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Best Croissant in Florida: La billetterie est ouverte!

C’est le grand retour de notre fameux événement « Best Croissant » en Floride ! En 2024, le rendez-vous est donné pour le dimanche 27 octobre, toujours dans le même lieu : le splendide National Hotel à Miami Beach. Cette année et comme l’année dernière, l’événement couvrira les élections du meilleur croissant ainsi que de la meilleure baguette.

Rejoignez-nous pour une soirée de fun et de gourmandise, en famille ou entre amis. Dégustez les baguettes mais aussi les viennoiseries et autres spécialités des meilleurs artisans boulangers de Floride, et votez pour les produits que vous préférez afin de nous permettre d’attribuer le prix du public. Profitez également d’un grand buffet de fromage et de charcuterie pour accompagner votre dégustation. Pendant ce temps, un jury de professionnels effectuera la même dégustation afin de décerner le Grand Prix.

Plus d’informations sur les boulangeries finalistes ainsi que les membres du Grand Jury seront communiquées prochainement.

En attendant, n’hésitez pas à réserver vos places pour l’événement.

French Morning Media Group organise cet événement en partenariat avec la French American Association of Crafts & Trades, et avec le soutien de notre sponsor Paris Gourmet.

L’Impératrice reporte sa tournée américaine pour cause de visa

Très attendus par leurs fans américains, et après Coachella notamment en avril dernier, le groupe l’Impératrice a annoncé que sa tournée d’une douzaine de date aux États-Unis, prévue en septembre, est reportée. La faute à des visas qui se sont fait attendre trop longtemps.

La tournée est donc déplacée aux mois de janvier et février prochains. A l’occasion, une étape a été ajoutée à Atlanta, ainsi qu’une date supplémentaire à Seattle. Les tickets déjà vendus pour les représentations de septembre restent valables, certaines dates sont donc d’ores et déjà sold out (voir la liste ci-dessous).

Et si vous n’avez pas encore vos tickets, allez-y ! L’Impératrice sur scène, c’est une ambiance garantie, portée par des musiciens excellents et dont le plaisir de jouer et l’énergie sont contagieux. Le groupe, composé de Charles de Boisseguin (claviers), Hagni Gwon (claviers), David Gaugué (guitare basse), Achille Trocellier (guitare électrique), Tom Daveau (batterie), et Flore Benguigui (chant), s’est fait connaître grâce aux chansons « Vanille Fraise », « Sonate Pacifique », « Erreur 404 », et plus récemment « Peur des filles » et « Me Da Igual », leur dernier morceau sorti en mars 2024.

Les nouvelles dates  :

  • 01/14 Atlanta, The Eastern (nouvelle date)
  • 01/16 Washington D.C., The Anthem
  • 01/17 Philadelphia, Venue Upgrade
  • 01/18 New York City, Terminal 5 (Sold Out)
  • 01/19 New York City, Terminal 5 (Sold Out)
  • 01/21 Montreal, MTELUS (Sold Out)
  • 01/22 Montreal, MTELUS
  • 01/23 Toronto, Rebel
  • 01/25 Chicago, Aragon Ballroom (nouvelle salle)
  • 01/27 Denver, Ogden Theatre (Sold Out)
  • 01/28 Salt Lake City, The Depot
  • 01/30 Portland, Crystal Ballroom
  • 01/31 Seattle, Showbox (Sold Out)
  • 02/01 Seattle, Showbox (Nouvelle date)
  • 02/04 Oakland, Fox Theater (Sold Out)
  • 02/05 Oakland, Fox Theater
  • 02/07 Los Angeles, Shrine Expo Hall

Flâner dans le quartier de Greenpoint à Brooklyn

Situé au nord ouest de Brooklyn, le quartier de Greenpoint a pas mal changé ces dernières années pour devenir un quartier branché notamment développé par toute la mouvance hipster du “slow life”, dépenser le moins de taxes carbone, consommer local et bio et s’habiller en friperie. On entend même souvent dire que Greenpoint est le nouveau Williamsburg !

On aime beaucoup l’ambiance des rues plutôt calmes de ce quartier authentique, pas vraiment bien desservi par le métro, et dans lequel de nombreux bars et restaurants très sympas n’arrêtent pas d’ouvrir. Ce qu’il faut, à Greenpoint, c’est se laisser guider par son instinct, errer, pour faire des trouvailles au hasard, et avoir l’impression d’être les premiers à découvrir ses bonnes petites adresses… mais on vous en partage quelques unes ici qu’on aime particulièrement.

