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À New York, les Français de la télé et du cinéma se regroupent

French in Motion, tel est nom (bien trouvé) de la nouvelle association que vient de lancer Nathalie Perus, une productrice française installée à New York, avec d’autres Frenchies du métier. Objectif: rassembler les professionnels français du cinéma et de la télévision, alors que les productions hexagonales et européennes connaissent un regain d’intérêt aux Etats-Unis, comme le témoigne les succès à l’export des séries “Engrenages” et “Borgia”.
On est dans un écosystème de structures légères, petites. C’est propice à la création, mais cela rend difficile la compréhension des modèles transatlantiques. Les Américains ont du mal à comprendre par exemple les modèles de financement en Europe, le copyright, le contexte juridique… Cela créé une barrière psychologique. A l’inverse, en France, il y a des forces créatrices qui n’envisagent pas d’écrire en anglais et qui ne songent même pas à la possibilité de faire des choses aux Etats-Unis. Il y a un besoin pour une plaque tournante, un rouage qui facilite les collaborations” .
La Française sait de quoi elle parle. Après avoir passé la majeure de sa carrière en France (elle a travaillé pour la Fox, le groupe Canal et Europa Corp et a créé sa propre société de production Sparkles Production), elle aurait aimé bénéficié d’un réseau à son arrivée en septembre à New York. “C’est facile de rencontrer des gens, mais c’est difficile de savoir qui rencontrer, dit-elle. Je me suis dit qu’il fallait éviter à chaque Français qui débarque à JFK de refaire la conquête de l’ouest à chaque fois” , explique-t-elle. Elle co-développe actuellement des projets de séries internationales avec Klaus Zimmermann, producteur de Borgia.
L’association, officiellement lancée jeudi 17 mars dans un restaurant de Chinatown en présence d’une trentaine de personnes (dont des producteurs, des documentaristes, des réalisateurs, des scénaristes et des distributeurs) a vocation à rassembler tous les maillons de la chaine de fabrication d’une oeuvre télévisée ou cinématographique, de la création jusqu’à la distribution. Le nombre de Français dans ce milieu est en pleine croissance à New York. “Il y a toujours eu beaucoup de talents de passage à New York. Aujourd’hui, on voit de plus en plus de personnes qui s’installent sur le long terme pour porter des projets et consolider leur carrière. Cela s’explique par l’engouement récent autour des co-productions.
French in Motion prévoit d’organiser des master class, des conférences, des tables-rondes en marge de rendez-vous majeurs comme le Tribeca Film Festival pour faciliter les mises en relations. Son futur site comportera aussi un forum où les professionnels à la recherche d’un monteur, d’un acteur ou de toute autre compétence pourront poster des petites annonces. Le groupe n’a cependant pas l’intention d’être un club franco-français. Il veut aussi servir à aiguiller des Américains qui veulent travailler en France. “Ils veulent sortir du système américain. Ils veulent s’offrir des écritures différentes. Aller tourner à Paris, Versailles, c’est fantastique. Ils veulent faire ces projets mais encore faut-il qu’ils soient au courant. L’association peut recréer un circuit où l’on joue un rôle d’agent, de manager… 

