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Valérie Trierweiler découvre le cronut (sans faire la queue)

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Lorsque Dominique Ansel propose à Valérie Trierweiler de goûter son cronut, celle-ci ne succombe pas tout de suite à la tentation. « Je vais d’abord prendre un café ».

Venue à New York participer notamment à une réunion sur les violences sexuelles en compagnie de Michelle Obama, en marge du déplacement de François Hollande à l’ONU, la Première dame s’est offerte une petite pause gourmande, à SoHo, dans la désormais célèbre boulangerie du Français Dominique Ansel. Le pâtissier est l’inventeur du cronut, un croisement entre le croissant et le donut qui lui vaut des files d’attente de plusieurs heures, tous les jours dès 5h du matin.

Ce mercredi matin, 9h, n’a pas dérogé à la règle. Une trentaine de clients étaient alignés aux portes de la boulangerie lorsque la First Lady française y a pénétré avec le consul de France Bertrand Lortholary. Sans faire la queue bien entendu. Dans un patio rempli d’agents de sécurité,  madeleines, cronuts et kouign-ammann l’attendaient. “J’ai toujours autant d’attaches à la France. Recevoir la Première dame est pour moi quelque chose de très symbolique,” souligne Dominique Ansel. Après avoir fait ses classes chez Fauchon, cet ancien de « Daniel » a ouvert Dominique Ansel Bakery en 2011. “Pour réussir, il faut du talent, du génie et de l’envie. Dominique a les trois à la fois, indique Valérie Trierweiler. Je suis très fière de lui rendre visite“.

Après avoir goûté aux madeleines, mais laissé les cronuts à ses gardes du corps (conquis), la Première dame a rappelé le rayonnement culinaire de la France. “Notre cuisine n’a jamais été aussi présente en dehors de l’Hexagone. C’est une chance.” Et quand on lui demande si elle ramènera  un cronut à François Hollande, elle répond : “C’est promis !“.

Photo : Adrien Briand

"Le Mépris" à l'affiche à Los Angeles

“Le Mépris” (“Contempt” en anglais), grand classique de Godard avec Brigitte Bardot, sort au  Royal Leammle, le 4 octobre. L’occasion de revoir un des films “culte” de la Nouvelle Vague.

Sensuel et intellectuel, le film raconte l’histoire de  Paul et son épouse Camille qui rejoignent l’Italie et le réalisateur Fritz Lang pour terminer le scénario d’un film en tournage. Mais sa femme s’ennuie et pense que Paul la délaisse. S’ensuit une série de malentendus.

Le film est resté célèbre pour ses scènes de nu, qui dévoilent une Brigitte Bardot plus sensuelle que jamais.

Nuit blanche à Santa Monica

Une virée nocturne pour découvrir des œuvres d’art. Si vous avez participé à la Nuit Blanche parisienne, vous connaissez le concept. Santa Monica a la sienne depuis 2008. Fin septembre, le « Glow Festival » revient pour sa 3ème édition, toujours avec la même philosophie : sortir l’art des galeries et des musées.

Le 28 septembre, plus de 200 artistes nationaux et internationaux participeront à la mise en place de 50 œuvres et performances, inédites et éphémères, disséminées sur la plage de Santa Monica et ses alentours. Les éditions précédentes avaient attiré chacune entre 150.000 et 200.000 personnes.

L’art contemporain sera une nouvelle fois envisagé comme une interaction entre artistes et public, ce dernier devenant acteur des œuvres qu’il découvre. Ainsi, lors des deux précédentes éditions, les visiteurs ont pu voir un concert improvisé dans une grande roue, des projections murales créées par la foule ainsi qu’une longue-vue fluorescente. Cette année, ils y trouveront pêle-mêle un spectacle de marionnettes, un puits lumineux, un dôme d’ombres et une visite sonore de Santa Monica.

Un artiste français participera à Glow 2013 : Mathieu Briand. Décrit comme un visionnaire, celui qui a déjà exposé au Centre Pompidou viendra proposer une œuvre déconcertante et intrigante. Quelques mètres au-dessus de containers posés sur le sable, tard dans la nuit, un grand anneau de feu rappellera symboliquement la présence du soleil. Baptisée « 6:43 », cette installation permet à l’artiste de se faire connaitre en dehors d’Europe, six ans après son passage à la Tate Modern.

