Le groupe de rap IAM aura le droit à un comité d’accueil très français lors de son passage à Houston en avril.
Les Français de la ville pourront rencontrer Akhenaton et sa bande le lundi 20 avril, la veille de leur concert, lors d’une réception au restaurant l’Etoile. “On est loin de notre pays. Ça fait plaisir de pouvoir les approcher. On n’aurait certainement pas eu la possibilité de le faire en France” , raconte Jean-François Bonneté, organisateur de ce rendez-vous “populaire, sympathique” en sa qualité de conseiller consulaire (UMP-UFE).
Une réception similaire en novembre avec Patrick Bruel, qui avait mis le feu à Houston, avait rassemblé une “cinquantaine de personnes” , précise M. Bonneté.
La matinée du lundi 20 avril, le groupe est attendu à l’école internationale Awty, où une classe de français a travaillé sur sa chanson “Nés sous la même étoile” .
Le groupe mythique de la scène rap française vient aux Etats-Unis dans le cadre d’une tournée qui l’emmènera à Fort Lauderdale (le 15), New York (le 17), Boston (le 18), Chicago (le 19), Houston (le 21), la Nouvelle-Orléans (le 22) et Los Angeles (le 23).
Une réception pour IAM à Houston en avril
Alex Lutz fait ses débuts à New York
Sa tête vous dit probablement quelque chose. Vous l’avez sans doute vu en secrétaire commère sur Canal + (dans la « Revue de presse de Catherine et Liliane » du Petit Journal). Ou en directeur de casting hystérique, ou en vendeuse un peu godiche, cela n’a rien d’étonnant.
Alex Lutz multiplie les visages, et c’est là tout l’intérêt de son one-man-show, « Triple Lutz », qu’il présentera le 18 mars au Florence Gould Hall de New York.
Car Alex Lutz peut tout jouer. Que ce soit sur scène ou petit écran, l’auteur, metteur en scène et comédien interprète une galerie de personnages avec une énergie et un sens du détail déconcertants : de l’ivrogne à l’adolescente rebelle en passant par le technicien hébété, aucune mimique, ni aucune réplique n’est laissée au hasard.
Ses talents d’interprétation, il les tient probablement de ses multiples expériences : à 36 ans, Alex Lutz a déjà mis en scène Sylvie Joly, Pierre Palmade, Audrey Lamy et Caroline Loeb. Il a également eu plusieurs rôles sur le grand-écran, dont celui du mari lâche et trompeur dans le dernier film d’Audrey Dana “Sous les jupes des filles” et du nazi hippie dans “OSS 117: Rio ne répond plus”.
Enfants: où parler français pendant "Spring Break" au Texas
En attendant les camps d’été francophones, plus nombreux, French Morning a recensé les camps de printemps. Qui occuperont bout d’chou pendant le “spring break” de mars.
Austin propose deux camps francophones cette année. L’association EFA (Education française Austin) invite votre (vos) enfant(s) à découvrir le monde des marionnettes et du cirque lors de deux semaines d’immersion (9-13 mars, 16-20 mars). Les matinées seront consacrées aux activités du cirque, tandis que les après-midis à l’art des marionnettes. Horaires: 9am-5pm. Le camp est réservé aux 5-13 ans. Prix: 260 dollars (dont 30 dollars pour le matériel). Dépêchez-vous: les chèques doivent être reçus avant le 23 février pour garantir une place ! Highland Park Baptist Church 5206 Balcones Drive Austin TX 78731. Infos ici
Austin International School tient son désormais traditionnel “Les Explorers on Wheels” du 9 au 13 mars. Il s’agit d’un camp où tout roule! Les participants réalisent différentes activités sur roues (scooter, vélo, skateboard…) dans un environnement trilingue (français, espagnol, anglais). Les enfants apprennent à se protéger en portant un casque ou des genouillères, gonfler un pneu et réparer leurs roues notamment. Ils seront également invités à décorer leur monture. Ouvert à tous. Sur le campus d’Austin International School (4001 Adelphi Lane, Austin, TX 78727). Prix et âges: appeler (512) 331-7806. Inscriptions ici
L’Alliance française de Dallas organise trois camps pour des âges différents, du 9 au 13 mars. Les 4-7 ans ont rendez-vous au “kids creative and art workshop” pour un apprentissage du français au travers d’activités artistiques (chanson, danse, yoga, mouvements du corps). Pour les 5-7 ans, l’Alliance française a lancé un camp basé sur la lecture de livres pour enfants. Les participants apprendront également quelques règles de grammaire, feront des activités artistiques et joueront à des jeux. Informations pour ces deux camps ici.
