Entre deux parties de « Sniper Elite » et de « The last of us », deux jeux vidéos qu'il adore, Louis Bertignac profite d'une fin d'après-midi tranquille et ensoleillée chez lui. D'ici quelques semaines, le musicien à l'allure d'éternel ado enchaînera les festivals d'été en France, avant de faire une mini tournée de trois dates aux États-Unis, à Menlo Park, Los Angeles et New York à l'automne. Cinquante ans après ses débuts, Louis Bertignac n'a rien perdu, ni de sa voix reconnaissable entre mille, ni de sa passion pour la musique : « J'ai un job de rêve : j'adore monter sur scène avec mes musiciens. Je pourrais jardiner, mais la scène, c'est dix fois mieux que la retraite ! »
L'ancien guitariste de Téléphone a fait de nombreux allers-retours entre la France et les États-Unis, notamment pour enregistrer et mixer des albums, dont son dernier « Dans le film de ma vie », sorti en 2023. Il a également joué, du temps de Téléphone, dans des boîtes comme le CBGB à New York, et le Roxie à Los Angeles. « Les États-Unis sont un grand pays que j'aime : je loue une voiture, j'écoute de la musique, j'adore...! », déclare ce fan de Jimi Hendrix, Bruce Springsteen et Bob Dylan.
Sa fidèle Gibson, ac...
[Vidéo] Mariage, contrat de mariage, PACS, concubinage : quelle union choisir dans un contexte international ?
Dans un monde de plus en plus mobile, de nombreux couples vivent, se marient ou s’installent à l’étranger. Mais les règles qui régissent leur union – qu’il s’agisse de mariage, de PACS ou de concubinage – varient considérablement d’un pays à l’autre, avec des conséquences importantes sur leurs droits patrimoniaux et extra-patrimoniaux.
Ce webinaire propose un panorama comparatif des différentes formes d’union, en soulignant leurs avantages et inconvénients, notamment dans un cadre transfrontalier. Un focus particulier sera consacré au contrat de mariage avec les conséquences de ce dernier dans un contexte international.
Visionnez le replay ci-dessous ou directement sur notre chaîne YouTube
🎙️ Avec Me Alice Bouissou et Me Jennifer Tervil, avocates associées au sein du cabinet CM&A- CHAUVEAU MULON & ASSOCIES, spécialisé en droit de la famille et du patrimoine interne et international
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Fundora : l’élite des fonds de private equity accessible à tous
[Article partenaire] Longtemps réservé à une poignée d’investisseurs ultra-fortunés, le monde des fonds de private equity s’ouvre enfin au grand public. À l’origine de cette révolution ? Fundora, une jeune fintech française fondée en 2024, qui permet d’accéder aux stratégies d’investissement des fonds de private equity les plus performants, un univers hautement performant, mais verrouillé.
Le private equity, c’est cette classe d’actifs qui finance les entreprises à fort potentiel avant leur entrée en Bourse ou leur rachat. Historiquement, ses performances font rêver : plus de 14 % de rendement net annuel sur 10 ans en moyenne, selon France Invest. Pourtant, ces opportunités étaient jusque-là réservées aux investisseurs institutionnels ou aux fortunés disposant de plusieurs centaines de milliers d’euros.
Une plateforme qui change la donne
C’est cette inégalité que Fundora entend corriger. En mutualisant les investissements via un véhicule dédié (SPV), la plateforme donne à ses utilisateurs un accès direct à une sélection de fonds d’élite. Chaque investisseur souscrit une part du SPV, liée à la performance d’un fonds précis, avec une transparence totale sur les flux et les résultats.
L’offre est variée – LBO, capital-risque, secondaire – et les fonds sélectionnés figurent tous dans le top 25 % mondial.
Un modèle sécurisé, validé juridiquement
Les investissements ne transitent pas par Fundora elle-même, mais par un SPV indépendant, audité et supervisé juridiquement, garantissant la sécurité des fonds, même en cas de défaillance de la plateforme. Le montage respecte scrupuleusement le cadre réglementaire, notamment grâce à leur partenariat avec une société de gestion parisienne, Sanso Longchamps, avec plus de 3 milliard d’euros sous gestion.
Une mission claire : démocratiser l’investissement
« Je voulais investir comme les pros, mais on m’a fermé la porte », raconte Bradley Lafond, fondateur de Fundora. De cette frustration est née une ambition : rendre les fonds de private equity accessibles.
En quelques mois, Fundora a collecté plus de 6 millions d’euros, séduit plusieurs centaines d’investisseurs, et s’est imposée comme une passerelle entre épargne privée et finance d’élite.
Pour découvrir la plateforme, rendez-vous sur le site de Fundora.
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