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Credit Score, Credit History : comprendre le système américain

Si le mot « crédit » peut faire peur en France, il n’en est rien aux États-Unis.

Les Français en font généralement l’expérience une fois arrivés de l’autre côté de l’Atlantique, et ont souvent du mal à comprendre ce que représentent le credit score ou encore le credit history.

Pourtant, ces notions sont très importantes et les comprendre est indispensable pour vivre aux États-Unis.

Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous donnions rendez-vous jeudi 19 septembre 2024 pour une webconférence gratuite en compagnie d’Adrien Eyraud, Partner & Vice President of Business Development chez USAFrance Financials, cabinet de gestion privée qui assiste la communauté francophone aux États-Unis dans le cadre de leurs problématiques patrimoniales internationales.

Cette webconférence a eu lieu dans le cadre du salon en ligne “Bien Vivre aux États-Unis”, organisé par French Morning
Visionnez le replay sur le site de l’événement ou ci-dessous

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

La couverture santé pour les Français aux États-Unis

Pour un·e Français·e s’expatriant aux États-Unis, le système de santé américain peut être déboussolant. Quelle couverture santé choisir pour se protéger ? Comment optimiser les coûts de cette couverture ? Comment éviter les mauvaises surprises ?

Lors de notre salon en ligne “Bien Vivre aux États-Unis”, qui a eu lieu du 16 au 20 septembre 2024, nous vous avons proposé une webconférence gratuite dédiée à ce sujet.

Les experts chez AgoraExpat ont expliqué tout ce qu’il y a à savoir sur le système de santé américain.

[Visionnez le replay sur le site de l’événement ou ci-dessous]

Avec:

?️ Éric Thoby, Président et Fondateur d’Agora Expat. Éric est installé aux États-Unis depuis plus de 20 ans, il est spécialiste de l’assurance santé pour expatriés.
« Pour répondre aux problèmes liés à la mobilité internationale et à l’assurance santé, j’ai décidé de fonder AgoraExpat, où j’ai pu transposer la notion de conseil ayant moi-même fait l’expérience de l’expatriation et de la problématique de l’assurance santé aux États-Unis ».
? CONTACT : +1 (917) 684-3599 // [email protected]

?️ Clémence Joppin, Chargée de clientèle et relations assureurs chez Agora Expat. Clémence est en charge du développement commercial et suivi des clients expats. Elle assure la gestion des partenariats avec les assureurs, ainsi que le suivi des campagnes marketing.
? CONTACT : +1 (917) 664-9923 // [email protected]

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

Vie d’Expat : Je me suis trouvé en Louisiane

Les lecteurs de French Morning nous soumettent régulièrement leurs problèmes liés à l’expatriation. Deux fois par mois, Vie d’Expat essaie de les aider en ouvrant sa bibliothèque de livres sur l’épanouissement personnel.

Aujourd’hui, le témoignage de Karim qui a trouvé ce qu’il n’était pas venu chercher en Louisiane.

« Je crois avoir vraiment été accepté par la communauté des Louisanais après le passage de l’ouragan Ida, en août 2021. Nous avons vécu tous ensemble les mêmes difficultés, les mêmes peurs. J’étais enfin des leurs !

Mais tout cela ne s’est pas fait sans mal. 

Cinq années auparavant, je travaillais pour un label qui diffusait des musiciens issus de la communauté des Acadiens, cette culture héritée des premiers colons français d’Amérique du Nord mais aussi de la Louisiane. Je voulais quitter mon petit village du sud de la France, ma communauté Harki où je n’arrivais pas à m’épanouir vraiment ni à trouver l’amour. Et puis j’avais vraiment ce rêve de participer au Carnaval. Je pars donc en exploration à la Nouvelle-Orléans et là : le coup de foudre ! Je tombe amoureux. Ce n’est pas du tout ce que j’avais prévu mais on se marie très vite et je m’installe dans ma nouvelle vie. 

Je crois que je n’aurais pas pu vivre ailleurs que dans cette petite ville où tout se fait à pied, que vous pouvez traverser en 2h30. Mais à ce moment-là, j’ai l’impression de retomber en enfance, d’avoir à tout réapprendre. La langue, la nourriture, les codes, la vie avec les autres. Mais aussi, je m’émerveille de tout, comme un gamin ! La faune, la flore, la chaleur que les gens d’ici ne supportent pas toujours. 

