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9 cadeaux "made in Houston” à offrir à Noël

 

Les tenues en Wax Onyii Brown

onyiiLa créatrice houstonienne Onyii Brown remet le wax, traditionnel tissu africain, au goût du jour. Résultat ? Un vestiaire citadin aux imprimés colorés : crop top, vestes réversibles et robes longues pour une silhouette féminine et contemporaine. Chez Launch, 701 Avenida De Las Americas ou sur le site 

Les bougies Manready Mercantile

wax candle manreadyCes bougies fabriquées à partir de cire de soja ont fait le succès de Manready Mercantile, une petite boutique des Heights élue parmi les 25 meilleurs boutiques des Etats-Unis par le très branché magazine GQ. A la boutique Manready Mercantile, 321 W 19th St. Site

Les echarpes tissées main The Community Cloth

scarfUne alternative équitable pour vos cadeaux de Noël : tous les produits vendus par The Community Cloth sont fabriqués par des artisans réfugiés. La magnifique collection d’écharpes, riche en couleurs, est tissée par des femmes birmanes en tencel – une fibre eco-friendly fabriquée à partir d’eucalyptus. The Community Cloth, 6440 Hillcroft Ave. Site

Les sacs et accessoires en cuir Elphile

elphileLes sacs de Gwen Lecoz sont devenus des incontournables au Texas! La Française installée à Houston a créé sa marque d’accessoires mode pour femme, Elphile, en 2013, et vient de lancer son site de vente en ligne. Des pochettes, des sacs, des bracelets fabriqués dans les meilleurs cuirs en séries limitées. Sur rendez-vous au studio ou sur le site

Les stylos en bois de Nick Tuba

nicktubaNick Gonzalez alias “Nick Tuba”, musicien et menuisier, et sa femme Katy créent d’élégants stylos en bois dans leur atelier de Houston. Chêne, cèdre rouge, pécan : ils utilisent majoritairement des essences texanes pour réaliser ces magnifiques pièces uniques. Vous les trouverez chez Anvil Cards, 2356 Bissonnet St. Site

Les T-Shirts “My Houston” de Anvil Cards

tshirt houston relief fundPour clamer votre amour de Houston au monde entier et faire une bonne action : tous les profits des ventes sont redistribués au fonds de solidarité au profit des sinistrés de l’ouragan Harvey, créé par le maire de Houston. Anvil Cards, 2356 Bissonnet St Houston ou sur le site

Les boucles d’oreilles Texas Strong de Brenda Grands

Texas-EarringsCes boucles d’oreilles plaqué or ont la forme de l’Etat du Texas et ont été imaginées par la créatrice de bijoux Brenda Grands, Colombienne installée à Houston. Chez Baanou, River Oaks District, 4444 Westheimer Rd d135 ou sur le site

Le “Wine Wrap” en cuir 100% Texas

leather-wine-wrapPour donner un look texan à vos bouteilles, voici un habillage en cuir fait à la main à Houston. Chez Launch 701 Avenida De Las Americas ou en ligne

Le hochet Three Hearts

hochetIl n’y a pas d’âge pour afficher son amour du Texas ! La designer Linda Trieu, installée dans les Heights, propose deux versions du hochet “I love Texas”, l’une en bois, l’autre en silicone, déclinée en cinq coloris acidulés. Sur le site

L'Alliance française de Dallas tient son marché de Noël

Ce n’est pas encore le moment de paniquer si vous n’avez pas encore de cadeaux. Pour vous éviter le “rush” de dernière minute, rendez-vous au marché de Noël de l’Alliance française de Dallas, quatrième du nom, le dimanche 3 décembre de 10am à 4pm à la Dallas International School. 
Ce marché en plein air réunit plusieurs commerçants et artisans français et américains vendant des produits alimentaires, de la joaillerie, de l’art, de la porterie, des accessoires et des vêtements notamment. Des activités pour enfants sont également au programme, dont une photo avec le Père Noël (le vrai), des tours en poney et des performances de cirque.
 

Pourquoi les sapins de Noël à New York sont-ils vendus par des Québécois ?

