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Une soirée de DJs Frenchy sur le rooftop du Novotel

Prenez de la hauteur ce vendredi 3 octobre. Les soirées francophones French Culture Nights reviennent avec trois DJs, dont deux Français, sur le rooftop du Novotel, sur la 52ème rue.
Loin des clichés habituels du DJ qui ne mixe que de la house ou de l’électro, DJ Poska s’est forgé une renommée avec ses sons d’inspiration hip-hop et R’n’b. D’Oxmo Puccino à Busta Flex en passant par Diam’s, il met à l’honneur les free-stylers de l’Hexagone. Il a mixé dans le monde entier et vendu plus d’un million de disques. Le second Frenchy, DJ Mak-Len, est installé à New York depuis 2006. En 1998, il tombe sous le charme des platines, lors du DMC Championship. Tous deux seront accompagnés par l’Américaine DJ Twin-Tee.
La soirée commence à 21h.

Trois jours pour faire le plein de fromages français à New York

Amateurs de fromage, votre jour est venu. Ou plutôt vos jours. The French Cheese Board, boutique éphémère sur la 39ème rue destinée à la promotion du fromage européen aux Etats-Unis, accueille trois journées de dégustation de fromages.
Ces journées fromagées, qui rassembleront plusieurs marques de fromages bien de chez nous, seront gratuites. Elles auront lieu les vendredis 10 octobre, 21 novembre et 12 décembre de 11h à 19h. L’opération s’inscrit dans le cadre de la campagne “Make it Magnifique”, qui vise à promouvoir le fromage français aux Etats-Unis. Les participants pourront goûter différents échantillons accompagnés de vin, et acheter des fromages à prix réduits. De quoi renflouer le frigo.

17 Français connus que vous pourriez croiser à New York

Avec l‘arrivée prochaine d’Yvan Attal et Charlotte Gainsbourg, le contingent des “people” français à New York va s’étoffer? Qui sont les autres célébrités françaises qui vivent ici à plein ou mi-temps? Réponse.
17. Thomas Mars, chanteur de Phoenix
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16. Garance Doré, blogueuse de mode

15. Jean Reno, acteur
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14. Jean-Marie Messier, ancien PDG
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13. Lulu Gainsbourg, chanteur et acteur
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12. Daniel Boulud, cuisinier
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11. Jean-Georges Vongerichten, cuisinier
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10. Emilie Simon, chanteuse
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9. Charlélie Couture, chanteur
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8. Thierry Henry, footballeur
New York Red Bulls forward Thierry Henry (14) knocks a pass forward to teammate Joel Lindpere (20), not pictured, and past D.C. United midfielder Andy Najar (14) during first-half action at RFK Stadium in Washington, D.C., Wednesday, August 29, 2012. (Chuck Myers/MCT)
7. Youri Djorkaeff, ancien footballeur
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6. Cécilia Attias, ancienne Première dame
Cecilia Attias attends the New York City Ballet 2010 fall gala at the David H. Koch Theater, Lincoln Center in New York, NY on October 7, 2010. Photo by Charles Guerin/ABACAUSA.COM
5. Marc Lévy, écrivain
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4.Michel Gondry, réalisateur
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3.Olivier Barrot, écrivain, journaliste
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2.Renaud Dutreil, ancien ministre
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1.Arthur, animateur
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Le French Film Festival de Sacramento célèbre l'amour

En automne, le Festival du Film français de Sacramento reprend du service. Au programme, ce 19 octobre, histoires d’amour, musique et choux à la crème avec la diffusion de “Marius” et “Fanny”  de Daniel Auteuil, ainsi que le classique “Les parapluies de Cherbourg” de Jacques Demy. Sans oublier le champagne !
“Marius” et “Fanny” (2013) sont deux films adaptés des pièces de théâtre de Marcel Pagnol, qui font partie de la trilogie marseillaise. Daniel Auteuil a notamment adapté “La Fille du puisatier” du célèbre romancier français en 2011.
“Les parapluies de Cherbourg” – et sa bande originale -, fête cette année ses cinquante ans. A l’occasion, le mini festival en diffusera une version restaurée au sein du prestigieux Crest Theater.
 

