Après Frédéric Beigbeder, Patrick Timsit est la deuxième personnalité française à se plier au #SixInTheCity, six questions sur la culture populaire américaine ou les Etats-Unis en général.
L’humoriste français était à New York les 3 et 4 février pour présenter au FIAF “On ne peut pas rire de tout”, un spectacle joué en français mais basé sur l’exercice américain du stand-up, où noirs, blancs, juifs et handicapés en prennent pour leur grade.
Plutôt Manhattan ou Brooklyn? #SixInTheCity avec Patrick Timsit
Le festival musical d'Essaouira fête ses 20 ans aux Etats-Unis
Festival de musique traditionnelle marocaine organisé chaque année à Essaouira au Maroc, le Gnaoua Festival Musiques du Monde fêtera en juin ses 20 ans. L’occasion d’une tournée internationale, qui passera par les Etats-Unis.
Le Gnaoua Festival Tour posera d’abord ses valises à New York le 16 mars pour un concert au Lincoln Center qui débutera à 7:30pm. Les grands maâlems Gnaoua -spécialistes de cette musique ancestrale- se produiront ensuite le 18 mars à 6pm au John F. Kennedy Center for the Performing Arts à Washington, avant de revenir à New York pour un dernier concert à Pioneer Works à Brooklyn le 19 mars à 6pm. Les deux premières dates sont gratuites et ouvertes à tous. Les places pour le concert à Pioneer Works sont disponibles sur réservation au prix de 30$.
Lors de la tournée, les maâlems Gnaoua proposeront en première partie leur répertoire traditionnel, avant d’accueillir des artistes de renommée internationale pour des concerts de fusion inédits, expliquent les organisateurs sur leur site internet.
Les Gnaouas sont des maghrébins descendants d’esclaves d’Afrique noire, déportés après la conquête du Maghreb par les Arabes au VIIème siècle. La musique Gnaoua se caractérise pas ses rythmes, ses sonorités, mais aussi les tenues colorées et les danses traditionnelles de ceux qui la pratiquent.
La librairie Albertine lance son prix littéraire
Note de la rédaction: En raison de la neige, cet événement est reporté au jeudi 16 mars même heure, même lieu
La librairie française Albertine lance son Prix littéraire. Dix romans français, traduits en anglais ces quatre dernières années, seront présentés le jeudi 16 mars lors de la soirée de lancement du “Albertine Prize”.
La soirée est gratuite et ouverte à tous (RSVP obligatoire). Elle sera l’occasion d’assister, autour d’un verre, aux lectures des œuvres en lice. Des acteurs comme Matthew Brown (“Oh Boy !”) liront des extraits des versions anglaises, tandis que les invités pourront découvrir et échanger sur les ouvrages en compétition.
Liste complète des œuvres nominées
Couple Mechanics (Moment d’un couple) de Nelly Alard, chez Other Press et Gallimard
Constellation d’Adrien Bosc, chez Other Press et Stock
The Heart (Réparer les vivants) de Maylis De Kerangal, chez Farrrar, Stauss & Giroux et Verticales
Eve Out of Her Ruins (Eve de Ses Décombres) d’Ananda Devi, chez Deep Vellum Publishing et Gallimard
The Little Communist Who Never Smiled (La Petite Communiste qui ne souriait jamais) de Lola Fafon, chez Seven Stories Press et Actes Sud
Suite for Barbara Loden (Supplément à la vie de Barbara Loden) de Nathalie Léger, chez Dorothy, a publishing project et P.O.L
Ladivine de Marie Ndiaye, chez Knopf et Gallimard
Infidels (Infidèles) d’Abdellah Taïa, chez Seven Stories Press et Le Seuil
Naked (Nue) de Jean-Philippe Toussaint, chez Dalkey Archive et les Editions de Minuit
Bardo or Not Bardo d’Antoine Volodine, chez Open Letter Books et Le Seuil
Le 18 avril, la librairie organisera aussi une “Book Battle” durant laquelle des personnalités du monde littéraire défendront leur roman favori. Le Prix Albertine sera ensuite décerné en fonction du vote des lecteurs. Ces derniers pourront voter pour leur roman favori du 16 mars au 30 avril sur le site web d’Albertine. La cérémonie de remise du prix aura lieu le 6 juin. L’auteur gagnant et son traducteur se verront alors honoré du prix Albertine durant la soirée.
