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Où manger des crêpes pour la Chandeleur à Miami ?

À l’occasion de la Chandeleur, le jeudi 2 février, il est de coutume de faire sauter les crêpes. Une tradition française qui s’exporte également aux États-Unis. Voici une sélection non exhaustive d’adresses pour vous régaler à Miami et sa région. Comme toujours, vos recommandations sont les bienvenues.
Parmi les nouvelles adresses, Voo La Voo Cafe, une crêperie qui a ouvert ses portes depuis moins d’un an à Wilton Manors, près de Fort Lauderdale. La Bretonne Sylvie Le Nouail, qui fait sauter les crêpes dans la pure tradition de sa région natale, propose des recettes classiques à base de farine de sarrasin comme la crêpe complète au jambon, œuf et fromage, mais aussi des concepts originaux comme la crêpe au poulet, béchamel, champignons et épinards. Et s’il vous reste encore un peu de place, succombez à l’une des crêpes sucrées comme celle à l’ananas, noix de coco et caramel. Comptez de 7 à 12 dollars selon la création. Voo La Voo Cafe – 2430 NE 13th Ave, Wilton Manors – (754) 200-5285
Un petit air de Bretagne va aussi souffler sur A la Folie Cafe à Miami Beach où les crêpes salées à la farine de sarrasin ont la cote. Optez pour la signature de la maison, une crêpe aux champignons et à l’huile de truffe agrémentée d’une cuisse de canard confit, avant de vous laisser séduire par une crêpe sucrée au miel, à la confiture ou encore au chocolat. Prévoyez de 8 à 16 dollars pour une crêpe salée et de 4 à 9 dollars pour une version sucrée. A la Folie Cafe – 516 Española Way, Miami Beach – (305) 538-4484
Les gourmands retrouveront également un large choix de créations sucrées à La Crepe Bistro de Miami à l’occasion de la Chandeleur. Parmi elles, la « Yummy Yummy » au Nutella, aux bananes et aux fraises, la « Chic » à la crème brûlée et aux framboises ou encore la « Suzette », la reine des crêpes françaises, aromatisée aux zestes d’orange, et flambée au Grand Marnier. Les crêpes coûtent de 6 à 12 dollars. La Crepe Bistro – 7340 SW 57th Ave, South Miami – (305) 665-8778
Salées comme sucrées, les créations de Crepe Connection Café à Miami satisferont toutes les envies. Vous pourrez déguster des recettes traditionnelles bretonnes, mais aussi remises au goût du jour comme la crêpe « The Cuban » au steak grillé, poivron, champignons relevée d’une sauce à l’oignon ou encore la « Chicken Caesar » au poulet, croutons, fromage et salade romaine. Côté sucré, cédez à la tentation face à la « Sweet Moo-Moo » à la confiture de lait, cannelle et sirop de caramel couronnée de crème chantilly. Comptez de 6 à 13 dollars selon la recette. Crepe Connection Café – 14264 SW 8th St, Miami – (305) 485-0085
Les crêpes salées de chez Paul à Miami Beach devraient aussi ravir les papilles des plus gourmands. Vous retrouverez l’incontournable crêpe mixte au jambon, emmental, crème fraîche, surmontée d’un œuf à cheval ; la crêpe végétarienne aux aubergines, courgettes, champignons, pistou et fromage de chèvre ; la crêpe à la mozzarelle fraîche, prosciutto, épinards sautés et artichaut grillé ; sans oublier quelques recettes sucrées. Prévoyez de 4,95 à 12,95 dollars la crêpe. Paul – 450 Lincoln Road, Miami Beach – (305) 531-1200
Concernant les autres adresses, Café Bastille à Miami ne dérogera pas à la règle de la Chandeleur, tout comme Amour de Miami ou encore La Crepe et La Bonne Crepe, deux établissements situés à Fort Lauderdale.
Enfin, si l’envie vous prend de sortir le tablier et la poêle, retrouvez tous les ingrédients dont vous avez besoin pour confectionner de bonnes crêpes sur Le Marché French Morning.