Stéphan Asseo, une aventure bordelaise en Californie

Stephan Asseo vient de réaliser son plus grand fantasme: ouvrir une cave à vins sur son domaine de “L’Aventure”, à Paso Robles, à mi chemin entre Los Angeles et San Francisco.
Un lieu magique, avec un dédale d’allées voûtées et d’alcôves rondes qui débouchent sur sa nouvelle salle de “wine testing” avec vue imprenable sur ses vignobles, et que les visiteurs sont invités à découvrir.
Cette cave est à la mesure de son aventure personnelle. En 1998, alors qu’il coule des jours heureux comme vigneron sur son domaine près de Bordeaux,  Stephan Asseo décide de mettre le cap sur la Californie avec sa femme, ses trois enfants et un million de francs de l’époque pour tout recommencer à zéro.
“Le but c’était d’essayer de trouver un super terroir en me donnant un cahier des charges équivalent à un premier grand cru classé de Bordeaux”, explique ce quinquagénaire hyperactif et libre-penseur, qui souhaitait s’affranchir des contraintes de fabrication liées aux appellations d’origine contrôlée.
Stephan Asseo a choisi son terrain de 50 hectares dans les hauteurs de Paso Robles « sur un coup de foudre ». Un sol calcaire, des coteaux aux orientations variées et un climat propre à une maturation lente des raisins : tout les éléments étaient réunis pour fabriquer du bon vin.
Mais cela ne suffit pas pour faire un grand cru, bien sûr. Il faut aussi de l’énergie, du talent et du temps. Alors Stephan Asseo se met au travail, plante ses cépages et construit sa « winery »… Après six ans d’efforts et quelques sueurs froides, Stephan Asseo sort enfin sa première bouteille.
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Mais alors que le succès arrive, les services d’immigration américains refusent de lui accorder un nouveau visa. « J’avais tout construit, tout planté, et du jour au lendemain je me retrouvais illégal », se rappelle le vigneron.
Stephan Asseo tente le tout pour le tout et fait une demande de visa O, celui qui est réservé aux personnes bénéficiant d’un « talent exceptionnel ». Pari gagné ! « Je suis passé quasiment du statut d’illégal à la carte verte en l’espace de quatre mois », s’amuse-t-il aujourd’hui.
Stephan Asseo est passionné par son métier. « Chaque année, pour mes nouveaux millésimes j’essaye dix combinaisons avec des pourcentages de chaque cépages différents, à l’aveugle pour me concentrer sur le goût. »
Résultats : ses millésimes sont notés entre 94 et 100 sur la redoutable échelle de notation mise en place par le gourou du vin Robert Parker, « l’équivalent de trois étoiles pour un restaurant », explique-t-il.
Ses quatre principales cuvées sont Cote a cote, mélange GSM (Grenache, Syrah et Mourvèdre), Estate Cuvee (43% Syrah, 42% Cabernet Sauvignon, 15% Petit Verdot), ainsi que deux grands crus dédicacés à sa femme et sa fille (For her et Chloé)  et dont la particularité est d’être assemblés au cours du processus de fermentation.
Stephan Asseo n’est pas parti seul aux Etats-Unis. Sa femme et ses trois enfants ont accepté de se lancer avec lui dans l’aventure, et même de loger de longues années dans un mobile home, le temps d’investir dans l’exploitation.
Aujourd’hui, Stephan Asseo et sa femme Béatrice vivent dans une superbe maison qui surplombe le domaine « L’Aventure ». Leur fille Chloé s’occupe de la communication de l’entreprise, qui compte neuf employés, et leurs deux fils aînés sont installés aux Etats-Unis.
« Je suis heureux, confie-t-il. Je pourrais finir mes jours ici. Mais on est tombés amoureux d’un petit village en Catalogne et on se verrait bien lever le pied, et éventuellement revenir voir les enfants de temps en temps ici. »
Lever le pied ? Cadaquès est connu pour ses vignobles, et Stéphan n’exclut pas l’idée d’y retenter une nouvelle aventure,  “modestement”.

En mai, Gad Elmaleh passe trois soirées à L.A

Gad Elmaleh a pris ses quartiers à Beverly Hills.
Pour la troisième fois en six mois, il vient présenter son Show “Oh my Gad” au Largo, une salle située à quelques encablures du quartier chic de Los Angeles. Il y jouera du 3 au 5 mai.
Et pour ceux qui ne le savent pas encore, dans son show américain, Gad Elmaleh délaisse la langue de Molière pour celle de Shakespeare.
Une performance désormais bien rôdée à voir l’un des trois soirs de programmation début mai. On a vérifié : ce n’est pas encore complet !

D'étranges objets design au Please Do Not Enter de Los Angeles

Des bols, des tabourets, des lampes, des habitats végétaux, des haltères… Pendant un an, le designer français Guillaume Bardet a imaginé un objet par jour.
Une cinquantaine de ses oeuvres sont exposées et mises à la vente au sein du concept store Please Do Not Enter, à Downtown Los Angeles, du mardi 15 mars au mardi 10 mai.
Tout a débuté par une simple tasse de thé. Du lundi 21 septembre 2009 au lundi 20 septembre 2010, le jeune designer a dessiné quotidiennement un croquis d’objet, qu’il modélisait numériquement en 3D.
Il s’est imposé une vie très monacale“, décrit Emmanuel Renoird, le co-fondateur de Please Do Not Enter. “L’artiste a exploré la problématique de la création, que ce soit le manque d’inspiration ou l’impression d’avoir trop de choses à dire.
Guillaume BARDET 3
 
