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Myriam Blanckaert transforme Taix Restaurant en cabaret

Par sa voix, Myriam Blanckaert invite son public à un retour dans le temps, celui où les cabarets rythmaient les rues parisiennes. Accompagnée de son pianiste, cette chanteuse et actrice française fera découvrir son univers le vendredi 26 août à 10pm au  restaurant Taix à Los Angeles.
Avec son répertoire rétro, celle qui partage son temps entre les Etats-Unis et la France transmet la nostalgie et la tradition du cabaret parisien. Acclamée par la critique, sa performance “Myriam chante Paris-New York” raconte son histoire, celle d’une Française qui a couru le quartier de Ménilmontant durant un an.
Déjà apparue dans de nombreux programmes comme la série culte “Sex and the City”, Myriam Blanckaert a notamment chanté avec l’Opéra de Los Angeles dans “Einstein On The Beach”, de Robert Wilson et Philip Glass.

Le Wall Street Journal se plaint des Français qui se plaignent aux JO

Les Français remportent la médaille d’or de la rouspétance” . Le Wall Street Journal publie, le 17 août, un article au vitriol contre les Olympiens français qui se plaignent, même quand ils gagnent. Du “French Bashing” ? À vous de juger.
Avec un total de huit médailles d’or au 12e jour des compétitions, “la France ne connaît pas ses meilleurs jeux”, affirme le quotidien américain. Pire encore, “il reste une discipline où les Français remportent la compétition haut-la-main: se plaindre”. Il enfonce le clou: “L’équipe olympique française a excellé dans l’art de ronchonner contre ses adversaires et rouspéter sur ​​les résultats”.
Et d’énumérer les différents moments où les Français l’ont ouverte, comme lorsque le perchiste Renaud Lavillenie a comparé la manière dont le public brésilien l’a traité à la situation du Noir Jesse Owens aux JO de Munich en 1936. “Les Français ont même râlé quand ils ont gagné” , ironisent les auteurs de l’article, faisant allusion au match de handball contre le Qatar et la mini-polémique soulevée par le coach français sur la naturalisation de joueurs étrangers par le pays arabe.
“Se plaindre n’est pas un sport olympique, au grand dépit de l’équipe française. Mais cela ne prendrait certainement pas longtemps pour que cela ne le devienne: Paris est candidate pour accueillir les Jeux olympiques 2024”, tacle le Wall Street Journal. Qu’est-ce qui est mieux ? Se plaindre ou mentir, comme l’ont fait quatre nageurs olympiques américains accusés d’avoir monté une histoire de braquage pour dissimuler leurs agissements peu glorieux lors d’une soirée bien arrosée ? A chacun ses vices.

4 nouveaux restaurants à faire à New York

Des restaurants, il s’en ouvre tous les jours à New York. Pour vous aider à faire le tri – et pimenter vos sorties restos – nous avons sélectionné quatre nouvelles adresses.
L’Appart (Downtown)
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French Morning vous parlait en mai du nouveau restaurant du District, le marché français de Downtown. Ici, vous êtes invités à manger chez des amis. En l’occurence, le jeune chef français Nicolas Abello et le chaleureux maître D’ George Thomas. Entre la fraîcheur de la cuisine d’Abello, un disciple de Gérard Vié, Pierre Gagnaire et Daniel Boulud dont l’Appart est le premier restaurant, et l’expérience de Thomas, qui a officié seize ans chez Bouley, le client passe un moment délicieux dans tous les sens du terme. L’ambiance se veut intimiste et décontractée dans ce petit resto d’une trentaine de places décoré comme un salon. Le chef s’affaire dans une cuisine ouverte à côté des tables et prend le temps de discuter avec les clients quand ils arrivent, s’asseyant même à leur table. Le menu change toutes les semaines – un tour de force. Un endroit à découvrir, où le temps suspend son vol. L’Appart. Le District, Brookfield Place, 225 Liberty Street (West Street), 212-981-8577. Site
City Vineyard (Hudson River Park)
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C’est l’une des nouveautés les plus excitantes de l’été 2016. City Winery a ouvert fin juillet City Vineyard, un restaurant-jardin de vins sur les bords de l’Hudson River. L’établissement se trouve sur Pier 26. Si vous voulez avoir une vue encore plus dégagée de la rivière, montez à l’étage sur le rooftop. La carte offre quelques snacks (hummus, plateau de fromages et de viandes, et un ceviche qui change tous les jours) en plus de vins américains, français et italiens, et de quelques bières. Si vous voulez prendre une table, on vous conseille de réserver en gardant à l’esprit qu’il vous faudra attendre parfois plusieurs jours. Sinon vous serez redirigé vers le bar au rez-de-chaussée ou à l’étage. Attention: les hôtesses limitent l’accès à ce dernier quand il y a trop de monde. 233 West Street (Pier 26), 646-677-8350. Site

