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15 manières de positiver quand on est loin de France pour les Fêtes

Vous restez aux US pour les Fêtes ? Rater un Noël en famille et un Nouvel An entre amis est un véritable crève coeur pour vous ? Haut les coeurs ! On vous donne des bonnes raisons de positiver.
15. Bonne nouvelle pour votre compte en banque : vous ne dépenserez pas un bras dans un billet d’avion
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14. … ni dans les cadeaux de Noël. Cette année, votre budget cadeau c’est pour vous faire plaisir !
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13. Vous ne vous coltinerez pas la file d’attente interminable de l’Apple Store pour acheter le dernier iPhone à votre soeur pour Noël.
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12. Vous n’endurerez pas la cohue des aéroports et la grève inopinée des contrôleurs aériens. Et des bagagistes. Et des chauffeurs de taxi.
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11.  Vous ne subirez pas de longues heures d’avion (avec escale en Islande ou en Espagne parce que c’est moins cher) à côté d’un passager qui ronfle la bouche ouverte.
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10. Exit la galère des achats de Noël : pas besoin de vous torturer le cerveau pour ramener des supers cadeaux trop stylés “made in America” .
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9. Vous n’aurez pas à parler de Donald Trump comme si vous étiez un expert incontesté de la politique américaine.
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8. Ni à répondre aux questions redondantes de vos proches à propos de votre vie d’expatrié comme « tu dois être bilingue maintenant ? » ou encore « ils sont sympas les Américains ? ».
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7. Vous épargnerez votre foie d’un gueuleton à base de dinde aux marrons, de fruits de mer, de fromage et de bûche glacée, le tout arrosé de Saint-Émilion. Vous n’aborderez pas la nouvelle année avec cinq kilos en trop.
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6. Vous n’aurez pas à faire semblant d’exprimer de la compassion quand votre tante vous racontera qu’elle a perdu son chat, dont vous soupçonniez à peine l’existence (du chat, pas de la tante).
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5. Vous n’aurez pas à feindre l’allégresse lorsqu’on vous offrira un cadeau pourri que vous allez revendre sur eBay le lendemain.
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4. Vous éviterez de vous faire toiser par vos proches et de vous prendre des réflexions du genre : « T’as grossi, tu manges trop de burgers ! », « Oula, t’as pris un coup de vieux » ou encore « T’as l’air fatigué, tu fais trop la fête aux US ? ».
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3. Si vous habitez en Californie, vous éviterez le choc thermique avec les températures négatives de l’hexagone et vous posterez des photos de plage sur Facebook le jour de Noël.
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2. Au Nouvel An, vous échapperez au réseau saturé par la valse des appels téléphoniques, à base de « bonne annéééééééééée » hurlé dans les oreilles. Merci les fuseaux horaires.
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1. Vous n’aurez pas à dire (encore) au revoir à vos proches et vous éviterez le coup de blues qui suit.
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Nos bons plans pour s'occuper jusqu'au Jour de l'An à LA

Tout le monde n’est pas rentré en France pour les Fêtes. Pour ceux qui restent, voici quelques bons plans pour s’occuper jusqu’en 2017.
Se rassembler au théâtre ou dans les gradins
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Alors que le Père Noël s’apprête à charger son traîneau, vous pourrez festoyer au Dorothy Chandler Pavilion lors du LA County Holiday Celebration, la veille de Noël. Ce sera l’occasion d’assister à ce spectacle gratuit rassemblant plus de 20 chœurs et des troupes de danse variés, de 3 à 6 pm. Autre style, les comédies musicales vous feront tourner la tête. Vous pourrez découvrir “Cinderella Christmas” au Pasadena Playhouse, qui revisite ce conte avec des interprétations modernes. Au Redondo Beach Performing Arts Center, vous savourerez la pièce “The Nutcracker” (Casse-Noisette) du Los Angeles Ballet. Quant à la salle A Noise Within, elle présente pour la cinquième année consécutive “A Christmas Carol” de Charles Dickens. Et si vous préférez la sueur au jeu d’acteur, rendez-vous au Staples Center pour assister au match de basket de l’année. Le dimanche 25 décembre à 6:30 pm, les Clippers affronteront les Lakers. L’ambiance s’annonce survoltée. 
Parcourir le monde d’Alice au pays des merveilles chill-queens-mary
Même si vous n’avez ni la robe bleue, ni la chevelure blonde, vous vous prendrez pour Alice du conte de Lewis Carroll, le temps des fêtes. Jusqu’au dimanche 8 janvier, le Queen Mary accueille Chill, une expérience interactive et immersive intitulée “Alice in Winterland”. Vous suivrez les traces du lapin blanc, toujours aussi pressé, déambulant par la salle des portes, l’atelier du chapelier fou, le labyrinthe des haies, le salon de thé… Des lanternes géantes ont été installées pour recréer ce monde imaginaire qui ne vous laissera pas de marbre. Queen Mary, 1126 Queens Highway, Long Beach. Ouvert jusqu’au dimanche 8 janvier. 

