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Une web-conférence sur l'aide à la scolarité avec Corinne Narassiguin

Corinne Narassiguin, députée PS-EELV des Français établis en Amérique du Nord, organise samedi 26 janvier une conférence publique en ligne pour préciser les contours de la réforme de l’aide à la scolarité à l’étranger.

Cette web-conférence sera l’occasion pour la députée de discuter du nouveau système de bourses et d’aborder l’ensemble des questions relative à la prise en charge de la scolarité des enfants français à l’étranger, après la suppression de la Prise en charge (PEC) dans les lycées français. Les internautes auront évidemment la possibilité de s’exprimer et d’interpeller leur députée.

Chefday: la start-up alléchante

Quand Laurent Moïsi, Julien Nakache et Vincent Marger présentent leur projet, pas question d’un simple coup de fil ou d’une interview ordinaire: rendez-vous dans leur cuisine, pour “vivre l’expérience Chefday“, meilleur moyen de l’adopter. Un verre de vin plus tard, nous voilà tous ensemble derrière les fourneaux, étape qui durera plus longtemps que le repas lui-même.

Chefday, une start-up née à New York en mai 2012, propose à ses clients de réaliser chez eux, de façon ludique et conviviale, des plats de chefs renommés. Livrés à domicile, les ingrédients sont accompagnés d’une vidéo explicative dans laquelle le chef lui-même explique sa recette.

Chefday n’est pas simplement une entreprise gastronomique. C’est avant tout une idée novatrice, dans l’air du temps. En proposant la livraison à domicile d’un petit sac en carton rempli des ingrédients nécessaires pour cuisiner des recettes originales inspirées de grands chefs new-yorkais, les trois Français promettent également de bouleverser l’expérience culinaire de leurs clients. Pour Laurent Moïsi, un des trois co-fondateurs, Chefday a pour ambition de “faire que la cuisine redevienne un plaisir et non plus une corvée“.

Avec trois personnalités et des compétences très différentes mais complémentaires, monter ce projet ensemble a sonné comme une évidence lors de leur rencontre. Laurent Moïsi avait déjà fondé une entreprise de cookies de luxe, Julien Nakache, en tant que président d’une association universitaire, a voyagé à travers 23 pays et Vincent Marger, passionné de programmation, voue également un culte à la nourriture saine et au sport. Tous les trois avaient le même constat face à la cuisine: “C‘est amusant mais ça entraîne beaucoup trop de contraintes, trouver une recette valable, disposer des bons ingrédients en bonne quantité, passer des heures en cuisine… On savait qu’on pouvait trouver une solution à ce problème“, résume Laurent Moïsi.

Pour atteindre leur objectif, ils ont tout mis en oeuvre. L’entreprise dispose d’un service entièrement automatisé, qui permet de gérer les commandes de manière efficace et rapide. Dans leur set de cuisine de Brooklyn, qu’ils ont eux-mêmes construit, les sept employés s’occupent à la fois de passer commande des aliments essentiellement bio et toujours frais, de les placer en quantité exacte dans les sachets et d’imprimer le livret explicatif personnalisé. Le résultat est de qualité et extrêmement soigné, avec un packaging minimaliste dernier cri.

Ils décrivent leur progéniture comme “un produit simple et convivial“, présentant Chefday comme un réseau social, visant à rassembler la communauté des utilisateurs à travers le partage de photos de leur repas sur Instagram, Facebook ou Twitter.

Le site propose actuellement six recettes originales, de la cuisine indienne à la gastronomie française en passant par le  succulent “Veau à la milanaise et au parmesan” du chef italien Victor Laplaca. Depuis le 12 décembre, date de la première livraison, les commandes ne cessent de se multiplier. Si les New-Yorkais adoptent le concept, les trois Français projetteront alors d’étendre leur projet, aux Etats-Unis dans un premier temps, et pourquoi pas à Paris, leur ville natale.

