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Le ministre Olivier Becht aux États-Unis: une première visite pour promouvoir les PME françaises

Il s’était rendu dans plus de 60 pays mais Olivier Becht n’était encore jamais venu aux États-Unis depuis sa nomination l’an dernier. C’est désormais chose faite : le ministre délégué au Commerce extérieur, à l’Attractivité et aux Français de l’étranger effectue cette semaine une tournée américaine avec 5 villes au programme (Boston, Washington, New York, Austin et Houston) et trois objectifs sur sa feuille de route : tenter d’apaiser les relations avec le premier partenaire commercial de la France (hors Union européenne) sur les grands dossiers commerciaux, vendre la « marque France » auprès des investisseurs américains et rencontrer la communauté française pour « démentir le vieux dicton, dit-il, loin des yeux, loin du cœur ». 

Un «bon état d’esprit» entre la France et les États-Unis

Sur les litiges commerciaux, objet de la visite à Washington, Olivier Becht le concède : « Nous avançons plus doucement que je ne l’aurais souhaité mais nous avançons » dit-il à French Morning, notamment sur le dossier de longue date Airbus/Boeing et les droits de douanes imposés sur l’aluminium et l’acier par l’administration Trump et dont la suspension temporaire expirera à la fin du mois. À l’issue de ses discussions avec ses différents interlocuteurs de l’administration américaine (le secrétaire adjoint au Commerce Don Graves, la représentante du Commerce extérieur Katherine Tai et le conseiller économique de la Maison Blanche Jared Bernstein), les chances d’obtenir, dans les 15 jours, un accord permanent sur les tariffs restaient proches de zéro. « Mais l’essentiel, souligne le ministre français, c’est d’avancer dans un bon état d’esprit avec nos amis américains, et c’est le cas ».

Quand à l’IRA, l’Inflation Reduction Act dont l’adoption en août 2022 au Congrès américain avait affolé les Européens, la France semble s’être fait une raison. Après avoir obtenu quelques concessions des Américains « dans ce qu’ils pouvaient faire dans le cadre des executive orders du président », sur les matières premières critiques, les batteries pour les véhicules électrique et les voitures en leasing, l’Europe a instauré son propre mécanisme de subventions et la catastrophe annoncée de départ massifs d’entreprises françaises vers les États-Unis « n’a pas eu lieu », constate le ministre.

 

 

 

 

C’est sur un autre terrain qu’Olivier Becht espère bien obtenir des résultats concrets, celui de la promotion de l’attractivité de la France et du savoir-faire des PME françaises. Que ce soit dans le secteur de la biotechnologie et de la santé à Boston, dans celui de la sécurité, de la défense et de la lutte contre changement climatique aux Nations unies à New York ou celui de l’innovation dans le spatial au Texas, le ministre tente de convaincre les Américains de rester en tête des investissements directs étrangers en France. À Houston, dernière étape de la visite officielle ce jeudi 14 décembre, il est accompagné de 7 entreprises françaises, certaines déjà implantées aux États-Unis comme la PME toulousaine Share My Space, spécialiste de la surveillance de l’espace et de la détection de débris spatiaux, et qui possède depuis l’été dernier un bureau à Austin; d’autres qui cherchent à s’implanter outre-Atlantique. La présence du ministre, reconnaît Frédéric Rossi, le directeur de Business France Amérique du Nord, facilite évidemment la visibilité de ces petites et moyennes entreprises et « permet d’ouvrir des portes pas toujours faciles à ouvrir » dans le domaine spatial aux États-Unis. Une visite de la station Axiom Space et une réunion avec des acteurs américains du secteur sont notamment prévues.

Les Français de l’étranger «pas oubliés»

Quant à la troisième casquette du ministre, celui des Français de l’étranger, l’élu alsacien reconnaît ne l’avoir jamais portée avant sa prise de fonction ministérielle. Mais devant les membres de la communauté française au Consulat de New York, il a assuré qu’il ne « les oubliait pas »  et qu’il restait « très attentif » à ce que tous « puissent trouver dans leur consulat l’équivalent des services fournis par les mairies en France ». Il compte donc poursuivre la dématérialisation des démarches administratives et du renouvellement des passeports – l’envoi du passeport par la poste est d’abord expérimenté au Canada et au Portugal – et confirme l’accès au service France Consulaire depuis les États-Unis (déjà lancé en Europe) « à partir de 2025 ». À chaque étape, y compris lors d’un échange avec les élèves de terminale du Lycée Français de New York, Olivier Becht a rappelé l’importance du rôle des expatriés dans la défense des valeurs de « liberté, d’égalité, et de dignité de la personne humaine » partagées avec les États-Unis. « Au lieu d’avoir 11 joueurs d’une même équipe avec chacun un ballon et qui tentent chacun de tirer au but, concluait Olivier Becht – plus amateur de volleyball que de football – devant la team France à New York, nous sommes désormais une équipe avec un seul ballon où tout le monde joue en complémentarité. C’est comme ça qu’on gagne les matches ». Il passera donc le ballon à son collègue de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, attendu à New York à la fin de la semaine.

Olivier Becht lors d’une réception avec la communauté française au Consulat général de New York. © E. Guédel

Golden Globes, Oscars… Jusqu’où ira «Anatomie d’une chute» ?

Son ascension n’en finit plus. Lauréat de la palme d’or à Cannes en mai 2023, « Anatomie d’une chute », qui met en scène Sandra Hüller dans le rôle d’une femme soupçonnée d’avoir tué son mari, poursuit son incroyable moisson de prix et de nominations. Lundi 11 décembre, le quatrième long-métrage de Justine Triet, écrit pendant la pandémie avec son compagnon, Arthur Harari, a reçu 4 nominations aux Golden Globes, dont la cérémonie se déroulera le 7 janvier 2024 à Los Angeles (meilleur drame, meilleur film en langue étrangère, meilleure actrice et meilleur scénario). Il se fraye une place parmi les superproductions américaines « Barbie » de Greta Gerwig et « Oppenheimer » de Christopher Nolan.

