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Le South Beach Comedy Festival: et Miami se marre…

Fou rire à Miami. Le South Beach Comedy Festival  prend ses quartiers du 17 au 21 avril.

Le festival rassemble la crème des humoristes. Dix-sept comédiens, connus et moins connus, ont répondu « présent ».  Parmi eux, Jamel Debbouze, dont le spectacle aura lieu le 21 avril au Fillmore Miami Beach.

C’est la compagnie Mad Cat Theatre Company qui aura l’honneur d’ouvrir les festivités le 17 avril. Les humoristes participent au festival pour la troisième année consécutive. Plusieurs membres de l’ancienne équipe de Saturday Night Live seront également sur scène comme Seth Meyers (le 18 avril), Tracy Morgan (le 19 avril) et Sarah Silverman (le 20 avril).

Le South Beach Comedy Festival a été créé en 2005 et dispose d’un partenariat avec la chaîne Comedy Center, ce qui permet la diffusion des spectacles dans plus de 99 millions de foyers.

Raquel Bitton, de Piaf à Tino Rossi

Après avoir porté la petite robe noire de Piaf, Raquel Bitton se met aux couleurs chaudes.

Connue pour ses interprétations de la Môme, la chanteuse dit vouloir “tourner la page“. “Edith Piaf m’a apporté la rigueur du travail et l’exigence. C’est grâce à elle que je peux désormais attaquer ce nouveau répertoire“.

Ce nouveau répertoire, c’est celui de Tino Rossi. Elle le chantera le 19 avril au Yoshi, l’antre du jazz. L’occasion aussi de lancer son nouvel album « Rythm of the Heart» consacré au chanteur et acteur corse, et agrémenté de rythmes latins. «  Mon père adorait Tino Rossi, il disait tout le temps : ‘Toutes les femmes et les hommes voulaient être lui’. C’est simple, les chansons de Tino Rossi, je les ai toutes sifflées avant de les chanter, car mon père sifflotait ses chansons tout le temps. »

Pendant des mois, elle s’est attelée à la recherche des chansons les moins connues du maestro sur les 78 tours de son père. Des bijoux dont elle voulait connaître toute l’histoire : «  J’ai besoin de fouiller les répertoires en tant qu’interprète, de trouver les chansons. que je pourrais ensuite porter. J’ai besoin de savoir comment et pourquoi une chanson est née. J’adore cette partie de mon métier. » Tino Rossi a enregistré en tout 1.200 chansons. Raquel Bitton n’en a choisi que douze. Un challenge.

Elle s’entoure de l’orchestre parfait pour l’accompagner dans cet album. Elle fait appel à Rafa Sardina, onze fois récompensé aux Grammy Awards, pour co-produire le disque. L’orchestre éclectique se compose de grands talents de la musique afro-cubaine, de membres de l’orchestre symphonique de San Francisco et marrie violon, percussion et bandonéon argentin. On y retrouve le pianiste de jazz et arrangeur Otmaro Ruiz, la pianiste auteur-compositeur spécialisée de musiques latine et afro-cubaine Rebeca Mauleón (qui compte Santana dans ses collaborations). Ou encore le bassiste Carlos Del Puerto qui a grandi au son du Buena Vista Social Club et le guitariste Ramon Stagnaro qui a travaillé avec Diana Ross, Andrea Bocelli et Céline Dion. Piaf… s’est envolée.

Le programme français de Glendale continue sa croissance

Première année réussie pour le programme d’immersion en français de l’école magnet Benjamin Franklin à Glendale. L’école publique recherche maintenant des professeurs et assistants francophones pour l’aider à développer ses futures classes d’élémentaire.

Vingt-deux élèves sont inscrits en Kindergarten et vingt-quatre nouveaux enfants les remplaceront en septembre prochain. Deux maîtresses francophones certifiées en  Californie (Multiple Subjects K-8 et BCLAD) travaillent ensemble sur le programme: Valérie Sun est l’institutrice principale, et Catherine Moine, l’enseignante prévue pour le CP (1st grade), développe actuellement le curriculum de l’année 2013-2014. Pour la rentrée à venir, près de 150 enfants sont en liste d’attente.

