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Rencontrez Joanna Hoffman, bras droit de Steve Jobs, à Palo Alto

Joanna Hoffman est une génie de l’informatique, et Steve Jobs, au début des années 80, l’avait bien compris.
Pour la rencontrer et bénéficier de ses lumières, c’est simple: rendez-vous à l’école franco-américaine ISTP située à Palo Alto. Elle accueillera Joanna Hoffman pour une conversation le mardi 23 février à 7pm (gratuit, mais inscriptions obligatoires).
Joanna Hoffman est une légende dans le monde de la technologie, notamment grâce au rôle qu’elle a joué auprès d’Apple durant plusieurs années. Physicienne et archéologue, elle est recrutée en 1980 dans l’équipe de Jef Raskin chargée du développement du Macintosh et écrit la version originale du Guide de l’interface utilisateur Apple.
En 2015, Kate Winslet a interprété le rôle Joanna Hoffman dans le film « Steve Jobs », pour lequel elle a remporté le Golden Globe Award du meilleur second rôle féminin.

10 crêperies à tester pour la Chandeleur à New York

«À la Chandeleur, l’hiver se meurt ou prend vigueur» . Ce 2 février, on sera, pour notre part, bien loin de ces considérations philosophiques. Direction une crêperie française de New York pour fêter la Chandeleur comme il se doit.

Voir notre carte:

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1. Le BZH New York à Bagatelle

Les chefs JC Henry et Philippe Fallait seront à Bagatelle pour une soirée bretonne avec BZH New York. Au programme, crêpe bretonnes traditionnelles, spécialités françaises et French Cancan. 1 Little W 12th St. Site iciTickets

2. Crêpes et Délices

Crêpes et Délices propose toutes sortes de crêpes salées et sucrées avec des ingrédients bio.Ils présentent des classiques incontournables, jambon œufs, fromages, mais aussi des concepts bien américains comme les crêpes au beurre de cacahuète. La chaine de Florent Cohen ajoute une spéciale pour la semaine de la Chandeleur, la crêpe infusée au chocolat noir avec frais et chocolat blanc. 124 W 72nd St et 222 East 86th St. Site ici

3. Délice et Sarrasin

A Délice et Sarrasin, Yvette, Patrick, Raphaël et Christophe Caron-Soriano préparent une cuisine authentique avec des crêpes et galettes originales. La petite famille dispose d’un restaurant coquet dans le West Village et d’une antenne dans l’East Village. De la crêpe flambée à l’orange, citron et sucre à la galette au fromage de chèvre, poulet, mozzarella, noix et miel, tout le monde y trouvera son compte. 20 Christopher St et 80 St Marks Pl. Site ici

4. Crêpes du Nord

A Wall Street ou à Staten Island, à Crêpes du Nord, votre estomac sera comblé à coup sûr. Les produits proposés sont frais et bio, les crêpes salées sont faites avec de la farine de sarrasin et des ingrédients sains. En dessert, on ne se refuse pas la « dulce de leche » aux bananes, caramel, le tout arrosé de crème fouettée. 17 S William St (Wall St). 2655 Richmond Ave (Staten Island). Site ici

5. L’Alliance Française du Westchester chez Estelle Gourmet

L’Alliance Française du Westchester vous invite pour une “crêpe party” chez Estelle Gourmet de 6:30pm à 9pm le mardi 2 février. Au programme, dégustations avec vin et cidre et démonstration du fameux retournement de crêpe. 1971 Palmer Ave, Larchmont. Site iciInfos et Tickets

6. By Suzette

By Suzette est un chaîne de restauration rapide née de l’initiative de deux Français en 2014. Elle propose une multitude de crêpes salées et sucrées. Simple et efficace, le concept permet aux clients de faire eux mêmes leurs crêpes en choisissant parmi les ingrédients proposés. 78 Chambers St et 494 8th Ave. Site ici

7. Golden Crêpes

Auto-proclamée « meilleures crêpes de NYC », Golden Crêpes mise sur le classique français, oeufs-champignons, boulettes de viande ou chorizo. En dessert, on hésite entre la délicieuse banane-fraise et le plaisir coupable noix de coco-cookies oreo. 262 W 15h St et 82 2nd Avenue. Site ici

8. Crooked Tree Crêperie

Crooked Tree Crêperie régale ses clients avec une sélection de crêpes soigneusement choisies accompagnées de salade. Les salées sont à la tomate, jambon ou fromage de chèvre. Et en sucrée, on opte pour l’audacieuse à la crème de marron. 110 Saint Marks. Site ici