 

Impôts en France: ce qui change pour les expatriés en 2013

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(Article Partenaire) La loi de Finances 2013 n’introduit pas de révolution pour les non résidents. Mais la fiscalité des expatriés continue d’évoluer et les mesures concernant l’ISF ou l’imposition des revenus immobiliers notamment, vont aussi affecter votre imposition si vous possédez des biens, ou percevez des revenus, en France. Le point sur ce qui change avec les experts de Meeschaert Financial Services, partenaire de French Morning:
L’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF)
Les non-résidents fiscaux français sont imposables à l’ISF à raison de leur biens situés en France. Pour l’ISF 2013, le seuil de déclenchement de l’imposition est fixé à 1 300 000 € et le nouveau barème progressif de l’impôt est le suivant :
TableauISF
En outre, on rappelle que depuis l’ISF 2012, les dettes contractées par des SCI à l’égard des associés non-résidents sous la forme de compte courants d’associés ne sont plus prises en compte pour la valorisation de leurs parts.
L’Impôt sur le Revenu (IR)
Les non-résidents fiscaux français sont imposés en France sur certains revenus de source française et notamment sur leurs revenus tirés de la location d’un bien immobilier.
Un nouveau barème de l’IR est mis en place par la Loi de Finances pour 2013 avec la création d’une tranche d’imposition supplémentaire de 45 % pour la fraction des revenus supérieure à 150 000 € par part de quotient familial. Ainsi, le nouveau barème applicable aux revenus perçus en 2012 (imposés en 2013) est le suivant :
TableauIR
Depuis le 1er janvier 2012, les revenus que les non-résidents tirent de biens immobiliers situés en France (loyers et plus-value de cession) sont également soumis aux prélèvements sociaux, dont le taux actuel, après plusieurs augmentations récentes, est de 15,5 %.
Plus-values de cessions immobilières sur des biens situés en France

Par principe, la plus-value immobilière, nette d’abattement pour durée de détention, réalisée à titre occasionnel par un contribuable domicilié hors de France – et hors de l’Union Européenne et de l’Espace Economique Européen – lors de la cession d’un bien immobilier situé en France supporte un prélèvement de 33 1/3 %.
A ce taux s’ajoutent, depuis 2012, les prélèvements sociaux au taux actuel de 15,5 %.
La troisième Loi de Finances Rectificative pour 2012, entrée en vigueur le 31 décembre dernier, créé une taxe supplémentaire pour les plus-values imposable d’un montant supérieur à 50 000 €. Cette taxe s’applique aux non-résidents en cas de cession d’un bien situé en France. Son taux est fonction du montant de la plus-value et s’élève entre 2 % et 6 %, avec un système de lissage pour atténuer les effets d’entrée dans chacune des tranches du barème.
Ainsi, le gain net d’abattement pour durée de détention, réalisé par un non-résident lors de la cession d’un bien immobilier situé en France peut être taxé jusqu’à 55 %, voire 59 % en cas d’application de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus.
Stock-options et attribution d’actions gratuites
Les taux forfaitaires applicables aux gains réalisés lors de la levée d’options et d’acquisition d’actions gratuites sont supprimés pour les titres attribués après le 28 septembre 2012. Ces gains d’attribution sont désormais qualifiés de revenu salarial.
Pour rappel, l’instruction fiscale du 2 mars 2012 vise, dans certains cas, à rendre imposable en France tout ou partie du gain retiré lors de la levée des options (plus-value d’acquisition) réalisé par un non-résident, si ce plan lui a été attribué alors qu’il était encore résident fiscal français.
Autres mesures adoptées spécifiques aux contribuables résidents de France 
En plus de ces mesures impactant plus spécifiquement les non-résidents, la loi de Finances pour 2013 comporte les mesures suivantes :

  • –  Suppression des prélèvements forfaitaires libératoires au profit d’une imposition au barème de l’impôt sur le revenu pour (à compter du 1er janvier 2013) :
    • Les dividendes, qui bénéficient toujours de l’abattement de 40% ;
    • Les produits de placements à revenu fixe (coupons, intérêts) ;
  • –  Suppression de l’imposition au taux forfaitaire des plus-values de cessions de valeurs mobilières pour une imposition au barème de l’impôt sur le revenu après un abattement fonction de la durée de détention des titres cédés.
    • Moins de 2ans:0%
    • De 2ans à moinsde4ans:20%
    • Entre 4ans et moins de 6ans:30%
    • Plus de 6ans: 40%. On ne tient pas compte de l’abattement pour le calcul des prélèvements sociaux de 15,5 %.
  • –  Abaissement du plafond de l’avantage procuré par le quotient familial de 2 336 € à 2 000 € pour chaque demi-part accordée.
  • –  Un nouveau rabot des niches fiscales qui réduit, pour la quatrième année consécutive, l’avantage fiscal maximal accordé, pour un même foyer fiscal, sur un certain nombre de réductions et déductions d’impôts. En 2012, ce plafond était de 18 000 € + 4 % du revenu imposable ; il est réduit à 10 000 € pour l’année 2013 (hors plafond spécifique).