A Santa Barbara, un chef devenu décorateur d'intérieur

Il n’aura pas fallu longtemps à Myriam et Romain Doussineau pour se faire une place au soleil de Santa Barbara. Cinq ans après avoir fait l’acquisition d’une petite société de revêtements de sols employant une demi-douzaine de personnes, le couple se trouve désormais à la tête de Reed Interiors, l’une des entreprises les plus en vue en matière de design d’intérieur.
«En 2009, mon épouse, qui travaillait chez Johnson & Johnson, s’est vue proposer un poste en Californie, raconte Romain Doussineau, 54 ans. Nous avions toujours souhaité tenter une expérience à l’étranger, nous avons donc foncé.»
Après une vie professionnelle à relever de nouveaux challenges dans tous les domaines (chef exécutif pour la prestigieuse Maison Prunier dans le XVIe arrondissement de Paris et pour le Café de la Jatte à Neuilly-sur-Seine, création d’une société de lavage automobile baptisée «Net Car» en 1994, puis directeur développement Europe pour la société «Meguiar’s» durant huit ans), Romain Doussineau songe par conséquent à se reconvertir et prend le temps réfléchir à de nouvelles opportunités.
«Je savais que je voulais retrouver mon métier d’entrepreneur et créateur, mais je n’avais aucun repère en Californie, explique-t-il. Je ne savais pas vraiment quoi faire, car je venais de passer quelques années à m’occuper de mes enfants. Nous avions toutefois un peu de cash. Je voulais reprendre une entreprise. Je suis diplômé de l’école hôtelière de Paris et j’ai  donc pensé à un restaurant. Mais la concurrence est rude à Santa Barbara et je ne trouvais pas ce qui me convenait.»
L’intéressé étudie alors le système comptable et la gestion des entreprises aux USA, puis se rapproche d’un courtier d’affaires : «Nous étions très attirés par la rénovation et la décoration d’intérieur. Nous avions d’ailleurs rénové et géré plusieurs maisons en France, notamment sur la côte d’azur. Or, justement, fin 2010, on m’a proposé d’acheter une petite société de revêtements de sols.»
Myriam et Romain Doussineau visitent les lieux et entrevoient tout de suite le potentiel de cette entreprise. «C’était le bazar. Il n’y avait pas de show room, pas de design center, le catalogue n’était pas très fourni, mais cela nous a plu. Et surtout, l’entreprise disposait d’employés avec des mains en or.»
Pour $300.000, les époux Doussineau font l’acquisition de la société et en repensent le fonctionnement : «Nous avons rénové les locaux, refait la décoration, puis nous nous sommes intéressés à ce que recherchait la clientèle locale. Nous avons développé de nouvelles gammes, en amenant une tendance européenne, des belles matières et des produits naturels, mais surtout une écoute du client pour s’adapter à son style et sa personnalité.»
Reed Interiors affiche désormais un chiffre d’affaires multiplié par cinq et emploie une trentaine de personnes. L’entreprise vient d’ailleurs de quitter ses locaux situés dans la petite ville de Carpinteria, pour s’agrandir et s’implanter au coeur de Santa Barbara.
Le couple a également décidé de créer une nouvelle branche, en s’associant avec l’architecte français Michel Clair, récemment installé dans la région. A la tête d’Armony Cucine, ce dernier développe une gamme de cuisines et salles de bain design et haut de gamme. «Le talent de Michel est un vrai atout, confie Myriam Doussineau. Il complète parfaitement notre activité et donne davantage de relief à la vision que nous avions pour la société lorsque nous l’avions achetée».

