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Embrassez-vous sur Times Square ce 14 août

 
Si vous n’avez rien à faire ce vendredi 14 août, allez embrasser votre belle/beau à Times Square. Le “Times Square Kiss-in”, pendant lequel des centaines de couples sont invités à reproduire le légendaire baiser fougueux d’un marin et d’une infirmière au carrefour du monde en 1945, aura lieu de 11am à 11:30am. La scène, qui a pris place sur Military Plaza exactement, a été immortalisée par Life Magazine.
L’évènement, gratuit, a pour objectif de commémorer la fin de la 2nde Guerre Mondiale et véhiculer un message de paix et d’amour. Les organisateurs en appellent tout particulièrement aux couples dont “les baisers établissent des ponts religieux, politiques, raciaux, nationaux…
Inscription sur le site des organisateurs, la Times Square Alliance.

Où "pécho" cet été à New York?

A l’approche du 15 août, jour le moins excitant de l’année, French Morning honore sa mission de service public en révélant sa cuvée 2015 des endroits où “pécho” à New York. Attention, c’est chaud.
11. Tiki Disco (Bushwick)
Le dimanche, vous pouvez aller au Met. Vous pouvez aussi aller vous déhancher à Tiki Disco à Bushwick, de 2pm à 10pm. DJ, piste de danse, bières, cocktails passables et tacos: ces fêtes dominicales qui prennent place au sein du gigantesque bar-salle de concert The Well, sont propices aux rencontres. Etre hipster est un “plus”. Le prochain Tiki Disco aura lieu le dimanche 16 août. 10 dollars. The Well. 272 Meserole Street Brooklyn. (718) 417-1118. Site ici

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#tikidisco , la fête qui fait danser #bushwick! Venez, c’est maintenant!
Posted by French Morning on Sunday, August 2, 2015

 
10. The Heath (Chelsea)
Le restaurant du McKittrick Hotel, qui accueille l’expérience de théâtre immersif “Sleep no More”, se transforme en boîte de nuit le week-end. Allez-y à la fermeture du rooftop de l’hôtel, le Gallow Greens, qui se trouve juste au-dessus. 542 West 27th Street – Site ici

Credit: Giafrese

9. Bossa Nova (Bushwick)
Ne vous attendez pas à écouter de la bossa nova dans cette boîte de nuit un peu loufoque. Vous pénétrez ici dans l’underground brooklynite. On y écoute du gros son électro, on se fait payer des cocktails et on danse collé-serré jusqu’au bout de la nuit. L’intérieur est rempli de fumée, ce qui fait qu’on ne voit pas à plus de 10cm devant soi. Idéal pour passer une soirée incognito (et avoir les mains baladeuses)… 1271 Myrtle Ave, Brooklyn. (718) 443-1271. Site ici
Credit: Bossa Nova – Facebook

8. Lovegun (Williamsburg)
Williamsburg ne compte pas beaucoup de bars-boîtes gays. Lovegun, ouvert par le Français Benjamin Maisani, a ouvert ses portes l’an dernier. On aime beaucoup l’ambiance retro de ce club (regardez les néons!). Lovegun- 617 Grand Street. (718) 388-3441. Site ici
LOVEGUN
7. The Woods (Williamsburg)
The Woods, c’est un grand bar qui s’ouvre sur un backyard, où il est possible de discuter à peu près tranquillement. A l’intérieur, laissez vous porter par la musique et l’imprévu. 48 S 4th St, Brooklyn. (718) 782-4955. Site ici

6. Le Baron (Chinatown)
Ce club de Chinatown, dont le nom est bien connu des clubbers parisiens, n’est clairement pas le plus grand de New York, mais c’est là son avantage. Ici, on danse serré. Il attire une foule internationale, européenne en particulier. 32 Mulberry St. (212) 962-2545. Site ici
Le Baron / Facebook

5. Franklin Park (Crown Heights)
Crown Heights (Brooklyn) bouge et Franklin Park est à son image. Toute la jeunesse de ce quartier en plein boom s’y retrouve pour danser et boire des verres. Si vous souhaitez être tranquille avec votre conquête après avoir foulé le “dance floor”, asseyez vous à l’une des tables dans la cour. 618 St Johns Pl, Brooklyn – (718) 975-0196. Site ici
Credit: Franklin Park

