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      5 associations à rejoindre pour protéger l'environnement à New York

      • Au quotidien
      • Vivre ici
      Margaux Deuley
      -
      22 août 2017
      0
      5 associations à rejoindre pour protéger l'environnement à New York

      Eagle Street Rooftop Farm

      Eagle Rooftop Farm
      Eagle Street Rooftop Farm, créée en 1995, est une ferme de légumes verts cultivés au troisième étage de l’entrepôt Broadway Stages de Greenpoint, à Brooklyn, soit un toit d’une superficie de 1800m². Outre l’entretien de cet espace, une équipe de bénévoles propose des programmes éducatifs et des ateliers destinés aux enfants et aux adultes. Les thématiques abordées sont multiples : cultiver ses propres produits à New York, cuisiner de façon locale, le compostage urbain ou encore l’apiculture. 44 Eagle St, Brooklyn. Toutes les infos ici.

      Million Trees NYC

      Million Trees NYC
      Créée en 2007, cette association à but non lucratif est parrainée par le New York City Department of Parks & Recreation et le New York Restoration Project. À l’époque, son objectif était la plantation et l’entretien d’un million d’arbres supplémentaires à l’horizon 2017. Après avoir réussi son pari, Million Trees NYC poursuit ses actions. Les bénévoles participent à diverses activités liées à la nature, comme le nettoyage du marais salé du Rockaway Community Park. L’association vous permet de réaliser vos propres projets tant qu’ils sont en lien avec la préservation de la nature. Plus d’infos ici.

      Harlem Grown

      Audubon
      Parce que les habitudes saines et responsables doivent se prendre dès le plus jeune âge, Harlem Grown, organisation indépendante à but non lucratif, dispense des ateliers sur l’agriculture urbaine et le développement durable pour les plus jeunes. Des camps d’été sont également proposés au sein de la ferme urbaine de l’association, où les pensionnaires apprennent à cultiver et récolter des légumes et approfondissent leurs connaissances de la nature au travers d’excursions et d’expériences scientifiques. 127 West 127 Street, bureau n° 201, à Harlem. Plus d’infos ici et devenez bénévole ici. 

      PortSide New York

      Portside New York
      “L’espace bleu” de New York doit être utilisé de façon responsable. Telle est la raison d’être de PortSide New York, une organisation à but non lucratif qui dispense un programme d’éducation maritime. Des actions sont également menées au siège de l’association, le navire pétrolier retraité du nom de Mary A. Whalen, qui est également un musée et un laboratoire d’idées pour préserver les parcs du littoral. Après l’Ouragan Sandy, l’association avait mené une opération de nettoyage qui lui a valu le prix de la Maison- Blanche. Les bénévoles assurent notamment des travaux de préservation à bord du bateau, dispensent des cours d’éducation à l’environnement et organisent des évènements. PO Box 195 Red Hook Station, Brooklyn. Toutes les infos ici.

      Time’s Up

      Time's up New York
      Fondée il y a 25 ans, cette organisation est dirigée par des bénévoles souhaitant favoriser l’utilisation du vélo à New York. À l’aide d’ateliers tels que la réparation de vélos et l’organisation d’évènements conviviaux comme le Street Art Bike Ride, une randonnée à vélo dans Brooklyn, Time’s Up veut faire grandir la population de cyclistes et laisser la voiture au parking. 99 S 6th St. Pour plus d’infos et devenir bénévole, c’est ici. 

      L'International Ballet Festival revient à Miami

      • Agenda
      • Concerts/Spectacles
      • Culture
      Margaux Deuley
      -
      21 août 2017
      0
      L'International Ballet Festival revient à Miami