L'année québécoise d'Alain Juppé sur TV5 Monde

Pendant sa traversée du désert montréalais, Alain Juppé n’était pas complètement seul. Il était accompagné par le réalisateur Carl Leblanc et ses caméras.
Le résultat: “Etre ailleurs, l’année québécoise de M. Juppé”, un documentaire en plusieurs parties qui retrace le séjour au Québec de l’ancien premier ministre et sa famille à partir de l’été 2005.Une expérience de “rédemption” après sa condamnation à 14 mois de prison avec sursis et à un an d’inéligibilité pour prise illégale d’intérêts dans le cadre de l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris.
Le premier épisode sera diffusé le 27 janvier sur TV5 Monde USA (2:57pm EDT).
 

Isabelle Huppert officiellement en lice pour les Oscars

Le monde du cinéma est en émoi. Ce mardi 24 janvier, l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences annonçait officiellement ses nominations pour la prochaine cérémonie des Oscars qui aura lieu le 26 février à Los Angeles.
L’actrice française Isabelle Huppert figure dans la catégorie “meilleure actrice dans un rôle principal” pour sa performance dans “Elle” de Paul Verhoeven. Nommées à ses côtés, Natalie Portman (“Jackie”), Emma Stone (“La La Land”), Ruth Negga (“Loving”) et Meryl Streep (“Florence Foster Jenkins”) lui disputeront la fameuse statuette.
Déjà lauréate du Golden Globe de la meilleure actrice le 8 janvier, l’actrice française continue donc son ascension du cinéma américain. En revanche, le film germano-français “Elle” ne concourra pas dans la catégorie “meilleur film étranger”.
Autres “Frenchies” en compétition, le film d’animation franco-suisse “Ma vie de courgette”, réalisé par le Suisse Claude Barras et écrit par Céline Sciamma (“Bande de filles“, “Tomboy”). A noter aussi, la présence de la Française Madeline Fontaine dans la catégorie “création de costumes” pour ses créations dans “Jackie”.

Tournées consulaires dans la circonscription de San Francisco

Le Consulat Général de France à San Francisco organise prochainement quatre tournées consulaires pour recueillir les demandes de passeports biométriques. Les intéressés sont alors invités à contacter les coordinateurs de chaque tournée (cf. ci-dessous) et à prendre connaissance des documents officiels à présenter.
Tournée à Salt Lake City du 6 au 8 mars 2017
Locaux de l’agence consulaire au sein de l’University of Utah
Department of World Languages and Cultures, Room 1400
255 S. Central Campus Dr.
Coordinatrice : Mme Leslie Wannepain ([email protected])
Tournée à Seattle du 24 au 28 avril 2017
Agence consulaire de France à Seattle
World Trade Center West, Suite 490
2200 Alaskan Way
Coordinatrice : Mme Annabelle Howell ([email protected])
Tournée à Honolulu du 8 au 12 mai 2017
Agence consulaire de France à Honolulu
1436 Young Street, Suite 303
Coordinatrice : Mme Zoé Bancel ([email protected])
Tournée consulaire à Portland du 5 au 9 juin 2017
Alliance française de Portland
1425 SW 20th Avenue, Suite 201
Coordinatrice : Mme Annabelle Howell ([email protected])

Une levée de fonds pour le "monument aux morts français de New York"

