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La chanson française s'invite au Sofitel pour Noël

Le Sofitel de Los Angeles propose un Noël Made in France le 17 décembre.
Le spectacle des French Singers LA, “Christmas in Paris”, invite les spectateurs à un voyage dans la ville-lumière à travers des morceaux d’Edith Piaf, de Jacques Brel, Patricia Kass, Joe Dassin, Charles Aznavour ou encore Jean-Jacques Goldman. L’occasion pour les expatriés ou les amoureux de la langue de Molière d’écouter des morceaux d’anthologie interprétés par Julia et Jacob Kantor, Max Cohen, Veronika La Tour et Mariah Bonner.
Des cocktails et des spécialités de saison seront servis à partir de 18h. Le spectacle débutera quant à lui à 20h. Réservations sur le site de French Singers LA.

Art Basel Miami 2013: de l'art et de la mimolette

Cette année, Art Basel Miami Beach, la foire d’art contemporain qui fait vibrer toute la ville chaque mois de décembre, fête son 12ème anniversaire. Entre art classique et surprenantes sculptures sur fromages…
Cinquante mille passionnés ou simples curieux sont attendus cette année. Voire beaucoup  plus selon Robert Fontaine, directeur d’une galerie portant son nom dans le quartier de Wynwood à Miami et participant assidu à Basel. « Je pense qu’il y aura plus de participants que prévu, ne serait-ce qu’avec l’énorme clientèle que nous avons ici dans le sud de la Floride ». 
Cette année, pas moins de 22 salons ouvriront parallèlement à la foire principale. On notera également une large présence française avec 32 galeries. Parmi elles, la Galerie Perrotin présentera le duo d’artistes français Kolkoz. Le projet se présentera sous la forme d’un chalet flottant qui trônera devant l’emblématique structure désaffectée du Marine Stadium de Miami. Le public fera également la connaissance d’un jeune peintre, Julien Spianti, qui par le biais de la Galerie Robert Fontaine, présentera ses compositions sombres et abstraites desquelles surgissent des silhouettes nues.
Sculpture sur tomme de Savoie et mimolette
La création culinaire est en passe d’être reconnue comme un art à part entière. Ainsi, des événements culinaires, notamment des dégustations‐expositions, se tiendront tout au long d’Art Basel. Cheese of France organise par exemple, les 7 et 8 décembre, une présentation de 15 fromages français. Le tout dans une atmosphère toujours très artistique puisque l’on pourra admirer les œuvres de trois artistes de la Galerie Milk Factory, spécialisée dans le mouvement du ” Eat Art “.
On retrouvera ainsi Dorothée Selz, ou “bébé Eat Art “, qui construira une œuvre d’art comestible permettant au public de manger des fromages et des fruits sur des bâtons de bambou. Antoni Miralda, qui, avec Daniel Spoerri a créé le mouvement ” Eat Art ” et ouvert le Musée de la Culture Alimentaire, travaillera également sur une pièce alimentaire. Krai, un artiste d’origine thaïlandaise résidant actuellement à Paris et qui est le seul sculpteur sur fromage au monde, créera une œuvre à partir de Tomme de Savoie et de Mimolette.
 

Didier Fassin en mission humanitaire à Berkeley

L’anthropologue français Didier Fassin tiendra une table ronde à UC Berkeley le 2 décembre dans le cadre d’une série de conférences sur l’humanitaire.
Anthropologue et sociologue français de renom, cet ancien chef de clinique des Hôpitaux de Paris reconverti dans l’anthropologie est aujourd’hui titulaire de la chaire James Wolfensohn de sciences sociales à l’Institut des Etudes avancées de Princeton. Son essai de 2011, “La force de l’ordre“,  véritable plongée dans la police des quartiers, a permis de comprendre les comportements de ces forces de l’ordre, entre ennui et méthodes de cow-boys.
Il ne vient pas à San Francisco pour parler “police”, mais pour présenter son dernier livre, «la Raison humanitaire» qui revient sur les enjeux de “l’humanitarisme” en retraçant plusieurs campagnes humanitaires dans le monde.
 

Un cocktail de Noël pour aider les enfants

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L’association French American Aid For Children propose pour la dixième année consécutive son cocktail de Noël. Celui-ci aura lieu le 4 décembre au Consulat Général de France de 18h à 20h30, en présence du Consul Général M. Bertrand Lortholary.
Cet événement permettra à la FAAFC de récolter des fonds pour venir en aide aux enfants en difficulté, en France comme aux Etats-Unis. Au programme : cocktail party et vente aux enchères silencieuse, avec plusieurs lots à gagner. “Il y a dix ans, explique Marguerite Mangin, présidente de la FAAFC, nous avions 85 lots pour 120 invités. Aujourd’hui nous en avons 225 et nous espérons accueillir jusqu’à 200 personnes”.
L’an dernier la totalité des fonds récoltés par le Holiday Cocktail avait été reversée au Fund For Public Schools. Ceci avait permis d’aider les enfants des Etats de New York et du New Jersey touchés par l’ouragan Sandy.
 