Pour plus d’information, contactez Meeschaert: Christophe Goudal. Tel: 1 212 823-0808.
 

Français et Américains ont-ils les mains propres?

L’hiver est bien là, et avec lui les redoutables épidémies et virus en tous genres. Se laver les mains semble donc le geste le plus naturel pour éviter la contamination. Américains et Français prennent-ils vraiment les précautions nécessaires?

Un sondage Tork en collaboration avec BVA, publié en octobre 2012, a permis de dresser le panorama des différentes habitudes d’hygiène des Français. Il montre notamment que 12,5% de la population française ne se lave pas systématiquement les mains en sortant des toilettes. Quant aux Américains, une étude menée par Bradley Corporation en septembre dernier, révèle que 30% d’entre eux ne passent “pas toujours” ou “jamais” par la case lavage de mains en sortant des lieux d’aisance.

Cependant, selon le Dettol HABIT Study 2011, qui étudie l’hygiène dans douze pays, Français et Américains feraient quasiment jeu égal quand on leur demande s’ils se lavent les mains au savon plus de cinq fois par jour (respectivement 55% contre 55,9%).

Le décrochage s’observe au niveau de l’utilisation de produits antibactériens: selon cette même étude, 9,4 % des Français disent toujours utiliser du savon antibactérien contre 37,9% des Américains. De la même manière, les Français ne sont que 15,1% à utiliser constamment des produits de nettoyage antibactériens. Les Américains sont deux fois plus. Les Gaulois se font passer un savon.

La France et son armée "morale"

Revue de presse. L’intervention française au Mali est unanimement saluée par la presse américaine.

Critiqué ces dernières semaines, dans son propre pays comme à l’étranger, François Hollande semble largement bénéficier de sa décision d’envoyer les troupes françaises au Mali contre les terroristes d’Al Qaida au Maghreb islamique. L’occasion pour Steve Erlanger, correpondant en France New York Times, de rappeler les liens étroits entre la France et son armée : “Les Français sont fiers de leurs capacités militaires et de l’indépendance de leur action. Les forces françaises défilent encore chaque année, le 14-Juillet, sur les Champs-Élysées. La France a l’arme nucléaire et reste le seul pays, avec les Etats-Unis, à posséder un porte-avion à propulsion nucléaire. Et alors que Paris s’est petit à petit reconcilié avec l’OTAN, elle a néanmoins conservé sa capacité à envoyer rapidement troupes et équipements à travers le monde. Elle devrait très rapidement devenir la quatrième puissance militaire mondiale, derrière les Etats-Unis, la Chine et la Russie”. A croire le journaliste, nous serions donc loin d’être ridicules sur le plan militaire, contrairement à certains stéréotypes qui ont la vie dure dans l’opinion publique américaine.

Le journaliste mentionne bien les limites d’action de l’armée française, mais il poursuit ses louanges de nos militaires en donnant la parole à un sociologue spécialiste de la Grande muette. Celui-ci décrit l’armée française comme une force au service de la moralité. “Les Français s’attendent à ce que la décision de recourir à l’armée soit basée sur des critères moraux clairs, selon M.Jakubowski. Et les Français sont fiers de jouer un rôle leader sur une base morale, même si leurs intérêts sont aussi en jeu, poussant leurs alliés à agir“.

Michael Crowley, dans la version américaine du Time, note ce curieux paradoxe : “Il y a dix ans, alors que les Etats-Unis s’apprêtaient à attaquer l’Irak, peu de pays avaient protesté aussi vigoureusement que la France. Dix ans plus tard, la France entre en guerre contre les islamistes en Afrique du Nord. Les temps ont vraiment changé”.

David Rohde, Prix Pulitzer du meilleur reportage international en 1996, apporte toutefois un bémol dans cet océan de louanges. Il craint, dans le International Herald Tribune, que le Mali soit à la France ce que l’Afghanistan est aux Etats-Unis et leurs alliés: une guerre interminable. “Il est absolument vital que la France et la communauté internationale disposent d’alliés fiables sur le terrain. La France va au devant de mois de conflits et de victimes. Ce genre de guerre nécessite une puissance de feu certes, mais également beaucoup de diplomatie et de patience. Nous autres, Américains, faisons rarement preuve de ces qualités. J’espère que les Français en seront capables”.