«C’est juste phénoménal»

Après son couronnement à Cannes, le drame judiciaire brille dans les plus grands festivals, des deux côtés de l’Atlantique : 6 statuettes aux European Film Awards à Berlin, 2 trophées aux Gotham Awards, une récompense du Cercle des critiques de cinéma et une autre du National Board of Review à New York; trois nominations aux Critics Choice Awards, qui auront lieu en janvier à Los Angeles… « C’est juste phénoménal » s’enthousiasme Didier Allouch, le journaliste expert des tapis rouges de Cannes et d’Hollywood, installé depuis plus de 30 ans à LA. Il salue l’« un des meilleurs films de l’année », « formidablement bien écrit et mis en scène. »

La raison d’un tel succès ? « C’est le film lui-même ! » tranche le journaliste cinéma. « Il touche aussi bien le grand public que les connaisseurs. Justine Triet a trouvé un nouveau moyen de nous raconter une histoire déjà vue, celle d’un accident, d’une mort suspecte. Elle est parvenue à nous troubler : on croit avoir vu ce qu’on a vu, mais avec le poids des préjugés de la justice et de la société sur cette femme, elle va commencer à nous faire douter. Ça nous retourne la tête ! ».

Salles combles aux États-Unis

Une analyse que partage François Truffart, directeur et programmateur de l’American French Film Festival de Los Angeles. « Anatomie d’une chute » faisait partie de la sélection de la 27e édition du festival, annulée en octobre en raison de la grève à Hollywood. « Dès le festival de Cannes et même avant, ce film a créé un énorme buzz, se souvient-il. Il a plu à tous les festivaliers, y compris à la critique anglo-saxonne. Il a cette faculté assez rare, dans le cinéma français, de concilier film d’auteur et film grand public. Par son contenu, sa forme, son sujet, il s’adresse vraiment à un large public. »

Le drame, qui dissèque avec virtuosité les rapports de force au sein d’un couple à bout de souffle, est un succès au box office. Depuis sa sortie en France, le 23 août, il a réuni 1,3 million de spectateurs et franchi la barre symbolique d’1 million d’entrées à l’international. Aux États-Unis, il réalise un opening exceptionnel : sorti dans 450 salles, il a déjà réuni 580.000 spectateurs… Didier Allouch comme François Truffart insistent sur la campagne menée tambour battant par Neon, le distributeur du film aux États-Unis, pour le faire connaître « de manière très intelligente » auprès du public américain, « en reprenant les codes du thriller ».

« C’est une immense satisfaction de voir qu’un film français d’une qualité de mise en scène comme celle-ci peut rencontrer son public dans le monde entier, se réjouit Aude Hesbert, qui promeut l’audiovisuel français au sein de la Villa Albertine à Los Angeles. Il touche les publics au Royaume-Uni, en Allemagne, aux États-Unis…  Au Lincoln Center, à New York, la salle est pleine à chaque séance. Cela fait plusieurs années que nous n’avions pas vu un tel succès pour un film français aux États-Unis. »

Triomphe aux prochains Oscars?

Son chemin vers les sommets l’amènera-t-il jusqu’aux Oscars ? Si le long-métrage n’a pas été retenu pour représenter la France en mars 2024 à Los Angeles dans la catégorie du meilleur film en langue étrangère (c’est « La Passion de Dodin Bouffant » de Tran Anh Hung avec Juliette Binoche et Benoît Magimel qui lui a été préféré), il pourrait bien décrocher une ou plusieurs statuettes dans les autres catégories où il est en lice.

« Pourquoi pas l’Oscar du meilleur scénario et celui de la meilleure actrice pour Sandra Hüller, se projette François Truffart. Il mérite d’avoir un Oscar mais la compétition est très très dure face aux Américains. » Didier Allouch est encore plus optimiste. Il dresse le parallèle avec « The Artist », de Michel Hazanavicius, qui n’avait pas été envoyé par la France aux Oscars, ce qui ne l’avait pas empêché de recueillir 12 nominations en 2012. « Je vois Anatomie d’une chute à 4 nominations aux Oscars, prophétise-t-il. Les Golden Globes en sont un très bon signe annonciateur. »

Où se procurer du foie gras pour les fêtes à San Francisco?

Quand on réveillonne à l’autre bout du monde, le foie gras est une madeleine de Proust qui rappelle la France. Mais en Californie, sa production et sa revente sont interdites par la loi, au nom du bien-être animal. En 2023, la Cour Suprême a refusé d’entrer dans la saga judiciaire, confirmant  le ban en vigueur depuis 2012. « Il y a eu une zone grise pendant que la loi était challengée à la Cour Suprême, mais aujourd’hui, c’est fini, les restaurateurs ont arrêté d’en vendre », confirme Laurent Vrignaud, patron de l’enseigne Moulin, à Orange County près de Los Angeles.

Alors où se procurer du foie gras quand on vit à San Francisco ? La question a suscité un déluge de réponses sur le groupe Facebook Bons plans gourmands aux États-Unis. Car, si de rares restaurateurs en vendent sous le manteau, il est possible de s’en faire livrer à San Francisco et dans la région, en toute légalité, depuis un autre État américain ou via un autre pays. Provenance, qualité, recettes, frais de livraison… French Morning vous aide à y voir plus clair.

Auprès des fermes à foie gras américaines

Depuis la fermeture de l’unique producteur californien, seules deux fermes produisent du foie gras aux États-Unis, dans l’État de New-York : Hudson Valley Foie Gras et Belle Farm’s Foie Gras. Si elles fournissent essentiellement restaurants et grands chefs, les particuliers peuvent en commander sur Internet et se le faire livrer à domicile.