Les pouvoirs français locaux sont bien conscients de ce succès « écrasant ». Le 14 février, le Consul Général Axel Cruau a visité l’école, accompagné du superintendant député à Glendale John Garcia.  « Aider autant que possible ces programmes bilingues publics, c’est donner une chance aux parents de toutes origines, pas seulement français, et donner une chance aux enfants d’être bilingues et biculturels, souligne le consul. C’est aussi un énorme atout pour la France : une opportunité de travailler à la francophonie, la francophilie, et aux relations entre les Etats-Unis et la France. Pour nous, c’est une priorité. »

Reste le problème du recrutement des enseignants. « Il est très difficile pour un professeur français de savoir comment travailler dans un programme bilingue dans le système public californien », reconnait Muriel Gassan, présidente de l’association Frenchip, qui a lancé l’initiative de Glendale il y a maintenant un peu plus de trois ans.

Autre défi : l’obtention des ressources pédagogiques nécessaires. « Nous travaillons avec l’Ambassade pour aider l’école Benjamin Franklin à obtenir des livres, malheureusement, nous n’avons pas de budget pour cela, on ne nous a pas donné de moyens spécifiques. Ce serait tellement mieux, mais la situation budgétaire étant ce qu’elle est, nous devons faire avec d’autres moyens, poursuit Axel Cruau. Nous essayons de voir comment développer plus de programmes dans le système public [américain NDLR], et comment créer un système de coopération entre ces programmes et les écoles publiques françaises ».

Mike Tyson troque le ring pour la scène à Miami

Mike Tyson était un habitué des rings. Le voici à présent sur les planches.

A la suite du succès de son one-man show “Undisputed Truth” à Broadway, le boxeur a entamé en février une tournée des Etats-Unis. Il présentera son show sur la scène du Arsht Center de Miami le 16 avril.

Mis en scène par le fameux réalisateur américain Spike Lee, le spectacle est une plongée dans la vie du sportif et raconte avec émotion ses moments les plus forts.

Les confessions du champion incontesté de la boxe ont déjà conquis New York et Las Vegas et promettent de séduire le reste des Etats-Unis lors de cette tournée de dix semaines.

Yann Trividic swingue avec le Miami City Ballet

Souriant, Yann Trividic se remémore sa rencontre avec la danse à l’âge de 8 ans. « Je faisais du violon au conservatoire de Perpignan, j’aimais beaucoup la musique et j’ai voulu essayer la danse ».

Son frère jumeaux et lui-même se sentiront instinctivement attirés, passant outre les stéréotypes et les moqueries à l’école : « Nous avons essayé le foot, le karaté, mais c’est la danse qu’on a tout de suite adoré ».

Tout s’enchaine alors très vite. Il intègre à 15 ans le Ballet du Rhin, puis il est invité par la chorégraphe Marie-Claude Pietragalla pour danser à l’opéra de Marseille pendant un an. Là-bas, il rencontre un danseur du Miami City Ballet qui l’encourage à se présenter aux auditions de la compagnie… et le voilà engagé en 2000. Outre la découverte d’un nouveau pays, Yann Trividic apprend une nouvelle manière d’appréhender la danse à travers l’emblématique directeur du ballet, Edward Villella, un des héritiers du grand chorégraphe George Balanchine : « Il donne du groove au ballet et il nous pousse à être nous même à travers la danse». Et au delà de la direction artistique, Edward Villella apporte “un esprit d’équipe et une cohésion au sein de la compagnie”.

