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Le chef Jacques Pépin fait sa cuisine à Austin

Jacques Pépin, le plus américain des chefs français, est invité au Long Center d’Austin le dimanche 5 juin pour parler de son amour pour la cuisine. Les tickets sont en vente.
Une passion qui a commencé très jeune. Après avoir fait ses débuts à l’âge de 13 ans en tant qu’apprenti dans une cuisine à Paris, il déménage aux États-Unis où il travaille dans de nombreux restaurants étoilés. Il débute une carrière télé dans les années 1990 et reçoit un Daytime Emmy pour le show qu’il co-anime avec la cheffe américaine Julia Child. Il est l’auteur d’une vingtaine de livres, dont La Technique, un de ses plus grands succès. Il a également reçu de nombreux distinctions, dont Chevalier de l’Ordre National de la Légion d’honneur.

Forrest Gump court en plein air à Miami Beach

Souvenez-vous, c’est l’histoire d’un jeune garçon candide qui voit les transformations de l’Amérique entre les années 1940 à 1980 à travers de son regard innocent. Son nom : Forrest Gump.
Le Miami Beach SoundScape montrera le film gratuitement et en plein air le mercredi 18 mai à 8pm dans le cadre de sa série de projections hebdomadaires.
Ce film légendaire de 1994 a reçu une multitude de récompenses: l’Oscar du meilleur acteur pour Tom Hanks, du meilleur réalisateur pour Robert Zemeckis ou encore du meilleur film… La dernier film du mois de mai sera “Independence Day” de Roland Emmerich avec Will Smith et Jeff Goldblum. Projection: le 25.
 

Début de l'aventure américaine pour Nelly Alard, auteur de "Moment d'un couple"

Que se passe-t-il lorsque votre mari vous annonce un soir qu’il a une maitresse, et qui est en plus une femme prête à tout pour l’avoir ? Comment surmonte-t-on la trahison ? C’est l’histoire de Juliette et Olivier, un couple qui va être déchiré par l’entrée de Victoire dans leur vie.

Cette histoire, c’est la comédienne et auteure Nelly Alard qui la comte si bien. Paru en 2012, son livre  a été traduit en anglais et publié aux Etats-Unis en février dernier sous le nom de Couple mechanics. Après l’avoir présenté à New-York et Boston, elle le dédicacera le mardi 24 mai au Vroman’s bookstore à Pasadena. « Et je pense organiser une tournée sur la Côte Ouest cet automne », ajoute-t-elle , déjà pressée de revenir à Los Angeles.

Moment d’un couple a d’ores et déjà été sélectionné comme « The best books of the month in litterature and fiction », sur le site Amazon, en janvier. Vendu à 150 000 exemplaires en France, ce roman est également traduit en italien, néerlandais et arabe. Et il devrait bientôt intriguer les téléspectateurs français. « Je travaille actuellement sur son adaptation, pour une série du type de « The affair ». Il y a aussi des négociations pour en faire un long métrage », explique Nelly Alard.

Dans son second roman, récompensé par le prix Interallié en 2013, Nelly Alard livre une histoire universelle : celle de l’adultère. « On assiste au combat de Juliette qui veut reconquérir son mari et se bat pour sauver sa famille face à cette femme qui devient de plus en plus envahissante », détaille-t-elle, comparant volontiers son intrigue au Liaison fatale d’Adrian Lyne. Pour préserver sa famille, la mère de famille va ruser. « Son mari se sent délaissé. Elle décide donc de faire la guerre du sexe, et de lui faire l’amour tous les jours. »

Pas de réglement de compte

Au fil des pages, on se prend dans l’histoire. Ce roman se lit comme un thriller amoureux, où le suspens se situe autour de la survie de ce couple. « J’ai essayé de maintenir la tension, tout en créant un attachement aux personnages, même si on n’est pas foncièrement d’accord avec leurs choix. » Que ce soit l’importance des enfants dans ce mélodrame familial, la lâcheté masculine ou la glorification de la passion amoureuse face à la tiédeur conjugale, cette histoire de vie parle au plus grand nombre.

