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Marché Maman: shopping et volupté à SoHo

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@Pathport est un collectif d’instagrammeurs proposant des carnets de voyage dans le monde entier. Dans “Instagramme-moi New York”, ils partagent chaque semaine leurs bons plans sur notre compte instagram @french.morning

Spotté par Andrea Nuñez @andreannu du collectif @pathport. @_mamannyc_ , c’est un concept de café/ boulangerie imaginé et co-fondé par le couple d’entrepreneurs Elisa Marshall et Benjamin Sormonte avec Armand Arnal, chef étoilé du sud de la France. Inauguré le 13 juillet au 237 Centre Street, le Marché Maman est la toute dernière adresse de l’enseigne qui comprend déjà 3 autres lieux à New York (Soho, Tribeca, Greenpoint) et un à Toronto. On y retrouve toutes les composantes qui font de Maman un endroit chaleureux et hautement “instagrammable”: un beau mobilier en bois, des fleurs, une jolie vaisselle vintage dans les tons bleu et blanc et, cerise sur le gâteau, un superbe patio en plein coeur du quartier branché de Soho. Le truc en plus de cette adresse: on peut y faire son shopping et découvrir de chouettes marques françaises grâce à un espace dédié pour quelques pop-up stores. On aime tout particulièrement @mercibisous , une boutique qui propose une belle sélection de marques françaises pour bébés et enfants, et les produits pour la maison et le corps made in Aix-en-Provence de la marque @bastideofficial . Le must-have d’Andrea: les (fameux) cookies et la découverte de nouvelles marques françaises. L’adresse: 237 Centre St, NY, NY 10013 #pathport . . . . . . . . #what_i_saw_in_nyc #igersnyc #newyork_instagram #travelerinnewyork #theprettycities #theweekoninstagram #inspiremyinstagram #slowliving #seemycity #livelittlethings #allwhatsbeautiful #seekinspirecreate #thesincerestoryteller #abmlifeisbeautiful #découvrirensemble #dametraveler #searchwandercollect #thatsdarling #tellon #abmtravelbug #chasinglight #exploretocreate #thelifestylecollective #allshots_ #cafevibes #coffeeshopvibes #caffeinecouture #coffeefliicks

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Cette Française veut devenir Américaine sans dire "So help me God"

Devenir Américaine est une étape importante pour Olga Perrier-Bilbo. Cette Française, arrivée il y a 17 ans aux Etats-Unis et détentrice d’une carte verte depuis 2004, aime son pays d’adoption et souhaite obtenir la citoyenneté. “Pour pouvoir voter, pour pouvoir faire venir ma maman plus facilement mais aussi parce que je m’inquiète de l’avenir de la carte verte“.
Devenir Américaine: oui. Faire allégeance devant Dieu: impossible pour cette athée convaincue. Or, le serment prononcé par tout nouveau citoyen américain se termine par la formule : “So help me God“. Une phrase de trop pour la Française de 48 ans.
Avec l’aide de son avocat, Olga Perrier-Bilbo a donc intenté une action en justice contre l’Etat fédéral, affirmant que cette phrase viole la constitution américaine. Elle a récemment entamé une procédure devant un tribunal du Massachusetts, où elle réside.
Le premier amendement de la Constitution pose le principe de séparation de l’Eglise et de l’Etat, en stipulant que “le Congrès n’adoptera aucune loi relative à l’établissement d’une religion, ou à l’interdiction de son libre exercice”. La Française dit que “So Help me God” est une entorse à sa liberté.
En 2009, j’ai fait une première demande de citoyenneté, explique Olga Perrier-Bilbo. On m’a proposé une cérémonie privée au cours de laquelle je n’aurais pas à prononcer cette phrase. Mais j’ai refusé car ça voulait dire qu’on me mettait à part, que je n’avais pas droit à la même cérémonie que les autres. C’est comme si j’étais une sous-citoyenne“.
Le serment actuel viole les 10 premiers mots du premier amendement de la constitution américaine“, mentionne la plainte déposée par Olga Perrier-Bilbo et son avocat, Michael Newdow. Ce dernier est membre de la Secular Coalition for America, un groupe de défense des athées. Lui-même a déjà porté plainte en 2000 contre l’école publique de sa fille pour faire supprimer “under God” du serment d’allégeance au drapeau. Procédure qui a échoué.
Mon but, c’est de défendre la constitution. Si elle disait: il y a un Dieu et il faut le défendre et le respecter, je n’aurais rien à dire. Mais ce n’est pas le cas“, explique Olga Perrier-Bilbo. La Française affirme avoir reçu le soutien de voisins et d’amis dans sa commune de Scituate (Massachusetts). Mais sur les réseaux sociaux, les propos sont violents, les internautes les plus polis l’invitant à rentrer en France par le premier avion.
Ce n’est pas la première fois qu’une plainte au nom du principe de séparation de l’Eglise et de l’Etat est déposée devant un tribunal fédéral. “Je ne sais pas si ça va aboutir. Je pense que les chances sont minimes surtout dans l’Amérique de Trump, mais je me battrai jusqu’au bout. J’espère que ça va encourager d’autres athées parce que c’est tout simplement une violation du premier amendement de la constitution américaine“.
 

