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6 restaurants qui servent la raclette ou la fondue à Washington

Pour se réchauffer cet hiver, il n’y a rien de tel qu’une bonne raclette ou une fondue savoyarde! L’année dernière, plusieurs restaurants de  Washington avaient rajouté de la raclette à leurs menus. La tendance continue cette année. Voici quelques addresses pour déguster du fromage fondu cet hiver.

Brasserie Beck

Il n’y a pas que les moules frites au restaurant belge de Robert Wiedmaier, il y aussi la raclette et en plus elle est gratuite tous les jours au bar de 5:00pm à 6:00pm et à nouveau de 9:00pm a 10:00pm. Outre la raclette, le bar offre une selection de vins à $5 ainsi qu’une remise de $2 sur les bières pression. La raclette est aussi disponible à la carte au restaurant où elle est présentée comme une entrée, avec du thym, des raisins rouges et un toast ($13).
Homestead
A Homestead dans le quartier de Petworth, la raclette est dans la catégorie des entrées et plats à partager… et noté comme plat végétarien (et sans gluten). Donc pas de charcuterie mais juste des pommes de terre rôties aux fines herbes noyées sous une couche de fromage fondu. Bon, il y a tout de même la possibilité d’ajouter des lardons d’agneau… 
ENO Wine Bar and Tasting Room
Le bar à vins attaché au Four Seasons a Georgetown se transforme en chalet des Alpes tous les jeudis, vendredis et samedis soir. L’assiette de pain, pomme de terre, onions et cornichons commence à $18, avec l’option de rajouter aussi de la charcuterie, et le fromage fondant est raclé directement dessus. Pour aller avec, le sommelier a sélectionné un Gewürztraminer pétillant de l’Etat de Washington ($18 le verre.)

Raclette a ENO Wine Bar in Georgetown - photo credit: ENO Wine Bar
Raclette a ENO Wine Bar in Georgetown – photo credit: ENO Wine Bar

Cheesetique 
La spécialité de Cheesetique c’est le fromage donc il n’est pas surprenant de voir deux typeS de fondues au menu. La première est toute classique: gruyère, emmental et raclette avec du vin blanc ($18). La deuxième change selon les jours et les fromages disponibles. Elle est servie avec des crostinis uniquement ($13). Si vous avez de la chance, en saison, vous pouvez même trouver de la raclette à la vente dans la petite boutique qui occupe une partie du restaurant.
Garrison
Juste à temps pour l’hiver, chef Rob Weland remet la fondue au menu de son restaurant de Barracks Row, Garrison.  S’il fait assez bon elle pourra même être dégustée sur le patio. C’est une fondue alpine assez traditionnelle qui est offerte pour $18 par personne et servie avec des cubes de pain. Pour $4-$10, il y a des accompagnements supplémentaires comme des pommes de terre, des radis, champignons, et, bien sûr, les gougères très populaires du restaurant. 
The Fainting Goat
En Mars 2016, Chef Nathan Beauchamp avait fait une série de raclette parties à son restaurant de U street. En Janvier 2017 la raclette reviendra à The Fainting Goat, cette fois sous la forme d’un menu à trois plats. Le premier ça sera la salade, ensuite la raclette bien sur et un pot de crème au chocolat pour finir. Bonus pour les amateurs de fromage fondu: en plus de la raclette, le restaurant offre une interessante fondue au fromage de chèvre ($12 et $10 en late night les jeudis-Samedis de 11:00pm à 1:00am).

Investissement immobilier : profitez des taux bas avant qu'il ne soit trop tard

(Article partenaire) Si un nouveau record de taux bas a été battu au mois de novembre, c’est sans doute la dernière fois. Dans le sillage de l’élection de Donald Trump et d’une hausse des taux d’emprunt d’État, les taux de crédit immobilier devraient repartir à la hausse dans les prochaines semaines. Il est donc temps d’accélérer votre projet d’investissement immobilier pour profiter des taux d’emprunt historiquement bas.