      Avec ses 100 danseurs issus de 20 compagnies, sa série de films ou encore ses expositions d’art et ateliers, International Ballet Festival se pose comme l’évènement de danse le plus important de Floride. Sa 22e édition aura lieu à Miami entre le 26 août et le 17 septembre.
      Dans ce festival qui se déroule en deux phases, la première partie sera consacrée à la danse contemporaine.
      Le 2 septembre à 8 pm, les compagnies Atlanta Professional Dance, Misiones Argentina et Cuban Classical Ballet of Miami présenteront leurs danses traditionnelles au Colony Theatre de Miami Beach.
      Le 8 septembre à 11 am, la B’Compagnie venue de France et la Cape Town Contemporary Ballet Company d’Afrique du Sud, mélangeront les styles de danse et de musique en passant de Bach aux sonorités jazz au Lehman Theatre de Miami. L’entrée est gratuite pour les étudiants. Le 9 septembre à 8 pm, un second spectacle sera présenté par ces compagnies, cette fois-ci sur la scène du Lightbox Theater de Wynwood, où elles seront rejointes par le New York Ballet Inc et Grace Arts Florida.
      La deuxième partie du festival sera ensuite dédiée aux ballets classiques, mettant à l’honneur une dizaine de prestigieuses compagnies issues des quatre coins du monde dont le Ballet de l’Opéra national de Paris, le Ballet Teatro Alla Scala d’Italie ou encore la Compañìa Nacional de Danza du Mexique. La première représentation aura lieu le 14 septembre à 8 pm au Union City Performing Art Center, dans le New Jersey.
      La seconde aura lieu le 16 septembre à 8 pm au Fillmore Miami Beach at the Jackie Gleason Theatre, où le prix “A Life for Dance Lifetime Achievement Award” sera décerné au chorégraphe de l’une des compagnies.
      Pour la clôture du festival, le rendez-vous est donné au Dade County Auditorium de Miami, le 17 septembre à 5 pm.

      "À nos amours" au ciné-club de l'Alliance française de Washington

      • Actualité
      • Agenda
      • Cinéma
      • Culture
      Grégoire Chapron
      -
      21 août 2017
      0
      "À nos amours" au ciné-club de l'Alliance française de Washington

      Le Ciné-Club de l’Alliance française de Washington DC fait sa rentrée. En partenariat avec Les Cahiers du Cinéma, l’organisation présentera “À nos Amours” de Maurice Pialat le mercredi 13 septembre à 7pm après un “happy hour” qui commencera à 6:30pm. Le correspondant du magazine aux Etats-Unis, Nicholas Elliot, présentera le film, qui sera en français sous-titré anglais.
      Sorti en 1983, le film narre l’adolescence de Suzanne (Sandrine Bonnaire), 16 ans. Amoureuse de Luc, elle ne laisse pas de place à ses sentiments, s’adonnant aux plaisirs sexuels avec tous, sauf lui. La protagoniste profite de ses nombreuses relations pour fuir l’agressivité de ses parents. Lorsqu’ils divorcent, la violence devient quotidienne et Suzanne doit réagir.
      L’oeuvre fut récompensée de deux César (meilleur film et meilleur jeune espoir féminin pour Sandrine Bonnaire).

      Lara Fabian chante à Pasadena en 2018

      • Actualité
      • Agenda
      • Concerts/Spectacles
      • Culture
      Grégoire Chapron
      -
      21 août 2017
      0
      Lara Fabian chante à Pasadena en 2018

      Lara Fabian pose ses valises au Pasadena Civic le dimanche 11 février 2018 dans le cadre de sa nouvelle tournée internationale “Camouflage”, qui l’amènera dans plusieurs villes américaines. Les tickets sont disponibles.
      Pendant ce tour de chant, elle fera la promotion de “Camouflage”, un album qui fait la part belle au répertoire anglophone de la star francophone multilingue. Co-écrit par Lara Fabian, Sharon Vaughn et Moh Denebi (également producteur), il comporte douze chansons en anglais. Son nouveau single “Growing Wings” est disponible depuis le 4 août.
       

      "Pars vite et reviens tard" en streaming sur TV5 Monde Cinema on Demand

      • Actualité
      • Cinéma
      • Culture
      FM
      -
      21 août 2017
      0
      "Pars vite et reviens tard" en streaming sur TV5 Monde Cinema on Demand

      Le thriller “Pars vite et reviens tard”, avec José Garcia, sera disponible dès le vendredi 25 août sur TV5 Monde Cinema on Demand, le service de streaming de la chaîne francophone TV5 Monde.
      Le pitch: le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg (José Garcia) enquête sur des inscriptions mystérieuses qui font leur apparition dans tout Paris, annonciatrices d’un malheur à venir. Celui-ci frappe la capitale le jour où l’on découvre le corps d’une personne qui semble avoir succombé à la peste. Le commissaire se lance à la recherche du criminel avant qu’il ne frappe encore.
      Pour voir toute la programmation de TV5 Monde Cinema on Demand, rendez-vous sur le site.