La France sadomaso

Dans les pages culture du New York Times, Elaine Sciolino s’étonne du succès de Cinquante nuances de Grey (Fifty Shades of Grey) en France : “Lorsqu’on vient à l’érotisme ou à la pornographie, douce, hard, sadomasochiste ou vaporeuse, les Français croient toujours que ce sont eux qui l’ont inventée, et qu’ils font ça mieux que personne. La version française de cette trilogie aurait donc dû être un bide”.  

La journaliste rappelle que le livre a passionné la France. Jusqu’à faire réagir Dominique Strauss Kahn en personne. Celui qui se définit comme “un libertin sexuel”, selon le Times, aurait confié à un député socialiste que les Français n’étaient que des “hypocrites” qui ont dénoncé son attitude tout en dévorant le livre.

En s’appuyant majoritairement sur des extraits de la presse française, Elaine Sciolino attribue le succès de la trilogie à sa relative modernité : les livres trancheraient avec la production habituelle de littérature érotique où, la plupart du temps, les sentiments sont absents et les femmes soumis aux hommes. Mais pour une fois, un journaliste américain ne met pas tous les Français dans le même sac. Elaine Sciolino cite en effet une étude de l’IFOP sur les pratiques sexuelles des Français. Celle-ci montre “une division générationnelle“: “Seul 10% des femmes de plus de 65 ans sont d’accord pour se ‘soumettre à tous les désirs de leur partenaire’, contre 26% des femmes de moins de 25 ans. Presque la moitié des femmes de moins de 25 ans ont reçu une fessée en faisant l’amour contre seulement 7% des femmes de plus de 65 ans“.

Le cinéma français n’est pas si mal

Enfin, à la suite de l’affaire Gérard Depardieu et à la tribune de Vincent Maraval publié dans Le Monde, dans laquelle le  producteur dénonçait la rémunération des acteurs français et le système de financement du cinéma hexagonal, The Hollywood Reporter vient à la rescousse du 7e art gaulois en parlant de son succès… à l’étranger : ““Taken 2”, “The Artist” et “Les Intouchables” ont rapporté plus de 875 millions d’euros à l’étranger en 2012, un nouveau record,” rappelle-t-il.

“Propulsés par le succès de ces trois films, les films français ont vendu un total de 140 millions de tickets sur le marché international l’année dernière. “Les Intouchables” est désormais le plus gros succès français de tous les temps à l’étranger, détrônant “Amélie Poulain” qui occupait ce trône depuis 2001, poursuit-il. Ces résultats tranchent clairement avec la tribune de Vincent Maraval publiée dans Le Monde le 28 décembre dernier, dans laquelle il traitait l’industrie cinématographie française de désastreuse“. 

 

Cours de dégustation au Palais des thés

Depuis le 16 janvier, SoHo accueille la deuxième enseigne new-yorkaise du Palais des thés – elle se trouve au 156 Prince Street -,  faisant suite au succès de la première boutique ouverte cet automne dans l’Upper West Side.

La marque française, fière d’exporter son expertise et ses thés uniques outre-atlantique, organisera des cours d’initiation à la dégustation dans cette nouvelle boutique à partir du 3 février. L’objectif est de perpétuer la tradition développée à l’Ecole du thé de Paris par les plus grands experts. Ces derniers invitent les élèves à des sessions d’entraînement à la dégustation, plus ou moins complexes, qui évoluent en fonction des saisons et des arrivages. L’Ecole du Thé permet également de rencontrer des passionnés des arômes et de découvrir les arts et civilisations liés à cette boisson.

Ces dégustations permettent de solliciter l’odorat et le goût, peu développés dans nos cultures occidentales, et de savourer les arômes du thé de manière inédite.

Skier près de Los Angeles

Alors que les beaux jours reviennent progressivement et que les températures remontent sur les plages et les vallées de Californie du Sud, la neige persiste sur les sommets rocheux, et c’est tant mieux.

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion  de profiter des pistes cette année, voici quelques options à proximité de LA.