Je suis très social, très “français” : j’adore les repas interminables, les débats, les échanges chargés d’émotions. Je me souviens d’une conversation à table où un invité a dit qu’il “en avait fini avec l’amour”. Et comme je le questionne pour en savoir plus, il s’est immédiatement fermé. Impossible d’en obtenir plus. Trop intime ! On reste dans le superficiel et moi sur ma faim. Par ailleurs, les Louisianais sont souvent déconnectés de la langue française qui a été interdite pendant un siècle. Et puis les gens ne me voient pas du tout comme Français, avec ma grande taille, ma peau mate et ma barbe très noire. « T’as pas du tout la tête d’un Frenchy ! » « C’est parce que toute ma famille vient d’Algérie. » « Algérie ? Connais pas ! » « Marrakech ? » « Non plus ! »

Ce qui a vraiment contribué à mon intégration, c’est le fait que je sois guide : j’organise des tours de la Nouvelle-Orléans pour les francophiles. La ville peut être très décevante sans médiation. Le quartier français, au petit matin, c’est sale, voire franchement glauque. Mais passé dix heures, la vie reprend, se colore. Il y plein d’enfants et de familles. Et la nuit… Quelle ambiance ! Les Louisanais ont tous des histoires à raconter sur leur quartier, leur maison, leur famille. Le nombre de fois où, sur le chemin de la salle de sport, je me fais arrêter par des gens qui ont envie de discuter, au point que j’en oublie mon objectif initial : perdre mes quelques kilos en trop. 

Après Ida, après tout ce que nous avons vécu, je comprends mieux les Louisanais, cette épée de Damoclès que nous avons tous au-dessus de la tête. J’assume mieux mes origines, ma passion pour l’art, l’histoire, la culture que je partage à travers mes activités – j’enseigne également. J’ai gardé mes copains français avec qui je refais le monde. Je suis loin de mes racines, de ma famille que j’aime et de mon petit village. Mais je suis devenu moi-même. »

Pour visiter la Nouvelle Orléans avec Karim.

La réponse de French Morning

Merci pour votre témoignage, Karim. Pour accompagner votre récit, nous vous proposons les réflexions du philosophe Fabrice Midal, auteur de nombreux livres dont le célèbre « Sauvez votre peau ! ».

Dans cet essai, l’auteur explique : « Nous sommes tous des vilains petits canards appelés à devenir cygne ». Et pour amorcer la métamorphose, il faut « cesser de se sentir coupable parce que nous ne sommes pas comme tout le monde, (…) accepter notre singularité. (…) Cela peut prendre plein de sens différents : dire non, savoir se respecter, ne plus accepter d’être maltraité… » Vous êtes loin de vos racines, Karim, mais comme le recommande Fabrice Midal, vous avez « sauvé votre peau », pour devenir vous-même.

? Retrouvons-nous dans 15 jours.

✉️ En attendant, envoyez-nous vos histoires et vos questions à l’adresse : [email protected].

Bourses scolaires 2024-2025: Dépôt des dossiers jusqu’au 16 septembre à San Francisco

Les familles nouvellement installées (depuis le printemps) dans la circonscription de San Francisco, et qui souhaiteraient obtenir une aide financière pour la rentrée, ont jusqu’au lundi 16 septembre inclus pour en faire la demande et déposer leur dossier :

  • au consulat après prise de rendez-vous ici pour les familles résidant dans la Baie de SF
  • directement auprès de l’établissement scolaire – qui sera ensuite chargé de les envoyer au consulat – pour les familles habitant en dehors de la Baie.

Rappelons que ne peuvent bénéficier d’une bourse que les enfants (de la maternelle à la terminale) qui remplissent les critères suivants :

  • être inscrits ou en cours d’inscription dans un établissement homologué par l’AEFE. Seuls les cursus français de ces établissements sont éligibles et non les cursus internationaux IB
  • être de nationalité française 
  • être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
  • ne pas avoir plus d’un an de retard en primaire et plus de deux ans de retard dans le secondaire
  • résider avec au moins l’un des parents dans la circonscription consulaire de San Francisco
  • être inscrits au registre mondial des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourses (père ou mère) 
  • La famille ne doit plus percevoir de prestations familiales de la part de la CAF (un certificat de radiation est requis pour les familles dont les enfants ont résidé en France)
  • Les agents de droit public (y compris contractuels) en poste à l’étranger ne sont pas éligibles au dispositif.

Le conseil consulaire des bourses se réunira dans le courant du mois d’octobre, puis la seconde Commission nationale des bourses se réunira à Paris en décembre et avisera les familles de ses décisions fin décembre.

Pour connaître l’appellation des différents niveaux dans le système éducatif américain et leurs équivalents français : article ici.

Bourses scolaires 2024-2025: Dépôt des dossiers jusqu’au 13 septembre à Houston

Les familles nouvellement installées (depuis le printemps) dans la circonscription de Houston, et qui souhaiteraient obtenir une aide financière pour la rentrée, ont jusqu’au vendredi 13 septembre inclus pour en faire la demande et déposer leur dossier :

  • en personne, au consulat, pour les écoles de Houston. Un rendez-vous doit être pris en écrivant à [email protected]
  • pour les autres écoles, les dossiers sont à déposer à l’établissement scolaires qui sera ensuite chargé de les envoyer au consulat. 

