C’est vrai: la neige sur Central Park, c’est sympa. Les chocolats chauds-marshmallow au coin du feu, aussi. Mais ça ne marche pas tous les jours de grand froid. Voici quelques plans pour que vos enfants archi-dynamiques se défoulent, et pas dans votre salon.
5- Créer au Children’s Museum of Arts (CMOM)
Ici, les plus petits pourront faire de la peinture, du collage, du découpage dans un espace qui leur est dédié. Vous trouverez aussi un atelier “fluber” (pâte gluante fabriquée par le musée) qui fait le bonheur des enfants (et des parents, avouons-le). Pour les plus de 5 ans, le musée propose un atelier “stylisme” et différents ateliers de dessins (auto-portrait, peinture projetée). Très demandé: le clay bar (pâte à modeler) où des animateurs aident les enfants à fabriquer toutes sortes de figures. Et puis, pourquoi ne pas fabriquer son propre dessin-animé au media lab? Children’s Museum of Arts, 103 Charlton Street. Ouvert 7/7. Entrée: 12 $ par personne (+1 an)
4- Escalader au Brooklyn Boulders
Grimper sur des murs d’escalade, sauter comme des fous sur les matelas de protection en mousse, en voilà une bonne idée pour se défouler! Le Brooklyn Boulders est situé dans le quartier de Gowanus (Brooklyn), dans un ancien garage. Les murs sont changés toutes les deux semaines pour qu’on ne se lasse pas trop vite. Les enfants et les parents peuvent y prendre des cours et louer les chaussures adéquates. Le samedi matin est réservé aux familles. Escalade à partir de 5 ans. Brooklyn Boulders, 575 Degraw Street, Brooklyn.
3- Patiner à Chelsea Piers Sky Rink
À Chelsea Piers, la patinoire est couverte et ouverte toute l’année, sept jours sur sept. Elle dispose de deux espaces de glisse, ce qui évite la bousculade sur la glace. Pour que les petits puissent participer, elle dispose des chaises-luges, ce qui évite aussi aux parents de se casser le dos. Et puis comme la glisse, ça creuse, vous trouverez toujours de quoi grignoter pour repartir du bon pied. Consulter notre guide des patinoires pour plus d’options. The Sky Rink, 61 Chelsea Piers. Entrée: 11$
2- S’encanailler à Bowlmor Lanes
De quoi épater vos pré-ados et enchanter les petits. Il existe plusieurs bowlings à New York, dont certains avec des horaires ou des pistes prévus pour les plus jeunes joueurs. Si le patins à glace de Chelsea Piers ne fait pas l’unanimité, vous pouvez faire un saut à Bowlmor, le bowling qui se trouve juste à côté. Il propose 48 pistes et des ambiances différentes. Précision importante: les gouttières qui encadrent la piste sont bloquées pour qu’aucune balle ne soit perdue et éviter les pleurs (bien vu!). Au Bowlmor vous trouverez aussi un parcours à cordes et un laser game. Ouvert 7/7, 60 Chelsea Piers. Entrée: 11$
Parmi les autres bowlings adaptés aux enfants:
Le Brooklyn Bowl, 61 Wythe avenue, Williamsburg
Le Melody Lanes, 461 37th street, Sunset Park
1- Escalader, sauter, glisser, danser et crier au Twinkle Playspace
Chez Twinkle, les chaussures sont interdites! Dans cet espace couvert de 420 m2, vos enfants vont pouvoir se lâcher. Pont suspendu, arbres géants, camion de pompier avec grande échelle toboggan, salon de coiffure, épicerie pour jouer à la marchande ou au marchand, jeux d’eau et bac à sable géant… Vous êtes sûrs de mettre vos enfants au lit en arrivant! En attendant vous pourrez (évidemment) goûter sur place. Prévoir des boules quies! Twinkle Playspace est ouvert tous les jours mais seulement le matin les samedis et dimanches. Twinkle Playspace, 144 Frost street, Brooklyn. Entrée: 35$ pour un adulte et un enfant (5$ par adulte supplémentaire et 10$ par enfant supplémentaire). La première visite est moins chère.
5 façons d'occuper ses enfants quand il fait froid à New York
Fanny Ben Ami et son combat contre l'antisémitisme à Miami
Rescapée de la Shoah, Fanny Ben Ami a mené un combat pour la vie en aidant des enfants juifs à fuir la France occupée pour rejoindre la Suisse durant la Seconde Guerre mondiale.
