Ils se sont rencontrés à l’école de musique de Berklee à Boston aux débuts des années 70. John Scofield, compositeur-guitariste et Joe Lovano, saxophoniste, se retouvent une fois de plus le 26 février, pour deux concerts sur la scène du théâtre Raymond Kabbaz du Lycée Français. A leurs côtés, le batteur Louis Nash et le contrebassiste Ben Street.
John Scofield a joué avec les plus grands : Chet Baker, Charlie Mingus, Miles Davis, Herbie Hancock… Joe Lovano est l’un des saxophonistes de jazz les plus reconnus dans le monde, avec une discographie aussi longue que son saxo ténor.
S’ils mènent chacun une carrière de leur côté depuis plus de quarante ans, ils ont aussi travaillé régulièrement ensemble, et ont même sortis trois albums en commun au début des années 90 sous le prestigieux label Blue Note.
Pour les amoureux du jazz, c’est l’événement à ne pas rater. Les deux concerts ont lieu la même soirée.
Deux légendes du jazz en concert au Lycée Français de Los Angeles
En janvier, Emmanuel Ax joue Franck, Berlioz et Boulez au Disney Concert Hall
Saviez-vous que le prodigieux pianiste Emmanuel Ax, né en Pologne et élevé à Winnipeg, Canada, a étudié le français à l’université de Columbia à New-York ?
Visiblement son goût pour la langue et la culture française est encore présent aujourd’hui.
Du 8 au 10 janvier prochain, l’artiste a choisi de jouer les œuvres de trois compositeurs français au Disney Concert Hall de Los Angeles : Hector Berlioz (Le Corsaire), César Franck (variations symphoniques) et Pierre Boulez (Mémorial). Il terminera la soirée avec la symphonie N°2 de Robert Schumann
Ce concert marque le quarantième anniversaire de la collaboration entre Emmanuel Ax et l’orchestre philarmonique de L.A.
"Mustang", qui représente la France pour les Oscars, passe à L.A
Présenté par la France, le film “Mustang” est en lice pour l’Oscar du film en langue étrangère – la sélection définitive sera annoncée mi-janvier. Sa réalisatrice, Deniz Gamze Ergüven, a été formée à l’école de cinéma la Fémis à Paris. Les cinq comédiennes sélectionnées à l’issue de milliers d’auditions sont exceptionnelles.
Dans le nord de la Turquie, cinq sœurs orphelines profitent des plaisirs que la vie leur offre à proximité de la mer, de la nature et des garçons. Mais leur liberté se heurte aux traditions. Petit à petit leur oncle et leur grand-mère les coupent du monde extérieur et organisent des mariages arrangés pour les faire rentrer dans le rang. Leur joie naturelle et leur relation fusionnelle les aide à résister. Malgré cela, cette nouvelle vie aura raison leurs âmes pures et de leurs rêves.
Un film tendu, sensible, où l’on rit parfois. Le message est loin d’être désespéré, même si l’on frémit à la vue de ces jeunes filles sacrifiées au nom d’un système qui semble finalement déplaire à tout le monde.
Dallas relance ses programmes d'after-school en français
Si l’association Education française Greater Houston n’a cessé de croître depuis cinq ans (l’effectif de la « French after school » atteignant désormais 160 élèves), le programme de français langue maternelle de Dallas-Fort Worth peinait, lui, à s’installer.
Avec le départ de la fondatrice de Parlons Français au début de l’été, il fallait trouver un nouveau leadership pour l’organisation.
La communauté francophone de la metroplex s’est donc mobilisée, et les conseillers consulaires Bertrand Pelletier et Damien Regnard ont proposé à une enseignante française rencontrée lors d’une permanence de prendre la direction (bénévole) du projet, qui redémarre officiellement samedi 9 janvier pour les enfants.
Passée par le monde de l’entreprise en France, puis par l’université de Tyler, dans l’Est du Texas, dont elle est sortie diplômée en communication, Mireille Chavanne Boss étudiait justement les options disponibles pour les parents de jeunes francophones.
Mère d’un petit garçon de quatre ans ne parlant français qu’avec elle, elle était intéressée par une alternative à la Dallas International School, « qui est une école extraordinaire mais malheureusement pas à la portée de toutes les bourses », en dépit des aides offertes aux Français les plus défavorisés.
