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Daniel Berrebi lance les premiers ferries entre Miami et Cuba

C’est un gros coup pour l’armateur français basé à Miami: sa société Baja Ferries est la première à avoir obtenu une licence du gouvernement américain pour opérer une liaison entre Miami et Cuba.
Descendant d’une famille d’armateurs tunisiens, Daniel Berrebi est installé aux Etats-Unis depuis des années. Associé à des actionnaires mexicains, il opère des liaisons de ferries aux Etats-Unis et au Mexique. Depuis dix ans, explique-t-il à French Morning, il travaillait sur le dossier qui vient d’aboutir avec cette autorisation du gouvernement américain, qui intervient dans le cadre du réchauffement des relations diplomatiques entre les deux pays, scellé par la poignée de mains historique entre Barack Obama et Raul Castro en avril. La société prévoit d’investir 100 millions de dollars pour des liaisons quotidiennes entre le continent et l’île.
Dans cette interview, Daniel Berrebi se dit par ailleurs très confiant dans l’autre dossier qui l’occupe en ce moment, celui de la reprise de la SNCM, en liquidation judicaire. Une interview exclusive de French Morning lors du Symposium des CCE de Miami:

Maison & Objet prend ses quartiers à Miami

Miami accueillait déjà plusieurs grandes manifestations internationales comme Art Basel Miami Beach, Design Miami ou encore le Boat Show. Elle peut désormais ajouter Maison & Objet Americas à son palmarès. La foire française prend ses quartiers en ville pour la première fois du 12 au 15 mai. Certes, ce salon ne peut pas rivaliser avec les plus grands mais avec 11.000 visiteurs pré-enregistrés, les organisateurs pensent que les débuts sont encourageants.
Créé en 1995, Maison & Objet Paris est le plus grand salon de design et de décoration au monde et accueille 160.000 visiteurs sur deux éditions annuelles. Alors pourquoi Miami ? Philippe Chomat, directeur de la communication du groupe, explique que Miami, en tant que “porte des Amériques, est la ville idéale pour aborder le marché latino-américain et américain pour des exposants avides de travailler dans ces régions. ”
“Nous espérons aider les exposants à trouver leur public ici, à Miami. Evidemment nous serons vigilants sur le professionnalisme et la qualité des produits exposés afin de garantir un événement réussi” , poursuit-il.
Après seulement quelques heures d’ouverture, les Brésiliens et les Mexicains avaient franchi en masse la porte du Miami Beach Convention Center, même si dans la langue française dominait dans les allées.
Sophie-Agathe Rémy, de la societe Zephyr & Co, explique avoir déjà eu de nombreux contacts avec des prospects d’Amérique latine. « Des boutiques et des designers américains nous ont déjà demandé d’envoyer des échantillons de nos produits. Nous sommes assez enthousiastes pour ce premier jour! »
Philippe Chamat et les organisateurs ont été enchantés de l’accueil de la ville de Miami Beach, la chambre de commerce de Miami Beach et les différentes institutions. « Il est vrai que nous voulons créer des liens forts avec Miami notamment à travers de projets dans la ville. Nous souhaitons vraiment fédérer autour de Maison&Objet les différents acteurs locaux. Nous sommes là pour montrer à la ville que nous pouvons leur apporter quelque chose, loin des clichés subis depuis plusieurs décennies. »
La foire de Miami est encore de taille moyenne (300 exposants contre les 3.000 à Paris venus des quatre coins du monde mais surtout de France). Elle est le résultat de partenariats appuyés avec le tout nouveau Miami Design District ou encore Miami Ironside – nouveau lieu bobo de l’art et du design – le célèbre Dcota (Design Center of the Americas) présent à Miami depuis 30 ans, et avec le Miami Museum Month qui permet aux visiteurs munis d’un ticket de rentrer gratuitement dans tous les musées de Miami pendant tout le mois de mai.
Plus de photos (credit: Sophie Blachet):