Romain Serman, le diplomate qui aimait les entreprises

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Ancien Consul général de France à San Francisco, Romain Serman reste dans la Baie pour diriger l’antenne locale de la Banque Publique d’Investissement (BPI).
Sa mission est vaste. Créée il y a tout juste un an, la BPI est une banque d’affaires et un fonds d’investissement qui a connu, en 2013, 70% de croissance avec des résultats très encourageants. Son premier bureau à l’étranger s’ouvre à San Francisco en cette fin d’année et sera suivi de près par une création à New York «Si la Côte Ouest est essentielle car nous nous focalisons d’abord sur les entrepreneurs de la Tech, les points névralgiques que sont New York et Boston sont évidemment à prendre en considération aussi», explique Romain Serman.
En tant que diplomate, il a oeuvré ces dernières années auprès des entrepreneurs français et des investisseurs américains. «Le but est de créer une vraie synergie avec la France sur ce plan. Nous avons de beaux moyens et nous allons nous en servir pour augmenter les capacités de nos entrepreneurs ici mais aussi pour faire venir des investisseurs américains en France. Il faut savoir qu’une société française qui se déploie ici est une société qui se développe en France, c’est une loi. Si le marché de la Tech est en belle révolution dans notre pays, à l’international cela ne représente encore que 3% du marché mondial alors que les Etats-Unis sont à 50%.».
Le chantier de Romain Serman est colossal, mais c’est une «vraie aventure». Rentré de France récemment pour prendre ses nouvelles fonctions, cet ancien diplomate sent une véritable émulation. «Pendant longtemps on a imaginé le monde des “start-up” comme trois étudiants dans un garage. Cette image a évolué, la Tech est désormais prise au sérieux. C’est le moment d’agir et notre idée ce n’est pas la défense, mais bien l’attaque, nous en avons les moyens. L’énergie qui existe ici peut être ré-insufflée en France où les initiatives de très grande qualité ne manquent pas. Il est temps de changer l’image que peuvent avoir les Américains du marché français et ça marche
A l’aide de ses moyens, la BPI qui finance, accompagne, développe et compte initier des partenariats avec des fonds d’investissements présents aux USA, veut redonner à la France et son économie ses lettres de noblesse à l’international «Les Français aussi sont des pionniers, des inventeurs, de grands explorateurs, il ne faut surtout pas perdre ça de vue. Notre mission est non seulement de le faire savoir mais aussi de les aider
A titre personnel, Romain Serman est heureux de revenir dans la Baie : «C’est une opportunité de rester tout en m’investissant dans quelque chose d’utile et qui a du sens pour moi.»

Michelin 2015: "Daniel" perd une étoile, Brooklyn consacré

Nous sommes bien sûr déçus de ne pas recevoir trois étoiles Michelin cette année toutefois deux étoiles est déjà un honneur.” Daniel Boulud voit le verre à moitié plein. Son restaurant, le légendaire “Daniel” a perdu une étoile dans l’édition du Michelin New York 2015.
La seule table française du guide comptait trois étoiles depuis 2010. Une rétrogradation “difficile mais nécessaire” selon le directeur international des guides Michelin, Michael Ellis, qui regrette que le restaurant ne serve pas “de manière consistante” une nourriture à la hauteur d’un trois étoiles. Il espère néanmoins que “Daniel” regagnera l’étoile perdue et loue une cuisine “excellente qui mérite le détour“.
Trois restaurants ont quant à eux été promus à deux étoiles :  “Blanca” (Bushwick) et ses plats minimalistes, “L’Aquavit” (Midtown) et sa cuisine scandinave et “Ichimura” (TriBeCA) qui revisite les sushis et sashimis. Sur les 73 restaurants proposés par le guide, neuf sont désormais classés deux étoiles.
Le guide cette année fait en effet la part belle aux restaurants situés en dehors de Manhattan – trois dans le Queens et pas moins de onze à Brooklyn.
Dix-sept petits nouveaux font leur entrée, dont deux adresses dans le  Queens : “Casa Enrique” – premier établissement mexicain étoilé de Michelin – et “M. Wells Steakhouse” qui propose des spécialités franco-canadiennes.

Une soirée avec Jacques Brel

En 1978, Jacques Brel meurt subitement, à l’aube de la cinquantaine. Sa vie comme sa carrière furent courtes, mais marquèrent durablement les esprits.
Aujourd’hui encore, le Belge séduit avec sa voix, ses textes aussi, qu’André Nerman qualifie de « tour à tour drôles, poétiques, déchirants, corrosifs, toujours inspirés ». Admiratif de l’œuvre laissée derrière lui par Jacques Brel, André Nerman a créé un spectacle musical en son honneur en 2004, intitulé « Jacques Brel ou l’impossible rêve ».  Après de nombreuses dates en France,, le metteur en scène a choisi d’élargir ses horizons. C’est en Californie, plus précisément à Whittier, qu’il présentera son spectacle le 9 octobre.
Au programme, le récit des rêves, joies et peines de l’artiste. Ses chansons seront réinterprétées par trois personnages, dont deux musiciens, parfois en chantant, parfois en parlant, comme pour mieux décrypter les mots de Jacques Brel.
Le spectacle a déjà été présenté aux Etats-Unis à deux reprises, en 2004 et 2006, mais aussi en Russie, au Japon, ou encore au Maroc.
 