Il a esquissé des objets de la vie courante, mais aussi plus conceptuels tels que des haltères non-symétriques, des paysages, ou des miroirs de terre. Ils évoluaient au gré des saisons, de son état d’esprit oscillant entre l’inspiration, l’ennui, le désespoir.
Puis, durant deux ans, ses esquisses ont pris forme dans l’argile, les 365 pièces étant façonnées par quatorze céramistes de la région de Dieulefit (France). Ce travail se nomme “L’usage des jours”, non sans rappeler l’oeuvre de Boris Vian.
Guillaume BARDET
De Sèvres à Los Angeles
Diplômé des Arts Déco, à Paris, Guillaume Bardet a exposé en France, Belgique et Suisse avant de se retrouver à Los Angeles. “Avec mon associé Nicolas Libert, nous l’avons découvert à la Manufacture nationale de Sèvres, à l’occasion d’une exposition“, commente Emmanuel Renoird. “Guillaume Bardet souhaitait passer à autre chose, se libérer de ces objets. C’est ainsi que nous avons pu acquérir une cinquantaine de pièces.”
Après avoir exposé un élément par semaine durant un an dans leur précédent local, Please Do Not Enter les dévoile tous en même temps pour la première fois. Chaque objet est en vente, entre 1250 et 20 000 dollars pour les pièces massives réalisées de manière industrielle.
Vous pourrez les découvrir jusqu’au mardi 10 mai. Puis, ce sera au tour du designer belge Christophe Coppens de présenter les 50 masques qu’il a créé à Los Angeles dans ce lieu hors-norme.

En avril, deux grands salons du livre à Los Angeles

A Los Angeles, la saison littéraire commence fin mars.
Du 30 mars au 2 avril, la AWP Conference & Bookfair (le salon du livre version américaine) atterrit au Convention Center pour son édition 2016. Pas moins de 12 000 exposants y participeront. Vous pourrez aussi assister à des dizaines de conférences sur la littérature, l’écriture ou à des tables-rondes avec des écrivains, poètes ou journalistes.
L’événement sera suivi, le week-end du 9 et 10 avril, par le traditionnel Los Angeles festival of books sur le campus de l’USC (University of Southern California). Une foire aux livres qui se résume par ces cinq mots : musique, art, culture, food et fun !
A la AWP Conference & Bookfair, on notera la présence d’Edward Gauvin, traducteur d’un très grand nombre de BD françaises, dont le fameux “Quai d’Orsay” d’Antonin Baudry et Christophe Blain, et de la poète, linguiste et actrice Hélène Cardona. Celle-ci a été invitée à dire ses poèmes à des séances de lecture organisées par les deux salons.

Rassemblement pour Bruxelles à Miami

Le groupe des Belges de Miami, Belgian Mondays, se retrouvera samedi 26 mars pour rendre hommage aux victimes des attentats qui ont secoué Bruxelles, mardi. Le rassemblement doit avoir lieu au monument The Torch of Friendship sur Biscayne Boulevard à 2pm.
Le double-attentat, qui visait l’aéroport de Zaventem et la station de Maelbeek dans le quartier des institutions européennes, a fait 31 morts selon un bilan provisoire du ministère des affaires étrangères, et plus de 200 blessés. Dix Français figurent dans les rangs de ces derniers, quatre sont blessés grièvement.

Vols USA-Cuba: où en est-on ?