La Bretagne en road trip musical aux US

C’est l’histoire de deux cultures qu’a priori tout sépare. Des musiciens traditionnels bretons et des musiciens garifunas – dont la population vit aujourd’hui en Amérique centrale – ont choisi de s’unir au sein du collectif Breizh Amerika pour faire connaître et célèbrer leur culture aux Etats-Unis, à travers la musique.
Composé de quatre musiciens bretons et trois musiciens garifunas, le collectif musical démarrera la  tournée “Breizh on the road” le jeudi 14 mai au Meridian 23 de New York, et jouera à Rochester, Cleveland, Chicago, Santa Fe et Albuquerque.
Le projet “Breizh America” a été lancée par deux Bretons : le président de l’association Breizh Amerika Charles Kergaravat et le directeur artistique du collectif Armel An Hejer, également musicien au sein du groupe. “C’est un vrai discours culturel qui s’est engagé entre nous et les musiciens garifunas” explique Armel An Hejer, pour qui “il existe beaucoup de points communs entre les deux musiques d’une part, mais aussi au niveau des mentalités sous-jacentes. Ce sont deux peuples qui ont vécu certaines choses dans leur histoire, comme la liberté difficilement retrouvée par les Garifunas, et la liberté politique perdue pour les Bretons.”
Dans cette collaboration, les sept musiciens interpréteront des morceaux basés sur un mix des genres musicaux. Côté Bretons, on jouera le “Kan Ha Diskan” – “chant et déchant” – dont la forme en chant alterné est exclusivement bretonne. Une technique musicale peu connue mais qui, selon Armel An Hejer, devrait faire son effet en Amérique. ” La musique bretonne a très peu eu l’occasion de tourner aux Etats-Unis, malgré une forte immigration bretonne, mais on s’est rendu compte qu’à l’étranger les gens sont très sensibles à cette façon de chanter, ça développe une énorme énergie” explique-t-il.
La tournée est réalisée dans le cadre de la Fête de la Bretagne 2015, qui se tiendra du samedi 16 au lundi 25 mai. L’évènement, organisé autour de la fête traditionnelle de la Saint Yves avec le soutien de la région, célèbre la culture bretonne avec des concerts, festivités, et soirées culturelles dans le monde entier.
 

Miami Beach plonge dans les coulisses de Dior

Le documentaire de Frédéric Cheng « Dior and I » , tourné dans les coulisses de la Maison Dior, sort le 15 mai à la Miami Beach Cinematheque.
Il nous plonge dans le quotidien de Raf Simons, bombardé responsable de la haute-couture de Dior seulement huit semaines avant le grand défilé automne-hiver 2012 en lieu et place de John Galliano, viré pour avoir tenu des propos antisémites. Pour le rien arranger, Simons, un Belge qui a commencé comme designer dans le meuble, n’avait pas évolué jusqu’alors dans la haute-couture.
Le réalisateur français, qui a co-produit « Valentino: le dernier empereur » et co-réalisé « The Eye Has to Travel » sur l’ancienne rédactrice-en-chef de Vogue Diana Vreeland, a glané plus de 270 heures d’images. Depuis le moment où il rencontre son équipe dans les ateliers de Dior, on voit le designer en pleine préparation du show, entre moments de stress et de doutes et des instants de légèreté. Le documentaire a été applaudi par la critique. C’est le premier film que Frédéric Cheng réalise seul.

Soleil, luxe et quiche au crabe: les Français de Miami sur M6

Les Français de Miami sont sur M6. Le magazine d’information 66 Minutes est parti à la rencontre de quelques Gaulois qui vivent le rêve américain “sous le soleil de Miami” , faisant au passage une belle publicité pour la ville. Un peu tiré par les cheveux? A vous de juger.
http://youtu.be/k82hTsqZKgg