BKW (Crown Heights)

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credit: BKW

L’offre de restaurants dans le quartier de Crown Heights ne cesse de s’étoffer. Ouvert en juin par l’équipe de la Brooklyn Winery, BKW est porté par le Michael Gordon, un ancien de Bouley. Au menu: des vins américains et une carte très “bar à vins” avec des snacks et des plats plus conséquents (on vous recommande le plateau de charcuterie) pour accompagner votre verre. Le lieu comporte un restaurant et un bar capables d’accueillir une petite soixantaine de personnes. Il est conseillé de réserver. Heureusement, les vins sont de meilleure qualité que la déco, qui fait un poil lugubre. BKW, 747 Franklin Ave., 718-399-1700. Site

Le Coucou (SoHo)

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credit: Le Coucou

Ouvert en juin, Le Coucou est le bébé du chef américain Daniel Rose qui a la particularité d’avoir fait ses armes à Paris (on lui doit Spring et La Bourse et la Vie) avant de décider de revenir au bercail. Au Coucou, le jeune chef à l’oeil rieur, parti en France pour étudier la philo, veut refaire à New York la formule de son succès parisien : une carte française simple et de saison, et qui mise tout sur la qualité des ingrédients. Le Coucou, 138 Lafayette st., New York (212) 271-4252. Site

Burkini: pour la presse US, la France nage en plein délire

Après Cannes, Mandelieu-La-Napoule et Villeneuve Louvet, six autres communes de la Côte d’Azur ont décidé d’interdire le port du burkini sur leur plage, cette tenue de bain recouvrant tout le corps portée par certaines femmes musulmanes. Une décision soutenue par le premier ministre Manuel Valls mais qui suscite un tollé dans la presse américaine.
Le New York Times a réagi le premier samedi 13 août avec un titre railleur en « Une » de son édition internationale : « La France identifie la dernière menace en date pour sa sécurité : le burkini ». “Cannes ferme ses plages au maillot de bain intégral, stigmatisant les musulmans”. Le site Slate se montre plus sévère: “les interdictions du burkini en France sont irresponsables, islamophobes et terribles pour les femmes” .
Le journaliste  du New York Times Roger Cohen en rajoute une couche le jeudi 18 août, critiquant la position de Manuel Valls. “Le burkini n’est pas un “projet politique” en soi, le symbole d’une contre-société ou de l’asservissement des femmes, comme Valls l’a déclaré. Non, c’est un choix de robe qui reflète une croyance religieuse protégée par la constitution française. Le burkini est un “contre-bikini”, tout au plus” .
“Des maires sans vision”
Les interdictions du burkini sur certaines plages françaises ont également fait réagir l’édition américaine du Huffington Post, qui les a qualifiées de “stupides et sexistes” samedi 13 août. La journaliste Kathleen Parker estime quant à elle dans le Washington Post que l’interdiction du burkini est le “produit d’une islamophobie nourrie par les attentats terroristes et d’une politique de stigmatisation soutenue par des maires sans vision” .
Elle ajoute que le burkini est devenu “le drapeau des confédérés de la France” , devenant plus important pour ce qu’il représente dans l’esprit des personnes que pour ce qu’il est réellement. “Comme le drapeau [confédéré], le burkini signifie des choses différentes pour les gens, mais il est devenu le symbole puissant de l’affrontement culturel entre patriotes français et immigrés musulmans”.
Enfin, le Washington Post retrace dans son édition du 17 août les origines du maillot de bain tant décrié. “Le burkini a été conçu en Australie pour les plages de sable blanc de Sydney. Et bien que le vêtement soit source de divisions en Europe, sa créatrice confie l’avoir créé dans un désir d’intégration sociale” . Aheda Zanetti explique au média américain avoir créé le burkini en 2004. Constatant qu’il n’y avait pas de tenue de sport adaptée aux femmes voilées, l’Australienne d’origine libanaise a souhaité “trouver un nouveau symbole islamique que le voile” qui puisse “être compatible avec le style de vie australien” . Et le français ?
 