Francis Perrin: "Jouer aux Etats-Unis, un rêve d'enfant"

Molière n’a décidément pas de secrets pour Francis Perrin. Comédien, metteur en scène et écrivain, il occupe les planches des théâtres comme les écrans de télévision. Après 50 ans de carrière et une nomination en 2004 au Molière du Comédien, il se souvient encore du jour où il est tombé sous le charme du « premier farceur de France »…
C’était à l’école : on lui fait lire une pièce de Molière, et de suite, il accroche. « Pas seulement pour l’auteur, dit-il, mais aussi par l’Homme exceptionnel qu’il était, celui qui a donné sa vie au théâtre ». Francis Perrin admire son dévouement, sa vocation, sa passion, son éclectisme aussi. Il a joué ses pièces à de très nombreuses reprises. Le rôle qui l’a le plus marqué, c’est d’ailleurs Scapin, qu’il a joué pas moins de… 333 fois.
Après des années dans la peau de ce personnage, il est peut-être temps pour moi de dire adieu à ce rôle”, confie Francis Perrin. Cela ne l’empêchera pourtant pas d’en rejouer encore des extraits, qu’il connaît désormais sur le bout des doigts.
C’est donc tout naturellement que le comédien en est venu à écrire sur cet Homme qui a marqué sa carrière, mais aussi sa vie. Dans sa pièce « Molière malgré moi », Francis Perrin raconte les quinze dernières années de ce cher Jean-Baptiste Poquelin, de son arrivée à Paris, en 1658, à sa mort, survenue en 1673. Il tente d’y rétablir la vérité, sur les attaques dont il a été l’objet par exemple. Accusé d’inceste, moqué pour son homosexualité, Molière a été « victime de son succès ». Il jouera sur scène plusieurs personnages : Molière, bien sûr, mais aussi le roi Louis XIV, la troupe de comédiens, et bien d’autres encore.
Après quelques dates en France, notamment aux festivals de Carcassonne et d’Anjou, Francis Perrin viendra présenter en octobre sa pièce dans cinq grandes villes américaines. Il sera à New York le 4, à Boston les 5 et 6, à Los Angeles le 8, à San Francisco le 10, et, enfin, à Washington le 16. La pièce sera en français, mais sous-titrée en anglais.
Pour le comédien, jouer aux Etats-Unis, c’est « réaliser un rêve d’enfant à 67 ans », « l’un des plus beaux cadeaux » qu’on ait pu lui faire. Avec cette pièce, il entend faire connaître un Molière « universel », et partager le fruit de 40 et quelques années de passion et de recherches approfondies, « aux connaisseurs comme aux autres ».