Bohemian, un restaurant secret plus si secret à New York

Allez sur le site de Bohemian, et vous ne trouverez pas de numéro ou de page de réservation. Inutile de vous présenter à la porte: les “walk ins” ne sont pas acceptés. Pour décrocher une table dans ce restaurant bien discret, une seule solution: connaître un client passé (ou le patron).
À New York, on trouve des restaurants cachés un peu partout (dans les étages, au fond de couloirs, dans les caves et mêmes les appartements), mais Bohemian pousse le concept encore plus loin. Ici, contrairement aux faux speakeasies qui peuplent la ville, le bouche-à-oreille est la règle pour entrer. D’ailleurs, au moment de la réservation, on vous demandera qui vous a recommandé. Il est possible d’envoyer directement un e-mail à Bohemian sans bénéficier de la recommandation d’un proche, mais on vous recontactera que “si les étoiles s’alignent“.
Possédé par une société japonaise appelée Play Earth, qui gère plusieurs restaurants dans le monde, Bohemian a ouvert ses portes en 2011 à l’arrière d’une boucherie japonaise haut-de-gamme sur Great Jones Street à NoHo.
Le restaurant se situe au bout d’un couloir. Il faut appuyer sur un “buzzer” pour entrer. Derrière la porte, l’attention se porte immédiatement vers un bar avec six places, orienté vers un espace relativement petit avec une dizaine de tables basses entourées de fauteuils et de sofas où des couples et des groupes bavardent dans une ambiance tamisée. Ici, on se croirait plus dans un appartement avec plein de “beautiful people” qu’au restaurant. Selon le site d’Earth Play, Jean-Michel Basquiat avait un studio dans le bâtiment et Andy Warhol y a habité.
On vous voit venir avec votre esprit suspicieux de Français: Bohemian est bon en marketing, mais savent-ils cuisiner ? La réponse est “oui”. Le soir de notre visite, la carte (japonaise avec une touche occidentale) comprenait un risotto japonais, un mac and cheese avec toast au beurre de tomate et une salade poké. Les prix s’échelonnent de 13 à 53 dollars, avec un menu degustation à 68 dollars par personne. Les plats les plus chers sont en général à partager. On y trouve notamment un succulent poulet grillé, des côtelettes d’agneau néo-zélandais et un steak de boeuf wagyu. Les amoureux de cocktails seront servis aussi. Leur coût, 14 dollars, n’est pas excessif si l’on considère leur qualité et le reste des prix new-yorkais.
Pour profiter de tout cela, il faudra tout de même prendre votre mal en patience et attendre plusieurs semaines pour une table pour deux. C’est tout le paradoxe de Bohemian: il est tellement secret qu’il ne l’est plus.