Ce que l’élection de Trump a changé

Difficile de croire qu’un président fraîchement élu aux États-Unis puisse avoir une incidence sur votre crédit immobilier en France. C’est pourtant bien l’élection de Donald Trump qui risque d’entraîner une hausse des taux du crédit immobilier. En effet, la crainte d’une poussée inflationniste a entraîné un envol des taux d’emprunts américains. Les taux européens ont suivi et l’OAT 10 ans (taux d’emprunt d’État français) est passé de 0,1% fin septembre à 0,74% au 17 novembre. Si les taux de prêt immobilier proposés aux emprunteurs ne sont pas directement corrélés au taux de l’OAT, ils le sont indirectement puisqu’ils dépendent des conditions auxquelles les banques se financent sur les marchés financiers. L’évolution de l’OAT 10 ans est donc un indice sur l’évolution future des taux d’emprunt immobilier.

Les prévisions des spécialistes

Si tous ne sont pas d’accord sur le timing exact de la remontée des taux, tous les spécialistes s’accordent à dire que la baisse est terminée et que la hausse est pour bientôt. Les plus pessimistes parlent de début décembre quand d’autres estiment que les taux d’emprunt immobilier ne seront pas affectés avant le début de l’année 2017. Les banques ont évidemment tout intérêt à limiter la hausse au maximum afin de continuer à conquérir de nouveaux clients. D’autant que pour l’instant, la politique de la Banque centrale européenne continue à inciter les banques à prêter. La hausse des taux du crédit immobilier est donc pour bientôt mais elle devrait se faire en douceur.

Le service My expat

Il serait dommage de ne pas profiter des taux historiquement bas pour démarrer votre projet d’investissement immobilier. Spécialiste de l’investissement locatif en France pour les expatriés, My expat vous accompagne tout au long de votre projet et notamment pour l’organisation de son financement. Nous prenons contact avec les banques, organisons l’offre et vous conseillons pendant les négociations. Nous vous faisons également profiter de notre réseau de courtiers afin que vous obteniez les meilleures conditions d’emprunt.

Vous avez un projet d’investissement immobilier et souhaitez profiter des taux bas avant qu’il ne soit trop tard ?

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

François-Xavier Terny dévoile sa moto du futur

Nous vous avions raconté il y a quelques mois le rêve de Français-Xavier Terny qui veut créer de rien une nouvelle marque de motos, produites à Brooklyn.
Eh bien le rêve a maintenant deux roues, un gros moteur. Et un nom, lequel a été dévoilé, en même temps que les photos, le 2 décembre en avant-première du salon de la moto de New York. L’engin s’appellera donc Vanguard et sera commercialisé fin 2018 aux alentours de 30.000 dollars.
Le roadster sera présenté en vrai aux visiteurs du New York International Motorcycle Show du 9 au 11 décembre prochain au Javits Center. Pour l’entrepreneur français, et son associé américain Edward Jacobs, “c’est une grande satisfaction de pouvoir enfin dévoiler notre moto, montrer les innovations techniques et voir l’intérêt qu’elle soulève, avec des dizaines d’articles de presse dans le monde entier” .
Mais ce n’est que le début de l’aventure. S’ouvre maintenant une nouvelle étape de 18 mois de validation, d’essais, modifications qui aboutiront à un deuxième et sans doute troisième prototype, avant la production de “pré-series”, puis le démarrage de la production de masse fin 2018, dans une usine installée au Brooklyn Navy Yard. La version européenne de la Vanguard devrait arriver courant 2019, tout comme la version “cruiser”.
Tout ça, c’est si tout se passe bien dans les prochains mois, et l’étape cruciale: celle de la levée de fonds. “Au total nous aurons besoin de 11 millions de dollars pour aller en production, souligne François-Xavier Terny. Et deux à trois millions dès le début de l’année 2017 pour pouvoir continuer.  Les prochains mois vont être décisifs!”.
Les premiers engagements d’investisseurs sont arrivés, pour l’essentiel de riches particuliers passionnés de moto, ou des “family offices” intéressés par l’aventure industrielle. “Car c’est de cela qu’il s’agit, souligne M. Terny. Une aventure industrielle, avec beaucoup d’innovation. Et son lot d’inconnues!”

