(Article partenaire) C’est un thriller footballistique comme le cinéma français en compte peu. “A mort l’arbitre” de Jean-Pierre Mocky sera diffusé le mardi 14 avril sur TV5 Monde.
“A mort l’arbitre” , c’est l’histoire banale d’un arbitre qui énerve un groupe de supporters en accordant un penalty à l’équipe adverse. L’histoire s’emballe quand le groupe, emmené par Rico (Michel Serrault), va tenter de se venger en tuant l’arbitre. S’en suit une traque intense, parfois violente, contre Maurice Bruno, joué par Eddy Mitchell, et sa petite amie. Jean-Pierre Mocky joue le rôle d’un policier dans ce film de course-poursuite sorti en 1984. Les amateurs apprécieront aussi la bande musicale du film assurée par Alain Chamfort.
Diffusion à 8:30pm (EST).
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
"A mort l'arbitre", foot et vengeance sur TV5 Monde
Soirée plumes et french cancan à Beverly Hills
Si vous aimez l’ambiance et les costumes des cabarets, les chansons parisiennes des années folles et les ballets de french cancan endiablés, les spectacles du Cabaret Versatile devraient vous séduire.
Cette troupe basée à Los Angeles, créée en 2011 par la Française Lola Ohlala, présentera son nouveau show baptisé “Femmes !” jeudi 9 avril au Sofitel de Beverly Hills, à Los Angeles.
La soirée sera animée par Mhairi Morrison, créatrice de la série Feathers and Toast, et qui incarnera son personnage de présentatrice d’émission culinaire obsédée par la France.
Le groupe Paris Chansons ouvrira le bal en interprétant des classiques du répertoire français.
L'Assiette Steak-Frites, un film français
Chez les Fiorentino, la formule du steak-frites est aussi bien gardée que celle du Coca-Cola. “J’ai bien mis quinze ans à la mettre au point et à élaborer une sauce parfaite. Je la prépare uniquement quand je suis seul en cuisine” raconte le Français Jacques Fiorentino, qui a ouvert le restaurant l’Assiette Steak-Frites à Los Angeles il y a un an, avec son fils Marc.
Avant de se lancer dans l’aventure de la restauration, père et fils ont tous deux fait carrière à Hollywood. Jacques, aujourd’hui retraité, a longtemps travaillé comme producteur pour la chaîne HBO. De son côté, Marc assure toujours les fonctions de directeur du développement et de la production chez Hyde Park Entertainment.
“J’ai pris ma retraite il y a quelques années, après 32 ans passés dans le monde de la télévision. Mais j’avais tout de même envie de conserver une activité. C’est mon fils, à qui j’ai transmis la passion de la gastronomie dès le plus jeune âge, qui m’a convaincu d’ouvrir le restaurant”, raconte Jacques Fiorentino.
L’Assiette-Steak Frites est d’ailleurs devenu le lieu de rendez-vous des professionnels de l’industrie du cinéma et de la télévision. “Nous avons pas mal d’amis du milieu qui viennent dîner régulièrement. Ce sont surtout des cameramen, des monteurs, des réalisateurs, des techniciens. Aussi parfois quelques acteurs que nous plaçons dos au reste de la salle, pour préserver leur intimité.”
Marc Fiorentino estime qu’il y a plus de points communs entre le monde du cinéma et celui de la cuisine qu’on ne le pourrait le penser. “Ce sont deux univers qui requièrent de savoir gérer les petits détails, tout en ayant une vision d’ensemble” explique-t-il. “Lorsque je produis un film, je travaille étroitement avec la direction artistique, les costumiers, les acteurs, pour m’assurer qu’ils ont tout ce dont ils ont besoin. Mais mon travail consiste aussi à coordonner le tout pour créer un produit fini. C’est exactement la même chose avec un restaurant.”
Né au Caire dans une famille francophone, Jacques Fiorentino a connu une véritable révélation culinaire à son arrivée en France à l’âge de 12 ans, en dégustant le meilleur steak-frites de sa vie, au restaurant l’Entrecôte de la Porte-Maillot. “C’est un plat auquel je voue un véritable culte. En venant vivre aux Etats-Unis avec ma famille, je n’ai jamais retrouvé l’excellence de ce steak-frites.”