Ne peuvent bénéficier d’une bourse que les enfants (de la maternelle à la terminale) qui remplissent les critères suivants :

  • être inscrits ou en cours d’inscription dans un établissement homologué par l’AEFE. Seuls les cursus français de ces établissements sont éligibles et non les cursus internationaux IB
  • être de nationalité française 
  • être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
  • ne pas avoir plus d’un an de retard en primaire et plus de deux ans de retard dans le secondaire
  • résider avec au moins l’un des parents dans la circonscription consulaire de Houston
  • être inscrits au registre mondial des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourses (père ou mère) 
  • La famille ne doit plus percevoir de prestations familiales de la part de la CAF (un certificat de radiation est requis pour les familles dont les enfants ont résidé en France)
  • Les agents de droit public (y compris contractuels) en poste à l’étranger ne sont pas éligibles au dispositif.

Le conseil consulaire des bourses se réunira dans le courant du mois d’octobre, puis la seconde Commission nationale des bourses se réunira à Paris en décembre et avisera les familles de ses décisions fin décembre.

Pour connaître l’appellation des différents niveaux dans le système éducatif américain et leurs équivalents français : article ici.

Sabrina Michel (Austin, TX) : Partir à l’étranger pour le bien être de son enfant

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« Le vrai voyage, ce n’est pas chercher de nouveaux paysages, mais d’avoir de nouveaux yeux. » a dit Marcel Proust

French Expat raconte les parcours de ces aventuriers modernes qui ont voulu partir vivre à l’étranger. Ainsi on parle d’amour, de voyages, d’études … et aujourd’hui je vous invite à découvrir la décision que Sabrina et son mari ont prise. Celle de partir vivre aux Etats-Unis afin d’offrir une meilleure prise en charge de l’un de leurs fils autiste, Valentin.

En France, Sabrina Michel et sa famille se heurtent à de nombreuses difficultés pour obtenir un soutien adéquat pour Valentin. Les structures d’accueil et les programmes d’assistance sont limités, et l’accès aux services spécialisés est souvent restreint. La frustration grandit face à un système qui ne répond pas aux besoins spécifiques de Valentin, ce qui pousse Sabrina et son mari à envisager des solutions à l’étranger.

Le choix des États-Unis, et plus précisément d’Austin, se fait naturellement en raison de la réputation du pays pour ses ressources et son soutien aux enfants autistes. Aux États-Unis, les aménagements scolaires et les services thérapeutiques sont davantage accessibles, variés, et souvent mieux adaptés aux besoins individuels. Une réputation confirmée par un voyage de repérage. Sabrina est attirée par l’approche américaine, qui valorise l’inclusion et propose des outils concrets pour l’épanouissement des enfants différents.

Une fois installée à Austin, la famille Michel découvre une communauté bienveillante et des institutions prêtes à accueillir Valentin avec des programmes sur mesure. Les écoles proposent des aides spécialisées, des environnements inclusifs, et des thérapeutes formés pour accompagner les enfants autistes. Ce soutien transforme la vie de Valentin, permettant une meilleure intégration scolaire et un développement plus harmonieux.

En relatant cette expérience, Sabrina offre une perspective précieuse sur les raisons qui ont motivé leur expatriation. Son témoignage résonne avec de nombreuses familles confrontées aux défis de l’autisme, illustrant comment un changement de pays peut ouvrir la porte à des solutions plus adaptées et offrir une meilleure qualité de vie pour les enfants différents.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Acheter à Los Angeles en 2024

Vous souhaitez acheter un bien immobilier à Los Angeles en 2024 ?

Lors de notre salon en ligne “Bien Vivre aux États-Unis”, qui a eu lieu du 16 au 20 septembre 2024, nous vous avons proposé une webconférence gratuite dédiée à ce sujet.

Visionnez le replay sur le site de l’événement ou ci-dessous

Marc de Longeville, agent immobilier francophone à Los Angeles, a partagé ses conseils sur la meilleure méthode pour acquérir un bien immobilier à Los Angeles et alentour. Il a également fait le point sur la santé du marché immobilier en Californie du Sud et sur les opportunités à saisir, ainsi qu’un rappel général sur la fonction de l’agent immobilier aux États-Unis, assez différente de celle que l’on peut connaître en France.
? CONTACT: +1 (213) 675-0197 / [email protected]

Il était accompagné de Betty Benzakein, spécialiste des prêts hypothécaires conventionnels et jumbo pour les emprunteurs internationaux et nationaux chez HSBC.
? CONTACT: +1 (917) 586-8775 / [email protected]

Le salon en ligne “Bien Vivre aux États-Unis” est un événement sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

Les restaurants avec jardin ou patio à New York

On est tous à la recherche de la même chose quand les grosses chaleurs estivales s’éloignent : la bonne terrasse. Mais attention, pas celle inventée pendant la pandémie, on la veut jolie, calme et agréable. Certains restaurants en ont, parfois elles sont bien cachées, et on aime découvrir ces petits coins intimes et vous les partager. Pensez à réserver avant d’y aller quand cela est possible, car vous ne serez pas les seuls à avoir l’idée.

