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Projection d' "Une Histoire de Fou" à Stamford

Après “La Volante” ou encore “Fatima”, l’Alliance française de Greenwich, avec le festival Focus on French Cinema, met à l’honneur “Une Histoire de Fou” (“Don’t Tell Me The Boy Was Mad”) le mardi 11 octobre.
Dans ce film, Robert Guédiguian raconte l’histoire d’Aram, un jeune arménien qui s’est engagé dans une organisation terroriste après le génocide. Après un attentat mené contre l’ambassade turque à Paris qui blesse gravement un civil, Aram est enrôlé dans un groupe armé à Beyrouth. Seulement, le garçon est rongé par le remords de la personne qu’il a blessée. Petit-à-petit, il va commencer à douter du bien-fondé de ses actions et va aussi trouver l’amour.
Pour l’occasion, l’Alliance française veut inviter des membres de la communauté arménienne de Fairfield et Westchester. La projection sera précédée d’un apéritif avec vin et hors-d’oeuvre et aura lieu au cinéma Avon de Stamford.

Quiet Mornings au MoMA : art et méditation avant la foule

Avez-vous toujours voulu arpenter les allées du MoMA sans être collé par des dizaines de touristes ? Si oui, ce rêve peut bientôt devenir réalité… à condition de se lever tôt.
Tous les mercredis du mois d’octobre, le musée d’Art Moderne de New York proposera « Quiet Mornings », une invitation à visiter les lieux à partir de 7:30am. L’occasion de se retrouver en tête à tête avec les chefs-d’œuvres de Monet ou de Matisse sans être dérangé par le brouhaha habituel.
Lors de ces matinées, vous pourrez profiter d’une petite séance de méditation au cœur du Agnes Gund Garden Lobby, avec une vue dégagée sur les sculptures et les arbres du jardin Aldrich Rockefeller. Ces sessions de méditations auront lieu entre 8:30am et 9am.
Et puisqu’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, sachez que le prix du billet d’entrée sera aussi doux que l’expérience qu’il propose. Comptez 12$ pour un billet adulte, 10$ pour les étudiants, 8$ pour les jeunes de moins de 16 ans. Les membres du musée, quant à eux, peuvent bénéficier de la gratuité et d’une entrée spéciale à 5$ pour les invités de leur choix. Conseil de la rédaction : mieux vaut prendre ses billets à l’avance.

Jain: "Je n'ai pas la peur de la page blanche"

J’essaye de ne pas me laisser aller” . Quand on est devenu une sensation planétaire avec un clip  -“Come”- vu plus de 38 millions de fois, on peut avoir quelques raisons de perdre la boule. Ce n’est pas le cas de Jain.
Cette chanson qui tourne en boucle aujourd’hui, la Toulousaine de 24 ans l’a composée il y a sept ans, quand elle habitait au Congo-Brazzaville. C’est là, à Pointe-Noire, qu’elle se lance sérieusement dans la musique. Entourée d’amis rappeurs et de la musique africaine (Youssou N’Dour, Salif Keita ou Oumou Sangaré) que sa mère franco-malgache écoutait, elle fait la connaissance du beatmaker Flash, chez qui elle allait enregistrer ses maquettes après l’école.
Elle monte une page MySpace qui tape dans l’oeil de son manager actuel Cyril Le Tallec. Il la met en contact avec le chanteur Yodelice qui tombe aussi sous son charme. À 22 ans, elle assure ses premières parties et celle de Christine and the Queens.


