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Bob Sinclar met le feu à Miami à la rentrée

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Papa de “Love Generation”, un tube popularisé par le générique de l’émission de télé-réalité la Star Academy, et de l’excellent “World, Hold On”, Christophe le Friant alias “Chris the French Kiss”, encore plus connu sous le nom de Bob Sinclar, se produira à Miami le 30 août.
Entre hymnes reggae, remixes de Madonna et sonorités disco, ce Dieu vivant (et souvent bronzé) des platines enflammera The Wall, à Miami.
Si vous le loupez cette fois pas de panique, le DJ reviendra se produire dans le club les 8 novembre et 6 décembre.

Disparition d'Ultra Violet, muse française de Warhol

Ultra Violet, figure de la scène artistique new-yorkaises des années 60 et muse d’Andy Warhol, est décédée samedi des suites d’un cancer. Elle avait 78 ans.
Isabelle Collin Dufresne, de son vrai nom, a côtoyé Andy Warhol au sein de son studio “The Factory”, pendant les années fastes du pop-art. De sa relation avec Warhol, elle a tiré un mémoire, “Famous For 15 Minutes: My Years with Andy Warhol”.
Lire aussi: De Dali aux mormons, en passant par Warhol
Amante et élève de Salvador Dali, qui la présenta à Warhol, Ultra Violet a figuré dans une dizaine de films entre 1965 et 1974, dont « The Life of Juanita Castro » . Elle a continué à travailler comme artiste jusqu’à sa disparition, après avoir frôlé la mort en 1973. Musicienne, actrice, artiste: cette Iséroise aux talents multiples, qui partageait sa vie entre New York et Nice, a récemment fait l’objet d’une exposition à la Dillon Gallery de Chelsea.

Pourquoi ne trouve-t-on pas de Kinder Surprise aux Etats-Unis ?

Parce qu’ils ont toujours été interdits !
“Les oeufs en chocolat Kinder sont interdits de vente et d’importation aux Etats-Unis car ils contiennent un jouet caché à l’intérieur, ce qui engendre un risque d’étouffement et d’aspiration pour les enfants âgés de moins de trois ans”, affirme le service fédéral des douanes et de la protection des frontières, dans un communiqué, qu’il diffuse à l’occasion de Pâques et de Noël. L’administration met notamment en garde les touristes et les étrangers contre toute importation illégale de cette marchandise.
Une réglementation américaine, qui remonte aux années 30, prohibe en effet la dissimulation d’un élément non comestible à l’intérieur d’un aliment.
Régulièrement, les douanes effectuent des perquisitions d’oeufs. Le 6 novembre 2013, elles ont par exemple saisi 108 oeufs en provenance d’Allemagne. En 2011 60 000 oeufs -un record-  ont été saisis pendant l’année. Des individus surpris avec des oeufs Kinder sur le territoire américain s’exposent à des amendes de plusieurs centaines de dollars par oeuf.
Partout ailleurs dans le monde, ces chocolats sont une poule aux oeufs d’or pour Ferrero. Depuis leur création en 1974, l’entreprise italienne en a vendu 30 milliards – avec au total, 8 000 jouets différents.
L’année dernière, Candy Treasure, une entreprise américaine, a tenté d’investir ce marché en contournant la loi. Dans les oeufs Choco Treasure, le jouet est visible de l’extérieur (entre les deux moitiés de l’oeuf), et passe ainsi au travers des mailles de la réglementation.

16 façons d'avoir l'air bête à New York

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Malgré nos meilleurs efforts pour se fondre dans la masse, il y a quelque chose qui ne passe pas. Que cela soit écrit “touriste” ou “expat” ou non sur notre front, les coutumes locales, on a parfois un peu de mal à s’y faire. Ce qui donne lieu a des situations cocasses. Cette liste provient de plusieurs années d’apprentissage douloureux.
1. Quand on ne comprend pas votre accent alors que ça fait des années que vous vivez ici
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2. Quand on tente de poster des lettres dans la boîte verte avec le logo de la poste…qui n’est en fait qu’une boite de relais pour les postiers

