Le printemps ce fête avec le festival tout en couleur Holi Hai de New York. Il se déroulera toute la journée du samedi 30 avril de 11am à 6pm au One Dag Hammarskjold Plaza, prés de l’ONU.
Il faut remonter dans l’antiquité indienne pour comprendre les origines de ce festival. Célébré vers l’équinoxe de printemps, le Holi signifie la fête des couleurs. Il s’agit d’une tradition ancestrale hindoue pendant laquelle est fêtée l’arrivée du printemps et la fertilité. Les participants sont vêtus de blanc et se jettent des pigments de couleurs les uns sur les autres. Chaque priment a sa propre signification : le rouge pour l’amour, le vert pour l’harmonie, l’orange pour l’optimisme et le bleu pour la vitalité.
Devenue au fil du temps international, cette fête est célébrée à New York sous le nom de Holi Hai. Elle est organisée par la compagnie de danse NYCBhangra pour la septième fois. On comptera pas moins de 55 groupes et 300 artistes lors de l’événement. Danses, musique et nourriture seront au rendez-vous.
Holi Hai : un festival haut en couleur à New York
Faites le plein d'art contemporain au Art Market de San Francisco
Cette fin de semaine, vous pourrez refaire la déco de votre appartement en visitant le Art Market de San Francisco – ou, plus simplement admirer les oeuvres présentées.
Ce salon revient pour la sixième année à San Francisco, dans le Fort Mason Festival Pavillon. Plus de 70 galeries seront représentées.
Le festival se déroulera sur cinq jours, du mercredi 27 avril au dimanche 1er mai. Les journées du vendredi 29 et samedi 30 de 11am à 7pm et le dimanche de 12am à 6pm seront dédiées au grand public.
Au programme : installations spectaculaires, projets spéciaux, échanges avec les artistes… Ce festival est un incontournable, et a accueilli près de 25 000 personnes en 2015.
Le Art Market exposera cette année des nouveaux artistes tels que Chuck Sherry, Helice Wen, Conrad Roset, pour n’en citer que quelques uns.
Conversation entre Douglas Kennedy et Marc Levy à Albertine
Quand deux poids lourds de la littérature se retrouvent, ça donne… Pour le savoir, rendez-vous le lundi 2 mai à la librairie Albertine pour une conversation entre le Français Marc Levy et l’Américain Douglas Kennedy.
Les deux auteurs viennent de sortir un nouveau roman chacun: The Blue Hour pour Douglas Kennedy et L’horizon à l’envers pour Marc Levy. Lors de cette discussion animée par le journaliste Rick Schine (Bloomberg), ils évoqueront leur passion pour l’écriture et la réalisation de ces deux ouvrages.
Douglas Kennedy a vendu plus de 10 millions d’exemplaires de ses livres dans le monde entier, essentiellement des romans. Il est particulièrement populaire en France, où plusieurs de ses livres sont devenus des best sellers. Il a été fait Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres en 2007. Avec The Blue Hour, il signe une fois de plus un livre rempli de suspens où une Américaine, Robin, se retrouve suspecte dans la mystérieuse disparition de son compagnon, Paul, lors d’un voyage au Maroc. Marc Levy vit, lui, à New York. Rendu célèbre dès son premier roman, Et si c’était vrai, sorti en 2000, il raconte dans L’horizon à l’envers les recherches d’un trio de chercheurs en neurosciences confronté à la mort imminente de l’un d’eux.
Évènement gratuit, en anglais.
Les cartes historiques du Texas à San Antonio
Les mordus d’histoire texane sont servis. Le Witte Museum ouvre, vendredi 29 avril, une nouvelle exposition consacrée aux cartes historiques du Texas.
“Mapping Texas: From Frontier to the Lone Star State” – c’est son nom – retrace trois siècles de cartographie, des premières cartes du XVIe siècle à celles dessinées au XIXe. Ensemble, elles permettent de se plonger dans l’histoire politique du Lone Star State et ses frontières changeantes. La “star” de cette exposition est sans conteste la carte “Connected Map of Austin’s Colony, 1833–1837” du “Père du Texas” Stephen F. Austin, qui représente la répartition des terres au sein de sa colonie. D’autres documents seront montrés pour la première fois.
