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La Maison de l'Eclair, la start-up qui dévergonde l'éclair

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Si vous pensiez tout savoir sur les éclairs, vous risqueriez d’être surpris. C’est en s’inspirant de son péché mignon pour les fameuses pâtisseries françaises que la jeune entrepreneuse Cynthia Balli a lancé la Maison de l’Eclair en janvier dernier. Sur le concept d’une « pâtisserie en ligne », la marque propose des “boîtes d’éclairs” pour divers événements (baby showers, meetings d’entreprises…).
Pour donner vie à son projet, la jeune femme a puisé dans ses souvenirs d’enfance. «Les éclairs ont une vraie valeur sentimentale pour moi, c’est mon dessert préféré depuis que je suis toute petite» raconte-t-elle. A New York, où elle s’installe en 2011 après une formation en management à la prestigieuse Ecole hôtelière de Lausanne, l’entrepreneuse choisit de développer ses “boxes” dans le service aux entreprises et l’évènementiel.
«Pour l’instant, on livre en majorité à Manhattan. C’est énorme, il y a des milliers de bureaux, ça a un très grand potentiel, explique-t-elle. Les Américains sont très enthousiastes et ont toujours envie de goûter des nouveautés, et surtout ce qui est français » .
Pour séduire, elle n’hésite pas à faire preuve d’originalité. Parmi les 19 recettes de la carte, on note le « crème et saumon fumé » -coup de cœur de la rédaction- le « Lemon tart » méringué, ou encore le « Peanut butter & jelly », particulièrement prisé des Américains. «Tout est fait à la main, de la pâte aux finalisations » explique-t-elle.
Après avoir récemment créé des boîtes à thème – les « fish lovers », « meat lovers », « California love » et « Parisian lunch box », avec la possibilité de personnaliser ses éclairs – elle espère voir ses pâtisseries proposées dans plusieurs cafés new-yorkais.

Grande surprise: les USA étrillent la France 82-0 en foot américain

On savait que la France n’était pas une nation de foot américain. Mais à ce point… Les Etats-Unis ont infligé aux Bleus une sévère défaite 82-0, mercredi 15 juillet, en demi-finale des championnats du monde de l’IFAF, la fédération internationale de football américain, qui se déroulent à Canton (Ohio).
C’est la victoire américaine la plus nette depuis la création de cette sorte de coupe du monde du foot américain. En 2007, Team USA avait corrigé la Corée du Sud 77-0. Mais les Français peuvent se rassurer: ils n’ont pas essuyé la plus lourde défaite de l’histoire de la compétition. En 1999, le Mexique avait battu la Finlande 89-0.
Les Américains ont marqué un “touchdown” lors de toutes leurs douze premières possessions de balle “et la seule raison pour laquelle ils n’ont pas marqué lors de leur 13eme est uniquement parce qu’ils ont joué la montre” , ironise le Huffington Post. Les Bleus devraient les remercier!
Il faut dire que les pauvres Français étaient privés de leur Quarter back, Paul Durand, ce qui n’a pas arrangé leurs affaires. Ils devront se remette de leurs émotions pour affronter le Mexique pour la 3eme place. “Et ce n’est pas comme si la France était la pire équipe au monde. Ils ont battu l’Australie 53-3 et la Corée du Sud 47-6 ” , note tout de même le site spécialisé SB Nation. Le football américain ne s’appelle pas ainsi pour rien.
 