Photo : Giulio Marcocchi / Sipa USA

Un nouveau meetup francophone à Houston

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Molière serait ravi. Un nouveau groupe de conversation francophone voit le jour à Houston.
Le “North West Houston & Cypress Biweekly Conversation Group” se réunira le mardi soir (20h- 21h30) au restaurant La Madeleine, au Crossroads Center. Le premier rendez-vous aura lieu le 24 septembre. Tous les niveaux sont admis au sein de ce groupe ouvert aussi bien aux francophones qu’aux francophiles désireux d’améliorer leur pratique de la langue.

Hôtel Normandy, entre romantisme et lourdeur

Chaque fois que je commence un film, j’appréhende, c’est toujours risqué“. La dernière prise de risque de Charles Nemes (“La Tour Montparnasse Infernale”, “Le Séminaire”) s’appelle « Hôtel Normandy », une comédie romantique qui sort aux Etats-Unis.

“Hôtel Normandy” est l’histoire d’Alice Lecorre (jouée par Helena Noguerra), envoyée à Deauville par ses deux amies à l’occasion de son anniversaire. Les amies en question y envoient également David Carlotti (Cédric Ben Abdallah), gigolo impudent chargé de la séduire. Ce dernier, malade, envoie son frère, le maladroit Yvan Carlotti (Ary Arbittan). Mais le plan tombe à l’eau quand la belle est séduite par un autre homme, Jacques Delboise (Eric Elmosnino), galeriste naïf, lors d’une rencontre fortuite.

Le pari est d’autant plus risqué pour Charles Nemes que le genre de la comédie romantique a été vu et revu, et que c’est la première fois qu’il s’y frotte. Quand on demande au réalisateur comment il s’y est pris pour apporter son grain, il répond que “la clé est de mélanger rigueur et abandon“. Mais le résultat peine à convaincre, à la différence de films similaires comme l’ « Arnacoeur » et « Amour et Turbulences ».

Le film tire en effet toutes les cordes du genre : les hommes “macho” voire “looser”, jalousie, susceptibilité, vannes faciles et les allusions sexuelles. Le film suit un schéma très sitcom, à grands renforts de quiproquos et de gags très écrits. “Désormais, lorsqu’on fait une comédie, on ne peut pas oublier l’héritage de séries telles que Friends par exemple“, raconte Charles Nemes, qui fut réalisateur pour la télévision (« H », « Maigret »). La différence : les dialogues d'”Hôtel Normandy” lassent vite. Un sentiment qui culmine avec une scène archi-attendue dans laquelle les frères Carlotti se briefent sur la façon de charmer une femme.

Les dialogues ne doivent pas faire oublier le casting, original et réussi – le couple Elmosino-Noguerra fonctionne bien. Suffisant pour convaincre ?

Philippe Létrilliart, de Cuba à Miami

«J’étais candidat pour venir en Floride ; cela me semblait particulièrement intéressant de connaître cette partie d’Amérique du Nord, la plus proche de l’Amérique latine ». Philippe Létrilliart arrive à Miami sans trainer les pieds.

Le nouveau consul général de France a pris ses fonctions le 3 septembre, succédant à Gaël de Maisonneuve (devenu Ministre Conseiller à Brasilia). Son mandat couvre la Floride, Porto-Rico, les Bahamas, les îles Caïmans, les îles Turks et Caïques et les  îles Vierges américaines.

Né à Casablanca, le nouveau consul est un spécialiste des Amériques. De l’Amérique latine plus précisément. « J’ai un parcours assez classique, passé par Sciences Politiques puis par le Concours des Affaires Etrangères. J’ai occupé divers postes en essayant d’avoir une coloration Amériques tout au long de ma carrière ». Avant le Quai d’Orsay, il a commencé son parcours au Guatemala, en tant que coopérant culturel à l’Alliance française (1989-1990). Puis, il fut tour à tour Premier secrétaire à l’Ambassade de France à La Havane (1996-2000) – « une expérience tout à fait utile pour ma compréhension de Miami », Premier conseiller à l’Ambassade de France à La Paz (2006-2010), et Sous-directeur du Mexique, de l’Amérique centrale et des Caraïbes au Quai d’Orsay à Paris (2010-2013).

Pour son premier poste en réseau consulaire, Philippe Létrilliart veut être   au «service » des Français. Comme pour les autres consuls, sa feuille de route est dictée par la politique de « diplomatie économique » chère  au Quai d’Orsay. «Nous continuons à effectuer tout le travail ‘classique’ consulaire, auquel s’ajoutent aujourd’hui des actions plus fortes de relations avec nos entreprises et de communication sur les compétences françaises, notamment en matière scientifique, technologique et universitaire».