Misipasta

Déjeuner ou dîner dans la cour-jardin de Misipasta. © Misipasta

Ce restaurant-épicerie de Williamsburg à Brooklyn nous a attiré avec sa vitrine remplie de pâtes maison bien alignées. On a aussi beaucoup aimé la tenue des serveurs, leur veste camel bien coupée, mais surtout on a particulièrement bien déjeuné dans la ravissante arrière-cour qui nous a fait oublier qu’on était à New York. Pas étonnant quand on sait que ce restaurant appartient au duo de choc Missy Robbins et Sean Feeney, les cerveaux derrière Lilia et Misi, deux très bonnes adresses du quartier. Misipasta, 46 Grand St

I Sodi

Petit jardin abrité et vert de I Sodi dans West Village. © I Sodi

C’est dans un petit jardin dallé de Grove Street que vous allez pouvoir découvrir la cuisine toscane de Rita Sodi inspirée de la ferme familiale dans laquelle elle a grandi, au nord de Florence. Vous connaissez peut-être les nombreux établissements du duo Rita Sodi and Jody Williams (Via Carotta, Buvette, Commerce Inn, Bar Pisellino), tous situés quasiment dans la même rue. On aime la philosophie de la cheffe, sa préservation de la tradition, son attachement à l’intégrité des ingrédients, et le petit jardin du restaurant ajoute du charme à l’expérience culinaire. I Sodi, 314 Bleecker St

Hudson Clearwater

Hudson Clearwater ©Hudson Clearwater
Le charme du backyard de Hudson Clearwater. © Hudson Clearwater

Ce petit restaurant, à l’angle de Hudson St. et de Morton St. dans West Village, est très sympa pour petit-déjeuner ou déjeuner mais on préfère quand même le soir, quand ils allument leur petite guirlande guinguette, ça devient presque romantique. On a beaucoup aimé leur gnocchis maison et leurs cocktails. Hudson Clearwater, 447 Hudson St.

Grand Banks

Grand Banks offre une terrasse… sur l’eau au bout du Pier 25. © Grand Banks

On vous en avait déjà parlé dans un article sur la découverte du quartier de Tribeca. Grand Banks ce n’est pas dans un jardin mais sur l’eau et c’est l’un de nos endroits préférés à New York quand il fait beau. La vue sur le One World Trade Center, la Statue de la liberté au loin ou le coucher de soleil derrière les buildings d’Hoboken en font un endroit magique. Les huîtres (récoltées de manière durable), les cocktails délicieux, l’ambiance… tout y est. Grand Banks, Park Pier 25 Hudson River

Maison Première

Maison Première ©ericmedsker
L’écrin de verdure du jardin de Maison Première. © Eric Medsker

On aime tout chez Maison Première, ce restaurant-bar à cocktails situé à Williamsburg. Leur magnifique bar est une œuvre d’art, les tenues costumes trois pièces vintage des barmen, l’incroyable variété d’huîtres, les cocktails, et aussi… le ravissant patio à l’arrière, tout en verdure. On vous recommande pour débuter leur absinthe, cette mythique liqueur anisée, mais vous trouverez forcément votre bonheur dans le menu très varié. Maison Première, 298 Bedford Ave.

June

June ©June
Le patio entre ombres et lumière de June à Brooklyn. © June

C’est un des premiers bar à vins naturels de Brooklyn à s’être largement inspiré de nos chaleureux bars à vins parisiens – on aime aussi beaucoup Rhodora dans le quartier de Fort Greene qui appartient au même groupe, et qui a pour objectif premier de sélectionner des vins avec une intervention minimale, en déployant des techniques d’agriculture régénérative biodynamique dans les vignobles. On apprécie particulièrement que ce groupe soit engagé depuis longtemps déjà en faveur du développement durable et de la lutte contre le changement climatique, déguster leurs assiettes axées sur une cuisine de saison tout en étant confortablement installé dans le patio très agréable. June, 231 Court St.

Publié le 18 mai 2024. Mis à jour le 21 août 2024.

[Vidéo] Patrimoine et fiscalité au moment du retour en France

Un retour en France après une expatriation aux États-Unis ? Ce webinaire est une occasion unique d’obtenir des réponses à vos questions et de préparer efficacement votre retour en France.