4. Wine and Roses (Upper West Side)
Bar à vin chic où les filles se retrouvent pour parler des mecs, et où les mecs se retrouvent pour parler des filles. 286 Columbus Ave – 212-579-9463. Site ici
Facebook

3. Le Bain (Meatpacking)
Comment ne pas citer ce haut-lieu de la nuit dans le « Meatpack », au Standard Hotel? Détail important: il a une piscine! De quoi rafraichir vos ardeurs, ou les réchauffer. 848 Washington at 13th Street – (212) 645-4100. Site ici
Credit: Neil Aline

2. Baby Grand (Canal Street)
Un bar très étroit qui propose du karaoké: rien de tel pour rapprocher. 161 Lafayette St- 212-219-8110. Site ici
baby grand
1. Miss Favela (Williamsburg)
C’est notre éternel numero 1. Ce bar brésilien est chaud, très chaud. Sa délicieuse caipirinha et sa musique live « caliente » y sont peut-être pour quelque chose. 57 S 5th St, Brooklyn- 718-230-4040. Site ici
Credit: @copperbite

Avec Magali Homo

Élisez le meilleur burger de New York au South Street Seaport

Quel est le meilleur burger de New York ? C’est une question difficile. Toutes sortes de “top” passent régulièrement sur les réseaux sociaux. Pour s’en sortir, pourquoi ne pas goûter vous-même ? Time Out vous propose de tester et d’élire le meilleur burger de la ville, parmi les 20 plus cités. Rien de moins!
Pour participer à ce “Battle of the Burger”, rendez-vous le mercredi 19 août au South Street Seaport de 5:30 pm à 10:30 pm (la soirée est divisée en deux sessions, à vous de choisir laquelle). En vous inscrivant, vous aurez la possibilité de manger ces fameux burgers et de pouvoir dire lequel est le meilleur. Le tout pour $50.
 

A Los Angeles, une collectionneuse de films français

“J’ai envie de faire découvrir aux Américains des films français un peu moins connus.” Telle est l’idée derrière La Collectionneuse, un concept lancé par Kalyane Lévy (ci-dessus), une Lyonnaise de 27 ans installée à Los Angeles depuis trois ans. Une fois par mois, elle organise la projection d’un film français au Ciné Family. La prochaine séance aura lieu le 16 août.
Le projet est né d’un constat : passionnée par les films en noir et blanc français, Kalyane Lévy se rend compte à quel point il est difficile de trouver ce genre de cinéma aux États Unis, “malgré la grande ouverture de cette ville aux différents genres de cinéma”.
Elle travaille alors au Ciné Family – “je vendais du pop-corn et des tickets”. Rapidement, l’ancienne étudiante en médiation culturelle souhaite partager sa passion pour le cinéma français et “monte dans la hiérarchie” , ce qui lui permet de lancer ce concept.
Aujourd’hui, Kalyane Lévy est programmatrice pour le Ciné Family et prépare ces soirées. Lors de la première édition, pour marquer l’ouverture, elle a projeté un court-métrage avant le début du film. “C’était une sorte de montage, pour sortir du kitch français. Il y avait des extraits de ce qui fait la France aujourd’hui, de Camus au Grand Journal.” 
Un film, une soirée, un thème
Le Ciné Family laisse la jeune Française organiser une soirée à thème en fonction du film projeté. Une réception est organisée, un DJ ou des musiciens viennent jouer. “La première fois, c’était pour “Le sang d’un poète” de Jean Cocteau, on était tous habillé en noir et blanc, on avait décoré le patio… La salle était pleine, il y avait du monde jusque dans les escaliers.”
Le 16 août, ce sera la quatrième fois. Au programme : “Casque d’or” de Jacques Becker, et pour le cocktail “on va créer une guinguette dans le patio, un accordéoniste va venir…”

Connaisseurs ou amateurs, les projections sont ouvertes à tous. Avec l’aide du Consulat de France – qui co-présente les évènements- et la renommée du Ciné Family, le rendez-vous a pris tout de suite auprès du public. Plus de 150 personnes se déplacent à chaque fois. “Même si les gens ne connaissent pas le film projeté, ils nous font confiance”, explique avec enthousiasme Kalyane Lévy.
Cet engouement autour des films français donne à rêver à cette cinéphile : “Je me surprends à rêver d’une série (de films ndlr) basée sur Les Cahiers Du Cinéma, les festivals européens…” Los Angeles semble un endroit idéal pour cela.