Hudson Valley Foie Gras, qui élève des canards mulards à deux heures de New-York, décline la viande de volaille et le foie gras sous toutes ses formes : entier, en tranches, en cubes, au torchon ou en terrine, en mousse et même en saucisse ! Début décembre, certains produits étaient en promotion : 80,40$ (au lieu de 134$) pour un foie gras frais entier à cuisiner (1,5-1,75 lb) ou 69$ (au lieu de 115$) pour le même, surgelé. Comptez 55$ pour un petit foie gras au torchon (8 oz) et 90$ pour un foie gras au torchon de 1 lb. Ajoutez environ 50$ pour la livraison en Californie, en un jour ouvré.

Située non loin de là, la Belle Farm’s Foie Gras vend ses produits via Bella bella Gourmet Foods. Cette marque regroupe des fermes spécialisées depuis 25 ans dans l’élevage de volailles, dans le Comté de Sullivan. Ici aussi, on trouve un large choix de foie gras frais (y compris déveiné), surgelé, en terrine, au torchon ou en mousse… Un gros foie gras frais (1,8-2 lbs) coûte ainsi 147$. Les terrines, assaisonnées au Cognac et au Sauternes, coûtent 45$ la petite (8 oz) ou 104,5$ la grosse (1,3 lb). Un minimum de 100$ de commande est requis pour se faire livrer, mais la livraison est offerte sur les commandes de plus de 500$ (avis à ceux qui voudraient passer une commande groupée !) Comptez 50,85$ de frais de livraison pour une grosse terrine de foie gras. 

Acheter du foie gras québécois 

Le Québec constitue l’autre principale source d’approvisionnement en foie gras sur le marché américain. Installé à l’Est de Montréal, Rougié est l’un des producteurs québécois les plus connus. Ses produits, issus de canards nourris «à 100% de maïs québécois sans hormones ni antibiotiques», ne sont pas vendus directement aux particuliers, mais on peut s’en procurer auprès de revendeurs américains.

Nevada Foie Gras vend du foie gras Rougié sous toutes ses formes (à l’exception du foie gras frais) : congelé, entier ou en tranches, au torchon, en terrine, mi-cuit ou en mousses, assaisonnées à l’Armagnac ou à la truffe. Comptez 132$ pour un foie gras « Lobe A » surgelé de 1,3 lbs à cuisiner à la maison. Attention, les frais de livraison peuvent être élevés.

De son côté, Gourmet Food Store vend une très grande sélection de foies gras Rougié en ligne, avec des frais de livraison qui semblent moins élevés.

Le commander en ligne hors de Californie

Installé à Long Island City, à New York, le jeune charcutier Aurélien Dufour, fabrique des produits artisanaux au sein de sa petite entreprise Dufour Gourmet. Sa boutique en ligne propose d’ alléchantes créations dont une terrine de foie gras de canard (a partir de 49,99$) et une terrine de foie gras à la truffe (a partir de 59,99$). Comptez entre 35 et 45$ de frais de livraison.

Goudy’s French Cuisine, la charcuterie de Céline et Christophe Goudy créée en 2016 à San Francisco comme French Morning vous le racontait alors, peut vendre du foie gras en Californie du fait de son autre adresse dans le Colorado. Sont proposés des foie gras entiers entre 124$ et 147$, des foies gras au torchon en deux tailles à 59$ et 115$ et du foie gras mi-cuit (« fait avec amour » peut-on lire sur le site) entre 39$ et 266$, là aussi selon les tailles. Les produits sont livrées les mercredis et vendredis dans la région de la baie de San Francisco (ailleurs en Californie, ils sont expédiés dans les 2 ou 3 jours une fois la commande passée). À commander soit directement sur le site, soit en écrivant à [email protected], ou encore par téléphone au (408) 368-6174.

Le site de produits et de plats français Cuisinery, basé dans le New Jersey, propose un bloc de fois gras tranché (2 lb, soit 900 gr) à 219,99$, une terrine de foie gras de 6 oz (170 gr) à 49,99$ et une autre de 2,2 lb (1 kg) à 249,99$. Bonus : en passant commande, des suggestions de cuisson à la poêle et/ou au four sont ajoutés.

Précisons, enfin, que D’Artagnan ne livre malheureusement pas en Californie. C’est cette entreprise, fondée par Ariane Daguin (et revendue en 2022) qui avait fait connaître le foie gras aux États-Unis dans les années 1980.

Offrir ou s’offrir une photo exceptionnelle au profit de Médecins du Monde

La rédaction de French morning s’est rendue la semaine dernière à la soirée d’ouverture organisée par Squadra Art au Picto New York à Brooklyn où se tenait une vente exclusive de tirages photo de photographes internationaux, comme Raymond Depardon, Jean-Pierre Laffont, Sam Youkilis, Paolo Verzone, Claire Thomas, Rhona Bitner, Scarlett Coten, Ariane Lopez-Huici… pour n’en citer que quelques-uns. Des photographes qui soutiennent la mission de Médecins du monde.

Raymond Depardon @squadra
Raymond Depardon @squadra

Médecins du Monde est une organisation humanitaire mondiale présente dans 17 pays, fournissant des soins médicaux d’urgence et à long terme à plus de 7,25 millions de personnes dans plus de 70 pays. Leurs domaines d’intervention comprennent les conflits et crises, la santé sexuelle et reproductive, la santé des réfugiés et des migrants, la réduction des risques et la santé environnementale.

En partenariat avec Assetou Gaudissard de Médecins du Monde, et portée par Julien Alamo, fondateur de la galerie Squadra et Directeur de Picto New York, cette opération vise à soutenir l’organisation en mettant en vente des tirages photos d’images réalisées par 58 artistes de renom. 