Pour réaliser le meilleur steak-frites possible, il y a tout un processus à suivre minutieusement, nous dit-il. “Nous choisissons la culotte, qui est moins grasse que d’autres morceaux, puis nous la faisons cuire sous-vide. Cela prend quatre heures et demie. Les frites nécessitent 24 heures de préparation, en huit étapes.” Jacques Fiorentino a acheté une machine spéciale venue d’Europe pour les faire frire.
“La plupart des restaurants ne peuvent pas suivre tout ce processus car ils n’en ont pas le temps. Comme nous n’offrons qu’un seul plat (et deux autres options de substitution pour les végétariens et les pescétariens) nous pouvons nous permettre d’être précis.” Autre originalité : le steak-frites est servi en deux fois pour que la nourriture reste toujours chaude.
Avant de faire carrière à Hollywood, Jacques Fiorentino a travaillé dans le monde de la restauration. “J’ai conservé d’excellents conseils d’un ancien chef de Pacific Palisades, aujourd’hui décédé, Jean Lefebvre, qui m’a appris que la cuisine, c’était avant tout un laboratoire. Le temps de cuisson, le moment où vous rajoutez le citron, tout compte ! C’est cette maîtrise de la chimie qui fait toute la magie d’un steak-frites réussi.” A déguster saignant, évidemment.
Un déjeuner à Houston avec l'Ambassadeur de France aux US
Gérard Araud est de passage à Houston et la chambre de commerce franco-américaine de Houston vous invite à le rencontrer. Un déjeuner avec l’Ambassadeur de France aux Etats-Unis est prévu à la Federal Reserve Bank de Houston le mercredi 22 avril.
Pour prendre votre place, n’attendez pas: les réservations seront closes le 17 avril. Gérard Araud a occupé plusieurs postes au sein de la diplomatie française. Il fut notamment Ambassadeur de France en Israël et Ambassadeur de France auprès des Nations Unies jusqu’en 2014, quand il fut nommé à Washington.
Le déjeuner est ouvert aux membres et aux non-membres de la FACC de Houston.
Le chef d'orchestre Stéphane Denève à Miami
Un chef d’orchestre français de renom s’invite à Miami. Les samedi 11 et dimanche 12 avril, Stéphane Denève présente “Organ Symphony” au New World Center, un concert qui mettra à l’honneur des compositions d’Arthur Honegger, de Francis Poulenc et Camille Saint-Saëns. Il partagera l’affiche avec le chef d’orchestre allemand Christian Reif.
Stéphane Denève a dirigé une panoplie d’orchestres à travers le monde, en Allemagne, Autriche, Angleterre et en Suède notamment. Il est le chef d’orchestre invité du Philadelphia Orchestra et le chef d’orchestre principal du Stuttgart Radio Symphony Orchestra.
Cocteau, Tati et Demy à Miami Beach en avril
Vous avez aimé la première édition de “Films on the Beach” l’an dernier, vous adorerez la deuxième. Le coup d’envoi de ce festival de films français en plein air, inspiré du populaire “Films on the Green” à New York, a été donné le 2 avril. Petit rappel du concept: chaque jeudi, à 8pm, Miami a rendez-vous au Miami Beach Soundscape avec un film gaulois comme on les aime.
La cuvée 2015 devrait plaire aux cinéphiles francophiles. Jacques Tati sera à l’honneur lors de la prochaine projection le jeudi 9 avril, avec “Jour de Fête”. D’autres poids lourds suivront” : Jean Cocteau et Jacques Demy (programme ci-dessous). Les films sont projetés en version française et sous-titrés en anglais. Films on the Beach est organisé par le Service culturel de l’Ambassade de France à Miami.
Le programme 2015 de “Films on the Beach”
9 avril– « Jour de Fête », Jacques Tati, 1947 (87 min) noir et blanc
16 avril – “La Belle et la Bête“, Jean Cocteau 1946 (96 min) également inscrit dans le programme du festival FLAFRA
23 avril – « Les Parapluies de Cherbourg », Jacques Demy 1963 (87 min) couleur
30 avril – « Pépé le Moko », Julien Duvivier, 1936 (90 min) noir et blanc.