Visible jusqu’au 5 septembre.
Oyez! Oyez! Le prochain Speak Easy aura lieu le 9 mai au Sofitel
En mai, fais ce qu’il te plait, mais vas surtout au Speak Easy. Tout le monde connait l’adage.
Notre prochain rendez-vous de speed speaking aura lieu le lundi 9 mai au Sofitel de New York. Les inscriptions sont ouvertes.
Petit rappel du concept: nous formons des tandems d’anglophones et de francophones pour parler sept minutes en français, puis sept minutes en anglais. Les participants changent cinq fois de partenaire. Un verre de vin et des hors d’oeuvres sont servis. Après ça, vous n’aurez plus aucun mal à prononcer “Harlem” .
Patrick Weil pose ses bibliothèques dans l'Amérique défavorisée
Quel est le point commun entre les réfugiés syriens en Ethiopie, les populations aborigènes en Australie ou les enfants défavorisés du South Bronx? Tous ont été aidés par Bibliothèques sans frontières, l’ONG créée en 2007 par l’historien Patrick Weil pour permettre l’accès à la culture dans les milieux qui en sont privés. Comprenez: des zones de guerre, mais aussi des pays développés comme les Etats-Unis.
Après le South Bronx, Detroit et la Nouvelle-Orléans, l’association travaille actuellement avec une tribu amérindienne d’Arizona, les White Mountain Apaches, qui l’a sollicitée pour l’aider à promouvoir son héritage. “On a des demandes dans les régions montagneuses du centre des Etats-Unis aussi” , souligne Patrick Weil, qui enseigne actuellement à Yale University.
Depuis sa création, l’association a développé ses programmes de lecture et d’accès à la culture dans des pays aussi variés que le Rwanda, la Centrafrique, Haïti, l’Inde, l’Azerbaïdjan et la France. Au total, elle est présente dans vingt pays. Elle a ouvert un bureau à Washington dès 2008 pour se rapprocher de potentiels donateurs et partenaires. Son antenne américaine emploie six personnes aujourd’hui.
Des bibliothèques éphémères
Ici, le programme phare de l’association s’appelle “Ideas Box”. Révélée en 2014 à la New York Public Library, cette médiathèque portative conçue par Philippe Starck contient des ordinateurs portables, des liseuses, des livres papier et des ebooks entre autres ressources. Se présentant sous forme de boite, cette bibliothèque éphémère peut être installée en une petite vingtaine de minutes dans une école, une bibliothèque ou dans un parc. Utilisée par des professeurs et des associations locales au Burundi et en République Démocratique du Congo (RDC), la première “Ideas Box” sur le sol américain a été installée dans un parc du South Bronx l’été dernier et dans des librairies de Detroit en novembre. “Cela permet de faire des classes, de diffuser des films ou des pièces de théâtre dans des milieux populaires ou éloignés de la culture. Parfois, dans ces endroits, il n’y a pas d’école. Parfois, il n’y a pas autre chose que l’école, explique Patrick Weil. La culture fait l’humanité de l’homme. Quand il n’y a pas de dispositif culturel, les enfants sont dans la violence. Quand il y a un livre ou autre chose, ils sont apaisés. Nous sommes des animaux si nous n’avons pas la culture.”
A Detroit, Bibliothèques sans frontières a installé un autre outil: la Koombook, un hotspot qui diffuse des textes, des vidéos, des cours en ligne et permet plus de 30 connexions simultanées. Avantage de ces outils: la rapidité -“une nouvelle bibliothèque prendrait des années à construire!” fait valoir Allister Chang, responsable du bureau américain de l’association – et le contenu est modulable en fonction des communautés qui la demandent. Ainsi la Koombook qui sera installée en juin à Fort Apache, au coeur du territoire des White Mountain Apaches, proposera des documents liés à l’histoire de la tribu et des Indiens d’Amérique, ainsi que des outils de story-telling.