      Mon "A-1", ce visa de rêve

      • Immigration
      • Vivre ici
      Alexis Buisson
      -
      21 août 2017
      0
      Mon "A-1", ce visa de rêve

      Quel est le point commun entre Emmanuel Macron et Yann Bizeul ? Ils utilisent tous les deux un A-1 pour venir aux Etats-Unis. Mais plus pour très longtemps. Car après quatre ans dans l’informatique à New York, le Rennais rentre en France. “C’est le grand retour“, s’exclame-t-il, assis dans un café sur Park Avenue fin juillet.
      Yann Bizeul a passé trois ans sous A-1, le visa accordé aux diplomates et à certains fonctionnaires en mission à l’étranger, ainsi qu’à leurs conjoints. Il a obtenu le sien à travers son épouse, employée au consulat de France à New York. Les chefs d’Etat et de gouvernement, les ministres, les ambassadeurs, les consuls et les représentants des délégations de l’Union européenne (UE) et de l’Union africaine (UA) font également partie des personnes éligibles. “Obtenir le visa est très simple. Le gouvernement l’a pris en charge. Ils nous ont donné le passeport et voilà!“.
      Le A-1 ressemble au visa que tout le monde aimerait avoir. Le traditionnel entretien au consulat des Etats-Unis en France, qui génère bien des angoisses, n’est pas requis – même si un officier consulaire peut en décider autrement. Les pièces à fournir, listées sur le site du Bureau des affaires consulaires américain, sont assez basiques. Le gouvernement doit fournir une “note diplomatique” précisant le statut du demandeur et la raison de son séjour aux Etats-Unis. Les titulaires de A-1 ne peuvent pas être poursuivis au titre de la loi américaine et leurs conjoints ont le droit de travailler. “Au total, la procédure a pris deux-trois mois“, se souvient Yann Bizeul.
      New York n’était pas le premier choix pour le couple. “Au moment de faire nos choix de postes, on a mis l’Australie, l’Europe de l’Est et une autre destination. On n’en a eu aucun“. Mais quand un poste s’est libéré à la régie du consulat de France à New York, ils se sont ravisés. “New York, y’a pire quand même. On a mis nos trois enfants dans l’avion et on est parti à l’aventure”.
      L’aventure était relativement confortable pour les Bizeul, loin des galères que rencontrent nombre de Français quand ils arrivent en ville. “On habitait sur la 5ème Avenue dans l’Upper East Side, près du consulat. Tout était pris en charge”. Pour Yann Bizeul, l’adaptation n’a pas été difficile, contrairement à d’autres conjoints d’expatriés. “J’étais dans une période de transition en France aussi. L’agence où je travaillais était sur le déclin. Je n’ai eu aucun problème à démissionner. À partir du moment où nous avons embrassé une nouvelle opportunité, je n’ai pas eu de mal à tout quitter“.
      Et surtout, en tant que conjoint, le visa A-1 l’autorise à travailler, ce qui n’est pas le cas de tous les visas. Avant même d’avoir trouvé un travail, il obtient la sacro-sainte EAD (Employment Authorization Document), l’autorisation de travail valable pour la durée du visa. Rapidement, il décroche, malgré son “anglais scolaire“, un poste dans la société qui l’emploie depuis quatre ans maintenant. Son statut, et son visa peu habituel, n’ont pas freiné le processus, dit-il, sauf au moment du “background check” effectué par l’entreprise. Celui-ci aurait été anormalement long. “Le statut diplomatique a peut-être joué dans la lenteur“.
      L’expatrié précise toutefois que peu de conjoints titulaires de A-1 autour de lui ont eu la même chance. “J’ai été le seul à trouver un travail. Ce n’est pas évident“.
      Est-ce le visa de rêve ? Bémol: il ne donne accès à la carte verte que sous certaines conditions. En effet, les demandeurs doivent renoncer à leurs privilèges et protections diplomatiques et se soumettre au fisc américain s’ils veulent prétendre au précieux sésame. Ils peuvent également faire une demande de carte verte spéciale mais uniquement dans de rares situations, comme l’impossibilité de rentrer dans leur pays d’origine.
      Aussi, le A-1 est valable pour la durée de la mission uniquement. Les Bizeul le savent bien. Quand la mission de son épouse n’a pas été renouvelée, Yann Bizeul a dû basculer sur un H-1B avec son entreprise pour permettre au couple de rester aux Etats-Unis. Après un an dans cette situation, ils ont décidé de rentrer en France pour se rapprocher de leur famille. “Il y a une forme de résignation, avoue-t-il. Mais on se dit qu’on a vécu une expérience fabuleuse. On a eu la chance de passer quatre ans dans une ville magnifique. Il y a des tas de gens qui ne cracheraient pas dessus. C’est un choix de revenir en France pour la famille. Nos parents sont encore jeunes et en forme. Il faut en profiter. On a la vie devant nous“.