9. Bar Suzette

Au sein de Chelsea Market, Bar Suzette offre une quantité de crêpes différentes avec des recettes originales. On compte parmi ces dernières, la fameuse « Squat and Goat Cheese » à base de concombre, carotte, fromage de chèvre et tomate. Point de places assises ici, et ils ne prennent que le liquide. 425 West 15th Street. Site ici

10. Crêperie NYC

Sur place ou à emporter, on vient ici pour goûter des nouvelles recettes ou pour affiner ses classiques. Pas moins de 60 sortes de crêpes vous sont proposées, de quoi trouver celle qui vous correspond. 112 MacDougal Street et 135 Ludlow Street. Site ici

A Los Angeles, une "French night" avec les Clippers et les Spurs

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Voir les Clippers de Los Angeles jouer contre les Spurs de San Antonio, lors d’un match de basket dédié à la communauté française : en voilà une bonne idée.
Ce match aura lieu le samedi 18 février à 7:30 pm au Staples Center de Los Angeles, et les tickets sont déjà en vente.
Après le jeu, certains spectateurs auront la possibilité d’aller féliciter Tony Parker ou Boris Diaw.
C’est la French American Chamber of Commerce qui est à l’initiative de cette « French Heritage Night », organisée en partenariat avec French Morning.
Les Clippers de L.A célèbreront la communauté française, comme ils le font régulièrement avec d’autres nationalités.

Marseille et Alger dans les yeux de la photographe Marie Bovo

Marie Bovo est une photographe née en Espagne, qui vit et travaille à  Marseille. Ses terrains de jeux : les paysages urbains et inhospitaliers, qui reflètent les débats actuels sur les communautés immigrées.

Marie Bovo expose son travail « How to Survive Abstraction » au California Museum of Photography de Riverside jusqu’au samedi 16 avril. Pour présenter son œuvre, une réception est organisée le samedi 30 janvier et une discussion aura lieue le jeudi 4 février.

Vous pourrez explorer le travail de Marie Bovo au travers de quatre séries de photos : « cours intérieures » en banlieue de Marseille, « la voix du chemin de fer » dans les camps tziganes également situés dans la cité phocéenne, « Alger » représentant les balcons de la capitale algérienne et « jours blancs » composée d’une seule photographie d’une plage norvégienne.

Lors du débat le 4 février, Marie Bovo sera accompagnée de Susan Ossman, professeure d’anthropologie à l’université de Californie de Riverside.

L'écrivain Pierre Bayard dans le fauteuil d'Olivier Barrot à New York

Pierre Bayard est professeur de littérature française, psychanalyste et auteur de plusieurs essais, notamment Comment parler des livres que l’on a pas lus.
Le 8 février au Sofitel, il sera l’invité de la série “Rendez-vous littéraires” animée par journaliste Olivier Barrot, journaliste, écrivain, producteur et animateur de l’émission « Un livre, un jour » sur France 3. Ensemble, il évoqueront le travail de cet écrivain qui tente régulièrement de mener un réflexion sur la littérature en alliant humour et enquêtes.
La discussion sera en français. Pour acheter vos places, envoyez un e-mail à Daniel Harpaz ou appelez le 646-251-9211.

Pourquoi voit-on autant d'hélicoptères à Los Angeles ?

Pour vivre à Los Angeles, il faut accepter de cohabitater avec le bruit des hélicoptères.
Ceux-ci survolent la ville de jour comme de nuit, au point que leur vacarme fait partie intégrante du paysage sonore. Mais au fait, pourquoi sont-ils si nombreux dans le ciel de L.A ?
Avec ses 1 200 kilomètres carrés de superficie, Los Angeles n’est pas une ville facile à surveiller. D’autant que la criminalité (gangs, fusillades, cambriolages, incivilités sur les routes) se retrouve dans de nombreux quartiers. Pour se donner les moyens de lutter contre les délinquants, la police de L.A s’est dotée de la plus large flotte d’hélicoptères de toutes les villes des Etats-Unis : 19 appareils estampillés LAPD sillonnent le ciel jour et nuit. Pas tous en même temps, bien sûr, mais au moins deux à chaque instant, et ce de 8h30 à 4h30 du matin.
La police n’est pas la seule unité de sécurité à squatter les airs. Il y a aussi les 18 hélicoptères du comté du shérif de Los Angeles, dont la base se trouve à l’aéroport de Long Beach, les six engins utilisés par les pompiers, et les deux du Children’s Hospital Health.
Le ballet aérien ne s’arrête pas aux frontières de la ville, puisqu’au nord les polices de Burbank, Glendale et Pasadena ont organisé leur propre escadron de trois hélicoptères, pendant qu’à l’ouest, les garde-côtes veillent aux secours sur terre et en mer avec aussi trois appareils.
Et ce n’est pas fini ! Les réalisateurs de films, les journalistes de télévision, les régulateurs du trafic routier et les touristes ont eux aussi de bonnes raisons de vouloir observer la ville d’en haut, et ils ne s’en privent pas.
Sans parler des hommes d’affaires et des stars qui, pour le coup, s’intéressent moins à la vue du ciel qu’à l’efficacité d’un trajet par les airs, dans une ville connue pour ses embouteillages chroniques, faute de transports en commun efficaces.
Le développement du transport en hélicoptère à Los Angeles a aussi été favorisé par une règle très spécifique à la ville, qui a longtemps obligé les promoteurs immobiliers à construire des immeubles à toits plat, avec une aire d’atterrissage.
Cette contrainte, qui courait depuis quarante ans, a finalement été abandonnée l’année dernière, ouvrant la porte à davantage de fantaisie dans l’architecture urbaine, et peut-être, sait-on jamais, une réduction du trafic aérien au-dessus de nos têtes !