Derrière cette intrigue, deux versions du féminisme s’affrontent. “C’est la rencontre du féminisme à la Simone de Beauvoir prônant l’universalisme (Juliette) face à un courant plus essentialiste et victimisant, représenté par l’élue locale Victoire. » Mais n’y voyez pas de morale, l’auteure a juste souhaité dresser les portraits d’hommes et de femmes face à leurs contradictions. « C’est un mélange d’histoires, à consonance autobiographique. L’idée m’est venue en voyant des hommes laminés par des femmes au pouvoir exorbitant, et notamment en étant privé de leurs enfants. »

Une romance avec les Etats-Unis

Au vu du sujet traité, il semblait difficile de le transposer à la culture américaine. Et pourtant, Nelly Alard n’a pas peiné à trouver un éditeur aux Etats-Unis. « Gallimard l’a envoyé aux maisons d’édition étrangères. Other Press a directement cru en moi », raconte-t-elle. Et elle tenait particulièrement à ce que son livre soit publié aux Etats-Unis. « Je lis beaucoup de littérature américaine, et je passe beaucoup de temps à Los Angeles, où j’ai des amis. »

Son affection pour la Cité des anges ne date pas d’hier. « J’y ai vécu durant un an et demi dans les années 90, où j’ai joué dans deux films de Henry Jaglom. » Elle a d’ailleurs réalisé un documentaire sur ce réalisateur, intitulé « On the tracks of a filmmaker ».

Impatiente de connaître l’accueil du public américain, Nelly Alard est très attentive aux critiques. « Aux Etats-Unis, l’adultère est considéré comme un crime impardonnable. Finalement, les premiers lecteurs n’ont pas un avis autant tranché que je l’imaginais. Alors qu’en France, considéré comme un pays très libéré, il y a un retour à la fidélité. »

Catherine Texier entre sexe et violence dans "Russian Lessons"

Une cinquantenaire divorcée, mère d’une fillette de 8 ans, n’aspire qu’à une chose : échapper à sa vie quotidienne. Quand Yuri, jeune Russe d’une trentaine d’années, un sans papiers aussi bien vulnérable que névrosé, croise son chemin, la vie de la femme est bouleversée. Manipulateur, il prendra un malin plaisir à tester les limites de sa partenaire. Couple ? Relation libertine ? Aventure de passage ? Une relation en montagnes russes, unique et inqualifiable.
Tel est le pitch de Russian Lessons, le nouveau roman de Catherine Texier, auteure française qui vit à New York. L’ouvrage a été rédigé pour la première fois en 2005, puis retravaillé pour n’être publié qu’en 2016 par une maison d’édition indépendante basée en Californie. Il s’agit d’un subtil mélange entre plaisir de la chair, violence et faits personnels. “Le style et très personnel. Le personnage principal et l’histoire sont très proches de ce que j’ai vécu, même si certains détails sont fictifs.”
Pour Catherine Texier, ce roman est une “réaction après une longue relation. C’est une fiction dans la vie de cette femme. Elle se permet de vivre des fantasmes de domination et de soumission.” Un combat psychologique où “elle finit par dominer la situation car elle refuse de s’engager avec Yuri. C’est une femme libérée qui a su tirer les bénéfices de cette relation d’une façon très masculine.”
Catherine Texier est écrivaine et professeure à la New School à Manhattan. Influencée par le mouvement post-punk des années 1980 et inspirée par la littérature de Charles Bukowski, John Fante ou encore Kathy Acker, elle est l’auteure de plusieurs romans aux thématiques récurrentes : les relations, les femmes et les plaisirs charnels. Son roman Victorine, sur une femme expatriée en Indochine confrontée à son passé en France, est sacré meilleur roman par les lecteurs d’Elle Magazine en 2004.
Sa passion pour l’écriture est héritée de l’adolescence. En 1983, elle publie son premier roman à Paris intitulé Chloé l’Atlantique. Après avoir vécu quatre années à Montréal, elle vagabonde entre Paris et New York, ville dont elle tombe amoureuse.
Là, elle co-écrit un magazine littéraire intitulé Between C & D avec Joel Rose, son ex-mari. “Pour l’anecdote, le titre vient du block où j’habite dans l’East Village. Il était très culte dans les années 1980. On publiait des écrivains qui commençaient à percer comme Tama Janowitz. On parlait beaucoup de sexe, de violence, de tout ce qui correspondait à l’atmosphère de cette époque. Il s’agissait d’une grande période pour l’art visuel, la musique et l’écriture, comme une sorte de floraison d’art et de nouvelles idées.”
Catherine Texier a une préférence pour la prose anglaise et publie Love me tender, son premier roman en anglais en 1987. “J’étais beaucoup plus influencée par la littérature américaine et par ce qui se publiait autour de moi à ce moment là. La littérature française ne correspondait pas à ce que je vivais, ça a été très libérateur d’écrire en anglais.”  Elle prépare aujourd’hui un nouveau roman, l’histoire d’une relation amoureuse entre une femme et un partenaire plus jeune à New York. “Que ce soit dans la réalité ou dans la fiction, je pense qu’il faut aller jusqu’au bout des choses et explorer ses limites. C’est cela qui est intéressant. ”  
 