Luke Oppenheimer @ squadra
Luke Oppenheimer @ squadra

Une idée de cadeau pour les fêtes

Une particularité de cette campagne est la garantie de livraison avant Noël pour toute commande effectuée avant le vendredi 15 décembre alors dépêchez-vous ! Cette opportunité unique offre non seulement la possibilité d’acquérir une magnifique œuvre d’art, mais également de soutenir une action humanitaire essentielle en cette période compliquée. Vous pouvez explorer et acheter ces tirages extraordinaires en ligne ici , chaque œuvre est imprimée par Picto sur du papier fine art Ilford, au format 8,5 x 11 pouces (22 cm x 28 cm) pour 150 dollars.

L’opération se poursuit jusqu’au dimanche 31 décembre et les tirages sont disponibles sur le site de Squadra art. En participant à cette initiative, chaque acquéreur contribue à l’impact positif de Médecins du Monde. Un geste artistique qui s’allie à une belle cause pour offrir un cadeau à la fois spécial et significatif en cette saison de partage et de générosité.

Nelly Jacques (Caroline du Nord): Le choc culturel de la parentalité aux États-Unis

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Pour Nelly Jacques, que les lecteurs de French Morning connaissent à travers ses découvertes des grands parcs américains, les États-Unis c’est avant toute chose une terre d’évasion, de voyage et de découverte. C’est d’ailleurs ainsi qu’elle a découvert ce territoire qui fait rêver tant d’explorateurs dans le monde : en partant avec son mari à la découverte de la Caroline du Nord pour quelques années. Commence alors une exploration du pays en profondeur qui fait naître une passion. « J’imaginais bien que les Etats-Unis devaient forcément être un beau pays puisque tant de gens y partaient en voyage. Mais je ne réalisais pas du tout ce que j’allais y trouver en termes de paysages, de nature sauvage. J’ai vu des ours, des canyons, les montagnes majestueuses de la Sierra Nevada, des grizzlies même ! Je m’y suis découverte un rapport à la nature très fort que j’ignorais jusque là », confie Nelly. C’est d’ailleurs à ce moment-là que Nelly commence à bloguer et à raconter ses voyages pour des guides de voyage comme Le Petit Futé.

Quelques années plus tard, alors que cette première expérience touche à sa fin, les amoureux décident de se rapprocher de leurs familles et s’installent à Barcelone en Espagne. C’est aussi là qu’ils deviennent parents. Finalement après 4 ans passés sur place, des débuts pas évidents et un choc culturel inversé assez marqué, l’appel des Etats-Unis revient à Nelly et sa famille, et cette fois-ci pour de nouvelles raisons : pour leur fils. Ils décident de rentrer en France préparer ce nouveau départ et c’est à ce moment là que la première partie de son histoire a été recueillie.

Une fois le premier entretien réalisé avec Nelly au printemps dernier, nous avons décidé d’échanger par notes vocales interposées afin de documenter le nouveau changement de vie dans lequel Nelly Jacques et sa famille embarquent. Cet état de transition, c’est ce que je vous propose de découvrir dans cet épisode spécial, qui se conclut par un bilan plutôt enjoué enregistré entre Anne-Fleur et Nelly en fin d’année 2023.

Retrouvez le blog de Nelly Jacques : https://travelsandme.com/

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

New York, Paris, Vegas: Les «Grands portraits de Villes» du studio Saint-Lazare

Vous avez certainement déjà eu entre les mains ces ravissants petits livrets, « Portraits de villes », cousus main, gravés à la feuille d’or, dans lesquels de nombreux photographes plus ou moins connus ont eu carte blanche pour nous faire découvrir la ville de leur choix. Chaque livre de cette grande collection, éditée il y a 15 ans par l’agence Be-pôles, est un regard artistique guidé par le regard singulier de l’artiste. 

Portraits de villes, Robbie Lawrence les éditions Be-pôles
« Portraits de villes », Robbie Lawrence, les éditions Be-pôles.

De Be-pôles à Saint Lazare

L’agence de création parisienne, éditrice de ces « Portraits de villes », a été fondée par Antoine Ricardou et Clémentine Laroumet il y a 20 ans, et dispose également d’un studio à New York qui se développe de plus en plus. Elle a changé de nom il y a 2 ans suite à l’évolution constante de leur savoir-faire, et s’appelle désormais Saint-Lazare. L’agence qui conçoit des marques, leur identité, leur image, des lieux et des objets, a toujours le même fil conducteur… du beau.

Ils sont derrière l’identité visuelle de nombreuses enseignes bien connues comme le magasin Merci à Paris, l’hôtel Pigalle, les Roches Rouges à St Raphael, le Moulin de Lourmarin, Le Barn à Bonnelles, le Nomad Hotel à New York… On ne peut pas énumérer toutes leurs collaborations tellement la liste est longue, mais ce sont toutes de très belles marques qui partagent les mêmes valeurs que celles de l’agence.

Nomad Hotel NY, identité visuelle par Saint Lazare
Nomad Hotel NY, identité visuelle par Saint Lazare.

Ils ont également créé leur marque ASL après avoir passé plus de 20 ans à imaginer des lieux, des marques et des produits pour leurs clients. De l’édition à l’architecture d’intérieur, le dessin d’objets et de mobilier s’est imposé à eux et les a naturellement amené à créer leur propre ligne. On trouve chez ASL plein de beaux objets de décoration, de la papeterie, des produits de cosmétiques, des luminaires et mêmes des meubles. On aime tout !

