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Le meilleur de la pub british

Les British Arrows Awards récompensent les meilleures productions publicitaires de l’année réalisées par les agences anglaises pour la TV, internet, l’affichage ou le cinéma. Retrouvez une heure de créativité publicitaire au Yerba Buena Center for the Arts.
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"Fragile", avec Martin Lamotte, sort en salles

Fragile, le film de Jean Louis Milesi avec Martin Lamotte va être joué à San Francisco. Programmé par le théâtre du lycée français de San Francisco, il sera diffusé le 25 janvier 2013.
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Geek cherche Créa pour week-end torride

Les Startup weekends, évènements qui permettent aux entrepreneurs de présenter leurs idées, et élaborer des projets en un week-end, sont connus de tous les “Silicon Valley types”. C’est la culture des “hackathons” appliquée à la création d’entreprise.

Mais si vous êtes plutôt un créatif, il y a toutes les chances pour que vous n’ayez pas compris un mot au paragraphe précédent. C’est pour que ça change que la Française Alice Gillet a décidé d’organiser du 1er au 3 février un StartUp Weekend consacré au “Transmédia”. OK, on explique: le transmédia, c’est cette méthode qui consiste à développer des oeuvres (ou des messages, publicitaires ou autre) au travers une multitude de media, chacun de ces media, grâce à ses spécificités, apportant une approche différente sur la même histoire, ou univers créatif. Le transmedia est aussi bien utilisé dans la production de films qu’à des fins éducatives, pour des documentaires ou en marketing.

Toujours pas clair? Alice Gillet explique: vous-êtes vous jamais demandé ce que fait Don Drapper entre deux épisodes de Mad Men? “Imaginez que vous puissiez ajouter votre propre scénario, interagir avec les personnages, sur d’autres supports que la télé”. C’est le transmédia. “Si le concept n’est pas tout à fait nouveau, explique Alice Gillet, l’innovation technologique démultiplie le champ des possibilités, avec une mobilité permanente, de nouveaux modèles de distribution en ligne, la démocratisation de certaines techniques d’effets spéciaux dont l’accès est devenu possible en ligne à faible coût”.

Alice Gillet travaille à San Francisco pour l’Atelier BNP Paribas, l’antenne de veille technologique de la banque, pour laquelle elle couvre toutes les tendances qui font vibrer la Silicon Valley. Et elle s’est prise de passion pour le “transmédia”, a confondé l’an dernier un groupe “meetup” sur le sujet, d’où est née cette idée de Startup Weekend spécifique. “On veut appliquer cette culture du hackathon et du prototyping à l’univers de la publicité et de la création”.
Pendant 54 heures (le format imposé de ces week-ends) programmeurs et développeurs vont donc phosphorer avec réalisateurs, producteurs de films, concepteurs de jeux vidéos et créatifs d’agences de pubs. Des coaches aideront les apprentis entrepreneurs à développer des “prototypes” qui seront ensuite jugés par des experts comme ceux de Lucasfilm, la maison du George Lucas des Star Wars.

http://transmediasf.startupweekend.org/

Débats sur les différences culturelles à Dallas

“ILS” ne prennent jamais de vacances. Ou “ILS” ne sont pas adaptables… Il y a les clichés, bien sûr, mais les différences culturelles existent bel et bien au travail entre Français et Américains. On les oublie ou on s’y adapte, mais rien ne vaut d’y être préparé.
C’est l’objet de cette conférence co-organisée par l’Alliance Française et la Chambre de Commerce franco-américaine de Dallas-Fort Worth. Laure Becker, coach spécialisée dans ce questions, exposera les meilleurs façons de gérer ces différence culturelle, les techniques de communication qui éviteront bien des conflits, et comment développer cette “compréhension mutuelle” qui nous rend meilleurs!

Présenté par: Laure Becker, Founder, Coach and Trainer, IDL Executive Coaching, LLC., avec la participation de Matthieu Tagnon, Director of Marketing Services, Essilor of America, Inc, qui partegera son expérience de Français travaillant aux Etats-Unis.