Dansez avec BreakBot à New York

Il a troqué les shorts et chaussettes hautes pour des costumes aux teintes acidulées. Après nous avoir fait danser sur “Baby I’m Yours”, BreakBot, alias Thibaut Berland, débarque aux Etats-Unis afin de présenter son dernier album “Still waters”, sorti en février, qui regorge de pépites pop disco-funky .
Rejoint à “temps plein” par le chanteur Irfane avec qui il avait déjà collaboré sur son premier album, le producteur et DJ Thibaut Berland propose des titres affinés, influencés par Michael Jackson, Prince et le rock californien. Un son parfait “pour un dernier barbecue autour de la piscine“ comme le qualifie l’artiste.
Le dandy chevelu a rejoint le label Ed Banger Records en 2009, et multiplié les EP. Révélé en 2010 avec son titre “Baby I’m Yours” entendu dans le film “Polisse” de Maïwenn, BreakBot a depuis enchaîné les concerts et travaillé sur ce disque serein, aux chansons teintées de mélancolie.
Devenu inséparable, le duo de Frenchies propose une électro rafraîchissante, inspirée des sonorités eighties qui ont rythmé leur adolescence.
Vous pourrez vous déhancher sur leur rythme frénétique et solaire le mardi 31 mai à Webster Hall.

BreakBot vient faire danser Miami

Il a troqué les shorts et chaussettes hautes pour des costumes aux teintes acidulées. Après nous avoir fait danser sur “Baby I’m Yours”, BreakBot, alias Thibaut Berland, débarque aux Etats-Unis afin de présenter son dernier album “Still waters”, sorti en février, qui regorge de pépites pop disco-funky .
Rejoint à “temps plein” par le chanteur Irfane avec qui il avait déjà collaboré sur son premier album, le producteur et DJ Thibaut Berland propose des titres affinés, influencés par Michael Jackson, Prince et le rock californien. Un son parfait “pour un dernier barbecue autour de la piscine“ comme le qualifie l’artiste.
Le dandy chevelu a rejoint le label Ed Banger Records en 2009, et multiplié les EP. Révélé en 2010 avec son titre “Baby I’m Yours” entendu dans le film “Polisse” de Maïwenn, BreakBot a depuis enchaîné les concerts et travaillé sur ce disque serein, aux chansons teintées de mélancolie.
Devenu inséparable, le duo de Frenchies propose une électro rafraîchissante, inspirée des sonorités eighties qui ont rythmé leur adolescence.
Vous pourrez vous déhancher sur leur rythme frénétique et solaire le vendredi 13 mai à Bardot.

BreakBot impose son groove à Los Angeles et San Diego

Il a troqué les shorts et chaussettes hautes pour des costumes aux teintes acidulées. Après nous avoir fait danser sur “Baby I’m Yours”, BreakBot, alias Thibaut Berland, débarque aux Etats-Unis afin de présenter son dernier album “Still waters”, sorti en février, qui regorge de pépites pop disco-funky .
Rejoint à “temps plein” par le chanteur Irfane avec qui il avait déjà collaboré sur son premier album, le producteur et DJ Thibaut Berland propose des titres affinés, influencés par Michael Jackson, Prince et le rock californien. Un son parfait “pour un dernier barbecue autour de la piscine“ comme le qualifie l’artiste.
Le dandy chevelu a rejoint le label Ed Banger Records en 2009, et multiplié les EP. Révélé en 2010 avec son titre “Baby I’m Yours” entendu dans le film “Polisse” de Maïwenn, BreakBot a depuis enchaîné les concerts et travaillé sur ce disque serein, aux chansons teintées de mélancolie.
Devenu inséparable, le duo de Frenchies propose une électro rafraîchissante, inspirée des sonorités eighties qui ont rythmé leur adolescence.
Vous pourrez vous déhancher sur leur rythme frénétique et solaire le jeudi 26 mai à Los Angeles et le vendredi 27 mai à San Diego.