Les 8-11 ans pourront, eux, participer à un camp de découverte de la langue, où ils apprendront à se présenter et acquerront les bases de la langue. Inscriptions ici
Tous les camps auront lieu de 9:30am à 12:30pm.
Oscars: la France, championne des co-productions
Avec six co-productions françaises nommées, ce dimanche, aux Academy Awards, le cinéma hexagonal confirme son assise internationale. Et c’est en grande partie grâce à ce système de co-production avec des pays étrangers, dont la France s’est fait une spécialité.
Parmi les élus de la course aux Oscars, « Deux jours, une nuit », des frères Dardenne, une co-production franco-belge, pour laquelle Marion Cotillard est nommée dans la catégorie « meilleure actrice ». Mais aussi « Timbuktu » une oeuvre franco-mauritanienne en lice pour l’Oscar du meilleur film étranger, « Le sel de la terre », un documentaire franco-brésilien de Wim Wenders, et le film d’animation « Le Chant de la mer », une co-production 100% européenne (France/Irlande/Luxembourg/Belgique/Danemark). Enfin pour finir, deux courts-métrages, le film franco-israélien « Aya » produit par Yaël Abecassis et « La lampe au beurre de Yak », une oeuvre franco-chinoise filmée à la frontière avec le Tibet.
Cette présence française avait déjà été très remarquée en octobre dernier, lors du dépôt des candidatures de films étrangers aux Academy Awards : sur les 83 films présentés, 13 étaient d’origine française ou franco-étrangère. Un record.
Le CNC, symbole de l’exception française
« Nous sommes très fiers de voir le cinéma français aussi fortement représenté dans la course aux Oscars. La coproduction et l’ouverture vers d’autres cinématographies nourrissent notre cinéma, inspirent nos auteurs et offrent un formidable rayonnement international », avait alors déclaré la directrice générale d’UniFrance, Isabelle Giordano.
Comment expliquer cette présence exceptionnelle des co-productions françaises ? « Il y a deux raisons à ce succès », explique François Truffart, directeur du festival de cinéma français City of Lights/City of Angels (CoLCoA), à Los Angeles. « D’abord, le fait que la France a une forte tradition de soutien au cinéma, via un système de subventions unique au monde. » Grâce au système d’avance sur recettes, créé en 1959 par André Malraux, le Centre National du Cinéma (CNC) attribue chaque année quelque 25 millions d’euros d’aides à une soixantaine de films, souvent issus du cinéma indépendant.
« L’autre raison, c’est que de manière générale, le cinéma dans la plupart des pays, ne se porte pas très bien, ajoute François Truffart. Les réalisateurs étrangers ont tout intérêt à se tourner vers la France pour produire leurs films. Ils bénéficient de cette façon d’un système de subventions très favorable aux co-productions et aux collaborations étrangères. La France a toujours et continue de manifester un grand intérêt pour les cinémas étrangers. »
De plus, en 2012, un nouveau fond appelé « Aide aux cinémas du monde » a notamment vu le jour. Dédié intégralement aux co-productions internationales, son budget annuel s’élève à six millions d’euros.
41% des films français sont des co-productions
En 2014, les co-productions internationales représentaient 41% de la production cinématographique française, selon des chiffres du CNC publiés le 4 février. Sur 258 films agréés, 106 étaient des co-productions ou des films à majorité étrangère. Un chiffre en très légère baisse par rapport à l’année 2013 (43%) mais dans la moyenne de ces dix dernières années.
« Depuis quelques temps, on remarque un intérêt croissant pour les co-productions franco-asiatiques, l’Asie étant un marché cinématographique en pleine expansion », souligne le directeur de ColCoa. Lui-même a présenté au sein de son festival, l’année dernière, la co-production franco-chinoise « La lampe au beurre de yak », en lice dimanche.