Les «Grands Portraits de Villes»

Reynald Philippe, le directeur créatif et associé du studio Saint Lazare à New York, vient de publier son « Grand Portrait de Ville New York », qui fait écho aux « Portraits de Villes » de Be-pôles. La photographie l’accompagne depuis toujours, et ce livre nous donne l’occasion d’apprécier son regard sur la ville à travers ses belles images. On aime ses photos qui ont quelque chose d’intemporel, ses focus personnels, et la lumière dans ses photos rend hommage à celle, si unique, de New York.

Vous pouvez acheter ce livre dans la boutique Knickerbocker sur Canal St, ainsi que les deux autres numéros qui composent pour l’instant la collection, « Paris » de Vincent Delerme, et « Las Vegas » de Dimitri Coste.

New York, Reynald Philippe @Olivia Garcin
New York, Reynald Philippe @Olivia Garcin

Et si vous êtes à Paris prochainement, un pop-up Saint-Lazare restera ouvert tout le mois de décembre au 40 rue de Poitou à Paris, dans le 3e arrondissement, à l’image de l’atelier, comme une annexe du studio. Vous trouverez plein d’idées de cadeaux pour Nöel.

Le Lycée International de Los Angeles: Pas seulement une école, une communauté

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[Article sponsorisé] Le 1er décembre au soir, le Lycée international de Los Angeles a organisé son événement annuel toujours très attendu, le French Holiday Bazaar. Ouvert à tous, cet événement a rassemblé les familles de chacun des campus du LILA ainsi que des Angelenos locaux.

Un marché de Noël convivial

Dans l’esprit des marchés de Noël européens, les acheteurs pouvaient déambuler parmi les stands, explorer les produits, tout en buvant du vin chaud qui était à disposition. Alors que la soirée était plutôt froide – ce n’est pas si fréquent à Los Angeles – ils discutaient avec les vendeurs de pâtisseries, de céramiques, de poupées fabriquées maison ou encore de ménorahs, tout en buvant une boisson réconfortante.

Les élèves faisaient partie des nombreux entrepreneurs présents, proposant à la vente des emballages de cadeaux, des donuts, du chocolat chaud, ou des cartes de vœux. Leurs stands servaient aussi de lieux de rencontre loin du regard de leurs parents, qui en profitaient pour se balader de table en table avec leurs amis en partageant une bouteille de vin. Plusieurs parents participaient également à l’organisation de l’événement.

Chaque événement est organisé par une équipe de bénévoles. Les familles peuvent participer et soutenir l’éducation de leurs enfants en dédiant du temps et de l’attention. Alors que les élèves vivent au quotidien dans la communauté, les familles, quant à elles, doivent s’impliquer de façon plus intentionnelle pour tisser des liens. Des amitiés se font et se renforcent mutuellement à travers ces objectifs communs et sont célébrées à chacun de ces événements avec engouement. 

Des traditions célébrées toute l’année

La communauté du LILA se rassemble autour de nombreuses traditions tout au long de l’année. Le Marché d’hiver est un autre moment qui permet aux élèves de devenir des vendeurs, lorsque les élèves de CM2 vendent des viennoiseries pour financer leur voyage en France. Deux autres événements, la Fête à la maison et la Fête de la rentrée, célèbrent les parents et les élèves au début de chaque année scolaire.

Chaque campus accueille des événements qui célèbrent leur communauté spécifique, alors que d’autres représentent des lieux d’accueil pour l’entièreté du LILA. Vive le printemps, sur le campus de West Valley, propose un “dunk tank”, un stand de limonade, un baby-foot humain, suivis d’une fête des traditions culturelles avec la Journée internationale. Il s’agit d’un moment où, avec l’aide de leurs enseignants, les élèves réalisent des projets pédagogiques destinés à mieux comprendre notre planète et les différentes visions du monde.

Le LILApalooza, sur le campus de Los Feliz, accueille toutes les familles du LILA pour un après-midi de divertissement live sous un chapiteau de cirque, ainsi que pour une vente aux enchères, un stand de ferme et une exposition artistique. La Kermesse, l’hommage des fêtes à la française tenu sur le campus de Pasadena, conclut les festivités de printemps avec une fête type carnaval.

Un écho aux racines françaises du LILA

Ces événements français font écho aux racines françaises du LILA, mais la communauté grandit de façon de plus en plus internationale, avec ses familles aux origines multiples et des opportunités pour ses élèves et leurs parents d’apprendre plus de langues, ainsi que son programme du Baccalauréat international.

Un nouvel événement inclusif a été lancé cette année au LILA. Les familles ont été initiées et se sont inscrites pour participer à différents groupes d’affinité dont le LILA est fier. Alors que les parents apprenaient et discutaient, les enfants étaient invités à fabriquer leurs propres bijoux inspirés de la culture ghanéenne.

Le LILA s’épanouit à travers ses racines françaises, son implantation à Los Angeles et sa communauté si riche de son multiculturalisme, de sa multiethnicité et de son multilinguisme. Son équipe et ses élèves, si mondialement divers, apportent une richesse incomparable d’expériences, de traditions, de perspectives, créant et soutenant une communauté vibrante et unique.

Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

[Vidéo] Le marché immobilier à Los Angeles en 2024

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Lors d’un webinaire dédié au marché immobilier californien, Marc de Longeville, agent immobilier francophone à Los Angeles, vous a divulgué ses conseils sur la meilleure méthode pour acquérir un bien immobilier à Los Angeles et alentour.

Il a également fait le point sur la santé du marché immobilier en Californie du Sud et sur les opportunités à saisir, ainsi qu’un rappel général sur la fonction de l’agent immobilier aux États-Unis, assez différente de celle que l’on peut connaître en France.

Il était accompagné de Betty Benzakein, spécialiste des prêts hypothécaires conventionnels et jumbo pour les emprunteurs internationaux et nationaux chez HSBC.

De la négociation du contrat d’achat au “closing”, en passant par les options de prêts, vous aurez après avoir visionné ce webinaire toutes les cartes en main pour réaliser votre investissement dans la Cité des Anges.