"La liste de mes envies", le 21 mai à Los Angeles

Jocelyne Guerbette, le nom ne vous dit rien ? La petite mercière d’Arras, heureuse gagnante de 18 millions d’euros à la loterie et héroïne du best-seller de Grégoire Delacourt “La liste de mes envies” a déjà séduit plus de 320 000 lecteurs. L’histoire a été adaptée au cinéma en 2013 par Didier le Pêcheur.
L’Alliance Française de Los Angeles fera une projection de ce film le 21 mai à 7.30 pm.
Jocelyne Guerbette, mercière à Arras, mène une vie simple. Son quotidien bascule lorsque celle-ci remporte la cagnotte du loto. Entre réaliser ses plus grands rêves et préserver cette vie qu’elle affectionne, Jocelyne Guerbette va devoir choisir.
Le livre sera en vente à l’Alliance Française (gratuit pour les membres).

La trompette d'Ibrahim Maalouf au Lycée Français de Los Angeles

Quoi de mieux que la “trompette à quarts de tons” d’Ibrahim Maalouf pour rendre hommage à la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum ? Quarante ans après la mort de la diva, le trompettiste franco-libanais, pionnier dans l’art de jouer de la musique orientale à la trompette, reprendra certains de ses grands classiques, jeudi 21 mai à 7:30 pm au théâtre Raymond Kabbaz du Lycée Français de Los Angeles.
Parmis les titres choisis, Ibrahim Maalouf interprétera  “Alf Leila wa Leila” (“Mille et une nuits”), l’un des plus grands succès de la chanteuse. Le trompettiste sera accompagné sur scène des musiciens Frank Woeste (piano), Mark Turner (saxophone), Ira Coleman (basse) et Clarence Penn (batterie).
Musicien reconnu dans le monde du jazz contemporain, Ibrahim Maalouf a collaboré avec certains grands artistes tels que Sting, Amadou et Mariam et Vanessa Paradis. Son quatrième et dernier album, «Illusions », a été récompensé du prix du meilleur album dans la catégorie « musiques du monde » aux Victoires de la musique de 2014.

La plage blanche de Carine Magescas

12 mars 2011. Au lendemain du tsunami qui frappe la côte nord-est japonaise, des surfeurs se rassemblent sur la plage de Half Moon Bay, en Californie, pour attendre la vague, celle qu’ils appellent “The Surge”. Carine Magescas, appareil photo à la main, immortalise l’instant. Les surfeurs deviennent ses muses, fondus dans la houle des vagues qui les rend presque indiscernables. “Je les trouve élégants, ils m’inspirent. Ils ont de la gestuelle, un peu comme une rock star sur scène”, nous dit-elle.
Cette photo est la première de la série “The Surge”, dont 17 sont exposées à la galerie Emmanuel Frémin à New York. Les plages, Carine Magescas les aime pour ce qu’elles ont de sauvage, d’indistinct.  C’est aussi comme ça qu’elle les photographie. De la côte Ouest des Etats-Unis à la Californie du Nord en passant par la Camargue,  la photographe française a fait des grandes étendues de sable son terrain d’expression. Elle en elle capture des bribes dans “The Surge” .
Dans son travail, Carine Magescas suggère plus qu’elle n’impose. Des ombres, des silhouettes, une esquisse de femme dans un drapeau torsadé par le vent, pas plus. Le reste est laissé à l’imagination, qui s’empare volontiers de l’espace négatif des photos. “Je travaille beaucoup en surexposition, j’aime les choses très sereines, minimales, je trouve que ça permet de rêver”, raconte-elle.

Avant d’exposer, Carine Magescas publiait ses photos sur le site 2filles2villes.com, qu’elle a lancé en 2010 avec une amie d’enfance restée à Paris. La Française photographie alors San Francisco et ses alentours, où elle a habité pendant 15 ans avant de s’installer à New York, l’an dernier. “C’est une manière de garder le contact par un dialogue en photo” ,explique-t-elle.
Depuis, les choses sont allées très vite pour la photographe, qui est également la cofondatrice de l’accélérateur de start-up aux US AngelPad, qu’elle gère avec son mari, Thomas Korte. Repérée par le galeriste Emmanuel Frémin, elle a déjà exposé à l’Affordable Art Fair de New York, à la foire Art Hamptons mais aussi aux Christie’s Multiplied et Affordable Art Fair Battersea de Londres. Ses photos seront également exposées à l’Art Southampton, du 9 au 13 juillet.