      Pixopolitan, la photographie urbaine d'art à la conquête des Etats-Unis

      • Actualité
      • Business
      Maxime Aubin
      -
      20 août 2017
      0
      Pixopolitan, la photographie urbaine d'art à la conquête des Etats-Unis

      “De retour de deux ans d’études en Chine, je cherchais une belle photo de la skyline de Shanghai à encadrer chez moi. Mais je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas d’intermédiaire entre les galeries chères et l’offre très basique de magasins comme Ikea”. C’est de ce constat que Romain Barbet lance Pixopolitan en octobre 2012, avec l’objectif de démocratiser la photographie urbaine d’art.
      Accompagné par Paul-Henri Blaiset, les deux étudiants en école de commerce construisent une communauté de plusieurs milliers de photographes en quelques mois et proposent leur travail à la vente sur un site internet dédié. Un succès immédiat renforcé par la magie des réseaux sociaux. “Trois mois après le lancement, on a tweeté Valérie Damidot qui présentait à l’époque l’émission D&co sur M6, en lui proposant nos services. Dix jours plus tard, l’émission nous a appelé”, se souvient Romain Barbet. Les deux associés participeront à une dizaine d’émissions en 2013 et 2014, décorant ainsi les foyers français.

      En 2013, la jeune équipe boucle également une première levée de fonds auprès de plusieurs business angels français avant de s’ouvrir au marché des professionnels. “Nous avons signés plusieurs deals importants pour équiper des hôtels du groupe Accor et des enseignes prestigieuses telles que le Marriott hôtel”, explique fièrement l’entrepreneur de 30 ans. Un troisième associé basé à Marseille, Jérémie Chastel, rejoint Pixopolitan en 2016 pour répondre aux demandes de l’industrie hôtelière de la Côte d’Azur. 

      La promesse de Pixopolitan est résumée sur son site internet : “faire entrer n’importe quelle capitale du monde dans votre salon“. Pari tenu avec un choix de plus de 1.000 photos prises dans 305 villes du monde. Romain Barbet ajoute que “si aucune photo ne vous plait, nous mandatons nos photographes pour qu’ils prennent la photo que vous désirez dans la ville ou même la rue que vous désirez”.
      Près de cinq ans après son lancement, Pixopolitan réalise une nouvelle levée de fonds fin 2016 avec les Etats-Unis en ligne de mire. Romain Barbet, qui ne se décrit pas comme un artiste mais comme “quelqu’un qui aime s’occuper des clients amateurs d’art“, s’installe à New York en avril dernier.
      Avec son équipe de huit personnes, ils lancent une version américaine du site alignée sur les prix français, ainsi qu’un site à destination de leur clientèle professionnelle. Leur stratégie ? “Commencer par développer une clientèle de professionnels pour faire financer le B to C par le B to B (…) Nous lançons des campagnes massives d’e-mails. On recontacte ceux qui les ouvrent en proposant des rendez-vous. On prend ensuite des photos de leur bureau et leur proposons des simulations de décoration. Ça leur permet de se rendre compte du rendu final”, explique l’entrepreneur français.
      Conforté par l’implantation du laboratoire photographique français Picto aux Etats-Unis, Pixopolitan US fait imprimer toutes ses photos à New York. L’entreprise espère atteindre les 1,1 million d’euros de chiffre d’affaires d’ici la fin de l’année, dont 100.000 aux Etats-Unis.