La série "Les Revenants" récompensée aux International Emmy Awards

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(New York-AFP) – La série française “Les Revenants” a été sacrée lundi soir meilleure série dramatique lors de la cérémonie des International Emmy Awards à New York, où le documentaire franco-israélo-palestinien “cinq caméras brisées” a remporté l’Emmy international du meilleur documentaire.

Créée par Fabrice Gobert, “Les Revenants”, la série fantastique produite par Caroline Benjo, Jimmy Desmarais, Haut et Court et Canal+, a déjà été achetée dans une quarantaine de pays dont les États-Unis, le Canada, l’Australie, l’Allemagne et toute l’Amérique Latine.

En recevant la statuette dorée lundi soir, au Hilton New York, Mme Benjo, ravie, a notamment remercié Fabrice Gobert et Canal+ “si osés dans leurs choix” ainsi que Sundance Channel qui diffuse depuis peu la série aux États-Unis en version sous-titrée.

La série a déjà connu un succès remarqué au Royaume-Uni au printemps, en version originale sur Channel 4, réalisant la meilleure audience pour une série sous-titrée au Royaume-Uni depuis 2006 (1,8 million de téléspectateurs).

“Cinq caméras brisées”, le documentaire franco-israélo-palestinien écrit et réalisé par Emad Burnat et Guy Davidi, qui raconte les résistances du village palestinien de Bil’in, à travers les caméras cassées d’Emad Burnat, cameraman palestinien autodidacte, l’a emporté dans la catégorie documentaire.

M. Burnat, accompagné de la coproductrice Christine Camdessus, s’est réjoui de ce “grand honneur”, soulignant qu’il était le premier Palestinien récompensé par un Emmy Award. “Nous voulons la même chose que vous, la paix et la liberté“, a-t-il ajouté. Les Palestiniens ont “besoin de votre soutien“, a-t-il ajouté.

Achevé en 2011, ce film avait déjà été nommé à l’Oscar du meilleur film documentaire en 2013, et récompensé au Festival de Sundance 2012, par le Prix du meilleur réalisateur international, ainsi que par le Prix du public et le Prix spécial du jury à l’International Documentary Film Festival d’Amsterdam en 2011.

Seule petite déception française lors de cette cérémonie, animée par le comédien britannique John Oliver, la série “Workingirl”, sélectionnée dans la catégorie comédie, s’est inclinée face aux Britanniques de “Moone Boy”.

Trente-six nominés de 19 pays étaient en lice dans neuf catégories, pour cette 41e cérémonie des International Emmy Awards, qui récompensent chaque année le meilleur du cinéma à la télévision, en dehors des États-Unis.

Six pays ont été récompensés, l’Australie, le Brésil, la France, l’Allemagne, la Corée du sud et le Royaume Uni.

Le Brésil a notamment reçu l’international Emmy Award de la meilleure actrice, attribuée à Fernanda Montenegro pour “Sweet mother” (TV Globo). Celui du meilleur acteur a récompensé le Britannique Sean Bean pour “Accused”. Les Allemands ont été distingués dans la catégorie “mini-séries” pour “un jour de miracle”.

Des Français derrière le clip de 24h de Pharrell Williams

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(AFP-Relaxnews) Star incontournable de l’année, Pharrell Williams vient de dévoiler son clip interactif de 24 heures de son titre “Happy”. Cette prouesse, à découvrir sur un site dédié, est signée par les Français de We Are From LA.
Le chanteur et producteur qui a collaboré cette année à deux gros succès musicaux, “Get Lucky” de Daft Punk et “Blurred Lines” de Robin Thicke, présente un clip innovant et étonnant. Pour réaliser cette vidéo interactive de 24 heures, l’artiste américain a fait appel aux Français, We Are From LA.
Le collectif, à l’origine de clips pour Kanye West, Yelle mais aussi pour Cassius ou The Shoes, offrent ainsi au public le clip le plus long jamais réalisé.
La vidéo du single “Happy”, extrait de la bande originale du film “Moi, Moche et Méchant 2”, reprend en boucle le titre de quatre minutes avec près de 360 plans-séquences tournées dans de nombreux quartiers de Los Angeles. Plusieurs personnalités, dont Steve Carrell, Jamie Foxx et Bonnie McKee, apparaissent dans ce clip.
 