Greenpoint Terminal Market

En été, les samedi et dimanche si vous venez en bateau depuis Manhattan, vous débarquerez tout près du Greenpoint Terminal Market ou vous pourrez dénicher des pièces vintage sympa, et avec un peu de chance vous tomberez au milieu d’une «Roller Disco Party». Vous pourrez aussi vous faire une toile en plein air avec vue au Skyline Drive in, en voiture, en moto ou sur un fauteuil pliant ultra confort. La vue sur Manhattan est “breathtaking” comme on dit ici. Greenpoint Terminal Market, 72 Noble St. Skyline Drive in, 1 Oak St, programme ici.

Greenpoint Terminal Market ©Olivia Garcin

Avant poste de la culture Japonaise

Ces dernières années une forte concentration Japonaise s’est développée pour remplacer historiquement la communauté Polonaise du quartier. On aime beaucoup ce complexe 50 Norman qui abrite Cibone, un magasin raffiné de produits artisanaux Japonais, Dashi Okume, spécialiste du poisson séché et du dashi de Tokyo, et House, un restaurant gastronomique franco-japonais. On vous recommande aussi Acre , ou vous allez aimer vous installer au soleil dans leur petit jardin avec un matcha latte ou un bento sain et copieux mis en valeur par le savoir-faire Japonais, et même repartir avec une jolie céramique. 50 Norman Ave. Acre, 64 Meserole Ave.

Acre ©Olivia Garcin
Acre ©Olivia Garcin

Acheter du thé de qualité chez Kettl Tea ou tout provient de producteurs les plus distingués du Japon. Dans ce café-galerie vous pourrez acheter une gamme complète de thé, de céramique et d’encens japonais. Kettl Tea, 70 greenpoint Ave.

Chez Taku Sando, vous allez goûter le meilleur de la culture sandwich du Japon alias ” sando”, en commençant par leur pain au lait shokupan original cuit sur place chaque jour. Vous pourrez profiter de leur extérieur ou emporter vos” sandos” pour un pique-nique au bord de l’East River et profiter de la vue sur Manhattan. Taku Sando, 29 Greenpoint Ave.

Pour diner ou bruncher le week-end, chez Rule of Thirds, vous apprécierez leur saké brassé à Brooklyn ainsi que leur mets japonais de grande qualité, on a un faible pour leur Japanese souffle pancake… une vraie tuerie. Rule of Thirds, 171 Banker St.

On vous recommande aussi…

Rhythm Zero, c’est un joli café/galerie d’art ouvert par un jeune couple originaire de Serbie, où vous pouvez siroter un très bon café de chez Partners (voir plus haut) préparé par Alex et repartir avec un objet ou un meuble design déniché par Ivana. Les œuvres tournent, alors n’hésitez pas à y retourner. Rhythm Zéro, 32 Kent St

Pour déguster les meilleurs sandwichs du quartier on vous conseille Radio Bakery, on adore particulièrement le cauliflower sauce tahini. 135 india St.

Common Good si vous êtes vous aussi motivés à réduire les emballages plastiques à usage unique et les produits chimiques nocifs. Ce magasin est spécialisé en soins pour le corps ou produits ménagers, doux, à base de plantes, biodégradables et emballés pour être rechargés encore et encore. 96 West St.

Common Good ©Olivia Garcin
Common Good ©Olivia Garcin

The Noble, ce petit restaurant spécialisé dans les mets qui reflètent le riche patrimoine de la mer Égée, de la Turquie à la Grèce, est niché dans une très jolie Townhouse d’une de nos rues préférées du quartier .148 Noble St

Taqueria Ramirez , surtout soyez patient le week-end en voyant la longue file d’attente, les délicieux tacos “funky“de Taqueria Ramirez valent franchement le coup. 94 Franklin St.

Di An Di est un resto Vietnamien, où tout est très frais, et la déco raffinée. 68 Greenpoint Ave.

Glasserie, ce restaurant se trouve dans une ancienne usine de verre tout au bout de Greenpoint…après vous passez dans le Queens. 95 Commercial St.

Dînez ou déjeunez dans un vieux salon anglais revisité à la mode brooklynoise : Milk and Roses. Avec un jardin derrière très agréable en été. 1140 Manhattan Ave- Box St.

Milk and roses ©Olivia Garcin
Milk and roses ©Olivia Garcin

Pour une viennoiserie ou un financier avec un thé : ambiance factory fleurie chez Bakeri. 105 Freeman St.

Pour acheter une jolie boîte de thé dans une maison bien cachée : Bellocq. 104 West St.

Et si vous voulez visiter le quartier tout en étant guidée, Julie Guedj de Taste the Apple pourra vous en dire encore plus, on vous en avez déjà parlé dans French Morrning.

Greenpoint ©Olivia Garcin
Greenpoint ©Olivia Garcin

Roller, synthé, K7: Retour aux années 80 à Los Angeles

À Los Angeles, la tendance est au rétro, version années 80. Culte, le vidéo-club Vidiots vient de rouvrir dans l’East Side. Les salles de jeux d’arcade ont toujours la côte et un musée-studio dédié au synthétiseur refait tremper dans les mélodies électro-rétro. Ajouter un  nouvel engouement pour la K7, un roller toujours culte à Venice comme à Glendale, voilà l’essentiel pour changer de dimension.