Aujourd’hui âgée de 86 ans, cette Juive allemande, auteure d’un roman autobiographique, est venue à Miami le mardi 14 février pour parler du racisme et de l’antisémitisme aux élèves de l’International Studies Preparatory Academy de Coral Gables et de l’International Studies Charter High School de Miami.
Son histoire est une leçon de courage et d’humanité qui fascine tous ceux qui l’entendent. La réalisatrice Lola Doillon n’y a pas échappé et a souhaité adapter l’épopée de Fanny Ben Ami au cinéma. « Au début, je n’y ai pas cru car on me l’avait souvent proposé mais le projet ne s’était jamais concrétisé », confie Fanny Ben Ami d’une voix douce pleine de reconnaissance. Et pourtant, « Le Voyage de Fanny » est sorti en 2016 et arrive dès ce vendredi 17 février dans les salles de Floride. « Mon histoire a été parfaitement retranscrite, c’est émouvant, la première fois que j’ai vu le film, j’ai pleuré, car il m’a fait revivre toute cette période, explique Fanny Ben Ami. Je suis par ailleurs comblée qu’il puisse voyager car il véhicule un message d’espoir et de paix ».
Le sort des enfants sacrifiés durant les guerres est un sujet qui reste assez peu abordé selon Fanny Ben Ami. « Aujourd’hui encore de nombreux enfants souffrent des guerres des adultes et même s’ils ne comprennent pas ce qu’il se passe, ils sont obligés de fuir leur pays alors qu’ils ne sont pas fautifs, c’est injuste », s’indigne celle qui s’est donnée pour mission de raconter son périple, un passage précoce de l’enfance à l’âge adulte empreint de douleur et d’incompréhension, pour éviter que l’histoire ne se répète. « Le racisme, l’intolérance et l’antisémitisme n’ont pas de place dans un monde civilisé comme le nôtre, insiste Fanny Ben Ami. La jeunesse doit réagir afin de comprendre comment réussir à vivre ensemble plutôt que de vouloir s’entretuer ».
La littérature, le cinéma et les conférences publiques ne sont pas les seuls outils employés par Fanny Ben Ami pour raconter son histoire. Celle qui vit aujourd’hui à Holon en Israël est devenue peintre. Une activité qui lui permet de retracer son parcours durant la guerre sur des aquarelles. « J’ai de nombreuses images en tête, j’en fait des croquis et j’ajoute de la couleur, c’est aussi une manière de faire perdurer le devoir de mémoire ».
Camps d'été EFBA: les inscriptions sont ouvertes
C’est déjà le moment de penser à l’été. L’association d’after-schools en français EFBA (Education française Bay Area) annonce l’ouverture des inscriptions pour ces camps d’été.
Cinq camps d’immersion (San Francisco, Mountain View, Berkeley, Larkspur et Santa Rosa) auront lieu cette année du 19 juin au 4 août. Ils s’adressent aux niveaux K à 5th Grade (5-11 ans). Ils sont organisés en thèmes hebdomadaires. Les enfants participeront à différentes activités, allant des arts plastiques au chant en passant par des jeux en intérieur et en extérieur. Les camps se dérouleront de 8:30 am à 3pm, avec la possibilité d’inscrire l’enfant à des activités supplémentaires jusqu’à 6pm.
La compagnie de danse mythique Alvin Ailey à Miami
Pour son déplacement à Miami, la compagnie de danse Alvin Ailey ne fait pas les choses à moitié. Elle présentera trois premières mondiales au Adrienne Arsht Center du 23 au 26 février.
Fidèle à sa réputation de troupe engagée, elle partagera notamment une chorégraphie nommé “r-Evolution, Dream”, inspirée d’une exposition sur Martin Luther King Jr. au Center for Civil & Human Rights d’Atlanta. Les deux autres premières portent sur l’impact du système carcéral américain sur les familles afro-américaines et sur le mélange des cultures.
Les performances du 25 et du 26 comprendront des premières d'”Ella”, un hommage à Ella Fitzgerald. Toutes les performances se termineront par le mythique “Revelations”, appel à l’unité et au dépassement de la couleur de peau.
Le virtuose de la guitare Thibaut Garcia à la conquête de l'Ouest
Il a à peine 22 ans. Et pourtant, le Toulousain Thibaut Garcia a démarré une tournée américaine de 50 dates, en septembre. Ce guitariste classique sera vendredi 17 février à San José, samedi 18 février à Orange County, le vendredi 3 mars à Tucson et le mercredi 15 mars à New York.
Composée de concerts et de master-classes, cette tournée est née après qu’il ait décroché le concours de la Guitar Foundation of America, le plus important de sa carrière. Cette consécration a donné lieu à la sortie de son album «Leyendas», signé au label Warner Classics /Erato.