Lorina, la limonade lorraine qui cartonne aux US

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Et si tout n’était qu’une histoire de bouchon ? Celui des limonades Lorina serait, selon la marque, la clé de son succès aux Etats-Unis. Un bouchon à bascule à l’ancienne, que les Américains adorent.
« C’est vraiment notre image de marque. Quand nous sommes arrivés sur le marché, personne ne proposait des bouchons comme cela. C’est identifié comme quelque chose de très français », affirme Claire David, responsable du marketing de la filiale américaine de Lorina, qui compte huit personnes à Miami.
La marque française de limonades rétro, en bouteilles de verre, est en pleine expansion aux Etats-Unis. Environ 14 millions de bouteilles y ont été écoulées l’année dernière. Les ventes ont été multipliées par quatre en dix ans. Au point que les Etats-Unis représentent 40% des ventes de cette PMI de Lorraine, qui emploie 80 personnes, et a réalisé 37 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2013. « Sur le marché de la limonade importée, nous sommes les leaders aux Etats-Unis », déclare Claire David.
Aux Etats-Unis, Lorina séduit avant tout des clients relativement aisés, en particulier des femmes. « Les bouteilles de Lorina sont souvent utilisées pour des mariages, des fêtes, des baby-showers. Elles sont considérées comme une alternative à l’alcool, avec un coté chic français », poursuit-elle. « La marque est devenue très identifiée. Et pour l’anecdote, nous avons une photo de Puff Daddy qui sort de sa voiture avec une bouteille Lorina. »
L’histoire de Lorina, c’est une bonne saga à la française, qui commence en 1895 en Moselle (allemande…). Victor Geyer, limonadier de son Etat, produit et vend sa boisson sucrée depuis le petit village de Munster. Pendant la deuxième guerre mondiale, il soulage la soif des soldats alliés, et après-guerre, sa boisson à l’eau des Vosges gagne en notoriété. Mais la distribution reste limitée. La petite usine, restée dans le giron familial, est reprise en 1995 par Jean-Pierre Barjon. L’actuel PDG mise sur l’aspect retro de la marque pour la relancer, et la positionne comme une boisson haut-de-gamme. Avec succès.
En 2004, Lorina ouvre une filiale à Miami, sa seule implantation en dehors de France. Pour le marché américain, elle adapte son produit : plus de sucre, plus d’arômes, plus de couleurs. « La limonade que l’on vendait en France était transparente. Cela ne correspondait pas du tout avec l’idée que les Américains se font de la limonade. On a donc retravaillé notre produit, et lancé des limonades avec des couleurs, de nouveaux parfums »
Et c’est comme cela que Lorina a sorti aux Etats-Unis sa Pink Limonade, et sa Blood Orange Limonade aux tons acidulés – les plus gros succès. Elle reste dans le même temps fidèle à une éthique de qualité : pas de conservateurs, des arômes naturels, pas d’OGM… « La grande tendance, pour les années à venir, ce sont les produits plus naturels, avec moins de sucre. On a déjà retiré nos colorants artificiels depuis deux ans, et on poursuit dans cette direction, avec de nouvelles recettes à venir. » 

Anne-Marie McDermott fait revivre Debussy à Miami

Anne-Marie McDermott est une pianiste américaine. Durant 25 années, elle a joué des concertos, des récitals, et de la musique de chambre aux quatre coins du globe.
Son répertoire varie au gré de ses envies, tantôt classique, tantôt plus contemporain. Soliste reconnue, elle a même obtenu un prix Gershwin.
Elle sera à Miami le 5 octobre pour rendre hommage à Debussy, en interprétant l’une de ses œuvres pour harpe et instruments à cordes, intitulée “Danse sacrée et Danse profane”. La pianiste n’en est pas à son coup d’essai avec Debussy, puisqu’elle a déjà enregistré un CD, regroupant l’intégralité de ses interprétations de la musique de chambre de l’artiste.
Le concert débutera à 14h, au New World Center.  Après Debussy viendront les interprétations du compositeur visionnaire Robin Holloway et sa Sérénade en C (une première aux Etats-Unis). Le concert se clôturera avec le Quintet pour Piano d’Edward Elgar.

Le MFA de Houston dit "Je vous aime"

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Le Museum of Fine Arts de Houston projettera “Je vous aime” (1980) de Claude Berri, dans le cadre de l’édition 2014-2015 de “Movies Houstanians Love”. En tout, 23 films de tous genres et de toutes origines ont été sélectionnés par les Houstoniens.
Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Jean-Louis Trintignant, Serge Gainsbourg et Alain Souchon sont à l’affiche de ce classique du cinéma français. Alice est une jeune femme ambitieuse qui ne voudrait aimer qu’un seul homme mais n’arrive pas à s’attacher. La veille du Nouvel An, elle invite quatre de ses anciens amants pour évoquer le passé.
Alain Souchon obtient le César du meilleur acteur dans un second rôle, et Serge Gainsbourg le César de la meilleure musique en 1981.
 

Bénédiction des animaux à Miami

Un drôle de défilé aura lieu à la cathédrale de la Trinité de Miami. La traditionnelle bénédiction des animaux se tiendra le 4 octobre.
Pendant cette manifestation, chacun pourra faire benir son animal de compagnie. Attendez vous à voir des chiens, des chats, mais aussi des animaux plus exotiques. Cet événement un peu particulier débutera à 16h, avec un salon qui ravira vos animaux. Au menu, des croquettes, bien sûr, mais aussi des photographes spécialisés prêts à mettre en valeur les moustaches de votre cher Patapon, et des services vétérinaires parés à toute éventualité. Clou du spectacle, « l’élection du chien le mieux habillé » ! Et pour ceux qui n’ont pas encore la chance d’avoir un animal, sachez que des organisations destinées à l’adoption seront présentes.
L’événement est ouvert à tous, et gratuit. On en ronronne déjà d’impatience…