Saint Vincent de Paul: l'heure de vérité approche
Comme elle le fait depuis plus d’un siècle, Saint Vincent de Paul se dresse, impassible, face au va-et-vient permanent sur la 23eme rue de Manhattan. Pâques n’y sera pas fêté cette année: cela fait deux ans que les grandes portes de bois de la petite église francophone de Chelsea sont closes sur décision de l’archidiocèse de New York. A part quelques rares visites, plus personne n’y met les pieds.
Dans le quartier, les supputations sur son avenir vont bon train. Certains pensent qu’elle sera complètement détruite un jour. D’autres parient sur la préservation de la façade. “La skyline de New York change tout le temps. Dommage, c’était une belle église” , regrette un commerçant du coin. Qu’ils se rassurent. Rien ne sera fait à l’église catholique fondée en 1841 par le prêtre français Annet Laffont. Pour le moment en tout cas. Une procédure entamée par l’association Save Saint Vincent de Paul pour la faire rouvrir est toujours en cours devant les tribunaux du Vatican et aucun coup de pioche ne pourra être donné avant le verdict final, qui n’interviendra pas avant le mois de mai.
Défendu par Gullo, l’un des rares cabinets d’avocats spécialisés dans le droit canonique, le dossier est parvenu jusqu’au dernier niveau d’appel de la justice de l’Eglise catholique, la “Apostolic Signatura”, sorte de “cour suprême” située à Rome où les cas sont débattus en latin.
“Le processus est très mystérieux. Les juges sont un groupe de six ou sept évêques, sélectionnés pour servir à Rome. Ils délibèrent sans que les représentants des parties soient dans la salle et n’ont pas à justifier leurs verdicts, explique Peter Borre, un avocat qui fait le lien entre le Vatican et Saint Vincent de Paul. Face aux juges, nous mettons en avant le fait que Saint Vincent de Paul représente une présence catholique majeure dans l’une des plus grandes villes au monde (…) Notre but est de faire durer cet appel aussi longtemps que possible pour que l’archidiocèse ne puisse pas vendre le terrain” .
Le bras de fer entre les fidèles et l’Eglise dure depuis 2007, quand l’archidiocèse de New York a signalé son intention de fermer Saint Vincent de Paul dans le cadre d’un vaste plan de restructuration. Les fidèles ont protesté contre cette décision, accusant l’archidiocèse de vouloir vendre la très lucrative parcelle de terre sur laquelle est située l’église en dépit de sa valeur historique et symbolique. Saint Vincent de Paul fut notamment la première église catholique de New York à proposer des messes en français.
Le terrain de Saint Vincent de Paul suscite des convoitises. Dans une lettre de 2013 que French Morning s’est procurée, l’archidiocèse de New York indique au Cardinal Raymond Burke, alors chef de la Signatura, qu’un contrat d’une valeur de 50 millions de dollars a été signé avec un “acheteur” , sans préciser son identité. Le contrat portait sur l’ensemble des propriétés de Saint-Vincent de Paul, à savoir l’église et un bâtiment attenant. “La réalisation de cette transaction est très importante pour mener à bien les missions pédagogiques de l’Eglise, poursuivait la lettre, avec environ 40 millions de dollars issus de la vente reversés à un fonds pour des bourses (…) Nous espérons, bien sûr, que la Signatura ne trouvera aucune raison d’examiner ce cas” .
En 2014, le site d’immobilier Crain’s a fait état d’un projet de construction d’un complexe immobilier de 25.000 mètres carrés, comprenant un hôtel de 100 chambres, des appartements de luxe et des espaces commerciaux, “au-dessous et autour” de l’église. La description de ce projet de grande ampleur a fait surface sur le site du développeur new-yorkais Maddd Equities mais a été retirée après une demande de commentaire de la part de Crain’s.