Au programme:
? Planification Patrimoniale : Conseils pour la gestion de vos actifs – épargne, immobilier, retraite.
? Fiscalité : Comprendre les implications fiscales du retour et optimiser la gestion de l’épargne retraite.

Visionnez le replay ci-dessous ou directement sur notre chaîne YouTube

Avec:
? Alexandre Quantin, MBA, RICP®, Partner et directeur des investissements chez USAFrance Financials. Avec plus de 10 ans d’expérience en gestion patrimoniale pour les Français aux États-Unis, Alexandre Quantin fait partie de la liste Forbes des meilleurs professionnels de la finance en 2023. Il a notamment fait ses gammes en France chez BNP Paribas Private Banking et Credit Agricole CIB.
? Adrien Eyraud, Financial advisor, associé chez USAFrance Financials

? Contact: [email protected] / (267)687-9141
? Réserver directement un rendez-vous téléphonique gratuit de 30 minutes: https://outlook.office365.com/book/[email protected]/

La French Baguette, lauréate des Germinators, lance ses kits de pain maison aux États-Unis

Elles se sont vendues comme des petits pains aux Jeux Olympiques. Elles sont au Louvre, dans plusieurs autres lieux touristiques et, depuis peu, dans les rayons de Carrefour. Elles vont bientôt arriver aux États-Unis. Les boîtes rectangulaires en carton de La French Baguette, qui renferment un kit pour fabriquer sa baguette chez soi, ont séduit le jury des Germinators (dont French Morning a fait partie), le 24 juin dernier. Un « rêve éveillé » confesse Eva Broussou, la fondatrice de la start-up qui a reçu le premier prix de ce concours de l’innovation dans le domaine de l’alimentation, des boissons et de l’hôtellerie organisé par la Chambre de commerce franco-américaine de New York (FACC NY), une récompense qui l’aidera à traverser l’Atlantique.

Avant d’en arriver là, la quadra a connu les difficultés de l’entrepreneuriat. « J’ai failli déposer le bilan trois fois », confesse-t-elle, malgré une idée prometteuse. « Au départ, je voulais offrir des souvenirs à des copains qui vivaient à l’étranger. Mais quand j’ai voulu acheter un souvenir français, je me suis aperçue que 80% d’entre-eux étaient fabriqués en Chine. Donc je me suis dit “pourquoi ne pas faire des souvenirs qui représentent un peu plus les valeurs du pays que l’on visite et fabriqués sur place” ? »  

Eva Broussou (à gauche au premier plan) et Michael Cerruti (à droite) de La French Baguette ont reçu le Prix du jury des Germinators, concours de start-up fondé par Ariane Daguin et organisé par la Chambre de commerce franco-américaine de New York, le 24 juin 2024.
© FACC New York

L’entrepreneuriat suite à l’expatriation

Car la vie d’expatriée, elle connaît. Eva Broussou a vécu dix ans en Tunisie où elle a monté Endemol Maghreb, et a beaucoup voyagé en 20 ans de carrière dans la production audiovisuelle. Mais avoir une idée pour se lancer dans l’entrepreneuriat ne suffit pas. « Je n’avais pas beaucoup d’argent, je cherchais un produit qui passait facilement les douanes et qui ne demandait pas beaucoup de transformation pour limiter les coûts. » Après avoir fait le tour des symboles de la France – du camembert au béret – , elle choisit la baguette, jamais conçue comme un souvenir à ramener de voyage et à cuire à la maison. « Du coup j’ai passé un CAP cuisine à l’issue duquel j’ai lancé mon projet, en 2019 ». 

Elle travaille en Normandie, à Arras, avec un meunier, et après « beaucoup de loupés » comme elle dit, ils mettent au point une recette avec un bon levain et un processus simple, applicable partout. « Il a fallu par exemple trouver la bonne dose d’eau que le consommateur doit ajouter. Or les unités de mesure changent d’un pays à l’autre. » Un an de développement pour simplifier au maximum le process tout en gardant le bon goût de la baguette sortie du four. Le kit est enfin complet : il comprend les ingrédients pour la pâte, un mode d’emploi avec un tutoriel à scanner; et même une corbeille à pain imprimée Vichy. Un produit qui peut se garder une année.