C’est un aspect méconnu de l’histoire de la communauté française de New York. À l’éclatement de la Première et Seconde Guerre mondiale, de nombreux Français de la ville ont répondu à l’appel et sont retournés en France pour prendre les armes.
Aujourd’hui, deux associations tentent de raviver leur mémoire en cherchant des fonds pour financer la pose de plusieurs plaques portant leurs noms dans l’enceinte de l’église Notre-Dame, paroisse francophone de Morningside Heights. Pendant des décennies, ces plaques étaient placées à l’église Saint-Vincent de Paul, fermée depuis 2013 sur décision de l’archevêché de New York. Ce dernier les a ensuite acheminées vers un espace de stockage à Staten Island, où elles se trouvent depuis.
Il ne faut pas oublier que ces Français volontaires sont partis avant l’entrée en guerre des Etats-Unis. Ils étaient au chaud à New York et ont tout quitté“, rappelle Alain Dupuis, président de la Fédération des Anciens Combattants.
C’est le monument aux morts français de New York. Rien n’obligeait ces Français à répondre à l’appel. La gendarmerie n’allait pas venir les chercher de force, renchérit Jean Lachaud, président de l’American Society of le Souvenir Français, l’autre association impliquée dans l’initiative. Quelques jours après la déclaration de guerre de 1914, déjà, certains Français étaient partis rejoindre leur lieu d’affectation, prenant le bateau à leurs frais, laissant derrière eux femmes et enfants. C’est important de rappeler que les Français de l’étranger sont patriotes et le sont encore“.
Quatre centre soixante treize patronymes sont gravés en lettres d’or sur ces plaques. Outre le noms des volontaires français, on y trouve ceux des pilotes essentiellement américains de l’Esquadrille Lafayette et des personnels soignants de l’American Field Service, morts pour la France pendant les deux guerres. Les noms de pilotes français envoyés aux Etats-Unis en 1943 pour s’entraîner, et qui ont perdu la vie lors de leur formation, y figurent aussi.
Ces plaques commémoratives ont été posées en 1928 lors d’une vague de création de monuments aux morts pendant l’Entre Deux Guerres, explique Jean Lachaud. Elles ont été rénovées en 1992.
L’American Society of le Souvenir Français et la Fédération des Anciens Combattants cherchent à lever quelque 34 000 dollars pour couvrir l’acheminement des plaques et les travaux liés à leur pose à Notre-Dame. Les deux associations doivent travailler avec une entreprise de construction agréée par l’archevêché, ce qui rend difficile toute négociation sur la facture finale. “Les plaques sont très très lourdes. Rien que pour les transporter, il faut utiliser un camion spécial équipé d’une grue. Cela coûte 2.000 dollars. À Notre-Dame, il faut abattre un mur, en installer un plus épais pour y apposer les plaques, le repeindre et mettre des lumières. Les 34 000 dollars couvrent l’ensemble des opérations“, détaille Alain Dupuis. Selon lui, la moitié de la somme a été réunie.
Jean Lachaud espère que les plaques gagneront leur nouveau domicile à temps pour les commémorations du centenaire de l’entrée en guerre américaine en avril. “Il faut persévérer, ajoute Alain Dupuis. Ils nous remercieront de là-haut“.
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Guide de Broadway: "The Present" avec Cate Blanchett