Maddd Equities comme l’archidiocèse de New York n’ont pas répondu à nos demandes de commentaire. Une recherche sur les sites SharkProperty et StreetEasy, qui recensent les transactions immobilières à New York, montre qu’aucun acte de vente n’a eu lieu.
Olga Statz, la responsable de Save Saint Vincent de Paul ne sait pas ce que l’avenir réservera à l’église si ce dernier appel échoue. “Un hôtel ou un espace commercial peuvent être construits. Il y a la place, dit-elle. Mais personne dans le quartier ne veut que cette église soit détruite. Personne ne veut d’une nouvelle tour” .
Pour sa part, Peter Borre guette le moindre signe favorable de la part de la très discrète Signatura. Il voit dans la récente nomination du Français Dominique Mamberti à la tête de la cour une raison de se réjouir. “Mamberti n’a pas passé sa vie dans les bibliothèques. Il a vécu dans la réalité. C’est un homme d’une grande importance qui a notamment participé au rapprochement de Cuba et des Etats-Unis aux côtés du Pape François et a été l’interlocuteur de John Kerry en tant que secrétaire chargé des affaires internationales du Vatican” .
Si le dossier est rejeté, le seul recours possible pour les fidèles sera d’adresser une pétition directement au Pape. “Ça sera une sorte de cri du cœur” , poursuit Peter Borre. Pour l’heure, l’attente se poursuit. Sur la 23eme rue, Saint Vincent de Paul attend de connaitre son sort.
Ravagé, Pommes Frites compte sur vous pour rouvrir
Pommes Frites. Tous les amateurs de frites, en quête d’un repas après une virée nocturne arrosée dans l’East Village, connaissent ce nom. L’échoppe, aux allures de “trou dans un mur”, connue pour ses frites et ses sauces, a été complètement détruite dans l’explosion qui a secoué l’East Village, le 26 mars.
Aujourd’hui, ses propriétaires Suzanne Levinson et Omer Shorshi ont démarré une campagne de crowdfunding sur le site Square Cash pour “reconstruire et trouver une nouvelle maison pour Pommes Frites” , peut-on lire sur le site du restaurant. Les deux fondateurs n’ont pas parlé à la presse depuis le drame – plusieurs demandes d’interviews de French Morning à Suzanne Levinson sont restées sans réponse – mais ils ont indiqué sur leur site qu’aucun employé n’avait été blessé dans l’explosion et qu’ils avaient l’intention de rouvrir dans l’East Village.
“Pommes Frites est touché par la vague de soutien de nos clients dévoués. Nous sommes motivés par vos commentaires et vos offres d’assistance après cette explosion dévastatrice qui a secoué notre monde et entrainé la fermeture de notre établissement” , ont-ils commenté sur le site du restaurant.
L’explosion, due à une fuite de gaz au 121 Second Avenue, a fait deux morts.
Paris Photo: le monde de la photo se retrouve à LA
Fort de son succès en 2014, le festival de photographie Paris Photo fait son retour à Los Angeles. Quatre-vingt galeries et 17 éditeurs de lives d’art du monde entier (Europe, Etats-Unis, Asie et Amérique latine) sont attendus du 1er au 3 mai dans les studios de la Paramount.
La manifestation sera rythmée par plusieurs temps forts. Programme phare de Paris Photo Los Angeles: “California Unedited!” présentera cette année les portraits surprenants de Richard J. Arnold, pris dans une commune californienne au XVIIIème siècle. L’an dernier, Paris Photo avait montré des photos rares du Los Angeles Police Department dans le cadre de ce programme.
Egalement au menu: des discussions (deux par jour), des séances de dédicaces, l’exposition des travaux au Leica de François Fontaine notamment… Pour le programme complet, c’est ici
La liste des galeries françaises participantes:
CHRISTOPHE GAILLARD Paris
CLEMENTINE DE LA FERONNIERE Paris
DE ROUSSAN Paris
E.G.P Paris
LIBRAIRIE 213 Paris
NEXTLEVEL Paris
SUZANNE TARASIEVE Paris
La liste complète des galeries ici
11 fautes d'anglais que les Français font toujours
A French Morning, on a décidé de vous éviter quelques moments de solitude.