Dans sa musique, elle se joue des cultures et des styles. C’est le reflet de qui elle est. Fille d’expatrié – son père travaillait dans une compagnie pétrolière -, elle s’est nourrie de ces voyages successifs. Outre le Congo, elle a vécu à Abu Dhabi et Dubaï. Sur le chemin, après deux ans de batterie à Pau, elle apprend les percussions arabes.
Ses voyages ont inspiré son premier CD, sorti en novembre 2015. Il s’intitule “Zanaka”, ce qui signifie “enfance” en malgache. C’est ce CD certifié disque d’or en février qui lui vaudra sa première nomination (et sans doute pas la dernière) aux Victoires de la musique dans la catégorie « Album révélation » . “La sensation de déracinement m’a donné l’envie d’écrire. En bougeant d’un pays à l’autre, je n’arrivais pas à m’exprimer en parlant. Je préférais chanter” , dit-elle.
Globe-trotteuse enfant, elle continue à voyager adulte. Jain vient de faire son premier concert à Los Angeles. “On m’avait dit que le public n’était pas très dansant. Mais là, il a dansé !” plaisante-t-elle. Elle doit à présent se mesurer à New York. L’artiste sera le 12 octobre à Brooklyn et le 13 au Mercury Lounge. “Je suis impatiente. J’ai beaucoup écouté de blues et de soul, Nina Simone, Janice Joplin, le hip hop…” répond-elle quand on lui demande si elle inscrirait les Etats-Unis sur sa longue liste d’influences musicales. On devrait la retrouver en mars 2017 à South by South West (SxSW).
Qu’on se rassure, elle a encore beaucoup de chansons écrites dans son sac. “Je n’ai pas la peur de la page blanche, dit-elle. On dit que le deuxième album est le plus compliqué, mais j’ai encore beaucoup de compositions en attente. J’aurai plus de pression pour le troisième si j’ai la chance d’en faire un” .

Cliff Simon, du Moulin Rouge à Stargate SG-1

De “Stargate SG-1” à “NCIS”, en passant par “Castle” ou “Nash Bridges”, Cliff Simon, 54 ans, s’est imposé dans la plupart des séries télévisées à succès dans le rôle du “bad guy”. Des interprétations à mille lieues de ses premiers pas artistiques: il a débuté à Paris, au “Moulin Rouge”, à la fin des années 80.
Originaire d’Afrique du Sud dont il fut l’un des grands espoirs olympiques en natation, avant de décider sur un coup de tête de s’engager dans l’armée, Cliff Simon se passionne pour la danse. A l’âge de 27 ans, alors qu’il cherche à donner un nouveau sens à sa vie, il décroche un contrat pour rejoindre la troupe des danseurs de French Cancan sur la scène du Moulin Rouge.
“J’y suis resté un an, raconte-t-il. Et je peux affirmer que ce fut la plus belle année de ma vie. J’ai tout appris là-bas : la rigueur, mais aussi comment décrypter les gens pour séparer ceux qui vous veulent du bien et ceux qui cherchent à vous nuire. J’ai aussi connu quelques galères, avec les voyous qui peuplent les rues parisiennes la nuit. Mais ce ne sont que des bons souvenirs désormais.”
De cette expérience parisienne, Cliff Simon en a tiré un livre, intitulé Paris Nights, My year at the Moulin Rouge… (Waldorf Publishing), co-écrit avec Loren Stephens et disponible depuis quelques jours aux Etats Unis. “J’ai eu un parcours plutôt riche et atypique, mais j’ai choisi d’axer mon récit sur Paris, car je dois tout à cette ville et au Moulin Rouge. Quel que soit l’endroit du monde où l’on se trouve, dès que l’on cite le Moulin Rouge, les regards pétillent et le respect s’installe. Par ailleurs, peu de livres ont raconté quelle est la vie d’un danseur au sein de ce cabaret qui est le plus populaire au monde et quels en sont les rouages.”
Actuellement en tournée pour dédicacer son ouvrage (voir les dates en encadré), juste après avoir terminé le tournage d’une série de science-fiction en Nouvelle-Zélande, l’acteur compte venir prochainement dans la capitale française pour y présenter son livre. “A chaque fois que je reviens, la première chose que je dis est ‘Merci Paris’. J’ai tout aimé dans cette ville : l’architecture, la culture, mais surtout les gens. J’y ai fait de formidables rencontres. J’y suis tout de suite revenu en lune de miel après mon mariage et c’est l’endroit auquel je pense lorsque j’ai besoin de me ressourcer. Paris et le Moulin Rouge restent pour toujours les lieux qui ont forgé l’homme que je suis aujourd’hui”.