Une actrice avec la renommée de Cate Blanchett peut-elle encore faire “ses débuts” quelque part ? La réponse est “oui”.
L’actrice deux fois oscarisée se produit pour la toute première fois sur les planches de Broadway, dans “The Present”, une adaptation moderne de la pièce d’Anton Tchekhov Platonov, écrite par Andrew Upton (écrivain australien, mari de Cate Blanchett) et mise en scène par John Crowley.
Le pitch : Un groupe d’amis se rassemble dans une jolie maison de campagne en Russie pour fêter le 40ème anniversaire de la belle Anna, veuve depuis peu, et traversant de sérieuses difficultés financières. L’action se déroule dans les années 90.
Un dangereux cocktail de « family drama », de désirs inassouvis et d’innombrables verres de vodka, aboutissent à une scène explosive où Anna, au bord de la crise de nerfs, s’empare d’une arme à feu et menace de tout faire sauter.
L’ouverture 
Les lumières du Barrymore Theatre s’éteignent et le rideau s’ouvre sur Anna (Cate Blanchett), se tenant droite au milieu de la scène, regard fixe et déterminé, tenant le public en joue. Ce pistolet, c’est un cadeau d’anniversaire qu’elle vient de recevoir…
On a aimé 
Extérieur coquet, maison et meubles blancs, le décor épuré, mais sophistiqué, contraste avec l’intériorité des personnages de la pièce: des êtres torturés, déchirés entre leurs désirs profonds et le respect des conventions sociales.
Extrêmement présente sur scène et dégageant un star power incontestable, même dans les moments de silence, Cate Blanchett explore avec brio la palette des émotions humaines, sa voix porte loin, son jeu vient des tripes, et on en attendait pas moins de l’actrice australienne qui est tout simplement sublime dans ce rôle de femme complexe, brisée par la vie et qui s’ennuie à mourir dans sa maison de campagne (thème cher au dramaturge russe). Tout est en ébullition dans ce personnage que l’on sent constamment au bord de la cassure.
L’acte II se termine d’ailleurs par une véritable explosion, moment visuel fort du spectacle, orchestré à merveille par les artistes son et lumière.
L’adaptation est extrêmement bien rythmée, l’alchimie entre Cate Blanchett et Richard Roxburgh est électrique, et les deux stars sont soutenues par un ensemble d’acteurs solide où chacun a su trouver sa place.
Adapter Platonov était un pari risqué, car l’œuvre de jeunesse de Tchekhov est considérée par la critique comme trop longue, irrégulière et décousue. Pari réussi donc. Le décor est superbe et la pièce étonnamment drôle. On sent d’ailleurs que le metteur en scène a mis l’accent sur le rire. On salue le bon tempo comique.
On a moins aimé 
Les thèmes de la pièce sont profonds. Or, le traitement comique de certaines scènes (à l’acte II et à la fin) fait que l’on flirte dangereusement avec la caricature, et certains personnages sont un peu trop « over the top ». Ce que l’on gagne en divertissement est perdu en émotion, et c’est (parfois) dommage.
Niveau d’anglais nécessaire pour apprécier le spectacle : 5/5 (1/5 = débutant, 5/5 = bilingue). Avertissement : la troupe est australienne, et on entend une diversité d’accents sur scène.
Note French Morning : 4/5
Notre astuce : Des “Rush Tickets” sont disponibles pour $45 selon la disponibilité – pour booster vos chances d’obtenir des rush tickets et d’être bien placé, aller voir le spectacle un soir de semaine ou le mercredi à 1:30pm (en effet, les « matinées » sont les moins fréquentées). Se présenter en personne au théâtre, le jour du spectacle, environ 1h avant l’ouverture du box-office. Deux places maximum par personne. Le box-office ouvre à 10am du mardi au samedi (12pm le dimanche). Pas de représentation le lundi.
 
 

French Art Week: l'Alliance française de LA fête l'art sous toutes ses formes

(Agenda partenaire) Du 6 au 10 février, l’Alliance Française de Los Angeles présente une semaine exceptionnelle consacrée à l’Art sous toutes ses formes.

Cette « French Art Week » est la première édition de ce qui sera désormais un rendez-vous annuel. Cet évènement signé « Alliance Française de Los Angeles » vient s’inscrire naturellement dans son programme éducatif et culturel et répond parfaitement à ses deux missions: promouvoir la langue et la culture françaises. C’est un programme qui s’adresse aussi bien aux étudiants de l’Alliance qu’aux membres ou non-membres curieux de découvrir ses programmes.

L’Alliance a choisi ce thème de l’Art parce qu’il est désormais dominant dans la vie de Los Angeles et que les perspectives de développement sont immenses et diverses.

Pendant les cinq jours, le public pourra participer à cinq évènements très différents.