Ambiance Woodstock au Broward Center de Miami

Si vous allez au Broward Center vendredi 14 août, soyez sûrs de mettre des fleurs dans vos cheveux. Hippie Fest prend ses quartiers pendant plus de trois heures.
Pendant cette soirée très “Sixties”, l’ambiance de Woodstock ne sera pas loin. Plusieurs figures connues de la génération “hippie” feront le déplacement pour l’occasion. Le programme comprend Rick Derringer (“Rock and Roll Hoochie Koo” et “All American Boy”), Mitch Rider & the Detroit Wheels (“Devil with a Blue Dress” et “Sock it to Me”) et Joey Molland (“Baby Blue” et “Without You”). L’événement coïncide avec le week-end du concert historique de Woodstock.
 

Des conseils pour lancer un business en Floride

Comment se lancer en Floride? Pour vous aider à répondre à cette grande question, la FACC (French American Chamber of Commerce) de Miami organise sa prochaine “Rencontre Experts” le mardi 25 août au Conrad Hotel.
Avocats d’immigration, spécialistes de fiscalité et de droit du travail, agents immobiliers et assureurs seront réunis dans une salle pour répondre à vos questions.
Inscriptions obligatoires.

Deux Français lancent un planificateur de road trip aux USA

Elle planifie une excursion en pédalo en forme de cygne (la preuve ci-dessus) pendant qu’il se lance des défis culinaires du style bifteck frit, et tous deux prennent moult photos. Voilà, en apparence, le genre d’expériences que peut vivre un couple de Français en road trip dans le Sud-Ouest des Etats-Unis.
Mais si Delphine Givord et Jean-Philippe Cavaillez sont particulièrement organisés et possèdent autant d’appareils photos, c’est parce que ces deux trentenaires sont désormais voyageurs professionnels. Pour leur cinquième road trip aux Etats-Unis en cinq années consécutives, ces deux journalistes en congé sabbatique de leur quotidien régional du Jura ne se contentent plus de chroniquer leurs voyages sur leur blog AlaFinDeLaRoute.com.
“Premier planificateur francophone de road trip”
Ils viennent de lancer Lost In The USA, un site où l’on peut désormais retrouver tous leurs billets, dûment localisés sur une carte interactive des Etats-Unis, à partir de laquelle on peut créer sa “bucket list” et planifier son road trip.
Cet outil, présenté comme « le premier planificateur francophone pour préparer son roadtrip aux Etats-Unis », « c‘est celui qu’on aurait aimé avoir quand on préparait nos voyages, explique Delphine Givord, alias Falbalala. On a toujours fait beaucoup de lectures, surfé pendant des heures, compilé de mutiples documents Word, estimé une infinité de timings, selon le tracé d’autant d’itinéraires… L’idée, avec LostInTheUSA.fr est de tout mettre sur une carte où l’on peut retrouver toutes les infos dont on a besoin dès qu’on a accès à internet. »
Infos pratiques, suggestions, articles…
Avec la solution MapBox, également retenue par des homologues américains tels que RoadTrippers.com, on peut afficher articles, informations pratiques, suggestions d’activités, de restaurants et d’hébergement directement depuis la carte, et découvrir les attractions à proximité.
Certaines fonctionnalités du site sont encore en cours de développement. Sept personnes ont participé à son lancement. “Nous y avons investi une bonne partie de nos soirées et week-ends ainsi que la totalité de nos économies qu’à partir du moment où l’on a eu la certitude de pouvoir partir en congé sabbatique, en janvier. »
En parallèle, les deux blogueurs/startupeurs ont entamé jeudi 6 août à Austin, la capitale du Texas, un road trip de trois mois dans le Lone Star State, au Nouveau Mexique, dans l’Utah, le Wyoming, l’Idaho, le Nevada et l’Arizona. Objectif: emmaganiser de la matière pour le blog et « publier 300 fiches-lieux d’ici à la fin de l’année contre 75 aujourd’hui », annonce Jean-Philippe Cavaillez.
Des commissions issues des ventes réalisées après avoir visité le site doivent, seules, permettre de rentabiliser l’initiative. « Nous avons évité les partenariats avec les groupes hôteliers ou autres, car nous voulions garder notre liberté », explique Delphine Givord. Bon voyage!