11. “Mistress”
Pour éviter toute situation embarrassante lors de la réunion parents-profs, ne dites pas que votre enfant a une “mistress” formidable. Cela sous entendrait 1) que votre enfant est plutôt précoce 2) qu’il entretient une relation bien particulière avec sa professeure. “Teacher” en revanche ne risque pas de déclencher un procès.
10. “Light” vs “Fire”
Fumeur ou amateur de bougies, vous avez sans doute déjà fait l’erreur de demander à un passant du “fire” . Alors oui, en France, on demande “du feu” . Le problème est que vous n’êtes plus en France. Un briquet s’appelle “a lighter” et uniquement “a lighter” .
9. “Theater”
Fan de Shakespeare? Vous allez au “theater” si vous êtes aux Etats-Unis. N’écrivez donc pas “theatre” (version britannique)
8. “Rendez-vous”
Au travail, évitez de dire “I have a rendez-vous with my director” . Sauf si vous aviez prévu d’offrir à ce dernier des roses rouges avant de passer au dîner aux chandelles. “Rendez-vous” est une rencontre romantique aux Etats-Unis. Un “meeting” ne l’est pas.
7. “Interested” vs “interesting”
C’est un grand classique. Dites “I’m interested in…” pour parler de quelque chose qui vous intéresse. Et dites “I’m interesting” (“je suis intéressant” ) si vous voulez vous la raconter.
6. Les dates
Le jour où on vous demande la date, ne répondez pas fièrement “We are the 11th of November“. Les Américains emploieront plutôt la formule “It’s November, 11th” .
5. “Library”
A la recherche d’une librairie pour acheter des bouquins pour votre neveu? Sachez qu’une librairie se dit “bookstore” . “A library” est une bibliothèque. Et c’est le neveu qui va être triste si vous lui demandez de rendre ses livres.
4. “Good appetite”
Si vous lancez un enjoué “good appetite” à table, gare au moment de solitude qui suivra. Dites plutôt “enjoy your meal” ou même “bon appétit” pour montrer que vous savez au moins parler français.
3. “Affair”
En racontant à vos amis le dernier épisode de CSI, évitez de dire qu’une “affair” a été résolue. Privilégiez “a case” .
2. “Win money”
Aux Etats-Unis, on ne dit pas “win some money” mais “earn some money” .
1. “Pass”
Vous êtes au téléphone et vous voulez parler à John. Malheureusement, ce n’est pas lui qui décroche. Retenez vous de dire: “Could you pass me John, please ?” . Dites plutôt: “May I speak to John, please ? ”
Gagnez des places pour voir IAM à New York
French Morning et Bureau Export, organisme de promotion des artistes français dans le monde, vous proposent de gagner une paire de tickets pour le concert de IAM à New York.
Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Les heureux gagnants seront contactés une fois le tirage effectué.
Le groupe mythique de la scène rap sera en tournée aux Etats-Unis en avril. Il sera tour à tour en concert à Fort Lauderdale (le 15 avril), New York (le 17), Boston (le 18), Chicago (le 19), Houston (le 21), New Orleans (le 22) et Los Angeles (le 23). A New York, il jouera au Gramercy Theater.
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Les débuts du hip hop au Museum of the City of New York
Le hip hop est né à New York. Quoi de plus normal que de lui consacrer une exposition? C’est ce que l’excellent Museum of the City of New York fait jusqu’au 13 septembre.
A travers quelque 80 photos, prises entre 1977 et 1990 par trois photographes new-yorkais (Janette Beckman, Joe Conzo et Martha Cooper), l’exposition “Hip Hop Revolution” retrace les débuts de cet art urbain et son influence sur des disciplines aussi diverses que la mode et la musique. Les amateurs du genre seront heureux de voir les visages de plusieurs pionniers du hip hop, comme Afrika Bambaata, Kool Herc et Cold Crush Brothers, sans oublier Run DMC et les Beastie Boys. Et se replonger dans l’ambiance du New York des années 70.
Plusieurs conférences auront lieu pendant l’exposition. Les trois photographes dont les travaux sont présentés interviendront le 15 avril.