Jeune promu du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, ce Franco-espagnol collectionne les prix et les honneurs, ayant été récompensé en Espagne, Allemagne et Roumanie.
Maniant son instrument d’exception offert par le célèbre luthier Paulino Bernube, Thibaut Garcia partagera la passion qu’il entretient pour la musique baroque avec le public américain. Bach, Béllini, Albéniz ou encore Regondi ont marqué ses prestations dans les festivals européens. Une de ses particularités est d’effectuer des transcriptions d’oeuvres écrites pour d’autres instruments.
Camp de printemps en français à Austin: plus que quelques jours pour s'inscrire
À la recherche d’activités pour les enfants au printemps ? L’association Education Française Austin (EFA) organise son “Spring Camp” en français à l’école internationale Magellan du 13 au 17 mars.
EFA recommande aux parents intéressés de faire parvenir leur règlement avant le 23 février pour assurer une place. Le camp s’adresse au 4-8 ans et portera sur l’univers du jardin. Les enfants partiront à la découverte des plantes et des insectes loupes en main. Chansons, histoires et ateliers créatifs ponctueront le camp, qui se déroulera de 9am à 5pm. Prix: 230 dollars pour un élève de EFA, 275 dollars pour les non-EFA.
Soirée mode et escargots au Café Pinot à Los Angeles
Et si vous remplaciez vos jeans par des costumes trois pièces et des robes à paillettes, et que vous troquiez vos accessoires traditionnels par des bretelles et des bandeaux en perles? Le Café Pinot vous fait remonter le temps à l’occasion de la présentation du livre Capturing Fashion: Derujinsky (Glamourissime : Gleb Derujinsky, l’oeil de la mode), le jeudi 23 février à 6 pm.
Au travers de photographies savamment sélectionnées par Andrea Derujinsky, la fille du photographe, l’ouvrage revient sur ses années passées à shooter des mannequins, dont Ruth Neumann et Carmen Dell’Orefice. Gleb Derujinsky a marqué la photographie des années 60, offrant une vision avant-gardiste, exotique et souvent non conventionnelle.
En plus de la dédicace de l’album, les Angelinos pourront admirer quelques-uns des clichés du photographe, un véritable condensé de glamour, publiés dans les plus grands magazines de mode dont Harper’s Bazaar. Une vente aux enchères des photographies (collection parisienne) de l’artiste sera organisée. Les fonds collectés seront reversés à la Downtown Women’s Center, qui aide les femmes sans-abris.
Pour présenter l’adaptation en anglais de cet album comme il se doit, une dégustation de mets et vins est organisée. Les amateurs de gastronomie française goûteront aux tartes flambées, escargots, gougères et autres gourmandises sur fond de musique des années 50.
L’impressionniste Alfred Sisley à l’honneur au Bruce Museum de Greenwich
Le Bruce Museum de Greenwich expose jusqu’au 2 mai l’une des plus importantes rétrospectives consacrées à Alfred Sisley. Avec plus de 50 tableaux du peintre impressionniste, l’exposition “Alfred Sisley (1839-1899) : Impressionist Master” retrace le parcours du peintre, célèbre notamment pour ses paysages français.
Né de parents anglais, Alfred Sisley passa la majeure partie de sa vie en France. A 18 ans, il part faire ses études à Londres et découvre les œuvres des plus grands paysagistes anglais comme Constable ou Turner. De retour à Paris, il fait la rencontre de Monet, Renoir ou Bazille et adopte très vite le style du mouvement impressionniste.
Connaissant un véritable succès à la fin des années 1880, il peindra durant toute sa vie les villages qui bordent la Seine et la campagne française. Considéré comme l’un des premiers et principaux peintres de la lumière, Sisley fut encensé pour son style artistique mêlant l’influence des grands impressionnistes français à celle d’Hokusai et de l’art japonais.
Tout au long des mois de février et mars, l’exposition sera accompagnée de plusieurs conférences et interventions sur l’impressionnisme et l’artiste. L’exposition partira ensuite pour la France.
Gad Elmaleh fait rire ses fans (et les stars) au Carnegie Hall
Après plusieurs années de rodage dans des salles petites et moyennes, Gad Elmaleh s’est frotté, samedi 11 février, à un monstre: le Carnegie Hall.
Dans cette antre mythique, l’humoriste présentait “Oh my Gad”, son one-man-show en anglais revenant sur les travers les plus drôles et insolites de la société américaine.
Les taxis new-yorkais, le passage à la douane, Donald Trump, les touristes français, les accents toniques, le dating à l’américaine et surtout le trop connu PDA (Public Display of Affection), rien n’est épargné par le comique.