Family Arcade, Pacman et Street Fighter

Ouverte au début des années 70, cette salle d’arcades n’a pas changé d’un poil. Un vrai musée en la matière, fondé par les frères Harry et David Peck, et aujourd’hui repris par leurs fils, Robert et Stephen. Passé le guichet d’entrée (25$ avec jeux à volonté), le décor tout en néons et couleurs métalliques, aux plafonds et murs couverts de faux miroirs, fait atterrir dans une autre galaxie. Dans les allées s’alignent 150 jeux, dont les plus culte des années 80 et 90, de Mario Bros aux Tortues Ninja, de Street Fighter à Pacman.

Sous la musique rock de l’époque, les visiteurs peuvent aussi prendre le volant des jeux de racing, jouer à Guitar Hero, taper dans un punching-ball électronique et partir à la pêche d’une peluche autour des machines à pinces de fête foraine. Monument du jeu à Los Angeles, Family Arcade attire aussi artistes et tournages, certaines scènes de la série « Stranger Things » y ont été même tournées. 876 N Vermont Avenue. 

Vintage Synthesizer Museum, gloire aux synthés

Séance de bain sonore chez Vintage Museum Synthetizer.

Dans le quartier d’Highland Park, le musicien Lance Bill, ancien du magasin de disques Amoeba, quittait il y a peu San Francisco pour vivre à LA et y ouvrir un musée atypique. Collectionneur depuis une vingtaine d’années des synthétiseurs, analogiques ou numériques issus des grandes marques spécialistes – Moog, Buchlas, Roland Jupiters…- le garçon réunit ses trésors, principalement des années 1960 à 1980, dans un musée portant mal son nom. Si l’endroit reste ouvert aux curieux, le Vintage Synthesizer Museum propose aux musiciens et amateurs de louer l’espace et le studio d’enregistrement maison pour composer leur propre musique (à partir de 60$ l’heure) ou de participer à des ateliers d’apprentissage.

Régulièrement, l’adresse organise des sessions de soundbath (ou bain sonore en français) où, pendant deux heures, un artiste joue sur synthétiseur des mélodies planantes. Une vingtaine de participants, certains équipés de matelas gonflables, d’autres enrobés dans des couettes, rallient tous les mois l’endroit, pour se relaxer. 1200 North Avenue 54. Sur rendez-vous.

Vidiots, le retour du vidéo-club

Les stands de DVD chez Vidiots.

Né au milieu des années 80 à Santa Monica, ce vidéo-club ressuscitait l’été dernier dans le quartier d’Eagle Rock à Los Angeles. Un ovni à une époque où le streaming et les plateformes de vidéo sont devenues légion, mais dans l’énorme sélection – plus de 60.000 titres en DVD et Blu-Ray, des comédies musicales aux films de science-fiction, d’épouvante ou des meilleures séries télé – fait découvrir des raretés bien souvent absentes des catalogues de vidéo en ligne (abonnement à partir de 100$ l’année, et location de DVD à partir de 2$).

Toujours menée par ses fondatrices, Patty Polinger et Cathy Tauber, Vidiots compte désormais une salle de cinéma (l’ancien Eagle Rock Theatre des années 40) où se projettent là encore quelques pépites rétro d’une autre époque (« Gremlins », « Phantom of the Paradise », « Maman j’ai râté l’avion »…) et aussi films indépendants et grands classiques du cinéma. 4884 Eagle Rock Boulevard. 

Jacknife Records & Tapes, temple de la K7

Des standards des années 1980-90 aux nouveautés récentes, il y a le choix des K7 et vinyles chez Jacknife & Records.

Originaire de Burbank dans la banlieue nord de Los Angeles, Trevor Baade grandit dans le quartier des maisons de disques, baladeur à la main et K7 dans les étagères. En 2012, un ancien disquaire du quartier d’Atwater dépose le bilan et propose à Trevor de reprendre l’affaire. Surfant sur le retour des ventes de vinyles et des K7 – il s’en vendrait aujourd’hui plus de 400.000 par an aux États-Unis – le garçon étoffe sa collection au fil des ans, et présente dans sa boutique de 50m2 plus de 4000 titres, 40.000 autres attendant dans les archives.

Outre les éditions d’albums récents en format K7 sorties par les maisons de disque, Jacknife & Records compile des standards des années 80 et 90 avec en pièces rares : Nirvana, Bjork, ZZ Top, Julio Iglesias ou encore Queen. La maison compte aussi un large choix de disques vinyles et un showroom spécialisé dans la réparation et la revente des boombox, ces fameux radio K7 stéréo nés dans les années 70 et popularisés par les adeptes du rap et du hip-hop. 3149 Glendale Boulevard. 

