Ça y est ! Après des années de spéculations, le Musée de la Bible a ouvert ses portes à trois petits blocks du Congrès. Et quelles portes d’ailleurs ! Elles sont bardées de deux grandes dalles métalliques où sont inscrits des passages du Livre de la Genèse.
Comme si cela ne suffisait pas à donner le ton dès l’entrée, l’employé qui accueillait les visiteurs lors de notre passage s’appelait Joshua.
Le Musée de la Bible est une institution entièrement privée, financée essentiellement par le milliardaire évangélique Steve Green, qui est aussi son fondateur et président. Cet homme d’affaires, patron de la chaîne de fournitures Hobby Lobby, est une figure bien connue de la droite conservatrice américaine. Le nom de son entreprise est associé à une décision controversée de la Cour suprême en 2014 qui a autorisé les entreprises familiales comme la sienne à déroger aux lois fédérales qu’elles estiment aller contre leur religion.
Avec le Musée de la Bible, ce grand collectionneur d’objets bibliques a voulu se garder de faire de la politique – les sujets de “culture wars” comme l’homosexualité et l’avortement sont soigneusement évités – mais veut expliquer l’histoire de la Bible, son contenu et son influence. Avec un objet aussi large, il ne pouvait pas faire les choses à moitié: 500 millions de dollars ont été nécessaires pour aménager le bâtiment et construire des étages supplémentaires. Green, qui a le bras long, a fait venir de nombreuses personnalités politiques et religieuses à l’ouverture le 17 novembre.
Chaque étage du musée est consacré à un thème. Le sous-sol accueille des expositions temporaires, dont une sur le chant chrétien “Amazing Grace”. Le rez-de-chaussée contient des pièces issues de la librairie et des Musées du Vatican. Dans les étages supérieurs, on explore “l’impact de la Bible” sur la société américaine, les formes qu’ont pris les textes sacrés au fil des siècles et même une reproduction du Nazareth de Jésus qui fait le bonheur des enfants.
Le musée met le paquet sur les nouvelles technologies. Au plafond, sur les murs, dans les ascenseurs et sur des tables: d’innombrables écrans ont été installés un peu partout et diffusent en boucle des entretiens avec des chrétiens, des images de paysages et des messages dont on ne sait pas trop d’où ils sortent – qu’importe, c’est beau ! Après avoir passé cinq minutes à zieuter le plafond du hall d’entrée couvert d’un long écran où des fresques de cathédrales se succèdent, les visiteurs peuvent se réfugier dans une salle circulaire diffusant des images de Jérusalem en temps réel (elle ne fonctionnait pas le jour de notre visite). Ou enfiler des vêtements virtuels utilisant l’iconographie religieuse grâce à un outil interactif. On est accompagné en permanence, même dans les toilettes, par un fond musical un brin oppressant qui évoque la bande-annonce de “La Momie”.
Ce “spectacle” omniprésent ferait presque oublier quelques-unes des pièces rares présentées au sein du musée. Des bibles datant de l’époque des pèlerins retiennent particulièrement l’attention et une collection de manuscrits du XVème siècle renfermant des représentations de Noël aussi. Des morceaux des mythiques “manuscrits de la mer Morte” sont aussi exposés – même si leur authenticité a été remise en question par plusieurs experts. Finissez votre visite par le rooftop et son restaurant aux plats “bibliques”. Le menu aussi est sur un écran. La vue sur le Capitol et le Washington Monument est on-ne-peut-plus réelle.
Au Musée de la Bible, de la religion et beaucoup de télés
InMemori, la start-up française qui facilite le deuil
“Se retrouver, rendre hommage, ça existe dans toutes les cultures sur terre“. Clémentine Piazza n’a aucun mal à parler de la mort, mais elle reconnait qu’une certaine force intérieure est nécessaire pour y faire face tous les jours dans son travail, comme elle.
La Française a créé une start-up destinée aux personnes bouleversées par un décès. InMemori est une plateforme pour communiquer et se souvenir: communiquer les informations concernant les obsèques et permettre à la famille et aux proches de se souvenir du défunt.
“En cas de décès, les proches ont très peu de temps pour tout organiser: prévenir les personnes concernées et organiser les funérailles, explique la jeune femme. InMemori est là pour les aider“. La page consacrée au défunt est sobre, sans publicité ni logo. La famille y indique toutes les informations pratiques concernant les obsèques et chacun peut ensuite laisser un message de condoléance, partager des souvenirs et des photos.