Parallèlement à la danse, Yann Trividic pense à une reconversion. Il décide de tout abandonner en 2004 pour apprendre le métier d’ostéopathe en France. Après six ans d’études, il démarre sa nouvelle vie à Bordeaux. Mais la danse revient sur son chemin. Edward Villella le réclame pour le rôle principal de Ballroom, sa nouvelle création. Après six ans sans danser, il rechausse ses chaussons de ballet et ne le regrette pas ; il va vivre ses plus beaux moments de danseur, dont un moment de grâce en interprétant “Roméo et Juliette” : « Ce jour là, ma partenaire et moi-même avons oublié que nous dansions, il n’y avait que de l’émotion, nous avons transcendé la danse ».  Yann Trividic se souvient aussi avec bonheur de la tournée du Miami City Ballet au théâtre du Châtelet en 2011, encensé par la critique française : « Je suis français mais c’était la première fois que je dansais à Paris, l’accueil a été fantastique».

A 34 ans, Yann Trividic est au crépuscule de sa carrière et va bientôt se consacrer à la “physical therapy” à Miami : « soigner gens avec une approche holistique, en traitant avant tout leur problèmes émotionnels ».

N’éprouve-t-il aucun regret à arrêter la danse ? : « La scène me manquera certainement mais je resterai toujours un artiste dans l’âme, mon travail de thérapeute sera un autre moyen de m’exprimer et surtout de transmettre ».

Photo: Miami City Ballet dancers Yann Trividic and Patricia Delgado in Slaughter on Tenth Avenue. Choreography by George Balanchine. © The George Balanchine Trust. Photo © Daniel 

Nima Sarkechik, la sensation franco-iranienne du piano à Dallas

A 30 ans seulement, le pianiste franco-iranien Nima Sarkechik est un jeune talent extrêmement prometteur. Invité par l’Alliance Française, il sera de passage à Dallas le 13 avril pour un concert.

Le virtuose est diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris et a déjà reçu de nombreuses récompenses, dont le prestigieux 1er Prix du Concours International de Piano de “Son Altesse Royale Lalla Meryem” à Rabat.

Son premier enregistrement en 2008 est consacré à Frédéric Chopin et Hugues Dufourt et lui a valu l’éloge du milieu de la musique classique. Depuis, il enchaine les concerts en France et ailleurs, où il est souvent reconnu pour la puissance de son style.

Le Consulat de France met les pieds dans l'eau

Quelques semaines après le World Water Day, journée mondiale de l’eau, le Consulat de France de New York organise une conférence sur le thème des politiques environnementales liées à la gestion de l’eau.

La crise de l’eau est déjà une réalité. Le 22 mars, le Secrétaire Général des Nations Unies Ban Ki-moon a déclaré qu'”une personne sur trois vit dans un pays où le stress hydrique est modéré ou elevé, et en 2030 près de la moitié de la population mondiale pourrait faire face à la pénurie d’eau“.

Les professeurs Upmanu LALL, directeur du Columbia Water Center, et Laurence Tubiana, directrice de l’Institut du Développement durable et des Relations Internationales de Paris, compareront les initiatives françaises et américaines en matière de gestion de l’eau.

Jamel Debbouze : « Je viens faire connaissance avec les Américains »

Jamel l’Américain. L’humoriste est, pour la première fois, en tournée aux Etats-Unis. Il montera sur scène le 10 avril à Boston, le 12 à San Francisco, le 13 à Los Angeles, le 18 à New York et le 21 à Miami. Il a accordé une interview à French Morning juste avant de prendre l’avion.

French Morning : C’est la première fois que vous montez sur scène aux Etats-Unis. Quelles sont vos impressions ?

Jamel Debbouze : C’est super paradoxal, bizarre, excitant à la fois. C’est un plaisir incroyable de se retrouver sur scène aux Etats-Unis pour la première fois de sa vie. Ce sont les artistes new-yorkais qui m’ont donné envie de monter sur scène. C’est magique ! New York est le berceau du stand up. Le Jamel Comedy Club baigne dans cette culture du stand up. Nous avons tous grandi avec Eddie Murphy ou Richard Pryor, ils racontent la même chose que nous, ils parlent de la misère, du quotidien. J’ai voulu recréer cette proximité avec le spectateur, comme si je jouais dans leur salon. Aujourd’hui, je viens faire connaissance avec les Américains. Je vais m’adapter à ce nouveau public mais sans préparation. Je suis un enfant de l’improvisation théâtrale.