Des footballeurs du Pas-de-Calais en quête de fonds pour jouer à New York

Emmener des footballeurs français de 16 à 19 ans jouer dans des tournois aux Etats-Unis, voilà la noble cause de Team LA 59-62.
Cette association organise chaque année deux voyages aux Etats-Unis en compagnie de jeunes footballeurs du Nord-Pas-de-Calais. Ils participeront en février à la Mayor’s Cup, un tournoi organisé par la Ville de Las Vegas et le club du Downtown Las Vegas Soccer Club. En mai, ils prendront part au Cerritos Memorial Challenge Cup, au sud de Los Angeles. “C’est un moyen pour les jeunes de découvrir un autre pays, de visiter des endroits qu’ils ont toujours voulu voir” , explique Olivier Maillard, en charge de la communication de l’association.
Mais Team LA 59-62 vise un nouvel objectif pour la saison 2017 : la New York City Cup, un tournoi pour 13 à 19 ans à Randalls Island du 14 au 16 juillet. Un projet auquel tient beaucoup Olivier Maillard, un passionné de New York qui cherche à organiser ce voyage depuis maintenant un an.
Ces jeunes du Nord-Pas-de-Calais se rendent aux Etats-Unis depuis les années 90. C’était alors l’Union Nationale du Sport Scolaire (UNSS) qui assurait l’organisation de ces déplacements. L’association Team LA 59-62 a repris le flambeau en 2007. Les joueurs qui partent aux Etats-Unis sont issus de différents clubs locaux (Touquet, Dunkerque, Marck en Calaisis…). Ils sont choisis sur des critères sportifs, mais aussi sur leur comportement et leurs résultats scolaires.
Alors que les voyages à Los Angeles et Las Vegas sont devenus systématiques (budget identique, familles d’accueil qui se portent volontaires depuis dix ans), celui de New York est plus compliqué. Pour l’instant l’association ne dispose pas de point de chute pour ses sportifs. “On a mis en place une plateforme de crowdfunding. On a la possibilité de loger nos jeunes au Manhattan College mais il nous manque encore 3.000 dollars“, déplore l’organisateur.
Autre solution, trouver une dizaine de familles new-yorkaises pour héberger les 20 joueurs. “Comme pour Los Angeles et Las Vegas, les familles participantes seront invitées aux activités prévues avec les jeunes, les dîners, les sorties au parc d’attraction et bien sûr les tournois“, développe Olivier Maillard. Les footeux en herbe seront avec le staff entre 8am et 7pm pour s’entraîner à marquer un maximum de buts.

Acheter un appartement à New York: et pourquoi pas l'East Village ?

(Article partenaire) Depuis son arrivée à New York il y a maintenant cinq ans, Alexandre Lacroix, agent immobilier, a vécu dans plusieurs quartiers. Il a parcouru la ville et connaît ses classiques.

Depuis plus d’un an, il suit l’évolution d’un quartier en particulier: l’East Village. « C’est l’un des quartiers les plus cosmopolites de Manhattan, qui a su garder son authenticité, et où il fait bon vivre » . C’est aussi l’un des seuls quartiers du sud de Manhattan qui reste encore “abordable”. “L’East Village est un quartier très attractif, même pour les familles. Il est très vivant, plein de boutiques trendy, de bars speakeasy et de nouveaux restaurants à chaque coin de rue.”

Le week-end, l’East Village, avec ses rues commerçantes, ses groupes de jazz et de rock, le Tompkins Square Park devenu si agréable, s’anime. Un des secrets les mieux gardés de ce quartier : ses petits jardins communautaires, tels 6B Garden ou The Secret Garden, où chacun fait pousser ses tomates comme bon lui semble. Les restrictions de hauteur sur les immeubles en font un des quartiers les plus lumineux de NYC. 

L’East Village a aussi de très bonnes écoles telles East Village Community School ou Tompkins Square Middle School. Depuis quelques années, on note un afflux de jeunes familles venant du West Side, ils peuvent s’y offrir des surfaces plus grandes pour un prix similaire ou moindre. Les jardins de l’East Village ravissent aussi les plus jeunes. 

Downtown Manhattan

Étant une des destinations les plus stables au niveau de l’investissement immobilier mondial, New York et Downtown Manhattan restent prisées des acheteurs potentiels. “Le nombre d’appartements dans le sud de Manhattan a augmenté de 2,6% par rapport à l’année dernière, la demande se faisant fortement ressentir dans les quartiers émergents tels l’East Village. Le quartier a récemment vu une augmentation des développements immobiliers, comme le 100 Avenue A et 438 East 12th Street” .