En très peu de temps, l’entrepreneure a réussi à avoir de gros points de vente, en proposant un packaging personnalisé comme un dessin de la Joconde, une baguette sous le bras, pour la boutique souvenirs du Louvre. « À Arras, près de la meunerie, on a un imprimeur pour les boîtes ». L’assemblage des différents ingrédients est réalisé dans l’ESAT de L’Arrageois, le centre local d’insertion pour personnes handicapées. « L’éthique et l’éco-responsabilité sont très importantes pour moi. Tout est recyclable. »

Du souvenir au Do It Yourself

Un démarrage prometteur jusqu’au coup d’arrêt de la pandémie de covid. « Là, c’était la galère. Tout s’est arrêté d’un coup, c’était la catastrophe pour moi. Mais ça a été aussi le début avec les États-Unis ». Les boîtes, vendues sur Amazon, sont alors repérées du côté américain. Sans pouvoir répondre à la demande en pleine crise sanitaire, Eva Broussou réalise que son produit dépasse le secteur du souvenir. Elle revoit son business model et bascule sur le marché du Do It Yourself (DIY). 

La crise est passée. Son passage à l’émission « QVME » sur M6, sur le principe de « Shark Tank » aux États-Unis, lui donne une visibilité inespérée. Les commandes arrivent du monde entier. Aujourd’hui La French Baguette travaille avec des meuniers capables de produire en grande quantité – ils fournissent notamment les boulangeries Paul. La start-up emploie cinq personnes et fait travailler, prestataires compris, une trentaine de personnes. La French Baguette compte frôler les 8 millions d’euros de chiffre d’affaires à la fin de l’année. 

Début en Europe avant les États-Unis

Le développement à l’international commence en Europe, notamment en Angleterre, Italie et l’Allemagne. Les États-Unis constituent la prochaine étape. Depuis un an, Eva Broussou s’est associée à un Américain francophile, Michael Cerruti, qui vit en France depuis longtemps. « Ça fait deux ans que je veux venir aux États-Unis, on y a une forte demande, et personnellement, j’ai très envie de m’y installer, une véritable obsession », raconte la jeune femme dans un éclat de rire. 

L’objectif à terme est de produire sur le sol américain pour alimenter de gros points de vente « en limitant notre empreinte carbone ». Pas question de faire venir de France des conteneurs bourrés de boîtes. « Aujourd’hui, le plus gros export en France, c’est le pain congelé. C’est totalement aberrant de faire naviguer des containers réfrigérés. Je veux créer une alternative ».

Les premiers kits débarqueront à New York, sur les étagères du restaurant-boutique OCabanon d’Armel Joly (également membre du jury cette année), et chez l’Ami Pierre. « Je veux faire étape pour étape, avec des ateliers pour avoir des retours clients. Germinators, en étant un incubateur et un accélérateur, va me permettre de prendre contact avec les bonnes personnes. Ce concours est arrivé pile au bon moment pour nous. On est prêts, tout est carré. »

Los Angeles à vélo, mode d’emploi

Pensée pour la voiture – on en compterait plus de 7,5 millions – Los Angeles a longtemps eu horreur du vélo. Si les politiques de « mobilité » promettent la multiplication des pistes cyclables dans les années à venir, le défi pour adapter la ville est grand. Mais pour les acharnés de la petite reine, Los Angeles offre un cadre et quelques circuits merveilleux.

Los Angeles à bicyclette : L’usage de la bicyclette à Los Angeles a longtemps été raillé. Bien qu’équipé de pistes cyclables, Downtown reste le plus dangereux des quartiers pour les deux roues. À proscrire donc. On préfèrera le sud de LA où la location de vélo cruiser fait passer du Boardwalk de Venice à Santa Monica en longeant les plages et les terrains de volleyball et se prendre pour un Californien né. Pour ceux qui aiment pédaler, la Marvin Braude Bike Trail fait rejoindre la plage de Will Rogers State Beach à Santa Monica jusqu’à Torrance. 35 kilomètres le long des plages et du Pacifique. Dans le même secteur, le Ballona Creek Bike Path fait rejoindre les plages et le port de Marina del Rey à Culver City sur un parcours de 7 kilomètres sans faux plat.

Frogtown, le village du vélo : Le parcours qui longe la LA River, depuis Griffith Park jusqu’à Highland Park, offre 12 kilomètres de pistes sans voiture. Toute la communauté des fans de vélo – du cycliste du dimanche à l’amateur en cuissard serré et casque profilé – se donne généralement rendez-vous à Frogtown pour la pause. Récemment gentrifié, le quartier a vu s’ouvrir restaurants, bars et cafés. Spot historique de tout cycliste passant par-là, La Colombe (ouvert de 6:30 à 6pm) sert son café artisanal pour recharger les batteries, et des jus de fruit bio en bouteilles. Au déjeuner, on retrouve les mêmes chez Spoke (ouvert de 9am à 7pm, fermé le lundi et le mardi), un restaurant avec tables d’hôtes, parasols et fresques murales colorées, où venir avaler breakfast burrito et veggie burger, louer un vélo ou réparer un pneu crevé.