Le réseau social des médias Babbler tente sa chance à New York

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L’une est basée à Paris, l’autre à New York. Fin avril, les soeurs Oiknine (Hannah et Sarah) ont gagné leur ticket pour continuer à développer leur start-up Babbler en mode transatlantique. Elles viennent de lever deux millions d’euros auprès de deux fonds français.
“On va utiliser cet argent pour investir sur l’expansion aux US, développer notre produit, investir dans la pub… On va aussi recruter. Aujourd’hui, on est vingt salariés à Paris et cinq à New York”, raconte Hannah Oiknine, qui estime que l’équipe new-yorkaise atteindra dix personnes à la fin 2016.
Leur plateforme, Babbler, veut permettre aux journalistes et attachés de presse de se contacter plus efficacement. Sur Babbler, les journalistes et “influenceurs” ont accès à des actualités ciblées en fonction de leurs centres d’intérêts, tandis que les annonceurs disposent “d’un reporting live sur le suivi de leur publication”, indique le communiqué de presse. “Les journalistes sont sur-sollicités, et l’idée est de permettre aux attachés de presse de mieux cibler leur message”, explique Hannah Oiknine.
Beaucoup de journalistes noyés dans leurs boîtes e-mails ont répondu à l’appel. Babbler revendique 4.000 journalistes enregistrés – le service est gratuit pour eux –  essentiellement en France. La start-up affirme que 300 annonceurs, là aussi français pour la plupart, paient pout utiliser Babbler.
L’équipe des soeurs Oiknine vient de sortir de nouvelles fonctionnalités, dont une qui permet à des journalistes de faire une requête pour trouver des interlocuteurs sur le sujet qu’il préparent. 
“On va aussi lancer une appli mobile, pour permettre aux journalistes de chatter avec des attachés de presse. Et aussi un système de recommandations de contacts en fonction de l’actualité”, poursuit Hannah Oiknine, qui travaille à New York depuis les locaux de Fresh Planet, où elle sous-loue des bureaux à son équipe. Son défi aujourd’hui : convaincre les attachés de presse américains de s’abonner à Babbler.

On devrait bien manger à Taste of Haïti à Miami

Haïti régale Miami. Le festival Taste of Haïti, 4ème du nom, prend ses quartiers à MOCA Plaza le samedi 14 mai.
Lancé après le séisme qui a frappé l’île en 2010, ce festival se veut une vitrine de Haïti et de sa culture. Au programme: musique, démonstrations culinaires et des commerçants qui viendront proposer leurs produits (bijoux, nourriture, art…). Mais c’est certainement la compétition de chefs qui sera le clou du spectacle: quatre chefs auront 45 minutes pour préparer un plat et convaincre un jury et le public.
Gratuit.

5 restaurants où manger du "crawfish" à Houston

La saison trop brève des écrevisses (“crawfish”) bat son plein, et personne ne n’en plaint. Nous avons sélectionné cinq restaurants où vous pourrez participer à cette grande tradition importée de Louisiane et d’Acadie.
5. Pappadeaux
papa
Cette chaîne de restaurant de cuisine très “Nouvelle Orléans” spécialisée dans le poisson propose gumbo et variations de crawfish – “étouffée” ($22.95), “fri” ($14.95), en assiette ($23.95) – préparées selon des recettes cajun traditionnelles. Au menu: on trouve aussi de l’alligator, une large séléction de crustacés et de poissons. Endroit confortable. Les tables sont grandes, le service est bon. Réservez en fin de semaine et le soir, c’est un endroit très apprécié des familles. Plusieurs adresses. Site
4. Willie’s Grill and Ice House