Visionnez le replay ci-dessous ou directement sur YouTube

 

Contactez les intervenants
Marc de Longeville: [email protected] / 1 (213) 675-0197
Betty Benzakein: [email protected] / 516-341-6020

«Anatomie d’une chute» projeté à l’Avalon Theatre à DC

Il rafle tous les prix et toutes les nominations, son succès à l’international n’en finit pas depuis sa Palme d’or en mai lors du dernier Festival de Cannes. « Anatomie d’une chute » (Anatomy of a Fall), le film français co-écrit et réalisé par Justine Triet, trace son chemin également aux États-Unis. Il vient de recevoir quatre nominations aux prochains Golden Globes, dont celles de la meilleure actrice dramatique pour Sandra Hüller et du meilleur scénario.

 

 

 

L’histoire raconte celle d’un couple, Sandra et Samuel, et de Daniel, leur fils malvoyant âgé de 11 ans. La famille vit, depuis un an, loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison, une mort jugée « suspecte » par les enquêteurs. Sandra est rapidement inculpée malgré le doute : s’agit-il d’un homicide ou d’un suicide ? Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, et commence alors une véritable dissection du couple.

« Anatomie d’une chute » est actuellement projetée à DC, à l’Avalon Theatre, le cinéma d’art et d’essai de Chevy Chase. En attendant de connaître le verdict des Golden Globes, le 7 janvier prochain à Los Angeles…

Parc national de Joshua Tree: Le désert aux mille visages

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Vous pensez sûrement venir pour voir des forêts de Joshua trees à perte de vue dans un décor de désert ? Vous allez découvrir qu’ici, une particularité en cache une autre. Des arbres poilus aux airs de cactus géants devant des formations rocheuses étonnantes, voilà le décor du parc national du Joshua. L’immense région dans le désert californien, quelque part entre Palm Springs et la réserve nationale de Mojave, est un petit paradis pour les amateurs de nature. Ici, en plein milieu du désert, loin de toutes grandes villes, la lumière est plus vive, le vent plus fort et les contrastes plus éclatants. Que l’on vienne pour ses arbres, pour ses roches, juste pour la beauté du désert, prendre l’air ou randonner, on en repart forcément avec des étoiles plein les yeux et un goût assez puissant de reviens-y !  

Scenic Drive parc national de Joshua

Informations pratiques

➤ Parc accessible toute l’année.

➤ Entrée 30 US$ par véhicule.

➤ Toutes les informations  sur le site du parc national.

Ce que le parc national de Joshua Tree a de spécial

Impossible de parler du parc national de Joshua sans penser à l’arbre qui lui a donné son nom, ou plutôt, à sa plante car le Joshua tree (arbre de Josué) est, en réalité, une espèce de la famille des Agavacées. Cette plante assez rare ne pousse que dans cette région du sud-ouest des États-Unis. Lorsque les Mormons en exode vers la Californie traversent le parc national au milieu du XIXe siècle, ils voient dans la forme étrange de cet arbuste le signe du prophète Joshua qui leur montre la direction à suivre. Leur passage sera de courte durée car il est bien difficile de rester longtemps dans cette région désertique. Vous comprendrez vite pourquoi après quelques heures passées dans le parc, surtout en été. Ici, l’ombre est très rare, le soleil violent, l’environnement des plus arides et le désert sans fin.

Le parc est si grand qu’il accueille en réalité deux déserts distincts : le désert du Colorado et le désert de Mojave. Le premier s’étale au sud en une zone très sèche et assez inhospitalière. Le second, plus élevé, se trouve à l’ouest du parc et abrite une flore plus variée. Une vallée plus accessible mais aussi plus luxuriante avec ses Joshua trees endémiques qui se présentent sous forme de forêts poussant comme des petits champignons au bord de la route ou en apparitions isolées, arbres solitaires qui se dressent fièrement dans l’immensité du désert.

végération parc national de Joshua

S’il y a bien un endroit aux États-Unis où le désert sait convaincre qu’il n’est pas qu’une terre désolée plate et monotone, c’est bien dans le parc national de Joshua. Ici, on trouve aussi bien des vallées d’Agavacées et des montagnes que des portions arides de rares buissons tous secs. Le parc national cache même des oasis, terres de prédilection de dizaines d’oiseaux comme les fameux géocoucous de Californie et tout une vie sauvage très diversifiée. Car oui, le parc abrite aussi de nombreux animaux : des reptiles, des oiseaux, des rongeurs mais aussi, plus précisément, des coyotes ou, encore, plus faciles à observer, des mouflons d’Amérique.

Mais non content d’être le refuge d’écosystèmes aussi diversifiés et la terre d’accueil de la plus grande concentration de Joshua trees au monde, le parc national est aussi connu pour ses formations géologiques très particulières. Derrière ses hauts arbres chevelus se dressent des reliefs rocheux étonnants. Un enchevêtrement de roches affutées, agencées en strates aiguisées et en superpositions de gros rochers tous ronds qui semblent polis par la main de l’homme. Ces reliefs offrent un cadre idéal pour les grimpeurs qui viennent en nombre s’entraîner sur les gros rochers du parc et remonter ses failles étroites. Mais crapahuter sur ces grosses pierres, les contourner, les traverser est aussi un plaisir qui s’offre à tout visiteur dès lors qu’il est prêt à sortir de sa voiture et chausser ses baskets pour aller voir de plus près ces curiosités qui se dressent comme de petites montagnes de roches éboulées.

C’est un fait, une visite du parc national ne serait être complète sans s’aventurer dans ce décor aux multifacettes. Soyons sincères, tendre le bras par la fenêtre de sa voiture offrira déjà de très beaux clichés car ce décor se déroule non timide dès le bord de la route mais il y a tellement plus à découvrir à travers une courte balade ou une plus longue randonnée qu’il serait bien dommage de s’en priver.

arbre parc national de Joshua

Comment rejoindre le parc ?