Si vous achetez votre sapin de Noël à New York, il y a de fortes chances pour que vous ayez affaire à un vendeur québécois. Pourquoi ?
Une loi de 1938 permet à ces vendeurs d’investir une partie du trottoir, sans permis, à condition d’avoir la permission du propriétaire du bâtiment riverain. Ils passent toute la journée dans la rue – à New York, les sapins posent un risque d’incendies et ne peuvent donc pas être vendus à l’intérieur -, ou dans leurs cabanes, et beaucoup dorment dans leurs camionnettes et se douchent chez l’habitant.
La présence à New York de nombreux vendeurs venus du nord ne date pas d’hier. En 1995, le New York Times parlait déjà “d’invasion des Canadiens à Manhattan”, expliquant que les vendeurs venaient à New York avec leurs sapins en provenance du New Brunswick et de la Nouvelle-Écosse. L’an dernier, ils étaient “des centaines”, selon le journal canadien Globe and Mail.
Raphaël, qui, à l’instar des autres vendeurs souhaite rester anonyme, occupe un stand à proximité du Flatiron Building. Emmitouflé dans une grosse parka noire, ce Québécois explique “charger” 70 dollars pour un petit sapin, 200 pour un grand. Les sapins ne viennent plus du Québec. Aujourd’hui, ils poussent en Caroline du Nord mais la tradition du vendeur québécois perdure”. Il y a plusieurs années, les sapins de cet Etat sont devenus moins chers que les canadiens. La Caroline du Nord est le second fournisseur de sapins aux Etats-Unis derrière l’Oregon et se targue de produire “plus de 20% des vrais sapins de Noël aux Etats-Unis“.
Deux conifères dans les mains, Alexis, vendeur dans le quartier de Chelsea, ajoute que “les Québécois sont des durs à cuire“. Selon lui, “les New-Yorkais ne veulent pas faire ce genre de job. Nous, on est habitué au froid“. Des Québécois plus résistants que les New-Yorkais et surtout meilleurs vendeurs? C’est du moins ce que pense François, vendeur sur 102nd Street et Broadway, interrogé par French Morning en 2014.  “Les New-Yorkais sont ennuyeux. Il n’y a pas de surprise… Pour vendre un arbre, il faut vendre une histoire. Je viens du Grand Nord. Je suis un peu le Père Noël pour eux”.
Pour un vendeur américain indépendant, la raison de l’emploi de la main d’oeuvre québécoise ne tient pas du folklore, mais du droit du travail. Il accuse l’homme d’affaires derrière le commerce de sapins Kevin Hammer, surnommé “le mythe” ou encore “le Bernie Madoff du sapin” de profiter de ce marché très peu régulé, à la différence d’autres activités de rue comme les “food stands”. “Kevin Hammer fait appel à des Québécois car il peut les sous-payer et les renouveler presque chaque année. Comme ça, personne ne met le nez dans son business“, raconte l’homme, qui souhaite garder l’anonymat. En 2007, deux vendeurs ont accusé Kevin Hammer de ne pas les avoir payés, comme l’a rapporté le Gothamist.J’ai été l’un de ses partenaires. Je supervisais une trentaine de stand et lui ai rapporté deux millions de dollars”, poursuit le vendeur new yorkais indépendant
Viré du jour au lendemain, il parle d’un business “sans règle écrite” ou le “cash est le seul maître“. “Il paye les commerçants au black pour avoir tous les emplacements et virer les nouveaux. Je n’ai plus qu’un seul stand cette année”. 
Aucun “sapineux” rencontré ne connaît Kevin Hammer. Son entreprise livre les sapins dont elle fixe les prix, et les vendeurs viennent les collecter dans des dépôts. La vente de sapin à New York est un business juteux qui attire des profils jeunes, autour de 30 ans, prêt à sacrifier leur confort pour se faire de l’argent. Alexis vend entre 500 et 1.000 unités sur la période de Noël. A un prix moyen de 50$, il peut engranger jusqu’à 50.000 dollars dont la moitié finira dans sa poche. De quoi passer un bon Noël quand même.