Le Français Philippe Léogé au Miami Beach Jazz Festival

Trois ans que cela dure et on ne s’en plaint pas. Le Miami Beach Jazz Festival est de retour jusqu’au 30 janvier. La programmation rassemble des jazzmen du monde entier, dont le Français Philippe Léogé, qui se produira le jeudi 28 janvier à la Steinway Gallery Coral Gables lors d’un concert gratuit.
Formé à la prestigieuse Berklee School of Music à Boston, il a écrit pour plusieurs artistes de renom comme Barry White et Dee Dee Bridgewater. Il est directeur artistique et programmateur du festival toulousain “Jazz sur son 31”, qu’il a aidé à lancer à  la fin des années 80. Pianiste, il sort trois albums – « Improvisualisations » (2005), « Live au Palais des Congrès » (2007) et « My french standards songbook » (2014) – ainsi que deux en duo avec le saxophoniste Jean-Marc Padovani – « Angel eyes » (2010) et « Le chant de la Terre » (2012).
La programmation du Miami Beach Jazz Festival 2016 comprend aussi le trio australien James Morrison et plusieurs autres groupes internationaux qui joueront à l’Olympia Theater le 30 janvier.

Amicie de Colonges, reine de la fouta à Miami

Sur les plages françaises, de Bretagne jusqu’en Corse, impossible d’y échapper. Les foutas sont partout. Ces longs draps de hammam en coton colorés font maintenant une concurrence féroce aux serviettes de bain.
A Miami, en revanche, la fouta est inconnue et c’est Amicie de Colonges, une jeune expat de 33 ans, qui a décidé de convertir les Américains.
Après des études d’art dans le design textile, elle collabore quelques années avec de prestigieuses maisons françaises avant que la crise ne mette un coup d’arrêt à son début de carrière. La pause ne sera que momentanée. Elle enseigne, puis en 2013, alors que la famille s’installe sous le soleil de Floride, elle se remet à faire des projets. “ J’ai pris des cours d’anglais en arrivant et souvent en classe mon esprit vagabondait. J’ai pensé aux foutas. Ça m’a semblé assez évident car j’en utilisais à la plage depuis longtemps et je n’en avais encore jamais croisé ici.”
Les cours d’anglais s’arrêtent là pour elle et elle se consacre désormais à monter sa petite entreprise Ami&Cie. Elle fait venir ses draps de Tunisie pour les personnaliser elle-même en les brodant de prénoms ou par un appliqué (un motif en tissu). Amicie de Colonges s’est aménagé un petit atelier façon bonbonnière. Entre ses machines, des petites armoires miniatures recèlent des dizaines de bobines de fil et des tissus fleuris pastel ou “flashy” qu’elle aime assembler pour rendre chaque modèle de fouta unique. Il faut compter 40$ pour une fouta classique, 50$ brodée d’un prénom et 58$ avec un appliqué.
Depuis la livraison des premières foutas en août 2014, elle a commencé à se faire connaître grâce aux ventes privées, puis elle a pris un stand au marché de Pinecrest. « C’est vraiment en discutant avec les clients du marché que j’ai pris conscience du travail d’explication que je devais mener. La fouta de hammam, ça n’évoquait absolument rien pour eux. » Elle propose ses draps aussi bien pour la plage et la piscine qu’en version nappes et jetés de canapé.
Amicie de Colonges a décidé de lever le pied sur les marchés – elle sera à Pinecrest le premier dimanche de chaque mois – pour se positionner davantage dans les boutiques tout en développant son site internet. Ses foutas sont visibles chez Respice et depuis peu chez Osole Swimwear.
Elle vise également les hôtels ainsi que le secteur des cadeaux d’entreprise. En fin d’année dernière, un directeur d’hôpital à Detroit qui avait découvert son travail en passant ses vacances à Miami lui a commandé une quarantaine de foutas personnalisées pour les offrir à son équipe. Elle travaille également sur une gamme de sacs, pochettes et réfléchit à des coussins d’ameublement à partir de foutas.