      Couples Beyond Borders, un tumblr sur l'amour franco-américain

      • Actualité
      • Société
      Fanny Meneghin
      -
      19 août 2017
      0
      Couples Beyond Borders, un tumblr sur l'amour franco-américain

      Un blog qui parle d’amour, mais pas n’importe lequel: l’amour franco-américain. C’est ainsi que l’on pourrait définir Couples Beyond Borders, un tumblr sans prétention où l’on peut lire les témoignages de couples franco-américains.
      La rédactrice de ce blog, Charlotte Brelet von Sydow, est arrivée à New York en 2011 avec l’idée de n’y rester que neuf mois pour améliorer son anglais. Puis, elle rencontre son mari, un Français, et décide de rester. Inspirée par sa passion pour la photographie – elle a été l’assistante à New York d’Eliane Laffont, fondatrice de l’agence de photographie Gamma USA – et par ses amis, elle décide d’explorer les différences culturelles entre la France et les États-Unis, “et c’est assez naturellement que je me suis rendue à l’évidence : c’est dans les couples franco-américains qu’on peut le plus observer cette diversité”, confie-t-elle.
      Caroline et Jason, Sonia et Aaron, Tyler et Martin, Marie et Robert, tous se sont prêtés au jeu de l’entretien. Charlotte Brelet von Sydow leur a demandé comment ils se sont rencontrés, “s’il y a des différences culturelles qui les ont marquées de prime abord ou s’il y en a qui persistent encore aujourd’hui, explique-t-elle. C’est avec l’éducation des enfants que cette distance culturelle va se cristalliser, mais aussi l’humour, la religion, ou encore la sexualité. En France, nous sommes habitués à en parler, dans la majeure partie des cas ce n’est pas un tabou pour nous, mais ce n’est pas une évidence de l’autre côté de l’Atlantique”.

      Avec cette expérience, l’auteure espère briser quelques clichés. “Je veux questionner les images et les éventuels stéréotypes sur chaque pays”, dit-elle. Mais loin de vouloir mener une étude sociologique, Charlotte Brelet von Sydow souhaite surtout présenter des couples qui l’ont attendri : “je veux mettre un peu de gaieté et de fraîcheur. Avec ce blog, je me suis découvert un goût pour l’écriture et je continue à m’amuser en photographie”.
      Depuis mars, elle publie tous les lundis un nouveau portrait en français ou en anglais. Elle est rentrée en France pour quelques mois, mais n’arrête pas pour autant d’alimenter son blog. Elle est d’ailleurs à la recherche de couples franco-américains résidant en France. De quoi, pourquoi pas, nourrir un livre.

      La pêche à New York: mode d'emploi

      • Actualité
      • Société
      • Tourisme
      Céline Bruneau
      -
      18 août 2017
      0
      La pêche à New York: mode d'emploi