Lundi 6 février : Vernissage du peintre Laurent Martinez dont l’exposition présentée pour la première fois à Los Angeles vous invitera au voyage et à la littérature. Laurent Martinez travaille en étroite collaboration avec Jean-Pierre Choulet, auteur d’un magnifique recueil de textes qui accompagnent ses peintures. Vous découvrirez combien l’art et la littérature sont étroitement mêlés. Vernissage à l’Alliance Française de Los Angeles à 6:30pm – ajouter au calendrier

Mardi 7 février : Conférence consacrée à l’art et l’éthique en partenariat avec l’American Institute for Levinassian Studies (AILS) et la Galerie Louis Stern. Jean Claude Carron, professeur à UCLA et directeur scientifique de l’AILS animera une table ronde sur ce thème entouré de Zhenya Gerschman, artiste et spécialiste en histoire de l’art, Louis Stern propriétaire de la Galerie Stern, Fred Goldstein senior vice-président, Counsel & Secretary au musée du LACMA et Christian Grusq Président de l’AILS. Conférence à la Galerie Stern sur Melrose Ave à 7:00pm – ajouter au calendrier

Mercredi 8 février : Atelier en français ayant pour thème l’Art et l’Histoire de France animé par un professeur de l’Alliance Samy Ayari à destination de nos étudiants à 7:00pm – ajouter au calendrier

Jeudi 9 février : Table ronde ayant pour sujet : “Los Angeles : Eldorado de l’art contemporain ?” Animée par Christophe Rioux, écrivain, universitaire, journaliste et également fondateur d’Industries Créatives Conseil (ICC), un panel d’intervenants développeront l’idée que Los Angeles est devenue une capitale de l’art contemporain face à New York sa rivale de toujours. Table ronde au Loft at Liz’s Art Gallery sur La Brea Ave à 7:00pm – ajouter au calendrier

Vendredi 10 février : Ciné-Club : Projection du film Van Gogh de Maurice Pialat pour clôturer cette semaine consacrée a l’Art. Projection à l’Alliance Française à 7:00pm – ajouter au calendrier

A l’exception de l’Atelier « L’Art et l’Histoire », la programmation des évènements est en anglais avec questions-réponses bilingues (français/anglais). Pour s’inscrire à chacun des évènements, répondre directement sur le site de l’Alliance française de Los Angeles : www.afdela.org

AF French Art Week Logo

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Night On Broadway réveille Downtown LA le temps d'une soirée

Broadway est une référence pour les théâtres à New York. Mais pas uniquement. A Los Angeles, la rue s’anime lors des Art Walk, chaque deuxième jeudi de chaque mois. Et depuis deux ans, une nuit de fête lui est dédiée. Cette année, la Night On Broadway aura lieu le samedi 28 janvier, de 3pm à 12pm.
Créé à l’initiative du membre du conseil de Los Angeles José Huizar qui voulait rendre sa gloire à Broadway, ce festival a débuté en 2015 sous la forme d’une journée. Rythmée par des visites des théâtres historiques, elle s’est transformée en soirée dédiée aux arts de la rue.
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Rassemblant 60.000 personnes, ce festival gratuit sera l’occasion d’écouter de la musique, de voir des acrobates, d’admirer des créations de mode et d’art tout en déambulant dans la rue et en se restaurant dans l’un des nombreux food trucks. Des concerts et performances auront lieu dans les théâtres et cinémas de la rue.
 

FunRun: Fêtez mardi gras sportivement à Houston

L’association Education Française Greater Houston (EFGH) et l’Eagle On The Rock Academy (EOTRA) organisent la FunRun pour mardi gras le samedi 18 février. De 9am à 3pm, de nombreuses activités seront proposées aux familles.
Courses en sacs, ateliers maquillage, châteaux gonflables, visites de camion pompier, match de foot rythmeront la journée. Les participants pourront aussi prendre part à deux courses de cinq et un kilomètres. Et bien sûr, les meilleurs déguisements sont attendus.
Vous pouvez dès à présent vous inscrire pour l’événement. Pour les enfants de moins de 10 ans prévoir $20. Pour les adultes, l’entrée est à $35 ($40 sur place) pour la course et les activités et $10 pour les activités seulement.