Des Français créent une plateforme pour signaler le harcèlement sexuel au travail

« J’étais en négociation avec un cadre haut placé des GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon, Ndlr). Il semblait hyper intéressé par ma start-up. Il a voulu que l’on se voit dans le cadre privé, autour d’un verre. Quand j’ai refusé, il n’a plus jamais donné suite à nos échanges professionnels ». Elisabeth Mouchy, co-fondatrice de Daylighted, sait qu’elle n’est pas la seule à avoir vécu ce type de mésaventure.
Pour beaucoup d’autres, la situation va plus loin. Selon le Trades Union Congress, 52 % des femmes et 10 % des hommes ont subi du harcèlement sexuel au travail. « Il fallait faire quelque chose ! Nous avons décidé d’utiliser le pouvoir de la tech pour résoudre ce problème sociétal ». Derrière ce “nous”, se cachent trois autres Français installés à San Francisco : Sarah Burgaud, directrice des opérations d’INCO aux Etats-Unis, Baptiste Manson et Vincent Desmares, co-fondateurs respectifs de Matters et de Teamstarters. En unissant leurs compétences, ils ont mis sur pied nomoreinstances.org.
Baptisée Instances, la plateforme confidentielle permet de signaler et de recenser des cas de harcèlements sexuels au travail. Une fois sur le site, la victime ou une tierce personne renseigne le nom de l’agresseur, le nom de l’entreprise et raconte les faits en 60 caractères minimum. « Ces informations restent stockées anonymement et de façon sécurisée dans notre base de données, assure Elisabeth Mouchy. Notre équipe de développement a veillé à bien respecter la confidentialité. »
L’utilisateur a également la possibilité de donner un numéro de téléphone, ce qui permet à Instances de notifier la victime dès lors que l’agresseur est mentionné à plus de trois reprises. « Nous ne voulons pas tomber dans la diffamation », souligne l’entrepreneur. Car dans les cas où les faits ne sont pas avérés, « poster un nom publiquement peut avoir des conséquences catastrophiques pour la carrière de la personne incriminée. C’est en cela qu’Instance se distingue des initiatives contre le harcèlement sexuel telles que #MeToo et #BalanceTonPorc ».
À travers cette plateforme, l’objectif est de « dire aux victimes qu’elles ne sont pas toutes seules et de leur donner les ressources pour lancer une procédure légale », ajoute Elisabeth Mouchy, tout en précisant que dans les cas d’un harcèlement sexuel sur le lieu de travail, c’est l’employeur qui est responsable.
Dans un contexte pollué par de multiples scandales sexistes, Elisabeth Mouchy insiste sur le fait que cette initiative n’a pas vocation à alimenter une quelconque guerre des sexes. « Nous ne voulons pas que ce soit une plateforme réservée aux femmes. Des hommes sont aussi victimes, raconte-t-elle. Ce n’est pas la drague en entreprise qu’il faut interdire, ce sont les relations non-consenties. Même si la frontière est parfois mince… »