Que va-t-on apprendre sur vous dans “Tout sur Jamel”?

“Tout sur Jamel” raconte toutes les choses extraordinaires qui me sont arrivées. En France, je suis l’un des Arabes les mieux lotis et il m’arrive encore des choses incroyables. J’ai vécu un véritable choc des cultures. Je connais la mixité, j’ai épousé une Française (la journaliste Melissa Theuriau, ndlr) et dans ma famille, ce mariage a été un cataclysme ! C’est d’autant plus intéressant de jouer à New York en particulier, car c’est le berceau de l’immigration.

Vous jouez aussi dans le prochain film de Nabil Ben Yadir, “La Marche”, qui sortira en 2013…

Le film raconte l’histoire vraie d’une marche pacifiste organisée en 1983 après le meurtre d’un jeune banlieusard par la police. La marche débute à Marseille à neuf et se termine à Paris à 100.000 personnes. Cette marche est une revendication pour l’égalité et contre le racisme. En 1983, les manifestants ont été reçus par François Mitterrand à l’Elysée et ont réussi à allonger la durée de la carte de séjour de trois à six ans. Dans le film, je joue le rôle de Hassan, un jeune toxico qui profite de la marche pour s’en sortir. “La Marche” sortira le 3 décembre 2013 pour commémorer les 30 ans de l’évènement.

Photo: Jamel au Festival de Cannes – Hahn-Nebinger-Orban/ABACAUSA.COM

Lionel Jospin parle de l'Europe à UCLA

S’il a pris sa retraite politique depuis 2002, année de sa défaite au premier tour de la présidentielle, Lionel Jospin n’a pas complétement disparu de la vie publique. Le 11 avril, il sera à UCLA.

L’ancien Premier ministre s’exprimera dans le cadre d’une conférence intitulée “L’Europe : un continent en déclin ou un modèle pour l’avenir ?”. Au programme, une réflexion sur les problématiques qui touchent actuellement le “Vieux continent” : crise, chômage, croissance “quasi inexistante”. L’ancien leader socialiste parlera aussi du rôle de l’euro et du modèle social européen aujourd’hui.

La conférence fait partie de la série “U Heard It Here”. Elle est sponsorisée par le departement de sciences politiques de UCLA et le departement d’etudes francais et francophones. Elle sera animee par Giulia Sissa, professeur de sciences politiques à UCLA.

Le dernier Dujardin au Tribeca Film Festival 2013

Déroulez le tapis rouge et sortez les projos! Le prestigieux festival du film de Tribeca et sa flopée de célébrités reviennent du 17 au 28 avril. Treize films français sont à l’affiche.

Créé en 2002 par la productrice Jane Rosenthal et Robert De Niro, le Tribeca Film Festival a pour objectif de faire connaitre le cinéma indépendant à un public sevré aux blockbusters d’Hollywood. Le festival s’est également donné pour mission de promouvoir la ville de New York comme nouvelle capitale du cinéma.

Plus de 200 films sont projetés tout genre confondu : longs et courts métrages, documentaires, drames, comédies, horreur, sciences fictions ou encore films familiaux. Douze prix seront décernés pour récompenser les meilleurs films de leur catégorie.

La sélection comporte treize films français dont « Alceste à Bicyclette » (« Cycling with Molière » en anglais) de Philippe Le Guay avec Fabrice Lucchini et Lambert Wilson. Sorti en 2013, le film raconte l’histoire de Serge, un acteur qui décide de mettre un terme à sa carrière et de vivre en ermite sur l’Île de Ré jusqu’à ce que, trois ans plus tard, Gauthier Valence, un célèbre acteur, lui propose de jouer Le Misanthrope de Molière. Le film sera diffusé le 23 avril au SVA Theater et le 25 et 28 avril à l’AMC Loews Theater.