Aux Etats-Unis, où les inégalités se creusent, les perspectives de développement de l’association sont importantes, selon Allister Chang, en particulier au sein de tribus comme les White Mountain Apaches soucieuses de préserver et transmettre leur culture. Bibliothèques sans frontières travaille aussi au lancement d’une bibliothèque multimédia à Oakland (Californie) en 2017 et doit installer une “Ideas Box” en juin à Detroit. “Quand des taux d’illétrisme sont inférieurs dans certaines poches de la population américaine à ce que l’on voit dans des camps de réfugiés, il y a un problème. En tant qu’Américain, je pense qu’il y a beaucoup de travail à faire” .
Le Bal des Berceaux fête ses trois-quarts de siècle
Le Bal des Berceaux souffle sa 75ème bougie. Orchestré par l’association caritative French American Aid For Children (FAACF), ce grand évènement, qui rassemblera le 29 avril au Rainbow Room le gratin de la communauté franco-américaine, servira à lever des fonds pour soutenir sept associations en France et aux Etats-Unis qui viennent en aide aux enfants dans le besoin.
Parmi elles, on compte Kips Bay Boys and Girls’ Club, France Parrainages ou encore Tête en l’Air. Le “Children Come First Award” de la FAAFC récompensera cette année Storefront Academy, école privée gratuite à Harlem, à travers deux de ses responsables. “La première personne à avoir obtenu ce prix est la femme de l’ancien président de la République Française, Madame Giscard d’Estaing.”
L’histoire de cette association débuta en 1939 par deux Françaises expatriées à New York. Membres du Committee of French-American Wives à New York, qui rassemblait des épouses françaises d’Américains, elles voulaient créer une association pour venir en aide aux orphelins et aux prisonniers de guerre. Trois années plus tard est créé le Bal des Berceaux (anciennement appelée le Bal des Muguets) pour lever des fonds pour soutenir la cause. “Le Bal a été nommé ainsi car les fonds récoltés étaient reversés à l’orphelinat du Berceau de Rouen, établissement qui a fermé ces portes dans les années 1970”, explique Marguerite Mangin, présidente de la FAAFC depuis 12 ans (et membre depuis 22 ans).
Soixante-quinze éditions plus tard, le leitmotiv de l’association est resté le même.La FAACF soutient différents projets allant de l’initiative artistique franco-américaine “Paris, New York : La ville imaginaire ?” initiée par L’École d’Art au Village au soutien aux jeunes victimes du seïsme en Haïti en passant par les enfants victimes de problèmes cardiaques pris en charge au Nicaragua par l’association Surgeons of Hope. L’an dernier, l’association a récolté un demi million de dollars lors de son Bal des Berceaux pour venir en aide aux enfants en détresse. “Nous avons la même mission qu’au départ : apporter notre aide aux enfants en détresse dans plusieurs domaines dont la santé et l’éducation. Des problèmes qui n’ont pas disparu et qui s’internationalisent” .
Le Pérou remporte la coupe du monde Délifrance du sandwich
(Article partenaire) Les 14 et 15 mars derniers a eu lieu la 11ème coupe du monde Délifrance du sandwich, à l’occasion du Salon Sandwich & Snack Show à Paris.
Les 10 participants ont revisité une recette emblématique de leur pays d’origine en sandwich. Le jury a mis à l’honneur un podium 100% féminin -1ere position pour le Pérou, 2ème pour la Grèce, 3ème la Turquie – et félicité l’audace de ces étudiants en hôtellerie restauration qui les ont fait voyager.
La candidate victorieuse, Ivalu Acurio, originaire de Lima et étudiante à l’école hôtelière de Lausanne en Suisse a proposé un sandwich “EL CHIMBOMBAZO” à partir d’un pain Délifrance, la ciabattina quinoa, une céréale qui appartient à l’histoire de la cuisine péruvienne. La recette à base de merlu, de piments locaux, agrémentée d’une sauce à base de Huacatay – plante aromatique d’Amérique du sud – a suscité une forte émotion dès les premières bouchées. Ses ingrédients lui valent aussi la place de sandwich le plus équilibré du concours, selon Heike Suck, nutritionniste, un critère qui représente 15% de la note finale attribuée.