Patiner dans la ville

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En prévision de la consommation en quantité de chapon et de bûche, rien de tel qu’enchaîner les pirouettes sur l’une des patinoires de la ville. Vous pourrez glisser sur la piste de Pershing Square , située au milieu des gratte-ciel du centre-ville; celle de Santa Monica, à deux pas de la mer, celle de Downtown Burbank, du LA Live Holiday Ice pour patiner sur les pas des Kings ou encore celle du navire Queen Mary. L’occasion de réveiller le Philippe Candeloro qui sommeille en vous.
1.Errer dans les musées
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Plusieurs expositions se poursuivent pendant les Fêtes. Le Petersen Automotive Museum accueille “The Unconventional Canvases of Keith Haring” dès le samedi 17 décembre. Déroutante, elle met en valeur les oeuvres non-conventionnelles de l’artiste. Autre univers au Forest Lawn Museum: jusqu’au dimanche 1er janvier, l’exposition “Eyvind Earle: An Exhibit of a Disney Legend” présente 65 œuvres grandioses de l’artiste, dont trois peintures de “Sleeping Beauty”. Profitez de cette accalmie culturelle pour redécouvrir l’oeuvre de Pablo Picasso, au LACMA. “Picasso and Rivera : Conversations Across Time” confronte les deux titans de l’art jusqu’au dimanche 7 mai. Le Getty Museum ne sera pas en reste, avec l’arrivée de “Breaking News : Turning the Lens on Mass Media” le mardi 20 décembre. Elle illustre l’influence des médias sur les artistes dans les années 60.

