L’un s’est fait un nom dans la coiffure masculine à New York avec son “Salon pour Hommes” près du MoMA, sur la 54ème rue. L’autre possédait trois salons de coiffure à Nice avant de venir tenter l’aventure à New York.
Ensemble, Martial Vivot et Jérôme Obry ont ouvert début octobre un deuxième “Martial Vivot, Salon pour hommes”, à Greenwich Village cette fois-ci. L’ouverture officielle aura lieu jeudi 9 novembre. “J’ai toujours tout fait de manière organique, souligne Martial Vivot. Je ne suis pas venu pour ouvrir des salons à New York. J’ai accompagné mon épouse ici, puis j’ai ouvert un salon, puis on a fait des produits, puis j’ai rencontré Jérôme et on a fait ce nouveau salon. Ça s’est fait tout seul et l’histoire est toujours comme ça”.
Le Français, qui a fait ses gammes à Besançon, est considéré comme le fer-de-lance du look metro-sexuel dans les années 90. Arrivé dans la Grosse Pomme en 1999, il a travaillé pour deux salons avant d’ouvrir le sien en 2008, spécialisé dans la coiffure masculine haut-de-gamme. “Je me suis fait virer et le lendemain j’ai visité le local de la 54ème rue avec un client qui était agent immobilier“.
Là, celui qui avait envisagé une carrière dans la musique séduit l’élite new-yorkaise qui défile sous ses ciseaux. Sa clientèle compte des stars de cinéma qui veulent rester discrètes, des personnalités de la musique et de la cuisine, ainsi que des hommes d’affaires pressés qui ne rechignent pas à débourser plusieurs centaines de dollars pour une coupe ou lui payer un billet d’avion. La presse américaine multiplie les portraits de lui – le NY Daily News l’appelle “la meilleure coiffure de New York” – et il fait le tour des émissions de télévision.
“C’est l’une des seules enseignes de coiffure masculine à la française qui a réussi ici“, résume Jérôme Obry, qui a commencé à travailler pour Martial Vivot il y a six ans.
Avec ce deuxième salon, le tandem ne change pas une formule qui gagne. Les prix sont les mêmes que dans l’autre salon: de 125 à 420 dollars pour une coupe et de 95 à 165 dollars le rasage. Les coiffeurs se partagent six stations séparées par des cloisons pour préserver le confort des clients. “L’idée est de dupliquer ce qu’on fait sur la 54ème rue, précise Jérôme Obry. Ca marche très bien là-haut et on veut conserver la même recette. Ce n’est pas évident car le quartier est nouveau pour nous”.
“Maintenant qu’on est deux, on peut imaginer de faire trois ou quatre salons maintenant, ajoute Martial Vivot, citant Dallas et Chicago. Les opportunités existent. C’est à nous de les prendre“.
Le coiffeur Martial Vivot ouvre un deuxième salon à New York
Aix-Marseille-Provence et Miami signent un accord de coopération
Opération séduction réussie pour les 120 membres de la délégation marseillaise, composée d’élus locaux et de chefs d’entreprises, en visite dans le Sud de la Floride pour la semaine. La métropole Aix-Marseille-Provence a signé lundi 6 novembre un accord de coopération avec le comté de Miami-Dade, une première avec un territoire américain.
« Miami avait fait le premier pas en choisissant de nous rendre visite à Marseille il y a deux ans, nous concrétisons ainsi aujourd’hui cette dynamique amorcée », se félicite Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille et président de la métropole Aix-Marseille-Provence. « C’est une formidable opportunité de conquête car nous avions l’habitude de traiter autour du bassin méditerranéen et là, pour la première fois, nous traversons l’Atlantique ».