Un "International welcome program" pour faire ses premiers pas à Austin

Difficile, parfois, de débarquer dans un nouveau pays, et plus encore dans une grande ville américaine. La municipalité d’Austin l’a bien compris et propose ainsi aux nouveaux arrivants internationaux des programmes d’accueil pour les accompagner dans leur installation.
La prochaine session en anglais aura lieu le 26 janvier, une autre en espagnol est prévue pour le 2 mars. Ces réunions visent à expliquer comment se repérer dans les principaux lieux d’Austin et à permettre aux familles immigrantes de se sentir à l’aise avec le fonctionnement des écoles, du droit local, des transports en commun.
Le programme propose également des sessions expliquant comment créer une petite entreprise ou encore comment accéder à certaines ressources de la ville comme les librairies publiques.
 

La Maison d'Art à Harlem: l'art du Bed&Breakfast

Lorsqu’on arrive aux abords de La Maison d’Art, près de la 8ème avenue, le quartier vous met tout de suite à l’aise. Le Bed&Breakfast se situe dans une rue tranquille bordée par des maisons typiques en pierre. C’est au numéro 259 West que Stéphanie Calla, fondatrice des lieux, vous accueille.
Stéphanie Calla est originaire de Lorraine. Très vite sa vie privée l’emmène en Caroline du Nord. En 2000, c’est le déménagement qui va tout changer, elle débarque avec mari et enfants à Harlem. Elle tombe amoureuse de l’atmosphère chaleureuse du quartier et se lie d’amitié avec la communauté africaine francophone. Dès lors, plus question de déménager, “je me sentais vraiment appartenir à un groupe” explique-t-elle. En 2006, lors de l’achat de la maison, toute la famille s’installe et Stéphanie, alors employée d’une banque, décide de louer une ou deux chambres à des étudiants européens en galère.
L’idée d’articuler art, décoration et événementiel fait son chemin. “Elevée par le magazine Art et Déco” comme elle s’amuse à l’expliquer, associer tourisme et galerie d’art a toujours été naturel pour elle. En 2009, la famille déménage dans le sous-sol et les rénovations des chambres commencent. Concernant le nom, le souhait était de trouver un nom français, “c’est mon identité et il y a une touche française partout” explique Stéphanie. Chaque chambre dispose d’un thème avec un artiste et une décoration qui correspond. Pour le mobilier elle fouille les friperies et mixe vintage et recyclés. Le but est clair: “je veux que mes clients aient leur maison dans Harlem, avec une ambiance et une galerie d’art personnelle qu’ils ne pourraient s’offrir dans leur vie quotidienne” assure Stéphanie.
Pour développer la galerie, située au rez-de-chaussée, elle s’associe en 2010 à un coordinateur, Hugues Asdrubal, qui l’aide à trouver de nouveaux artistes locaux. Grâce à lui, elle découvre les associations qui permettent de tisser un réseau social. “Je fonctionne au coup de coeur, Hugues c’est le pro, moi j’ai l’oeil du client” assure la fondatrice. Tout comme les chambres, les expositions se font par thèmes et chaque ouverture donne lieu à un événement musical.
Parmi les projets 2013, La Maison d’Art lance un petit-déjeuner et en mars l’ouverture du jardin artistique. Artistique toujours avec un grand A, “pas de discriminations et toujours de la variété!” clame t-elle avant d’éclater de rire.
A 41 ans, son accent lorrain intacte, Stéphanie vit de ses passions. Après quatorze ans à Harlem elle se sent “sinon Américaine, en tout cas New Yorkaise!“. Désormais, entourée d’une équipe majoritairement française, “involontairement” confie t-elle, tous travaillent dans une ambiance détendue et s’appliquent à faire rimer travail et chaleur humaine.