L’Apéro Silicon Valley fait trinquer les francophones de l'hôtellerie

L’Apéro San Francisco, rendez-vous des professionnels francophones de l’hôtellerie et de la restauration, s’exporte dans la vallée.
L’Apéro Silicon Valley investira Rosie McCann’s, un pub de San Jose, le mercredi 25 janvier pour sa deuxième édition. La soirée de lancement avait attiré une cinquantaine de francophones à Mademoiselle Colette, une boulangerie pâtisserie du centre-ville de Menlo Park, le 22 septembre dernier.
L’aventure « L’Apéro » commence il y a 18 mois, au Jasper’s Corner Tap and Kitchen du Serrano Hotel de San Francisco. « On était cinq », se souvient Pierre Bee. Dans son travail de consultant pour Standard Textile, Pierre Bee n’arrêtait pas de « croiser des francophones, dans le secteur de l’hôtellerie, qui ne se connaissaient pas. »
Animé par « le goût de connecter les gens » autour des savoir-faire du vin, de la restauration et de l’hôtellerie, le Français assure que « L’Apéro » est avant tout un état d’esprit : « L’idée est d’apprendre à connaître les gens avant de dégainer sa carte de visite. L’aspect social est très important. Ce n’est pas un événement pompeux, on souhaite vraiment garder l’esprit et l’ambiance relax d’un apéro. »
Les métiers de l’hospitalité à l’honneur
« L’Apéro, c’est une façon plus conviviale de faire du networking », ajoute Delphine Le Devehat, organisatrice de l’événement dans la vallée où elle s’est installée en 2012. En fondant My French Cellar, une entreprise qui déménage la cave à vins des expatriés, la Française a constaté que « dans la Baie, il y a ceux qui travaillent dans la Tech et ceux qui bossent dans les métiers de la gastronomie et de l’hôtellerie ».
Pour encadrer le concept de l’Apéro, qui se décline désormais à Los Angeles , La French American Hospitality and Gastronomy Association (FAHGA) vient de voir le jour. Le rendez-vous, entièrement gratuit, aura lieu tous les deux mois dans Silicon Valley. 

Le 29 janvier, les musées de Los Angeles seront gratuits

Un jour à marquer d’une pierre blanche dans votre agenda culturel : le dimanche 29 janvier, 31 musées de Los Angeles et des environs ouvriront leurs portes gratuitement au public.
Fruit d’un partenariat avec Metro, l’événement Museum Free-for-All encourage les locaux à explorer les musées et à arpenter la ville en transports en commun pour se déplacer de l’un à l’autre.
Sans débourser un cent, les participants pourront admirer la collection du Natural History Museum ( de 9:30 à 5 pm), du Pasadena Museum of California Art (de 12 à 5 pm), des musées d’art contemporain réputés comme le LACMA (de 10 am à 7 pm) et le MOCA (de 11 am à 5 pm), ainsi que découvrir la féérie du Descanso Gardens (de 9 am à 5 pm). Il ne vous reste plus qu’à préparer votre liste de favoris et à vous organiser.
Les musées participants : Annenberg Space for Photography, Armory Center for the Arts, Autry Museum of the American West, The Broad, California African American Museum, California Science Center, Columbia Memorial Space Center (admission gratuite le samedi 28 janvier et non le dimanche), Craft & Folk Art Museum, Descanso Gardens (tickets requis), Fowler Museum at UCLA, Frederick R. Weisman Museum of Art at Pepperdine, Getty Center, Getty Villa (tickets requis), Hammer Museum, Japanese American National Museum, Kidspace Children’s Museum, Laguna Art Museum, La Brea Tar Pits and Museum (tickets à retirer sur le site), La Plaza de Cultura y Artes, Los Angeles County Museum of Art (LACMA), The Museum of Contemporary Art, Los Angeles (MOCA), Museum of Tolerance, Natural History Museum of Los Angeles County (tickets à retirer), Orange County Museum of Art, The Paley Center for Media, Pasadena Museum of California Art, Pomona College Museum of Art, Santa Barbara Museum of Art, Skirball Cultural Center (premiers arrivés, premiers servis), Sunnylands et Zimmer Children’s Museum.