Viennent s’ajouter des services comme la collecte de dons pour financer la recherche contre une maladie, pour une association ou une passion du défunt. InMemori travaille aussi avec des prestataires comme Interflora en France qui se charge de livrer des fleurs. Les espaces ne sont pas accessibles sur les moteurs de recherche pour garantir l’intimité de la famille. “On est là pour simplifier les actes d’hommage“, résume l’entrepreneuse.
La start-up, qui a déjà servi 60.000 personnes, est née l’année dernière en France. “A l’époque j’étais directrice marketing pour Unibail Rodamco à Paris. Je travaillais beaucoup, je voyageais beaucoup. Et puis deux amis ont perdu quelqu’un et ils sont passés par les problématiques que connaissent toutes les familles“.
Son projet sous le bras, Clémentine Piazza a trouvé une agence de service funéraire pour prendre un avis. “Ils m’ont dit que ça répondait à des besoins nécessaires, que ce n’était pas gadget et m’ont demandé quand on pouvait démarrer!“.
Pendant six mois, Clémentine Piazza part sur le terrain, rencontre les acteurs du milieu et des familles pour connaître leurs besoins. “On dit qu’il faut être proche de son client, pour nous ça ne peut pas être autrement“, explique la jeune femme. Persuadée qu’InMemori a une approche universelle, Clémentine Piazza s’envole ensuite pour San Francisco où elle participe, de février à août, au programme d’accélération français The Refiners avec l’objectif de développer le service aux Etats-Unis.
Pour atteindre les familles en deuil, InMemori a passé des contrats avec des assureurs (Alliance, Malakoff Médéric, le Crédit agricole), des journaux (Le Figaro) et un réseau de pompes funèbres. Aux Etats-Unis, où le site sera lancé début 2018, le contact est déjà pris avec des assurances et des soins palliatifs. Des intermédiaires qui vont créer une page InMemori avec les informations sur la famille et envoyer le lien vers la page aux proches, qui décideront de l’utiliser ou non.
Avec un service gratuit, la start-up se rémunère uniquement sur les commissions des prestataires comme Interflora. Une levée de fonds est en cours en France et aux Etats-Unis pour pouvoir assurer le développement américain. Pour le moment, une responsable du développement a été recrutée à New York et Clémentine Piazza partage son temps entre la France et les Etats-Unis.
Pour le site américain, l’équipe réfléchit à des services aux familles différents de la France. “Aux Etats-Unis, explique Clémentine Piazza, il existe la tradition du food basket que les proches envoient ou apportent à la famille endeuillée. On est en train d’y réfléchir. Le service reste le même mais il s’adapte aux cultures et aux traditions de chaque pays et de chaque communauté“.
Bûche de Noël et vin chaud à l'Alliance française de Washington
Pourquoi attendre Noël pour sortir vin chaud et bûche ? L’Alliance française de Washington organise un “happy hour à la française” le 7 décembre de 5pm à 6:30pm pour manger, boire, être heureux et quand même permettre aux non-francophones de pratiquer la langue de Molière.
Le rendez-vous, en français et en anglais, est ouvert aux non-membres de l’Alliance française. Il est recommandé de réserver à l’avance. 5 dollars pour une part de bûche, 10 dollars pour une part accompagnée de vin chaud (hors frais de traitement).
François Molins et Cyrus Vance Jr. parlent terrorisme au Consulat de France
Ce sont deux poids lourds de la justice qui seront rassemblés au consulat de France à New York. Le procureur de la République de Paris François Molins et le “District attorney” (DA) du comté de New York Cyrus Vance Jr. parleront lutte anti-terroriste lors de la prochaine “Conférence 934” le lundi 11 décembre.
Les deux “procs” sont confrontés, chacun dans leur ville, à la menace terroriste. Ancien directeur de cabinet de la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie, François Molins a été révélé au grand public au moment des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hypercacher à Paris en janvier 2015. Elu en 2010, Cyrus Vance Jr a poursuivi de nombreux individus suspectés de vouloir attaquer New York.
Lors de la conférence gratuite, il parleront du rôle des médias sociaux dans la radicalisation des terroristes et de l’aide que ces nouvelles plateformes peuvent apporter aux enquêteurs.
Votez pour le meilleur croissant de New York
Vous vous souvenez -avec émotion- de notre concours Best Baguette, c’est le moment maintenant de découvrir Best Croissant. Aidez-nous, et surtout aidez les New-Yorkais à répondre enfin à la question qui nous taraude: “où trouver de bons croissants ?”