Benoit Cohen, le réalisateur devenu chauffeur de taxi à New York
« Père et fils asiatiques. Le môme ne décroche pas de sa console vidéo. Zéro échange. 9.30$ ». Lundi 4 janvier 2016, 7h50. L’heure de la première course pour Benoit Cohen. Quelques mois auparavant ce Français, 46 ans, producteur et réalisateur de films a passé sa licence à Queens. Des semaines de cours, de galères de paperasse, de tests, de files d’attente pour enfin devenir taxi driver new-yorkais.
A l’origine de ce changement radical de vie, pas de problème d’argent ou de crise de la quarantaine. Non, l’idée tenace d’un film qui parlerait d’une Française chauffeuse de taxi, débarquée à New York, et dont on ignore le passé. Par souci de vérité, Benoit Cohen, arrivé en 2015 avec sa femme, elle aussi réalisatrice, et leurs deux enfants, décide de s’immerger totalement dans le personnage de son futur long-métrage. « Il fallait que je sache de quoi j’allais parler, explique le réalisateur. Et la meilleure façon, c’était de devenir mon personnage. J’ai tapé sur internet : comment devenir chauffeur de taxi et voilà, c’était le début de l’aventure ».
Si le film doit être tourné à l’automne prochain, l’expérience a aussi donné lieu à un récit, Yellow Cab, paru chez Flammarion, le 1er mars. Il en parlera ce mercredi 15 mars à la librairie Albertine.
« Mon cœur bat à deux cents à l’heure. Je transpire. Et si je ne comprends pas ce que me disent les clients ? Si mon GPS tombe en panne ? Si je me perds ? », raconte Benoit Cohen dans son livre. « C’est une expérience assez forte, de voir monter des gens nouveaux, dont on ne connait rien, à chaque course ». Une remise en question, une plongée dans l’inconnu, au volant d’un taxi jaune. « En tant que réalisateur, j’ai toujours eu l’habitude de tout contrôler. Là, j’étais obligé de jouer le jeu, de me laisser guider par les passagers, de répondre à leurs demandes, de subir leurs humeurs, d’être totalement au service d’inconnus qui pouvaient m’emmener où ils voulaient ».
85th St & Madison, La Guardia Airport, Flatbush, Greenwich Village, Harlem. Avec Yellow Cab, le lecteur est emporté aux quatre coins de New York. Des quartiers chics aux recoins où l’on évite de marcher seul. « J’avais l’impression de bien connaître mais en fait j’ignorais de nombreux quartiers, raconte Benoit Cohen. J’ai beaucoup aimé le nord de Central Park et le Bronx ».
Le récit mélange habilement et avec rythme, les courses, les souvenirs familiaux, les réflexions cinématographiques qui s’invitent dans les journées derrière le volant. A bord du taxi jaune, on apprend beaucoup sur les habitants de New York. Les riches, les ouvriers, les très très riches, les étudiants, les infirmières, les seniors: « C’est ça qui est intéressant, précise le réalisateur. C’est pour cette raison que je ne voulais pas être un chauffeur Uber car ce n’est pas la même clientèle. Dans le yellow cab, on trouve toutes les populations ».
Des clients muets, des clients snobs, des clients bavards qui racontent leur vie, comme à un ami ou à un psy: il voit de tout. « Les gens savent qu’ils ne reverront jamais la personne qui est au volant. Ça les pousse à se livrer, à se confesser, à probablement même inventer des histoires. C’est une des choses que j’ai préférées dans cette expérience, » confie le réalisateur. Benoit Cohen est l’auteur de six films parmi lesquels “Nos Enfants chéris” (2003) et “Tu seras un homme” (2013). Pour aucun de ses longs-métrages, il n’avait ressenti ce besoin de s’immerger aussi profondément dans la peau d’un personnage, même s’il s’est toujours nourri de ses expériences personnelles ou de sa vie privée.
Etre chauffeur de taxi à New York rend humble, estime le réalisateur, qui peinait à gagner 150 $ en 11 heures derrière son volant, et en se levant à 5am. Celui qui déclenche le compteur est invisible pour le passager qui devine au mieux un profil. Yellow Cab, ce n’est pas le rêve américain, c’est l’envers du décor dans la fourmilière qu’est New York: « La lutte des classes, l’immigration, le déracinement, l’endurance, l’humilité, la tolérance, l’injustice, l’exil, la peur… » .