11 cafés où travailler à New York

Les coffee-shops à New York, il y en a des centaines, mais ceux où l’on peut ouvrir son ordinateur sans vergogne, si possible avec une connexion internet fiable et de la musique pas trop forte, ne sont pas si nombreux. Voici nos onze cafés préférés pour délocaliser son bureau pendant la journée.
11. Ninth Street Expresso, à East Village
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C’est l’un de nos endroits préférés d’Alphabet City. Face à un jardin communautaire d’East Village, Ninth Street Expresso dispose d’une salle claire et agréable, et sert du bon café. 700 East 9th street. Autres adresses à Gowanus, Midtown, Chelsea Market. Site ici.
10. Think Coffee, dans West Village et Greenwich Village
ThinkCoffee
C’est le repaire des étudiants de NYU. A l’intérieur, un mélange éclectique : murs en briques, tables bistrots en marbre et faux-vieux fauteuils. On y croise beaucoup de jeunes les yeux rivés sur leur Mac et leurs écouteurs branchés sur les oreilles, et on doit souvent partager sa table. Mais l’ambiance est agréable. 248 Mercer St. Site ici.
9. Café Jax, Upper East Side
Jax
Dans une rue tranquille de l’Upper East Side, Café Jax est rempli de free-lancers, qui viennent profiter de ce coffee-shop sur deux étages et de la petite cour ouverte en été pour travailler. Le plus surprenant, chez Jax, ce sont les meubles : on se croirait dans le showroom d’un magasin de déco, avec des canapés et fauteuils chinois, des tables en teck et des plantes. On peut y déguster des glaces People’s Pop et Blue Marble, des cookies sans gluten ou des scones, ainsi que des petits plats légers. 318 E 84th St. Site ici.
8. DTUT, Upper East Side
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Le soir, le DTUT ressemble à un pub de Brooklyn. Mais dans la journée, l’ambiance est bien plus tranquille, et des dizaines d’habitués du quartier viennent squatter les canapés défoncés et les tables hautes en bois pour travailler. La musique n’est pas trop forte, et l’ambiance ultra-relax. Une adresse rare dans ce quartier. Le wifi est limité à certaines heures seulement. 1744 2nd Ave, New York. Site ici. 
7. Ost Café, East Village
Ost Cafe
Un endroit culte d’East Village, souvent plein, avec d’excellents cookies, du café, des meubles vieillots et des tableaux rétro aux murs. Le wifi est limité à certaines heures seulement. Face au succès du concept, le propriétaire a aussi ouvert une succursale dans le Lower East Side. 441 E 12th St (East Village) et 511 Grand Street (Lower East). Site ici. 
6. Tip of the Tongue, Lefferts Garden
tip of the tongue
Ce petite café qui ne paie pas de mine est situé aux portes de Prospect Park. Rempli de free-lancers et autres travailleurs indépendant de ce quartier en plein boom de Brooklyn, il comporte une rangée de tables contre le mur et deux tables hautes pour poser son portable. Ici, il y a quelques plats au menu, mais on vient surtout pour le chocolat chaud, le chai latte, les bagels et les croissants. 43 Lincoln Road. Site ici
5. Manhattanville Coffee, Hamilton Heights