Un livre pour devenir belle comme une Française

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Mathilde Thomas, la co-fondatrice de Caudalie, quitte New York pour l’Asie, pour accompagner le développement de la marque. Mais elle ne voulait pas partir sans laisser un petit cadeau aux Américaines: un livre de conseils en beauté, The French Beauty Solution, sorti le 14 juillet.
C’est vraiment mon héritage pour ces cinq ans à New York, je voulais clôturer mon séjour avec ça“, dit-elle.
Trop de maquillage
A l’origine, un constat : les Américaines ont une approche de la beauté différente de celle des Françaises. Elles recherchent un résultat immédiat. Mathilde Thomas s’est rendu compte de cette différence dès son premier camp américain à 11 ans. “Les roomates américaines sont arrivées avec douze bouteilles de laque et beaucoup de maquillage (…). On n’avait jamais vu ça. Nous, on était venues avec une crème solaire Roche Posay et puis un petit bronzer terracotta de Guerlain pour avoir bonne mine et c’est tout“.
Depuis qu’elle s’est s’installée aux Etats-Unis en 2010, Mathilde Thomas a rencontré 5.000 femmes américaines pour le développement de Caudalie et s’est rendu compte que leurs habitudes de beauté étaient trop compliquées, parfois désagréables et/ou ruineuses et pas pour autant efficaces.
Camera ready
Elles dépensent souvent beaucoup en maquillage mais “elles ne comprennent pas le soin pour la peau, explique-t-elle. Elles ne se démaquillent pas forcément avant d’aller au lit, elles ne comprennent pas qu’il faut mettre un sérum, qu’il faut se démaquiller avant de mettre de la crème sur le visage“.
Très volontaires, elles recherchent autant la perfection de leur maquillage que de leur légendaire cheveu brillant. “Les Américaines sont toujours camera ready, observe Mathilde Thomas, c’est-à-dire maquillées comme pour une séance de photo. Mais elles n’ont pas dans leur culture les notions de soin-plaisir et de préservation du capital que les Françaises se transmettent de mère en fille.
Faire l’amour
Mathilde Thomas partage donc dans ce livre les secrets d’une routine de soins-beauté à la française qu’elle a appris jeune fille et développés par son travail. On y apprend notamment comment prendre soin de sa peau et de ses cheveux, réaliser une cure de trois jours à base de raisin, ou encore se confectionner des masques avec des produits naturels. Au delà du rituel-beauté, elle explique que bien manger, se relaxer et faire l’amour rend aussi les femmes plus belles ! Et aussi: sa grand-mère lui conseillait aussi un verre de vin chaque jour. On est bien d’accord.
 

Le mythique Mark Knopfler en concert à Fort Lauderdale

“Sultan of swing”, “Sailing to Philadelphia” et “Brothers in arms” , c’est lui. Mark Knopfler, l’ex-leader des Dire Straits – revient sur scène avec un nouvel album, “Tracker”qu’il présentera lors d’un concert à Fort Lauderdale le samedi 31 octobre à 8pm.
Près de 20 ans après la séparation du groupe de rock culte et une carrière solo bien entamée, “l’homme tranquille du rock ’n’ roll” poursuit sa tournée, commencée depuis le 15 mai. Sur des morceaux de guitare qui ne sont pas sans rappeler ceux de ses premiers succès, l’album s’ouvre sur le morceaux “Beryl”, dédié à l’écrivaine Beryl Bainbridge, et se termine par un duo avec la chanteuse folk Ruth Moody. Cet opus succède à “Privateering” (2012), “Get Lucky” (2009) et “Kill to Get Crimson” (2007).
 

Comment investir dans l’immobilier aux USA depuis la France ?