Gad Elmaleh a partagé avec le ton et les mimiques qu’on lui connait, son parcours d’immigré franco-marocain parti à l’assaut du rêve américain.
Pour l’occasion, de nombreux francophones avaient fait le déplacement et ont trouvé leur bonheur dans ses anecdotes. Apothéose ultime : en guise de rappel, l’humoriste a rejoué l’un de ses meilleurs sketchs. En se mettant au piano, il parodie les grandes divas de la soul en chantant dans un anglais volontairement inaudible et incompréhensible.
Un véritable succès pour l’humoriste, d’autant plus que le Carnegie Hall affichait “sold out” ce soir-là. En pleine Fashion Week, de nombreuses stars internationales sont venues applaudir le Français. Jessica Chastain, Sarah Jessica Parker, Julianna Margulies (The Good Wife) ou encore la créatrice de mode Diane Von Fürstenberg avaient leur place dans la salle, mais aussi Emmanuelle Alt (rédactrice en chef du Vogue Paris) ainsi que Cécilia et Richard Attias.
Autre invité de marque : l’humoriste américain Jerry Seinfeld a fait un bref passage sur scène pour saluer avec dérision son ami et protégé français. Et pour sa première partie, Gad Elmaleh avait laissé la scène libre à Ryan Hamilton. Le jeune comédien, grand habitué du “Late Show” de Stephen Colbert et des sketchs d’Amy Schumer, a donc raconté avec humour sa rencontre avec l’humoriste français avec qui il a déjà partagé plusieurs dates américaines.
Encore peu connu aux Etats-Unis, Gad Elmaleh semble avoir réussi son pari new-yorkais. Dès le 4 mars, il sera de retour à Los Angeles au Largo at the Coronet, pour un spectacle qui affiche déjà complet.
8 activités à faire quand il pleut à Los Angeles
Vous pensiez passer la journée à flâner à la plage avec vos enfants, ou vous aviez prévu un “hike” avec vos amis… Tous vos plans tombent à l’eau. La pluie, grande inconnue de cette année, s’incruste particulièrement cet hiver. French Morning vous aide à ne pas trouver le temps long.

Il n’y a pas que le Getty, le Lacma, le Moca ou le Broad à Los Angeles. A cette offre culturelle classique, préférez les petits musées originaux. Au Museum of Broken Relationships (6751 Hollywood Blvd, Los Angeles), vous revivrez les histoires d’anonymes racontant leur chagrin d’amour. On y trouve notamment deux prothèses mammaires qu’une femme s’était fait implanter pour plaire à son amoureux et que son corps n’a cessé de rejeter. Ambiance radicalement différente au Museum of Death (6031 Hollywood Blvd, Hollywood). Une salle est dédiée aux tueurs en série célèbres, la suivante à l’histoire funèbre: les suicides collectifs, les artistes décédés, les personnages historiques, les accidents de la route dramatiques ou les affaires célèbres comme celle d’O.J. Simpson. Vous aurez l’occasion de lire le rapport d’autopsie du président John F. Kennedy assassiné en 1963. Autre curiosité de la ville : The Bunny Museum (1933 Jefferson Dr, Pasadena) dans lequel Steve Lubanskil a rassemblé une collection de 33 000 figurines de lapins.
7.Se torturer l’esprit dans un “Escape game”
Que vous soyez seul ou en groupe, vous ne verrez pas le temps passer dans les “escape room”. Quel que soit le thème choisi, les joueurs doivent accumuler des indices disséminés dans la pièce, puis les combiner entre eux pour résoudre l’énigme qui leur permettra d’en sortir. Mais attention, vous ne disposerez que d’une heure pour y arriver. Vous aurez l’embarras du choix entre les univers proposés par Escape Room L.A à Downtown et Escape Hotel à Hollywood. Escape Room L.A, 120 E. 8th Street, Los Angeles. Espace Hotel, 6633 Hollywood boulevard, Los Angeles.

Pour passer le temps, rien de mieux que la compétition. Direction le bowling, où la course au strike est lancée. Si vous aimez les ambiances vintage et les pizzas cuites au four à bois, optez pour Highland Park Bowl -le plus vieux bowling de Los Angeles- qui a su garder son charme d’antan. Et si vous n’avez pas dégommé toutes les quilles, vous pourrez vous consoler avec un des cocktails originaux de la maison. L’ambiance sera plus familiale (et typiquement américaine) chez All Star lanes, où vous ferez un bond dans les années 70. Le lieu, qui a conservé l’odeur nostalgique des chaussures de bowling, possède également des tables de billard et une salle de jeux vidéo. Highland Park Bowl, 5621 N. Figueroa St, Los Angeles / All Star lanes, 4459 N Eagle Rock Blvd, Los Angeles.