Vélos de route : Pour les passionnés et les compétiteurs, Los Angeles offre un terrain de jeu complet. « Il existe deux parcours fétiches à LA, explique Thibaud Coudriou, ancien responsable de l’organisation du Tour de Californie et du développement commercial du Tour de France aux États-Unis. Les Santa Monica Mountains où traverser les collines d’Hollywood et emprunter une série de canyons jusqu’à la crête de Mulholland Drive. Une route prodigieuse avec océan d’un côté et vallées de l’autre. Et un secteur, Topanga State Park, idéal pour les férus de vélo tout-terrain ou de « gravel », un hybride vélo de route et vélo tout terrain qui fait fureur. Plus accessible, Palos Verdes (à l’ouest de Long Beach) emmène rouler sur le fameux « Donut Loop », une boucle de 24 miles en forme de donut longeant parcours de golf, villas de rêve et océan. »

L’inauguration du 6th Bridge en 2022 à Los Angeles ouverte aux vélos. © Alexis Chenu

Les clubs : Pour profiter du bitume, l’option « club » fait fureur à LA. Et tous les profils sont permis. Des clubs réservés aux femmes (The Mixed Race, Wild Wolf Cycling Collective), aux jeunes ou à la communauté LGBTQ+ (Different Spokes), à chaque club son identité. Pour les compétiteurs, le Vélo Club Lagrange, une institution fondée en 1968 par le Français Raymond Fouquet, et ancien patron de La Grange Restaurant, organise à Santa Monica des « rides » en groupe, ouverts aux membres comme aux non-membres, sur des parcours de 20 à 40 kilomètres. « Plus d’une centaine de cyclistes participent à ces circuits, précise Thibaud Coudriou, d’abord en peloton, groupés, puis en mode course où, selon votre niveau, vous rejoindrez tel ou tel groupe. »

Aussi populaires, les rides organisés par la marque britannique de vêtements et d’accessoires Rafa à Santa Monica, une référence des cyclistes. « Outre les collections de vêtements techniques et l’espace café, les passionnés se retrouvent là toutes les semaines pour des rides de deux heures, ajoute le spécialiste. La plus fun : la Randy’s Recovery Donut Ride » où conclure l’effort par un donut chez l’emblématique Randy’s Donut Santa Monica. Tous les événements sont publiés sur l’application Strava, un réseau social dédié aux sportifs. 

La bonne machine : Pour le cycliste du dimanche, Linus Bike, une marque californienne au design inspiré des vélos français des années 50, fait référence chez les Angelenos. Sa maison-mère se trouve à Venice et ses vélos sont distribués chez de nombreux revendeurs. Même positionnement pour Solé Bicyles, une marque fondée par deux anciens étudiants de l’USC, spécialiste du cruiser (option électrique possible) et du vélo de ville.

« Catégorie route, Helen’s Cycle et Specialized, à Santa Monica, sont les deux institutions à connaître, indique Thibaud Coudriou. Et pour l’esprit bouclard à la façon du marchand de vélo français, où discuter de la course du dimanche dans des odeurs de colle à boyaux, passez à Venice chez Veloworx Bikes qui connaît tout sur tout. » Autre option dans l’East Side chez Allez LA qui distribue à Highland-Park toutes les catégories de vélo du cyclo-cross au vélo de route avec Giant en référence.

L’atelier et concept-store Luft à Venice. © Alexis Chenu

Les mécanos : Si les pros ont leurs enseignes préférées, « généralement là où ils ont acheté leur monture à plusieurs milliers de dollars » dixit notre spécialiste, les boutiques de réparation se trouvent dans à peu près tous les quartiers de Los Angeles. Pour les petits budgets, opter pour l’esprit communautaire et solidaire chez Bicycle Kitchen à Los Feliz (ouvert le mardi et mercredi de 6pm à 9pm, le samedi de 12pm à 4pm, le dimanche de 10am à 1pm). L’association réunit des bénévoles passionnés qui accompagnent l’apprenti cycliste à réparer son vélo. Les conseils sont gratuits, on ne paie ici que le matériel à remplacer. Compter 12 dollars pour une nouvelle chambre à air, et quelques pourboires pour soutenir l’association.

Le bon look : « À Los Angeles, comme aux États-Unis, le vélo est un sport haut-de-gamme, alors qu’en France, il est davantage classé « populaire » explique Thibaud Coudriou. Un état d’esprit qui impose un look. Pour trouver le bon cuissard, il faut passer chez Luft, à Venice, qui distribue les marques cultes Pas Normal et Maap ou faire un tour chez Pedal Mafia dont la ligne en propre décline toute la panoplie du cycliste amateur des vélos de route. À Santa Monica, Rafa compte tous les accessoires du parfait cycliste, de la chaussure de compèt’ aux lunettes en passant par le jersey et la besace. Et dans l’East Side, The Cub House, un concept mixant bike shop, fleuriste et boutique, décline marques émergentes, vintage ou décalées. Enfin, Road Runner Bags à Downtown, compte les meilleurs sacs à adapter à son vélo, du modèle profilé pour les guidons au sac de week-end.