      Au cours de vos balades à New York, vous avez peut être croisé des pêcheurs à la ligne, au bord de l’East River ou d’un lac de Central Park, en vous demandant ce qu’ils pouvaient bien pêcher, si les poissons étaient comestibles et si, pourquoi pas, vous pourriez vous aussi taquiner un peu le goujon à la fraîche? French Morning répond à vos questions.
      Quels sont les meilleurs coins de pêche?
      Manhattan compte un nombre de “spots” de pêche insoupçonné. Chaque pier s’y prête plus ou moins. Mais certains coins ont aussi le mérite d’offrir une vue époustouflante ou une tranquillité surnaturelle.
      Pour la vue sur la baie de New York et la Statue de la Liberté, on vous conseille le Pier A de Battery Park, idéal à l’aube ou au coucher du soleil. Pour le côté décalé, Central Park est l’endroit rêvé. Préférez un horaire matinal à moins que vous ne vouliez apparaître sur toutes les photos de touristes.
      A Brooklyn, rien de mieux que les Piers 2 à 6 du Brooklyn Bridge Park face à Manhattan. Derrière les terrains de sport, personne ne viendra vous déranger et vous serez (presque) seul face à l’East River. Prospect Park Lake fera de son côté le bonheur des amateurs de calme et d’eau douce. Pour une ambiance plus tranquille, descendez plus au sud, à Bay Ridge pour prendre place sur la jetée qui se trouve dans le prolongement de Bay Ridge Avenue.
      Peut-on manger le produit de sa pêche?
      poisson
      Mauvaise nouvelle pour les amateurs de poissons, la pêche à New York est plus un loisir qu’un moyen de remplir son estomac.
      En eau douce (océan, East River et Hudson River), la réglementation oblige les pêcheurs à relâcher les poissons. Sitôt attrapés, vous devrez donc rendre leur liberté aux carpes, perches (notamment à Prospect Park), crapets-arlequins et crapets-soleil.
      En eau de mer, la consommation est autorisée mais avec quelques mises en garde. Certes, les eaux new-yorkaises n’ont jamais été aussi propres mais la consommation est tout de même très réglementée. Raison invoquée par le département de la Santé de l’Etat de New York: des doses élevées de dioxynes, de PCB (polychlorobiphényles) et de cadmium.
      Pour les enfants de moins de 15 ans et les femmes de moins de 50 ans, consommer du poisson pêché à New York est déconseillé. Pour les autres, le département de la santé suggère de ne pas dépasser quatre repas par mois. Si vous faites partie de cette catégorie, vous pouvez faire chauffer le barbecue pour déguster des filets de limande, du bar, du “sea robin”. En revanche, évitez l’anguille qui se nourrit du sang des autres poissons et qui est donc particulièrement polluée.
      Faut-il un permis de pêche? 
      Pour la pêche en eau de mer, il n’y a pas besoin d’avoir de permis mais il faut malgré tout s’inscrire au Recreational Marine Fishing Registry. L’inscription est gratuite et valable un an.
      Pour la pêche en eau douce (à Central park, Prospect Park, Clove Lake à Staten Island), il vous faudra un permis. La licence annuelle est fixée à 25 $ et il existe également des cartes à la journée ou à la semaine. Plus d’infos ici.
      Aller plus loin… 
      Il existe à New York de vrais fans de pêche, vous les retrouverez notamment au sein du Brooklyn Fishing Club.
      Des bateaux comme le Capitol Princess proposent des excursions en mer aux amateurs de pêche sportive.
       
       
       

       
       

      Une plaque en l'honneur de Pétain bientôt retirée à New York

      • Actualité
      • Politique
      Céline Bruneau
      -
      17 août 2017
      0
      Une plaque en l'honneur de Pétain bientôt retirée à New York

      Le maire de New York, Bill de Blasio, a annoncé le jeudi 17 août la suppression prochaine d’une plaque commémorative du maréchal Pétain située sur Broadway.
      Cette annonce a été faite alors que de nombreuses municipalités américaines ont décidé, après le drame de Charlottesville, de retirer dans les délais les plus brefs tous les symboles jugés racistes et haineux. “Ce retrait est le point de départ d’une évaluation de long terme de toutes les structures publiques et les pièces d’art controversées de la ville“, a déclaré à French Morning, Ben Sarle, l’un des porte-parole de la mairie de New York.

      The commemoration for Nazi collaborator Philippe Pétain in the Canyon of Heroes will be one of the first we remove. https://t.co/hAnGmkCdtg

      — Bill de Blasio (@NYCMayor) August 16, 2017


      La plaque de granit au nom du maréchal Pétain est incrustée dans un trottoir de Broadway dans le Financial District. Elle fait partie de ce qu’on appelle The Canyon of Heroes: une promenade consacrée aux figures qui ont marqué l’Histoire. La plaque du maréchal Pétain – où son prénom est orthographié avec deux “L” – a été inaugurée le 26 octobre 1931, pour saluer le courage du militaire français au cours de la Première guerre mondiale.
      Mais neuf ans plus tard, le héros de Verdun devenait le chef du gouvernement collaborationniste de Vichy, qui allait condamner à la mort des milliers de juifs français. “Nous n’avions pas connaissance de l’existence de ces plaques, indique Jean Lachaud, responsable de l’association Le souvenir français aux Etats-Unis. Je respecte cette décision des autorités de la ville, qui concerne le rôle qu’il a joué lors de la Seconde guerre mondiale“. A quelques mètres de la plaque du maréchal Pétain, celle dédiée à Pierre Laval devrait également faire partie des structures supprimées par la ville de New York.