Depuis l’annonce du réchauffement des relations diplomatiques entre La Havane et Washington, les compagnies aériennes américaines se livrent à une bataille sans merci pour obtenir le marché très juteux des liaisons vers Cuba.
Alors que le Département des Transports américains a fixé à vingt le nombre de vols quotidiens supplémentaires vers la Havane et dix vers neuf autres villes cubaines (Cayo Coco, Camagüey, Cayo Largo, Cienfuegos, Holguín, Manzanillo, Santa Clara, Santiago de Cuba et Varadero), ce sont pas moins de 51 demandes qui ont été enregistrées. American Airlines se montre la plus agressive en réclamant la moitié des liaisons. Derrière, on retrouve Jet blue, Delta, Southwest et la compagnie régionale Silver Airways. Spirit Airlines pourrait aussi se déclarer.
Détail important pour les voyageurs: des compagnies low cost font parties des prétendantes. Patrick Surry, analyste chez Hopper, expliquait dans les colonnes de Condé Nast Traveler le 22 mars que “si les restrictions de voyage sont levées, on peut s’attendre à une chute significative des tarifs d’environ 50%.” Concrètement, un aller-retour USA Cuba pourrait coûter dans les 360$ et seulement dans les 250$ au départ de Miami.
L’enjeu est de taille pour les compagnies aériennes. Alors que La Havane n’est qu’à 360 km de Miami (et seulement 170km de Key West), les conditions d’un voyage vers Cuba restent très restreintes aujourd’hui. Entre 10 et 15 vols charters assurent actuellement la liaison avec l’ile. En plus de remplir plusieurs conditions, les citoyens américains et les voyageurs étrangers doivent aujourd’hui prendre des chemins de traverse, via le Mexique, les Caimans et le Canada (on vous épargne l’escale en Espagne…) pour se rendre sur l’ile.
Les officiels américains sont relativement optimistes quant à l’attribution finale prévue pour cet été pour une mise en route à l’automne 2016. Ils doivent faire leur choix en fonction des liaisons qui avantageront le plus grand nombre de passagers. La Floride, où vit un grand nombre de ressortissants cubains, pourrait récupérer la majeure partie de liaisons. Chaque compagnie aérienne devra se mettre en avant par rapport aux autres si elle veut remporter le marché.
American Airlines : vols quotidiens Miami La Havane (10), Charlotte (2), Dallas (2) ainsi qu’un vol hebdomadaire depuis Chicago et Los Angeles. Leur hub de Miami pourrait aussi desservir quotidiennement Santa Clara, Holguin, Varadero, Camaguey et Cienfuegos.
Delta Airlines : vols quotidiens Atlanta-La Havane (1), New York (1), Miami (2) et Orlando (1).
Jet Blue : vols quotidiens Fort Lauderdale-La Havane (4), Tampa (2), Orlando (2), New York (2), Boston (1), Newark (1). Fort Lauderdale Camaguey (1), Holguin (1) et Santa Clara (1).
Southwest Airlines : vols quotidiens Fort Lauderdale La Havane (6), Tampa (2) et Orlando (1). Vols quotidiens pour Varadero et Santa Clara toujours depuis Fort Lauderdale.
United Airlines : vol quotidien Newark-La Havane (1). Plus 2 les samedis. Chaque samedi depuis Chicago (1) et Washington DC (1).
Alaska Airlines : vols quotidiens Los Angeles La Havane (2).
Frontier Airlines : vols quotidiens Denver0La Havane (1) et Miami-Santiago (3), plus liaisons hebdomadaires Miami-Camaguey (4), Miami-Santa Clara (3), Chicago-Varadero (1) et Philadelphie-Varadero (1).
Silver Airways : vols quotidiens West Palm Beach-La Havane (2), Fort Myers (1) et Fort Lauderdale (1). Vols hebdomadaires depuis Key West (5), Jacksonville (2). Fort Lauderdale pourrait aussi relier neuf autres destinations cubaines.

Miami dit "Paris on t'aime"

La troupe française « De Temps en Temps » propose une version remaniée de son spectacle « Paris, on t’aime » au Fillmore de Miami Beach les jeudi 14 et vendredi 15 avril.
Ce spectacle, qui allie danse et comédie, vous emmènera directement au cœur de la Ville Lumière. Les spectateurs seront transportés dans les endroits typiques de Paris comme Notre-Dame, le Sacré Cœur, Pigalle et bien sûr, la Tour Eiffel. Cette pièce avait déjà été jouée en 2012 au Lincoln Theater de Miami.
Les membres de cette troupe fondée à Lille sont tous danseurs, acteurs, techniciens et costumiers bénévoles.  Le spectacle se jouera en anglais, mais plusieurs chansons seront chantées en français. Une partie des bénéfices sera reversée à la campagne Give for France pour aider les familles des victimes du 13 novembre et prévenir de nouveaux actes terroristes.

6 chasses aux œufs pour fêter Pâques à Miami

La tradition de la chasse aux œufs n’épargne pas Miami. Plusieurs évènements sont organisés du vendredi 25 au dimanche 27 mars. French Morning vous en propose six à découvrir en famille.
6. Eggstreme Egg Hunt de Coral Gables

Easter Youth Center. Photo DR
Easter Youth Center. Photo DR

La ville de Coral Gables organise cinq chasses le dimanche 26 mars à 10am dans Jaycee Park, Phillips Park, Salvadore Park, Sunrise Harbor Park et au Youth Center où un hélicoptère lâchera les œufs. Une chasse spéciale pour les enfants de “0 à 3 ans” aura lieu dans l’enceinte de la salle de basket du Youth Center. Youth Center, 405 University Dr, Coral Gables.
5. Egg Safari au zoo
Easter. Photo Zoo Miami
Easter. Photo Zoo Miami

Les enfants de 12 ans et moins peuvent chasser les œufs à travers le zoo de Miami et poser en photo avec le lapin de Pâques, samedi et dimanche de 11am à 4pm. Entrée: 19,95$ (adulte) et 15,95$ plus taxes (enfant). Zoo, 12400 SW 152nd St., Miami.
4. Mega Egga Hunt à Jungle Island
Easter. Photo Jungle Island
Easter. Photo Jungle Island