Sa rentrée sera marquée par l’organisation des French Weeks de Miami,  «une succession de manifestations culturelles, économiques, gastronomiques, démontrant la diversité des savoir-faire français. Et qui s’ouvrent à la Résidence le 24 octobre, sur inscription».

«J’ai déjà eu l’impression d’une communauté française ouverte, dynamique, désireuse de faire des choses, et bien implantée en Floride. Le Consulat est au service de cette communauté ; il ne faut pas hésiter à venir nous voir. Tant pour le strict travail consulaire que pour l’accompagnement d’initiatives plus larges ». Et d’ajouter : « Nous allons aussi continuer à aller au-delà, vers le public francophone, et également renforcer nos liens avec la France des Amériques, en particulier la Martinique et la Guadeloupe qui souhaitent avoir des attaches renforcées avec Miami et la Floride

Vidéo: Laurent Fabius à PS 58 à Brooklyn

Croissants et “pledge of allegiance”: Laurent Fabius a vécu le choc des cultures des écoles bilingues à PS 58.
Venu rencontrer les parents d’élèves francophones de cette école publique de Brooklyn, le ministre des Affaires étrangères a eu droit aux croissants servis par le restaurant voisin Provence en boîte, et au “pledge of allegiance” lu comme tous les matins par des élèves via le système audio de l’école. “En France ça se passe exactement pareil” a plaisanté Laurent Fabius, avant d’entamer une visite de l’école, devenue le passage obligé des politiques français de passage à New York.
La visite en vidéo:

Investissement en euros: la solution des locations en meublé avec Réside Etudes

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(Article Partenaire) La solidité de la pierre associée à un rendement attractif et garanti (4,25% net au moins): un rêve d’investisseur! Guère étonnant que les investissements en résidences services aient le vent en poupe en France.
A la pointe de cette tendance, on trouve le groupe Réside Etudes, devenu en quelques années l’un des leaders de l’immobilier d’investissement en France. La société compte 20,000 logements gérés, possédés par plus de 18,000 investisseurs, dans quelque 150 résidences dans toute la France.
Installé à Boston, Max Manoukian a pour mission de faire connaître Réside Etudes aux Français installés de ce côté-ci de l’Atlantique. “Notre cible, dit-il,  ce sont les investisseurs qui souhaitent se constituer un revenu en euros, par exemple en vue de prendre leur retraite en France, en bénéficiant de l’effet de levier qu’autorise l’immobilier, et de revenus garantis”.
Réside Etudes gère des résidences étudiants, son métier historique, mais aussi des résidences d’affaires et, de plus en plus, des résidences pour seniors. “L’originalité du groupe, explique Max Manoukian, est d’associer en son sein la promotion immobilière et une société de gestion”. Les investisseurs, qui achètent des appartements (et non des parts de société immobilière) bénéficient donc d’un contrat de location garanti: pas de souci de vacances, ni de loyers impayés.
Le système jouit aussi d’une fiscalité avantageuse, grâce au statut de loueur en meublé non professionnel, qui permet:
– Le remboursement de la TVA sur le prix d’achat (art.261-D4 du CGI)
– L’amortissement du bien immobilier sur 20 ans
– La déduction des Intérêts d’emprunt liés à l’acquisition.
Autre avantage: le faible apport personnel nécessaire. Les investisseurs français peuvent faire financer jusqu’à 100% de leur achat. Pour ceux basés à l’étranger, les banques exigent la plupart un apport de 20%, mais l’effort reste modeste.
Selon les projets, les premiers prix des appartements (en résidences étudiants le plus souvent) commencent à 80,000 euros pour atteindre 300,000 euros pour les projets les plus hauts de gamme. Pour un apport personnel de 16,000 euros et un effort d’épargne mensuel de 114 euros (dégressifs selon indexation des loyers), on peut ainsi se constituer un patrimoine qui procurera un complément de retraite appréciable (cliquer sur l’image ci-dessous pour l’agrandir)
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Enfin cet investissement n’est pas bloqué: l’appartement peut à tout moment être revendu. Réside Etudes se charge de trouver un acquéreur. Au total, de 20 à 25 % des investisseurs revendent leur bien, le plus souvent afin de se constituer un capital issu d’une épargne très faible.
Les marques du groupe:
– Les Estudines et Stud’City: résidences avec services pour étudiants et stagiaires.
– Séjours& Affaires Apparthotel: résidences de tourisme et d’affaires 2*
– Residhome Apparthotel: residences de tourisme et d’affaires 3 et 4*
– Relais Spa: résidences de tourisme 4 et 5* avec espaces affaires, bien-être et détente.
– Les Girandières: résidences avec services pour seniors.
 
