Accueil Blog Page 1285

San Francisco plonge dans "Le passé"

L’excellent “The Past” (ou “Le passé” en bon français) sort le 27 décembre au Clay Theatre.
Après plusieurs années d’absence, Ahmad (Ali Mosaffa) débarque à Paris depuis Téhéran afin d’organiser son divorce avec Marie (Bérénice Béjo). Il va découvrir les relations délétères entre Marie et sa fille aînée, mais aussi avec les enfants de son nouveau compagnon (Tahar Rahim)… Non sans difficulté, il va jouer le rôle d’observateur et d’arbitre.
Avec seulement quelques films et un Ours d’or à Berlin pour “Une séparation”, Asghar Farhadi est devenu le cinéaste iranien le plus en vogue. Tourné dans la langue de Molière, “Le passé” reprend les recettes qui ont fait le succès du cinéaste: un scénario à tiroir et une direction exigeante des acteurs. “Le passé” permet aux Etats-Unis de redécouvrir Bérénice Béjo, après son rôle dans “The Artist”. Son personnage de mère tiraillée entre ses deux hommes, à contre-emploi pour une actrice que l’on voit dans des rôles plus glamours d’habitude, lui sied comme un gant. Tahar Rahim, tout en retenue, montre aussi qu’il en a sous le pied.
“Le Passé” monte progressivement en puissance. Au début, on pense que les deux heures vont être bien longues. On en sort emballé.

Ubu Roi règne sur San Francisco

C’est le pire roi de l’histoire, mais sans doute la pièce d’Alfred Jarry la plus réussie. Ubu Roi monte sur son trône du 24 janvier au 23 février au Cutting Ball Theater.
Symbole par excellence du théâtre de l’absurde, la pièce se veut une parodie du MacBeth de Shakespeare. Alfred Jarry a remplacé pour l’occasion le héros du metteur en scène britannique par un monarque grotesque, méchant et enfantin. Une machine à décerveler fait son apparition dans le script, qui met en scène la rivalité entre Bougrelas, le Père Ubu et la Mère Ubu, méchante manipulatrice qui pousse son mari à suivre ses délires – il veut notamment tuer tous les Nobles.
Une pièce délicieuse devenue un classique du théâtre français, à ne manquer sous aucun prétexte si vous souhaitez réviser vos classiques. Et ressortir quelques citations à vos proches, comme “La liberté, c’est de n’arriver jamais à l’heure“.  La mise en scène est assurée Yury Urnov.

Cotton Bowl: une tradition de foot américain à Arlington

En 78 ans, il n’a pas pris une ride… Le Cotton Bowl, compétition annuelle de football universitaire, est devenu une tradition pour les fans du sport. Et elle est de retour à Arlington.
Créée en 1937, la manifestation rassemble deux des meilleures équipes de foot américain au niveau universitaire. L’édition 2014 aura lieu le 3 janvier au Cowboys Stadium d’Arlington, histoire de bien commencer l’année. Le match opposera les équipes d’Oklahoma State à leurs ennemis jurés les Missouri Tigers. Même si vous n’êtes pas un expert en football américain, la tradition vaut le détour. Il vous en coûtera tout de même 140 dollars.
Pour la petite histoire, chaque équipe reçoit 7,4 millions de dollars rien que pour participer. C’est donc vrai: l’essentiel n’est pas de gagner.

A la recherche du meilleur élève de français aux Etats-Unis

Enseignants de français, c’est l’occasion de montrer que vos élèves sont les meilleurs. L’American Association of Teachers of French (AATF) organise son “Grand Concours/National French Contest” en février et mars dans l’ensemble des 50 Etats. Les inscriptions sont ouvertes.
“Le Grand Concours”  est ouvert aux élèves de 1st à 12th Grade. Les élèves de 1st à 6th Grade devront passer le “concours FLES”, qui consiste en plusieurs épreuves (compréhension écrite, lecture, oral) déterminées par le niveau des élèves et la nature de leur programme de français. Les épreuves sont assurées au sein de la salle de classe et notées par l’AATF. Elles auront lieu du 14 au 28 février pour les Grades 1 à 6, du 7 au 12 mars pour les Grades 7 à 12.
Plusieurs prix sont à gagner. Les enseignants intéressés sont priés de contacter le responsable du concours dans leur Etat.