8 bons plans si vous restez à Miami pour les Fêtes

Avec des températures extérieures aussi douces, il est parfois difficile d’imaginer que Noël approche à grands pas.
Heureusement, les illuminations de certains quartiers de Miami sont là pour nous le rappeler. Parmi les plus belles installations à admirer, le Christmas Castle, situé à The Crossings, offre un spectacle de couleurs féerique au rythme des chants de Noël. En forme de château, haut de douze mètres, cette installation brille de mille feux chaque soir de la semaine de 6pm à 10pm jusqu’au vendredi 30 décembre. Infos ici
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Le Zoo de Miami est en fête. En plus des habituels primates, pachydermes, félins ou encore oiseaux tropicaux, l’établissement se dote d’une ménagerie un peu particulière : des créatures scintillantes à l’occasion du spectacle annuel Zoo Lights qui transforme les lieux dès la tombée de la nuit. L’occasion de rencontrer des girafes, des zèbres ou des éléphants composés de milliers d’ampoules colorées. Au programme également, des tours de carrousel, des rencontres avec le Père Noël et des dégustations de chocolat chaud. Chaque soir de la semaine entre 7pm et 10pm jusqu’au vendredi 30 décembre. Infos et billets ici
Enfilez vos patins afin de tracer la glace à Miami. Pour la sixième année consécutive, Miami On Ice prend ses quartiers dans le patio de l’hôtel Intercontinental où une patinoire en plein air a été installée. Une piste de glace permettant d’effectuer quelques pirouettes et figures acrobatiques tout en profitant d’une vue imprenable sur Biscayne Bay jusqu’au dimanche 8 janvier. Infos et tickets ici
À Fort Lauderdale, Panthers in the Park Ice Skating Rink, une patinoire artificielle de plus de 500m², installée sur Las Olas Boulevard, vous est entièrement dévolue pour profiter des joies de la glisse dans une ambiance festive jusqu’au dimanche 8 janvier. Infos et tickets ici
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Avis aux amateurs de sport. La saison 2016 du football universitaire américain touche à sa fin et comme chaque année, les fans peuvent assister au fameux Capital One Orange Bowl. Le coup d’envoi de l’une des plus prestigieuses finales du championnat universitaire sera donné à 8pm le vendredi 30 décembre depuis le Hard Rock Stadium de Miami. L’affiche de la soirée entre les Wolverines du Michigan et les Seminoles de Florida State promet du spectacle offensif. Infos et tickets ici
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Les cinéphiles, quant à eux, peuvent se faire une toile en plein air grâce aux projections gratuites organisées chaque mercredi soir au Soundscape Park de Miami Beach. Prévoyez simplement de quoi grignoter et installez-vous confortablement dans l’herbe face à l’écran géant afin de profiter de la sélection de films. « Le Livre de la jungle » de Jon Favreau, sorti au mois d’avril, sera projeté le mercredi 28 décembre à 8pm. Programme complet ici
Pour les plus jeunes adeptes de salles obscures, le Coral Gables Art Cinema propose le Miami International Children’s Film Festival qui se déroule jusqu’au jeudi 29 décembre. Cette quatrième édition projette notamment « Amazônia », le film d’aventure brésilio-français de Thierry Ragobert ou encore une sélection de courts-métrages de fiction et d’animation s’adressant au jeune public. Infos et tickets ici
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Enfin, « Casse-noisette », le ballet de Noël par excellence, est donné dans tous les grands théâtres du monde en cette période de Fêtes. Miami ne déroge pas à la règle. Dansée par le Miami City Ballet, la version de George Balanchine raconte l’histoire de Clara et de son prince Casse-noisette sur la partition enchantée de Tchaïkovski. Un spectacle à découvrir ou redécouvrir à l’Adrienne Arsht Center de Miami jusqu’au samedi 24 décembre, puis au Kravis Center de West Palm Beach jusqu’au vendredi 30 décembre. Infos et tickets ici

Omer Avital à New York pour le Winter Jazzfest

New York commence 2017 au son du jazz. Dans le cadre du Winter Jazzfest qui se tiendra du jeudi 5 au mardi 10 janvier dans de multiples salles, le contrebassiste et compositeur de jazz israélo-américain Omer Avital se produira. Ce sera le vendredi 6 janvier au Zinc Bar à 9pm.
Omer Avital est l’un des musiciens contemporains les plus en vogue dans le monde du jazz. Ce compositeur visionnaire est un musicien à part. Arrivé à New York depuis Israël en 1992, celui que l’on appelle le “Charles Mingus israélien” combine la musique de son pays avec le jazz occidental moderne. Il a enregistré son dernier album “Abutbul Music” à Paris. Si vous aimez le jazz, pensez à consulter le programme du Winter Jazzfest. Des “marathons” musicaux sont prévus pour les 6 et 7 janvier dans des salles réputées comme The Bitter End, SOBs et le Poisson Rouge.