Ce café où se retrouvent les étudiants de Columbia et de City College était plein à craquer lors de notre passage, un samedi après-midi. Pas facile de se faire une place entre les ordinateurs et les livres empilés. Manhattanville Coffee, également présent dans le quartier de Crown Heights (Brooklyn), dispose d’une grande table communale, d’un comptoir adossé à une baie vitrée et de quelques tables dans le fond. Bonus à ceux qui arrivent à s’asseoir sur le canapé en cuir dans l’entrée. Le chocolat chaud est délicieux et les financiers aussi. 142 Edgecombe Ave. (646) 781-9900. Site ici
4. Kos Kaffe, à Park Slope
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Repaire des freelancers de Park Slope, le Kos Kaffe est toujours rempli, illuminé par une forêt de MacBooks. On peut ponctuer ses séances de travail par un sandwich au tofu ou au chicken massala. Le succès du Kos s’est retourné contre lui, et le café a du mettre en place des restrictions : désormais, l’utilisation des ordinateurs n’est possible qu’à certaines heures (12pm-3pm en semaine, 10am-4pm le week-end). 251 5th Ave, Brooklyn. Site ici.
3. Ground Support, à Soho
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Dans ce quartier envahi de boutiques chics, on est bien content de tomber sur ce coffee-shop convivial, relax et avec des prix décents. A l’intérieur, des tables en bois, et une ambiance très “Brooklyn”. Des adresses comme cela, il n’y en a pas beaucoup à Soho, et l’endroit est souvent bondé. Solution de repli, dans un style très différent : s’installer en face, chez Ladurée. 399 West Broadway. Site ici. 
2. Kaffe 1668, à Tribeca et Midtown
Kaffe1668
Au Kaffe 1668, on fait les choses bien. Les thés – une dizaine de variétés sont offertes –  viennent du Palais des Thés, les cafés viennent de Columbie, de Honduras, du Panama ou du Burundi. Kaffe 1668 vend aussi sa propre gamme de cold-press juice bio et faits maison, avec de l’acai, du kale ou de l’ananas. Trois adresses : 275 Greenwich Street, 401 Greenwich Street et 530 5th Avenue. Site ici. 
1- Stumptown Coffee Roasters (Flatiron, Greenwich)
Ace2 Avec ses hauts plafonds, ses bibliothèques et sa superbe déco rétro, le Stumptown séduit d’emblée. Cette petit chaine de cafés née à Portland, s’est installé à l’intérieur du Ace Hotel, et déborde dans le lobby de cet établissement hipster du quartier de Flatiron. Le café rassemble une population hétéroclite d’étudiants, entrepreneurs pressés et artistes lookés. On se serre sur les canapés en cuir ou autour des tables collectives – tout en se croyant dans un salon. A New York, Stumptown possède un autre emplacement dans Greenwich Village. 18 W 29th (Ace Hotel), et 30 W 8th. Site ici.

Le 8 février à Los Angeles, une soirée "Peace 4 Paris"

7 janvier 2015. 13 novembre 2015. Ces dates resteront gravées dans nos mémoires, souvenir de la barbarie qui a frappé Paris lors des attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan.
C’est pour dire aux victimes qu’on “ne les oubliera jamais” que le L.A French Study Group organise à Los Angeles une collecte de fonds au restaurant le Petit Paris (Downtown), le lundi 8 février à 7pm.
La soirée Peace4Paris sera rythmée par les chansons populaires reprises par le groupe Paris Chansons et des représentations du Cabaret Versatile. Elle se poursuivra par une vente d’art aux enchères, notamment des photos d’Emmanuelle Choussy puis par le partage d’une galette des rois.
Les dons seront reversés à trois associations : l’association française des victimes du terrorisme, la fédération nationale des victimes d’attentats et de catastrophes, ainsi que l’association Rêves.

L'Alliance française de Dallas inaugure ses locaux avec des crêpes

L’Alliance française de Dallas déménage, et elle entend bien fêter ça comme il se doit.
L’organisme de promotion du français invite les francophiles de la ville à l’inauguration de ses nouveaux locaux, au 2eme étage de 10830 N. Central Expressway, et à manger de bonnes crêpes pour fêter la Chandeleur. Les festivités auront le 5 février de 6 à 9pm.

L’entrée est libre. Les crêpes, salées et sucrées, seront offertes par Whisk Crêpes Café qui sponsorise l’évènement. Ces nouveaux locaux doivent permettre à l’Alliance de répondre à la demande grandissante pour des cours de français à Dallas.  “Afin de permettre l’ouverture de plus de classes ainsi que quelques nouveautés, l’organisation avait besoin de plus d’espace pour que les élèves s’y sentent à leur aise avec la possibilité d’inscriptions plus diversifiées” , précise-t-elle dans un communiqué.

Ouverture de la 1ere campagne des bourses scolaires 2016 à Miami

Les parents dont les enfants sont scolarisés dans un établissement homologué au sein de la circonscription consulaire de Miami peuvent à présent demander une bourse scolaire. Le consulat de France à Miami en a fait l’annonce le 19 janvier.
La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 23 février 2016 pour cette campagne qui concerne la rentrée 2016-2017. Cette aide à la scolarité est attribuée aux enfants de nationalité française. Ils doivent en outre remplir certains critères, comme résider avec leur famille (père et/ou mère, tuteur légal), être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire et fréquenter régulièrement les cours

Au sein de la circonscription, les établissements concernés sont l’École franco-américaine de Miami et le Lycée franco-américain.