L'Alliance française de San Francisco célèbre Camus

Pour célébrer les 60 ans de la remise du prix Nobel de littérature à Albert Camus, l’Alliance française de San Francisco organise une grande rétrospective la première semaine de décembre.
Albert Camus reste l’auteur français le plus lu à l’étranger, avec notamment L’Etranger ou La Peste. Premier temps fort de cette manifestation: le mardi 5 décembre, le biopic “Camus” de Laurent Jaoui sera projeté à 7pm. Le film commence une veille de Noël en 1959 quand Camus demande à sa mère de quitter l’Algérie, et se termine à la mort du philosophe et écrivain dans un accident de voiture quatre jours plus tard.
Le jeudi 7 décembre, Jean-Paul Schintu présentera à 7 pm la pièce The First Man (Le Premier Homme), roman inachevé d’Albert Camus. Le manuscrit a été retrouvé dans sa serviette sur le lieu de l’accident de voiture. A l’époque, sa femme et ses amis avaient choisi de ne pas publier le roman. Mais le livre sortira finalement en 1994. Ecrit à la troisième personne, il est autobiographique et parle de l’absence du père. Camus y rend également un hommage poignant à l’Algérie de son enfance.

Pourquoi ne peut-on pas être enterré à San Francisco?

On ne trouve que deux cimetières à San Francisco: l’un est adjacent à la mission Dolores, et fut rendu célèbre par Alfred Hitchcock dans “Sueurs froides”, l’autre est un cimetière militaire situé dans le parc du Presidio. Les défunts san franciscains doivent faire plusieurs kilomètres, au sud ou à l’est de San Francisco pour reposer en paix. Pourquoi ? C’est la question bête de la semaine.

Dans les années 1850, la ruée vers l’or voit la population de la ville exploser; construire de nouveaux cimetières devient une nécessité, et on choisit les zones inhabitées situées dans la partie ouest de la ville. Laurel Hill, Calvary, the Independent Order of Odd Fellows et le Masonic Cemetery, surnommés “The Big Four”, sont érigés à l’emplacement de l’actuelle University of San Francisco dans le quartier du Richmond, et s’étendent sur 60-70 blocks. Le Golden Gate Cemetery, situé près de Lands End, occupe la même surface.

Les 4 principaux cimetières de San Francisco en 1876 (David Rumsey Map Collection)
Les 4 principaux cimetières de San Francisco en 1876 (David Rumsey Map Collection)

La population de San Francisco continue de croître, et dès les années 1880, des voix s’élèvent contre ces cimetières qui occupent des terres constructibles. La pression populaire, renforcée par la crainte d’être exposé à des maladies contagieuses, pousse la ville à bannir les enterrements dans son périmètre par un décret pris en 1900. Les cimetières ne sont plus entretenus, les pierres tombales se détériorent, les portes en bronze des mausolées sont volées, et la légende veut que des squelettes soient subtilisés pour servir de décorations d’Halloween…

A partir de 1914, on exhume les corps pour les transférer autour de Colma, une petite ville au sud de San Francisco, officiellement fondée en 1924 pour servir de nécropole. Colma a d’ailleurs la particularité de compter plus de morts (plus d’un million et demi) que de vivants (environ 1.500) parmi ses habitants; la ville s’enorgueillit d’avoir maintenant 17 cimetières.

Deux cimetières juifs ont opéré cette migration vers Colma dès les années 1880; la ville de San Francisco a racheté les terres pour en faire Dolores Park.

Plus de 130.000 corps sont exhumés des “Big Four” et transportés à Colma: la plupart sont placés dans une fosse commune. Les pierres tombales, laissées à l’abandon, servent de matériaux de construction. Dans Buena Vista Park, dans le quartier de Haight Ashbury, les caniveaux révèlent les noms de défunts.