Le train miniature fait son show dans le Bronx

0

Les trains miniatures investissent le Bronx en masse. Le New York Botanical Garden déroule son traditionnel “Holiday Train Show” jusqu’au 12 janvier.
Petits et grands pourront y decouvrir une reproduction de New York et certains de ses monuments (Empire State Building, Radio City Music Hall, Brooklyn Bridge). Une dizaine de trains miniatures évolueront dans cet impressionnant paysage confectionné à partir d’éléments naturels (bois, feuilles, plantes, fleurs, baies).
Les prix varient de 20 dollars pour les adultes à 10 dollars pour les 2-12 ans. Pour les petits et les grands enfants, plusieurs activités ludiques et pédagogiques sont organisées autour de l’univers du train.

Treize rooftops pour réchauffer votre hiver à New York

0

Ce n’est parce que l’hiver bat son plein qu’il faut délaisser les rooftops de New York. Heureusement pour les frileux (et les amateurs de belles vues), nombre d’entre eux sont couverts.

Le Skylark, le nouveau rooftop du Fashion District, compte plusieurs étages et de belles baies vitrées donnant sur l’Hudson River, Times Square et l’Empire State. Ouvert en semaine Les samedis et dimanches sont consacrés à des soirées privées. 200 West 39th Street 30th Floor New York, NY 10018 (212) 257-4578

Le célèbre 230 Fifth dispose de deux étages : l’un couvert, l’autre en extérieur. Les visiteurs souhaitant s’aventurer dehors pour profiter de la superbe vue sur l’Empire State Building qui fait la réputation de l’établissement pourront revêtir les peignoirs disponibles sur place. 230 5th Ave, New York, NY 10001 – (212) 725-4300

Le Press Lounge de l’Ink48 Hotel  c’est également toute l’année ! Magnifique vue sur les buildings de Manhattan garantie ! Petit conseil : un coup de fil avant de vous y rendre est conseillé pour savoir si le rooftop n’accueille pas de soirées privées.  653 11th Avenue New York, NY 10036 – (212) 757-0088

A Times Square, The View , rooftop rotatif (si si !) du Marriott Marquis, une vue sensationnelle sur les gratte-ciel de Midtown et l’Hudson River. Un surcout sur les boissons s’applique aux non-clients de l’hôtel. Marriott Marquis Hôtel, 1535 Broadway New York, NY 10036 – (212) 704-8900

Le Gansevoort Park Rooftop  dispose d’une vue imprenable sur l’Empire State Building ! Appareil photo obligatoire ! 420 Park Avenue South, New York, Ny 10016 – (646) 380-5315

L’Hudson Terrace accueillera également les visiteurs cet hiver. En prime, une vue sur l’Hudson River à couper le souffle ! Attention toutefois, certaines soirées sont consacrées aux « private parties ». Une fois n’est pas coutume, un petit coup de fil avant de vous y rendre est conseillé. 621 W 46th St, New York, NY 10036 – (212) 315-9400

Le Wythe Hotel à Brooklyn propose également une vue splendide de Manhattan. Y aller pour le coucher du soleil et ne pas se laisser impressionner par les files d’attentes artificiellement créées par les videurs. A noter que la partie couverte du rooftop est petite. On peut rapidement s’y sentir à l’étroit aux heures de pointe.  80 Wythe Ave. at N. 11th Williamsburg, Brooklyn, NY 11249 – (718) 460-8000

L’Upstairs du Kimberly Hotel dispose quant à lui d’un plafond rétractable (pratique en hiver !). En prime, une vue de choix sur le Chrysler Building ! 145 E 50th St New York, NY 10022 – (212) 888-1220