      Sligo Creek Elementary School (école publique à programme bilingue)

      • Education
      • Vivre ici
      Fannie Rascle
      -
      17 août 2017
      0
      Sligo Creek Elementary School (école publique à programme bilingue)

      Un petit air d’école buissonnière souffle à Sligo Creek, qui s’est choisi comme surnom « la Maison des salamandres ».
      Depuis quatre ans, l’équipe enseignante de cet établissement situé à Rockville, dans le Montgomery County, juste au nord de Sliver Spring, travaille sur un projet de « classe en plein air » installée au beau milieu de la cour. Quelque 200.000 dollars ont été investis pour installer des bancs en bois en forme d’amphithéâtre et créer des jardins qui permettent par exemple de faire des observations scientifiques ou d’organiser des « salades parties ». « Il n’y a pas de limite quand on laisse aller son imagination ! », se félicite la directrice de l’établissement Diantha Swift.
      Le programme d’immersion en français dispose de deux classes pour chaque niveau, soit cinquante élèves environ. Du côté de l’emploi du temps, du Kindergarten au 3rd Grade, le français est la seule langue parlée en classe. Pendant la seconde partie de l’année en 4th Grade, l’anglais est introduit à raison de 45 minutes, deux fois par semaine. Puis en 5th Grade, l’anglais occupe trois heures et demi par semaine. A noter que les matières artistiques, la musique ainsi que l’éducation physique sont également enseignées en anglais.
      Mais le programme en immersion va au-delà de la langue. « Quand je me promène dans les classes, je vois des élèves qui étudient la Tour Eiffel, la nourriture française, les traditions », raconte la directrice. Pour elle, c’est un des arguments qui devraient pousser les parents à envisager son école pour la scolarité de leurs enfants. « Ils ne sont pas exposés seulement au langage, ils baignent aussi dans la culture française. Et c’est une vraie ouverture d’esprit », insiste-t-elle.
      A Sligo Creek, l’enseignement des arts tient aussi une place très importante. « Notre but est que les élèves développent tout leur potentiel, qu’il soit académique, social, émotionnel et créatif », argumente encore Diantha Swift. L’école accueille ainsi deux classes de ballet et un programme de musique très développé. Chaque semaine, toutes les classes ont « chorale » pendant quarante-cinq minutes. Et certains des élèves se produisent lors du Festival des Cherry Blossoms qui se tient chaque année au printemps à Washington.
      Parmi toutes les écoles proposant un programme d’immersion en français autour de Washington, Sligo Creek présente une singularité : ses portes sont grandes ouvertes pour les enfants handicapés, avec notamment deux classes réservées pour des enfants avec le syndrome d’Asperger, une forme d’autisme. Et c’est une chance, insiste la principale Diantha Swift. « Nous avons des élèves porteurs de handicaps très différents. A leur contact, tous nos enfants comprennent qu’on peut être différent tout en apportant beaucoup à sa communauté. Quand vous croisez tous les jours pendant six ans un enfant souffrant de nanisme et qu’ensuite vous croisez une personne de petite taille dans la rue, vous ne découvrez pas le handicap, vous avez déjà une ouverture d’esprit », insiste-t-elle.
      LES PLUS
      Grande diversité des élèves et esprit de tolérance dans un établissement ouvert aux enfants handicapés, école « verte », programme autour des arts très développé
      LES MOINS
      Liste d’attente extrêmement longue, tous les professeurs de français ne sont pas de langue maternelle française, l’école n’est pas à 100% immersion français (deux autres programmes disponibles : immersion en espagnol et en chinois)
      INSCRIPTIONS
      Sligo Creek est une école de dimension régionale qui accepte des élèves venus de toute la partie sud de Montgomery County. Les parents doivent d’abord inscrire leur enfant dans l’école la plus proche de chez eux puis participer à un système de loterie pour Sligo Creek en… croisant les doigts. Pas de passe-droit, la sélection est faite par un ordinateur basé à New York. « Ce n’est pas entre nos mains, c’est impartial», prévient la principale Diantha Swift. Sligo Creek dispose de 50 places par niveau dont une vingtaine peuvent être pré-réservées pour des frères ou sœurs d’enfants déjà scolarisés dans l’école. En 2016, la liste d’attente comportait plusieurs centaines de noms…