"Oublier que tu es français" et autres conseils pour réussir aux Etats-Unis

Comment réussir son implantation aux Etats-Unis? La question est sur les lèvres de tous les entrepreneurs venus chercher, au Symposium mondial des Conseillers du commerce extérieur à Miami, les clefs de l’Amérique.
Si vous aussi, vous rêvez de monter une affaire ou de lancer votre filiale aux Etats-Unis, French Morning a choisi de vous faire gagner du temps en donnant la parole à quatre experts de la question.
“Il faut se vendre!” Patricia Glasel, spécialiste de l’interculturel, directrice d’Europe2, Berlitz Global leadership training.

“On ne peut pas venir en amateur aux US”. Sandrine Bernard, entrepreneure, présidente de la marque de dentelles Solstiss US

“Faire un bon follow up” . Elisabeth Gazay, directrice de Barnes Miami

“Oublier que tu es français” . Pascal Gicquel, président de Newmat USA, Conseiller du commerce extérieur

Fred Le Chevalier, un génie du street art parisien à Miami

Ce sont des personnages mi-hommes, mi-femmes, mi-adultes, mi-enfants, et issus d’une imagination poétique, non agressive. Les dessins de Fred Le Chevalier, artiste de rue bien connu en France, arrivent aux Etats-Unis. Ils feront l’objet d’une première exposition américaine à Art Lexïng Miami du 15 mai au 8 juillet.
Les Parisiens ont sans doute déjà croisé les drôles de personnes de ce street artist, qui dit incarner le “neo street art”. Ses dessins, inspirés de figures aussi différentes qu’Alexandre Dumas, Miguel de Cervantès, Gustave Doré, Hugo Pratt ou encore les Monty Python, tapissent les murs de Montmartre, Beaubourg et Belleville notamment. En  2014, l’association de street art Le M.U.R lui a commissionné une peinture murale rue Saint Maur et rue Oberkampf. Il a exposé au Houla Oups, Cabinet d’amateur, à la Galerie L’Oeil ouvert et l’Hôtel Jules et Jim.
 