Dans les coulisses de l'Oculus avec FrenchFounders et Kusmi Tea
Depuis l’été 2016, la bâtiment futuriste de l’Oculus abrite le centre commercial Westfield World Trade Center. En décembre dernier, la marque Kusmi Tea y ouvrait sa boutique-vitrine.
Pour comprendre la stratégie commerciale du géant du thé mais aussi les dernières innovations dans le secteur du retail, FrenchFounders, réseau de patrons et cadres-dirigeants français aux Etats-Unis, organise un petit-déjeuner au cœur même de l’Oculus. L’occasion de rencontrer Raphaël Camp, COO de Kusmi Tea, ainsi que Rachel Kraus et Steve Roche du Westfield World Trade Center.
Le petit-déjeuner est réservé aux membres de FrenchFounders. Les non-membres doivent faire une demande de participation.
Comment gérer au mieux ses biens immobiliers en France quand on est expatrié ?
(Article partenaire) Comme la plupart des expatriés, vous détenez au moins un bien immobilier en France ? Il s’agit souvent de votre ancienne résidence principale, louée pendant la durée de votre expatriation. Êtes-vous satisfait du mode de gestion locative actuel ? Du niveau de loyers dont vous disposez ? Avez-vous pensé à investir dans d’autres biens locatifs en France ? Si vous répondez “oui” à au moins une de ces questions, alors la suite va vous intéresser…
Gestion de biens immobiliers en France quand on est expatrié
Les Français expatriés doivent faire face à plusieurs difficultés quant à la gestion de leurs biens en France.
D’abord, chaque bailleur doit bien connaitre la réglementation française en termes de location. Les obligations évoluent en permanence, que ce soit pour la liste des diagnostics obligatoires, les niveaux de loyers à respecter ou encore les formalités de rédaction des baux. Chaque année, le législateur complexifie un peu plus le droit immobilier et vous devrez rester informé de chaque évolution pour respecter vos nouvelles obligations.
Ensuite, le fait d’être géographiquement éloigné rend difficile la gestion des problèmes du quotidien. Certains expatriés cherchent à pallier à ce problème en demandant l’aide d’un proche lorsqu’ils ont un ami ou de la famille à proximité du bien. Il peut être nécessaire de se déplacer pour constater d’éventuels problèmes dans la gestion du bien, ou tout simplement son état entre le départ d’un locataire et l’arrivée d’un autre.
Pour ces différentes raisons, il est nécessaire de faire appel à un gestionnaire immobilier sur place. Celui-ci doit être professionnel, réactif et fiable afin d’être un partenaire sur lequel vous pourrez vous reposer en pleine confiance. Mais comment choisir ce partenaire ?
Le gestionnaire immobilier doit gérer au jour le jour avec rigueur
La première qualité d’un bon gestionnaire, c’est sa connaissance du droit immobilier. Chez Expat-Gestion, les différents gestionnaires sont formés et diplômés en gestion immobilière et droit immobilier. C’est pour vous la garantie de disposer de documents juridiques mis à jour en permanence, donc en accord avec les normes obligatoires pour la gestion locative à Paris ou ailleurs en France. Ils pourront par exemple vous expliquer la loi Alur qui a apporté de nouvelles contraintes, dont l’encadrement des loyers à Paris. Cet encadrement est subtil et les gestionnaires Expat-Gestion vous permettront d’optimiser au mieux les niveaux de loyers afin de disposer du maximum de revenus locatifs pour vos biens, tout en restant en accord avec la loi.
La réactivité du gestionnaire, qualité primordiale pour un patrimoine sécurisé
Une fois le contrat de bail signé et le loyer optimisé, il faut gérer le bien au quotidien. La réactivité, c’est d’abord d’être à l’écoute des locataires afin de répondre à leurs différentes questions et être vigilant quant à l’entretien du bien, et la perception des loyers. 7 impayés sur 10 sont dus à un manque de vigilance et de réactivité des bailleurs. Il est donc primordial de réagir très vite en cas de retard de paiement, et en respectant la bonne procédure, afin de ne pas laisser un simple retard de loyers devenir un vrai problème.