Moonlight Rollerway, la fureur roller et disco

Roller skate à vendre chez Moonlight Rollerway.

Emblème des années 80 et des soirées disco, le roller n’a jamais disparu à Los Angeles. Lieu culte des pratiquants, le Moonlight Rollerway à Glendale, compte l’une des pistes les plus mythiques de Californie. Choisi comme décor de nombreux films dès les années 70 avec Switchblade Sisters ou Roller Boogie, puis du film Beginners ou de la série Euphoria, l’endroit envoie sur son « ring » des hordes de patineurs sur des musiques 80 parfaitement calibrées.

Parmi les soirées les plus populaires, la Rainbow Skate disco night fait s’amuser toute la communauté LGBTQ et leurs amis avec tenues glitter et flashy sur le parquet. Des classes pour débutants sont aussi proposées le samedi matin (à partir de 35$) et certaines soirées sont réservées uniquement aux adultes (à partir de 8$). Sur place : hot-dog, pop-corn et sodas comme dans le temps. 5110 San Fernando Road, Glendale. Alternative à Venice : le ring du Venice Beach Skate Dance Plaza et ses week-ends DJ.

[Vidéo] Acheter un bien immobilier à Los Angeles: Marché, tendances, financement

Lors d’un webinaire dédié au marché immobilier californien, Marc de Longeville, agent immobilier francophone à Los Angeles, a partagé ses conseils sur la meilleure méthode pour acquérir un bien immobilier à Los Angeles et alentour.

Il a également fait le point sur la santé du marché immobilier en Californie du Sud et sur les opportunités à saisir, ainsi qu’un rappel général sur la fonction de l’agent immobilier aux États-Unis, assez différente de celle que l’on peut connaître en France.

Il était accompagné de Betty Benzakein, spécialiste des prêts hypothécaires conventionnels et jumbo pour les emprunteurs internationaux et nationaux chez HSBC.

De la négociation du contrat d’achat au “closing”, en passant par les options de prêts, vous aurez après avoir visionné ce webinaire toutes les cartes en main pour réaliser votre investissement dans la Cité des Anges.

Visionnez le replay ci-dessous ou directement sur notre chaine YouTube

CONTACT
Marc de Longeville, agent immobilier francophone à Los Angeles : [email protected] / 1 (213) 675-0197
Betty Benzakein, spécialiste des prêts hypothécaires conventionnels et jumbo pour les emprunteurs internationaux et nationaux chez HSBC : [email protected] / 516-341-6020

Mode d’emploi: Obtenir un passeport français pour son nouveau-né

Selon l’article 18 du code civil français, tout enfant né d’un parent français sur le sol américain possède automatiquement la double nationalité. Dans les faits, c’est plutôt simple. Il faut toutefois régler quelques formalités administratives pour réussir à tenir le passeport bordeaux entre ses mains. French Morning vous explique les démarches à suivre, étape par étape.

Déclarer la naissance 

Avant de commencer la demande du passeport, rendez-vous sur les registres d’état civil du consulat général de France (par exemple celui de Washington) pour enregistrer la naissance de votre enfant auprès des autorités françaises. À noter qu’il n’y a aucun délai imposé pour enregistrer la naissance d’un enfant, mais c’est plus rapide si vous effectuez la démarche dans les 30 jours suivants la naissance.

Il est toutefois tout à fait possible de le faire plus tard, même lorsque la personne est majeure. Plusieurs options (liées à l’âge de votre enfant lors de l’enregistrement) vous sont proposées sur le site du consulat. Choisissez celle qui convient à votre situation. Il vous sera aussi demandé quel nom de famille vous décidez d’inscrire sur le document, mais vous pouvez aussi garder celui qui figure sur l’acte de naissance américain.

Les documents à fournir

Si vous êtes marié.es, il vous faut fournir le formulaire de demande disponible en ligne, la preuve de nationalité française de l’un des deux parents, la photocopie du passeport du conjoint étranger ainsi que le livret de famille. Il faut également une copie intégrale apostillée du certificat de naissance américaine de votre enfant. Attention, le consulat renvoie systématiquement les certificats de naissance non apostillés. Lorsque tous les documents sont prêts, vous pouvez envoyer le formulaire par courrier à l’adresse fournie. 

Si vous n’êtes pas marié.es au moment de la naissance de votre enfant, il faut ajouter aux documents un acte de reconnaissance paternelle que vous pouvez obtenir auprès du consulat. Vous pouvez également demander l’Acknowledgment of Paternity ou l’Affidavit of Parentage auprès des autorités américaines.

Le consulat vous enverra ensuite par courrier le livret de famille (si vous n’en avez pas encore), ainsi que plusieurs actes de naissance français. Le service est gratuit, mais il faut compter environ 10$ pour l’envoi du courrier avec l’enveloppe « Priority Mail » ou 25 $ pour le « Priority Mail Express». Compter entre deux et trois semaines pour la réception des documents.