Les espoirs français aux Winter X Games

Aux Winter X Games, qui commencent aujourd’hui à Aspen (Colorado) aux Etats-Unis, quatre français sont en compétition. Tous les quatre sont dans la même catégorie (le superpipe) et tous (ou presque) ont une chance de médaille. Etat des lieux.
Le Winter X Games, qu’est ce que c’est ? 
Le Winter X Games est la compétition reine, pour tous les deux amoureux de sports de glisse extrême. De jour comme de nuit, les meilleurs skieurs, snowboardeurs et… motards des neiges se relaient sur les pistes d’Aspen, où les épreuves ont lieu depuis plus de 10 ans (et ce devrait être encore le cas jusqu’en 2014).
Les Winter X Games ont lieu chaque année depuis, en janvier ou en février, alors que les Summer X Games ont lieu en août. Une édition française a également lieu depuis 2010, à Tignes. En 2013, les X Games s’internationaliseront encore plus : le Brésil, l’Espagne et l’Allemagne accueilleront, à leur tour, des déclinaisons de l’évènement.
La délégation française, emmenée par Kevin Rolland, superstar dans sa catégorie, est composée de trois autres membres : Anais Caradeux, Thomas Krief et Benoît Valentin. Il ne faudra donc pas miser sur la quantité, mais bien sur la qualité : nos quatres champions, tous engagés dans la même catégorie (le super pipe) ont (presque) tous des chances de médaille.
Dans cette épreuve, qui ne dure même pas trente secondes, les skieurs se balancent d’un bout à l’autre d’une piste en forme de tube. Les sportifs seront évidemment jugés sur la qualité de leurs sauts et de leurs figures. La France a une solide réputation dans ce domaine et place, cette année encore, quatre athlètes dans cette seule catégorie. Seul Benoît Valentin ne présente pas encore de véritables références au niveau mondial.
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=jHDZt0i2ZuY]
La France, valeur montante
Modèle pour toute une génération de skieurs, Kevin Rolland sera évidemment le Français le plus en vue lors des championnats. Déjà titré deux fois lors de ces Winter X Games, Kevin Rolland est un habitué. “C’est la plus grosse compétition au monde de sports extrêmes. C’est une bonne ambiance. Un show à l’américaine avec énormément de public mais aussi beaucoup de performance. Il y a les 16 meilleurs riders au monde“, confiait-il récemment au site France 24. “Aujourd’hui, je ne me suis pas donné pour objectif de gagner car je ne veux pas me précipiter mais dans ma tête, je sais que je suis capable. Je n’y vais pas pour terminer 10ème !“.
Anaïs Caradeux est la seule femme française engagée lors de ces X Games d’Aspen. Agée de seulement 22 ans, elle a déjà remporté deux épreuves de Coupe du monde, en 2006 aux Contamines et en 2009 à la Plagne. En 2011, Anaïs Caradeux a été sacrée seconde meilleure athlète mondiale, et troisième en 2012. Comme l’ensemble de ses compatriotes, la compétition commence pour elle dès aujourd’hui.

Thomas Krief peut également nourrir de grands espoirs. Valeur montante du superpipe, 5ème des Winter X Games en 2011, en Europe comme aux Etats-Unis, Thomas Krief semble plutôt confiant. A l’approche de cette épreuve, il s’est confié sur son site officiel : “Je viens de finir une super semaine de training dans le pipe de Copper. Tous les jours de la semaine ont été fabuleux, le soleil était avec nous et tout le monde était super motivé ! J’ai pu travailler tout ce que je voulais faire et je pense que je suis prêt pour les X. Je vais pouvoir arriver à Aspen confiant et détendu, comme à Tignes l’an dernier. Ca avait plutôt bien marché“. Le Français, alors âgé de 18 ans, avait terminé deuxième de l’épreuve derrière Shaun White.
 