Qui n’a jamais rêvé d’avoir un petit pied à terre à New York ou un grand chez soi à L.A. ? D’investir dans l’immobilier afin de faire fructifier ses économies ? Joindre l’utile à l’agréable est tout à fait possible sans bouger de France. Ou presque.
Première étape : faire appel à un agent immobilier ( c’est le vendeur qui paie), éventuellement francophone. « Si vous n’en connaissez pas, vous en trouverez sur les sites de brokers, explique René Fauchet, agent et conseiller en investissement immobilier à New York, chez Douglas Elliman. Il faut l’appeler, lui poser les bonnes questions : quelle est sa spécialité ? Travaille-t-il plutôt avec des investisseurs ou des vendeurs ? A-t-il déjà vendu à des Français ?…. ». Il est important également de s’assurer qu’il est entouré d’une équipe de spécialistes – avocats, CPA  soit expert-comptable, assureur – francophones, qui peut conseiller le futur acquéreur sur la meilleure structure légale à adopter.
On peut multiplier ces prises de contacts, mais une fois que le choix s’est porté sur un agent, rien ne sert d’en consulter d’autres : tous travaillent à partir du même listing. Sur les mêmes produits.
Dans un second temps, l’acheteur doit se faire expliquer en détail la procédure américaine, sensiblement différente de la française. Etre bien préparé permet d’agir très vite, condition essentielle à New York entre autres pour ne pas rater la vente. Ainsi, il paraît impératif de savoir déjà exactement comment financer ce bien si l’on ne possède pas la somme. D’une part car il est possible que l’agent vous demande, avant même d’avoir fait une offre, de procéder à l’ouverture d’un compte en banque aux Etats-Unis avec le dépôt de 10 % de la somme que vous comptez dépenser, (“deposit”). Ce montant correspond à ce que vous devez verser  lors de la signature du « contract », sorte de  promesse de vente. Cela lui permet de voir si la démarche est sérieuse. D’autre part, il faut savoir que les banques aux Etats-Unis n’accordent que très peu et très difficilement de prêts aux étrangers qui ne disposent ni de green card ni de credit history. Le plus simple consiste donc à emprunter auprès d’une banque française. «  Le grand avantage de ce type de financement est que le Français est alors considéré comme un cash buyer, remarque René Fauchet. Il multiplie ses chances de mieux négocier et de voir son offre acceptée ».
La troisième étape, la visite virtuelle, reste l’une des plus agréables. Un listing d’appartements et de maisons sélectionnés sur les critères pré-définis tels que le prix, le quartier, les charges… est envoyé à  l’acquéreur. A lui ensuite d’opérer des choix. Et de se préparer au voyage. « A ce stade, affirme René Fauchet, je demande au client de se rendre immédiatement disponible pour passer deux ou trois jours ici et choisir un bien. Puis, de faire immédiatement une offre. » Ce déplacement s’avère aussi l’occasion de rencontrer toute l’équipe et, le cas échéant, d’ouvrir un compte en banque et se mettre en règle avec l’administration. En obtenant par exemple le fameux ITIN, ce numéro d’identification fiscale du contribuable attribué aux étrangers. Une fois ces démarches effectuées, le client peut repartir en France. Si l’offre est acceptée, les avocats entrent alors dans la partie. C’est eux qui font office de notaire. En quelques jours, ils rédigent un contrat où figurent le prix, la date de signature de l’acte de vente, le Closing, et le jour d’entrée dans les lieux. La négociation inclut aussi d’éventuelles conditions suspensives. Puis, on signe chez son avocat ce « contract » qui oblige de déposer sous séquestre chez l’avocat du vendeur 10 % de la somme due. A ce stade, vous êtes représenté par votre avocat. Pour un achat sans crédit, le délai entre l’acceptation de l’offre et la signature finale est de 4 à 8 semaines. Là, l’acheteur peut demander à se faire représenter par son avocat. C’est durant cette signature qu’il va falloir régler tous les «  closings costs » qui comprennent les frais d’avocats, d’enregistrement et diverses taxes fédérales et/ou de l’Etat et de la ville dans lesquels le bien se situe.
Souvent, l’investisseur cherche à louer son bien ne serait-ce que pour payer les impôts et l’éventuel crédit. Là encore, le “broker” peut intervenir en trouvant un locataire à qui il fait signer le bail d’un an renouvelable. Et c’est une société de gestion de biens qui collecte les loyers et règle les impôts pour le compte du propriétaire.
Lire aussi: Comprendre l’immobilier aux USA

Elton John au festival Outside Lands à San Francisco

Comme chaque année, le Golden Gate Park s’apprête à connaitre un lâcher de stars et de bouffe. Elton John, Chet Faker, the Black Keys, Kendrick Lamar sont attendus à la 8ème édition de l’Outside Lands festival, du vendredi 7 au dimanche 9 août.
Au total, prés de 50 artistes sont au programme. Le festival se veut aussi culinaire : plus d’une centaine de restaurateurs seront présents pour faire déguster spécialités et vins régionaux. Plusieurs conférences et repas thématiques auront lieu en marge des festivités dans le cadre du Gastromagic. Pour varier les plaisirs, un chapiteau géant est aussi prévu spécialement pour les “Comedy shows”. Rire, boire, manger, chanter… que demande le peuple!

C'est l'heure du shopping: la Renegade Art Fair revient

La Renegade Art Fair n’a jamais aussi “bien et importante“, c’est en tout cas ce que jure la promo. Vous aurez l’occasion de le constater si vous vous y rendez les samedi 18 et dimanche 19 juillet au Fort Mason Center.
Cette grande foire de “makers” offre une belle opportunité de faire le plein de produits artisanaux (vêtements, accessoires, savons…) et de participer à des ateliers de DIY (“Do It Yourself”). Grande nouveauté cette année: la tenue d’un marché qui aura lieu la veille de l’ouverture officielle, le 17 juillet de midi à 5pm. Pièces de céramique, produits de bain, papeterie, bijoux vous y attendent.