On visite généralement le parc national de Joshua depuis Palm Springs, ville la plus proche, à moins d’une heure de route de là. Arriver à l’aéroport international de Palm Springs est donc une option, à condition de louer une voiture car l’accès au parc est uniquement possible avec son propre véhicule. Pour information, l’aéroport international de Las Vegas se trouve à 3h30 de route, celui de Los Angeles et celui de Sand Diego se trouvent, eux, à moins de 3h du parc.

La partie accessible en voiture est assez étendue. Il faut compter une bonne heure pour le traverser du nord au sud (presque 2h du nord-ouest au sud) et environ 1h pour explorer la partie nord (de la West Entrance Station à la North Entrance Station).

route parc national de Joshua

A quelle saison visiter le parc national de Joshua Tree ?

Le printemps est la saison idéale pour visiter le parc national de Joshua lorsque le désert tout en fleurs se pare de touches multicolores des plus photogéniques (de mars à début mai). L’été, n’est pas la saison idéale en raison des températures élevées mais l’automne et le printemps sont aussi des périodes agréables pour visiter le parc.

 

Cactus en fleurs parc national de Joshua

Où se loger et où se restaurer dans le parc ?

Où dormir  dans le parc national de Joshua Tree

Le camping est le seul moyen de rester dormir dans le parc national de Joshua.

La plupart des campings se trouvent dans la partie nord au cœur des forêts de Joshua.  On en trouve dans les différentes zones : Hidden Valley, Indian Cove, Jumbo Rocks… Un camping est également disponible dans la partie sud du parc près du Cottonwood Visitor Center. Certains fonctionnent sur la base du premier arrivé, premier servi, mais, la plupart sont réservables sur le site du parc national.

Les réservations sont fortement recommandées durant la haute saison qui s’étend d’octobre à mai.

Côté hôtels, vous trouverez quelques options de chaîne sur la route 62 qui borde la partie nord du parc national de Joshua. Sinon, Palm Springs reste la meilleure option pour profiter des autres incontournables de la région et de cette jolie ville ambiance mid-century au cœur du désert.

Où manger dans le parc national de Joshua

Aucune option de restauration n’est disponible dans le parc, il faudra donc prévoir votre casse-croûte. On trouve des tables de pique-niques dans chaque région du parc mais pensez que l’ombre y est rare.

Vie sauvage parc national de Joshua

Que voir et que faire dans le parc national de Joshua Tree ?

Il est possible de visiter le parc national de Joshua Tree en une journée, voire une demi-journée, si vous prévoyez de ne pas pousser dans la région sud et envisagez que de courtes balades.

Si votre temps est compté, pourquoi pas prévoir de traverser le parc d’ouest en est (si vous venez de Palm Springs) ou d’est en ouest (si vous venez de Las Vegas). Cette région abrite la plus grande concentration de Joshua trees et de formations rocheuses.

Voilà quelques zones et balades à ne pas manquer dans cette région  sans oublier de vous arrêter à l’un des visitors centers de chaque entrée : Joshua Tree Visitor Center à l’ouest et Oasis Visitor Center à l’est.

 

Le nord : Park Boulevard Road

C’est sur la route de Park Boulevard qui traverse le parc d’ouest en est que l’on trouve les principaux  points d’intérêt de cette région. Il faut compter 1h10 sans les arrêts pour pratiquer cette route :

Hidden Valley

Cette boucle de 30min-1h est idéale pour découvrir les formations rocheuses de près, la balade est facile et le décor grandiose.

Barker Dam

Une balade facile (mais pas très bien signalisée) permet de découvrir un point d’eau, ancien barrage construit par les éleveurs de la région. Aux heures les plus calmes de la journée, il est possible d’y observer pas mal d’animaux, des oiseaux et peut-être même des mouflons qui viennent s’abreuver ici.

Keys Views

Il vous faudra vous enfoncer sur une route en cul-de-sac pour rejoindre ce point de vue qui embrasse en un coup d’œil la vallée déserte de Coachella avec les reliefs des montagnes Mont San Jacinto en fond.

Ryan Mountains

Une bonne grimpette sur 5 kilomètres permet de rejoindre le sommet de la montagne  de Ryan qui offre une vue dégagée sur Pleasant Valley et Lost Horse Valley.

Skull Rock

C’est ici que l’on peut observer le célèbre rocher en forme de crâne.

Oasis of Mara

Tout au nord du parc, près de la sortie est, se trouve la petite oasis de Mara qui compte une jolie concentration de palmiers.

Palm Oasis et Indian Cove

Deux plus petites parties au nord du parc sont accessibles via des routes en cul-de-sac. L’une d’entre elle conduit à la belle oasis de Fortynine Palms Oasis (aussi connue comme la Palm Oasis), ouverte uniquement de l’automne au printemps. L’autre, conduit à Indian Cove et Wonderland of Rocks qui abrite une immense muraille de formations rocheuses érodées, paradis des escaladeurs.

La partie sud : désert et oasis

Arch Rock

Une arche naturelle toute en rondeurs s’observe au bout d’une balade facile et courte qui débute au camping de White Tank.

Cholla Cactus Garden

Plus petits et plus poilus que les Joshua trees, les drôles de cactus endémiques du désert du Colorado se laissent découvrir à travers une petite balade interprétative.

Ocotillo Patch,

Un autre point de vue sur les plantes du désert facile d’accès.

Lost Palm Oasis

Nichés au cœur d’une belle panoplie de formations rocheuses, les palmiers de l’oasis de Lost Palm se dressent fièrement pour accueillir les randonneurs qui auront parcouru les quelques miles assez accidentés qui les séparent du visitor center de Cottonwood. Comptez 3-4h pour faire cette randonnée assez difficile.