 
3. Quand on laisse sa carte bancaire dans le distributeur et que l’on attend, longtemps. Ici, on “swipe”!
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4. Quand on monte dans un métro express sans s’en rendre compte, que l’on atterrit 5 arrêts après le nôtre, et que l’on refait le chemin inverse avec un métro local comme si de rien n’était
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5. Quand on se prend la tête avec un serveur parce que on a oublié de lui laisser un pourboire
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6. Quand une vendeuse nous demande « debit or credit? » à la caisse et qu’on lui tend notre carte bancaire pour qu’elle puisse répondre toute seule à sa question
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7. Quand on allume une clope dans un parc et que quelqu’un nous lance un regard noir en nous disant qu’il est interdit de fumer. 
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8. Quand on fait un scandale à la caisse d’un magasin parce que le prix affiché n’est pas le prix payé
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9. Quand on attend le bus et que l’on monte dedans comme un sauvage. Non, ici les gens sont civilisés
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10. Quand on marche à contre sens sur le trottoir…
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11. Quand on veut nous aussi aller faire notre footing à Central Park pour pouvoir le dire à nos potes en France, et qu’on se rend compte qu’on n’a pas le niveau 
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12. Quand on n’arrive toujours pas à s’orienter à la sortie d’une bouche de métro
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13. Quand on donne une mauvaise direction à un touriste alors que l’on habite à New York depuis quinze ans.
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14. Quand on découvre la carte de Starbucks
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15. Quand on fait la bise à un/une Américain(e) au lieu de lui serrer la main 
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16. Quand on fraude dans le subway (alors que personne ne le fait)
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Expatriés: investir malin pour les entreprises et les particuliers

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(Article partenaire). Comment planifier votre retraite quand vous êtes Français aux Etats-Unis ? Comment optimiser votre stratégie d’investissement, et comment assurer correctement votre famille? Alexandre Mansour détient les réponses aux questions que vous vous posez. Conseiller au sein d’Axa Advisors, il s’adresse aux expatriés français aux Etats-Unis, particuliers et entreprises. 
Pourquoi s’adresser aux expatriés ?
Les expatriés sont une niche du marché dont personne dans l’industrie ne s’occupe. Ils ont des besoins très particuliers. Certains veulent passer leur vie ici, d’autres veulent rentrer en France. Nous accompagnons également les entreprises qui souhaitent s’implanter sur le territoire américain.
Pour les individus, au niveau des impôts, que se passe-t-il s’ils ont l’intention de rentrer en France. Doivent-ils rapatrier leurs fonds des Etats-Unis ? Et s’ils emménagent aux Etats-Unis, que font-ils de ce qu’ils ont en France ? Le but pour moi, c’est d’accompagner ces individus qui ont des questions,  et également les mettre en contact avec des avocats, des comptables et d’autres sociétés de services.
Quels sont les avantages à passer par Axa?
Passer par la plateforme Axa leur permet d’avoir accès à un éventail de services spécifiquement mis en place pour eux.  Axa est la plus grande société financière et d’assurance au monde. En tant que société d’assurance, nous avons accès à des produits financiers aux taxations très avantageuses. En termes de conseil en investissements, nous sommes l’une des équipes qui travaille le mieux aux Etats-Unis. Et il n’y a pas de coût supplémentaire pour le client lorsqu’il utilise nos services, alors pourquoi ne pas les utiliser? Dans l’équipe, nous venons tous d’horizons très différents. J’ai voyagé pendant onze ans et j’ai vécu en Chine, au Japon, en Inde et en Roumanie. J’ai eu des expériences professionnelles et d’étudiant sur tous les continents. J’ai deux MBA. J’ai acquis une manière de penser innovante.
Quelle est votre clientèle?
Les individus, et les entreprises, que nous aidons viennent de tous les horizons, et beaucoup sont dans la finance, ou sont des avocats. Ce sont surtout des individus qui travaillent de longues heures, et qui n’ont pas le temps de s’occuper de leurs finances personnelles. Les particuliers représentent la majeure partie de notre activité. Tout ce qui est optimisation fiscale, assurance-vie, planification de retraite, droit de succession, planification financière constituent le cœur de mon métier. 
Pourquoi ont-ils besoin d’aide ?
Les Français sous-estiment la difficulté du système américain. En général, les individus ne savent pas quoi faire, et ont tout simplement besoin d’obtenir les bonnes informations pour mettre en place leur stratégie. Mon but, c’est de les accompagner dans leurs démarches. Ensuite, il y a la question de la taxation des droits de succession, pour laquelle nous avons des stratégies attractives.  Tous les traités entre la France et les Etats-Unis intéressent aussi nos clients. Aux Etats-Unis, nous sommes dans un environnement moins punitif qu’en France quand on connait les règles.
Comment les prenez-vous en charge ?
Chaque membre de l’équipe a une spécificité particulière. Certains s’occupent uniquement de planification de retraite, d’autres d’assurance-vie et d’avantages collectifs pour les entreprises, et d’investissements. Pour chaque client, on va réussir à trouver la bonne combinaison.
On a un panel de services très large. Le seul moyen de savoir si je peux aider, c’est de discuter. Ça prend un quart d’heure. Je crois dans les relations durables. Si je ne peux pas aider, mais que j’ai un réseau d’avocats, de comptables et une société de services, je vais mettre mon interlocuteur en contact. L’objectif: faire de la qualité et non du volume. Cela me distingue de la compétition. C’est pour cela que les Français aiment bien travailler avec nous: nous offrons une méthode de travail à la française avec une dynamique américaine. Si un Français veut monter une filiale ici, il a accès à un réseau que j’ai mis des années à créer ici.
Pour contacter Alexandre Mansour