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Il existe beaucoup d’immeubles de co-ops. Les appartements y sont moins chers que dans les condos. Par exemple, actuellement, un 2 bedrooms situé entre l’avenue A et B figure sur le marché pour un prix annoncé de $600.000. Un peu plus à l’ouest, sur la 11th Street entre la 2eme et 3eme Avenue un lumineux 2 bedrooms récemment rénové est listé $725.000. Ces deux appartements qui sont des co-ops nécessitent un processus d’application plus complexe que les condominiums. 

Plus luxueux, situé dans un immeuble de condominiums sur l’Avenue A, un magnifique 3 bedrooms/3bathrooms de 1.635 SF (152m2) annonce un prix de vente de $3.275.000. L’immeuble de standing comprend une piscine, un garage, une salle de gym et une salle de jeux pour enfant. Un peu plus loin, sur l’avenue B, un lumineux corner 2 bedrooms/2 bathrooms de 1.178 Sf (109m2) est chiffré à $1.795.000.

Lors de l’achat, il est très important de comprendre la différence entre les co-ops et condos. Engager un professionnel qui saura vous conseiller et vous guider dans le processus de négociation peut faire la différence” .

Acheter à Manhattan, ça fait rêver

New York est une ville compétitive, tout va très vite, et le marché immobilier ne déroge pas à la règle. “Selon mon expérience, si un appartement vous plaît, il faut être prêt à faire une offre immédiatement.

Il y a quelques mois, j’ai passé plusieurs semaines à rechercher un 2 bedrooms avec un de mes clients français. Nous avons fini par perdre l’option mise sur un appartement à cause d’un autre acheteur qui a surenchéri au dernier moment alors même que les contrats allaient être envoyés! C’était un mal pour un bien! Nous avons finalement trouvé un appartement plus beau au dernier étage avec vue sur l’Empire State Building” . Malgré les difficultés, de réelles opportunités existent à New York. Comme dans la vie, il faut savoir les saisir au bon moment. Pour vous aider à trouver le logement de vos rêves, l’œil d’un expert peut s’avérer déterminant.

Pour contacter Alexandre Lacroix

110 East 31st Street

New York, NY 10016

M:   +1 352.870.7879

[email protected]

Le site d’Alexandre Lacroix

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

La cardiologie française contre l'infarctus chez les Américaines

Un casting où l’on voit des comédiennes simuler des émotions (tristesse, joie, orgasme…). Quand on leur demande de reproduire un infarctus, elles se trompent toutes.
C’est le clip que la Fédération Française de Cardiologie  (FFC) a mis en ligne fin septembre en France pour sensibiliser les femmes sur les symptômes méconnus de l’infarctus. En effet, ce dernier se manifeste de manière différente chez les hommes et les femmes, et elles ne le savent pas toujours. Chez elles, fatigue persistante, douleur thoracique, crises d’angoisse, troubles digestifs et essoufflement sont autant de signes avant-coureurs.
La FFC estime que près de la moitié des femmes de moins de 60 ans victimes d’un infarctus du myocarde n’ont pas ressenti de symptômes classiques (douleur dans la poitrine affectant le bras gauche et la mâchoire…).
Il y a 400 morts par jour de maladies cardio-vasculaires. La moitié sont des femmes. Comme les femmes ne connaissent pas ces symptômes, elles sont souvent prises en charge plus tardivement. On a voulu lancer un signal” , explique Philippe Serre, responsable de la communication à la Fédération, qui précise que des discussions sont en cours pour projeter la campagne dans les cinémas français d’ici la fin de l’année. “Le mode de vie des femmes s’est aligné dans le monde du travail sur celui des hommes. Elles fument et boivent plus, mais leur coeur reste plus fragile” .
Aujourd’hui, l’organisation est à la recherche de “bonnes volontés” pour diffuser cette campagne à l’international. Son message peut trouver un écho aux Etats-Unis, où les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de décès. Le clip est sous-titré en anglais. “Nous avons eu beaucoup de retombées en terme de relations publiques en France. Nous n’avons pas de plan de communication en dehors de nos frontières. Tout est fait de manière organique” .