Roches érodées parc national de Joshua

Conseils pour une expérience authentique

Au cœur du désert, on a l’impression que nulle civilisation n’est arrivée jusqu’ici. Pourtant, l’histoire du parc national de Joshua c’est aussi l’histoire d’éleveurs de bétail qui ont exploité la région. C’est même aussi celle d’une bande de voleurs de bétail qui a investi l’oasis de Mara, planque idéale au milieu du désert. Les ressources minières ont aussi attiré une nouvelle activité à la fin du 19ème siècle et jusqu’au milieu du 20ème siècle avec près de 300 exploitations minières installées dans le parc dont la plus fructueuse : Lost Horse Mine avec une belle production d’or et d’argent. Cet héritage fait aussi partie des attractions du parc national de Joshua, si vous souhaitez vous familiariser avec cette histoire, ne manquez pas :

Lost Horse Mine

Peu après Key View, un ancien site minier se laisse découvrir via le Lost Hose Mine, Trailhead. Une balade facile de 3h-4h permet de rejoindre cette ancienne mine au milieu du désert.

Keys Ranch Guided Walking Tour

Une visite organisée par les rangers du parc d’octobre à mai permet de visiter un ancien ranch (pour une dizaine de dollars) situé dans la vallée de Hidden Valley, plus d’informations par ici.

Mine parc national de Joshua

FAQ

  • Faut-il une réservation pour visiter le parc national de Joshua Tree ?

    Non. Il suffit de s’acquitter des 30$ d’entrée.

  • Peut-on visiter le parc à la journée ?

    Oui, il faut compter entre une demi-journée et une journée selon le programme et les randonnées prévues.

  • Peut-on dormir dans le parc ?

    Uniquement en camping.

  • Peut-on visiter le parc en hiver ?

    Oui, c’est même la haute saison avec l’automne et le printemps, l’été n’étant la meilleure saison en raison des températures très élevées dans le désert.

Barrage parc national de Joshua

1 Day in Vegas: Un mariage de rêve avec Alicia, wedding planner

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[Article sponsorisé] Le mantra d’Alicia se résumerait à ces mots de Gainsbourg : “La vie ne vaut d’être vécue sans amour”. Wedding planner à Las Vegas depuis 10 ans, elle accompagne les couples qui souhaitent vivre l’expérience du mariage à Vegas, en faisant attention au moindre détail. Elle nous livre son témoignage.

Vivre l’American Dream

“Je suis Alicia, une vraie parisienne installée à Las Vegas depuis 10 ans maintenant ! J’ai eu la chance de faire des grands voyages assez jeune…Cela m’a toujours fasciné de découvrir de nouvelles cultures et de nouvelles façons de vivre. Mais très vite, j’ai eu ce vrai coup de coeur pour les USA en baignant dans les séries américaines comme “Beverly Hills” , ” Melrose Place” et les films hyper cools comme “Retour vers le futur”

Cette passion pour les États-Unis se concrétise plus tard, lorsqu’elle s’envole outre-atlantique.

“Je savais au fond de mon coeur que je vivrais un jour aux États Unis ! Après une jolie carrière avec beaucoup de succès dans l’évenementiel  et à Monoprix, j’ai décidé de tenter l’aventure aux USA car j’avais besoin de vivre ce rêve enfoui. J’ai commencé par visiter New York, puis Los Angeles et j’ai fini par poser mes valises à Las Vegas car toute l’extravagance de cette ville correspondait complètement à ma personnalité. Je me suis moi même mariée à Las Vegas il y a plusieurs années. Et bien sûr, je suis tombée sur mon prince charmant… un vrai Américain ! Il aime les gigantesques pizzas, les steaks bien saignants au petit déjeuner et les gros trucks bien bruyants !”

Être confrontée à la réalité

Mais au moment de réaliser leur projet de mariage, Alicia se rend compte qu’elle n’est pas complètement préparée à la réalité de la cérémonie américaine.

“N’ayant trouvé que très peu d’aide francophone à l’époque où je me suis mariée à Las Vegas j’ai décidé de faciliter et d’accompagner tous mes couples dans cette belle aventure et d’être celle que j’aurais aimé avoir à mes côtés en ce jour si précieux. Au-delà de la barrière de la langue, j’ai dû expérimenter moi même une cérémonie beaucoup trop courte à mon goût malgré la bienveillance des personnes sur place mais également faire face aux différences de culture. À cela se sont ajoutées des sommes à régler sur place, dont je n’avais pas la maîtrise à l’époque (pourboire, gratuities, service, taxes, fees…) et beaucoup de mal à comprendre les directives en anglais des différents acteurs du mariage sur place.”

Accompagner les francophones pour leur mariage

Elle décide de lancer une entreprise pour aider les francophones qui souhaitent se marier à Las Vegas.

“L’expérience était belle mais j’ai eu l’impression de ne pas profiter à fond, de subir cette journée de mariage et de ne pas être complètement détendue. Un de mes plus grands objectifs est de continuer à rendre tous les couples qui croisent ma route les plus heureux possible car ils me confient l’une des plus importantes journées de la vie à l’autre bout du monde. Car grâce à eux, je réalise un des mes plus grands rêves de petite fille. Je suis devenue l’américaine dans ma famille et mes amis qui viennent me voir souvent à Las Vegas me font remarquer à quel point je suis épanouie dans ce très beau métier de wedding planner.”

Avec 1 Day in Vegas, elle allie son expérience professionnelle et sa passion pour les États-Unis afin d’organiser un moment unique pour le plus beau jour de la vie des couples. Pour organiser votre mariage avec Alicia, rendez-vous sur son site web.

Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.