Tel: 212 541 1957

Site: www.expats-advisor.com

Le PDG de XL Airways: "Les Etats-Unis sont notre premier marché"

Arrivée aux Etats-Unis il y a cinq ans, XL Airways s’est fait une place sur le marché transatlantique et dessert désormais New York, Miami, San Francisco et Las Vegas depuis Paris. Et opère un Marseille-New York. Si la compagnie (propriété à 100 % du fonds américano-suisse Beachside) a perdu de l’argent l’an dernier, notamment aux Antilles, les bonnes nouvelles sont venues d’Amérique. Et vont continuer: Laurent Magnin annonce pour l’an prochain une ou deux autres villes de province. Interview.
French Morning: Comment marchent les choses pour XL Airways aux Etats-Unis?
Laurent Magnin: Bien! C’est notre premier marché, tant en taux de remplissage qu’en rendement. Le marché transatlantique est certes “sous contrôle”, dominé par les grandes compagnies, mais une petite comme la nôtre peut “passer sous le radar” et nous profitons d’être tournés avant tout vers les touristes. Cette année nous avons une stagnation de la demande en France, mais ça a été plus que compensé par la progression de nos ventes aux Etats-Unis: désormais 35% de nos vols transatlantiques sont achetés depuis le territoire américain, principalement par des Français expatriés mais aussi de plus en plus par des Américains.
FM: Vous communiquez principalement sur vos prix. Votre priorité est d’être moins cher qu’Air France?
Laurent Magnin: Notre objectif est d’offrir un vol direct au même prix que les vols avec escale, ce qui nous place logiquement très en-dessous des autres compagnies en vol direct. La conséquence, c’est qu’en arrivant sur les vols transatlantiques (il y a 5 ans, NDLR), nous avons finalement redonné à une entreprise française des parts de marché qui partaient avant à des compagnies étrangères.
Ce qui nous permet d’être moins cher, c’est avant tout d’avoir fait le choix de la saisonnalité. Sur cette destination, de mai à septembre, la demande est très forte et les avions de toutes les compagnies sont pleins. Mais l’hiver, c’est beaucoup plus difficile: les compagnies traditionnelles perdent de l’argent qu’ils récupèrent l’été. Nous, l’hiver nous mettons nos avions sur des destinations plus rentables, ce qui nous permet d’offrir ces tarifs les moins chers l’été!
FM: L’an dernier vous avez volé entre Paris et New York jusqu’à Noël, vous ne le ferez donc pas cette année?
Laurent Magnin: Non cette année nous arrêtons sur cette destination le 6 septembre, en revanche nous allons reprendre pour les vacances de Noël. Et surtout nous allons continuer notre expansion aux Etats-Unis. Après New York, Miami, San Francisco et Las Vegas, nous envisageons d’ajouter Los Angeles.
FM: Côté français, l’ouverture de la liaison Marseille-New York a eu des résultats mitigés l’an dernier. Cela signifie qu’il n’y a que Paris qui marche?
Laurent Magnin: Au contraire! Nous avons ouvert l’an dernier. Il faut toujours deux à trois ans pour qu’une nouvelle destination marche. Nous avions bien marché en juillet et août, c’est pour cette raison que nous n’avons conservé que ces deux mois cette année, mais nous allons repasser à juillet-septembre en 2015. Et surtout, nous croyons tellement aux destinations de province que nous avons l’intention d’en ouvrir deux nouvelles dès l’année prochaine. Nous avons lancé un appel à candidature auprès de Bordeaux, Toulouse, Lyon et Nantes et, après étude de marché, nous ferons le choix en septembre pour une ouverture l’an prochain.
 