L'incontournable ballet de Noël "The Nutcracker" joué à Redondo Beach

Noël n’est pas que synonyme de pulls moches et de chants. Aux Etats-Unis, cela sonne également le retour de “Casse-Noisette” (ou “The Nutcracker”).
Plus d’un siècle après la naissance du ballet rythmé par Tchaïkovski, ce spectacle de danse classique sera interprété par le Los Angeles Ballet. Chorégraphiée par Thordal Christensen et Colleen Neary, cette énième version de “The Nutcracker” sera jouée au Redondo Beach Performing Arts Center, du jeudi 22 au samedi 24 décembre.
Joué pour la première fois à Saint-Pétersbourg en 1892, le spectacle est inspiré de l’oeuvre d’Alexandre Dumas “L’histoire d’un casse-noisette”. Jugé trop sombre et complexe à ses débuts, il devient célèbre aux Etats-Unis lorsqu’il est repris par George Balanchine au New York City Ballet, en 1954.
“The Nutcracker” raconte l’histoire d’une petite fille (Clara) qui délivre un prince (Casse-Noisette) d’une malédiction et l’aide à vaincre le Roi des Souris. Entre sapins de Noël majestueux et paysages enneigés, cet opéra plongera la famille dans un monde féérique.

Les Françaises de Mootsh resuscitent les albums photos à LA

“Mootsh”, c’est le surnom que Noémie Alison donnait à sa grand-mère quand elle était petite. Ce sobriquet est devenu le nom de l’entreprise de fabrication d’albums photos qu’elle a créée avec Gratiane de Moustier, une compatriote expatriée comme elle à Los Angeles.
Les deux trentenaires se sont rencontrées autour d’un goûter, via un ami commun. Plus qu’une amitié, elles ont aussi partagé une frustration. “Après la naissance de ma fille, ma frustration vis-à-vis des albums photos s’est confirmée, raconte Noémie Alison. Nous avions le même constat : il y a une saturation des photographies digitales et les albums sur Internet sont trop standardisés.”
Sans compter que les deux femmes partageaient l’envie d’entreprendre. “Il y a une telle énergie ici, c’est le meilleur lieu pour se lancer”, claironne Noémie Alison, qui a travaillé dans le marketing et l’événementiel depuis son arrivée ici en 2011.
Lancée en septembre avec un investissement de 10.000 dollars, leur petite entreprise offre à leurs clients la possibilité d’imprimer dix clichés pour confectionner eux-mêmes leur propre album. L’autre option: Mootsch se charge de faire l’album de manière personnalisée (de 359 à 569 dollars). “Le client nous envoie toutes ses photos. Gratiane de Moustier, qui est reporter d’images, procède à la sélection et retouche les images au besoin. Suivant leurs goûts, nous créons un album sur-mesure.”
Mis en page à la main et personnalisés à Venice Beach, ces albums allient élégance et nostalgie. “Le papier est importé d’Italie, et les photos protégées par des calques. Les albums sont recouverts de tissus achetés localement.” Des matières nobles sont méticuleusement choisies, dont un shibori japonais indigo réalisé par Nikki, une artiste de Los Angeles.
Les deux entrepreneures font imprimer les clichés par un laboratoire familial de Mar Vista. Les photographies sont ensuite collées à la main. “Il faut compter une dizaine d’heures par album”, précise Noémie Alison.
Partageant tout, même leurs grossesses actuelles, les deux Françaises ambitionnent de développer leur petite entreprise. Pour cela, elles misent sur le “B to B”, en collaborant avec des photographes de mariage pour proposer des produits clé en main. “J’aimerais également proposer les albums à l’unité en boutique.”

"Marius", "Fanny" et César" de Marcel Pagnol à Berkeley

On entend presque les cigales à Berkeley. Le Berkeley Art Museum and Pacific Film Archive (BAMPFA) projettera la “Trilogie marseillaise” du célèbre cinéaste et écrivain français Marcel Pagnol du mercredi 28 au vendredi 30 décembre.
“Marius” sera projeté le 28, “Fanny” le 29 et enfin “César” le 30. Les titres sont les noms de trois protagonistes que l’on retrouve dans ces trois films datant des années 30. Marius et Fanny sont deux jeunes, amoureux l’un de l’autre sans le savoir, et César est le père de Marius. La trilogie narre cet amour compliqué et parsemé d’embûches qui mêle sentiments, contraintes familiales et envies d’ailleurs.
Cette initiative du BAMPFA s’inscrit dans le cadre du programme World Trilogies consacré aux trilogies à succès.