Virginie Striebel quitte la direction de la FACC Houston

Virginie Striebel, directrice exécutive de la French-American Chamber of Commerce (FACC) de Houston, a annoncé son départ de l’institution. “Après trois ans à la chambre, ce n’est pas facile de quitter un travail aussi fascinant et une organisation aussi bonne. Malgré tout, il est temps de passer à un nouveau chapitre de ma vie” a-t-elle indiqué dans un message envoyé le 10 juillet.
Ce nouveau chapitre, a-t-elle dit à French Morning, c’est un poste de directeur Amériques au Greater Houston Partnership (GHP), un groupe qui a pour objectif de promouvoir les investissements et l’emploi à Houston et sa région. Mme Striebel avait pris les commandes de la FACC Houston en mai 2013, après une année au sein de l’organisme comme manager de projet.
Craig Reed, consultant dans le secteur de l’énergie, assurera l’intérim jusqu’au recrutement d’un nouveau directeur.
 

Chopin, Debussy, Satie et d'autres ont rendez-vous à Caffe Vivaldi

Caffe Vivaldi se met à l’heure du classique français. Dès le 26 juillet, et tous les dimanches de 4 à 5:30pm jusqu’au 30 août, le pianiste Emir Gamsizoglu et son petit orchestre “Classical for all” se produiront dans le légendaire café de Greenwich. Entre les murs de briques recouverts de photos anciennes, cette série de concerts, “Chopin and Frenchies”, reprendra des oeuvres de Chopin, Debussy, Saint-Saens, Eric Satie, Ravel, Faure et Rameau.
Le pianiste compositeur classique turque est venu finir ses études de musique au City College of New York (CUNY) en 2009 avant de s’y installer définitivement. Il s’est déjà produit au Caffe Vivaldi en 2014 en y démarrant une série de concerts de musique de chambre intitulée “Schubertiades”.

Les lauréats de la Bourse Serge Bellanger dévoilés

Dix mille dollars, c’est le montant offert chaque année aux grands gagnants de la bourse Serge Bellanger, nommée ainsi en l’honneur de l’ancien président de la French American Chamber of Commerce (FACC) de New York.
La bourse franco-américaine de la French-American Chamber of Commerce Foundation est accordée à des étudiants américains acceptés en MBA (Master Business Administration) en France ou des étudiants français acceptés dans le même master aux Etats-Unis.
Cette année, ils sont dix, dont quatre Américains (Ryan Bates, Michael Ellis, Priyanka Mathew et Michael Thomson) et six Français (Clément Bellec, Sofia Berrada, Stéphane Fisch, Melanie Merlet, Gilles Oubuih et Louis Westphalen).
Les étudiants américains iront à l’école de commerce HEC. Les six étudiants français se rendront quant à eux dans différents grandes universités (Harvard Business School, Cornell University, Stanford, MIT et Wharton notamment).

Speak Easy à Flute le 27 juillet

Les soirées Speak Easy, lancées par French Morning au printemps, n’en finissent pas de grandir. La prochaine est à Flute Gramercy le 27 juillet. Et pour la première fois avec un tarif “moins de 30 ans”.
Le principe est simple: la moitié des participants est de langue maternelle française, l’autre moitié “English native speakers”. 
Chaque francophone discute pour 14 minutes avec un anglophone: les sept premières minutes de conversation se passent en anglais, les sept suivantes en français. Puis on change de partenaire. Au total, cinq sessions de quatorze minutes se succèdent.
Et tout ça en buveant et mangeant (le prix du ticket inclus un cocktail et des hors d’oeuvre). Inscrivez-vous vite:

La musique de Versailles s'invite à San Francisco

La France de Louis XIV vous manque (ou pas)? A partir du 7 août, The American Bach Soloists (ABS), un orchestre dédié à la promotion de l’oeuvre de Johann Sebastian Bach, présente le festival “Versailles and the Parisian baroque” , au Conservatoire de Musique de San Francisco, sur la musique et le mode de vie de la cour.
L’orchestre sera conduit par le directeur musical de l’American Bach Soloists Jeffrey Thomas. Il jouera notamment des œuvres de Bach, Couperin, Rameau, Rebel et Marin Marais notamment. Durant le festival, il y aura aussi des conférences et des masterclasses portant sur Versailles et divers instruments de musique de l’époque (clavecin, violon…). Le festival dure jusqu’au 16 août.