Enfin, en tant que client, vous apprécierez la réactivité du gestionnaire lors des différentes demandes que vous lui adresserez. Cet aspect prend du sens lorsque vous avez déjà confié votre bien en gestion à une grosse enseigne… Elles sont en général injoignables et évitent au maximum l’échange avec le client car il prend du temps.
Expat-Gestion dispose d’une équipe à taille humaine, très appréciée pour sa réactivité. La gestion au quotidien et la rigueur de l’agence lui permettent d’afficher fièrement un taux d’impayés de… 0%. Sur les 300 lots que nous gérons au quotidien, aucun n’a fait l’objet d’impayé dans les 5 dernières années. Et ça, ça compte pour nos clients.
Gestion locative pour expatriés : les missions que nous assurons
Les différentes missions que nous assurons pour vous sont :
- la réalisation de photos de vos biens,
- la rédaction d’annonces professionnelles,
- la diffusion de votre annonce sur tous les sites professionnels spécialisés,
- la réalisation des visites,
- la collecte et la sélection des dossiers de candidats à la location,
- la rédaction du bail de location,
- la souscription d’assurance loyers impayés si c’est votre souhait,
- la réalisation de l’état des lieux d’entrée,
- la gestion opérationnelle des problèmes et imprévus en cours de bail,
- la collecte et le reversement des loyers chaque mois,
- l’état des lieux de sortie,
- le récapitulatif et aide à la déclaration des revenus issus de la location.
Enfin, nous pourrons également vous conseiller des spécialistes à chaque étape de vos projets immobilier : financement d’un nouveau projet immobilier en France, gestion d’un nouveau projet d’investissement immobilier, conseil fiscal.
Expat-Gestion : gestion locative à Paris, en Île-de-France et à Lyon
Présent à Paris, en région parisienne et à Lyon, notre cabinet d’administration de biens est spécialisé dans l’accompagnement des bailleurs expatriés. Vous profiterez d’une gestion professionnelle, avec une approche par l’optimisation du rendement.
Expat-Gestion fait partie du groupe MRZ, spécialisé dans le développement et la gestion de patrimoine immobilier pour le compte d’expatriés. Ainsi notre groupe compte aussi Investissement-Locatif.com, leader de l’investissement locatif en meublé à Paris, en Île-de-France et à Lyon. Cela vous assure de bénéficier d’une équipe professionnelle et qualifiée à chaque étape de vos projets. Un seul interlocuteur de confiance, au service de votre patrimoine.
Pour contacter Expat-Gestion et obtenir plus d’informations, cliquez ICI !
Expat-Gestion, 169 rue de la Roquette 75011 Paris
+ 33 1 84 17 37 08
Skype : Expat-Gestion
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5 stations pour skier près de Washington
Pas besoin de prendre l’avion quand on aime le ski et qu’on habite à Washington. Il suffit de rouler quelques heures, de prendre un peu d’altitude et la neige est à portée de spatules. A chaque station, son style. Il ne vous reste qu’à choisir le vôtre.
Massanutten Resort, la plus familiale
A 2h30 de Washington, Massanutten Resort en Virginie, c’est la destination parfaite pour un week-end en famille. Vous pouvez loger à l’intérieur même de la station, dans des appartements standards, ou réserver une grande maison entre amis juste avant d’arriver dans la station. Une fois les fixations réglées, 14 « trails » vous attendent, de quoi contenter toute la famille. Comptez 70 dollars la journée (tarif maximum pour un adulte, le week-end). A partir de 4pm, un forfait à 40 dollars est proposé pour profiter de quelques heures de ski de nuit. Si la météo n’est pas au beau fixe, vous pouvez profiter du WaterPark, une piscine géante chauffée à 28 degrés avec des toboggans et une rivière qui coule au milieu.
Wisp Resort, la plus nature
Si les abords de la Shenandoah vous ont laissé un peu sur votre faim côté grands espaces et que vous avez envie d’un terrain de jeu un peu plus montagnard, prenez la direction du Maryland et de la station Wisp Resort. Trois heures de route pour rejoindre les rives calmes du lac Deep Creek, mais le paysage vaut le détour. Wisp propose 34 pistes, avec un bon équilibre de 35% pour les débutants, 38% pour le niveau intermédiaire et 27% pour les « experts ». Le forfait à la journée coûte au maximum 79 dollars pour un adulte en période de vacances scolaires.