Christine and The Queens reçoit les honneurs de "Time Magazine"

Nouvelle consécration internationale pour Christine and The Queens. Après avoir partagé la scène de Bercy avec Madonna fin 2015, puis foulé celle du célèbre festival californien Coachella en avril et livré une performance remarquée sur le plateau de l’émission « Later… with Jools Holland » sur la BBC, la voilà en couverture d’un des magazines les plus prestigieux des Etats-Unis.
Time Magazine fait donc d’Héloïse Letissier l’un des “dix leaders de la prochaine génération” . L’article qui lui est consacré s’intitule “La voix d’une génération différente” et revient sur l’ascension fulgurante de l’artiste (son premier album «  Chaleur Humaine » est sorti en 2014) et comment elle a construit son personnage de “Christine” .
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La Nantaise de 28 ans explique qu’elle a créé son double lorsqu’elle en avait 22, pour s’affranchir des codes et de ses peurs : “Christine c’est moi, Héloïse, sans les inhibitions.”
Time revient sur le caractère androgyne de l’artiste et son impact sur une nouvelle génération qui cherche à s’émanciper des genres. “À travers ses hymnes puissants LGBTQ et son identité pansexuelle assumée, elle est devenue une inspiration pour ceux qui pensent qu’ils n’appartiennent à aucune norme culturelle ou sociale” .
« Je n’ai jamais vraiment su comment être un homme ou une femme. Rien que de porter une robe me semblait faux » , dit l’artiste qui a créé Christine dans un club burlesque de Londres. « Parce qu’être une femme me semblait comme un obstacle, j’ai voulu devenir d’un genre neutre. C’est devenu ma façon de piéger le système. »
Piégé ou non, le système lui rend aujourd’hui hommage. Et au bon moment: elle est actuellement en tournée aux Etats-Unis accompagnée de ses « Queens » (des danseurs hommes) et s’arrêtera à Washington, New York, Boston, LA, San Francisco et Seattle.

Un président et un ex-taulard au Chelsea Film Festival 2016

Que les cinéphiles se rassurent. La quatrième édition du Chelsea Film Festival aura bel et bien lieu, malgré des inquiétudes sur son futur, du 13 au 16 octobre.
Pour cette nouvelle édition, le festival lancé en 2013 pour mettre en avant des films à caractère social ne change pas de recette: le public découvrira plusieurs longs et courts métrages, mais aussi des documentaires venus d’horizons très différents, réalisés par des cinéastes émergents. Les projections auront lieu au Cinepolis Luxury Cinema et dans les locaux du FIT.
Le film américain “Misfortune” de Desmond Devenish, sur un ex-taulard qui part sur les traces de diamants aux quatre coins de l’Amérique, fera l’ouverture du festival.
Vingt-trois longs métrages seront présentés, parmi lesquels trois films français: “The Statesman” (“Un homme d’Etat”) de Pierre Courrège (vendredi 14 octobre à 7:30pm), avec Patrick Braoudé dans le rôle d’un président de la République sortant qui cherche à relancer son parti politique.
A voir aussi: “Twisting Fate” (“A tous les vents du ciel”) de Christophe Lioud (vendredi 14 octobre à 8pm). C’est l’histoire d’une jeune fille de 17 ans seule rescapée d’un accident de voiture qui a tué toute sa famille et qui entame un voyage initiatique pour accepter son sort de survivante et gérer la culpabilité.
C’est aussi un film français qui clôturera le festival: “La Vie Pure” de Jérémy Banster (dimanche 16 octobre à 7pm).  En 1949, Raymond Maufrais, un jeune explorateur français part en expédition dans la forêt amazonienne. Il laisse derrière lui un carnet de voyages. Et le mystère de sa propre disparition.

Où manger pour moins de 10 dollars à New York ?

On le sait : vivre à New York coûte cher, très cher. Si les montant des loyers (et des cocktails) ne risque pas de baisser de si tôt, il existe pourtant un peu d’espoir du côté de la restauration. Tour d’horizon des restaurants où il est possible de manger pour moins de 10 dollars.
Macbar

© Macbar
© Macbar

Et si nous vous disions que nous avons trouvé le Saint Graal du mac and cheese… Une adresse de qualité avec un choix de plats à vous faire tourner la tête et un prix défiant toute concurrence ? Au Macbar, pour moins de 10$, vous pourrez déguster un déliceux plat de macaronis au fromage grillé à point, et personnalisé au homard, au bœuf ou aux champignons en fonction de votre envie. Macbar : 54 Prince St, New York
Vanessa’s Dumpling
© Vanessa's Dumpling House
© Vanessa’s Dumpling House