Julien Eelsen, un Français dans l'aventure du Legacy Food Hall à Dallas

La mode du “food hall” arrive à Dallas. Sorte de grande halle dédiée à la restauration, le très attendu Legacy Food Hall rassemble vingt-deux stands opérés par des restaurateurs locaux, sept bars, une brasserie et même une scène pour de la musique live.
Parmi les chefs qui participent à l’aventure, le Français Julien Eelsen. Le restaurateur y ouvrira le 15 novembre son Whisk & Eggs. On y retrouvera le mélange de saveurs France-US qui avait déjà prévalu dans son premier établissement, Whisk & Crepes, « un peu français mais pas trop français » comme il tient à le préciser. Il l’a ouvert en octobre 2015.
Car Julien Eelsen a une profonde aversion pour les clichés franchouillards. « Je veux que mon établissement représente ce que je suis, c’est-à-dire un Français au Texas. Avec une base française donc, mais pas seulement.» Il a surtout la volonté de s’inspirer et de respecter l’authenticité de l’endroit où il s’installe : « Je fais en sorte que les recettes puisent dans les traditions et incorporent des spécialités locales comme par exemple les briskets»
Au menu de Whisk & Eggs, des galettes de blé noir, des quiches et des sandwiches aux œufs. « Il y a des œufs dans tous les plats que nous servons d’où le choix du nom. La carte est inspirée du concept du breakfast all day.»
L’accueil de la population locale est l’une des principales raisons qui ont poussé ce Parisien d’origine à s’installer aux Etats-Unis. Julien Eelsen ne se destinait pas à faire carrière dans la restauration. Il vient à Dallas la première fois en 2008, muté par la société de logistique pour laquelle il travaille. Il y reste quatre ans. Après deux ans passés ensuite à Miami, il rentre en France et décide presque immédiatement de repartir pour le Texas.
Ce patron de 14 employés dit se sentir « très honoré d’avoir été choisi pour faire partie de ce projet de grande envergure qu’est Legacy Food Hall et qui bénéficie de beaucoup de moyens et d’une grosse couverture médiatique. Je suis à la fois excité, car c’est un concept ambitieux, mais aussi un peu nerveux à l’idée de gérer un deuxième établissement. C’est comme d’avoir une deuxième enfant. Tout devient plus compliqué. »

Paris-New York en business pour $1000

(Article Partenaire) Une semaine avant le Black Friday, La Compagnie invente “Blue Friday”, avec dès ce vendredi 17 novembre et pour 5 jours une promo très spéciale: $1000 pour un aller-retour New York Paris en business class.
Les billets doivent être achetés entre le 17 et le 21 novembre, pour un vol d’ici au 24 mars 2018. C’est la deuxième année que la petite compagnie française mène cette opération à prix sacrifiés, clin d’oeil à la grande braderie généralisée de Thanksgiving, et à la couleur bleue qui est celle de ses avions.
Lancée en 2014, La Compagnie assure des vols tout business à petit prix, exclusivement entre Paris et New York (aéroport de Newark), à raison de deux vols par jour, sur des avions de 74 sièges seulement.
Pour profiter de l’opération, visitez le site de La Compagnie dès ce vendredi 17 novembre.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

 

Le gala du FIAF en photos avec Sidney Toledano et Peter Marino

Patron de Dior depuis près de 20 ans, Sidney Toledano va bientôt passer la main pour devenir le PDG de LVMH Fashion Group (le groupe de Bernard Arnault, propriétaire de Christian Dior), mais pour ce gala du FIAF, lundi 13 novembre au Plaza Hotel, c’était bien l’homme qui a fait exploser le business de Dior qui était fêté.
En présence notamment de Maria Grazia Chiuri, la directrice artistique de Dior, Sidney Toledano a reçu le Pilier d’Or, récompense accordée par le FIAF à une personnalité du monde des affaires. “J’ai accepté ce prix qui célèbre la culture française aux Etats-Unis, expliqua-t-il, parce que je suis moi-même le fruit de l’importance de la culture et du langage”. Né à Casablanca, “c’est grâce aux centres culturels et lycées français que j’ai pu ensuite poursuivre mes études en France.
Le deuxième prix de la soirée, le Trophée des Arts, était remis à Peter Marino, l’architecte et collaborateur de Dior depuis des années, pour lequel il a conçu plusieurs magasins. Vêtu de la tenue de cuir qui est devenue sa signature, il a salué le travail du FIAF en faveur de l’éducation artistique des enfants, notamment dans les écoles publiques new-yorkaises.