Hu Wei, le réalisateur, et Julien Ferret, le producteur du film, se sont liés d’amitié en France, où le réalisateur chinois, passionné de cinéma français, est venu faire ses études. « Quand Hu Wei m’a parlé de son projet de court métrage en 2009, j’ai été séduit et je me suis renseigné sur les possibilités de financement », explique Julien Ferret d’Ama Productions.
Des courts-métrages en langue étrangère chouchoutés
« Fin 2010, nous avons obtenu rapidement une aide du CNC (ndlr : 70 000 euros), puis de la chaîne Arte. Ce système est particulièrement avantageux pour les co-producteurs de courts-métrages qui souhaitent tourner à 100% dans une langue étrangère [les longs-métrages, eux, doivent obligatoirement contenir 50% de français pour pouvoir être financés]. Pour nous, cela a été une véritable aubaine car notre film devait être tourné en tibétain, avec des nomades qui habitent à la frontière avec le Tibet », ajoute le producteur.
Au-delà de l’aspect économique, Julien Ferret voit dans les co-productions, un réel intérêt artistique. « Le fait de travailler avec des étrangers permet de sortir des sentiers battus, des clichés, de confronter des points de vue. Sans parler du petit goût d’aventure qui va avec ! Au final, tout cela ne peut que stimuler la créativité. »
Projection du film "Une place sur la Terre" à Dallas
Le Richland College de Dallas projettera le dernier film de Fabienne Godet, “Une place sur la terre”, avec Benoit Poelvoorde et Ariane Labed, le jeudi 26 février à 7pm.
La réalisatrice signe ici son troisième long-métrage après “Sauf le respect que je vous dois” (2005) – qui pointe subtilement le harcèlement au travail – et son documentaire “Ne me libérez pas, je m’en charge” (2009), véritable plongée dans la tête de l’ancien braqueur, Michel Vaujour.
Avec “Une place sur la Terre”, sorti en salle en août 2013, cette ancienne psychologue s’attarde sur un nouveau cas : Antoine, photographe cynique et désabusé, semble avoir renoncé à la carrière dont il rêvait pour gagner sa vie avec des photos de mariage. Lorsqu’il ne travaille pas, celui-ci passe le plus clair de son temps à s’occuper bénévolement du fils de sa voisine, Matéo, à qui il donne une éducation fantaisiste.
Mais un jour, il fait la rencontre de la jeune Elena, étudiante idéaliste et suicidaire, à qui il sauve la vie après quelques notes de Chopin jouées sur un piano. Dès cet instant, l’apprentie pianiste devient sa muse et le centre de son monde jusque-là sans repères. Et l’on voit ainsi évoluer à l’écran la relation que nouent ces deux figures sombres et atypiques.
Carte: où sont les projets de programmes bilingues à New York?
Quarante: c’est le nombre de programmes bilingues que le Département de l’Education new-yorkais veut créer ou étendre lors de l’année scolaire 2015-2016.
Plusieurs projets de programmes bilingues français-anglais sont dans les cartons à travers la ville, pilotés par des parents français et francophones désireux d’offrir le bilinguisme à leurs enfants.
Voici notre carte des projets de programmes bilingues (cliquer sur les points rouges pour avoir les détails):
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"Preuve d'amour": Passion et tango sur les planches à New York
Depuis ses premiers pas en tant que comédien, puis comme metteur en scène dès le début des années 90, le franco-argentin Rafael Bianciotto aime puiser dans ses racines sud-américaines pour donner vie à de grands classiques. Sa dernière pièce, “Preuve d’amour”, présentée au Dixon Place Theater de New York le 22 février, laisse cette fois transparaître son amour pour le tango.
Dans cette adaptation de l’oeuvre du “Dostoevsky argentin” Roberto Arlt – qu’il met en scène et interprète – Rafael Bianciotto nous emmène dans le Buenos Aires des années 1930, à la rencontre d’un auteur et d’un couple. Le coeur de la pièce, c’est avant tout une histoire d’amour, celle qui lie Guinter à la jeune Frida. Par crainte que sa fiancée ne l’épouse que pour son argent, celui-ci exigera d’elle une prevue d’amour.