Delacroix en Californie avec une toile récemment découverte

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(LOS ANGELES-AFP) – La ville californienne de Santa Barbara accueille jusqu’en janvier une grande exposition sur Delacroix, qui jette une lumière nouvelle sur les influences du peintre romantique, avec la présentation au public d’une toile du maître récemment découverte.
L’exposition “Delacroix and the matter of finish” (Delacroix et la question du fini), organisée par le Santa Barbara Museum of Art (SBMA), est présentée dans la ville californienne jusqu’au 26 janvier 2014, avant de rejoindre le musée de Birmingham (Alabama, sud-est) à partir de février.
Cela fait plus de dix ans que Delacroix (1798-1863) n’avait pas eu les honneurs d’une exposition aux États-Unis, et c’est la découverte d’un tableau du maître dans une famille de Santa Barbara qui en a été le déclencheur. “J’étais soufflée quand j’ai vu le tableau pour la première fois“, raconte à l’AFP Eik Kahng, commissaire de l’exposition. “Ce n’est pas tous les jours que quelqu’un vous appelle pour vous dire qu’il possède un Delacroix“.
Une deuxième surprise s’est immédiatement ajoutée à la première: l’oeuvre semblait être une variation d’un tableau monumental exposé au Musée des Beaux-Arts de Lyon, “Dernières paroles de Marc-Aurèle”, datant de 1844. “La question était de savoir si cette peinture était une ébauche préparatoire pour la grande version de Lyon – ce que j’ai pensé spontanément quand je l’ai vue la première fois“, explique Mme Kahng. “Mais plus je la regardais, plus je comprenais la relation (de Delacroix) avec le sujet et plus je distinguais les différences subtiles d’interprétation entre notre peinture et celle de Lyon“, dit-elle. “J’ai compris alors que c’était une variation complètement différente, sur un thème qui était très important pour Delacroix“.
La découverte du tableau s’est immédiatement accompagnée d’une nécessaire réflexion sur son authenticité, rendue d’autant plus ardue que le spécialiste mondial et incontesté du peintre, le Britannique Lee Johnson, est décédé en 2006. Et son monumental catalogue raisonné, publié dans les années 80, ne fait pas mention du tableau de Santa Barbara, dont il ignorait probablement l’existence. C’est donc Mme Kahng, au terme d’une longue étude, qui a authentifié le tableau. “Il n’y a plus vraiment d’expert de Delacroix du calibre de Lee Johnson, il y a donc un vide à combler“, observe-t-elle. “Je ne dis pas que je vais devenir cette personne. J’ai juste été très intéressée par ce tableau en particulier et la possibilité d’établir son authenticité, en me basant sur l’impression qu’il est de trop bonne qualité pour être l’oeuvre d’un élève“.
Ces réflexions sur l’authenticité ont fini par déterminer le sujet-même de l’exposition, où les oeuvres de Delacroix sont mises en regard de celles de ses plus proches élèves, Pierre Andrieu (1849-1935) et Louis de Planet (1814-1876), pour montrer “le gouffre” qui les sépare en termes de maîtrise technique. La découverte d’une variation sur le thème des “Dernières paroles de Marc-Aurèle” est également la preuve, pour Mme Kahng, “de l’intérêt permanent de Delacroix pour la tradition classique“. Le peintre de “La Liberté guidant le peuple” était certes “un innovateur, qui a puisé ses sujets dans beaucoup de sources non conventionnelles, généralement littéraires et liées à des poètes romantiques contemporains comme Lord Byron“, remarque la commissaire. “Mais si les gens ont tendance à exagérer le côté ‘orientaliste’ de Delacroix, ils oublient qu’il est toujours resté incroyablement fidèle à la grande tradition et à l’art du passé“, assure-t-elle
Mme Kahng ignore encore quel sera le sort du tableau après l’exposition: “Ses propriétaires souhaitent que le public puisse le voir. Il pourrait donc faire l’objet d’un prêt à long terme au SBMA. Mais je ne peux pas l’assurer avec certitude pour l’instant”.

Casse-noisette de retour à Los Angeles

Fêtes de Noël obligent: Nutcracker est de retour.
Des invités de marque rejoindront le ballet Marat Daukayev pour ces performances au Luckman Theatre Fine Arts Complex les 14 et 15 décembre. Maria Kotchetkova (San Francisco Ballet) et Joaquin de Luz (New York City Ballet) tiendront par exemple les rôles principaux.
Ce ballet de Tchaïkovski est une tradition de Noël.  L’histoire narre les aventures d’une petite fille qui reçoit un casse-noisette le soir du 24 décembre de la part de son oncle. S’en suit une merveilleuse féerie, les jouets s’animant et le casse-noisette se transformant en prince.