2017 FIAF Gala The Plaza Hotel, NYC November 13th, 2017 Photo by Amber De Vos ©Amber De Vos
2017 FIAF Gala
The Plaza Hotel, NYC
November 13th, 2017
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Ibeyi à San Francisco le 18 novembre

Le duo, composé de jumelles franco-cubaines, débarque au Fillmore de San Francisco le samedi 18 novembre, pour présenter son deuxième opus.
Lisa-Kaindé et Naomi Diaz chantent en anglais, en français et en yoruba, une langue parlée par les esclaves africains débarqués à Cuba au XVIIe siècle. D’ailleurs, « Ibeyi » signifie « jumeaux » en yoruba.
Après avoir fait tourner les têtes avec leur premier album éponyme, vendu à 65 000 exemplaires en France et 150 000 à l’étranger, Ibeyi revient avec de nouveaux tubes dansants, comme “Away Away”. Leurs titres sont nourris de soul, d’électro, de jazz, de hip-hop, de sonorités captées sur tous les continents au gré des rencontres (avec la rappeuse Mala Rodrigue ou le pianiste Chilly Gonzales). Les deux sœurs ont conçu ce second opus pour faire “chanter, danser et suer”leur public. Et elles ont déjà des fans célèbres comme Iggy Pop ou encore Adele qui a qualifié leur album de «stupéfiant» sur Twitter.

Une conférence sur l'adaptation du conjoint expatrié à Houston

Accompagner son conjoint dans une expatriation n’est pas toujours une partie de plaisir. Pour ces épouses ou époux “accompagnateurs”, l’association Houston Expat Pro et Houston Accueil proposeront, le 28 novembre, une conférence sur l’adaptation des conjoints d’expatriés au Village Place Clubhouse.
Elle sera animée par Elodie Aquilanti, coach en transition et équilibre de vie, et Aurélie Tur Moreno, life coach et psychologue. Ensemble, elles aborderont les différentes étapes d’adaptation des conjoints suiveurs et les bouleversements émotionnels auxquels ils doivent faire face. Dès janvier 2018, elles animeront un nouvel atelier consacré aux conjoints expatriés.
Inscription obligatoire par e-mail auprès de Houston Accueil.

La Ville de White Plains approuve le projet de campus de la FASNY

C’est très probablement la fin d’un long calvaire pour la French American School of New York (FASNY). Lundi 6 novembre, la ville de White Plains a approuvé son projet de campus à cinq voix contre deux, point d’orgue d’un processus semé d’embûches qui aura duré près de sept ans.
Le projet approuvé porte sur un campus d’une capacité de 640 élèves, contre 950 pour le projet initial présenté en 2011. En plus d’un espace vert public et de différentes infrastructures, le nouveau site accueillera les élèves du 6th au 12th Grade. Les écoles maternelle et primaire ont dû être abandonnées.
Dans un communiqué, la FASNY s’est félicitée de ce vote qui “ouvre la voie à notre campus du collège-lycée à White Plains. Ce vote marque le point culminant d’un processus difficile de sept ans qui montre l’engagement de long terme de la FASNY à offrir à nos élèves les meilleurs expériences et infrastructures possibles, et à faire d’eux de fiers citoyens de White Plains“.
L’école avait dû revoir sa copie après des inquiétudes sur la sécurité et la circulation aux abords du site, qui devait regrouper les campus actuels de la FASNY dans le Westchester. En 2015, le conseil municipal de White Plains avait rejeté le dossier présenté par l’école, au plus grand plaisir des nombreux riverains opposés à la construction de ce campus sur les terres d’un ancien club de golf.
Après de nombreuses péripéties, les sept membres du conseil municipal ont décidé d’approuver en septembre 2016 un accord prévoyant l’abandon de poursuites judiciaires entamées par l’école en l’échange de l’approbation d’un projet réduit.
Nadine Hunt-Robinson, une conseillère municipale qui avait voté contre le projet en 2015, l’a finalement soutenu lors du vote de novembre, jugeant les concessions de la FASNY suffisantes. C’est elle qui a donné le vote gagnant au projet – au moins cinq votes étaient nécessaires pour que le feu vert soit donné.
Malgré cette décision, les opposants au projet, venus en masse assister au vote, n’en démordent pas. “Le conseil d’administration est en train d’envisager nos options“, a écrit John E. Sheehan, président de l’association de riverains Gedney Association, dans un e-mail. “Nous sommes très reconnaissants du soutien financier apporté pendant ce long processus, et surtout pendant ces derniers jours. Nos options légales dépendent du soutien continu du quartier et d’autres habitants de la ville qui ont contribué à cet effort“.