Pourquoi les aspirateurs sont-ils si nuls aux États-Unis ?

Passer l’aspirateur n’est pas forcément la tâche ménagère la plus agréable. Mais en arrivant aux États-Unis, vous avez sans doute dû vous rendre compte que s’en servir peut rapidement virer au cauchemar.
Celui qui nous fait bien souvent mordre la poussière ici est connu sous le nom « upright », le modèle d’aspirateur le plus populaire aux États-Unis. « C’est un best-seller qui représente près de 80% de mes ventes », explique David Zalabak, revendeur d’aspirateurs à Miami. Cet appareil ressemble à un balai dont le moteur ainsi que le compartiment, avec ou sans sac permettant de retenir la poussière, sont directement intégrés au manche. À première vue, rien d’alarmant, mais après une première utilisation, on se demande si les ingénieurs qui ont conçu ces engins n’auraient pas lu à l’envers leur cahier des charges.
Ces aspirateurs « upright » causent en effet de nombreux désagréments. Pouvant peser près d’une dizaine de kilos selon les modèles, ces appareils sont difficilement maniables. Les traîner dans les deux sens dans toutes les pièces de l’habitation peut s’avérer être une épreuve, sans parler du moment où il faut s’en servir dans les escaliers. Ces aspirateurs font par ailleurs un bruit effroyable et ne passent sous aucun meuble, il faut donc redoubler de créativité pour aspirer les poussières logées sous le lit ou le canapé. À cela s’ajoute leur côté vorace qui déchiquète en un rien de temps un câble d’alimentation électrique ayant eu le malheur de traîner au sol.
Fait pour la moquette
Si l’on retrouve ces modèles « upright » dans tous les placards des foyers américains, c’est en partie à cause du revêtement de sol. « Ces aspirateurs ont été conçus pour faciliter l’entretien des tapis et des moquettes grâce à leur brosse rotative motorisée qui offre un nettoyage en profondeur », précise David Zalabak. Un revêtement qui a connu un fort engouement dans les années 50 aux États-Unis et qui se poursuit encore aujourd’hui. « Même si les mentalités commencent à évoluer pour des raisons d’hygiène notamment, la moquette reste à l’heure actuelle le revêtement de sol le plus abordable et le plus utilisé », ajoute le spécialiste des aspirateurs.
Un modèle redessiné
Aujourd’hui, les nombreux modèles d’aspirateurs « upright » tentent de s’adapter aux différents revêtements de sol venus d’Europe comme le marbre ou le vinyle en s’appuyant sur les caractéristiques des aspirateurs-traîneaux, connus sous le nom de « canister » et rencontrant un vif succès de l’autre côté de l’Atlantique. « Je vends de plus en plus d’appareils qui possèdent un tuyau flexible et qui disposent de nombreux accessoires permettant de nettoyer le moindre recoin, indique David Zalabak. Certains modèles disposent également d’un interrupteur permettant d’arrêter la brosse rotative motorisée afin de nettoyer les sols délicats, comme le parquet, sans les abimer ».
Ces modèles restent encore assez chers et surtout moins répandus sur le territoire américain. « Certains de mes clients veulent encore acheter un modèle « upright » alors qu’ils n’ont pas un seul morceau de moquette chez eux, sourit le revendeur d’aspirateur, je les oriente vers des modèles plus adaptés à leur sol, comme les aspirateurs « canister » mais ils restent parfois sceptiques car aux États-Unis nous avons grandi avec les modèles « upright » et ce n’est pas évident de faire changer les habitudes ».