Créateur de solutions en boulangerie-pâtisserie depuis plus de 30 ans, Délifrance innove au quotidien pour renouveler les expériences gourmandes. Chaque jour, Délifrance a à cœur de proposer des produits simples mais inspirés et inspirant. Délifrance s’engage pour servir et accompagner les acteurs de la restauration hors-foyer et de la grande distribution, les boulangers et les partenaires franchisés. Leader européen de la boulangerie, Délifrance propose plus de 1000 références en pain, viennoiseries, pâtisseries et produits traiteurs.
Le site de Délifrance
La page Facebook de Délifrance
Pour plus d’informations, contacter Aurélie Négrier, manager export
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Lauryn Hill chante à Houston, Austin et Dallas en mai
Connue comme membre des Fugees, la chanteuse américaine Lauryn Hill donnera un concert à Houston (Revention Center) le dimanche 1er mai, à Austin (Stubb’s) le 2 et à Dallas (Bomb Factory) le 4.
Originaire du New Jersey, elle commença sa carrière solo en 1998 avec son premier album « The Miseducation of Lauryn Hill ». Salué par la critique, l’album est nominé onze fois aux Grammy Awards de 1999 et remporte cinq prix. Ce qui lui vaut d’être sacrée “reine de la soul”. Une reine qui fait plutôt parler d’elle pour ses soucis avec la justice ces dernières années – elle a été reconnue coupable d’évasion fiscale. On préfère s’en souvenir pour ses hits “Doo Wop (That Thing)”, “Ex-Factor” et “Everything Is Everything” .
Deux pièces de Feydeau en mai à New York
Depuis plus de 100 ans, Feydeau fait rire. Les pièces de ce maitre du vaudeville ont été jouées des milliers de fois, notamment à la Comédie Française, et leurs titres sont connus de tous : Un fil à la patte, Mais n’te promène donc pas toute nue, La puce à l’oreille, Feu la mère de Madame…
Sur scène, des mécaniques et des intrigues bien ficelées, des répliques qui claquent, des amants cachés dans le placard, et toujours les mêmes types de personnages incarnant la IIIème république : femmes du monde hystériques ou bien rangées, avocats, médecins, militaires, cocottes, domestiques…
Au mois de mai, ce sont deux des plus célèbres pièces de Feydeau qui seront jouées à New York, en français, du 18 au 22 mai. Le Dindon vous fera suivre les aventures de Pontagnac, coureur de jupons sans scrupules qui se retrouve “fourré dans le plus abominable des pétrins” à la suite de quiproquos délirants. Et de flagrants délits d’adultère qui n’en sont pas.
La Dame de chez Maxim raconte, elle, l’histoire du docteur Petypon, qui, après une nuit de noce, se retrouve encombré d’une cocotte appelée La Môme, qu’il se voit obligé de faire passer pour sa femme lors d’un mariage.
Ces deux pièces sont présentées au 4th Street Theater par L’Atelier Théâtre (auquel appartient l’auteure de ces lignes). La joyeuse compagnie organise des cours et ateliers en français à Manhattan et Brooklyn, et monte chaque année plusieurs pièces à New York.
Le patron des taxis G7 en excursion au pays d'Uber
Quand le PDG de G7, par ailleurs président de l’Union nationale des industries du taxi, vient en Californie, on pourrait imaginer une guerre des civilisations.
Et pourtant, Nicolas Rousselet, patron du plus célèbre des groupes de taxis de France détenant 60% du marché parisien, est moins arc-bouté sur son modèle que ce que l’on aurait pensé.
« Je viens une fois par an aux Etats-Unis, afin de découvrir les idées intéressantes qui pourraient être importées en France », assure l’homme, de passage dans la Silicon Valley et à Los Angeles.
Il en a profité pour défendre son créneau : un modèle de taxi à l’ancienne, mais relooké avec de nouveaux services. “Les nouveaux entrants [comme Lyft ou Uber] changent les attentes des clients. La concurrence n’est pas une menace, elle nous pousse à l’amélioration. On peut avoir le meilleur des deux mondes”, aime-t-il à répéter.