Inscription au registre des Français 

Ce n’est pas obligatoire, mais l’inscription consulaire en ligne est recommandée pour pouvoir faciliter les démarches administratives. Si vous ne le faites pas en amont, vous pouvez le faire lors du rendez-vous pour le passeport, mais cela prendra plus de temps.

Rendez-vous sur le site du consulat 

Vous avez enfin reçu votre livret de famille et l’acte de naissance français de votre enfant. Vous pouvez désormais prendre rendez-vous sur le site du consulat général de votre circonscription ou de celui de votre choix. Notez que les demandes de passeport sont à effectuer en personne et vous devez emmener votre enfant avec vous lors du rendez-vous. Aux États Unis, 9 consulats généraux peuvent recevoir votre demande : Atlanta, Boston, Chicago, Houston, Los Angeles, Miami, New-York, San Francisco et Washington.

Par exemple, si vous résidez à Washington DC, les rendez-vous sont à prendre ici. Si vous êtes basé.es en Californie, vous pouvez vous rendre ici (Los Angeles) ou ici (San Francisco), tandis que les Français du Texas devront aller à Houston. Pour les Français de Floride, rendez-vous à Miami. Vous pouvez aussi faire la démarche auprès de n’importe quelle mairie de France.

Se rendre au rendez-vous avec votre enfant 

Normalement, le plus difficile est passé. Si vous avez suivi les démarches, vous pouvez vous rendre au rendez-vous sereinement sans craindre l’oubli d’un document. Munissez-vous de l’acte de naissance français de votre enfant envoyé par votre consulat (de moins de trois mois), d’un justificatif de domicile, de votre passeport ou carte d’identité ainsi que de votre livret de famille. Si vous êtes divorcé.es, pensez à apporter le jugement de divorce. L’agent consulaire vous demandera également la taille de votre enfant en centimètres et sa photo d’identité conforme aux normes françaises. La liste des documents est à trouver ici.

Compter 27 euros pour les frais de droit de chancellerie (espèces et chèque non acceptés). Certains consulats proposent de venir chercher le document, mais vous pouvez aussi le recevoir chez vous. Dans ce cas, n’oubliez pas de venir au rendez-vous avec une enveloppe Fedex affranchie. Le passeport est valide 5 ans.

Publié le 27 février 2022. Mis à jour le 22 décembre 2023.

Le divorce depuis l’étranger : gérer la garde des enfants depuis l’autre bout du monde, l’histoire de Coralie

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Cette semaine, pour le troisième épisode de notre série consacrée au divorce vécu depuis l’étranger, French Expat vous invite à découvrir un récit alliant résilience et renouveau à travers l’histoire de Coralie, une maman courageuse ayant reconstruit sa vie au Québec après une séparation difficile.

Coralie nous raconte sa séparation et la dépression qui s’en est suivie. Elle nous fait part de sa peur de perdre la garde de ses enfants et de se retrouver seule. Mais ce récit lumineux se concentre sur l’après : ainsi Coralie raconte comment elle a découvert une force insoupçonnée en s’appuyant sur le soutien d’amis, qui sont devenus sa famille de cœur au Canada. Elle évoque aussi sa décision de rester au Canada avec ses deux filles après sa séparation, malgré la forte tentation de retourner en France.

Dans cet épisode, Coralie décrit son cheminement de la vulnérabilité vers la résilience. Elle partage les défis émotionnels et pratiques auxquels elle a fait face, ainsi que les petites victoires qui ont marqué sa renaissance. Avec beaucoup de sincérité et d’authenticité, Coralie nous montre que, malgré les épreuves, il est possible de retrouver le bonheur et de se reconstruire.

Un bel épisode qui met en lumière la force de Coralie face aux défis de la séparation et de la vie de mère célibataire.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Inflation Reduction Act: Côté français, beaucoup de bruit et peu de conséquences

Tout ça pour ça. Près de deux ans après son adoption, l’Inflation Reduction Act (IRA) de l’administration Biden n’a pas constitué la catastrophe un temps redoutée pour l’industrie française. En 2022, lorsque le gouvernement américain fait adopter ce plan massif de réduction d’impôts (369 milliards de dollars prévus sur dix ans) à destination des entreprises qui investissent sur le territoire américain, les craintes sont légion côté français : on estime que de nombreux industriels vont privilégier les États-Unis pour leurs futurs investissements.