L’évènement phare de Jungle Island se tient du vendredi 25 au dimanche 27 mars de 10:30am à 4pm. Au programme: chasses aux œufs, musique, châteaux gonflables… Entrée adulte 39,95$ et enfant 32,95$ plus taxes. Vous pouvez récupérer des coupons de reduction de 7$ chez Publix. Jungle Island, 1111 Parrot Jungle Trail, Miami.
3. Penguin Palooza au Seaquarium
Easter bunny palooza. Photo Seaquarium
Easter bunny palooza. Photo Seaquarium

Le Seaquarium propose “la plus grande parade de Pâques du Sud de la Floride” du vendredi 25 au dimanche 27 mars ainsi que des chasses aux œufs, des châteaux gonflables et toboggans disséminés sur place. Plusieurs défilés sont programmés dans la journée. Entrée: 44,99$ (adultes) et 34,99$ plus taxes (enfants). Bénéficiez de 6$ de réduction sur leur site avec le code SAVE6. Seaquarium, 4400 Rickenbacker Cswy., Miami.
2. Easter at Pinto’s Farm
Easter. Photo Farm Pinto
Easter. Photo Farm Pinto

Du vendredi 25 au dimanche 27 mars, la ferme Pinto vous attend le matin (11am-2pm) ou l’après-midi (2-5:30pm) pour des chasses aux œufs, tours de poneys et pédalos ainsi qu’un accès au petit zoo. Entrée: 13$ au lieu de 16$ sur leur site. Pinto’s Farm, 14890 SW 216th St., Miami.
1. Marshmallow Drop à Miami Shore
Easter Marshmallows Drop. Photo DR
Easter Marshmallows Drop. Photo DR

La ville de Miami Shore fête son vingtième lâché de marshmallows le samedi 26 mars à 9:30am précises sur le Recreation Fields (9825 Park Drive). Vous n’êtes pas censés les manger. Il faut les ramener un à un sous une grande tente pour obtenir un prix. Pour les enfants de 9 ans et moins.
Vous trouverez d’autres chasses dans les comtés de Broward et Palm Beach.

Cartier-Bresson s'expose à Houston

La Menil Collection de Houston célèbre le travail d’Henri Cartier-Bresson lors d’une exposition à découvrir jusqu’au dimanche 24 juillet.
Considéré comme le père de la photographie urbaine contemporaine, ce Français a parcouru le monde avec son appareil. D’abord dans les rues de Paris des années 30, puis au Mexique, en Espagne et en Afrique du Nord.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il parcourt l’Europe pour témoigner des ravages de la guerre à travers ses photographies et ses films. En 1947, il fonde, avec ses pairs, la célèbre agence Magnum pour promouvoir une nouvelle forme de photo-journalisme. Il continue ensuite son tour du monde à travers la Chine, Cuba ou encore l’Indonésie jusque dans les années 70.
Avec l’exposition, “Life Is Once, Forever : Henri Cartier-Bresson Photographs“, la Menil Collection montre cinquante photographies représentatives de la carrière et de la vision de ce maitre de l’instantané.

Une conférence sur les Canadiens francophones de Floride à Miami

A l’occasion du mois de la francophonie (mars), le Centre de la Francophonie de Floride et des Caraïbes organise une conférence sur l’histoire des migrations franco-canadiennes. Cela se passe le samedi 26 mars au restaurant Les Créateurs. Entrée gratuite.
Serge Dupuis, auteur de Plus peur de l’hiver que du Diable, viendra parler d’un siècle d’émigration francophone en Floride, de la colonisation agricole du XIXe siècle aux vagues d’émigration économique des années 1930, en passant bien entendu par l’avénement du tourisme de masse après la guerre et les “snowbirds”. L’ouvrage du Canadien, qui effectue actuellement un stage post-doctoral à l’Université de Laval, évoque aussi l’histoire des autres francophones du Sunshine State. La rencontre sera suivie d’un verre de l’amitié.

San Antonio accueille son deuxième Diner en Blanc

Le 1er avril, San Antonio sort la nappe blanche pour la 2ème année consécutive. Pour ce nouveau Diner en blanc, la San Antonio Parks Foundation ne cherche pas à garder le lieu secret, comme il est de coutume lors de ces flash mobs festifs inventés à Paris. Rendez-vous est donné à Travis Park à 6pm.
Venez avec votre panier de victuailles ou profitez de l’offre des divers food trucks qui seront sur place. Nul besoin de venir avec des tables et des chaises: tout sera en place à votre arrivée. La participation est gratuite et ouverte à tous. Seule condition pour pouvoir participer à ce diner en blanc: venir habillé en blanc de la tête au pied. Les pré-réservations sont ouvertes pour les groupes de quatre personnes et plus. Pour les flémards, il est possible de réserver votre panier pique-nique auprès de Nectar Wine Bar & Ale House.