Le Renegade Craft Fair revient à Los Angeles à temps pour les Fêtes

Créé par des créateurs pour des créateurs, le Renegade Craft Fair est l’une des plus importantes vitrines de l’artisanat et du design contemporain. Organisé dans plusieurs villes américaines telles que Chicago, New York, San Francisco ou Austin, il revient au Grand Park à Los Angeles pour sa huitième édition, les samedi 10 et dimanche 11 décembre.
Véritable référence, ce marché ambulant met en valeur le travail de près de 300 des meilleurs artistes et artisans du pays. Vous pourrez y trouver des bijoux originaux, des créateurs de vêtements, des objets en poterie, de la céramique, du canevas, des bougies… A travers ces créations, le Renegade Craft Fair célèbre l’esprit du “Do it yourself”.
Outre la vente, ce marché se veut divertissant avec des ateliers bricolage, des démonstrations, des performances de DJ et pléthore de food trucks pour faire son shopping le ventre plein. Si vous n’avez pas d’idées de cadeaux à offrir à Noël, le Renegade Craft Fair tombe à pic.

Conférence avec Philippe de Montebello sur la guerre et les lieux culturels à New York

Le sujet est plus que jamais au cœur de l’actualité. Le lundi 5 décembre, une conférence sur les lieux culturels et la guerre sera organisée au Lycée Français de New York.
Intitulée “Cultural Heritage and Armed conflict”, elle fait partie des 21st Century Citizenship Series, une série de débats portant sur les problèmes majeurs auxquels le monde est confronté en ce début de XXIe siècle.
Plusieurs intervenants de marque participeront à cette conférence gratuite en anglais: le Français Philippe de Montebello, professeur d’histoire de l’art à NYU et ancien directeur du Met; Najat Haydar, conservatrice au Met, Edouard Planche, spécialiste de programme au sein de la division “Heritage” de l’UNESCO, Salam al-Kuntar, chercheur au Penn Museum et, enfin, Hugh Eakin, rédacteur en chef à la New York Review of Books.
Ensemble, ils évoqueront les moyens qui permettent de protéger les trésors architecturaux et culturels et leur efficacité.
 

Donald Trump, ce président français en devenir

“Trump est en train de devenir le premier Président français des Etats-Unis” . MarketWatch sait faire des titres provocateurs.
Dans un article paru le 1er décembre, le site d’information financière estime que les accords que le président élu a passés pour préserver les emplois des entreprises Carrier et Ford aux Etats-Unis laissent entendre que le nouveau locataire de la Maison-Blanche pourrait pratiquer le même type d’interventionnisme que le gouvernement français pour sauver l’industrie. Après ces accords, Carrier, une entreprise américaine de chauffage et climatisation, a renoncé à délocaliser une partie de sa production au Mexique et accepté de la maintenir dans l’Indiana en échange d’une réduction d’impôts. Ford, qui avait également l’intention de transférer une partie de sa production vers le Mexique, en a fait de même.
D’autres pays ont conclu des accords similaires au pacte Trump-Carrier. Par exemple, la fabricant de trains Alstom a annoncé en septembre un plan pour fermer une usine. Après un mois de discussions, le gouvernement français a soudainement commencé à commander des trains” , écrit le journaliste Steve Goldstein, responsable du bureau de MarketWatch à Washington DC.
“Est-ce une bonne chose?, s’interroge le média américain. Pour les 1.000 employés de l’Indiana, c’est évidemment une bonne chose. Est-ce une mauvaise chose? Cela fait des dizaines d’années que la France est loin derrière les Etats-Unis en matière de croissance économique. Son taux de chômage de 9.7% est quasiment deux fois plus élevé que le taux de chômage américain.” 
Selon le site, ces accords montrent en tout cas que Trump a l’intention de jouer un rôle actif dans l’économie américaine. “Comme cela a été le cas en France, les entreprises éprouveront d’abord une réticence à investir, par crainte de coûts élevés dans un contexte de ralentissement. Ou alors, elles voudront peut-être saisir leur chance, assurées de leur capacité à inciter le président Trump à leur accorder des avantages” .
 