Deux ans plus tard, le soufflet est retombé. Les États-Unis ont bien accueilli plusieurs projets venus de France, mais pas d’indication d’une véritable ruée vers le pays de l’Oncle Sam. « Il est encore un peu tôt pour connaître précisément les retombées de ce plan, et les investissements réels qui seront réalisés en raison de l’IRA, mais il faut garder de la mesure : les politiques industrielles ne sont pas nouvelles », explique ainsi Claudia Sahm, ancienne économiste à la Réserve Fédérale, et fondatrice de Sahm Consulting. « De nombreux projets étaient déjà prévus avant l’IRA, et auraient vu le jour quoi qu’il arrive », développe cette experte renommée de Wall Street.

Premier projet d’e-NG de Total Energies

C’est le cas notamment pour TotalEnergies, qui s’est associé à Tree Energy Solutions (TES) pour étudier et développer aux États-Unis une unité de production à échelle industrielle d’e-gaz (ou « e-NG » en anglais), un gaz naturel de synthèse produit à partir d’hydrogène renouvelable et de CO2. L’entreprise française avait ce projet dans ses cartons. Elle en profitera pour bénéficier de crédits d’impôt aux termes de la loi de 2022 sur la réduction de l’inflation (IRA).

«  Les États-Unis présentent de nombreux avantages pour le développement de notre premier projet d’e-NG et notamment des infrastructures gazières bien développées, des capacités de production d’électricité renouvelable en croissance, et d’importantes subventions publiques », déclare ainsi Stéphane Michel, Directeur Général Gas, Renewables & Power de TotalEnergies.

Même cas de figure pour la start-up française Innovafeed, spécialisée dans… les protéines d’insectes. L’usine inaugurée en avril à Decatur (Illinois) constitue un projet de longue date. Ce site de production a nécessité 10 millions d’euros d’investissements, mais la start-up voit déjà plus grand : après une année d’opération, un lieu à plus grande échelle sera lancé. Coût : 100 millions d’euros. Dans ce cadre-là, l’IRA prendra tout son sens, d’autant plus que les États-Unis déroulent le tapis rouge aux jeunes pousses innovantes, avec de grosses incitations financières à la clé.

Les projets français dans la géothermie

Le groupe Stellantis a, quant à lui, misé plus de 100 millions de dollars pour un projet de production de lithium géothermique, qualifié de « plus grand du monde », qui permettra de fabriquer les batteries d’un million de voitures électriques. Le constructeur espère pouvoir lancer 25 nouveaux modèles d’ici six ans aux États-Unis. La production implantée en Amérique du Nord offrira un accès aux avantages de l’IRA. Celsius (ex-Schlumberger), a par ailleurs profité, entre autres, de l’Inflation Reduction Act pour mener un projet de géothermie d’envergure, dans le Massachussetts.

Autre exemple : Vinci s’est placé sur le secteur des renouvelables de ce côté-ci de l’Atlantique en investissant dans une start-up, NatPower. Le but : développer des projets d’énergie renouvelable aux États-Unis, essentiellement photovoltaïque et éolienne terrestre. Un autre mastodonte du Cac 40, Veolia, a fait des États-Unis une cible de choix. Le pays de l’Oncle Sam, qui représente aujourd’hui 11% du chiffre d’affaires du groupe, a été identifié comme l’une des zones de forte croissance, avec l’ambition d’y doubler le chiffre d’affaires (5,4 milliards de dollars l’an dernier) d’ici à 2030. Impliquée dans trois secteurs phares (gestion de l’eau, des déchets et chauffage urbain), l’entreprise française lorgne sur la construction d’usines qui nécessitent de grands volumes d’eau purifiée et recyclée pour fonctionner, et qui sont parfois développées dans des zones déjà très sèches, comme en Arizona.

Qu’en sera-t-il dans le futur ? Les vraies retombées de l’IRA se verront dans les années à venir, lorsque les déclarations d’impôts des sociétés auront été transmises aux services fiscaux. Goldman Sachs a déjà prévenu que le montant prévu, ces 369 milliards sur dix ans, allaient être allègrement dépassés sur cette période. Par combien d’entreprises françaises ?

Concours de la meilleure baguette de Washington DC: Votez pour désigner les finalistes

C’est le retour d’un événement que l’on aime particulièrement chez French Morning, car non seulement il met en valeur un savoir-faire extraordinaire – celui des meilleurs boulangers et boulangères de l’agglomération, mais il nous permet également de nous retrouver dans une ambiance délicieusement festive !

Le concours de la meilleure baguette réunit chaque année plusieurs centaines d’entre-vous dans plusieurs villes des États-Unis ainsi qu’au Royaume-Uni, et c’est donc avec beaucoup de joie que nous annonçons la tenue de l’édition 2024 du concours de la meilleure baguette de Washington DC cet automne ! Elle se déroulera le lundi 21 octobre de 6:30pm à 8:30pm, à La Maison Française, au sein de l’Ambassade de France aux États-Unis.