A travers le jeu de trois personnages, inteprétés par Rafael Bianciotto, sa femme Anne-Dominique Défontaines, et Francis Ressort, “Preuve d’amour” parle de l’engagement amoureux, de l’angoisse qui en découle, et du temps qui passe. L’acteur et metteur en scène fait s’entremêler scènes de vie et pas de tango, avec en arrière plan, les reflexions philosophiques de l’auteur Roberto Arlt.
Une seconde présentation sera donnée le vendredi 27 février à 7:30 pm au Berrie Center, dans le New-Jersey.
Les deux pièces sont jouées en francais et sous-titrées en anglais.
"Aya", bijou franco-israélien dans la course aux Oscars
A mille lieux des mastodontes à gros budgets nominés aux Oscars, « Aya » est une petite perle tombée du ciel. 39 minutes de poésie qui racontent la rencontre fortuite d’un Scandinave et d’une Israélienne à l’aéroport de Tel-Aviv.
A son arrivée, le voyageur prend par erreur la jeune femme pour son chauffeur – ce qu’elle ne va pas démentir. Ce n’est qu’une fois en route vers Jérusalem qu’elle se décide à lui avouer la vérité.
« Même si notre style cinématographique est très différent du cinéma hollywoodien, c’est une belle consécration, un peu surréaliste, d’être nominé aux Oscars et de se retrouver ici à Los Angeles », raconte le réalisateur israélien Oded Binnun. Le jour de l’annonce des nominations, il avait laissé sa femme, Mihal Brezis, avec laquelle il a co-réalisé « Aya», regarder les résultats et le prévenir par SMS.
Leur court-métrage, largement salué par la critique et récompensé par les Ophir Awards (l’équivalent israélien des Oscars), est le fruit d’une collaboration franco-israélienne, entre deux maisons de productions. Côté israélien, Cassis Production, fondé en 2011 par Hillel Roseman, producteur de la série israélienne In Treatment, et Yaël Abecassis, l’actrice fétiche du célèbre réalisateur Amos Gitaï. Aya est leur tout premier bébé. « Ce qui est drôle, c’est que notre rencontre avec Hillel a eu lieu dans un aéroport, comme dans le film ! C’était très bref, car nous étions sur le point de prendre une correspondance, mais nous avions promis de nous recontacter très vite », raconte Mihal Brezis.
L’initiative du film est en fait venue du côté français, grâce au système de subventions hexagonales, favorables aux co-productions internationales, et plus particulièrement aux courts-métrages. « Pablo Mehler de chez Divine Productions, avec lequel nous avions déjà travaillé sur notre précédent film, nous a contactés pour nous prévenir qu’il avait obtenu des fonds pour un nouveau court-métrage. Nous avons alors décidé de transformer notre long-métrage sur lequel nous étions en train de travailler, en film court.» Une belle opportunité, vu le succès du film. Le couple de réalisateurs s’est d’ailleurs remis à plancher sur une version longue d’« Aya ».
Un cinéma franco-israélien
Au-delà même de la production, les influences françaises du film sont nombreuses, reflet du poids de la francophonie en Israël, où résident de nombreux Français, Marocains, Algériens et Tunisiens. « L’actrice principale, Sarah Adler (Les Méduses, Marie-Antoinette) est franco-israélienne. Yaël Abecassis est une francophone d’origine marocaine, qui a des liens forts avec la France et le cinéma français. Je suis moi-même la fille de deux Français », raconte Mihal Brezis, qui a choisi d’élever son fils dans la langue de Molière.
« Pour Aya, nous avons été très inspiré par un film de Catherine Breillat, Brève Traversée. Sauf qu’il y a beaucoup plus de scènes de sexe que dans Aya !», s’amusent les deux réalisateurs.
