Accueil Blog Page 1069

Une rencontre avec Alexandre Mars à New York

Alexandre Mars est le créateur d’Epic, une fondation qui récolte des dons pour des associations humanitaires et informe les donateurs de la manière dont sont utilisés leurs fonds.
Le 4 juin, il participera au rendez-vous “Meet the Entrepreneur” de la French American Chamber of Commerce (FACC) de New York, au cabinet Winston & Strawn. Il évoquera son expérience de multi-entrepreneur et fournira des conseils à ceux qui cherchent à se lancer. Acteur incontournable dans le domaine du mobile et de la publicité pendant plus de 20 ans, Alexandre Mars est le papa de l’agence Phonevalley et du système de gestion de medias sociaux ScrOOn, vendus respectivement au groupe Publicis et Blackberry.
Son nouveau bébé, Epic, emploie dix personnes. French Morning l’avait rencontré en mars pour en parler.
Un cocktail suivra l’intervention.
 

Champagne et business au gala de la FACC de Miami

Sortez le champagne! Le gala annuel de la chambre de commerce franco-américain de Miami aura lieu le 28 mai au Sofitel.
Champagne, dinner, et fête jusqu’au bout de la nuit… Le Gala de la FACC entend célébrer comme il se doit l’entrepreunariat et les relations commerciales franco-américaines, tout en levant des fonds pour soutenir les missions de l’organisation.
Lors du gala, trois entrepreneurs en lice pour le Prix de l’innovation 2015 présenteront leur jeune pousse pendant deux minutes. Le Prix, qui vise à donner à des entreprises lancées après 2012 ayant un impact local et sur les relations commerciales franco-américaines, sera remis à l’issue des présentations.

Une expo autour de Degas à Los Angeles

Edgar Degas n’est pas seulement le créateur de tableaux représentant des cours de danse, sur lesquels on peut tomber en arpentant le Musée d’Orsay. Edgar Degas est aussi l’auteur de la série des “danseuses russes”, colorées et survoltées, au pastel.
L’une de ces toiles, prêtée par un collectionneur privé, sera exposée à Los Angeles au Getty Museum, avec d’autres oeuvres au pastel reflétant le Paris de la même époque (Bonnard, Toulouse-Lautrec, et d’autres oeuvres de Degas). L’ensemble sera visible du 19 mai au 11 octobre.
Fidèle à son sujet de prédilection, l’artiste a créé en 1899 “Les danseuses russes”, fasciné par les troupes ukrainiennes venues se produire dans les cafés parisiens à la fin du XIXème siècle. Les couleurs vives des costumes des ces danseuses et leur postures souples viennent rompre avec la rigidité des classes de ballet, à travers lesquelles le peintre s’était fait connaître.

Houston Accueil fait son dernier café de la saison

0

Qu’on reste au Texas ou pas, qu’on soit là depuis longtemps ou qu’on vienne juste d’arriver, l’association Houston Accueil vous convie à son dernier café de la saison au Club House de Village Place de Houston.
Le 3 juin, de 10am à 12pm, ceux qui s’en vont pourront dire “au revoir” et les nouveaux Houstinites faire des rencontres pour faciliter leur installation dans la ville. L’association Houston Accueil met en contact les francophones établis à Houston et organise plusieurs sorties et activités pour recréer un petit réseau français. Elle tient aussi une permanence hebdomadaire.
 

A Los Angeles, une école publique lance son programme francophone

Les parents d’élèves de l’école maternelle et primaire Richland, dans le quartier Mar Vista à Los Angeles, sont aux anges. Après deux ans d’efforts, leurs enfants vont avoir accès à un programme d’immersion bilingue français-anglais : la Richland French Academy. Une grande première au sein du système éducatif public de Los Angeles.

Le cursus débutera le 18 août prochain, mais ne concernera pour l’instant que les enfants en âge d’intégrer le Kindergarten. “Il faudra avoir 5 ans au 1er septembre pour être accepté au sein du programme. Les enfants nés entre le 2 septembre et le 2 décembre auront la possibilité de rejoindre notre Transitional Kindergarten, une classe organisée en même temps que celle du Kindergarten. Il s’agira donc d’un double niveau”, explique Kami Turrou, l’une des mères d’élèves impliquées depuis le début dans le projet.

Au fil des années, en fonction de la demande, l’école espère pouvoir ouvrir de nouvelles classes et créer de nouveaux niveaux. “L’an prochain par exemple, nous envisageons de créer deux classes de niveau 1st grade, en plus de deux autres classes de Kindergarten”, ajoute-t-elle.

Le programme, appelé Dual Language French Program, a été agréé par le Los Angeles Unified School District. Son principe est simple : 50% de l’enseignement se fait en français sur une demi-journée (soit le matin, soit l’après-midi), et les 50% restants sont enseignés en anglais.