Le principe: nos lecteurs nous donnent leurs boulangeries préférées (trois réponses possibles); les 15 premiers seront qualifiés pour une grande finale, organisée le 27 janvier 2018. Là, un jury de professionnels goûtera -à l’aveugle- les précieuses viennoiseries présentées par les finalistes. Vous pourrez assister à l’évènement, goûter vous-même les croissants et voter pour votre favori, tout en participant à un brunch géant.
C’est à vous de jouer! Dites nous où vous trouvez le meilleur croissant dans le grand New-York (tri-state area), quel que soit l’endroit (boulangerie, supermarché, deli…). Nous nous assurerons ensuite que les viennoiseries sont bien fabriquées artisanalement de A à Z. Tous les critères sont admis dans votre choix, que vous les aimiez bien croustillants ou très moelleux, ou que vous privilégiez le sourire du boulanger -ou de la boulangère. Vous pouvez entrer, dans l’ordre de préférence, jusqu’à trois établissements:
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Pourquoi aime-t-on boire du jus de tomate dans l'avion ?
Quand ils montent dans l’avion, certains passagers sont saisis d’un mal étrange. Alors qu’ils ne boivent jamais de jus de tomate quand ils ont les pieds sur terre, ils en consomment en l’air. Pourquoi ? C’est la question bête de la semaine.
Si vous êtes coutumier du fait, sachez que vous n’êtes pas le seul. Scientifiques et compagnies aériennes se penchent depuis longtemps sur cette épineuse question. Il y a plusieurs années, la compagnie allemande Lufthansa a tenté d’éclaircir le mystère après avoir constaté que ses passagers assoiffés engloutissaient 1,3 million de litres de jus de tomate par an, soit presque autant que la bière (1,7 million). Un centre de recherche que Lufthansa a chargé de mener l’enquête a placé des individus dans un simulateur et a trouvé qu’ils préféraient systématiquement le jus de tomate en situation de vol qu’en dehors.
Pourquoi ? Certains chercheurs répondront “le niveau sonore”. C’est le cas de Robin Dando, spécialiste des sciences de la nourriture à Cornell University. Partant du constat que le bruit affecte les facultés gustatives, il a exposé plusieurs personnes à un bruit continu de 85 décibels, similaire à celui enregistré lors d’un vol. Les “cobayes” ont noté que le goût du jus de tomate était plus marqué que quand il était testé dans des conditions normales.
La raison: l’umami, une des cinq saveurs de base avec le sucré, l’acide, l’amer et le salé. Riche, onctueuse et plaisante, on la retrouve dans le jus de tomate et dans d’autres aliments comme le fromage, le jus de soja et les champignons grillés. Contrairement au sucré ou au salé, les chercheurs ont trouvé que la sensation de l’umami n’était pas altérée par le bruit environnant. “Le meilleur jus de tomate se trouve dans l’avion, résume Robin Dando. On n’observe pas le même phénomène dans les restaurants très bruyants car le niveau sonore n’atteint jamais celui d’un avion. On est aussi exposé au bruit de manière prolongée dans un avion. C’est l’un des seuls environnements où cela se produit“.
Autre raison avancée dans des études différentes: la pressurisation de la cabine. À plusieurs centaines de kilomètres d’altitude, les sens changent. À cause du manque d’oxygène, les récepteurs gustatifs et olfactifs sont moins efficaces. L’air est également plus sec, ce qui ternit la saveur des aliments sucrés et salés – et explique pourquoi vous pensez que votre plateau-repas n’a pas de goût. Grâce à ses propriétés, le jus de tomate échappe à ce phénomène.
La science ne répond pas pour autant à la question essentielle: pourquoi prend-t-on du jus de tomate en premier lieu ? Pour Robin Dando, “il y a des facteurs contextuels“. “Quand ils prennent l’avion, les gens sont excités. Ils partent en voyage, vont découvrir quelque chose de nouveau. Choisir une boisson nouvelle participe probablement de cela, dit-il. Anecdotiquement, des voyageurs m’ont aussi dit qu’ils prenaient du jus de tomate à l’aéroport“. D’autres mettent en avant le phénomène de mimétisme: un passager entend un de ses voisins commander du jus de tomate et se laisse tenter à son tour.