Dans Buena Vista Park, les restes de pierres tombales ont servi à construire les canivaux
Dans Buena Vista Park, les restes de pierres tombales ont servi à construire les caniveaux

D’autres ont servi pour construire des brise-lames dans la baie de San Francisco, ou la digue qui longe Ocean Beach.
De nombreux corps n’ont pas fait leur ultime voyage vers Colma, et des tombes continuent d’être mises à jour lors de travaux. Ce fut le cas en 1993 lors de travaux antisismiques au musée de la Legion of Honor: 750 corps furent découverts sous la cour extérieure. Plus récemment, en 2016, un cercueil contenant la dépouille d’une petite fille de 2 ans fut découvert par des particuliers qui rénovaient leur maison. Un travail de fourmi a permis d’identifier un an plus tard la défunte comme étant Edith Howard Cook, fille d’une famille aisée de San Francisco. Son cercueil a sans doute été oublié lors du transfert de 26.000 corps du cimetière des Old Fellows vers Colma aux alentours de 1920.

La pianiste Vanessa Wagner fait ses débuts américains au Lycée français de NY

L’un figure parmi les violonistes les plus doués de sa génération. L’autre est une pianiste incontournable en France qui fait ses premiers pas aux Etats-Unis. Virgil Boutellis-Taft et Vanessa Wagner seront au Lycée français de New York pour un soirée musicale placée sous le signe de compositeurs européens.
Le Lycée offre des tickets à prix réduits aux lecteurs de French Morning pour ce spectacle intitulé “Il était une fois en Europe” et qui se tiendra le jeudi 14 décembre. Si l’on en croit le CV des deux musiciens, les amateurs de musique classique en auront pour leur argent. Alors que Vanessa Wagner a été nommée « révélation soliste instrumental de l’année » aux Victoires de la musique classique en 1999, Virgil Boutellis-Taft enchaine les collaborations prestigieuses (avec le compositeur de la BO du “Scaphandre et le Papillon” Paul Cantelone) et les salles reconnues des deux côtés de l’Atlantique. Tous deux ont obtenu le premier Prix du Conservatoire de Paris.
Ensemble, ils joueront du Schumann, Brahms, Debussy, Janácek et Bartok lors de ce voyage en musique dans les grandes sonates de la fin du XIXème-début XXème. Et vous aviez prévu d’être ailleurs ce soir-là ?

À Tacombi, le Mexique est dans son assiette

@Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent chaque semaine leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning

Repéré par @heydavina du collectif @pathport . L’histoire commence en 2005 à Mexico. Les fondateurs de Tacombi achètent alors un vieux combi Volkswagen de 1963 et le conduisent à travers le Yucatan jusqu'à Playa del Carmen. Ils en retirent le moteur, revendent la transmission et le transforment en une machine à faire des tacos. Ils ouvriront deux adresses à Playa del Carmen entre 2006 et 2007, avant de réaliser leur rêve américain en s’installant à Manhattan, sur Elizabeth Street. 255 Bleecker Street est la 4eme adresse new yorkaise de la petite chaîne de restaurants mexicains Tacombi (après Nolita, Flatiron et Montauk). Ici, le menu est inspiré du Yucatan, mais chaque lieu a sa propre carte reflétant les spécialités d’une région du Mexique. A l'intérieur: des murs en briques blanches et beaucoup de couleurs, des petites tables carrées et des tabourets, des corbeilles de fruits sur le bar – on se croirait presque à Playa del Carmen. Les grandes fenêtres donnent beaucoup de luminosité à la pièce et font de cette adresse un endroit très agréable de jour comme de nuit. Le must-have de Davina: les “corn esquites”, le “crispy fish taco”, horchata et “michelada classica” L’adresse: 255 Bleecker St, NY 10014 #pathport . . . . . . . . . #what_i_saw_in_nyc #igersnyc #newyork_instagram #travelerinnewyork #theprettycities #theweekoninstagram #inspiremyinstagram #gglocalgems #seemycity #livelittlethings #allwhatsbeautiful #thesincerestoryteller #iamatraveler #découvrirensemble #dametraveler #searchwandercollect #thatsdarling #slowliving #abmtravelbug #chasinglight #exploretocreate #thelifestylecollective #allshots_ #cafevibes #coffeeshopvibes #coffeeshopcorners #seekinspirecreate

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Lonely Planet sort son "New York à petits prix"