Le Dîner en Blanc New York 2016 aura lieu le 15 septembre

C’est désormais une tradition de l’été. Le Dîner en Blanc de New York est de retour. Le lieu de ce repas éphémère sera annoncé aux convives quelques minutes avant le début des festivités. Cette année, il aura lieu le 15 septembre.
C’est la sixième année consécutive que le Dîner en Blanc dresse la table à New York. L’an dernier, les participants installaient nappes blanches et couverts à Pier 26 sur la rive de l’Hudson River. Pour la tenue, on laisse libre court à son imagination, à condition qu’elle soit blanche. Une touche de folie (accessoires fantaisistes, chapeaux, bijoux et foulards) est la bienvenue. Chacun doit venir avec sa table, ses chaises et ses victuailles.
Les inscriptions ont lieu en plusieurs phases. Dès les 22 août, les membres de 2015 pourront s’inscrire. Le cercle sera élargi progressivement aux invités des membres (le 25) puis la liste d’attente sera ouverte à une date inconnue. Pour ce nouveau Dîner en Blanc, le chef Todd English concoctera des menus spéciaux pour ceux qui ne veulent pas cuisiner.

Brooklyn Bike Rave: tous à vélo à Brooklyn

Tous en selle pour le Brooklyn Bike Rave. Cet événement annuel offre aux participants la chance de découvrir Brooklyn de nuit et à vélo. Le rendez-vous est donné à 6:30pm et le grand départ est prévu à 7:30pm tapantes le samedi 27 août.
Vélos “customisés” avec des lumières fluorescentes, déguisés ou non, soyez prêts à pédaler les onze kilomètres du circuit le long de la Brooklyn Waterfront Greenway. Au départ de Greenpoint, une centaine de cyclistes pédaleront dans les rues de Williamsburg, en passant par le Brooklyn Navy Yard, DUMBO, Brooklyn Bridge Park avant de terminer leur course sous l’emblématique arche du Manhattan Bridge.
Les écouteurs ne sont pas autorisés et le port du casque est fortement conseillé. Petite note: pensez à prendre votre carte de métro pour le retour au cas où.

San Francisco Aerial Arts Festival: un festival qui s'envoie en l'air

Organisé par le Zaccho Dance Theatre du 19 au 21 août, le San Francisco Aerial Arts Festival est le premier événement consacré aux arts aériens à San Francisco.
Au programme: trois jours de performance de cirque, d’acrobaties, de danse aérienne et d’athlétisme au Fort Mason Center for Arts & Culture. Les performances auront lieu les vendredi 19 et samedi 20 août de 7pm à 8:30 pm à l’intérieur du bâtiment, tandis que deux autres shows seront organisés en extérieur les samedi 20 et dimanche 21 de 3pm à 4:30pm.
Les organisateurs invitent également les visiteurs à une rencontre avec un des artistes le samedi 20 entre 4:30pm et 7pm.

Pourquoi le drapeau français fait-il partie des six drapeaux du Texas ?