Du poker à la photo: Sharalike vise le jackpot

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Pour présenter son entreprise, Aymeric Vigneras a un pitch bien rodé. « Je me baladais avec des amis à Cape Cod, et nous avions fait plein de photos. Je leur avais promis un petit montage. Cela m’a pris des heures, c’était pénible. Je me suis dit qu’il y avait un moyen de rendre cela plus facile. C’est comme cela qu’est né Sharalike. »
Une idée simple qui lui a valu de gagner, jeudi 12 juin, la première place d’un concours de start-ups organisé par Boston Tech Jam.
De quoi s’agit-il, exactement ? D’une application gratuite (sur iOS et sur le web) permettant de trier vos photos et vidéos, et réaliser des petits montages automatiquement. « Notre volonté, c’est de rendre cette activité sympa, divertissante, comme un jeu. »
Et question jeu, Aymeric Vigneras s’y connait. Ce Français était arrivé aux Etats-Unis en 2010 en tant que patron d’Everest Gaming, plateforme française de poker en ligne rachetée par la société américaine CIDC. « Sharalike est ma troisième société. J’ai déjà créé, à Paris, une société d’édition de logiciels, puis une société de conseil » affirme Aymeric Vigneras, qui travaille aussi, depuis Boston, comme consultant pour des entreprises françaises s’installant aux Etats-Unis.
Son associé, Etienne Leroy, est aussi un habitué du tapis vert : ce diplômé de l’école de commerce de Reims a travaillé dans le milieu du jeu en ligne, en France puis à Boston.
Reste que le pari n’est pas sans risques : Sharalike est loin d’être la seule application sur ce créneau, qui compte d’autres joueurs comme Flipagram ou Magisto. Mais les deux Français espèrent se distinguer par l’aspect pratique du format de partage (un lien HTML), et par leur technologie qui reconnait les meilleures images.
Installés dans les locaux du Cambridge Innovation Center, les deux associés ont réuni une mise de 900.000 dollars (famille, amis, et quelques angels), et revendiquent, en trois mois d’existence, 12.500 utilisateurs. Ils réfléchissent désormais à un modèle économique viable. « A priori, les cinq premiers gigas seront gratuits, et ensuite il faudra payer pour avoir plus d’espace », détaille Etienne Leroy. La formule pour décrocher le jackpot ?

L'art surnaturel de Philippe Avignant à Brooklyn

Les œuvres de l’artiste-peintre français Philippe Avignant seront exposées à la galerie Warehouse 623 de Brooklyn, du 26 juin au 16 juillet.
Aussi bien influencé par le mouvement punk des années 1970 et 1980 que par les maîtres de la Renaissance, l’art de Philippe Avignant ne laisse pas de marbre. Grâce à l’utilisation de couleurs fortes – quand ses œuvres ne sont pas en noir et blanc – l’artiste parvient à créer un univers sobre, macabre parfois, habité par des personnages défigurés, étonnamment agréables à regarder. Installé à New York depuis 2003, c’est la cinquième fois que Philippe Avignant expose son travail dans la ville. Il a aussi fait l’objet d’expositions en France.