Ainsi rapprochées malgré les 8.000 kilomètres qui les séparent, Marseille et Miami entendent créer des passerelles économiques et culturelles permettant de promouvoir les deux villes côtières qui présentent de multiples similitudes. « Aix-Marseille-Provence constitue un carrefour méditerranéen des échanges entre les marchés d’Europe et d’Afrique, au même titre que Miami est la place incontournable pour les entreprises américaines souhaitant s’ouvrir sur l’Amérique latine », indique Jean-Claude Gaudin qui espère par ailleurs développer le secteur du tourisme à Marseille en s’inspirant de Miami pour y arriver. « La ville américaine accueille chaque année 11 millions de croisiéristes alors que Marseille en a reçu 1,6 million cette année. Nous avons encore beaucoup à apprendre de Miami ».
Pour l’heure, aucun calendrier n’a été fixé. « Il s’agit de la première pierre à l’édifice », souligne Jean-Claude Gaudin. Les acteurs des deux territoires devront désormais échanger afin de donner une application concrète à cet accord de coopération.
En attendant, plusieurs entreprises floridiennes, oeuvrant dans les secteurs du nautisme et de l’aéronautique, auraient d’ores et déjà planifié un déplacement en France en vue d’une implantation marseillaise. Aix-Marseille-Provence espère également que d’autres collaborations voient le jour dans les domaines de la culture, de la santé et du numérique.
Les Caraïbes à l'honneur de la Miami Book Fair 2017
C’est le plus grand événement littéraire des Etats-Unis. Un rendez-vous incontournable pour les écrivains, bien au delà des frontières américaines. La Miami Book Fair aura lieu du 12 au 19 novembre.
Chaque année depuis sa création en 1984, la Foire internationale du livre de Miami voit passer des milliers de visiteurs.
Pour cette 34e édition, une section entière sera consacrée à la littérature caribéenne. En plus de la rencontre avec les auteurs (dont de nombreux francophones de Martinique, Guadeloupe ou encore Haïti), des animations ajouteront une note de bonne humeur. Comme c’est le cas depuis plusieurs années, la bande-dessinée sera également représentée à la Book Fair. A noter la présence de la Française Pénélope Bagieu. Des ateliers ludiques attendent les enfants.
Le programme très riche de la Foire internationale prévoit de très belles rencontres, parmi lesquelles le journaliste Dan Rather le 12 novembre, Patti Smith le 13 novembre, Isabel Allende le 15 novembre, ou encore Joe Biden, ancien vice-président de Barack Obama, qui viendra présenter son livre Promise Me, Dad: A Year of Hope, Hardship, and Purpose.
Suivez la tournée d'automne du XV de France sur TV5 Monde USA
Les fans de ballon oval seront servis en novembre sur TV5 Monde USA.
La tournée d’automne du XV de France commence le 11 novembre au Stade de France par un test match choc contre la Nouvelle-Zélande, double-champions du monde. Le match sera à suivre en intégralité sur la chaîne francophone internationale à partir de 2:38pm EDT. Les tricolores rencontreront le 18 novembre l’Afrique du Sud, toujours au Stade de France, avant d’affronter le Japon le 25.
Les Français doivent retrouver la Nouvelle-Zélande le 14 novembre à Lyon mais la rencontre ne sera pas retransmise sur TV5 Monde USA.
Ibeyi revient à Los Angeles pour notre plus grand bonheur
Le duo, composé des jumelles franco-cubaines, revient à Los Angeles le dimanche 19 novembre, pour présenter son deuxième opus au Theatre at Ace Hotel.
Lisa-Kaindé et Naomi Diaz chantent en anglais, en français et en yoruba, une langue parlée par les esclaves africains débarqués à Cuba au XVIIe siècle. D’ailleurs, « Ibeyi » signifie « jumeaux » en yoruba.
Après avoir fait tourner les têtes avec leur premier album éponyme, vendu à 65 000 exemplaires en France et 150 000 à l’étranger, Ibeyi revient avec de nouveaux tubes dansants, comme “Away Away”. Leurs titres sont nourris de soul, d’électro, de jazz, de hip-hop, de sonorités captées sur tous les continents au gré des rencontres (avec la rappeuse Mala Rodrigue ou le pianiste Chilly Gonzales). Les deux sœurs ont conçu ce second opus pour faire “chanter, danser et suer” leur public. Et elles ont déjà des fans célèbres comme Iggy Pop ou encore Adele qui a qualifié leur album de «stupéfiant» sur Twitter.