Si vous avez déjà visité le Capitol du Texas à Austin, peut-être avez-vous été surpris de découvrir le drapeau français sur le sceau officiel de l’Etat incrusté dans le sol en marbre sous la coupole.  Alors pourquoi notre drapeau fait-il partie des six drapeaux officiels du Texas (avec les drapeaux espagnol, mexicain, texan, confédéré et américain)? C’est la question bête de la semaine.
Nous connaissons tous l’histoire de la présence française en Louisiane. L’héritage français dans cet Etat du Sud est parfaitement palpable aujourd’hui encore. Ce que nous connaissons moins, en revanche, c’est l’histoire de la présence française au Texas.
Car oui, notre grande et belle nation a, en effet, bien été souveraine de cet Etat. Et par deux fois s’il vous plaît. Tout d’abord en 1684, quand l’explorateur français René-Robert Cavelier de La Salle, alors à la recherche de l’embouchure du Mississippi, fit construire le Fort Saint Louis et établit une colonie française sur les bords du Golfe du Mexique (aujourd’hui au sud-ouest de Victoria, Texas). Mais, face à l’hostilité des indigènes et touchée par des épidémies venant s’ajouter à de rudes conditions climatiques, la colonie ne survit pas à l’assassinat de La Salle et fut abandonnée en 1690.
Puis, en 1800, lorsque l’Espagne céda la Louisiane à la France par le traité de San Ildefonso, la partie Nord du Texas devint française pendant trois ans. Car ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de Louisiane fut, en fait, un territoire bien plus vaste que les limites actuelles de l’Etat.
Quand en 1803, Napoléon, en besoin urgent de liquidités pour financer sa campagne contre les Anglais, accepta de vendre aux Etats-Unis et à Thomas Jefferson, pour 15 millions de dollars, ce qu’on appelait alors la Louisiane (la fameuse “Louisiana Purchase”), il ne céda pas « que » l’embouchure du Mississippi: il se sépara en fait d’un territoire de plus de 2,1 millions de km2 allant de la Nouvelle Orléans au sud au Canada au nord, du Mississippi à l’est aux Rocheuses à l’ouest. Soit quinze Etats et près du quart des Etats-Unis actuels. Jefferson paya 10 millions pour la Nouvelle Orléans et 5 millions pour le reste (soit 3 cents par acre).
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Avec cet achat, souvent appelé « the Real Estate Deal of the 19th Century », il mit les Etats-Unis sur la route de la toute-puissance économique et cela reste aujourd’hui l’une des plus grandes réussites de sa présidence. Avec le recul, ce n’est, en revanche, peut-être pas la meilleure affaire réalisée par la France. Mais l’histoire retiendra que le Texas fut français avant d’être américain. Une raison de plus de se sentir ici comme à la maison. Témoin de cette époque: le musée de la Legation française d’Austin, l’ancienne résidence du représentant de la France au Texas. Construite en 1841, elle fête cette année ses 175 ans.