Pour nous contacter :
Max Manoukian                        [email protected]  781-392-6187
Jean-Francois Fougeret         [email protected]
Sur Paris : Patrick Place         [email protected] +33 (0)6-10-04-04-82
Site internet :                            www.reside-etudes-invest.com

Le Grand Fooding voyage dans le temps

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C’est presque devenu une tradition! Le Grand Fooding remet le couvert à New York.

Cet évènement culinaire très tendance (et limite a cent personnes chaque soir) est organisé par les guides français Fooding, connus pour leur originalité et leur volonté de briser les codes. Cela fait depuis 2009 que des dîners Fooding ont lieu dans la Grosse Pomme. Pour l’édition 2013 de ce rassemblement de foodies, qui aura lieu les 27 et 28 septembre chez RES à Brooklyn, les organisateurs ont décidé de remonter le temps. Au menu de l’évènement “Time Mach’Inn”, vingt ans de modes culinaires passées à la moulinette par quatre grands chefs d’horizons différents.

En entrée, Peter Gordon, pape de la cuisine dite fusion, concoctera les assiettes qui ont fait son succès dans les années 90 à Londres (et séduit des stars comme Madonna et Ralph Lauren). Les plats seront accompagnés d’un cocktail nineties de  Jeannette Levis, ambassadrice des whiskies Jameson. Le chef français Yves Camdeborde (Le Comptoir du Relais), parrain de la Bistronomy, se chargera du plat principal à base de poitrine de veau et de coquillages. En dessert, Frank Castronovo et Frank Falcinelli, propriétaires du restaurant italien Frankies Spuntino, plongeront les convives dans les années locavore, marquées par le “consommer local et saisonnier“.

Comme chaque année, l’événement profitera à une organisation à but non lucratif: 10% de chaque place achetée ira à City Harvest, une association contre la faim à New York.

Un Hollande gaullien et des "mini-miss" interdites

(Revue de presse) Posture gaullienne de Hollande sur la Syrie et concours de beauté : la presse américaine a eu des centres d’intérêt variés la semaine dernière.

Commençons par la Syrie. Lors de son intervention ce dimanche sur TF1, François Hollande a réaffirmé la possibilité d’une intervention militaire. Les journaux américains, partagés sur le rôle de la France dans ce conflit, semblent saluer la fermeté française. Le Washington Post va jusqu’à considérer Hollande comme un nouveau de Gaulle. “François Hollande n’agit pas seulement comme le caniche d’Obama, contrairement à ce que certains pourraient penser. Depuis la présidence de Charles de Gaulle, la France a toujours voulu montrer qu’elle prenait ses décisions militaires seule (…), elle ne compte plus seulement sur les Etats-Unis“.

Le journal explique cette ferveur en arguant que “la France a des intérêts au Liban et souhaite éviter que ceux-ci ne se dégradent“, et que “les liens entre la France et cette région font de la Syrie un lieu particulièrement attractif pour les terroristes ayant grandi en France. Les autorités craignent que ces derniers y reviennent pour y perpétrer des attentats.

Les mini-miss interdites en France

Cependant, la Syrie passionne moins que l’interdiction des concours de mini-miss en France, véritable institution américaine. “En France comme aux Etats-Unis, les parents s’inquiètent de plus en plus de la banalisation du sexe dans la société” affirme ABC News. Une affaire prise au sérieux par le Sénat français. Mercredi dernier, ce dernier a interdit les concours de beauté pour les adolescentes de moins de seize ans. L’amendement de la centriste Chantal Jouanno prévoit une sanction de deux ans d’emprisonnement et une amende de 30.000 euros contre toute personne organisant ce type de concours. Les Américains n’ont pas tardé à réagir. “Pour l’amour de Dieu, ce sont des enfants, pas des adultes !” s’indigne une mère sur CNN. “Les concours de mini-miss sont comme des combats de chiens entre petites filles qu’on transforme en clowns” ajoute la journaliste Deborah Cruz, dans une chronique pour le Huffington Post. “Peut-être devrait-il y  avoir une loi contre les parents vivant ces concours par procuration“.