Où fêter le Beaujolais nouveau à Washington DC ?
Le quatrième jeudi du mois de novembre, Thanksgiving, est bien sûr le plus connu aux Etats-Unis. Le troisième, celui du beaujolais nouveau, est désormais lui aussi bien établi. À Washington, plusieurs événements fêteront l’arrivée du vin primeur.
Au Bistrot du coin le 15 novembre
Au Bistrot du coin, pas question d’attendre. Comme la commercialisation du Beaujolais nouveau commence jeudi, c’est mercredi qu’est organisée la soirée afin d’être prêt dès le douzième coup de minuit. Et on ne fait pas les choses à moitié: musique live, spectacle “léger” et surtout 200 bouteilles de rouge offertes. Seul hic, l’événement est très très couru, dépêchez-vous de réserver. Cet événement fait partie de l’opération Beaujolais menée par French Morning et Maison Trénel. Le prix : le beaujolais est gratuit, mais il faut manger sur place (plat principal entre 20 et 30 dollars). Réservez au (202) 294-6646 ou par e-mail ici.
Au restaurant Le DeSales le 16
Rendez-vous au restaurant Le Desales le 16 novembre de 6pm à 10pm. Le chef Raphaël François (20 ans d’expérience dans les cuisines d’étoilés Michelin en Europe) promet une soirée festive et arrosée. Le prix : deux verres de beaujolais pour le prix d’un. Réservez ici. Cet événement fait aussi partie de l’opération Beaujolais menée par French Morning et Maison Trénel dans tous les Etats-Unis.
À l’ambassade de France le 17
Comme chaque année, la Chambre de commerce franco-américaine s’installe à la Maison française (sur le site de l’ambassade) pour une soirée où le beaujolais – du George Dubœuf en open bar – va couler à flots. Heureusement, les buffets à volonté vous permettront de ne pas boire le ventre vide. Et pour ceux qui n’aiment pas le beaujolais, un cash-bar est prévu. Concernant la musique, vous pouvez compter sur du Claude François et du Stromae. Le prix : de 65 dollars l’entrée « Premier Cru », à 800 dollars le ticket « Grand Cru » (qui inclut une sélection d’autres vins que le beaujolais). Réservez ici
Au Bastille (Alexandria) le 16
En bonne brasserie française qui se respecte, le Bastille d’Alexandria ne pouvait pas manquer à l’appel. La maison propose toute la journée du beaujolais-village nouveau et, uniquement pour le diner, deux menus spéciaux comprenant foie gras, huitres, escargot et autres coqs au vin. Le prix : 9 dollars le verre (32 la bouteille), 39 et 49 dollars les menus spéciaux (trois et quatre plats). Réservez ici
Au supermarché à partir du 16
Pas envie de sortir le soir, même pour le beaujolais nouveau ? Rendez-vous au supermarché. De Trader Joe’s à Costco en passant par Whole Foods, Harris Teeter, Safeway et Giant, tous proposent généralement les mêmes bouteilles que les restaurants – souvent du Dubœuf. C’est un peu moins cher, mais pour l’ambiance des bouchons lyonnais, on repassera. Le prix : 10-12 dollars la bouteille le jeudi, rapidement en solde les jours suivants.
Tips Included, des conseils sur New York (avec un verre de vin)
Rendez-vous est donné dans un grand appartement de Midtown East. Dans le salon autour d’une table, Adrien Dufayard, Daphné Tsamis et Alex Weinberd prennent place autour de micros reliés à un ordinateur. Sans oublier de se verser un verre ou deux de blanc au passage.
Tout est fin prêt pour l’enregistrement du nouvel épisode de “Tips Included”, un podcast de conseils animé par cinq francophones de New York, d’horizons professionnels divers. En cumulé, la bande pratique New York depuis une quarantaine d’années. Thème du soir: les transports en commun. Chacun raconte avec légèreté ses (mes)aventures dans le métro, à vélo ou en taxi. “On s’est rendu compte qu’il y a des sujets récurrents dont on parle tout le temps entre Français ici. On s’est dit que ça pouvait être marrant d’en faire un podcast“, résume Adrien Dufayard, l’instigateur du podcast avec trois ans de New York au compteur. “On en parle avec dérision et auto-dérision, et parfois de la mauvaise foi“.