Les destinations populaires

Alpine Meadow

alpine meadowsC’est l’une des six grandes stations de ski de la région du lac Tahoe, avec près de 1.000 hectares de domaine praticables à ski ou en snow-board. Ses pistes sont bénies d’une chute de neige annuelle de plus de 12 mètres. Alpine Meadows se trouve à un quart d’heure du nord de Lac Tahoe, et à moins d’une heure de route de l’aéroport International Reno-Tahoe par l’autoroute 80. CarteConditions actuelles

Bear Valley

Ouvert tout au long de l’année, cette station de la Sierra centrale, située à mi-chemin entre les Yosémites et le lac Tahoe, offre en hiver un domaine skiable de plus de 500 hectares ouverts aux skieurs de pente et de fond, snowboardeurs, randonneurs en raquette, en moto-neige ou en traîneau à chiens. CarteConditions actuelles

Big Bear Mountain

Cette station se trouve à environ trois heures de route à l’est de Los Angeles, dans les montagnes de San Bernardino. Situé à 2.172m d’altitude à quelques minutes du Lac de Big Bear, le domaine skiable de 80 hectares attire skieurs et snowboardeurs intermédiaires et avancés, en offrant une section sauts et pipe/half-pipe. CarteConditions actuelles

Dodge Ridge

Dodge-Ridge-canyon (1)Dodge Ridge se situe à trois heures de route au nord de Mammoth Lakes, au beau milieu du massif de la Sierra, sur la route 108 qui relie l’est à l’ouest. Son domaine de plus de 300 hectares divisé en cinq parcs différents accueillent skieurs et snowboardeurs débutants, intermédiaires et avancés. CarteConditions actuelles

Heavenly

Située à la frontière entre la Californie et le Nevada au sud du lac Tahoe, la station de Heavenly possède la plus grande armada de canons et dameuses à neige de la côte ouest. Avec ses multiples parcs et plus de 1.000 mètres entre le pied de ses 100 pistes et le sommet, skieurs et snowboardeurs évoluent entre les sommets de la Sierra, avec une vue sur le lac Tahoe, les haut-déserts du Nevada et les plaines agricoles de Carson Valley. CarteConditions actuelles

Mammoth Mountain

MammothMammoth est incontestablement la destination de ski la plus populaire en provenance de Los Angeles. Avec un sommet culminant à 3.506m d’altitude, les 150 pistes de son domaine skiable restent enneigées jusqu’au début de l’été, offrant à Mammoth l’une des saisons de ski les plus longues d’Amérique du Nord. Avec plus de 1.400 hectares de terrain, trois pipes, un half-pipe et un jib, la station attire tout particulièrement skieurs et snowboardeurs intermédiaires et avancés. Si les six heures de route qui séparent LA de Mammoth ne vous enchantent guère, l’aéroport Mammoth-Yosémite se trouve à une dizaine de minutes de la station, et des navettes quotidiennes vous emmènent au pied des pistes. CarteConditions actuelles

 Squaw Valley

La station de ski Squaw Valley est l’une des plus grandes des Etats-Unis et attire des visiteurs du monde entier. Situé dans la Sierra au nord-ouest du lac Tahoe, son domaine skiable de plus de 1.600 hectares s’étend sur six montagnes différentes : suspendu à plus de 600m au-dessus des pistes, le téléphérique du High Camp offre une vue inégalée du Lac Tahoe. CarteConditions actuelles

Les autres destinations à proximité de LA.

mountain-highMountain High

Située à 2.500m d’altitude dans les montagnes de San Bernardino, cette station de 59 pistes accueille principalement skieurs et snowboardeurs intermédiaires et avancés, et offre la possibilité de skier de nuit. CarteConditions actuelles

Mount Baldy

Vingt-six pistes et plus de 320 hectares accueillent skieurs et snowboardeurs à Mount Baldy, petite station située à environ 2000m d’altitude, à environ une heure de route au nord est de Los Angeles. CarteConditions actuelles

Snow valleySnow Summit

À quelques kilomètres de Big Bear Lake se trouve la petite station de Snow Summit, dotée d’un domaine skiable de presque 100 hectares, et d’ une trentaine de pistes pour skieurs et snowboardeurs de tous niveaux. CarteConditions actuelles

Snow Valley

C’est la troisième station des montagnes de San Bernardino, avec Snow Summit et Big Bear Mountain. Les 28 pistes de ce parc skiable se situent entre 2.000 et 2.300m d’altitude. CarteConditions actuelles

 

La "Restaurant Week" bat son plein

Los Angeles compte d’innombrables restaurants, du simple diner à l’étoilé au guide Michelin.

Durant une dizaine de jours, un grand nombre de ces restaurants participe à l’opération “Dine L.A.’s Restaurant Week”. Chaque année, tous les restaurants participants offrent des réductions sur leur menu. Pour les déjeuners, ce dernier est compris entre 15 et 25$ et pour les dîner, comptez entre 25 et 45$.