L’Empire Hotel propose une vue sur le Lincoln Center et l’Upper West Side, plutôt pas mal non? 44 West 63rd Street, New York, NY 10023 – (212) 265-7400

Le PH-D est également ouvert cet hiver et propose une vue sensationnelle sur la New York Skyline. Attention toutefois, des soirées privées sont souvent organisées sur ce rooftop. Un appel préalable est préférable pour éviter toute mauvaise surprise. 355 West 16th Street, New York, NY, 10011 – (212) 229-2511

Le rooftop du Refinery Hotel est aussi ouvert tout l’hiver et propose à ses clients une vue sur les hauts buildings de Manhattan ainsi que sur l’Empire State Building. 63 W 38th St, New York, NY 10018 – 646-664-0310

Le Penthouse 808 dispose également une vue magnifique de Manhattan depuis le Queens, et surtout du majestueux Queensboro Bridge. 8-08 Queens Plaza S Long Island City, NY 11101 – (718) 289-6118

Pour terminer, un « mini rooftop » : celui du restaurant éphémère de Bryant Park, Celsius. Depuis son deuxième étage, il offre une belle vue sur la patinoire du parc. Attention : mieux vaut venir tôt (vers midi) pour profiter de son étage couvert. Les prix sont élevés mais les plats sont bons. Le restaurant ne sert pas d’expresso.

Une série de wébinaires pédagogiques pour les enseignants FLE

En janvier, les enseignants de Français langue étrangère font aussi leur rentrée… en ligne. L’Association américaine des professeurs de français (AATF) et les Services Culturels de l’Ambassade de France lancent un cycle de wébinaires pédagogiques animés par le Centre de Linguistique Appliquée (CLA) de l’Université de Franche-Comté.
Le premier rendez-vous, le 16 janvier de 15h30 à 17h (EST), aura pour thème “comment varier les supports d’apprentissage dans l’enseignement du FLE pour motiver les adolescents ?“. Un formateur proposera notamment une boîte à outils de pratiques innovantes.
Les participants auront la possibilité de poser des questions à l’issue de la présentation. Les personnes intéressées doivent confirmer leur participation avant le 8 janvier. Il suffit d’envoyer un e-mail vide à [email protected] en écrivant seulement l’objet (sujet): sub webinaire-cla
Les autres webinaires sont prévus pour le 13 février, 13 mars, 17 avril et 15 mai.

Provence 1970: à table avec Julia Child

Il aura suffi d’une sole meunière dorée à souhait, arrosée d’un Pouilly-Fumé en 1948, à Rouen, pour que le paysage de la gastronomie américaine change.
Fraichement débarquée en France, Julia Child (souvenez-vous, « Julie & Julia ») découvrait la cuisine française en une nano-seconde de plaisir aigu. Celle qui allait devenir une icône de la télévision américaine dans les années soixante grâce à son émission “The French Chef” aura vécu ce déjeuner comme un éblouissement.
On sait moins, en revanche, que Child et son mari Paul ont accueilli, pendant plusieurs semaines de l’hiver 1970, à La Pitchoune, sa maison de campagne à Plascassier, plusieurs pointures de la cuisine américaine pour des diners savoureux. Parmi elles, Mary Frances Fisher alias “M.F.K. Fisher”, pionnière de la littérature gastronomique américaine
Aujourd’hui, Luke Barr, auteur et journaliste, accessoirement le petit neveu de “MF”, nous fait revivre ces quelques semaines enchantées que sa grand-tante passa en Provence dans son nouveau livre Provence 1970 (Clarkson/Potter). “En fouinant dans les archives familiales,  raconte Barr,  j’ai trouvé un cahier turquoise : c’était le journal tenu par ‘MF’ cet hiver là.”
Barr ravive, grâce à sa plume élégante et appétissante, la série de personnages clés du monde gourmet des Etats-Unis qui prirent part aux repas provençaux.“Il y avait le chef et auteur James Beard, un Gargantua au cheveu rare d’un mètre quatre-vingt dix pour 135 kilos,  qui avait troqué ses rêves de chanteur d’opéra pour devenir le paterfamilias de la cuisine américaine.”  Ce dernier, auquel nous devons une vingtaine de livres de recettes, était venu en France – ironie du sort – dans le but de perdre du poids dans une clinique à Grasse.
« Richard Olney, né dans un minuscule village de l’Iowa était lui « monté » à Paris, d’abord pour peindre. Il avait appris à cuisiner seul et s’était fait connaître du magazine Cuisine et Vins de France grâce à un mémorable pot-au-feu. » Installé près de Toulon, il vivait une existence d’expat bohême et venait de publier son premier livre The French Menu Cookbook.
Quant à Judith Jones, également de la partie, elle était éditrice chez Knopf, avait publié le Journal D’Anne Frank en 1950, puis découvert Julia Child.
D’abord en cuisine où tout le monde s’affaire, puis à table, les ragots parisiens et américains vont bon train. On épluche les recettes : Quel vin pour quel plat ? Et pour quel autre ? Les convives s’amusent tardivement, au gré des nuits provençales.
Jusqu’au moment où “MF” en a assez. Ces discussions finissent par l’ennuyer. Elle sent que la France est en proie à une révolution culinaire. L’époque de la haute cuisine tire à sa fin et Barr nous emmène avec elle a la recherche d’une autre inspiration, saisonnière et finalement américaine.
 