Aujourd’hui, nous avons besoin de vous pour savoir quelles boulangeries convier à ce grand événement. Votez pour les meilleures baguettes de la région ici. Ce sont vos votes qui définiront la liste des boulangeries qui seront invitées à participer à la grande compétition du 21 octobre.

Goûtez et votez!

Vous êtes déjà nombreux à en connaître le principe : lors de cette croustillante soirée, vous aurez l’occasion de goûter les pains, baguettes et autre création originale d’artisans et artisanes hors pair. Puis, une fois la tournée des stands terminée, vous pourrez voter pour votre baguette préférée et ainsi décerner le Prix du public. Le tout accompagné d’un buffet de fromages, de charcuterie et d’un verre de vin.

Un autre prix sera attribué, celui d’un jury de professionnels. Des chefs et experts goûteront, à l’aveugle, les baguettes en compétition et voteront, tout comme vous, afin d’attribuer le Grand Prix de la meilleure baguette de Washington DC.

Désignez vos boulangeries préférées

Mais avant de nous retrouver le 21 octobre, nous avons besoin de votre aide pour désigner les boulangeries qui auront la chance de participer à la finale. Partagez avec nous le nom de vos boulangeries préférées en remplissant ce formulaire avant le 23 août. Nous comptons sur vous !

? Les billets pour la finale sont d’ores et déjà en vente ici. Un conseil : ne tardez pas trop à prendre vos places…

L’édition 2024 du concours de la meilleure baguette de Washington DC est sponsorisée par l’importateur de produits française Paris Gourmet, et sa marque de beurre Beurremont.

New York : le « sticker shock » des nouveaux arrivants Français

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Iced coffee dans une main et un grand sourire aux lèvres, Florent (prénom changé à la demande de l’intéressé) profite de ses premiers mois à New York. Début février, ce quadragénaire a quitté une situation très confortable à Paris pour suivre son épouse, mutée à Manhattan. « Avec nos deux enfants, nous habitions un vaste appartement dans le XVIe arrondissement. Je travaillais dans une banque et j’ai démissionné », raconte-t-il. « Mais je ne regrette rien. On aime beaucoup la vie ici, le dynamise, le sourire, l’enthousiasme des Américains. Même si financièrement, c’est un sacré investissement ! »

Vivre à New York coûte cher, très cher. Avec ses loyers exorbitants et son coût de la vie élevé, The Big Apple est considérée comme la ville la plus chère des États-Unis. Et on a beau être préparé, la réalité fait souvent mal.

Des logements plus petits et bien plus chers

Dans le XVIe arrondissement parisien, Florent vivait dans près de 110 mètres carrés. À New York, « nous habitons près de Time Square, dans un appartement qui doit faire 80 mètres carrés, indique-t-il. « Nous payons 7.000 dollars de loyers, deux fois plus qu’à Paris ». Et, s’il est satisfait de l’école franco-américaine de son fils, « elle coûte autour de 40.000 dollars l’année. Sans compter la crèche de ma fille, environ 3.000 dollars par mois ».

En tant qu’expatriée, l’épouse de Florent reçoit 4.000 dollars par mois en housing allowance de la part de son entreprise, qui couvre aussi les frais de scolarité de son fils à hauteur de 25.000 dollars par an. « Les aides de mon épouse durent trois ans. Cela me laisse largement le temps de retrouver un emploi », estime le Français.

Selon la base de données en ligne Numbeo, le salaire moyen après impôts à New York est d’environ 5.700 dollars par mois, et d’environ 3.125 dollars (2.916 euros) à Paris. Mais à Paris, ville la plus chère de France, un appartement avec un salon et une chambre coûte en moyenne 1.456 dollars (1.359 euros). L’équivalent new-yorkais monte à 4.300 dollars. 

Des restaurants décevants

Côté transports, un pass Navigo parisien coûte environ 90 dollars (86 euros) par mois. À New York, pas de forfait mensuel, vous devez débourser 2,90 dollars à chaque trajet. Si vous utilisez le sans contact de votre téléphone, les trajets sont gratuits, chaque semaine, après 34 dollars dépensés. Mais cela représente quand même 136 dollars par mois !

Globalement, le coût de la vie est supérieur de 25% côté américain. Les courses sont en moyenne 20% plus chères qu’à Paris, et les restaurants 30%.

Comme Florent, Claude, tout juste 60 ans, cherche un emploi. Avec sa femme et son fils de 11 ans, ils se sont installés à New York en août dernier. S’il peste contre son loyer de 8.000 dollars, il est particulièrement contrarié par la nourriture new-yorkaise.