Whitetail Resort, la plus « dernière minute »
A moins de deux heures de Washington, vous n’avez même pas besoin d’être en vacances pour profiter de Whitetail Resort, une fin d’après-midi ou une soirée suffisent. Les 23 pistes de cette station de Pennsylvanie sont toutes éclairées pour pouvoir skier à la nuit tombée. Le forfait coûte au maximum 79 dollars mais seulement 47 dollars pour la session nocturne 5pm-10pm. Et c’est sans compter les 40% qu’offre la carte “Advantage” si vous faites plusieurs sorties dans la saison. Pour tous ceux qui ne peuvent pas résister à l’appel de la poudreuse, c’est assurément le meilleur plan.
White Grass Touring Center, la plus nordique
On peut aimer la glisse et ne pas avoir envie de pistes pentues à dévaler les cheveux au vent… White Grass Touring Center, à trois heures de Washington (attention aux bouchons quand même sur la I-66), c’est le paradis du ski de fond. Avec des prix imbattables côté forfait par rapport au ski de descente : 20 dollars pour les adultes, 5 pour les enfants ! Pour un sandwich ou un chocolat chaud, faites une pause au Café, cuisine aux petits oignons et musique live en plus. Vous êtes en « West Virginia », l’hymne de John Denver ne vous quittera pas.
Seven Springs Mountain Resort, la plus « esprit libre »
Bienvenue en Pennsylvanie, dans le paradis des amateurs de snowboard et des fous de freestyle en général. A presque trois heures et demie de route de Washington et avec un forfait à presque 90 dollars pour un adulte pendant les vacances scolaires, Seven Springs Mountain Resort est l’adresse la plus éloignée et la plus coûteuse de notre sélection mais l’effort sera mérité. Elle propose 33 pistes, 7 espaces aménagés pour le freeride, de quoi s’amuser pendant de longues heures. Et à la nuit tombée, l’offre de spas et autres piscines chauffées devrait vous permettre de recharger les batteries.
"La France Insoumise" de Mélenchon se rassemble à New York
“La France Insoumise” de Jean-Luc Mélenchon est aussi à New York. Les “Insoumis” organisent une réunion publique le 18 mars au Lucky Bar (Alphabet City). Catherine Benoît, suppléante d’Eléonore Gachet, candidate du mouvement à la législative en Amérique du Nord, sera sur place.
C’est le premier meeting public de “La France Insoumise” à New York. Il doit coïncider avec la Marche pour la 6ème République qui se déroulera à la Bastille. Cette refonte des institutions fait partie des grands axes du programme de Jean-Luc Mélenchon pour la présidentielle.
Investir dans l’immobilier à New York : bien s’entourer est primordial
(Article partenaire) L’achat d’un appartement est toujours un investissement important, pour lequel on veut avoir toutes les clés en main. Quand cet appartement se situe à New York, on peut dire que c’est l’investissement d’une vie. Alors pour être le mieux armé possible, il est important de s’entourer des bonnes personnes. Jean-Luc Teinturier, agent immobilier français basé à Manhattan depuis 37 ans, nous explique quelle dream team réunir pour avoir toutes les chances de son côté.
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Le banquier
Il est primordial de préparer son acquisition en amont avec un banquier. “Le marché est très dynamique, il faut toujours être préparé et réactif”, insiste Jean-Luc Teinturier. Soyez d’autant plus prévenant si vous n’habitez pas New York et avez donc un statut d’investisseur étranger : les banquiers seront plus réticents à vous aider si vous ne possédez pas de credit score. Pour trouver le bon professionnel, il faudra compter sur votre réseau, et plus particulièrement sur votre agent immobilier.
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L’avocat
Votre avocat sera en charge de la due diligence. Il vérifiera tous les aspects de votre investissement pour vous avant que vous ne vous engagiez financièrement. Il jouera également le rôle de notaire (pour un coût modique par rapport aux notaires français, avec des honoraires fixes allant de 3 à 5000 dollars).
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L’expert comptable
Choisir un expert comptable spécialisé dans l’immobilier vous assure une gestion optimale de vos biens. Une fois l’appartement acquis, il se chargera de vos déclarations annuelles ou encore des comptes de l’appartement.