La rue est à nous : Quelques jours dans l’année, Los Angeles interdit la voiture, pour le plus grand bonheur du cycliste du dimanche. Événement incroyable en 2023, une portion d’environ 11 kilomètres de la freeway 110 s’ouvrait, le temps du Arroyo Festival, à tous les cyclistes. Même idée lors de l’ouverture du 6th Bridge à Downtown un an plus tôt. D’autres événements tels Cyclavia organisent, certains jours de l’année (généralement de 9am à 3pm) leur « Open Streets Event ». Une dizaine de blocks sur Melrose Avenue, Hollywood Boulevard ou Venice Boulevard, pour se promener en vélo, et goûter aux joies de la vie sans voiture. Enfin, à LA, il est possible de pédaler nu comme un ver un jour par an. Organisée par la World Naked Bike Ride, la prochaine ballade à vélo tout nu aura lieu le samedi 22 juin, à Downtown.

Les rides de nuit : À Los Angeles, on peut aussi rider la nuit. Plusieurs groupes connus invitent les touristes amateurs de vélo à une balade sous les étoiles, généralement en musique, en lumières et néons de toutes les couleurs. Fondée en 2022, Lit Riderz embarque ses troupes à Riverside et à San Diego une fois par mois, et s’invite à LA lors de l’événement mensuel (à partir de 6:30pm chaque dernier vendredi du mois) LA Critical Mass qui rassemble passionnés et militants de la cause vélo. Même esprit festif à Venice lors de la Venice Electric Light Parade, un événement organisé tous les dimanches où défiler en vélo à LED et en musique, entre Santa Monica et Venice (participation incluant la location du vélo à partir de 99 $).

Scène de vélo dans le quartier d’Hollywood à Los Angeles. © Alexis Chenu

Les sites à connaître : Streetsblog.org donne toutes les infos sur les différents modes de transports à Los Angeles et l’actualité du vélo en ville, ses événements et ses nouvelles pistes cyclables en activité. Le site et l’appli Strava, centrés sur les cyclistes et coureurs à pied, est le réseau social incontournable pour se faire une place dans la communauté du vélo à LA.

Publié le 8 mai 2024. Mis à jour le 21 août 2024.

La National Gallery célèbre les 150 ans du mouvement impressionniste

Après avoir fait sensation au musée d’Orsay, l’exposition « Paris 1874 : The Impressionist Moment » arrive à Washington en cette rentrée 2024.

Il y a tout juste 150 ans, le 15 avril 1874, se tenait à Paris la première exposition qui sera qualifiée par la suite d’« impressionniste ». Ce terme sarcastique fut inventé par le critique Louis Leroy pour se moquer de l’iconique tableau « Impression, soleil levant » de Claude Monet, dévoilé pour la première fois à cette occasion.

Organisée dans l’atelier parisien du photographe Nadar, au 35 boulevard des Capucines, elle réunissait 31 membres de la Société anonyme des artistes peintres, sculpteurs et graveurs. Ces artistes, désireux de briser les conventions académiques, s’étaient alliés en rejet de l’exposition annuelle officielle parrainée par le gouvernement, appelée « Salon de Paris ». Parmi eux Monet, Renoir, Degas, Morisot, Pissarro, Sisley et Cézanne, des noms qui incarnent aujourd’hui ce mouvement pictural révolutionnaire ayant changé le monde de l’art à jamais.

Au programme de cette rétrospective, qui débutera le dimanche 8 septembre et se poursuivra jusqu’au dimanche 19 janvier 2025, figurent 130 œuvres incluant des peintures, des œuvres sur papier, des estampes, des sculptures et des photographies. Cette exposition permet de revivre celle de 1874 et l’émergence de ce courant artistique révolutionnaire tant dans les thèmes abordés que dans les techniques employées.

L’exposition permet de revivre l’émerveillement ressenti il y a 150 ans par les visiteurs et de revoir les premières œuvres impressionnistes présentées en 1874 aux côtés de celles exposées au Salon officiel. Une occasion unique de revivre une époque tout en découvrant les origines d’un mouvement artistique considéré par beaucoup comme le plus populaire de l’art occidental.

À noter, le jeudi 12 septembre de 6pm à 9pm, une visite nocturne de l’exposition sera exceptionnellement organisée dans le cadre des « National Gallery Nights ». Inscription obligatoire par tirage au sort entre le lundi 2 septembre 10am et le jeudi 5 septembre, 12pm en cliquant ici.