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On est doublement heureux de vous annoncer la sortie du New York à petits prix de Lonely Planet: d’abord, à French Morning, on aime les bons plans, puis le guide a été co-écrit par Maxime Aubin, journaliste chez nous, ce qui est gage de qualité.
Ce guide en format poche, qui s’adresse à un lectorat jeune, avide de découvertes sans se ruiner, contient plus de 200 pages d’adresses détaillées et testées par quartiers pour manger, boire un verre, danser et faire du shopping. Il fait la part belle à Manhattan, mais Brooklyn, Queens et le Bronx n’ont pas été oubliés. Au fil des pages, les lecteurs trouveront les grands classiques de New York, mais aussi des recommandations de lieux moins connus, comme le somptueux National Arts Club (club exclusif de Gramercy) ou Temple Em-anuel, plus grande synagogue au monde dans l’Upper East Side.
Si Lonely Planet ne répertorie pas uniquement des adresses bon marché, les petits budgets trouveront leur compte dans la masse de lieux présentés (460) et les “astuces” données pour réduire la facture (aller dans des “outlets” pour trouver des vêtements et accessoires abordables, musées gratuits…). A lire attentivement: les pages “carnet pratique” en fin d’ouvrage qui résument tout ce qu’il faut savoir pour réussir son voyage à New York, des pass de réduction à l’explication du subway. Un plan détachable de Manhattan et du subway est inclus.

French Friday: une soirée de tubes français à Brooklyn

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Que fait-on quand on vient vivre à New York ? On danse sur des chansons françaises… Avis aux nostalgiques: Sacha Naigard et Romann Warren Sebag, deux Français de New York, organisent une soirée de tubes français à Heavy Woods (Bushwick) le vendredi 1er décembre.
Pendant “French Friday”, vous pourrez briller sur la piste de danse sur fond de France Gall, Booba, Céline Dion et les Rita Mitsouko (bien entendu). Les organisateurs préviennent sur la page facebook: “la sélection musicale sera exclusivement française et le slow tristement disparu depuis les années 90 fera son grand retour…
L’entrée est gratuite. Quand vous ne danserez pas, vous pourrez apprécier des spécialités de la Nouvelle-Orléans sur place.

Prix Albertine: c'est reparti !

Ils sont cinq. Cinq romans en course pour le Prix Albertine 2018. On ne les connait pas encore. Ils seront révélés lors d’une grande soirée de lecture le 6 décembre aux Services culturels de l’Ambassade de France.
Pendant la soirée, cinq acteurs répartis sur trois étages liront des extraits de ces mystérieux ouvrages, tous des fictions françaises traduites en anglais. Lancé l’an dernier, le Prix Albertine, nommé pour la librairie des Services culturels, récompense l’auteur d’un roman français et son traducteur d’un prix de 10.000 dollars attribué par les lecteurs. L’an dernier, il a été remis à Antoine Volodine pour Bardo or not Bardo.

A Paris pour Noël ? Passez par la case Galeries Lafayette, on a un cadeau pour vous.

(Article Partenaire) Ah, les joies du retour en France pour Noël! Le tour de l’hexagone pour voir tout le monde, les courses des cadeaux de dernière minute… Respirez! Les Galeries Lafayette vous ont préparé un traitement de luxe, rien que pour vous, avec économies substantielles et un vrai cadeau à la clef.
Galeries Lafayette Christmas Offer e-voucher format 2 screenshotEn tant que résident aux Etats-Unis, vous bénéficiez de la conciergerie des Galeries, au deuxième étage de Lafayette Coupole, avec services personnalisés, et surtout la détaxe de 12% en priorité, sans avoir à faire la queue à l’aéroport sur le chemin du retour*. C’est aussi là que vous viendrez chercher votre cadeau: un coffret Comtesse du Barry, offert pour tout achat de 50 euros ou plus. Il vous suffit de présenter le coupon reproduit ci-contre.
Mais il y a bien d’autres raisons d’aller aux Galeries Lafayette à Noël: la célèbre coupole est plus en fête que jamais et vous invite à retrouver votre âme d’enfant. Dans le décor spectaculaire et joyeux inspiré d’une fête foraine grandeur nature aux accents surréalistes,
suivez l’aventure amoureuse d’un pigeon, Pierre, et de sa colombe, Coco.
Nos deux héros se retrouvent dans ce théâtre forain, fil rouge au gré des vitrines
et à l’intérieur du grand magasin jusqu’au sapin géant et surréaliste sous la Coupole, distillant cet incontournable et réjouissant esprit de Noël.
Pour la première fois en France, vous pourrez aussi profiter d’une animation en réalité virtuelle. Vous prendrez place sur un simulateur pour une voyage en roller coaster plus vrai que nature (interdit au moins de 10 ans).
(suite de l’article sous la vidéo)