 
 
 

Georgetown s'illumine de nouveau pour Georgetown Glow

Pour la troisième année consécutive, le quartier de Georgetown brillera de mille feux pendant la saison des fêtes avec le retour de Georgetown Glow, une exposition d’art public inspirée de la fête des Lumières de Lyon. Cette année, la célébration est étendue avec des illuminations tous les soirs du 2 décembre 2016 au 1er janvier 2017 (6:00pm à 10:00pm.)
Le long du canal historique C&O, les berges du Potomac et l’avenue Wisconsin à Book Hill, entre autre, s’illumineront de larges installations comme « Wired People: The Canal Clan » de Arthur Gallice & Herve Orgeas (C&O Canal et Wisconsin avenue) ou « Neon Treehouse » de Joan Biddle, Hannah Kirkpatrick et Kristi Totoritis.
A noter sur vos agendas: Art Soiree et le Georgetown BID organisent une disco silencieuse le 10 décembre devant l’installation artistique « On the Wings of Freedom » de Aether + Hemera (1041 Wisconsin Avenue, NW – de 7:00pm à 10:00pm.) Le 14 décembre à 7:30pm, DC Bike Party amènera sa balade à vélo mensuelle à travers Georgetown Glow (le départ se fait à Dupont Circle). 
 
 


                

Prix Nobel, fundraising et accueil de star pour Emmanuel Macron à New York

Emmanuel Macron n’a pas pas gagné la présidentielle, mais il remporte d’ores-et-déjà le Prix du meeting de campagne le plus populaire à New York.
La salle de 250 personnes que les organisateurs de son déplacement avaient prévue pour sa rencontre avec les Français de New York, lundi 5 décembre, était trop petite pour accueillir tout le monde. Les organisateurs ont trouvé à la dernière minute une salle d’une capacité de 400 personnes au Kimmel Center à NYU. C’est mieux mais pas encore suffisant: vendredi soir, ils avaient reçu près de 1.000 RSVP.
L’évènement sera le point d’orgue du déplacement new-yorkais du candidat à la présidentielle, du 4 au 6 décembre. Une visite pendant laquelle l’ancien ministre de l’économie mélangera rencontres publiques et rendez-vous privés avec de riches donateurs pour remplir ses coffres de campagne, une “tradition” chez tous les candidats à la présidentielle qui viennent à New York.
Après avoir rencontré le Prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, dimanche, un cocktail de fundraising pour son mouvement “En Marche!” était prévu pour permettre au candidat de présenter les thèmes principaux de sa campagne et répondre aux questions des convives. Ces derniers étaient invités à donner jusqu’à 7.500 euros chacun, le plafond prévu par la loi. “Seuls les partis politiques établis ont accès à un financement de l’Etat; En Marche ! n’y a pas droit; la levée de financement est donc une priorité pour l’Association et le succès de la démarche” , pouvait-on lire sur l’e-mail d’invitation que French Morning s’est procuré. L’invitation mentionnait Christine Dutreil, épouse de l’ancien ministre des PME Renaud Dutreil, comme l’hôtesse de ce rendez-vous discret. Contactée, l’intéressée a indiqué qu’il y avait eu une “confusion” et précise que son mari, soutien affiché d’Emmanuel Macron, est à l’origine de la rencontre. “Comme vous le savez, je m’occupe de la fondation Anne Fontaine et je suis actuellement au Brésil” , a-t-elle écrit. Un événement de soutien est prévu mardi au domicile d’un patron français installé à New York qui souhaite rester anonyme, mais il n’est pas clair qu’Emmanuel Macron y assistera.
Lundi, le fondateur d’En Marche! commencera la journée par une rencontre avec des start-upers français, une communauté où il compte de nombreux soutiens. Il visitera ensuite la New York French American Charter School (NYFACS) à Harlem, une école qui prodigue un enseignement bilingue à des petits Français, Américains et Africains. Il prendra ensuite la direction de Columbia University, pour une conférence sur le thème “Reforger les liens transatlantiques” . L’évènement affiche complet. Avant sa réunion publique, prévue pour 6:30pm, il rencontrera le futur Secrétaire général des Nations-Unies Antonio Gutterres.
L’ex ministre terminera cette visite new-yorkaise, mardi, par un recueillement à Ground Zero. Avant cela, il doit participer à un petit-déjeuner au Links Club en compagnie d’hommes d’affaires et de diplomates réunis par la French-American Foundation. En 2012, Emmanuel Macron avait participé au prestigieux programme “Young Leaders” de la fondation destiné à de jeunes dirigeants français et américains dans différents domaines.