Kinder Surprise arrive aux Etats-Unis sous une autre forme

Kinder a enfin trouvé la parade pour faire venir ses oeufs chocolatés avec jouets aux Etats-Unis.
Interdits sur le sol américain en raison d’un règlement de la FDA (Food and Drug Administration), ces produits qui font le bonheur des gourmands en culotte courte arriveront progressivement dans les magasins américains à partir de “Black Friday”, ce vendredi 24 novembre. Ferrero International, propriétaire de Kinder, l’a annoncé lundi 13 novembre.
Disponible sur le marché noir, Kinder Surprise était interdite aux Etats-Unis à cause d’une réglementation de la FDA datant de 1938 qui prohibe la dissimulation d’un élément non comestible à l’intérieur d’un aliment.
La marque commercialisée aux Etats-Unis ne sera pas Kinder Surprise, mais Kinder Joy. Elle existe depuis 2001. À la différence de Kinder Surprise où l’oeuf enveloppe le jouet, les oeufs de Kinder Joy sont divisés en deux parties distinctes: l’une contenant le jouet et l’autre contenant de la crème et des morceaux de biscuits (qui, ironiquement, représentent aussi un danger d’étouffement pour les plus jeunes, comme indiqué sur l’emballage).
La commercialisation de Kinder Joy commencera dans les magasins Walmart. L’oeuf y sera disponible en exclusivité pendant trente jours, avant d’être mis en vente dans d’autres magasins dans tout le pays.

L'Appart, l'étoilé du District

(Article partenaire) “Ici, les clients se sentent comme à la Maison. Ils ne sont pas simplement des numéros de tables“. Quand le jeune chef Nicolas Abello parle d'”ici“, il évoque L’Appart, le restaurant qu’il dirige au sein du District.

Difficile, en effet, de ne pas se sentir chez soi. L’Appart, comme son nom le suggère, se veut intime. Il ne compte qu’une trentaine de places dans un décor de salon chaleureux. Les clients sont accueillis par un verre de champagne. Et le chef, en plus de s’affairer discrètement derrière la cuisine ouverte avec son équipe, vient aux tables avant le début du repas pour faire connaissance avec les clients et s’enquérir de leurs goûts. “Ils passent un moment relax ici. C’est ça qui fait notre force“.

Ça, et bien entendu la cuisine. Celle-ci a valu au restaurateur et à sa petite équipe de sept personnes de recevoir une étoile au guide Michelin l’an dernier. Tout ceux qui ont franchi la porte de L’Appart savent que c’est une consécration méritée pour ce disciple de Gérard Vié, qui a fait ses armes aux Trois Marches au Trianon.

L’Appart a conservé la distinction cette année. “Avant de pouvoir penser à la deuxième étoile, on doit être capable de consolider la première. L’an dernier, on ne s’attendait pas vraiment à décrocher une étoile. Une fois que c’est arrivé, on a plus envie de la perdre, sourit le chef. On est très content de l’avoir gardée. L’étoile ne récompense pas seulement le chef. C’est celle de toute l’équipe. Tout le monde est mobilisé pour faire en sorte que ça marche“.

À L’Appart, le menu change tous les mois. Ne demandez pas à “chef Nico” ce qu’il a de prévu pour décembre: il ne le sait pas encore. Pour Thanksgiving, L’Appart proposera un menu spécial.C’est du boulot. Le temps passe vite. À peine un menu mis en place qu’il faut penser au prochain. Chaque menu résulte d’un échange d’idées et de possibilités avec mon équipe de cuisine. Ils sont toujours encouragés à mettre le plat de leur souhait en avant pour l’inscrire au menu. C’est une collaboration où chacun est invité à donner son avis”.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.