"Première Scène", le plaisir de jouer en français

Apprendre une langue n’est jamais rigolo et les professeurs de théâtre du Lycée Français de New York l’ont bien compris. Les 1er et 2 février se tiendra la 14ème édition du festival Première Scène.
Cette année l’événement rassemble des lycéens et des étudiants des Etats avoisinants (NY, NJ, CT) mais aussi de San Francisco, Houston et Montreal. Une participation qui montre la popularité grandissante de ce festival. Sans compter la présence de certains professeurs qui en plus de coacher leurs élèves, n’hésitent pas à monter sur scène. Débuté en 1999, l’événement rassemblait alors une centaine de participants contre 400 cette année. “C’est la première fois que la mobilisation est aussi forte” confirme Frederic Yvelin, professeur de physique et producteur du festival. Première Scène Festival c’est l’occasion pour les élèves -dont la plupart de fréquentent pas un lycée français- de s’investir autrement dans l’apprentissage d’une langue tout en découvrant les différents aspects d’une production théâtrale.
Chaque troupe est invitée à choisir une scène de son choix et peut même jouer une création personnelle, mais toujours dans la langue de Molière. Le festival se clôture par la remise du prix d’interprétation décerné par le jury, composé de professeurs du Lycée Français mais aussi de professionnels. “On souhaite que les jeunes prennent du plaisir en faisant du théâtre, tout en apprenant une langue” souligne Frederic Yvelin. Au final, le festival en surprendra plus d’un, en proposant une mosaïque d’interpretations allant d’Aristophanes à Ionesco.
L’édition 2013 se fait sous le thème “Résistance”, pris au sens large : “C’est une façon pour les adolescents d’exprimer leurs idées noires, leurs émotions enfouies”, explique Frédéric Yvelin. L’événement jouit d’un succès peut être en partie dû à ses anciens participants, dont certains sont aujourd’hui devenus comédiens et réalisateurs, de quoi faire rêver les jeunes apprentis “théâtreux”. A noter, le festival, réparti sur deux jours, sera diffusé en direct sur le blog du Lycée Français de New York.

Bob Dylan rencontre Johnny Hallyday au Café Tallulah

A gauche, la démarche nonchalante de Bob Dylan. A droite, plusieurs dizaines d’années en moins sur le visage et dans les jambes, Johnny Hallyday. Tous les deux, marchant côte à côté dans la rue, sont épinglés depuis le mois de janvier sur les murs du Café Tallulah. Ce ne sont pas les seuls : Brigitte Bardot, Ray Charles, Jean Paul Belmondo, Marylin Monroe, Serge Gainsbourg, Billie Holliday et même Gérard Depardieu, tout ce beau monde se croise dans ce nouveau café, qui vient d’ouvrir dans l’Upper West Side
Greg Hunt est évidemment très fier de son nouveau bébé. Anciennement propriétaire d’un club de billards (dans lequel Jerry Seinfeld, héros de la série éponyme, venait régulièrement jouer avant de se marier), Greg Hunt a décidé de réunir ses deux passions, la culture française et américaine, dans un même et seul lieu.
Deux étages composent ce nouvel espace, désigné par Gwathmey Siegel Kaufman. Au premier étage se trouve le bar principal. Au sous-sol, le décor change et l’ambiance aussi. Plus décontracté, cet espace, encore en travaux lors de notre visite, est disponible pour des soirées privées.
La carte, créée par Roxanne K. Spruance, ancien chef à Chicago, essaye également de tirer le meilleur des deux cultures : foie gras, frisée aux lardons, soupe à l’oignon, boeuf Bourguignon, steak grenoblois et poulet rôti seront tous relevés à la sauce américaine.