 

Motown, the musical: presque parfait

“My girl” de Michael Jackson, “What’s going on” de Marvin Gaye, “Ain’t no mountain high enough” de Diana Ross… Autant de hits produits par Motown, label mythique de Detroit. “Motown the musical”, présentée depuis avril 2013, entend raconter l’histoire de cette machine à propulser des stars, au travers de la vie du fondateur du label, Berry Gordy.
Le pitch :  A la fin des années 50, le jeune Berry Gordy, fils d’épicier, ex-soldat et ex-boxeur, crée son label avec une ambition : en faire une machine à produire des stars. En quelques années, il repère et place en tête des hits parades des chanteurs comme Diana Ross, Marvin Gaye, Smoky Robinson, les Jackson Five, Martha & the Vandellas, Steevie Wonder…. Le spectacle aborde aussi la liaison entre Berry Gordy et Diana Ross, ainsi que les divers conflits internes qu’a connu Motown, jusqu’à son déménagement à Los Angeles en 1972.
On a aimé : La musique ! Des tubes planétaires joués, chantés et chorégraphiés par des chanteurs/danseurs pleins de talent. Idéal pour ceux qui aiment le son Motown. La performance du jeune garçon qui incarne Michael Jackson est convaincante. On y va aussi pour l’ambiance dans la salle : le public, sollicité par les acteurs, entonne à plusieurs reprises certains tubes.
On a moins aimé : La pauvreté des dialogues, et cette façon parfois maladroite de raccrocher certaines paroles de chansons à l’histoire de Berry Gordy. Le show tend à ressembler à une succession de tubes (souvent tronqués), présentés à la chaine.
Niveau d’anglais nécéssaire pour apprécier le spectacle : 2/5 (1/5 = débutant, 5/5 = bilingue). Conseil pour ceux qui ne sont pas bilingues : se familiariser avec l’histoire de Motown et la vie de Berry Gordy (par exemple ici).
Tarif : à partir de 69 $ (en mezzanine) sur Broadwaybox.com. Spectacle à 19h30 (+ à 14h le week-end). Relâche le lundi ou le mardi selon les semaines.
Note French Morning : 4/5

Pourquoi les Françaises vieillissent bien selon Mireille Guiliano

C’est bien connu: les Françaises vieillissent bien. Pour expliquer ce miracle, Mireille Guiliano, auteure de French Women Don’t Get Facelifts, donnera une conférence au French Institute Alliance Française (FIAF) le 16 janvier. Les tickets sont en vente.