Le couple débourse environ 1.300 dollars par mois en courses. En France, ils habitaient à Colombes, à côté de Paris, et sortaient souvent au restaurant. Une habitude perdue outre-Atlantique. « Pour 50 euros, on mangeait très bien », se souvient Claude. « Ici, vous pouvez payer le double et être complètement déçu. C’est généralement trop gras, trop lourd. En dix mois, j’ai perdu 13 kilos ! »

Une offre culturelle appréciée

Mais Claude se dit heureux à New York, une « ville fantastique ». Le Français apprécie la multitude d’offres culturelles proposées, cette fois à moindre coût. « Comme j’ai ma carte de résident, je peux payer le montant que je souhaite pour accéder aux musées publics », indique-t-il.

Les musées de New York, Christine, la cinquantaine, les connaît bien. Au point d’avoir décroché un poste de volunteer au Metropolitan museum. « J’ai un visa H4 qui ne m’autorise pas à avoir une activité rémunérée. Bien que mon poste au MET ne soit pas payé, il est valorisé comme un vrai job. »

Avec sa petite dernière et son mari, enseignant chercheur embauché à New York University (NYU), Christine s’est installée à Manhattan en août dernier. Leur appartement à Washington Square appartient à l’université. Grâce à son loyer sponsorisé et contrôlé, ils ne déboursent que 2.300 dollars chaque mois, sans risque d’augmentation les prochaines années. Un avantage pour la famille, qui ne pensait pas avoir à débourser entre 40.000 et 55.000 dollars pour l’année scolaire de leur fille. 

New York, ville des extrêmes

« Notre situation nous permet de vivre confortablement, même si la moitié du salaire part en impôts, taxes et cotisations. Les restaurants sont aussi trop chers pour ce qu’ils offrent » estime Christine. « Le niveau sonore est trop élevé. La course aux ‘tips’ incite les serveurs à faire tourner les services rapidement pour accueillir plus de clients. »

Mais comme Florent et Claude, Christine apprécie sa vie new-yorkaise, louant le dynamisme de la ville et la multitude d’offres culturelles. Pour elle, New York est la ville des extrêmes, où il est facile de débourser des centaines de dollars en une soirée, comme pour les « spectacles fantastiques » de Broadway, et tout aussi simple de profiter de concerts et d’expositions gratuits, sur les grandes avenues et près des lieux touristiques.

Retour en images sur le Bastille Day 2024 à Summer Stage

La Bastille Day de New York, organisé par le Consulat de France, était de retour ce 14 juillet à Summer Stage, à Central Park et a battu tous les records: entre 10 et 12000 personnes selon les organisateurs. Une longue file d’attente pour certains mais un spectacle plein en récompense.

Ce 14 juillet était le premier Bastille Day du tout nouveau Consul Général de France à New York, Cédrik Fouriscot, arrivé courant juin dans la Grosse Pomme.
Entre 10 000 et 12 000 personnes se sont retrouvées au Summerstage de Central Park pour assister aux concerts de Magic System, IAM et Laurie Darmon, entre autres.
Laurie Darmon, jeune auteure-compositrice-interprète française, a fait un arrêt à New York à l’occasion de ce Bastille Day lors de sa tournée nord-américaine.
Magic System étaient aussi présents pour Bastille Day au Summerstage de Central Park. French Morning les a rencontrés peu avant l’événement pour une interview à retrouver ici.
Le groupe a fait danser les Français présents avec ses titres phares tel que l’incontournable “Magic In the Air”.
Akhenaton (à gauche) et Shurik’n (à droite) d’IAM étaient de retour à New York pour le plus grand plaisir des Français présents à Bastille Day.
Groupe mythique du rap français des années 80, IAM expliquait à French Morning son attachement pour les États-Unis avant Bastille Day.
Dès la nuit tombée, le DJ français The Avener a pris ses platines pour faire danser jusque tard la foule.
La chaleur new-yorkaise n’a pas empêché Français et francophiles de danser jusqu’au bout de la nuit.

Le divorce depuis l’étranger : Partir pour survivre, l’histoire poignante de Benjamin

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French Expat vous propose cette semaine un épisode porteur d’espoir sur la reconstruction après des violences conjugales, à travers le témoignage de Benjamin, un ingénieur français installé en Arizona.
Benjamin partage avec nous son histoire en tant que victime de violences conjugales de la part de sa partenaire. Un sujet souvent méconnu et qui regorge de tabous. Il raconte son parcours difficile pour faire reconnaître les abus qu’il a subis, les obstacles juridiques qu’il a surmontés, et la lutte contre les stéréotypes de genre profondément ancrés dans la justice américaine. Au cours de cet épisode, Benjamin décrit son combat pour obtenir justice, notamment lors de son procès dans lequel il a décidé de se défendre lui-même. Il aborde également les défis liés à la garde partagée de son fils.
Mais malgré les difficultés, Benjamin trouve la force de se reconstruire et partage avec beaucoup d’optimisme sa vision de l’avenir. Il nous raconte comment il a trouvé soutien et résilience au sein de son entourage, et évoque son projet de reconversion professionnelle pour aider d’autres personnes confrontées à des situations similaires.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.