Autre film : « Les Saveurs du Palais » (“Haute Cuisine”) de Christian Vincent avec Catherine Frot, sorti en 2012. Le film retrace la vie d’Hortense Laborie, une cuisinière du Périgord recrutée par le président de la République pour devenir la cuisinière officielle de l’Elysée. Le film sera projeté le 18 avril au Clearview Cinemas de Chelsea, et le 25 et le 27 avril à l’AMC Loews Village.

Last but not least : « Möbius », d’Eric Rochant sorti en 2013 avec Jean Dujardin, Cécile de France et Tim Roth. Le film franco-belge dépeint la passion qui va naître entre Grégory Lioubov, un agent des services secrets russes et Alice, nouvelle recrue pour une mission dangereuse. Le film sera montré le 24 avril au BMCC Tribeca PAC, le 27 avril au Clearview Cinemas de Chelsea et le 28 avril au SVA Theater.

Le patron de Totsy, "success story" française à New York, passe le relais

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Totsy, une des plus brillantes réussites françaises à New York, vient de perdre son deuxième papa. Après le départ du co-fondateur Christophe Garnier en novembre dernier, Guillaume Gauthereau passe la main. Sa démission intervient tout juste quatre ans après la création ce site de ventes flash de produits pour enfants, qui a connu une croissance exponentielle – en 2012, Totsy a réalisé un chiffre d’affaires de 30 millions d’euros.

Guillaume Gauthereau laisse son fauteuil de patron à Lisa Kennedy, une Américaine qui a occupé un poste de vice-présidente chez Quidsi (Diapers.com, Soap.com, BeautyBar.com…). « Lisa a le potentiel pour faire passer le chiffre d’affaires de Totsy de 30 à 300 millions de dollars, comme elle l’a fait pour Diapers.com », estime Guillaume Gauthereau.

Comme souvent dans ce milieu, le départ des deux co-fondateurs intervient après l’entrée dans l’entreprise d’investisseurs importants. En juillet 2012, Totsy a levé 18,5 millions de dollars auprès de Rho Ventures et DFJ Gotham. Un investissement qui a fait passer la start-up dans une autre dimension…“Ma décision est vraiment personnelle.  Je me sens davantage stimulé dans les petites structures. On a créé Totsy à quatre, et aujourd’hui, nous employons une centaine de personnes… Ce n’est plus la même chose”, commente Guillaume Gauthereau, qui reste toutefois membre du conseil d’administration. Comme il l’explique sur son blog“ma passion, c’est de créer de nouvelles entreprises”.

Mais pour le moment, « je vais partir six mois en Inde, faire du bénévolat à Calcutta, dans l’association fondée par Mère Theresa. Après, je vais voyager au Tibet. J’ai envie d’un recentrage personnel, de faire des choses pour les autres », raconte ce diplômé de l’école vétérinaire de Maisons Alfort, qui était directeur de Lalique aux Etats-Unis avant de créer Totsy.

A son retour à New York, en novembre prochain, Guillaume Gauthereau compte réactiver Sequoia Lab, le cabinet de conseil qu’il a monté parallèlement à ses activités à Totsy. « J’ai aussi un projet d’entreprise, avec un aspect développement durable », glisse-t-il. Un business plan qui va murir sur les sommets de l’Himalaya.

Cyprien Gaillard, l'artiste des ruines, au Hammer Museum

Après le MoMA PS1 de New York en janvier, l’artiste français Cyprien Gaillard investit, à partir du 20 avril, le Hammer Museum de Los Angeles. Il est connu pour son travail surprenant sur les ruines.

A 30 ans à peine, il s’est déjà imposé  comme la star montante de l’art contemporain, en rencontrant un succès considérable lors de ses exposition à Paris, Berlin ou encore New York.

A travers ses photographies, vidéos, montages et sculptures, le Français raconte des monuments et des paysages disparus ou transformés par le temps. Il a récemment voyagé  à travers la Californie à la recherche de nouveaux paysages et de vestiges récents. L’exposition sera composée d’installations et d’une série de photographies inédites.