Ainsi, le groupe G7 s’est lui aussi mis au mobile “on demand”, avec son application eCab. « Elle permet de sélectionner les meilleurs taxis, avec 10 000 chauffeurs répertoriés, offre la possibilité de réserver une course, des véhicules VIP, d’avoir la 4G ou encore de choisir un taxi vert. Tout en offrant un service réglementé et professionnel. »
L’industrie du taxi à Los Angeles à la dérive
A Los Angeles, Nicolas Rousselet a observé le déclin de l’industrie des taxis traditionnels. Les derniers chiffres, publiés par le service des transports de la cité des anges, estiment à 28% la baisse de demande de services de taxis entre 2012 et 2015. “On ne dénombre que 2400 taxis, contre 18 000 à Paris. Il y a des choses à faire, comme améliorer la qualité de service pour tirer le marché par le haut. Il y aurait notamment une clientèle pour une offre VIP.”
Refusant d’être pessimiste, Nicolas Rousselet défend une certaine conception du travail, basée sur un service sécurisé. “C’est un élément très important: nos chauffeurs sont des professionnels qui travaillent à temps plein et dont le casier judiciaire est vérifié“, argue-t-il, faisant référence à ses concurrents.
“Nous n’avons pas forcément la même vision des choses. Je ne suis pas un grand fan de cette économie où les gens travaillent beaucoup d’heures pour peu de chose”, attaque-t-il gentiment, exigeant au passage de la transparence de ses concurrents, en particulier sur le nombre de VTC en circulation.“En France, la loi a interdit “Uber pop” qui représentait une concurrence déloyale. Il est facile de casser les prix lorsque l’on ne paie pas les mêmes charges.”
Un homme qui veut anticiper
Entre deux séjours aux Etats-Unis et un agenda français bien rempli, Nicolas Rousselet a rédigé un livre numérique, intitulé Humaniser l’économie du partage. Traduit en anglais et en vente sur Amazon fin avril, il l’a présenté à ses interlocuteurs américains. “La révolution digitale peut être un outil pour améliorer l’expérience de nos clients, en prenant le meilleur du numérique pour créer la ville du futur”, défend-t-il.
Nicolas Rousselet pourrait avoir d’autres tours dans son sac. « Une installation aux États-Unis ? Je n’en sais rien, mais je regrette qu’il n’y ait pas d’application comme eCab à L.A. »
Après avoir arpenté la Silicon Valley à la rencontre des cadres de Google, Zendesk, et rencontré des universitaires de Berkeley, puis fait une halte à la Chambre de commerce franco-américaine de Los Angeles, il rentrera en France avec plein de nouvelles idées.
Ses voyages ont déjà porté leurs fruits, puisqu’il a importé le concept du self-stockage en France en 1996, avec la création de HomeBox, qui appartient au groupe G7. Aujourd’hui, il aimerait s’inspirer des modèles de location entre particuliers, pour développer l’offre de sa société de location de véhicules ADA. Ou comment faire du neuf avec du vieux.
Kafig, compagnie de hip-hop française, vient danser à Los Angeles
Käfig veut dire cage en arabe et en allemand. C’est le nom que Mourad Merzouki, chorégraphe français originaire de Lyon a choisi pour sa compagnie créée il y a tout juste 20 ans.
Passé par les arts du cirque et les arts martiaux avant de se consacrer au hip-hop, Mourad Merzouki est l’un des rares chorégraphes issu de la danse de la rue à être reconnu par les garants officiels de la “culture française”. Depuis 2009, il dirige le Centre National de Danse de Créteil, en région parisienne.
Du 17 au 19 juin prochain, Käfig vient présenter au Music Center Agwa et Käfig Brasil, deux pièces issues d’une rencontre entre Mourad Merzouki et des danseurs brésiliens, à l’occasion de la Biennale de la danse de Lyon en 2006.
Agwa, comme son nom l’indique, est un spectacle fluide placé sous le signe de l’eau, Käfig Brasil est une pièce puissante et multiforme, grâce au travail de quatre danseurs et chorégraphes qui se sont associés à ce projet (Anthony Egéa, Céline Lefèvre, Denis Plassard et Octavio Nassur).
Hip-hop, capoeira, samba, musique électronique, bossa nova.. Bienvenue dans un monde plein de rythmes, d’acrobaties, d’art et d’inventivité.
Los Angeles est la seule ville des Etats-Unis où la compagnie Käfig vient présenter ce spectacle.