Avec ses trois restaurants basés à Manhattan et Brooklyn, Vanessa’s Dumpling fait le bonheur des petits budgets et des amoureux de (bonne) nourriture asiatique. Pour 1.79$, vous pourrez savourer quatre généreux raviolis grillés au porc et à la ciboulette. Rajoutez à cela un pancake au sésame et au poulet grillé pour seulement 2.99$ ainsi qu’une soupe Miso à moins de 3$ et vous serez rassasié pour plusieurs heures. L’astuce de la rédaction : invitez vos amis pour une orgie de raviolis et testez ainsi plusieurs saveurs. Les adresses ici.
Hotel Tortuga
© Hotel Tortuga
© Hotel Tortuga

Au cœur d’East Village se trouve un petit joyau caché aux bonnes senteurs de guacamole et de tacos grillés… Son nom ? Hotel Tortuga. De l’extérieur, l’établissement ne paye pas de mine, mais une fois à l’intérieur, l’ambiance est cozy et la décoration chaleureuse. En plus d’une carte peu onéreuse et savoureuse, l’Hotel Tortuga propose un excellent deal pour le déjeuner : 7.99$ pour deux choix de plats, une boisson et des chips et sauce salsa maison à volonté. Enchiladas de steak grillé ou encore chili con carne épicé sauront éveiller vos papilles sans trop écorcher votre compte en banque. Hotel Tortuga : 246 E 14th St New York
Joe’s Pizza
© Joe's Pizza
© Joe’s Pizza

Vous avez toujours rêvé de déguster une part de pizza aux côtés de Matthew McConaughey ou d’Anne Hathaway sans vous ruiner ? Chez Joe’s Pizza, ce rêve peut devenir réalité. Implanté depuis 1975 au cœur de Greenwich Village, l’établissement propose tout un panel de délicieuses pizzas, et des portions à l’unité sont également proposées à partir de 2.75$. L’autre bonne nouvelle, c’est que depuis tout ce temps, Joe’s Pizza a ouvert de nouveaux restaurants à Manhattan et Brooklyn et que des stars y pointent parfois le bout de leur nez. Les adresses ici.
2nd City NYC
© 2nd City NYC
© 2nd City NYC

Niché dans les rues arty de West Village, 2nd City NYC propose des sandwiches à la poitrine de porc grillée et des burritos délicieux au bon goût de bacon, de pommes de terre et de sauce salsa. Le restaurant, cozy et coloré permet de se restaurer sur place mais il est également possible de repartir avec son petit trésor salé sous le bras… toujours pour moins de 10 dollars. 2nd City NYC : 525 Hudson St, New York
 
 

Martin Solveig chauffe les platines à San Francisco

Martin Solveig vient faire danser San Francisco le samedi 29 octobre.
Après un passage à Mountain View en juin 2015, c’est au Temple que notre artiste national vient se produire. Son dernier album datant de 2011, les participants peuvent s’attendre à quelques exclusivités de la part du DJ de Neuilly.
Avec quatre albums à son actif, Martin Solveig est devenu l’une des figures les plus emblématiques de la musique électronique française, avec Bob Sinclar ou encore David Guetta. Discret, il a tout de même su imposer son style et décroche un disque d’or pour sa compilation “So Far” . Les stars se l’arrachent. Il a notamment été recruté par Madonna afin de s’occuper de la production des chansons de la diva pour l’album “MDNA” en 2012.

"Le dîner de cons" dresse la table à San Francisco

Vous avez le mal du pays ? L’Alliance Française de San Francisco a pensé à vous en proposant une projection de la célèbre comédie “Le dîner de cons” le mardi 11 octobre.
Retrouvez l’excellent duo Jacques Villeret/Thierry Lhermitte dans ce grand classique du cinéma français. “Le dîner de cons” raconte l’histoire de Pierre Brochant (Thierry Lhermitte), éditeur parisien, qui prévoit d’aller à un dîner où chaque invité ramène un “con” pour se moquer de lui. Pierre a trouvé la perle rare en la personne de François Pignon (Jacques Villeret) mais il se fait un tour de rein et se retrouve bloqué chez lui avec son “con” pour la soirée. Ce dernier va tout faire pour l’aider mais sa bonne volonté se heurte à sa stupidité et tout part en vrille.
Donation suggérée de 5 dollars.