Clément Chéroux, le nouveau patron de la photo au SFMOMA

Clément Chéroux quitte le Centre Pompidou pour le Pritzker Center du Musée d’Art moderne de San Francisco.
La prise de fonction ne sera officielle que début 2017, mais Clément Chéroux est venu en repérage, pour rencontrer son équipe et se familiariser avec son nouvel environnement. Après dix ans passés au Centre Pompidou en tant que conservateur puis chef de service, il succède à Sandra Phillips, à la tête du département Photographie du SFMOMA pendant près de trente ans. “C’est un challenge très excitant, à la fois par rapport à ce nouvel espace qu’offre le SFMOMA à la photographie, et aussi par rapport au dynamisme de la communauté des photographes, de galeristes et de collectioneurs de San Francisco”, s’enthousiasme-t-il.
Le Pritzker Center for Photography occupe le 3ème niveau du nouveau SFMOMA, sur près de 1.200 mètres-carrés; au centre Pompidou, la photo occupe six fois moins d’espace. Ses 17.000 oeuvres en font le plus grand fonds dédié à la photo aux Etats-Unis. “L’architecture a été très bien pensée, de la qualité de la lumière à la hauteur des cimaises, sans oublier la proportion des volumes”, note Clément Chéroux.
Historien de la photographie et diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles, Clément Chéroux aborde son art à la fois sur le plan académique et pratique: “J’ai enseigné pendant dix ans, puis je me suis dirigé vers les musées car j’avais envie d’organiser des expositions. En tant que photographe, je sais aussi combien il est compliqué de monter un projet artistique.”
Une photographie ouverte
La puissance de l’oeuvre photographique est au centre du travail de Clément Chéroux. “La photo est un art et un média qui a bouleversé la conception de l’art: du génie créateur, on est passé à un chef d’oeuvre réalisé en une fraction de seconde.
Commissaire d’expositions sur Henri Cartier-Bresson, l’esthétique du photomaton ou encore les paparazzi, Clément Chéroux défend une approche de la photographie large et ouverte. “Je me sens aussi proche de la photographie historique que contemporaine, locale et globale, explique-t-il. Je veux offrir des programmes monographiques et thématiques, et surtout les plus oecuméniques possible. Mon photographe préféré, c’est la photographie elle-même: je peux m’enthousiasmer pour de grands noms comme Cartier-Bresson, Wolfgang Tillmans, un jeune artiste de 25 ans, ou un portraitiste de Bamako.”
Sa première rencontre marquante avec la photographie se déroule à 16 ans, dans un train: “Je voyageais entre Lyon et St Raphaël, quand on a annoncé au haut-parleur qu’une exposition photo se déroulait dans un des wagons. Par curiosité, je suis allé la voir: elle réunissait Pierre Molinier et Michel Journiac, deux artistes très transgressifs. Le premier était un grand voyeur, travesti adepte du sado-masochisme, le second proposait à son public de manger du boudin fait avec son propre sang. J’ai eu un électro-choc: je me suis rendu compte qu’il se passait quelque chose grâce à la photo, et à la rentrée, je me suis inscrit au club-photo.
Très attaché à l’héritage de sa prédécesseure Sandra Phillips, le nouveau conservateur de la photographie a très envie de faire un livre sur la collection du SFMOMA, qui s’étend sur plus de 80 ans, les premières acquisitions de photos datant de 1935.
Sa première exposition fera également le lien entre son poste au Centre Pompidou et ses nouvelles fonctions: une rétrospective sur le photographe Walker Evans, connu surtout pour son travail sur la Grande Dépression des années 1930.  Elle s’ouvrira à Paris en mai 2017, accrochée et vernie par Clément Chéroux, avant d’être présentée à San Francisco en octobre l’année prochaine.

Devinera-t-on les produits que vous rapporterez de France cet été ?

Les vacances en France, ce moment où l’on fait le tour de la famille et des amis. Et où l’on dévalise le supermarché du coin avant de revenir aux US. Question de survie. Voici 21 produits français que vous rapporterez ici à la fin de votre séjour. A-t-on vu juste ?
21. Quatre-quart breton
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Oublié, le pound cake.
20. Votre cave à vins

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Ça sera toujours moins cher qu’ici.
19. Avec votre Armagnac favori
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Manquerait plus qu’il reste en France.
18. Pâte à tartiner Speculoos
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On retombe en enfance.
17. Purée Mousline saveur à l’Ancienne
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Irremplaçable, et à retrouver désormais sur Le Marché French Morning.
16. Soupes en sachet Knorr
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L’ami du New-Yorkais cet hiver.
15. Du sirop
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On en trouve (notamment sur Le Marché), mais pas partout. Voici pourquoi.
14. Du chocolat en poudre Poulain
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Un must. Egalement sur Le Marché.
13. Du sanytol
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Ça va briller français.
12. Des olives aux anchois
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Vos apéros n’auront pas le même goût
11. De l’eau de fleurs d’oranger
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Introuvable ici.
10. De la fleur de sel de Guérande
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Une vraie fleur, disponible sur Le Marché French Morning.
8. Des biscuits Paille d’Or
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Maintenant. Tout de suite. Sur Le Marché.
7. Et des langues de chat
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Maintenant aussi. Ici aussi.
6. Bâtonnets Justin Bridou
Saucisson Justin Bridou Paris le 07/04/2011. Photo François Bouchon / Le Figaro
Entre Justin Bieber et Justin Bridou, on a choisi. Par contre, ce dernier risque de rester à la douane.
5. De la levure en sachet 
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43;13;246;275