L’an dernier, le proviseur de l’école, Gérard Grande, un Français d’origine basque, avait vu sa demande initiale refusée par le district. Entouré de nombreux parents d’élèves déterminés, il ne s’était pas laissé décourager. La deuxième tentative a été la bonne.

“Même si mes enfants ne profiteront pas de ce nouveau cursus car ils sont désormais trop âgés, je suis vraiment heureuse d’avoir enfin vu aboutir ce projet qui me tient beaucoup à coeur. C’est une vraie victoire !” ajoute Kami Turrou.

L’an dernier, faute d’obtenir le feu vert du district pour créer un programme bilingue à Richland, l’école avait tout de même mis en place des cours de français après la classe, les mardis et jeudis. Cet enseignement sera maintenu pendant l’année 2015/2016, en plus du programme d’immersion, afin de permettre aux enfants de continuer à s’améliorer s’ils le souhaitent.

Cette année, le cursus franco-anglais pourra accueillir au total jusqu’à 50 élèves. A l’heure actuelle, 42 enfants sont déjà inscrits. “Nous avons aussi lancé une campagne de levée de fonds sur la plateforme GoFundMe. Car même si le programme est entièrement gratuit, puisque l’école est publique, nous voulons faire en sorte qu’il soit de la meilleure qualité possible”, ajoute Kami Tourrou.

La Richland French Academy souhaite notamment construire une bibliothèque composée de livres francophones, acheter du matériel en langue française (calendriers, cahiers d’exercices, etc.) et embaucher une aide pour travailler aux côtés des deux enseignants francophones responsables du programme.

Un printemps très "thriller" sur TV5 Monde

Le printemps sera “thriller” ou ne sera pas sur TV5 Monde. La chaine de télévision francophone vous propose de (re)découvrir cinq films de crime et de mystère français à partir du jeudi 21 mai.
– “L’adversaire” (le jeudi 21 mai, 8:30pm EST – 5:30pm PST) avec Daniel Auteuil dans le rôle d’un médecin faussaire, dont la famille est retrouvée morte.
– “Marcel Dassault, l’homme au pardessus” (le vendredi 22 mai, 8:30pm EST – 5:30 PST) sur la vie de l’industriel français, pionnier de l’aviation moderne, avec l’acteur Denis Lavant.
– “Harry un ami qui vous veut du bien” (le jeudi 28 mai, 8:30pm EST – 5:30 PST): ce thriller psychologique de Dominik Moll raconte les retrouvailles bizarres entre Michel et Harry, qui dit être son ami de lycée alors que Michel ne s’en souvient pas. Harry va alors s’immiscer dans la vie de Michel et de sa femme.
– “Intime conviction” (le vendredi 29 mai, 8:30pm EST – 5:30 PST) sur une enquête policière où Paul (Philippe Torreton) tente de prouver son innocence après avoir été accusé du meurtre de sa femme.
– “Dernière séance” (le dimanche 31 mai, 8:30pm EST – 5:30 PST) sur un projectionniste fou qui tue les clients de son cinéma en détresse financière.
 

Les aventures d'Arthur à New York

Arthur a des yeux d’enfants. Normal, c’est un enfant. Et comme c’est aussi le fils du documentariste Pierre Brouwers, sa curiosité est devenue une série de télévision, qui permet à toute la famille de découvrir New York.
Le principe d’ “Arthur à New York” est simple: pendant 3 à 6 minutes, la caméra suit le petit Arthur (3,5 ans au moment du tournage) pendant 16 épisodes à la découverte de tous les lieux emblématiques de New York, de la statue de la Liberté à la High Line en passant par la parade de Thanksgiving sur la 5ème avenue.
“Arthur est super spontané, très explorateur dans l’âme, du coup ça permet de nouer le contact très vite avec les passants, les policiers, les pompiers…” raconte son papa-producteur, qui réalise des documentaires de voyage depuis trente ans
Diffusée depuis la semaine dernière sur la chaîne pour enfants Gulli, du lundi au vendredi à 8:30pm EST, la série sera également disponible en DVD à partir du 2 juin.