willie's
credit: foodspotting

Dans ce steakhouse à l’ambiance de diner des années 50, avec son skaï coloré et ses panneaux publicitaires rétro aux murs, on trouve des écrevisses façon “étouffée” et “bouillie” (entre $10 et 20). Pris d’assaut en fin de semaine pour les après-matches des équipes sportives scolaires,  il y a un peu d’attente. Ambiance très familiale. Un large éventail de bières, à choisir dans des bacs de glace situés dans la file d’attente. Elles accompagnent un “Crawfish Boil” généreux. 19905 Katy Fwy. Site
3. Wild Cajun
wild cajun
Ce restaurant et “sports bar” propose une formule Crawfish Cajun-asiatique insolite (vendue au prix du marché) ou préparée à l’étouffée ($8.99) avec des épices asiatiques. Le décor est minimaliste dans une ambiance à la bonne franquette, animée les soirs de matches. Idéal pour une sortie entre copains. 6533 Wilcrest Dr., Ste. 104 et 13602 Bellaire Blvd Ste A1. Site
2. The Cajun Boot
Boiled Seafood The Boot
Ici, l’écrevisse est  plutôt épicée. Elle vient en “étouffée” ($6), à la louisianaise (vendue au prix du marché), ou en garniture de sandwich “po’boy crawfish” ($ 12.95). Les enfants seront ravis du grand patio, des grandes tablées rustiques et du service. 1206 W 20th St. Site
1. Bayou City Seafood
bayou city
Photo: Darla Guillen.

Fréquenté par les natifs de Louisiane qui viennent y trouver l’ambiance de leur terre, ce restaurant offre “les meilleures écrevisses” de Houston. Le menu propose un très grand choix de plats de cuisine créole et les écrevisses sont proposées à l'”étouffée” ($20.99), bouillies, fries, sautées ($11.99) , en gumbo, en bisque, avec des pâtes (Pasta Lafayette, prix selon marché). Une des cartes les plus complètes de la ville en terme de cuisine louisianaise. 4730 Richmond Ave. Site
 
 

Sortez vos "selfie sticks": voici les dates de Manhattanhenge

Il va y avoir des batailles de selfie-sticks très bientôt à New York. Les dates du “Manhattanhenge”, phénomène rare où le soleil vient se coucher dans l’alignement des rues new-yorkaises, ont été annoncées: le dimanche 29 mai à 8:12pm et le mardi 12 juillet à 8:20pm pour une moitié de soleil. Le lundi 30 mai à 8:12pm et le lundi 11 juillet à 8:20pm pour un soleil entier. Un vrai spectacle pour les yeux.
Tous les ans, le “solstice de Manhattan” émerveille les spectateurs, enchante les photographes et fait vivre une expérience inédite aux touristes du monde entier et aux locaux. Les meilleures rues pour le voir sont: 14th street, 23rd street, 34th street et 42nd street. Gare à vous: tout ce que New York compte de photographes va s’y retrouver pour observer ce phénomène naturel qui ne dure qu’une petite quinzaine de minutes. Arrivez tôt pour ne rien rater.
A noter: pour ceux qui veulent frimer devant leurs amis, une conférence sur le Manhattanhenge aura lieu le 12 juillet au Hayden Planetarium.

CicLAvia: Los Angeles (presque) sans voitures le 15 mai

Et si les voitures disparaissaient des rues de Los Angeles le temps d’une journée ? Cela paraît utopique. Et pourtant, le rêve devient réalité le dimanche 15 mai, de 9 am à 4 pm.
Se délestant d’un trafic anxiogène, le CicLAvia privatise six quartiers du sud-est de la ville (Huntington Park, Walnut Park, South Gate, Florence-Firestone, Lynwood, et Watts).
Le concept est simple: les organisateurs ferment les rues des quartiers concernés (voir carte) aux véhicules moteurs, afin que les Angelinos se les ré-approprient. Vous pourrez relier les différents quartiers à vélo (possibilité d’en louer), roller, skateboard, à pied, en métro ou encore en dansant le moonwalk.
map CicLAvia
Ne cherchez pas de point de départ, ni d’arrivée: ce n’est en aucun cas une course. Chacun peut suivre le trajet qui l’intéresse, prendre son temps et appréhender les rues vides comme il le souhaite. Tout au long du parcours défini, les rues seront animées par des spectacles, des expositions, des mini-concerts et des food-trucks. 
Inspiré du Ciclovia de Bogota, qui veut littéralement dire “piste cyclable”, ce “festival” gratuit est né en octobre 2010 à Los Angeles. Plus d’un million de personnes ont exploré 110 miles de rues depuis son lancement.