Le Lac des cygnes s'installe à Miami avant le Jour de l'An

Les amateurs de ballet à Miami vont terminer 2016 en beauté. Le célèbre Lac des cygnes sera au programme du South Miami-Dade Cultural Arts Center le mercredi 28 décembre.
Qui croirait qu’à ses débuts, en 1895, ce spectacle fut un échec ? Ce ballet russe en quatre actes sur une musique de Tchaïkovski (opus 20) et un livret de Vladimir Begichev est aujourd’hui l’un des ballets les plus célèbres au monde. Les origines de ce spectacle ne sont pas claires.
Pour certains, il est inspiré d’une légende allemande, pour d’autres, d’une légende russe. Ce qui est certain, c’est que cette musique est l’œuvre la plus grandiose du compositeur russe.  Venez écouter l’histoire d’Odette, une princesse maudite qui se transforme en cygne, et surtout écouter la musique et vous régaler de la chorégraphie exceptionnelle que vous aurez sous les yeux.

Où trouver la bûche de Noël à Washington

Noël approche à grands pas et avec lui le retour de notre dessert saisonnier préféré, la bûche, dans les pâtisseries et restaurants de la region. Voici une sélection d’adresses où dénicher une bûche de Noël  à Washington et Bethesda.
Pâtisserie Poupon

Pâtisserie Poupon à Georgetown propose quatre parfums de bûche de Noël cette année: chocolat, noisette, café et Grand Marnier. $38.50 pour 7″, $53 pour 11″ et $83 pour 22″. 1645 Wisconsin Ave NW, Washington. Tel: 202-342-3248.

Tout de Sweet
Les gourmands de la région connaitront déjà la pâtisserie de Jerome Colin à Bethesda. Pour les fêtes de fin d’année, elle propose une selection de bûche traditionnelles ainsi que quelques unes un peu plus originales. Pour les classiques, trois parfums, chocolat, vanille et marron desserts, se déclinent en deux tailles: petite (pour 6 à huit personnes, $45) et large (pour 10 a 12 personnes, $56). Tout de Sweet propose aussi une bûche chocolat-caramel, avec des morceaux de praline et de nougatine sans gluten pour $49/$62, et une bûche Mûre-Framboise « Tayberry » et cassis, aussi pour $49/$62.  À commander 3 jours à l’avance. 7831 Woodmont Avenue, Bethesda. Tel: 301-951-0474
Fresh Baguette
Aussi à Bethesda, les bûches de Noël de Fresh Baguette doivent être commandées deux jours à l’avance et viennent en taille individuelle ($6.95), 4 personnes ($22), 6 personnes ($33) ou 8 personnes ($44). Au menu, les classiques chocolat, café, vanille et praline ainsi qu’une bûche poire-chocolat, fruits rouges et chocolat royal. 4919 Bethesda Avenue, Bethesda. Tel:  301-656-0000.
Buttercream Bakeshop

Souche de Noel a Buttercream Bakeshop
Souche de Noel a Buttercream Bakeshop

Tiffany McIsaac bouleverse un peu la tradition de Noël à sa boutique de Shaw Buttercream Bakeshop. Elle transforme en effet la classique bûche de Noël en souche de Noël. A l’intérieure de l’écorce rugueuse chocolatée, vous pouvez choisir votre parfum: funfetti, red velvet, s’mores, carrot cake, chocolat, etc. La souche coûte $80, sert 12-14 personnes et doit être commandée à l’avance en ligne. 250 9th St NW, Washington. Tel: 202-735-0102.

BToo

En Belgique aussi on apprécie la bûche et le restaurant Belge de Bart Vandaele, BToo, propose de s’occuper du dessert pour vous. Sa cuisine offre à la pré-commande (2 jours d’avance minimum) trois bûches: chocolat avec une mousse chocolat, gelée d’orange et crunch noisette; red velvet avec une mousse à la crème et un crunch au chocolat et un gâteau vanille aux épices avec une mousse compote de poire. Une bûche pour 6 personnes coûte $36.50 et pour 10 personnes $56.90. 1324 14th St NW, Washington. Tel: 202-627-2800.