Dans la presse US: "Les Bleus ont la rage"

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Revue de presse. Et 1, et 2 et 3-0 ! La France a raté sa sortie du mondial 2010, elle a réussi son entrée dans celui de 2014 en venant à terme d’une équipe du Honduras généreuse en tacles vicelards et coups de coude.
Avant que la France ne remporte ce premier match, ABC News décidait de nous rappeler quelques mauvais souvenirs, en revenant, vendredi, sur le parcours chaotique des Bleus en 2010. Mais cet échec peut se transformer en force, selon la chaine: « tirer cette difficile leçon de l’expérience traumatisante de la Coupe du Monde 2010 a rendu la France plus forte, et les joueurs sont prudents mais optimistes quant à leurs chances d’aller loin cette fois », commence l’article.
Il y a quatre ans, les Bleus plongeaient la France et le monde du sport dans l’embarras, refusant de s’entraîner et ne parvenant pas à gagner un seul match de poule. Mais les temps ont changé: « Ce groupe a la rage, il est concentré et déterminé à se rattraper pour ses erreurs ». Si ABC devait parier sur un joueur, ça serait sûrement Karim Benzema qui, selon la chaîne, a fait « une saison couronnée de succès ». Elle ne s’est pas trompée puisque l’attaquant du Real Madrid a mis deux buts hier face au Honduras.
Le New York Daily News revient lui sur une drôle d’histoire. Il rapporte les propos de Didier Deschamps, affirmant qu’un drone a été utilisé pour espionner les Bleus lors de leur entrainement en vue de leur match contre le Honduras. Mais le quotidien n’est pas dupe. « Si le Honduras est derrière le coup, c’est un échec : la France a piétiné Los Catrachos 3 à 0 ». En tout cas, la FIFA mène l’enquête.
L’article rabat-joie du jour se trouve dans leWashington Post. Dans un article au titre désenchanté  – « La Coupe du Monde ne rassemble pas les peuples. Elle les déchire » – Omer Aziz ne fait pas dans la nuance. « Les compétitions sportives internationales entretiennent les veilles rancœurs ethniques et nationales entre les peuples et elles renforcent les divisons, la ségrégation et la diabolisation des autres ».
Pour appuyer son argument, il revient sur la violence qu’avait engendré le match perdu des Russes contre les Japonais à la Coupe du Monde 2002, faisant deux morts après des échauffourées. Pour lui, pas de doute : « La seule façon dont la Coupe du Monde rassemble les peuples, c’est en leur donnant encore une nouvelle raison d’hurler que leur pays est meilleur que le vôtre ».
BNP dans le rouge
On laisse le football de côté pour s’intéresser à l’affaire BNP Paribas. Le Wall Street Journal revient sur l’amende possible infligée à la banque français et affirme que « le gouvernement français a fait des progrès en tentant de convaincre les autorités américaines de modérer l’amende potentielle de 10 milliards d’euros infligée à la banque française BNP Paribas ».
Le journal rapporte que le gouvernement  «  a cherché à influencer la négociation sur la pénalité encourue » tout en rappelant que François Hollande en personne aurait écrit une lettre à Barack Obama pour réclamer des sanctions moins importantes. Selon le journal, le plus probable serait que la banque puisse faire l’objet de restrictions sur certains transferts d’argent via les bureaux new-yorkais de la banque. “Une alternative moins drastique que de révoquer la licence de la banque, ce qui l’obligerait à cesser ses activités aux Etats-Unis“.
Cadenas d’amour, cadenas de mort
Les cadenas de l’amour sur le Pont des Arts de Paris continuent de faire parler d’eux, et pour cause un morceau du grillage avec les dits cadenas s’est effondré, obligeant les autorités à fermer temporairement le pont. « Les milliers de cadenas qui cliquettent sur le Pont des Arts à Paris sont devenus un symbole de danger plutôt que d’amour, après qu’un bout du grillage se soit effondré sous leurs poids », peut-on lire dans USA Today .
Si l’article précise que personne n’a été blessé, il affirme néanmoins qu’il devient urgent de trouver des alternatives à cette expression de romantisme. USA Today précise que « la ville a déjà sollicité les suggestions d’artistes sur ce qu’elle peut faire des cadenas lorsque le grillage s’effondre ». En attendant la réponse, reste à espérer que le pont ne commence pas à s’affaisser sous le poids de l’amour.