Les réservations sont conseillées, notamment pour les restaurants célèbres comme celui du chef de télé Gordon Ramsay, qui propose exceptionnellement un menu du soir à 45$,  ou encore pour les restaurants au cadre idyllique, sur la plage par exemple.

"Le Chat du Rabbin" sort en salles

Ce dessin animé original qui a connu un grand succès en France aussi bien au près des adultes que des enfants donne la parole au chat d’un rabbin d’Alger. Il sort en salles le 18 janvier à San Francisco.
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Didi et Gogo attendent Godot au Marin Theatre

La célèbre pièce absurde de Samuel Beckett, écrite en 1948 en français et publiée quatre ans plus tard à Paris aux éditions de Minuit, va être presentée à San Francisco, à partir du 24 janvier.

Dans cette nouvelle version, mise en scène par Jasson Minadakis, Vladimir et Estragon s’appellent Didi et Gogo mais attendent toujours un homme (Godot), qui ne viendra jamais.

Interprétés par des membres de deux compagnies théâtrales (l’Oregon Shakespeare Festival et le Cirque du Soleil), Waiting for Godot se joué jusqu’au 17 février au Marin Theatre.

"A-musée-vous": sorties culturelles pour enfants francophones

L’Education française de la Bay Area, association ayant pour objectif de “prodiguer une éducation francophone bilingue et multiculturelle“, propose des sorties culturelles destinées aux enfants francophones et/ou francophiles.

Réservées aux 5 à 11 ans, ces visites de lieux culturels sont organisées une à deux fois par mois tout au long de l’année scolaire. L’activité idéale pour permettre aux petits de s’initier aux musées tout en pratiquant la langue française. Les sorties sont encadrées par un médiateur culturel francophone, Rémi Ducom.

De manière ludique, les enfants sont invités à explorer le lieu de visite, munis d’un livret-jeu proposant des chasses au trésor, énigmes et autres jeux. Un excellent moyen de mêler divertissement et instruction. La pratique de la langue française est fortement conseillée pour y participer.

La prochaine sortie aura lieu le 27 janvier au California Academy of Sciences, une activité scientifique donc. Les séances suivantes proposeront la visite de l’Oakland Museum of California (10 février), du San Francisco Museum of Modern Art (24 février) ou encore de la John Muir’s House (17 mars).

Au Nelo’s Cycles d'Austin, on a descendu Armstrong en trinquant

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Pas moins de trois équipes de télé françaises se trouvaient dans le magasin de vélos du Nord-Ouest d’Austin Nelo’s Cycles jeudi 17 janvier au soir.

Nordiques ou hispaniques, on pouvait entendre d’autres accents étrangers parmi les journalistes tournant autour des quelques dizaines d’amateurs de courses cyclistes venus voir le premier chapitre de la confession de Lance Armstrong par Oprah Winfrey.

L’établissement organisait la seule projection publique de cet entretien très attendu. Pas tellement par attachement pour le champion déchu, ni parce qu’il anticipait des révélations. Non, « le plus important pour nous, c’est d’avoir les gens ici, en train de parler », avoue sans fard l’employé qui a animé la soirée avec une loterie et en invitant les participants à trinquer chaque fois que Lance Armstrong disait « désolé ».

La soirée a donc été plutôt gaie et arrosée, même si les rires cachaient une vraie déprime. « Je vais quand même regarder le Pro Tour ce week-end, mais tout ça, ça craint », confie par exemple le cycliste amateur Matthew Malinowski, l’air dépité.

Bien que certains défendent encore « un cycliste très talentueux » et « les bonnes choses qu’il a faites pour le sport et pour notre pays », l’attitude de Lance Armstrong est très mal passée. Ses réponses évasives ou sur la défensive, selon les moments, ont suscité tour à tour moqueries, soupirs d’exaspération et exclamations de mépris.

Armstrong est de toute façon « impardonnable » pour beaucoup. « Il a jeté tellement de gens en pâture et détruit tellement de vies ! Il est désolé de s’être fait prendre. Il est désolé de ne plus gagner d’argent. Mais est-ce qu’il va réparer le mal qu’il a fait ? Non ! Un entretien ne fera pas ça, un coup de fil non plus. Même l’argent c’est insuffisant », s’exclame ainsi l’enseignante Johanna Napoles, qui a fait travailler ses élèves sur le sujet afin qu’ils se rendent compte de l’ampleur de la tromperie. « C’était dur pour eux, car ils croyaient aux dénégations de Lance Armstrong ».