Trois jours à: East Tennessee

Coincé entre Nashville et Atlanta en Géorgie, l’est du Tennessee peine à se faire une place au sein de l’offre touristique du pays. La région propose pourtant le vrai goût du Sud des Etats Unis, ainsi qu’une large palette d’attractions. Depuis son lien avec la musique (bluegrass, americana, country) jusqu’à son passé rural au pied des Appalaches, en passant par son histoire industrielle ou la convivialité de ses habitants, la région ne laisse personne indifférent.
Day 1
Porte d’entrée de la région, Chattanooga constitue le point de départ parfait. Industrielle au siècle dernier, elle fut désignée en 1969 par NBC comme la ville “la plus sale” des Etats-Unis. Piquée au vif, la population a alors entrepris un grand lifting.
Quarante ans plus tard, Chattanooga est devenue branchée et agréable à vivre. A deux pas de la Tennessee River, le quartier de Market Square a tout à offrir : restaurants, bars et boutiques, notamment celle du “Moon Pie” , friandise locale créée en 1917. A proximité immédiate, l’aquarium et le Hunter Museum, consacré à l’art américain, s’adressent à tous les âges.
Les curiosités incontournables se trouvent cependant en périphérie, avec “l’incline railway” , trolley grimpant à pic pour offrir une vaste vue sur la région, ainsi que les Ruby Falls, cascade souterraine de la Lookout Moutain, découverte en 1928 et ouverte au public depuis.
Pour terminer, comment ne pas faire un détour par l’ancienne gare de la ville, autrefois l’une des plus importantes de la côte Est? Devenue hôtel, elle conserve son charme d’époque, celui qui lui valut d’être popularisée par la chanson Chattanooga Choo Choo.
Day 2
Knoxville, au Nord, constitue un arrêt obligatoire. Lieu de l’exposition universelle de 1982, la ville en a fait un quartier, futuriste, autour de sa Sunsphere. Marquée par la désindustrialisation, Knoxville s’est tournée vers la culture et le sport pour trouver un nouvel élan. La musique est omniprésente dans les bars autour du séduisant Market Square, mais aussi dans les locaux du Visitors Center. Celui-ci accueille en effet tous les midis une session publique de bluegrass, proposée par la radio locale WDVX.
En quittant le centre ville pour s’approcher du fleuve, le Tennessee Theatre dévoile une surprenante architecture intérieure datant de 1928, d’inspiration hispano-mauresque.
Un peu plus loin se dresse un ballon de basket géant. Ce bâtiment abrite le Hall of Fame du basket féminin, ouvert en 2008. L’histoire de ce sport et de son évolution à travers le monde, raconte également la lutte des femmes pour leur émancipation.
Le stade de l’Université du Tennessee, où s’entassent 100.000 spectateurs à chaque match de football américain, constitue la suite logique de ce tour de ville.

Day 3
Une visite dans les Appalaches conduit forcément dans les montagnes, autrefois terre des Cherokee. Les amateurs de marche se rendront donc à Pigeon Porge, cité improbable aux allures de Las Vegas déjanté – sans les casinos – ou dans la séduisante petite station de montagne de Gatlinburg pour partir à l’assaut du Great Smoky Moutains National Park, site naturel le plus visité des Etats Unis (du fait de sa gratuité). Sur ces sentiers de randonnée aux paysages fantastiques, on franchit constamment la frontière entre le Tennessee et la Caroline du Nord.
Après ce bol d’oxygène, 1h30 de route s’impose en direction de Bristol. Une fois encore, cette visite flirte avec les frontières. La ville est en effet coupée en deux : une partie en Virginie et l’autre au Tennessee. C’est ici qu’est officiellement née la “country music” en 1927, avec la toute première session d’enregistrement du genre. De cette session mythique est né un musée inauguré en août dernier, le “Birthplace of Country Music Museum“, lequel retrace l’histoire musicale du Tennessee, marquée par la dévotion, le labeur et la pauvreté. Et si l’esprit country vous amuse, sans pour autant vous rendre dans un musée, essayez plutôt le parc d’attractions “Dollywood“, ouvert en 1986 par la chanteuse Dolly Parton, native de la région et icône locale.
À savoir
Avant de partir: TN Vacation ; Jetset voyages ; Equinoxiales
Hôtels: Sheraton Read House, (130$/nuit), au centre de Chattanooga. Holiday Inn Downtown wold’s fair park (120$/nuit), à Knoxville. Possibilité de louer des chalets pour plusieurs personnes, au pied des Smoky Mountains : Eagles Ridge Resort à Pigeon Forge, Gatlinburg Falls à Gatlinburg.
Déjeuner : 212 Market Street (Chattanooga), Pete’s Coffee Shop & Restaurant (Knoxville), Old Mill Restaurant – l’adresse à ne pas manquer – (Pigeon Forge), Crockett’s Breakfast Camp (Gatlinburg).
Dîner : Big River Grille & Brewing Works (Chattanooga), Cru Bistro and Wine Bar (Knoxville), Troutdale Dining Room (Bristol), Park Grill (Gatlinburg).
A visiter également :