En tout cas, les compagnies aériennes sont prévenues: elles peuvent rogner l’espace entre les sièges, faire payer les valises en soute, mais elles n’ont pas intérêt à toucher au jus de tomate. Il est intéressant de noter que la boisson a traversé l’histoire de l’aviation sans connaître de turbulences. Proposée dès les premiers vols commerciaux, elle n’est jamais devenue payante contrairement à certaines boissons alcoolisées dans les années 70, quand l’accroissement de la compétition a poussé les compagnies aériennes à facturer des services. Tournée de jus de tomate pour tous.
Le député Roland Lescure lance sa plateforme de consultation citoyenne
Impliquer les Français d’Amérique du Nord dans le travail législatif: c’est l’ambition de la plateforme que le député Roland Lescure a prévu de lancer mardi 5 décembre en partenariat avec la start-up Fluicity.
La création d’une telle plateforme était un engagement de campagne du candidat de La République en Marche, élu en juin. Elle aura plusieurs fonctionnalités: “consulter l’actualité législative française en continu ; faire des propositions directement au député ; voter pour les publications des autres Français présents sur la plateforme ; participer à des appels à idées sur des thématiques précises“, peut-on lire dans le communiqué de presse du député des Français d’Amérique du Nord et de Fluicity.
Cette dernière est bien connue dans le monde en plein essor des “civic tech”. L’application permet de stimuler la participation citoyenne au niveau local en favorisant l’interaction avec les élus. Cette “agora virtuelle”, qui a décroché plusieurs prix d’innovation, a été déployée dans une dizaines de collectivités territoriales francophones.
Le premier Decathlon américain a ouvert à San Francisco
Onze ans après une première tentative, Decathlon repart à la conquête des Etats-Unis. Le leader mondial de la distribution d’articles de sport a choisi San Francisco pour installer son premier magasin outre-Atlantique, qui a ouvert ses portes vendredi 1er décembre sur Market Street, l’artère principale de la Fog City.
À l’entrée du point de vente de 800 m2, la tente 2 secondes est fidèle au poste, ainsi qu’une armada de vendeurs très serviables, vêtus de la traditionnelle veste sans manche bleue et blanche floquée Decathlon. Le petit banc gris métallique où l’on s’assoit pour essayer une paire de basket ne manque pas non plus à l’appel. On est bien chez “Decat”.
Après un faux départ en 1999 dans la banlieue de Boston suite au rachat des magasins MVP Sports, l’enseigne de la famille Mulliez aborde désormais le marché américain différemment. « Ce n’était pas la même histoire il y a vingt ans, nous ne sommes plus la même entreprise. C’est comme si on venait ici pour la première fois », souligne Michel d’Humières, PDG de Decathlon USA, qui compte déjà une équipe d’une quarantaine de personnes.
À tâtons au coeur de l’innovation
Ce n’est pas un hasard si Decathlon a mis le cap sur San Francisco pour cette nouvelle tentative. « La Baie est une région où tous les sports sont représentés, avec une exigence forte et des niveaux sportifs plutôt élevés, ce qui est un bon test pour nos produits , explique Michel d’Humières. Cet écosystème nous convient et nous permet d’être au coeur de l’innovation aussi bien au niveau produit que dans notre façon de travailler ».
Pas d’ouverture en grande pompe, ni d’ambitions débordantes pour autant, l’équipementier souhaite y aller à tâtons, en proposant 2.000 références en magasin et 5.000 sur son site internet afin de vendre ses produits dans tout le pays. « Au-delà du simple espace de vente, c’est l’idée de mélanger le magasin physique et les ventes en ligne de façon à ce qu’il y ait un début d’expérience pour nos nouveaux utilisateurs américains au travers de ce laboratoire », détaille le PDG.
Le pitch des vendeurs est bien huilé : « nous créons, concevons et vendons nos propres produits », peut-on entendre entre deux allées. Le magasin a été conçu « comme un lieu de rencontre » pour faire découvrir Decathlon aux Américains. Les prix de deux best-sellers de la marque Quechua n’ont pas à rougir à côté de ceux du marché français : le petit sac à dos est à 3,49 $ (1,99 € en France) et la tente deux places à 49,95 $ (49,99 € en France). Pour Michel D’Humières il s’agit du « smart price » qui sera pratiqué à San Francisco, « comme ailleurs… ».
Des bourses pour étudier ou faire de la recherche en France ou au Québec
Vous êtes étudiant ou chercheur américain et un passage par la case France vous intéresse ? La Société des Professeurs Français et Francophones d’Amérique (SPFFA) vous attend. L’association a ouvert les candidatures pour ses différentes bourses destinées à ouvrir les portes de la France et du Québec aux étudiants et chercheurs américains. Date limite: le 15 janvier.