A Miami, les fesses de bébé peuvent remercier deux Françaises

Le liniment oléo-calcaire n’est pas la première chose qui vient à l’esprit quand on demande à des amis de nous apporter quelque chose de France. Pour Fanny Mezeau et Cécile Largeau, deux doulas françaises installées à Miami depuis plusieurs années, ça l’est.
Le liniment oléo-calcaire est un produit naturel à base d’huile d’olive et d’eau de chaux qui a des propriétés apaisantes et antiseptiques, largement recommandé pour l’hydratation de la peau des bébés lors des changements de couche, entre autres. Pour faire découvrir ce produit aux Américains, elles ont lancé en avril la Petite Crème, une crème à base de ce précieux mélange. Un projet qu’elles financent elles-mêmes.
« Aux Etats-Unis, les mères ne connaissent pas le liniment oléo-calcaire! En revanche, on trouve des rayons entiers dans les drugstores de pommades traitantes alors que ce simple produit a une action préventive qui n’est pas nocive pour les bébés. En effet, les mères américaines utilisent principalement des lingettes toutes faites qui leur semblent plus pratiques » , explique Fanny Mezeau.
Aux Etats-Unis, le liniment est utilisé pour soigner les bobos notamment, et n’est pas fabriqué avec des produits naturels, contrairement à la Petite Crème qui est sans parabène ni parfum, soulignent les deux doulas.
“Les jeunes mères sont perdues”
Le marché semble encore confidentiel et elles n’envisagent pas de levée de fonds pour le moment. « Si nous avons des commandes importantes voire hors normes, nous y penserons mais notre priorité actuelle est la formation des mères » , poursuit Cécile Largeau.
Les deux entrepreneuses ont commencé les salons. Elles développent déjà une clientèle à New York et Los Angeles.
Même si 2.000 bouteilles doivent être vendues par an pour prétendre à la rentabilité, leur but premier est faciliter la vie des mères et des bébés. « A la sortie de la maternité, les jeunes mères sont perdues et ne savent pas trop comment faire alors elles utilisent les lingettes données par les groupes industriels, raconte Cécile Largeau. Nous aimerions les aider à avoir une vie plus saine et aussi moins coûteuse. »
 
 
 
 

Avec Gregory Porter, Los Angeles chante le blues

Une voix blues, un rythme cadencé, des influences jazz… Gregory Porter sera les 28 et 29 août au Hollywood Bowl.
Son dernier album, “Liquid Spirit”, sorti en 2013, a remporté le Grammy Award du Meilleur album de jazz vocal.


Avec ce disque, le chanteur confirme son succès aux Etats-Unis mais aussi en Europe. Il a également collaboré avec des groupes d’electro comme Disclosure avec qui il signe un titre au rythme chaloupé. C’est l’heure de “shaker son booty”.


Un condensé de bonne humeur qu’on écoute à fond au casque dans le métro, dans la ville en allant au travail, ou même au boulot… des chansons colorées qui vous donnent la pêche.

Batman attendu au Bat Fest d'Austin

C’est l’un des rares moments dans l’année (avec Halloween) où l’on peut être fier de ressortir son vieux déguisement de Batman.
Le traditionnel Bat Fest d’Austin reprend ses droits, le samedi 22 août sur S. Congress Avenue. Les organisateurs promettent cette année que plus d’un million de chauves-souris s’envoleront de l’Ann Richards Congress Avenue Bridge au crépuscule. Trois scènes de musique, des stands de nourriture, 75 vendeurs d’arts et de produits artisanaux, et un concours de déguisement de chauve-souris vous y attendent à partir de 4pm jusqu’à minuit.
Batman a prévu de passer en batmobile s’il a un trou dans son emploi du temps.