10 films français à voir cet hiver sur Netflix

C’est toujours l’heure de voir un bon film français, mais ça l’est encore plus en hiver. French Morning a sélectionné pour vous dix films ou séries made in France disponibles cet hiver sur Netflix aux Etats-Unis.
1- The African Doctor (Bienvenue à Marly-Gaumont)
De Julien Rambaldi avec Marc Zinga, Aïssa Maïga, Bayron Lebli et Jonathan Lambert.
L’histoire d’un médecin d’origine africaine qui débarque en 1975 dans une petite ville où lui, sa femme et ses enfants sont les seuls noirs. Le film traite avec humour de l’intégration. Il est tiré de l’histoire vraie de la famille du rappeur Kamini.


 
2- Blind Date (Un peu, beaucoup, aveuglément)
De Clovis Cornillac avec lui-même, Mélanie Bernier et Lilou Fogli.
Gentillette comédie romantique. Un concepteur de casse-tête qui a besoin du calme le plus absolu, voit un jour débarquer une nouvelle voisine de l’autre côté d’un mur mal insonorisé. Problème: la demoiselle est pianiste. Mais comment cela va-t-il bien pouvoir se terminer? Le suspens est intenable!


 
3- Lolo
De et avec Julie Delpy, Vincent Lacoste et Dany Boon.
Une histoire d’amour entre une quadra parisienne sophistiquée et un ingénieur en informatique provincial et pas très doué, perturbée par le fils égocentrique de la dame.


 
4- They are everywhere (Ils sont partout)
De et avec Yvan Attal, Dany Boon, Charlotte Gainsbourg et Benoît Poelvoorde.
Comédie sarcastique sur le thème de l’antisémitisme en France. Yvan est juif et se sent de plus en plus persécuté. Ses séances chez le psy vont être le fil rouge reliant différentes histoires illustrant des clichés liés aux juifs.


 
5- A Mighty Team (La Dream Team)
De Thomas Sorriaux, avec Medi Sadoun, Gérard Depardieu et Chantal Lauby.
Un joueur de foot professionnel se casse la jambe et est contraint par son entraîneur à se mettre au vert chez son père à qui il n’adresse plus la parole depuis des années. Là-bas il va retrouver des valeurs perdues notamment en acceptant d’entraîner l’équipe locale.


 
6- Serial Killer 1 (L’Affaire SK1)
De Frédéric Tellier, avec Raphaël Personnaz, Nathalie Baye.
Film policier qui retrace l’histoire vraie de la traque du tueur en série de l’Est parisien: Guy Georges. On suit l’enquête pendant huit ans d’un jeune inspecteur du 36 quai des Orfèvres qui est le seul à croire en l’existence d’un seul et même tueur. Sur sa route il rencontre la pénaliste Frédérique Pons, qui défendra Guy Georges pendant son procès et le fera avouer les meurtres.


 
7- Marguerite
De Xavier Giannoli, avec Catherine Frot, Michel Fau et André Marcon
Paris dans les années 20, Marguerite Dumont, une femme fortunée et passionnée de musique se produit régulièrement devant son cercle très fermé d’amis. Son souci : elle chante horriblement faux et personne n’ose lui dire. Jusqu’au jour où elle décide de se produire devant un vrai public, à l’opéra. Le film a été nommé onze fois cette année aux César et en a obtenu quatre, dont celui de la meilleure actrice pour Catherine Frot.


8- Marseille
De Dan Franck, avec Gérard Depardieu, Benoît Magimel et Géraldine Pailhas.
Première création française de Netflix, la série est une fiction politique qui se déroule dans la cité phocéenne. Le maire en place use de tous les stratagèmes pour se maintenir face à un candidat plus jeune. Tous les coups sont permis. Marseille n’a pas convaincu en France, où les audiences ont été décevantes.