Vous ne pouvez pas faire plus kitch que le roller disco. Une fois que vous aurez chaussé vos patins à roulettes, vous pourrez vous prendre pour Hal, le père de “Malcom”, et vous déhancher sur “We’re the champions”. Ouvert depuis 1950, Moonlight Rollerway diffuse des tubes – house, disco, pop ou encore du hip-hop des années 90 et 2000 – qui vont vous entraîner sur la piste ovale. Certains habitués font d’ailleurs le show avec leurs chorégraphies. Faîtes juste attention au planning, certaines sessions sont réservées aux enfants, d’autres aux plus de 18 ans. Moonlight Rollerway, 5110 San Fernando Rd, Glendale.

On ne vous demande pas de faire un remake de la scène langoureuse de Patrick Swayze et Demi Moore dans “Ghost”. La pluie battant contre les fenêtres, vous prendrez le temps de manier l’argile dans un des deux ateliers de Bitter Root Pottery. Une classe de céramique vous permettra d’évacuer vos envies artistiques refoulées, tout en prenant plaisir à se salir les mains. Et vous pourrez ramener votre oeuvre chez vous, même si votre vase est déséquilibré et inutilisable. Bitter Root Pottery au Beverly Grove (7451 Beverly Blvd., Los Angeles) et au Westfield The Village (6320 Topanga canyon blvd. suite 1630., Woodland Hills).

Pourquoi ne pas profiter de la météo maussade pour se transformer en véritable cordon bleu ? Les chefs d’Eatz s’adaptent à toutes vos envies, de la découverte de la recette d’une paella à la réalisation d’un “steakhouse” maison. Faites attention à ne pas basculer en “Recettes Pompettes” de Mr Poulpe, les cours étant savamment arrosés de cocktails et de vins. Si vous préférez la cuisine japonaise, il faudra faire appel aux virtuoses de Foodstory qui vous feront découvrir autre chose que les sushis. Après ces cours, les assaisonnements japonais n’auront plus de secret pour vous. Quel que soit votre niveau, vous serez un vrai chef en sortant! Promis! Foodstory, 810 S. Spring Street, Los Angeles. EATZ, 612 N. La Brea Ave, Los Angeles.

Se faire une toile quand il pleut semble être une évidence. Mais pour ne pas faire comme tout le monde, allez dîner au cinéma. Le AMC Dine-in Theatres propose de vous faire déguster mets et vins en savourant la magie de “La La Land” ou en s’effrayant devant “Ring”. Si vous êtes au régime, il vaudrait mieux vous orienter vers un des deux cinémas vintage de la ville. AMC Dine-in Theatres, 13455 Maxella Av, Ste 280, Marina Del Rey.
1. Se relaxer dans un des spas coréens de la ville

Discussion avec la PDG de Liaigre USA à New York
Dans le cadre de ses rencontres consacrées au luxe, la chambre de commerce franco-américaine de New York organise une discussion avec Thais Roda, CEO de Liaigre aux Etats-Unis, le 9 mars. Les places sont en vente.
Née en Espagne où elle a fréquenté le lycée français de Barcelone, Thais Roda est responsable du développement de la marque française d’architecture d’intérieur et d’édition de mobilier aux Etats-Unis. Avant de rejoindre le groupe Liaigre en 2013, elle travaillait déjà dans l’univers du luxe, notamment pour Pronovias, leader mondial des robes de mariées, et Marithe & François Girbaud.
9 photos des Etats-Unis prises de l'espace par Thomas Pesquet
En mission pour six mois depuis le 17 novembre 2016 à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS), l’astronaute français Thomas Pesquet partage son temps entre la maintenance de la station et un vaste programme de recherches scientifiques.
Malgré cet emploi du temps chargé, le Français publie quotidiennement sur les réseaux sociaux ses photos de la Terre. De San Antonio à l’aéroport d’Hawaï en passant par le désert d’Arizona, cap sur les Etats-Unis avec ces neuf clichés pris par l’astronaute.
San Antonio, Texas
Houston, Texas
Dallas, Texas
Volcan Mauna Loa, Hawaï
Aéroport d’Honolulu, Hawaï
Champs irrigués en plein désert d’Arizona
Montagnes Rocheuses, des Etats-Unis au Canada
Champs enneigés du Midwest américain
Champs et montagnes du Midwest américain
En bonus, puisque la France nous manque