Et puisque vous serez là, vous pourrez aussi faire vos courses de Noël… Les Galeries Lafayette se sont associées aux plus belles marques, qui ont imaginé des pièces en exclusivité ou en avant-première. Vous retrouverez une sélection de créations mises à l’honneur au sein des différents univers du grand magasin : mode, maroquinerie, accessoires, gourmet, maison…

Pour célébrer cet esprit de fête foraine, les Galeries Lafayette Gourmet ont par exemple proposé à des grands artisans pâtissiers d’imaginer une farandole de créations sucrées exclusives. Jean-Paul Hévin, Pierre Hermé Paris, Benoît Castel, Yann Couvreur, L’Éclair de Génie, Dalloyau, réinterprètent, avec leur savoir faire singulier et un soupçon d’enchantement, la traditionnelle bûche de Noël. Pierre Hermé Paris nous fait même l’honneur d’un macaron « Spectacular » inédit et exclusif ! Voyage gustatif garanti.

Les collaborations mode

Macon & Lesquoy X Galeries Lafayette: Injecter un peu d’humour et de poésie dans une étiquette, c’est le pari que décident de relever la griffe de patches brodés Macon & Lesquoy et les Galeries Lafayette. Leur solution pour un monde plus joyeux ? Commencer par ajouter une touche de fun, discrète et subtile, grâce aux broderies exclusives, vendues dans l’idée de customiser joliment les pièces de la collection des Galeries Lafayette. Un clin d’oeil fun en forme d’écusson brodé, à thermocoller au gré de ses envies et de ses achats.

Exclusivité Europe. GUCCI Petit sac brodé en cuir verni. 2190 euros. Disponible en 25 exemplaires.
Exclusivité Europe. GUCCI
Petit sac brodé en cuir verni. 2190 euros. Disponible en 25 exemplaires.

Folie des sacs à main: A Noël, les sacs se consomment comme des bonbons. Une soixantaine de créateurs ont imaginé des éditions spéciales ou des avant-premières sur les collections de l’été 2018. Les exclusivités se mélangent à la multiplicité des styles : De Moynat à Céline, en passant par Maje, Céline Lefébure ou Maison Baluchon, il y en a pour toutes les envies. Un sac pour une vie ou une minute.
Imprimez ou faites une capture d’écran du coupon reproduit plus haut et présentez-le à la conciergerie des Galeries Lafayette pour un Noël encore plus beau.
*service offert à partir de 175 euros d’achat.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Portrait de Jean Rouch sur TV5 Monde USA

Il aurait eu 100 ans en 2017. Pour rendre hommage au réalisateur et anthropologue Jean Rouch, TV5 Monde diffusera le documentaire d’Idriss Diabaté “Jean Rouch en Afrique: l’homme à la caméra de contact” qui revient sur les films du Français et sa carrière, à travers les témoignages de personnes qui ont travaillé avec lui en Afrique notamment. Diffusion: le lundi 4 décembre à 3pm EDT (midi PDT).
Jean Rouch est considéré comme le père du “cinéma-vérité”. Il est particulièrement réputé pour son travail cinématographique et ethnographique au sein de plusieurs peuples africains. Sur plusieurs années, il a ainsi documenté les rituels des Dogons au Mali dont il a tiré plusieurs courts-métrages. Au total, il a signé des centaines de longs et courts-métrages au quatre coins du continent noir.