Relancé dans une salle de la Tyler Street United Methodist Church, le programme de français langue maternelle de Dallas souhaite couvrir les besoins des 4-16 ans dès la rentrée 2016-2017, et ce en français langue maternelle comme en français langue étrangère. Le coût de deux heures hebdomadaires est limité à 450$ par semestre de quinze semaines (français langue maternelle).
Un nouveau conseil d’administration composé de francophones et francophiles comme Darryl Baker, ancien membre du conseil d’administration de l’Alliance française de Dallas, a été constitué au mois d’octobre. Parlons Français est devenu Education Française Dallas Metroplex, afin de mieux s’inscrire dans le réseau international constitué par Education Française Greater Houston, Education Française Austin, mais aussi Education Française Bay Area à San Francisco, Education Française New York…
Une série de rencontres avec les autres associations franco-américaines de l’agglomération a permis de s’assurer du soutien de l’accueil francophone de Dallas, l’Alliance française, la Chambre de Commerce franco-américaine… « Et si nous relançons le programme dans le quartier d’Oak Cliff où je réside, Dallas International School s’est déjà déclarée prête à mettre gracieusement à disposition d’Education Française Dallas Metroplex une classe de son campus de Waterview à la rentrée 2016-2017 », annonce de plus Mireille Chavanne Boss.
« La communication autour de la relance a été gênée par les attentats de Paris, qui ont beaucoup touché la communauté francophone et francophile de Dallas-Fort Worth, mais nous continuons de prendre les inscriptions pendant les fêtes », indique Mireille Chavanne Boss, qui semble ravie de s’investir autant dans le projet.
Retraites, coaching, self-help: le business florissant de Christine Lewicki
Christine Lewicki: ce nom vous est-il familier ? Avec son livre “J’arrête de râler”, cette auteure a transformé son challenge (21 jours sans râler) en success story.
“On pensait vendre 10000 livres et finalement, on en a écoulé 250 000 exemplaires”, se réjouit cette coach française, installée à Los Angeles depuis 15 ans. Son ouvrage, paru en 2011, est traduit en cinq langues.
Face à une telle réussite, une question était sur toutes les lèvres. “On me demandait comment un auteur inconnu, qui plus est une femme ordinaire, peut vendre autant de livres”, avoue Christine Lewicki, le sourire collé aux lèvres. Car cette mère de trois enfants compte parmi les dix auteurs de développement personnel les plus influents en France.
Une réflexion sur son succès littéraire
Dans un premier temps, Christine Lewicki explique son succès par son challenge. “J’ai découvert des possibilités en enlevant la pollution des râleries”, précise-t-elle. “Mais je savais que cette réponse était incomplète.” Elle décide alors de réaliser une introspection sur sa réussite, citant volontiers Steve Jobs: “On ne peut pas prévoir l’incidence qu’auront certains événements dans le futur, c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens.” Son livre “Wake up” est né de ce travail, en avril 2014.
Elle y livre ses quatre piliers pour “arrêter de vivre sa vie à moitié endormi”. Le premier consiste à oser être brillant(e). “Pour moi, c’était oser écrire un livre même si j’avais peur de ne pas être à la hauteur”, lâche-t-elle.
Poser des actes à la hauteur de ses ambitions, est le deuxième principe. “Cela consistait à se lever à 6am tous les jours pour écrire mon livre. De même, j’ai poussé mon éditeur à croire au livre, et à développer la campagne publicitaire. Cela a été concluant.”
Troisième pilier : créer sa réalité avec des mots. “Un 31 décembre, j’ai déclaré que j’écrirai un livre. Le dire en public nous oblige à mettre des actes sur les mots.”
Enfin, le dernier principe consiste à prendre soin de sa source. “Il faut protéger son champ de conscience, sa flamme intérieure. Je suis notamment plus sélective dans les médias que je regarde, et je m’entoure de personnes de confiance.”
Prochaine retraite fin janvier à Ojai
Avant d’en arriver à la publication de “Wake Up”, écoulé à 60 000 exemplaires, Christine Lewicki a fait valider ses piliers à vingt-cinq lecteurs, qui ont participé à un séminaire, en 2013, à Poitiers. “Les gens ont été profondément impactés.” Depuis, elle organise ces retraites quatre fois par an.