Buches de Noel à BToo in Washington, DC
Buches de Noel à BToo in Washington, DC

PAUL

Pour combler toutes les envies, PAUL propose 3 bûches aux noms très évocateurs: La Délicieuse (framboise, spéculos et vanille de Madagascar),  L’Intense (chocolat noir intense, éclats de fèves de cacao et caramel coulant au beurre salé) et La Fabuleuse (compote de pommes, caramel au beurre d’Isigny et au sel de Guérande). La bûche individuelle est à $5.65, la large pour 6-8 personnes à $39.95. L’enseigne est présente à travers la ville de Washington ainsi qu’à Bethesda.
 

 

BHL: “La situation des juifs aux US n’est pas moins inquiétante qu’en Europe”

Le dernier livre de Bernard-Henri Lévy sort aux Etats-Unis le 10 janvier sous le titre The genius of judaism. Interview.

French Morning: Vous consacrez la première partie de votre livre à l’antisémitisme contemporain, ce que vous appelez cette “nouvelle religion planétaire”, mais le contexte n’est-il pas différent ici, aux Etats-Unis, de ce qu’il est en France?

Bernard-Henri Lévy: Non je ne crois pas. C’est même, de plus en plus, le même contexte. Dans le livre, j’identifie les trois piliers de l’antisémitisme nouveau.  1/L’antisionisme (les juifs seraient les amis d’un « Etat assassin »). 2/ Le négationnisme (les juifs seraient des « trafiquants de mémoire », ils se serviraient de leurs martyrs pour « intimider » le monde). 3/ La compétition victimaire (les juifs monopoliseraient le capital mondial de compassion en empêcheraient de s’émouvoir sur le sort d’autres victimes). Or, c’est aux Etats-Unis que ces trois piliers sont le plus solidement bétonnés. La Mecque du négationnisme, c’est là, dans de soi-disant « Instituts scientifiques » de la côte Ouest, qu’elle se trouve ; la concurrence victimaire, c’est là qu’elle s’exprime avec le plus de véhémence (cf. Nation of Islam, Louis Farrakhan, etc); quant à l’antisionisme, c’est sur les campus américains que le mouvement BDS (Boycott, Divestment, Sanctions) connaît la plus grande ferveur. Bref, la situation aux Etats-Unis ne me paraît pas moins inquiétante pour les juifs qu’en Europe.

Mais ce sont les juifs de France qui parlent de quitter le pays. Aux Etats-Unis il y a une façon de vivre en communauté, décomplexée d’une certaine manière, qui rassure beaucoup de juifs…

Oui, mais la façon de vivre l’antisémitisme y est tout aussi décomplexée. Voyez le discours de Trump devant la Coalition Juive républicaine, en décembre 2015 : “vous ne voterez pas pour moi, car je ne veux pas de votre argent”. Ce genre de propos aurait été totalement impossible en France!

N’y-a-t’il pas tout même l’idée qu’il est plus facile de vivre son judaïsme plus pleinement avec le communautarisme à l’américaine ?

C’est tout aussi possible en France de vivre “en communauté”. Mais ce n’est pas ça qui m’intéresse. Le judaïsme, ce sera le cœur de mon intervention au « 92th Y », n’est pas un communautarisme. Ce n’est pas un « entre soi », c’est le contraire! Le judaïsme est chez lui dans son rapport à l’autre. Prenez Jonas et sa baleine. C’est quand il va à Ninive que Jonas est au plus près de son message. C’est dans les lieux de l’altérité qu’il assume sa mission prophétique. Le Talmud ne dit rien d’autre avec sa métaphore des tribus d’Israël quittant l’Egypte, non pas délestées de leurs richesses antérieures, mais les emportant avec elles. Cela signifie qu’on entre dans le judaïsme avec son histoire. Etre juif c’est conserver le monde d’avant et le recréer en lui donnant un sens encore plus riche.