Cette prise de position n’est pas partagée par tous. Valérie Best, organisatrice de l’un de ces concours, juge sur KPLC que “la société n’a pas assez de recul pour juger ces concours. (…) Ils ne sont finalement pas si différents de certaines compétitions de sport, comme la gymnastique. (…) Apprenons à ces filles comment être fortes, confiantes, et voyons ensuite ce que cela donne”. 

Enfin, Susan Anderson, photographe ayant publié un livre sur ces concours, relativise sur ABC News : “Les concours de beauté pour mini-miss sont typiquement américains. Je ne vois pas comment ils pourraient avoir une place en France, où on a compris ce qu’était l’élégance.” “Nous devrions peut-être nous en inspirer, de temps à autres“.

Le kale, ce chou frisé méconnu en France

Le New York Times s’est intéressé à Kristen Beddard, une Américaine qui a fait le pari fou d’exporter le kale, sorte de chou frisé jusqu’ici non cultivé en France. Ce végétal commence à faire des émules en France, puisque Kristen a convaincu quelques fermes et restaurants parisiens de participer à son émancipation. Le Times estime que “dans un pays aussi attaché à ce que le terroir peut offrir, le kale renvoie à la famine vécue lors de la Seconde guerre mondiale, pendant laquelle le chou frisé est devenu un aliment incontournable.” Le souhait de Kristen ? “Faire du kale un produit aussi commun que la laitue“. Avant, il faudra sans doute se prendre… le chou.

Tony Parker chouchouté

Victorieuse face à la Lituanie (80-66), la France a remporté son premier titre de champion d’Europe lors de la finale de l’Eurobasket 2013. Les commentateurs américains ont notamment loué la performance de Tony Parker. Ainsi peut-on lire sur HoopsHype qu’il s’agit de “la rédemption pour Tony Parker, après une finale de NBA désastreuse“. Le site de Sports Illustrated va dans ce sens, et estime que “la France ne pouvait rêver meilleur ambassadeur. Il est réjouissant de voir que sa persévérance a fini par payer“.

Photo : Lemouton Stephane/ABACAUSA.COM

Peine de mort: le désaccord franco-américain

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Controversée, la peine de mort oppose la France et les Etats-Unis.

Depuis sa réintroduction en 1976, la peine capitale fut appliquée dans 1.314 cas aux Etats-Unis. Selon un sondage Gallup de janvier 2013, 63% des Américains sont favorables à son maintien à la différence des Français qui, en 2011, la désapprouvaient à 53%, selon l’institut de sondages en ligne Mingle Trend. A noter le grand revirement de l’opinion française sur ce sujet. Opposés à son abolition en 1981, les Français ont changé d’avis en 1998, année où un sondage IFOP donna pour la première fois une majorité de Français (54%) se déclarant contre cette peine.

La fracture franco-américaine s’observe au niveau de la jeunesse des deux pays. En France,  67%  des jeunes dénoncent la pratique alors que 60% des 18-34 ans américains la trouvent  justifiée. Et plus on est vieux, plus on y est favorable : 67% des plus de 55 ans américains sont « pour » ainsi que 48% des Français. L’appartenance politique influe aussi sur les opinions : 89% des sympathisants FN et 60% des proches de l’UMP sont « pour ». Les Républicains le sont aussi à 80%. Mais la différence entre la gauche et la droite est moins marquée qu’en France. Ainsi 51% des Démocrates y sont favorables, contre 30% chez les sympathisants socialistes.

Crédit: Wikipedia Commons

Nuit de Bromance à Los Angeles

Le label Bromance Records débarque au Sound Nightclub de Los Angeles le samedi 28 septembre. Les platines vont chauffer!

Bromance Records est né de la rencontre du DJ Louis Rojé alias “Brodinski” et du producteur Manu Barron. Il est devenu un label qui compte: résidence au Social Club à Paris, partenariat avec EMI et productions de nouveaux talents très prometteurs tels que Gesaffelstein (ci-dessus), considéré comme  « nouveau prince de la techno française » par les Inrocks.

Fort de ce succès, le label débute une tournée américaine, avec la présence de Brodinski, Louisahhh !!! et Gesaffelstein . Rien que ça.

Credit: Abaca