Réservée aux étudiants de premier cycle (“undergraduates”), aux étudiants de master ou en doctorat ou post-doc, les bourses nommées Jeanne Maradon sont essentiellement destinées aux étudiants et chercheurs spécialisés dans les arts, la musique, l’histoire, la communication, les sciences sociales et la littérature. D’autres bourses sont réservées aux étudiants dans le domaine des sciences. Enfin, des bourses d’été pour des étudiants qui utilisent le français dans leur champ d’étude sont également proposées pour participer à un programme d’été au Québec. Montant des aides: de 1.500 à 25.000 dollars.
Noël 2017 : "Say Cheese !" sur Le Marché
Vous êtes Français. Donc statistiquement, vous consommez plus de 25 kg de fromage chaque année. Oui, mais vous habitez Etats-Unis où il est difficile de trouver de bons fromages de nos régions. Mais ça, c’était avant que French Morning ne s’en mêle.
Nous sommes heureux de vous annoncer l’arrivée de plateaux de fromages sur Le Marché, notre épicerie en ligne.
Et comme nous connaissons l’exigence de nos lecteurs, nous avons choisi des fromages issus de fermes locales aux quatre coins de la France. Pour cela, nous collaborons avec un leader dans la distribution de fromages à l’étranger, qui affine ses produits à Tours. Il coupe les fromages (si besoin), les emballe sous-vide et les envoie dans des colis dont l’emballage est conçu pour résister au voyage jusqu’à votre lieu de résidence. Et comme on sait que vous avez faim, la livraison est assurée dans un délai de 24 à 48h seulement. La fraîcheur du fromage est ainsi garantie.
Trois plateaux de fromages sont désormais disponibles et seront parfaits pour votre table des fêtes de fin d’année: C’est ici !
Un premier plateau de cinq fromages (995 g), conçu pour plaire à tous et à toutes: Crottin, Camembert de Normandie, Reblochon, Comté et Roquefort seront au menu.
Un second plateau de six fromages (1040 g), pour un voyage aux quatre coins de la France: départ en Provence avec le Banon, deuxième stop dans la vallée de la Loire pour le Chabichou du Poitou avant de s’aventurer en Auvergne avec le célèbre St Nectaire, puis, direction la région parisienne avec le Brie de Meaux. Ce tour de l’hexagone continuera en Alsace avec le fameux Munster avant de se terminer en Savoie avec le goût de la montagne et la belle longueur en bouche du Beaufort.
Enfin, pour un repas de Réveillon digne de ce nom, dix fromages réunis (liste ci-dessous) sur un plateau de 1945 g. Fromage de vache, de chèvre ou de brebis, il y en aura pour tous les goûts:
Camembert de Normandie
Comté 18 mois
Roquefort
Crottin
Reblochon
Langres
Valencay
Perail de Brebis
Plaisir au Chablis
Pont l’Evêque
Selon les saisons, le plateau est susceptible d’être modifié.
Avant le défilé, les candidates à Miss France à l'heure californienne
Elles n’ont pas défilé devant Jean-Pierre Foucault et des millions de téléspectateurs ce soir-là. Les trente aspirantes Miss France 2018 ont chaussé leurs talons transparents, mardi 28 novembre, pour venir prendre la pause avec le Consul de France, Christophe Lemoine, concluant leur séjour de préparation en Californie.
Avant de se soumettre au vote des Français le 16 décembre, les Miss régionales auront connu leur moment de gloire. “A notre arrivée à LAX, nous avons été accueillies comme des stars. Il y avait de nombreux paparazzi, nous avons dû retourner notre écharpe”, raconte Miss Tahiti, Turouru Temorere, 21 ans. Pour elle, la pression est immense, même si elle travaille dessus : “Cela fait cinq ans que les Miss Tahiti se retrouvent sur le podium.”
Entre deux toasts au roquefort ou à la tapenade de tomates séchées à la Résidence de France de Los Angeles, elles racontent leurs aventures à Palm Spring et Los Angeles. Découverte des coulisses d’un studio de tournage, patin à roulettes sur la piste de Santa Monica, vol en montgolfière, déambulation sur le “Walk of Fame”, randonnée équestre jusqu’au signe Hollywood : les activités n’ont pas manqué durant le séjour, premier de ce genre en Californie. Un voyage organisé en partenariat avec l’organisation touristique Visit California, qui avait fait venir Raid Amazones d’Alexandre Debanne l’an dernier.