 
9- Versailles
De Christoph Schrewe, Daniel Roby, Jalil Lespert, Thomas Vincent. Avec George Blagden, Alexander Vlahos, Noémie Schimdt et Amira Casar.
(Disponible à partir du 14 décembre) Cette série française de Canal +, vendue à la BBC, raconte la vie de Louis XIV, jeune roi de 28 ans qui va faire construire le chateau de Versailles pour sa gloire mais aussi pour éloigner la noblesse de Paris et la maintenir sous contrôle.


 
10- Ten per cent (Dix pourcent)
De Fanny Herrero avec Camille Cottin, Thibault de Montalembert, Grégory Montel.
(Disponible à partir du 20 décembre) Le quotidien mouvementé d’une agence de comédiens où comment affronter des artistes déprimés ou hystériques ou en fin de carrière. Les agents sont survoltés et jonglent en permanence entre vie privée et vie publique. La saison 1 diffusée sur France 2 a très bien marché. Le scénario est co-signé par le célèbre agent Dominique Besnehard. La série a même été nommée aux International Emmy Awards de New York cet automne.


 
 

L'architecte française Odile Decq se livre à Los Angeles

Il n’y a pas que Frank Gehry dans l’histoire contemporaine de l’architecture. Dans le cadre d’une série de conférences, le LACMA met à l’honneur des architectes distingués. Le vendredi 9 décembre, la parole sera donnée à la Française Odile Decq, architecte, paysagiste et plasticienne.
Malgré sa coiffure hirsute à la Robert Smith, elle ne fait ni dans le punk, ni dans le rock. Son crédo : des projets uniques qui ne laissent personne indifférent. Sa carrière internationale a débuté dans les années 90, avec la conception du siège social de la Banque Populaire à Rennes. Depuis, la Française a appuyé sa renommée au travers de nombreuses réalisations en France et à l’étranger : FRAC Bretagne, le restaurant de l’Opéra Garnier à Paris, le Musée d’art contemporain de Rome, le musée de géologie et d’anthropologie de Nanjing…
Ses oeuvres ont été saluées par de nombreux prix tels que la “Médaille de vermeil et d’honneur” de l’Académie d’architecture de France en 2011 ou le prix “Jane Drew” d’Architectural Review en 2016.
En 2014, Odile Decq a créé à Lyon son école d’architecture, l’Institut pour l’innovation et les stratégies créatives en architecture, nommée Confluence

La Compagnie et XL Airways fusionnent

Les deux compagnies aériennes françaises fusionnent pour former un “groupe low-cost long courrier”.
La négociation durait depuis plusieurs mois. Elle a pris fin ce jeudi avec l’annonce officielle de la fusion entre les deux petites compagnies, toutes deux bien connues des Français des Etats-Unis: la Compagnie pour ses vols “tout business low cost” entre Paris et New York et XL Airways pour ses vols saisonniers à petit prix entre la capitale française et 4 villes américaines.
Le nouvel ensemble sera piloté par Laurent Magnin, le patron de XL Airways, mais contrôlé par les actionnaires actuels de La Compagnie. Il pèsera plus de 400 millions d’euros de chiffre d’affaires et comptera 800 salariés, y-compris deux filiales voyages de XL. Frantz Yvelin, le fondateur de La Compagnie quitte le groupe “pour poursuivre d’autres activités“.
Si les deux entreprises ont des positionnements -et des types de passagers- très différents, la fusion est justifiée, explique un communiqué commun des deux compagnies car il permettra “d’assurer une maîtrise profonde des coûts d’exploitation des deux unités“. Malgré leurs succès commerciaux, les deux entreprises sont en effet dans une situation financière incertaine, compliquée encore ces derniers mois par la ralentissement du trafic transatlantique. Grâce une forte présence notamment sur New York, la fusion devrait permettre au nouveau groupe de réaliser des économiques d’échelles, mais aussi de présenter un front uni face à la concurrence accrue de nouveaux acteurs, comme Norwegian, passé l’offensive sur les liaisons transatlantiques depuis un an.
Dans l’immédiat, les deux marques vont subsister.