Concevez votre projet immobilier depuis les US

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(Article Partenaire) L’investissement immobilier est le projet de plus de 68% des Français expatriés, et vous êtes nombreux à vouloir investir dans l’immobilier en France. Mais un tel projet peut être compliqué à gérer à distance.
L’équipe de My Expat propose aux Français expatriés une solution clé en main pour vous permettre d’investir dans l’immobilier ancien en France, depuis votre pays d’expatriation. Exemple avec leur dernier projet.
Jean-Luc, Français expatrié au Maroc avec sa famille nous contacte pour investir dans un studio en plein centre de Paris avec l’objectif de le louer en location saisonnière.
Il dispose d’un budget global de 250.000€ et est ouvert à d’éventuels travaux. My Expat lui propose donc de cibler des biens dans l’ultra centre de Paris. Les prix au m2 étant relativement élevés dans les beaux quartiers de la capitale, nous décidons, avec le client, de cibler des appartements nécessitant des travaux afin d’obtenir un prix d’achat plus intéressant. Nous convenons avec lui d’allouer le reste du budget aux travaux et aux meubles, nous permettant ainsi d’obtenir un appartement entièrement refait à neuf.
Démarrage du projet
Une fois la stratégie validée avec Jean-Luc, l’équipe de My Expat commence les recherches et les visites. L’objectif est alors de se concentrer sur des quartiers très fréquentés et agréables à vivre, avec un dernier critère essentiel, être proche des transports en commun.
Après quelques visites, My Expat a identifié un appartement situé rue Montmartre dans le 2ème arrondissement, à 50 mètres des grands boulevards. L’intérieur est en mauvais état et sa répartition en deux petites pièces n’est pas optimale mais l’appartement possède un bon potentiel grâce à sa localisation. Le prix affiché de 225.000€ nous semble cependant au dessus du marché. My Expat conseille donc à Jean Luc de faire une première offre plus basse que le prix affiché. A l’issue des négociations avec le vendeur, notre offre à 210.000€ est finalement acceptée.
Le conseiller My Expat organise alors le financement de l’investissement immobilier de Jean-Luc, signe la promesse en son nom puis l’acte authentique de vente. My Expat peut alors démarrer les travaux.
Organisation des travaux
L’appartement est dans un état dégradé et aucun aménagement n’a été réalisé depuis plusieurs années. Nous proposons MyExpat2donc au client expatrié de rénover entièrement l’appartement, tout en restant dans son budget. Le projet est d’abattre la cloison pour transformer ce petit T2 en un grand studio et donner du volume et de la luminosité à la pièce. Une fois le devis validé par Jean-Luc, nous commençons donc les travaux : la cloison est totalement détruite d’un coté et partiellement de l’autre afin de créer un mini bar. Nous avons décidé de conserver la poutre initialement cachée dans la cloison afin d’apporter du charme et de l’authenticité à l’appartement.
My Expat préconise également à son client expatrié de refaire le sol afin d’égaliser le niveau des deux pièces. Nous poserons donc un parquet clair et nous ferons repeindre les murs en blanc pour exploiter au maximum la luminosité de la pièce exposée plein sud.
MyExpat3
Après avoir expliqué, détaillé et budgété les proposition de travaux avec Jean Luc, My Expat démarre donc les travaux en organisant l’intégralité du projet immobilier : proposition, chiffrage, suivi, coordination et réception pour arriver au résultat final en un mois. Cette solution d’investissement clé en main a permis à Jean-Luc d’avoir uniquement à valider les propositions de My Expat à chaque étape de son projet immobilier.
Durant toute la durée du projet, My Expat a fourni des rapports hebdomadaires au client, qui même en étant expatrié au Maroc, a pu suivre l’évolution de son projet immobilier à Paris, en temps réel.
Durée: 1 mois
. Coût: 13 000€
Ameublement et décoration
Jean-Luc souhaitant tester la location saisonnière dans son investissement immobilier, il est alors nécessaire de meubler son appartement et de le rendre fonctionnel pour que le futur locataire puisse poser ses valises et se sentir immédiatement chez soi. My Expat a réalisé un ameublement sobre avec une décoration épurée afin de disposer d’un appartement élégant et lumineux, qui conviendra au plus grand nombre.
Durée: 3 semaines
Coût: 5 500€
Résultat après deux mois de travail: un appartement de 24m2 refait à neuf, meublé et loué 75€/nuit par une agence spécialisée.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

La trompette d'Ibrahim Maalouf au Lycée Français

Quoi de mieux que la “trompette à quarts de tons” d’ Ibrahim Maalouf rendre hommage à la chanteuse egyptienne Umm Kulthum? Le trompettiste franco-libanais, pionnier dans l’art de jouer de la musique orientale à la trompette, reprendra certains grands classiques de la chanteuse, le lundi 18 mai au Lycée Français de New York.
Pour l’occasion, Ibrahim Maalouf a choisi d’interpréter “Inta Omri” (“Tu es ma vie”) et “Alf Leila wa Leila” (“Mille et une nuits”) deux des plus grands titres de la célèbre voix du monde Arabe. Musicien reconnu dans le monde du jazz contemporain, Ibrahim Maalouf a collaboré avec certains grands artistes tels que Sting, Amadou et Mariam et Vanessa Paradis. Son quatrième et dernier album, « ILLUSIONS » a été récompensé du prix du Meilleur album dans la catégorie “musiques du monde” aux Victoires De La Musique 2014.
Un prix spécial (30$ au lieu de 50$) est proposé aux abonnés French Morning.
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