Pour Miss Provence 2017, Kleofina Pnishi, qui veut devenir comédienne, ce voyage avait des “airs de coïncidence”. “Palm Spring, c’était comme dans un film”, assure la jeune femme de 23 ans qui a “visité” la faille de San Andreas. Pour les reines de beauté, vêtues comme des poupées ce soir-là, ce séjour laisse des étoiles dans les yeux, et quelques cernes camouflées par le maquillage.
Auprès de la presse et des invités de la Résidence de France, elles se prêtent volontiers aux selfies. Et pourtant une question leur brûle les lèvres : “quels sont vos pronostics ?”, “qui est votre favorite ?”, questionnent-elles, au hasard des conversations.
Pour la plupart d’entre elles, cette virée américaine était une première. Malgré l’excitation, elles sont nombreuses à avoir eu le mal du pays. “Nous n’avions pas les téléphones la journée et avec le décalage, c’était dur d’appeler nos parents”, assure Miss Franche Comté, Mathilde Klinguer.
Qu’elles se qualifient ou non, l’aventure aura été belle. Des amitiés, comme des rivalités, se sont créées, et durant deux semaines, la compétition a “presque” été oubliée, selon leurs dires. “C’est maintenant que ça commence”, avoue Lison Di Martino, qui représente l’Île-de France. Qu’importe les résultats, le Consul leur a rappelé que “le concours ouvre des perspectives et des horizons”.
9 cadeaux "made in Houston” à offrir à Noël
Les tenues en Wax Onyii Brown
La créatrice houstonienne Onyii Brown remet le wax, traditionnel tissu africain, au goût du jour. Résultat ? Un vestiaire citadin aux imprimés colorés : crop top, vestes réversibles et robes longues pour une silhouette féminine et contemporaine. Chez Launch, 701 Avenida De Las Americas ou sur le site
Les bougies Manready Mercantile
Ces bougies fabriquées à partir de cire de soja ont fait le succès de Manready Mercantile, une petite boutique des Heights élue parmi les 25 meilleurs boutiques des Etats-Unis par le très branché magazine GQ. A la boutique Manready Mercantile, 321 W 19th St. Site
Les echarpes tissées main The Community Cloth
Une alternative équitable pour vos cadeaux de Noël : tous les produits vendus par The Community Cloth sont fabriqués par des artisans réfugiés. La magnifique collection d’écharpes, riche en couleurs, est tissée par des femmes birmanes en tencel – une fibre eco-friendly fabriquée à partir d’eucalyptus. The Community Cloth, 6440 Hillcroft Ave. Site
Les sacs et accessoires en cuir Elphile
Les sacs de Gwen Lecoz sont devenus des incontournables au Texas! La Française installée à Houston a créé sa marque d’accessoires mode pour femme, Elphile, en 2013, et vient de lancer son site de vente en ligne. Des pochettes, des sacs, des bracelets fabriqués dans les meilleurs cuirs en séries limitées. Sur rendez-vous au studio ou sur le site
Les stylos en bois de Nick Tuba
Nick Gonzalez alias “Nick Tuba”, musicien et menuisier, et sa femme Katy créent d’élégants stylos en bois dans leur atelier de Houston. Chêne, cèdre rouge, pécan : ils utilisent majoritairement des essences texanes pour réaliser ces magnifiques pièces uniques. Vous les trouverez chez Anvil Cards, 2356 Bissonnet St. Site
Les T-Shirts “My Houston” de Anvil Cards
Pour clamer votre amour de Houston au monde entier et faire une bonne action : tous les profits des ventes sont redistribués au fonds de solidarité au profit des sinistrés de l’ouragan Harvey, créé par le maire de Houston. Anvil Cards, 2356 Bissonnet St Houston ou sur le site
Les boucles d’oreilles Texas Strong de Brenda Grands
Ces boucles d’oreilles plaqué or ont la forme de l’Etat du Texas et ont été imaginées par la créatrice de bijoux Brenda Grands, Colombienne installée à Houston. Chez Baanou, River Oaks District, 4444 Westheimer Rd d135 ou sur le site
Le “Wine Wrap” en cuir 100% Texas
Pour donner un look texan à vos bouteilles, voici un habillage en cuir fait à la main à Houston. Chez Launch 701 Avenida De Las Americas ou en ligne
Le hochet Three Hearts
Il n’y a pas d’âge pour afficher son amour du Texas ! La designer Linda Trieu, installée dans les Heights, propose deux versions du hochet “I love Texas”, l’une en bois, l’autre en silicone, déclinée en cinq coloris acidulés. Sur le site