriend but lover damn, I’d be your lover”. Le mystère est entier.

Spring time ! 🙂 link in bio

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La Française, Héloïse Letissier de son vrai nom, avait été adoptée par les scènes britannique et américaine; et a connu la gloire quand Time Magazine l’a placée en couverture de son édition du 3 octobre 2016.

Le Met rouvre ses galeries d'instruments

Sortez les violons ! Le Metropolitan Museum of Art de New York a réouvert ses galeries d’instruments de musique André Mertens après une fermeture de deux ans pour rénovation.
Les visiteurs y trouveront l’une des collections d’instruments de musique les plus diversifiées et importantes au monde. Les galeries rénovées présentent des trésors musicaux inestimables. Parmi eux, le plus vieux piano du monde, réalisé par Bartolomeo Cristofori à Florence en 1720, des tambours précolombiens, la guitare de l’Espagnol Andrés Segovia. Mais aussi, des violons d’Antonio Stradivari et Andrea Amati, ainsi que des prêts tels que le violoncelle « Batta-Piatigorsky » de Stradivari, fabriqué en 1714 pour une collection privée.
La musique est une forme d’art universelle, et nous espérons que la nouvelle présentation encouragera les visiteurs à penser à sa présence dans tous les aspects de l’expérience humaine“, a déclaré Jayson Kerr Dobney, conservateur Frederick P. Rose en charge du département des instruments de musique.
Pour l’heure, seules trois galeries sur les quatre que compte la division sur les instruments sont ouvertes. La petite dernière doit accueillir les visiteurs au printemps 2019.

Line Haddad, une championne sur la glace du Rockefeller Center

Hier, elle foulait la glace d’Albertville comme plus jeune athlète des Jeux Olympiques de 1992. Aujourd’hui, chorégraphe pour la compagnie de théâtre sur glace Ice Theatre de New York, Line Haddad planche sur un spectacle qu’elle présentera dans le cadre de la 32eme édition des City Skate Concert Series sur la mythique patinoire du Rockefeller Center, mercredi 28 mars à 1pm.
Ce show s’appelle « 11h11 ». “Dans cette nouvelle pièce, je parle d’être tiraillée entre passé et futur. On essaie d’attirer l’attention sur la difficulté de rester dans le présent”. Cette pièce est réalisée avec huit patineurs, dont un couple qui représente le présent et six patineurs solos qui incarnent le passé et le futur.
C’est à 6 ans, en suivant son frère inscrit dans un club de hockey sur glace, que la jeune mordue de danse classique découvre l’univers du patinage artistique. Elle en a fait du chemin depuis. Elle fut championne de France en couple à l’âge de seulement 13 ans et s’est hissée sur le podium d’année en année jusqu’en 1998.
Lorsque son partenaire, Sylvain Privé, décide d’arrêter la compétition, elle rejoint l’équipe israélienne. Devenue championne d’Israël en couple à 21 ans, elle décide de terminer sa maîtrise de langues étrangères à Paris VII. “J’avais l’impression d’avoir fait le tour et j’ai donc continué mes études”, justifie-t-elle. Mais la glace n’est jamais loin. Elle joue dans la première comédie musicale sur glace de Philippe Candeloro, “La Belle et la Bête”, et travaille comme chorégraphe avec plusieurs tandems olympiques, tels Vanessa James-Morgan Cipres et Lola Esbrat-Andrei Novoselov.
Puis en 2003, Line Haddad s’installe à New York, dans l’espoir de renforcer son expérience dans l’enseignement et la chorégraphie. Elle organise des ateliers et donne des cours. « La difficulté, c’est d’être quelqu’un en France et d’arriver dans un pays où l’on ne vous connait pas et donc de repartir à zéro et se refaire un nom. » Avec l’Ice Theater, qu’elle rejoint dès 2003, elle peut conjuguer ses deux passions: le patinage et la danse. “Je ne me suis jamais arrêtée de faire les deux”.

5 nouvelles façons uniques de découvrir New York

(Article partenaire) Vous voulez vivre une expérience qui sorte de l’ordinaire et explorer le New York sorti des sentiers battus ?

Harlem Spirituals vous propose des nouvelles visites guidées en français pour découvrir des facettes uniques de la Big Apple. En minivan ou à pied et en petits groupes de 15 personnes maximum, partez à la découverte du vrai New York des New-Yorkais, accompagné d’un guide local, passionné par sa ville, son histoire et sa richesse culturelle.
Envie d’un break des gratte-ciel ? Mettez-vous au vert !
Embarquez pour une balade au vert sur la High Line, la « coulée verte new-yorkaise »,  suspendue à mi-hauteur au-dessus de la ville, d’où vous pourrez admirer une vue imprenable de Manhattan et une nouvelle perspective sur son architecture. Découvrez ensuite à pied les boutiques et galeries “arty” de Chelsea, le quartier ultra-branché du Meatpacking District et l’incontournable Chelsea Market. La balade se poursuit alors vers les charmants quartiers de Greenwich Village, pour se terminer à SoHo, le paradis du shopping ! Cliquez ici pour réserver 
Boostez votre compte Instagram avec le Midtown Photo Tour
Avis aux amateurs de clichés insolites, d’Insta stories, de selfies et de Facebook Live : ce tour est fait pour vous ! Suivez le guide à pied pour un véritable safari photo urbain à la découverte de Midtown et de ses célèbres  monuments et sites incontournables. Guidé par ses conseils et sa connaissance des lieux, vous pourrez prendre des photos originales qui feront sans nul doute des jaloux parmi vos followers ! Cliquez ici pour réserver 
Venez découvrir l’histoire de Harlem et de sa diversité culturelle à travers ses spécialités culinaires.
Next Stop, Harlem ! C’est par gourmandise que nous vous invitons à nous rejoindre pour ce foodie tour ! Cette visite à pied inclut la découverte de quartiers riches en histoire et culture, ponctuée de cinq étapes dégustation qui raviront tous les gourmands. Cliquez ici pour réserver 

Rooftop et Speakeasy Tour : une soirée VIP typiquement new-yorkaise

Votre expérience de Big Apple ne serait pas complète sans une visite de nuit de  « la ville qui ne dort jamais » !  Passez une soirée exclusive et inoubliable à la découverte de New York by night en van Limousine. Accompagné d’un guide privé, visitez un speakeasy connu seulement des initiés. Découvrez les rooftops branchés et tombez sous le charme des nuits new-yorkaises en admirant les vues panoramiques de Manhattan, avec un délicieux cocktail à la main. Cliquez ici pour réserver 
L’alternative aux tours en bus : les visites en minivan sprinter !
On est d’accord : le meilleur moyen de découvrir Big Apple, c’est de se promener ! Mais pas toujours évident quand la petite dernière rechigne à avancer, et qu’on est chargé des sacs à dos, guides, snacks, et appareils photo… Les tours en minivan permettent d’explorer confortablement et en petits groupes tous les quartiers de Manhattan, Brooklyn, Bronx et Queens le temps d’une matinée ou d’un après-midi. Ils incluent également de nombreuses étapes à pied pour s’imprégner de l’atmosphère new-yorkaise. Laissez-vous guider ! Cliquez ici pour réserver

Harlem Spirituals / New York Visions propose également des visites guidées sur mesure et une large palette de services à la carte pour coller au mieux à toutes vos envies. Notre équipe efficace et dynamique vous accueille 7j/7 en français au cœur de Times Square pour vous aider à organiser un séjour inoubliable à New York. Pour toutes vos réservations (tours, attractions, activités, transferts, pass, etc.) passez nous faire un coucou ou visitez notre site internet : www.harlemspirituals.com.

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