Yelle s'offre une nouvelle tournée américaine

La romance entre les États-Unis et Yelle n’en finit plus. Julie Budet, Grand Marnier, Tepr forment un trio atypique qui rencontre un succès florissant à l’étranger, et plus particulièrement aux États-Unis.
Vingt-trois dates viennent d’être annoncées pour leur nouvelle tournée en Amérique, qui se déroulera en octobre et novembre 2014 : le groupe se produira entre autres à New York, San Francisco et Los Angeles.
C’est par le réseau social MySpace que Yelle se fait connaître avec le single “Je veux te voir”, en 2006 . Alliant paroles provocatrices et sonorités disco/eigthies , le trio électro-pop français détonne (peut-être un peu trop pour le public français). Qu’importe, les Américains eux, adorent.
Avec deux albums au compteur, le groupe s’impose parmi les artistes français les plus en vogue à l’étranger. 2011, c’est l’année charnière pour Yelle : avec la sortie de son second opus Safari disco club, le groupe réalisait 132 concerts sur 150 à l’étranger sur cette seule année. C’est dire! Aux États-Unis, il débarquait à Coachella et commençait à remplir les salles à travers le pays. Enfin, en Grande-Bretagne, Katy Perry entichée de la chanteuse du groupe, l’invitait sur sa tournée britannique. La consécration.
 
 

Patrick Bruel: « L'équipe de France ira loin »

Ça n’est pas un secret : Patrick Bruel est un grand fan de foot. Régulièrement au Parc des Princes pour soutenir son équipe fétiche, le PSG, c’est aussi un fan des Bleus.
Alors, quand French Morning l’a eu au téléphone pour parler de sa tournée prochaine aux Etats-Unis, on n’a pas résisté à l’envie de lui demander ses pronostics pour la Coupe du Monde de football.
Le chanteur, comédien, et champion de poker en est persuadé: « la France ira loin dans cette compétition ». Avant de concéder: « J‘avais plus de certitudes avant que l’on perde deux joueurs exceptionnels, Clément Grenier et Franck Ribéry, en deux jours ». Les deux talentueux millieux de terrain sont forfait pour le mondial, l’un pour une blessure aux adducteurs, le second pour une lombalgie. Patrick Bruel va même plus loin. « Ca serait génial qu’on ait un quart de finale France-Allemagne, et une demi-finale contre le Brésil ».
Bon joueur, il précise aussi qu’« il y a beaucoup d’équipes exceptionnelles à suivre pendant la coupe du monde ». Pour lui, la Belgique et l’Uruguay méritent qu’on s’intéresse à elles. «En tout cas, conclut-il, ça sera certainement un premier tour tout plein de surprises !». On l’espère aussi!

Cécile McLorin Salvant, princesse du jazz, revient à New York

Si vous ne connaissez pas le phénomène Cécile McLorin Salvant, c’est le moment de vous y mettre.
La chanteuse de jazz francophone, nominée aux Grammy Awards dans la catégorie Meilleur Album de Jazz Vocal pour son album “WomanChild”, sera en concert le 24 juin au Damrosch Park à New York.
Née à Miami, formée au chant lyrique à Aix en Provence, la jeune femme de 24 ans, d’origine haïtienne et guadeloupéenne, est une étoile montante de la scène jazz mondiale. Elle séduit les foules qui la croisent dans des festivals en Europe et aux Etats-Unis. Et malgré, son jeune âge, elle a joué avec les plus grands. Parmi eux, Wynton Marsalis et son Orchestre Jazz at Lincoln Center, Aaron Diehl, Rodney Whitaker et Jacky Terrasson. En 2010, elle remporte la compétition Thelonious Monk, graal des musiciens de jazz.