L’Amérique aurait dû l’inventer. French Morning vous l’a apporté, achetez-en ici.
4. Des Carambars, des Dragibus, du chocolat Côte d’Or, Fraises tagada, et Rochers Suchard
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Ne serait-ce que pour les blagues. Au Caramel ou aux Fruits, c’est à retrouver sur Le Marché.
3. Un bloc de foie gras
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Bien sûr, on trouve du foie gras produit aux Etats-Unis. Mais, il est plus cher, et rarement aussi bon. Attention, si vous en rapportez de France, le foie gras frais ne passera pas la douane. Dans une conserve ou un bocal, aucun problème. Sinon vous l’achetez sur Le Marché French Morning.
2. Des fromages
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Evidemment ! Mais pas n’importe lesquels : les fromages au lait cru  sont interdits de voyages transatlantiques (et pourront vous valoir une amende).
1. Un lecteur nous a même suggéré la cancoillotte
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Bonne chance dans l’avion!

Maïwenn: "Je voulais faire un film sans moi"

Blaise Pascal disait “Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point”. L’adage prend tout son sens dans “Mon Roi” (“My King”), le quatrième long-métrage de l’actrice et réalisatrice Maïween.
Près d’une année après sa sortie en France, “Mon Roi” est arrivé à New York le 12 août, avant de gagner d’autres villes (voir dates ci-contre). Après “Pardonnez-moi” en 2006, “Le Bal des actrices” en 2009 et “Polisse” en 2012, Maïwenn revient cette fois avec une histoire d’amour malsaine entre Tony (Emmanuelle Bercot) et Giorgio (Vincent Cassel), un “pervers narcissique” qui n’hésite pas à utiliser son charme pour arriver à ses fins. Ils partagent leur vie pendant dix ans, pour le meilleur et pour le pire. A coups de flashbacks, la protagoniste revit son histoire, comme si elle nous donnait accès à son journal intime.
“J’avais envie de faire plusieurs sortes de film, pourquoi pas un film d’amour, explique Maïwenn. L’inspiration n’est pas une science exacte, c’est quelque chose d’absolument irrationnel. C’est comme quand on tombe amoureux, on ne tombe pas toujours amoureux de la bonne personne, ni de la plus belle, riche ou intelligente. Pour moi, l’inspiration d’un film c’est exactement pareil”.
Emmanuelle Bercot (lauréate du Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes 2016) et Vincent Cassel excellent dans leurs rôles respectifs. “Lui est acteur et elle, avant d’être actrice, est réalisatrice. Ils n’ont pas du tout la même méthode de travail, la même façon de se concentrer, ni le même tempérament. Ce qui m’attirait était le fait qu’ils soient radicalement opposés, c’était aussi ça l’histoire du film” .


“Le personnage de Vincent Cassel est un pervers narcissique. C’est tout à fait normal que les femmes en tombent très facilement amoureuses, car ils usent de leur séduction. Une fois que c’est acquis, ils passent à une autre proie”. Entres cris, larmes, fous-rires, il est difficile de rester de marbre. “Je voulais faire naître des émotions fortes chez le spectateur. Ce que j’aime dans les films en général, c’est de ressentir les mêmes émotions que quand on lit un livre, c’est-à-dire quand on y met nos propres images”.
L’idée de ce film trottait dans la tête de Maïween depuis plusieurs années. “Mon premier film était il y a dix ans. Entre temps j’en ai sorti quatre. J’ai pris de la bouteille. On change, on évolue, on a envie d’autre chose, confie-t-elle. En terme de réalisation, il y a des sujets qui me font moins peur aujourd’hui, comme une histoire d’amour” .
Et contrairement à ces films précédents, dans “Mon Roi” , la place de Maïween est exclusivement derrière la caméra. “Je me suis dit qu’il aurait été bien au moins une fois de faire un film entier sans moi. J’avais envie de voir ce que ça pouvait m’apporter, de voir le temps que je pouvais gagner. L’énergie que l’on croit gagner, par exemple le fait de ne plus se rendre au maquillage-coiffure, tout ce temps-là, on le perd à d’autres endroits. Je jouerai dans mon prochain film”.
Pour la sortie de son film aux États-Unis, Maïwenn est “excitée de voir comment le film va être perçu. Je ne m’attends à rien. Je suis curieuse de voir comment ça va se passer”.