La prochaine retraite aura lieu à Ojai, sur les hauteurs de Santa Barbara, du 28 janvier au 1er février 2016. Ce travail de groupe (limité à 15 participants) sera ponctué par des ateliers de danse, yoga, méditation, et des randonnées. “Beaucoup de Français font le déplacement depuis la France, mais peu d’expatriés“, regrette-t-elle.
Entre ses livres et ses retraites, Christine Lewicki coache des entreprises françaises telles que la SNCF, la BNP ou Publicis, mais aussi californiennes, comme les laboratoires pharmaceutiques Grifols.
Cette dynamique coach n’est pas prête d’arrêter de nous réveiller.
Avec l'arrivée de Repetto, SoHo devient encore plus français
Si SoHo est désormais surnommé le “French Quarter” de New York, c’est pour une raison : en à peine cinq ans, une dizaine de marques francaises s’y sont installées, comme Comptoir des Cotonniers, Maje, Sandro, APC, The Kooples, Cotélac…
Sur West Broadway, le magasin pour enfants Bonpoint côtoie le salon de thé Ladurée, lui-même mitoyen de la nouvelle boutique Repetto, qui a ouvert ses portes le 15 décembre.
C’est la première fois que la marque parisienne, créée en 1947, ouvre une boutique aux Etats-Unis, assure Ann Magnin, qui s’occupe des relations publiques de Repetto aux USA. “Repetto était déjà présent aux Etats-Unis via différentes détaillants et grands-magasins, mais jusqu’ici, il n’y avait aucune boutique.”
La boutique vaut le coup d’oeil, avec son parquet et ses étagères de chêne, ses lustres, ses grands miroirs surmontés de barres d’exercice, ses banquettes et ses rideaux en épais velours rouge. “C’est un mélange entre l’appartement classique parisien et l’univers de la danse”, illustre Ann Magnin. En fond sonore, on entend les mélodies de Casse-noisette.
Les inévitables ballerines Repetto, toujours fabriquées en France, sont exposées sur des tables rondes, dans de multiples couleurs et matières. Les prix sont ceux du haut de gamme. La ballerine de base, la “Cendrillon” – 95 déclinaisons possibles ! – est vendue 295 dollars (en revanche, elle est à 195 euros sur la boutique en ligne française).
Sont aussi exposés tous les modèles classiques de Repetto : salomés, derbies, chaussures “Zizi” telles que portées par Serge Gainsbourg…
Au fond, on trouve toute une série de vêtements charmants pour la danse (femme et enfants) : justaucorps, pointes, cache-coeur, chemises et pantalons, ainsi que des parfums et une ligne de sac à main en cuir.
Le clou de la boutique, c’est un atelier pour créer sa chaussure sur mesure, avec différentes couleurs et types de cuir, de lacets ou de finitions. Tout est personnalisable, et sa ballerine de rêve, créée en France, arrive en quatre semaines. Coût de cette folie ? Autour de 550 $.
Prynt, la start-up qui veut marier Polaroïd et réalité augmentée
Rien ne vaut un selfie pour expliquer la start-up Prynt. «C’est pour le boulot», se défendent en riant ses deux fondateurs, David Zhang et Clément Perrot, 25 ans, alors qu’une mini photo s’imprime depuis le Pryntcase, la coque dans laquelle ils ont glissé un smartphone.
Prynt commercialise en ce mois de décembre les 15.000 premières unités de ce boîtier qui transforme les smartphones en polaroïdes. La start-up développe aussi une application qui fait revivre ces mini photos papier : scannées par un smartphone, elles s’animent et rejouent une petite vidéo prise au moment de la photo.
«On a eu beaucoup de chance. Ca a été comme un jeu de dominos : chaque rencontre en a permis une autre», résume Clément Perrot, modeste. Lors de leur master entrepreunarial à Berkeley, pour leur dernière année de Polytechnique, les deux jeunes franciliens découvrent qu’ils «forment un bon binôme» avec un intérêt commun : «la photographie, surtout l’instantané».