Une bourse pour musiciens francophones aux États-Unis

0

Auteurs-compositeurs-interprètes francophones aux Etats-Unis, c’est le moment de vous manifester. Le centre de la francophonie des Amériques propose une bourse de 7.000 dollars canadiens pour participer à une résidence de création et de formation au Canada.
Ce projet permettra à un artiste de participer à deux semaines de perfectionnement professionnel. La première semaine, du 20 au 28 juin 2015, sera consacrée à l’écriture et la composition, en marge du Festival en chanson de Petite-Vallée au Québec. Pendant la seconde semaine,  fin octobre/début novembre (dates exactes à confirmer), ils plancheront sur la création d’un spectacle. Elle aura lieu à Moncton, au Nouveau-Brunswick, dans le cadre de la Franco-fête en Acadie.
Pour tenter votre chance, il faut être en début de carrière, écrire en français, résider aux Etats-Unis et être déjà l’auteur d’un ou deux albums. Si les conditions d’éligibilité sont remplies, il ne manque plus qu’à envoyer votre dossier, au plus tard le 24 mai.
 

La French Restaurant Week met le couvert à New York…et Chicago

La sacro-sainte semaine des gourmets francophiles revient à New York en juillet pendant la Bastille Week. Du lundi 13 au dimanche 19 juillet, la French Restaurant Week propose, dans plus de 30 restaurants français de la Grosse Pomme, des menus à prix fixe. Et pour sa 6eme édition, l’évènement gastronomique s’exporte à Chicago.
Les restaurants participants, dont la liste est en cours d’élaboration dans les deux villes, proposent ainsi plusieurs formules – pour le dîner, et parfois le déjeuner –  dont la moins coûteuse s’élève à $17,89 (allusion à 1789) pour un cocktail et des amuse-bouches. Les deux autres formules sont à $35,78 pour deux plats et une boisson, et $178,90  pour deux ou quatre personnes.
Cette année, dans le cadre de son partenariat avec l’association de lutte contre la famine Action Against Hunger, la French Restaurant Week proposera également un évènement “dégustation de vin”, dans l’un des restaurants du groupe Forgeois. Les recettes seront intégralement reversées à l’association. N’oubliez pas de faire vos réservations plusieurs jours à l’avance, vos papilles vous en remercieront!
Les restaurants participants à New York (liste provisoire):
Antibes Bistro, New York – AOC Bistro, New York – Bar Tabac, New York – Bistro Cassis, New York – Bistro Citron, New York – Bistro Le Steak, New York – Bistro Vendôme, New York – Brasserie, New York – Brasserie 8 ½ , New York – Café Centro, New York – Café Noir, New York – Cercle Rouge, New York –– Chez Lucienne, New York – Gaby Brasserie Sofitel, New York – Jules Bistro, New York – La Gauloise, New York – La Mirabelle, New York –  La Sirène, New York – Le Baratin, New York – Le Bistro d’à Côté, New York – Le Tout Va Bien, New York – Madison Bistro, New York – Maison Harlem, New York – Orsay, New York – Paris Club Bistro & Bar, Chicago – Petit Poulet Radisson Martinique Hotel, New York – Singe Vert, New York – Tout va bien
 Les restaurants participants à Chicago (liste provisoire):
Bistro Voltaire, Kiki’s Bistro, Cyrano’s Farm Kitchen, Bistronomic, Brasserie by LM

Réunion pour lancer un programme bilingue à Washington Heights

Les programmes bilingues français-anglais vont-ils se hisser jusqu’au nord de Manhattan? Un groupe de parents, qui veut ouvrir un tel programme dans le District 6 (Washington Heights / Inwood), organise une première réunion d’information ce samedi 23 mai de 2pm-5pm (rain date: dimanche 24 mai) pour rassembler les familles intéressées.
Ils se retrouveront à Bennett Park (Fort Washington Avenue et 183rd St), côté sud, près des bancs. Le lieu précis sera annoncé sur la page Facebook du groupe. Ensemble, Washington Heights et Inwood couvrent tout le nord de Manhattan, de la 155eme rue jusqu’à la pointe de l’ile. La réunion information est gratuite.  Enfants bienvenus!

Réception avec le PDG français de Best Buy à New York

Il est l’un des rares Français à diriger une grande compagnie américaine. Hubert Joly, PDG de Best Buy (dont French Morning avait tiré le portrait lorsqu’il était patron du groupe hôtelier Carlson, son poste précèdent) recevra le premier “Alumni Award”  de la Sciences po US Foundation le 17 juin. Les tickets sont en vente.
Diplômé de Sciences po et de HEC, le Français a pris les commandes de Best Buy en 2012 dans un contexte difficile pour la marque de produits électroniques, marqué par une crise de gouvernance et des fermetures de magasins. Il a passé la majeure partie de sa carrière entre la France et les Etats-Unis travaillant pour  McKinsey & Company et Vivendi Universal notamment.
Ce premier “Prix des Anciens” marque les cinq ans de la Fondation Sciences po aux Etats-Unis, un groupe qui fait la promotion des programmes de Sciences po sur le sol américain. La soirée aura lieu au SoHo House.