Des trois piliers de l’antisémitisme que vous décrivez, celui de la concurrence victimaire est le plus nouveau et peut-être le plus efficace parce qu’il oppose les victimes, leur légitimité…

Il est surtout débile et mensonger. Je démontre dans le livre, et je le répéterai au 92th Y, que l’on se mobilise d’autant mieux contre le tort fait aux hommes et femmes d’aujourd’hui que l’on a en tête et dans le coeur le souvenir du tort qui leur a été fait hier. Ce sont ceux qui avaient la Shoah au coeur qui ont dénoncé les premiers Sarajevo, le Darfour, le Rwanda… A l’inverse, il n’y a pas un exemple, ces quarante dernières années, où l’on n’observe pas ceci : les négationnistes de la Shoah sont toujours les premiers à pratiquer le négationnisme des crimes nouveaux.

Si vous décrivez longuement l’antisémitisme du monde, vous assurez aussi, et cela en surprendra plus d’un, que la France est “une des raisons de ne pas désespérer”. Est-ce que vous pensez que ce discours finalement positif sur la France et les juifs est audible aux Etats-Unis?

Je m’en fiche! Ce que je dis c’est que, oui, la culture française est imprégnée d’antisémitisme. Mais j’ajoute qu’il y a deux différences avec autrefois. Premièrement, les élites ont appris : il n’y a plus d’antisémitisme d’Etat. Deuxièmement, jadis les juifs rasaient les murs : aujourd’hui, ils relèvent la tête ; ils font front ; ils ont enfin compris que c’est en se cachant qu’on se désarme et en s’affirmant qu’on se renforce.

Mais est-ce qu’on n’est pas là dans le repli identitaire, tant décrié en France? Peut-on célébrer le port de la kippa et déplorer d’autres signes ostensibles d’autres religions?

D’abord, la kippa n’est pas essentielle au judaïsme : il est bien plus important, essentiel, d’étudier, de travailler, que de porter ou non une kippa. Deuxio : la kippa n’a rien à voir avec un signe « ostentatoire » et il serait absolument scandaleux de la comparer avec, par exemple, le voile intégral imposé aux femmes par l’islamisme radical. Et puis, enfin, je vous le répète : le judaïsme ce n’est pas une « identité », c’est une « altérité » et un rapport à l’universel.

Il y aurait donc une différence de nature entre l’affirmation de la religion juive et l’affirmation d’autres religions?

Ma thèse est, en effet, que le judaïsme n’est pas une religion.

La laïcité est-elle une spécialité française, inconnue aux Etats-Unis ?

Pas du tout. Il y a, aussi, une laïcité américaine. Sauf qu’elle dit l’inverse de la laïcité française. Aux Etats-Unis, elle protège les églises des empiètements de l’Etat. En France, elle protège l’Etat, qui ne doit pas être touché par le religieux.

En tout cas, pour vous, il n’y a pas d’impossibilité majeure à être Juif et Français ?

Je sais qu’un certain nombre de mes concitoyens se demandent s’ils ne doivent pas quitter la France. Ma conviction c’est que ce n’est pas à eux, mais aux antisémites, ces « crânes rasés de la pensée », de la quitter.

Trophées des Français de l'étranger: l'appel à candidatures est lancé

Il y a du talent chez les Français expatriés. Pour les récompenser, le site d’information des Français hors de France, le Petit Journal, a lancé “Les Trophées des Français de l’étranger”. L’appel à candidatures pour l’édition 2017 vient d’être lancé.
Sept trophées seront attribués en mars 2017 lors d’une soirée au Quai d’Orsay:

  • Culture/art de vivre
  • Education
  • Entrepreneur
  • Jeune espoir (moins de 30 ans)
  • Social et humanitaire
  • Prix du public
  • Ancien-ne élève des lycées français de l’étranger (catégorie ouverte à toutes les nationalités).