Intrigués par le regain de popularité de ces appareils rétros auprès de la génération Z (15-25 ans), ils décident en janvier 2014, de «réinventer le Polaroïd, en passant par le smartphone et en intégrant de la réalité augmentée» via l’application.
Première rencontre importante du jeu de dominos : celle de l’équipe du Hardware club (lors du concours Hello Tomorrow challenge). Enthousiasmé par le projet, ce groupe qui aide les start-up hardware prend Prynt sous son aile et lui ouvre les portes de l’accélérateur Haxlr8r, à Shenzhen, en Chine, pour trois mois. David Zhang et Clément Perrot y rencontreront l’un de leurs premiers investisseurs, Avidan Ross (Root Ventures), séduit par l’idée.
Entre la France (pour David Zhang) et la Californie (pour Clément Perrot), Prynt lance début 2015, une campagne Kickstarter et récolte 1,6 million de dollars auprès de 9 000 supporteurs en 35 jours. Un record qui les propulse premiers Français sur la plateforme de financement participatif.
Coup de chance ? Pas vraiment. «Une campagne Kickstarter, cela se prépare», insiste Clément. Notamment «en sollicitant des conseils auprès d’un maximum de gens et en s’entourant des bonnes personnes», un credo mis en pratique à chaque étape de la vie de la start-up.
Par exemple dans la phase d’industrialisation. Après une levée de fonds qui a apporté 2,3 millions de dollars d’investisseurs américains, la production des “Pryntcases” commence en juin 2015. Mais le choix et les relations avec le fabricant sont très importants.
«Il faut traiter le fabricant presque mieux qu’un investisseur», affirme David, pour profiter au maximum de son expertise technique pour la production, ou encore pour la phase cruciale de certification.
L’équipe de Prynt (un vingtaine de personnes, aujourd’hui réunies à San Francicsco) bûche en cette fin d’année pour qu’arrivent, en temps et en heure, depuis la Corée jusqu’aux aux Etats-Unis, en Europe et partout dans le monde, les 15.000 Pryntcases.
Et demain ? Les gros distributeurs américains, ou le marché asiatique, espèrent les deux acolytes. Entousiasmés par le chemin parcouru, ils semblent surtout heureux de continuer à apprendre à un rythme effréné.
Que faire avec les enfants pendant les fêtes à Miami ?
Vous avez deux semaines devant vous avant que l’école ne reprenne le relais. Si vous ne voyagez pas ou si vous faites l’impasse sur le winter camp, on vous a préparé un programme d’activités.
5- Un tour au zoo
Comme souvent, le zoo de Miami déploie un beau programme d’animations pendant les vacances scolaires. Deux événements sont à noter : Holiday gift for the animal et The Zoo lights. Holiday gifts permet aux visiteurs de découvrir les animaux se régaler avec des repas mis en scène. Les éléphants iront décrocher des noix de coco disposées dans leurs arbres, les tortues géantes de Galapagos grignoteront des couronnes de fruits… Vérifiez le calendrier du zoo pour connaître les jours d’animations. Quant aux illuminations nocturnes, elles transforment le zoo à la nuit tombée. Les promeneurs déambuleront sous des milliers d’ampoules dans les arbres et croiseront des sculptures lumineuses.
Animations jusqu’au 30 décembre. Le zoo sera fermé les 24 et 25 décembre. The Zoo lights nécessite un ticket spécial pour entrer de 7 à 10pm. 7$ pour obtenir une paire de lunettes 3D ; 12$ pour avoir en plus des cookies, du chocolat chaud et un tour de carrousel ou 16$ pour obtenir en plus du reste une photo avec Santa (jusqu’au 23 décembre).
The Miami Zoo, 12400 SW 152 st, Miami.
4- Observer les manatees
Les eaux du Pacifique et de l’Atlantique se refroidissant peu a peu avec l’hiver, les lamantins, ou manatees, se dirigent vers les eaux plus chaudes des rivières et se rassemblent en grand nombre. Il existe de nombreux sites d’observation en Floride. Vous pouvez également les approcher en canoë ou parfois même nager avec eux, encadrés par des spécialistes. Deux sites naturels connus valent le détour Lee County Manatee Park à Fort Myers (2h30 de Miami) et Blue Spring State Park à Orange City (4h de Miami). En 1971, Jacques-Yves Cousteau était d’ailleurs venu y filmer les manatees pour son film « Les Dernières sirènes ».