Coup dur pour le campus de la FASNY à White Plains

Les supporters du futur campus de la FASNY (French American School of New York) à White Plains se mettent en ordre de bataille, une semaine après le rejet de leur projet par le conseil municipal de White Plains. L’école s’apprête à poursuivre le conseil en justice pour faire aboutir la construction de ce campus qui doit regrouper, à l’horizon 2019, les trois sites actuels de l’école franco-américaine du Westchester sur le terrain d’un club de golf désaffecté.
Le dossier doit être déposé dans les “7 à 10 jours” devant la cour suprême de l’Etat de New York, selon Geoffrey Thompson, que la FASNY a recruté pour assurer la communication autour de ce projet immobilier d’envergure. Une procédure sera probablement entamée auprès d’un tribunal fédéral, mais M. Thompson n’a pas souhaité donner plus de détails.
C’était une surprise. Le conseil municipal a fait une erreur” , estime pour sa part John Botti, un des membres du conseil d’administration de la FASNY, ardent défenseur du projet. “Mais d’une certaine manière, c’est une bonne nouvelle. La politique locale est terminée. Un juge et la loi vont trancher à présent” .
Allongement du temps d’intervention des pompiers
Le feu rouge du conseil municipal marque un rebondissement majeur dans ce dossier, qui oppose depuis cinq ans l’école franco-américaine à ses voisins, réticents à l’idée de voir un établissement scolaire s’installer à Gedney Farms, un quartier résidentiel tranquille de White Plains. Ces derniers sont allés jusqu’à saupoudrer les pelouses bien tondues du quartier de pancartes “FAS-NO”.
Lire aussi: La FASNY avance en terrain miné à White Plains
Mercredi 5 août, le “common council” de White Plains a voté 4-3 en faveur du projet, mais il fallait un vote favorable de plus pour obtenir la “super majorité” nécessaire à la validation finale. Les opposants au futur campus ont argué que la fermeture partielle d’une route par l’école allait accroitre de quelques secondes le temps d’intervention des pompiers dans le voisinage.
A mon sens, l’allongement du temps d’intervention, comme noté par le Département de Sécurité publique de White Plains , n’est pas raisonnable pour les habitants de Gedney, a commenté la conseillère municipale Nadine Hunt-Robinson, qui a voté contre le projet, sous les applaudissements de la salle du conseil pleine à craquer pour entendre la décision. Quand votre maison brûle, chaque seconde compte” .
“Une erreur”
La FASNY a estimé dans un communiqué qu’il “était dommage que trois membres de ce conseil ont pensé qu’il était opportun d’engager la Ville (de White Plains) dans un bataille judiciaire inutile et chère qu’elle va perdre, et qui va coûter au contribuable de White Plains d’importantes sommes d’argent” .
Lire aussi: Voir le projet de campus en PDF
Les coûts de la défense dans ce genre d’affaire sont élevés, explique Geoffrey Thompson. Nous allons aussi demander des dommages au conseil” , soit “des millions” de dollars.
La FASNY est une bonne école. Ses élèves ont 100% de réussite au bac, souligne John Botti. Il reviendra à la cour de réparer cette erreur” .
John Sheehan, le président de Gedney Association, le groupe de riverains qui a mené l’opposition contre le projet, n’a pas pu être joint directement. Sur son site, l’association espère que la FASNY “avancera” . “Si la FASNY décidait malheureusement de poursuivre la Ville, nous pensons que la Ville vainquera comme elle a donné à la FASNY toutes les opportunités de montrer que son plan était faisable.
 

Un guide français pour affronter le supermarché américain

Lorsqu'Estelle Tracy s'est rendue pour la première fois dans un supermarché américain, elle était déprimée et déboussolée.
"Je ne m'attendais pas à un tel choc culturel ! Même les lessives n'étaient pas les mêmes !", raconte cette Française de 36 ans, qui s'est installée au sud de Philadelphie en 2002. Et puis, elle s'est habituée. Elle a (un peu) compris comment s'organisaient les rayons, trouvé les équivalents des produits qu'elle utilisait en France, découvert des marques ou des nouveaux produits de très bonne qualité...
De toutes ses observations, Estelle Tracy, qui tient depuis plus de dix ans le blog le Hamburger et le Croissant depuis sa maison de Kennett Square, en a fait le Guide de survie alimentaire aux Etats-Unis, un ouvrage en français, paru juste avant l'été. Cet ensemble d'une quarantaine de pages (disponible en version papier ou numérique) constitue une sorte de feuille de route pour affronter le supermarché américain.
Décrypter le rayon oeuf
Il y est question des différents produits laitiers et yaourts (si chers...) que l'on trouve aux Etats-Unis, des types de pâtes à tarte, de levures, de sucres... On apprend à décrypter le rayon oeuf (pourquoi sont-ils blancs ?),...