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L’architecte
Si vous avez pour projet d’effectuer des travaux dans votre nouveau bien immobilier, pensez bien à choisir un architecte au préalable, à ne pas attendre la dernière minute. Cela évitera une perte de temps inutile une fois le contrat signé.
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L’agent immobilier
Et enfin, la personne la plus importante, le “chef d’équipe” en quelque sorte : l’agent immobilier.
En plus de vous représenter et de défendre vos intérêts auprès du vendeur, de vous accompagner et de vous conseiller tout au long de votre parcours d’acheteur, c’est également lui qui vous mettra en connexion avec tous les autres professionnels dont vous aurez besoin et dont nous venons de parler plus haut. Un bon agent immobilier est donc un agent immobilier qui possède un réseau étendu de personnes qualifiées aux compétences complémentaires, permettant à ses clients d’avoir accès à des professionnels fiables facilement.
— À propos de Jean-Luc Teinturier —
Jean-Luc Teinturier, agent immobilier français arrivé à new York il y a 37 ans maintenant, est un agent biculturel qui comprend aussi bien les attentes de la clientèle française que les exigences du marché américain. Il connaît la ville comme sa poche, possède un réseau étendu composé des meilleurs professionnels du secteur (spécialisés dans l’immobilier et francophones), et n’hésite pas à l’utiliser pour aider ses clients à dénicher le bien idéal dans la Big Apple.
Un contexte favorable…
Si le marché immobilier de New York a battu de l’aile pendant plus d’un an, il est maintenant en phase de stabilisation. Le marché est donc plus sûr, mais les marges de négociation restent intéressantes, ce qui fait de 2019 une très bonne année pour investir. Contactez Jean-Luc Teinturier dès aujourd’hui pour discuter de votre prochain investissement immobilier.
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Législatives 2017: sans vote électronique, comment puis-je voter ?
Le gouvernement a tranché: il n’y aura pas de vote par Internet aux législatives de 2017. L’occasion de rappeler les autres manières de voter au scrutin des 3 et 17 juin (dates pour l’Amérique du nord).
- Vote à l’urne
C’est la méthode la plus simple si vous habitez près d’un bureau de vote. Suite à l’annulation du vote électronique, le Quai d’Orsay a promis d’augmenter le nombre de bureaux à l’étranger. Il n’est pas clair combien ni où dans la circonscription (Etats-Unis et Canada) de nouveaux bureaux seront installés. Les adresses des bureaux seront annoncées sur le site de votre consulat (et sur French Morning bien sûr). Ce sont les mêmes que pour la présidentielle.
- Vote par correspondance
Il est possible de voter par correspondance pour les législatives, mais pas pour la présidentielle. À la suite de la décision de revenir sur le vote électronique, la date limite pour s’inscrire a été repoussée au 14 avril. Les électeurs qui veulent voter par correspondance doivent contacter leur consulat par e-mail ou courrier pour demander l’activation de l’option de vote par correspondance sous pli fermé. Ils recevront le matériel de vote chez eux. La date limite de réception des votes aux Etats-Unis et au Canada est le jeudi 1er juin pour le 1er tour (18h heure de Paris) et le jeudi 15 juin pour le second (18h heure de Paris). Le ministère des Affaires étrangères indique par ailleurs que de nouvelles tournées consulaires seront organisées pour recueillir les votes.
- Vote par procuration
Si vous ne pouvez pas voter à l’urne, l’option la plus flexible reste la procuration. Il n’y pas de contrainte de date pour en établir une. Les consulats suggèrent toutefois de ne pas attendre la dernière minute: jusqu’à 5 jours avant le vote si vous l’établissez au consulat, 15 jours si vous le faites auprès d’un consul honoraire.
Il vous sera demandé de remplir un formulaire Cerfa (disponible sur le site du ministère des affaires étrangères) et le signer devant une autorité compétente (Ambassadeur pourvu d’une circonscription consulaire, Chef de poste consulaire, Consul honoraire de nationalité française habilité). Le mandataire doit être inscrit sur la même liste électorale consulaire que le mandant et le nombre de procurations pouvant être reçues par un mandataire est limité à trois.