La nomination du film d’Oded Binun et Mihal Brezis aux Oscars vient aussi confirmer l’essor d’un nouveau cinéma israélien qui plaît à l’international. « C’est un cinéma plus mûr, capable d’explorer des thématiques qui ne sont plus exclusivement politiques ou centrées sur le conflit. Et qui parle désormais aussi bien aux Israéliens qu’à un plus large public. »
A Los Angeles, Cécile Delarue présente son "French Cookbook"
Envie de renouer avec vos racines, ou de faire découvrir la cuisine française à un ami américain ? Rendez-vous le 24 février à L’Assiette Steak-Frites, où vous pourrez rencontrer Cécile Delarue et son nouveau livre, The Everything Easy French Cookbook.
Si elle écrit sur le boeuf bourguignon, les chouquettes et les quiches, Cécile Delarue est avant tout journaliste. C’est dans les faits divers, les sujets société et les affaires criminelles qu’elle a fait ses armes. Elle a travaillé pour France 2, puis pour TF1 où elle réalisait des portraits dans l’émission “Sept à Huit”. Pour “Complément d’Enquête”, elle visite le monde entier. Cécile Delarue a également été présentatrice, sur i>Télé, France 2, M6 (“100% Foot”), BFM TV.
Depuis quatre ans, elle est expatriée aux Etats-Unis, où elle couvre l’actualité californienne pour divers médias français, en particulier TV5. Nostalgique de la bonne gastronomie française, elle se met à écrire sur ce qu’elle voit dans son assiette pour son site Frenchandparfait.
C’est donc naturellement qu’elle en vient à écrire un livre de cuisine consacré aux spécialités de l’Hexagone. Elle viendra le présenter le 24 février à 7:30pm à L’Assiette Steak Frites. Au total, 300 recettes (“presque une par jour”) sont rassemblées dans ce premier ouvrage, en anglais. Ces recettes sont variées : du salé ou sucré, des plats de fêtes ou des basiques de tous les jours.
Ayant l’ambition de rendre cette cuisine raffinée la plus accessible possible, elle a choisi d’appeler son livre The Everything Easy French Cookbook. Pas besoin d’être chef dans restaurant cinq étoiles ou d’avoir suivi des heures de cours de cuisine pour réaliser un bon gratin dauphinois : telle est la promesse de Cécile Delarue.
Un nouveau rendez-vous français à Austin
Les Français d’Austin auront une bonne excuse pour faire une pause-dej à rallonge ce vendredi.
Cécile Fandos, la correspondante de French Morning au Texas, et auteure du blog French In Austin, lance un nouveau rendez-vous mensuel pour les expats gaulois de la capitale du Texas. Le premier “French Fridays” aura lieu ce vendredi 20 février à 2pm à Epoch Coffee.
Les participants à ce premier rendez-vous informel seront invités à participer à la sélection, en ligne, du vainqueur du concours de chant de la French-American Vocal Academy, qui se déroulera le lendemain. Le vote du public permettra de départager d’éventuels candidats ex-aequo après le vote du jury.
French In Austin prévoit de se retrouver chaque troisième vendredi du mois. Sortie à la Legation française lors de SXSW et dégustations de pâtisseries et de gâteaux sont au programme des prochains rendez-vous.
Gratuit.
A Pasadena, un débat bilingue dans l'orbite de Mars
Les planètes telluriques vous passionnent (ou pas) ? Cela tombe bien, c’est le sujet du prochain Café des Sciences organisé par l’Alliance Française de Pasadena.
Deux conférenciers sont conviés ce 25 février au California Institute of Technology. Le premier est le professeur Philippe Lognonné, qui partage son temps entre l’Université Paris-Diderot, l’Institut universitaire de France et l’Institut de Physique du Globe de Paris. Le docteur W. Bruce Banerdt discutera avec lui. Ce dernier est membre du Jet Propulsion Laboratory, rattaché au California Institute of Technology.
Deux heures durant, ils parleront planètes, plus précisemment de Mars et de la Terre. Ils vous présenteront notamment la InSight mission organisée par la NASA, qui devrait être lancée début 2016 et a pour but d’envoyer un géophysicien sur Mars. Ce dernier pourra alors étudier la planète rouge pour savoir comment les planètes telluriques naissent.
La conférence débutera à 6:30pm, et elle est entièrement gratuite. La présentation en français sera suivie par une discussion bilingue, avant d’attaquer un cocktail cosmique.