3- A bord du Polar Express
Embarquez à bord du légendaire Polar Express en gare du Gold Coast Railway Museum, près du zoo. Vous êtes invités à monter à bord des wagons années 1950, en pyjama (oui, même les parents) pour déguster du chocolat chaud. La balade dure environ 60 minutes et se termine au pôle Nord où le Père Noël attendra les enfants.
Jusqu’au 27 décembre. Gold Coast Railway Museum 12450 SW 152nd St. A partir de 35$ par personne, tarifs plus intéressants si vous réservez des tables de 4 ou 6 voyageurs. Les enfants de moins de 3 ans voyagent gratuitement sur les genoux de leurs parents.
2- Chanter avec le Grinch
Grand classique des Noëls américains, Dr Seuss’ How the Grinch stole Christmas est incontournable en livre, film, spectacle d’école ou ici comédie musicale ! Max le chien raconte comment le méchant Grinch, dont le cœur est deux tailles trop petit, décide de voler le Noël des joyeux habitants de Whoville.
Jusqu’au 27 décembre, Au-Rene Theater at The Broward Center for the Performing Arts de Fort Lauderdale, de 35$ à 85$ la place.
1- Voir Casse-noisette
Un autre classique du genre mais version ballet : Moscow Ballet’s Great Russian Nutcracker, au Fillmore de Miami Beach. Les danseurs interpréteront pendant 2 heures Casse-noisette. Deux représentations auront lieu le dimanche 27 décembre, à 1pm et 5pm. Entrées à partir de 44$.
Le 27 décembre au Fillmore Miami Beach at Jackie Gleason Theater, 1700 Washington avenue.
Que faire pour les fêtes en famille a Houston ?
Que faire pendant la saison festive à Houston ? Voici quelques idées pour les vacances, pour tous les goûts.
1- Voir The Nutcracker par le Houston Ballet
Ce ballet aux airs si connus (la marche d’ouverture, la valse des fleurs, la danse du chocolat, la danse du café si envoûtante, la danse du thé si exotique, ou encore le pas de deux de la fée dragée) reste un moment de pur bonheur et de poésie. Les enfants sont généralement hypnotisés, et leurs parents revisitent ce conte de Noël avec nostalgie. La vision de l’interminable sapin de Noël richement décoré, émergeant de la scène au début est époustouflante. Une bonne introduction au ballet et à la musique classique, à partir de 4 ans.
Jusqu’au 27 décembre, au Wortham Theater, Downtown Houston. Plus d’infos ici.
2- Visiter le Christmas Village à Bayou Bend
La maison coloniale sise dans un parc de 14 acres, nichée dans une boucle du bayou, est accessible seulement par un pont suspendu illuminé pour l’occasion (les enfants sont fans) et se transforme en un véritable Winter Wonderland.
Performances théâtrales, Christmas Express Train, histoires, chants, holiday crafts…. Pour une visite unique dans un lieu historique exceptionnel. On s’attend à voir Scarlett O’Hara apparaître à tout instant dans cet étincelant décor d’époque.
Jusqu’au 30 décembre, 6-9:30 pm (sauf les 24 et 25 décembre). Plus d’infos ici.
3- Faire un tour au Museum d’histoire naturelle
Outre la serre aux papillons et les expos permanentes sur l’Egypte antique et la section dinosaures, le musée présente en ce moment une exposition Fabergé. L’occasion de découvrir le talent de Fabergé, outre les fameux oeufs commandés par Nicolas II et Alexandre III pour leurs mères ou la Tsarine, entre 1885 et 1917.
Egalement dans le musée : l’exposition Virgen de Guadalupe, et l’histoire de ce tableau qui insuffle l’espoir et inspire la foi à des millions de Sud-Américains depuis 1531.
Enfin, l’exposition Spies, Traitors, Saboteurs: Fear And Freedom In America se penche sur le mythe de l’espion. Plus d’infos ici.
4- Monter à bord du Holiday Train à Hermann Park Railroad
Embarquez pour une balade de 20 minutes en chemin de fer miniature à travers le Railroad de Hermann Park, décoré comme un village de Noël. Prenez ensuite une “cup of cheer” sous forme de chocolat chaud ou de hot apple cider au Pinewood Café juste à côté. Au couchant, l’effet des lumières qui scintillent dans la nuit tombante est spectaculaire.