Les manchots de l'Antarctique s'invitent à l'Ambassade française à Washington
Dans le cadre de l’Environnemental Film Festival de Washington DC, l’Ambassade de France et Terranoa organisent une projection du film “Antarctica, sur les traces de l’empereur” (“Antarctica, in the footsteps of the emperor”) de Jérôme Bouvier, le mardi 21 mars à 7pm.
Dans ce documentaire, le réalisateur explore la biodiversité de l’Antarctique et tire la sonnette d’alarme concernant la protection du continent blanc. Victime, à distance, de l’activité humaine et du réchauffement climatique, le territoire gelé de plus de 13 millions de kilomètres carrés montre des signes plus qu’inquiétants sur le plan de la biodiversité et de la fonte des glaces.
Au-delà de sa dimension politique, le documentaire explore et sublime cet univers fascinant, presque irréel. Durant le tournage, Jérôme Bouvier a suivi deux photographes: Vincent Munier et Laurent Ballesta. Le premier s’intéressait à une colonie de manchots empereurs, tandis que le deuxième, 70 mètres plus bas, sous la glace, a capturé les paysages aquatiques antarctiques.
La projection gratuite sera suivie d’un échange entre le public et le photographe Laurent Ballesta. Il est recommandé de s’inscrire à l’avance.
Pourquoi la température change-t-elle si rapidement à New York ?
Quand nous avons eu l’idée d’écrire cet article, jeudi, il faisait une quinzaine de degrés celsius dehors. Quand nous l’avons terminé, le lendemain, il faisait 0 degré et il neigeait énormément.
À New York, s’il y a bien quelque chose de plus incertain que le résultat des présidentielles, c’est la température extérieure. Pourquoi ces changements aussi rapides et brutaux de la température ? C’est la question bête de la semaine.
Le dérèglement climatique ne semble être aucunement responsable de cette histoire. Tout juste peut-on dire qu’il accentue un phénomène bien réel. Selon Aiguo Dai, professeur de Science atmosphérique à l’University of Albany, “on peut dire que ces variations sont devenues plus fréquentes ces dernières décennies, et que cela a peut-être un lien avec le réchauffement et le dérèglement climatique. Cependant, aujourd’hui, nous n’avons pas de preuves”, explique-t-il.
Ces changements sont liés à la zone climatique où se situe New York. Alors que l’Hexagone est soumis à un climat tempéré (ou tempéré chaud pour le sud de la France), caractérisé par des températures qui ne sont pas extrêmes, la région de New York connaît un climat subtropical humide (c’est-à-dire à la jonction entre un climat continental et tropical).
New York City se trouve être un lieu d’affrontement entre une masse d’air froid provenant du nord et de l’Arctique, et les courants d’air chaud venant du centre du pays ou du sud. L’un ou l’autre prédomine et influence la température à la hausse ou à la baisse, avec une amplitude assez impressionnante, que ce soit à l’échelle d’une année ou d’une semaine.
Pourquoi des changements si rapides ? Pour David Robinson, professeur de géographie à la Rutgers University et climatologue de l’Etat du New Jersey, “New York se trouve sur la zone d’influence du “polar jet stream” (ou courant-jet polaire) qui sert de frontière entre une masse d’air très froid au nord et un air plus doux au sud”.
Ce courant d’air rapide qui circule sur toute la planète va donc, selon sa position, venir refroidir ou réchauffer l’air new-yorkais. Comment ? Quand le courant-jet se trouve au nord de New York, l’air chaud remonte et permet donc au thermomètre de reprendre des couleurs.
À l’inverse, quand il descend au sud, l’air froid s’installe. « Nous ne savons pas pourquoi les changements de températures ont été plus rapides et fréquents cette année. On peut prévoir les changements, mais on ne sait pas pourquoi le polar jet-stream se déplace plus souvent ou non», explique le climatologue.
Pour ce dernier, l’hiver actuel a jusqu’à présent été caractérisé par un “polar jet stream” inhabituellement au nord, expliquant la plus grande rapidité des changements de température et surtout la douceur du mois de février par rapport aux hivers précédents.
Pour le climatologue, “quand le polar jet stream est au nord, les courants d’air froid ne peuvent s’installer qu’un jour ou deux avant que l’air chaud ne reprenne le dessus“, ce qui provoque un brusque et rapide changement de températures. “A l’inverse, avec un polar jet stream au sud, la porte aux courants froids est grande ouverte” et empêche l’air chaud de revenir.