      Longfellow Middle School (école publique à programme bilingue)

      • Education
      • Vivre ici
      Fannie Rascle
      -
      17 août 2017
      0
      Longfellow Middle School (école publique à programme bilingue)

      A Longfellow Middle School, on est d’abord fier d’être une école « verte ». Et il suffit de découvrir les trois jardins de l’établissement pour s’en convaincre : un « rain garden » avec des plantes endémiques et autosuffisant en eau, un potager où poussent des carottes près de la bibliothèque et un jardin aux papillons juste devant l’établissement. Certains élèves viennent y compris le samedi pour s’occuper de ces espaces verts !
      Durant la semaine, les élèves du programme d’immersion en français passent 100% de leur temps dans la langue de Molière. Du côté des programmes, « notre point de vue, c’est qu’une langue ne peut pas s’apprendre en dehors d’une culture. Donc, nous apprenons à lire, à parler, à écrire et à comprendre en français mais tout est immergé dans l’apprentissage de la culture française“, détaille encore Nancy Magistro Kazakos, qui supervise le « World Languages Department ».
      Dans cet établissement XXL, on trouve plus de 1.300 élèves – ceux qui ne participent pas au programme d’immersion en français peuvent malgré tout suivre des cours de français. L’école propose également des cours d’espagnol et de chinois, et du latin, ce qui n’est pas si fréquent dans la région de Washington. Les classes de 30 élèves affichent d’ailleurs complet et une liste d’attente a dû être créée.
      Falls Church, dans la proche banlieue de Washington, est une ville dont la population, très internationale, a explosé ces dernières années. A Longfellow Middle School, l’ensemble des élèves représentent plus de 90 nationalités différentes. La « nuit internationale », organisée chaque année, témoigne de cette diversité avec des spectacles de danse, de musique, des spécialités culinaires, des élèves en costumes traditionnels…
      Cette même diversité se retrouve dans les programmes après la classe. On compte plus de 80 clubs différents, du traditionnel soutien scolaire à l’exotique « cuisine internationale » en passant par les jeux vidéo ou le groupe d’écriture pour futurs écrivains. « Et si un élève ne trouve rien à son goût, il lui suffit de trouver un sponsor et de créer son propre club », promet la directrice Carole Kihm. Le système de bus scolaires permet de participer jusqu’à deux activités après la classe.
      Pour que chacun trouve sa place dans cette école, la lutte contre le harcèlement scolaire est devenue une priorité ces dernières années. Plus encore que dans les autres établissements de la région de Washington. Chaque année, John Halligan, le père de Ryan, un enfant de 13 ans scolarisé dans le Vermont et qui s’est suicidé après avoir été harcelé dans son école, vient témoigner devant les élèves  de Longfellow Middle School et diffuser une vidéo de son fils. « Nos élèves, quand ils voient ça, se mettent souvent à pleurer. C’est vraiment très fort, très émouvant.  Nous leur apprenons qu’il ne faut pas hésiter à témoigner s’ils sont témoins ou victimes de harcèlement parce que nous sommes une communauté », insiste Carole Kihm. Une communauté qui n’oublie pas les parents : « nous les invitons régulièrement, nous souhaitons leur présence au sein de l’école ». Un espace de discussion a ainsi été ouvert aux familles pour parler du cyber-harcèlement notamment.
      LES PLUS
      Parents très engagés et fort sentiment de communauté, politique de lutte contre le harcèlement à l’école, élèves issus de 90 nationalités différentes, enseignement du latin
      LES MOINS
      Etablissement de plus de 1.000 élèves
      INSCRIPTIONS
      Dans cette zone du Fairfax County, située à 25 minutes du centre de Washington et qui concentre une importante population francophone, les élèves intéressés par les programmes d’immersion en français commencent leur scolarité en 1st grade à Kent Gardens Elementary School avant de prendre automatiquement la direction de Longfellow Middle School après leur 6th grade. Pour ceux qui arriveraient dans la région en cours de scolarité, il faut vivre dans la zone géographique délimitée par les autorités locales pour être admis à Longfellow Middle School.

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