Les meilleurs rooftops avec piscine de Los Angeles

Les rooftops ne manquent pas à Los Angeles. Mais, avec la température, ce sont leur piscine qui font la différence. French Morning a sélectionné six bassins avec vue, pour se rafraîchir avec style.
Upstairs à l’Ace Hotel
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Pour profiter de la petite (mais jolie) piscine de l’Ace Hotel, il faut arriver de bonne heure. Les premiers arrivés sont les premiers servis et les places autour du bassin sont limitées. Les pieds dans l’eau, vous pourrez savourer un verre dans ce lieu plébiscité par les hipsters et dont l’architecture maya est inspirée de la Ennis house de Frank Lloyd Wright. Upstairs929 South Broadway, Downtown. Ouvert de 11 am à 2 am.
The Rooftop, au Standard
STANDARD
Les corps sculptés et bronzés ont élu domicile autour de la piscine du Standard avec les beaux jours. Lieu branché de Downtown, ce rooftop est pris d’assaut. Il faut donc s’y rendre tôt pour obtenir une place au soleil, et notamment dans les cabanons rouges moelleux. Pour pouvoir profiter de la piscine, il faudra déverser la somme de 35 dollars (une nouveauté 2016) en mets et boissons. Entre deux ploufs, vous pourrez faire une pause au Biergarten, le jardin d’inspiration allemande où les matches de ping-pong font rage. The Rooftop, 550 South Flower Street, Downtown. Ouvert tous les jours de midi à 10 pm.
West Hollywood Rooptop Pool, au London
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C’est une institution pour les fans de rooftops, et le spot préféré de la jeunesse dorée de Los Angeles. Se définissant comme la “meilleure vue de Los Angeles”, avec un panorama à 360 degrés sur le quartier de West Hollywood, la piscine du London est un havre de paix qui combine élégance et raffinement. Pour pouvoir se languir dans cette oasis, il faut être sur les starting-blocks (premiers arrivés, premiers servis pour les chaises longues) ou réserver l’un des cabanons luxueux (300 dollars, plus 500 dollars de nourriture sans les taxes) à la journée. West Hollywood Rooptop Pool, 1020 N. San Vicente Blvd, West Hollywood. Ouvert de 11:00 am à 9:30 pm.
The Roof on Wilshire
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Sans prétention, la piscine du roof du Wilshire est accessible à tous les clients du restaurant, qui propose des plats américains. Pour digérer, ils pourront s’allonger sur l’une des chaises longues, ou profiter des coins ombragés. Proposant une carte simple aux prix corrects, le Wilshire reste facile d’accès en semaine. Outre la gratuité, ce rooftop (au 8e étage) offre une vue panoramique sur la ville, loin du bruit. Une bulle d’air pour les amateurs de simplicité. The Roof, 6317 Wilshire Blvd. Ouvert de 9 am à 6pm.
Skybar, au Mondrian
Skybar mondrian
Au coeur de West Hollywood, le Skybar est un lieu raffiné où il fait bon boire un cocktail les pieds dans l’eau. L’accès est gratuit, à condition de consommer sur place. L’esprit festif de cette oasis aux touches mexicaines en fait un endroit convoité les week-ends. A tester de toute urgence. Skybar8440 Sunset Blvd, West Hollywood. Accessible de 1pm à 2am. 
Altitude Pool, SLS Beverly Hills
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Les amateurs de design ont trouvé leur favoris : l’Altitude pool, à Beverly Hills. Conçu par le légendaire Philippe Starck, le lieu a des airs de salon d’extérieur avec son mobilier en teck. C’est un sanctuaire aux couleurs acidulées dans le vrombissement de Los Angeles. La décoration est des plus soignées, tout comme la cuisine concoctée par le chef José Andres. Et ce raffinement se ressent sur la note. Pour s’y prélasser en toute quiétude, les visiteurs devront réserver un cabanon (au minimum 300 dollars, plus 500 dollars de nourriture sans les taxes). Une piscine 100% VIP. Altitude pool465 S La Cienega Blvd, Beverly Hills. Ouvert de 9 am à 9 pm.