Dans son livre, Mireille Guiliano, qui est franco-américaine, raconte avec humour comment les Françaises font pour vieillir en restant en forme. Le livre sortira le 24 décembre. L’auteure est devenue célèbre en 2004 en publiant Why French Women Don’t Get Fat, un best-seller aux Etats-Unis et dans d’autres pays. Elle y décortique le fameux “French paradox”, qui veut que les Français mangent gras sans prendre de poids, et la manière dont la gastronomie et le mode de vie français ont changé sa manière de manger.
La conférence au FIAF est en anglais.

Pourquoi l'âge légal pour boire de l'alcool aux US est-il de 21 ans ?

Je sais, c’est stupide car les cigarettes sont autorisées à un plus jeune âge“. Même pour un Américain, il est difficile d’expliquer à un étranger pourquoi l’âge légal pour consommer de l’alcool aux Etats-Unis est de 21 ans.  “Le pays considère qu’avant cet âge, on ne peut pas prendre ce genre de décision sagement“, raconte John Bandman, spécialiste américain du vin, membre de la Sommelier Society of America.

A ce jour, les Etats-Unis font partie des pays dont l’âge légal pour acheter et consommer de l’alcool en public est le plus élevé (il est de 18 ans en France). Cette disposition remonte au vote du National Minimum Drinking Age Act de 1984, qui règlemente l’âge d’achat et de consommation d’alcool en public. Auparavant, l’âge légal était de 18, 19 ou 20 ans dans la plupart des Etats, mais face à l’importance du nombre d’accidents de la route notamment, les parlementaires ont décidé de sévir en plaçant l’âge légal a 21 ans, âge de majorité dans la plupart des Etats jusque dans les années 70. A l’époque, l’alcool était responsable de 60% des accidents, et deux-tiers des morts en voiture pour cause d’alcool étaient des individus âgés de 16-20 ans.

Suite à l’adoption de la loi, chaque Etat a dû voter la hausse de l’âge minimum à 21 ans. Les résultats ont été impressionnants: le nombre de morts de 16-20 ans sur les routes a chuté de moitié, selon le Departement américain de la Santé.

Aujourd’hui, certains Etats se montrent plus “flexibles”, autorisant la consommation d’alcool en privé sous la supervision d’un parent ou dans le cadre d’une cérémonie religieuse par exemple (Californie).

En outre, des voix s’élèvent pour remettre en cause ce minimum légal de 21 ans.  Selon une étude de 2010 sur les addictions, 26,3% des Américains entre 12 et 20 ans disent avoir bu de l’alcool dans le mois. Dix-sept pourcent de jeunes de la tranche d’âge se disent “binge drinkers” (consommateurs express d’alcool) et 5,1% se considèrent comme des consommateurs importants (au moins cinq boissons au cours d’un même évènement). “Le problème aujourd’hui est la consommation d’alcool sans limite, motivée par des objectifs de performance, dans des endroits clandestins où faire respecter la loi est devenu difficile, écrit John McCardell, ancien président de l’Université Middlebury dans une tribune sur CNN. Il est le fondateur d’une association, Choose Responsibility, qui milite pour un changement de l’âge légal. « La consommation d’alcool chez les jeunes adultes ne prend plus place dans les lieux publics ou en présence d’un autre adulte qui pourrait leur enseigner un comportement responsable ».

 
 
 

Poilant! Le festival de la barbe et de la moustache revient

C’est un festival pas rasoir du tout. B.O.M.B, comprenez la “Brotherhood of mustaches and beards”, revient pour sa troisième édition, le 28 décembre à Tobacco Road.
Une seule consigne pour y participer: être “vraiment” barbu ou moustachu.  Les participants peuvent concourir dans plusieurs catégories, comme “moustache naturelle“, “barbe la plus créative“, “pattes” ou encore “bouc“. Les “améliorations structurelles“, comme les élastiques et les bandeaux, ne sont pas autorisées.
L’accès à cette compétition poilante est gratuit, mais une donation est suggérée.