Ce Français qui travaille à Botify est un avide consommateur de podcasts français et américains, comme S-Town, This American Life, The Heart et Culture 2000 notamment. Sept épisodes de Tips Included ont été mis sur la plateforme soundcloud pour le moment. Les thèmes abordés par la fine équipe ? Le logement, les fêtes, la santé ou encore les sorties au restaurant.
Tips Included ne prétend pas à l’objectivité – “on ne fait pas du journalisme” – ni au sérieux, mais les futurs ou néo New-Yorkais peuvent y trouver quelques informations utiles pour faciliter leur intégration dans une ville où le quotidien n’est pas aussi rose que dans les films. “On veut désacraliser New York. Tout le monde a une image de cette ville dans la tête. Mais la réalité est différente. Le quotidien est moins pratique, plus galère, poursuit Adrien Dufayard. Faire sourire nos auditeurs dans le métro en allant au travail, c’est ça notre ambition“.
Wax Tailor arrive à Washington pour nous faire passer une bonne soirée
L’auteur-compositeur français Wax Tailor se produira au U Street Music Hall lors d’un set solo le 9 novembre. Les tickets sont en vente.
Jean-Christophe Le Saoût a sorti son premier album en 2005: “Tales of the Forgotten Melodies”. Ses principales influences sont la musique noire américaine et la pop des années 1960. Il a été nommé à plusieurs reprises aux Victoires de la musique. Habitué des grands festivals français, il vient régulièrement aux Etats-Unis, où sa musique reçoit de bonnes critiques et où il décroche un “Indie Music Award”.
Wax Tailor est souvent considéré comme le chef de file de la scène trip-hop et hip-hop cinématique. Il a réussi à s’imposer sur la scène musicale internationale avec quatre albums et quelque 600 concerts donnés dans près de 50 pays. Le musicien a également collaboré avec de nombreux artistes, comme Sharon Jones, Ursula Rucker ou encore Keziah Jones.
Le cinéma français à l'affiche de l'AFI Fest à Hollywood
Jacqueline Lyanga, la directrice du festival AFI Fest, aime Isabelle Huppert et le cinéma français. Cela se voit dans la programmation 2017.
Parmi les films sélectionnés figurent “Happy End” de Michael Haneke, un instantané d’une famille bourgeoise européenne; “Faces Places” d’Agnès Varda et JR (qui sera suivi d’une conversation avec la réalisatrice); et “A season in France” (“Une saison en France”) de Mahamat Saleh Haroun qui traite de la crise des réfugiés.
Jacqueline Lyanga recommande également “Milla” de Valérie Massadian, l’histoire d’un couple d’adolescents qui trouve refuge dans une petite ville au bord de la Manche. “De magnifiques images, une approche artistique forte et une palette de couleurs incroyable”, s’extasie Jacqueline Lyanga. “Les cinémas français et américain ont toujours eu de fortes relations, ils continuent de s’inspirer, de s’influencer.”
Organisé par l’American Film Institute qui fête son 50e anniversaire, l’AFI Fest “est un festival unique et essentiel car il est gratuit, explique Jacqueline Lyanga. Vous n’avez plus d’excuses (rires). Cela permet d’offrir un accès aux meilleurs films sortis cette année, et de mettre en contact un public de professionnels et d’amateurs”. L’accès aux projections (137 films de 53 pays seront présentés), gratuites (tickets disponibles depuis le 1er novembre), permet au public de voir des films diffusés dans les plus grands festivals comme la Mostra de Venise et la Berlinale.