Gagnez des places pour « Piégé » au IFWES festival

French Morning pense à ses lecteurs cinéphiles ! Cinq paires de deux tickets sont à gagner pour le film “Trapped” (« Piégé ») qui sera diffusé le 8 décembre à 20h au Florence Gould Hall du FIAF, dans le cadre du festival “In French With English Subtitles”.
Ce film de 2013, qui rassemble Pascal Elbé, Laurent Lucas et Caroline Bal, raconte l’histoire d’une patrouille qui tombe dans une embuscade lors d’un trajet dans le désert. En émergeant seul d’une bataille, Denis (Pascal Elbé) pose le pied sur une mine à double détente. S’il le lève, il meurt. Coincé au milieu du désert, à découvert, il doit résister. Tension maximale à l’écran et devant! Le film doit sortir en France en janvier 2014.
MAJ: Le concours est maintenant clôt.
Les heureux gagnants sont:
Frederic    Vigneron   
Sarah    Secrest   
Fanny    Nachawati  
jerome    rieunau  
Naomi    Mullman 
 

Un mois de décembre avec Max Linder au FIAF

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Le “maître”, comme le surnommait Charlie Chaplin, débarque à New York au mois de décembre. Le FIAF mettra à l’honneur Max Linder, ce géant du cinéma des années 20 et papa des comiques modernes.
Cet hommage “Mad About Max : The Films of Max Linder” débutera le 3 décembre avec la projection de certains de ses courts métrages comme “Les débuts de Max au cinéma” ou encore “Max et Jane veulent faire du théâtre”. “Soyez Ma femme”/”Be My Wife” ( diffusé pour la première fois aux Etats-Unis) sera projeté à 12h30 et 16h. Il met en avant les difficultés de Max à obtenir la main de sa belle. Ce film sera rediffusé avec “L’étroit mousquetaire”/”The Three Must-Get-Theres” (diffusé pour la première fois aux Etats-Unis), parodie des Trois Mousquetaires, à 19h30.
Le 10 décembre seront projetés de nouveaux courts métrages ainsi que “Sept ans de malheur”/”Seven Years Bad Luck” (diffusé pour la première fois aux Etats-Unis) à 12h30, 16h et 19h30. Ce dernier plonge le spectateur avec humour dans l’univers de la superstition.
Enfin le 17 décembre seront diffusés “l’Homme au Chapeau de Soie” de Maud Linder (documentaire réalisé par la fille de Max Linder abordant la vie et l’œuvre de son père) à 12h30 et 16h et le célèbre Yoyo, de l’oscarisé Pierre Etaix, que Max Linder a inspiré, à 19h30.

Bientôt des boulangeries "Paul" à Boston

Le boulanger français “Paul” va bientôt vendre son pain à Boston.
Le Boston Globe a indiqué, samedi, que la légendaire maison française allait ouvrir quatre magasins dans la ville, dont un à Downtown Crossing (ci-dessus), “au printemps“.
Boston deviendra alors la troisième ville américaine à accueillir “Paul” après Washington DC et Miami. Le site de Downtown Crossing, dont la pose de la première pierre a eu lieu samedi en présence du maire Thomas Menino et du consul de France à Boston Fabien Fieschi, disposera d’un laboratoire (où le pain sera préparé) et proposera des Baguettes, de la Fougasse et autres pains et pâtisseries françaises.
Au total, sept “Paul” verront le jour “dans la région” de Boston “d’ici 2017“, poursuit le journal.

Babar squatte le Plaza Athénée en décembre

Babar prend une chambre au Plaza Athénée pendant le mois de décembre. Chaque samedi du 30 novembre au 28 décembre, le prestigieux hôtel new-yorkais accueille un « Tea time avec Babar ».
Pendant chaque session, de 15h à 17h, les convives en culotte courte pourront participer à un concours de dessin au terme duquel les gagnants repartiront avec un album dédicacé. Le roi Babar (en personne, dit-on) posera également avec ses fans, jeunes ou moins jeunes, à cette occasion. La participation est payante mais tous les enfants repartiront avec un cadeau.
Ces rendez-vous hebdomadaires s’inscrivent dans le cadre d’une “saison Babar” consacrée au personnage de Laurent de Brunhoff au Plaza Athénée en cette fin d’année 2013. L’auteur et illustrateur de l’album, qui s’est écoulé à 10,1 millions d’exemplaires aux Etats-Unis, en a donné le coup d’envoi le 9 novembre, en participant à une séance de dédicaces.