Pour participer, il faut résider hors de France, être âgé de plus de 18 ans et pouvoir témoigner d’une expérience significative. Les candidatures doivent être déposées avant le 16 janvier.

8 adresses où trouver du fromage à raclette à New York

Qui dit hiver dit raclette. Ce repas presque rituel pour un Français est moins répandu aux USA, encore plus quand il s’agit d’acheter du fromage pour en faire chez soi. French Morning est allé écumer les fromageries de New York pour vous trouver sept adresses qui proposent le fromage tant prisé.
Zabar’s
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On sait faire les choses à Zabar’s, le repaire des foodies de l’Upper West Side: des fromages du monde entier vous tendent les bras dès l’entrée. Le fromage à raclette français pointe le bout de son nez au milieu d’autres fromages venus d’Europe. Il est relativement bon marché, à 8,98 la livre. 2245 Broadway
Murray Cheese Bar

Murray's Cheese Bar
Murray’s Cheese Bar

Le Murray’s Cheese Bar, temple du fromage dans le West Village, vend ses fromages depuis 1940. C’est seulement en 2012 qu’ils décident de s’agrandir afin de proposer un espace pour manger. Vous pouvez y déguster raclettes, fondues (un peu décevantes) mais aussi de la viande et du saucisson. Le magasin propose aussi un large choix de fromages importés du monde entier. Le fromage à raclette est vendu à 14,99$ la  livre. 264 Bleecker Street
French Cheese Board
French Cheese
French Cheese Board

À SoHo, le French Cheese Board, vitrine de la fromagerie française à New York, propose un large choix de fromages importés. Camembert, brie, mimolette, bleu d’auverge: les amoureux de bons fromages se sentiront chez eux ici. Ici, les 10 onces (environ 300 grammes) de fromage à raclette coûtent 10$. 41 Spring Street
Saxelby Cheesemongers
Saxelby Cheesemongers
Saxelby Cheesemongers

Cette fromagerie se trouve au coeur de l’Essex Street Retail Market, un marché couvert de légende situé dans le Lower East Side). C’est ici que la fondatrice de Saxelby Cheesemongers a lancé sa fromagerie en 2006 après s’être découvert une passion pour l’art de transformer du lait en fromage. Bien que la fromagerie ne tienne qu’un stand modeste, elle fournit une bonne partie des restaurants de la Big Apple. Ici, la livre de fromage à raclette est à 17,99 dollars. Différents accompagnements (saucisson, miel) sont proposés. 120 Essex Street
East Village Cheese
East Village Cheese
East Village Cheese

Sur Cooper Street, entre East 9th et East 10th Street, se trouve East Village Cheese. Le choix de fromage est large et les prix abordables. Ici vous ne payerez que 5,99$ la livre de fromage à raclette.
Lamazou
Lamazou
Lamazou

Cette fromagerie est implantée dans le quartier de Gramercy depuis plus d’une décennie. Vous y trouverez une sélection de fromages du monde entier. Le magasin propose aussi un bon nombre de viandes, allant du salami italien au chorizo d’Espagne en passant par du bacon irlandais et même du foie gras. Pour accompagner votre repas, biscuits, olives, chocolats ou encore du thé sont aussi exposés dans les rayons. Au Lamazou, votre livre de fromage à raclette est à 19,99$. 370 3rd Ave
Ideal Cheese Shop
Ideal Cheese Shop
Ideal Cheese Shop

Cette fromagerie de Midtown East est née il y a soixante ans en ne proposant que des oeufs et du beurre. Depuis, le magasin s’est transformé en fournisseur de fromages pour tout le pays. Leur offre couvre plus de 250 fromages différents venus de 17 pays et ils ont été intronisés World’s Best Cheese Shop par Forbes. La livre de fromage à raclette est vendue à 18.98$. 942 First Ave
Food Emporium
Food Emporium
Food Emporium

On trouve aussi son bonheur dans quelques grandes surfaces, comme Food Emporium. On a déniché le fromage à raclette pour 14,99 dollars la livre dans le magasin d’Union Square. 10 Union Square East.