Jusqu’au 3 janvier. 10am-6pm (10am-3pm le 24 décembre, fermé le 25). Plus d’infos ici.
5- Aller au festival des lumières des Moody Gardens, à Galveston
Avec un million de petites lumières multicolores pour une centaine d’attractions mises en musique, les Moody Gardens sauront charmer l’enfant qui est en chaque adulte, avec aussi une patinoire, Rainforest Pyramid et une nouvelle attraction : Arctic Ice Slide. En outre, 31 artistes ont sculpté en glace les personnages et l’univers de Sponge Bob.
Jusqu’au 10 Janvier; 6-10pm, pour le festival et 10am-10pm pour le reste des jardins et attractions. Plus d’infos ici.
6- Tester le Magical Winter Lights, au Sam Houston Race Park
Découvrez le parc autour de 7 thèmes, illuminé de lanternes chinoises plus grandes que nature et qui représentent les monuments ou symboles les plus emblématiques du monde entier. Magique, comme son nom l’indique.
Jusqu’au 20 janvier. Lundi-Jeudi 5-10pm Vendredi-Samedi : 1-11pm Dimanche : 11am-10pm. 7575 North Sam Houston Parkway West Houston. Plus d’infos ici.
7- Tenter les Zoo Lights au Zoo de Houston, Hermann Park
Deux millions de lumières pour une visite de nuit du zoo : un grand classique. Pénétrez dans un globe de neige géant, admirez le train miniature de collection, et écoutez les chanteurs de “carols” près de Reflection Pool ou en dégustant une tasse de chocolat chaud.
Jusqu’au 9 janvier. Visite de jour : 9-5pm, Zoo lights: 6-10/11pm. Plus d’infos ici.
8- Aller au bal de La Reine des Neige, au Children’s Museum
Un bal sera donné en l’honneur de Snow Queen. Samedi 26 décembre, 1-4pm, au Children’s Museum of Houston.
9- Regarder les illuminations des maisons
Faire un tour de nuit en voiture du côté de River Oaks, Sugar Land, Candle Light Park, et Prestonwood Forest pour comprendre ce que “spectaculaire décor de Noël à l’américaine” veut dire. Plus d’infos ici.
10- Faire du patin
Pour les fondus de patinage, voici une petite liste des patinoires ouvertes :
Galleria Ice Rink, 5015 Westheimer Rd.
The Ice at Discovery Green, 1500 McKinney St
Memorial City Mall, 303 Memorial City Way
Aerodrome, 8280 Willow PLace Dr N.
Sugar Land Ice and Sports Center, 16225 Lexington Blvd
The Ice Rink at Woodlands Town Center, 9606B Six Pines Dr
11-Déguster un vrai chocolat chaud en famille
Hugo’s, 1600 Westheimer Rd, servi avec des churros maison. Les fèves de cacao sont broyées sur place.
Cacao & Cardamom, (5000 Westheimer Rd), Annie Ruani, chocolatier et propriétaire du lieu, confectionne un chocolat comme en Europe. Chocolat en barre et vrac fait maison à la vente au détail.
Common Bond, 1706 Westheimer Rd.Du chocolat Valrhona de Madagascar dans votre tasse, avec une tranche de kouglof. Qui dit mieux?
Kiran’s, 4100 Westheimer Rd. Le chocolat chaud aux épices indiennes (Masala) est une curiosité sympathique.
Down House, 1801 Yale St. Du chocolat Valrhona aussi ici. Dans les heights. Très couru.
12-Assister à un match de basket mythique
Le 25 décembre, les Rockets de Houston jouent contre les Spurs de San Antonio. Une occasion exceptionnelle de voir Duncan et Parker, entre autres, de près (ou presque). Au Toyota Center. 7pm. Plus d’infos ici.
13- Retourner à San Antonio (à 2h30 en voiture)
On trouve des holiday lights sur le River Walk, et le long du King William Historic District. A assortir d’une balade en calèche illuminée, et d’une visite du Winter Wonderland au DoSeum. Plus d’infos ici.