Le festival débutera au TCL Chinese Theater, le jeudi 9 novembre, avec la projection de “Mudbound”, réalisé par Dee Rees. “C’est un choix réfléchi, car c’est un film de femmes, avec une réalisatrice, une directrice de la photographie, une compositrice”, commente Jacqueline Lyanga. L’AFI Fest se clôturera avec la projection en avant-première mondiale de “All the money in the world” de Ridley Scott, qui revient sur le kidnapping de l’héritier de John Paul Getty III survenu à Rome en 1973.
Louis Vuitton dépose ses valises de luxe à Wall Street
C’est en plein quartier financier que Louis Vuitton a choisi de déposer ses valises jusqu’au 7 janvier 2018. Dans l’ancien bâtiment du Stock Exchange, déserté depuis des années, Olivier Saillard, le commissaire de l’exposition “Volez, Voguez, Voyagez”, a pu aménager seize salles dédiées au bagagiste français. Le visiteur découvre un lieu unique, accueilli dès l’entrée par une reproduction de station de métro parisienne en faïence blanche.
“Volez, Voguez, Voyagez” commence par les débuts de Louis Vuitton, apprenti chez un emballeur parisien avant d’ouvrir sa propre affaire en 1854. “Une de ses premières créations c’est ce coffre en canevas qui date de 1860, explique Jihanne Guichard, maître de conférence pour Louis Vuitton. Contrairement à ce qui se faisait à l’époque, Louis Vuitton n’a pas utilisé du bois mais une toile de canevas imperméable et résistante, qui a permis de dessiner des malles à couvercle plat“.
Chaque pièce de l’exposition correspond à une époque ou à une tendance. Entourée d’une gigantesque voile de bateau, la section croisière et exploration est impressionnante. “Gaston-Louis Vuitton, le petit fils de Louis, était un grand voyageur et il a permis de développer de nouveaux produits“, rappelle Jihanne Guichard. Exemple: une malle transformable en lit de camp, utilisée pour les grandes explorations du début du XXe siècle.
A cette époque, chaque vêtement et chaque accessoire avait leur malle: chapeaux, robes, chaussures, costumes, affaires de toilette, outils, roue de rechange, machine à écrire… Les visiteurs peuvent d’ailleurs admirer des pièces issues du Musée de la Mode et de la Cinémathèque de Paris.
Cette collection Louis Vuitton a déjà été présentée à Paris, Tokyo et Séoul. Mais à New York, les pièces ne sont pas tout à fait les mêmes. En effet, les malles en lézard, crocodile et ivoire n’ont pas été acceptées aux Etats-Unis. Et si certains coffres en cuir d’animaux exotiques sont bien présents au New York Stock Exchange, il s’agit en fait de prêts de collectionneurs américains.
Premières voitures à moteur, train à vapeur, avions… Les bagages se sont adaptés aux modes de circulation et aux modes de vie: du voyage bourgeois au long court avec 12 malles par personne au voyage d’affaire efficace.
L’exposition sur deux étages témoigne de 150 ans de voyages et de coutumes. Elle se termine par la rencontre avec deux employées françaises d’une maroquinerie Louis Vuitton dans l’Ardèche. Les deux jeunes femmes découpent, teignent et assemblent des morceaux de cuir comme elle le font habituellement à l’atelier et expliquent la savoir-faire de la maison aux curieux.
Marc Levy à la foire aux livres de la FASNY
Pour sa foire aux livres 2017 les 11 et 12 novembre, la French American School of New York (FASNY) accueille trois célébrités à Larchmont.
L’auteur Marc Lévy, connu pour son best seller de 2000 Et si c’était vrai participera à l’événement le samedi 11 à 3pm. Son roman le plus récent, La Dernière des Stanfield, est sorti en avril. Le réalisateur Benoît Cohen, qui raconte dans Yellow Cab son expérience de chauffeur de taxi à New York, signera ses livres le dimanche 12 novembre à 2pm. Tout comme un autre auteur-réalisateur, François Roux, à qui l’on doit l’ouvrage de 2014 Le Bonheur national brut. Son roman, Tout ce dont on rêvait, porte sur l’impact du chômage sur un couple. Au total, 8.000 livres français et en anglais seront en vente pendant la foire.