Absinthe et Burlesque au Bizarre Bar

Vous avez dit Bizarre? Mais non, je l’avais annoncé, cet endroit (Bizarre bar, donc) a ouvert ses portes le week-end dernier et rassemble presque tous les éléments  le qualifiant pour cette chronique FrenchNYte.
Situé en plein cœur de Bushwick, cet immeuble a séduit deux français, réalisateurs et amis, Jean-Stephane Sauvaire et Gregory Baubeau qui l’ont racheté et s’y sont du coup installés. L’espace est sombre et parsemé d’objets sortis direct d’une scène de « American horror story ». On s’y rend pour boire de l’absinthe ou oser des cocktails servis par des bartenders également danseurs, acteurs ou artistes burlesques, se laisser surprendre par des groupes ou performances étranges sur fond de projections murales créées par les patrons eux-mêmes, et danser jusque tard sur des remix discos ou de la Tech House tribale mixée par des DJs souvent français. Au printemps la cuisine, la terrasse et la galerie au sous-sol ouvriront pour faire de ce passage à Brooklyn un détour familial qui en vaudra d’autant plus le coup. Bizarre, 12 Jefferson Street, Brooklyn. Ouvert de 4pm à 2am du Lun au Jeu, de 4pm à 4am le Ven, de 12pm à 4am le Sam et de 12pm à 12am le Dim
Et la French Touch, elle est aussi toujours d’actualité…
Aussi bien à Paris dans le cadre de l’exposition « French Touch » proposée par le musée des arts décoratifs, qu’à New York où plusieurs artistes lui appartenant se produisent régulièrement ou servent s’inspiration pour l’organisation de soirées à thème:
Au Webster Hall (125 East 11 Street) le vendredi 25 par exemple, avec une soirée spécialement conçue pour les fans de Daft Punk qui pourront se déguiser sur le thème de TRON: « ONE MORE TIME, A tribute to Daft Punk ». Infos et billets ici
Ou @ SRB à Brooklyn (177 2nd Avenue) le samedi 26 pour les soirées « Momentum » qui reçoivent l’unique Miss Kittin, une des premières DJettes françaises, vocaliste et muse de renommée internationale. Billets et infos ici
Ou encore @ Cielo (18 Little West 12 Street) pour les soirées hebdomadaires « Deep Space » du légendaire François K qui nous emmène dans les profondeurs sombres et abstraites de la musique électronique. Billets et infos ici

Un atelier de théâtre à Broadway en français

Monter sur les planches vous titille ? Rendez-vous donc à un nouvel atelier de théâtre en français, proposé à partir du 5 février au Shelter Studio, près de Times Square.
Ouvert aux acteurs débutants comme aux confirmés, cet atelier hebdomadaire vise à présenter « L’hôtel du libre échange » de Feydeau. Amants dans le placard, maitresses bavardes et quiproquos en cascades seront au rendez-vous lors de représentations au mois de juin, dans un des théâtres du « off-Broadway ».
Derrière cette initiative, on retrouve l’équipe qui avait présenté, en novembre dernier, une version de Huis-Clos de Jean-Paul Sartre. Le spectacle en français sur-titré, mis en scène par Roxane Revon et produit par Lauren Rayner, s’est joué cinq soirs à guichets fermés sous les lumières du 45th Street Theater.
« La pièce a été un vrai succès public. Alors quand les gens ont compris que les comédiens étaient amateurs, j’ai eu beaucoup de demandes pour monter un atelier, cette fois ouvert à un public plus large. J’ai ensuite choisi Feydeau car c’est toujours très agréable pour le public », explique Roxane Revon.
« Il y aura d’abord une session échauffement d’une heure, puis ensuite un travail sur la pièce », annonce-t-elle. Diplômée d’un master de philosophie à la Sorbonne, Roxane Revon, 26 ans, pratique le théâtre « depuis toute petite ». A Paris, elle a donné des cours et joué dans différentes pièces au sein de la compagnie ATQL (Atelier Théatre Quartier Latin). A New York, où elle réside depuis 18 mois, elle a travaillé avec The Play Company, et joué récemment dans Keep Calm and Carry On, mis en scène par Knud Adams.
En attendant, ceux qui souhaitent voir Huis Clos – avec un casting légèrement remanié –  pourront se rendre samedi 23 février 2013 au Secret Theater (Queens), dans le cadre du « WiredArts Fest » de VisuartArtTV. La pièce sera à cette occasion visible en live-stream. Roxane Revon lance d’ailleurs une campagne de fundraising pour financer cette représentation.

Georges Brassens prend l'accent anglais

“Friendship first”, “I made myself small”, “Song for the Countryman”… vous ne les reconnaissez peut-être pas mais il s’agit de classiques que vous connaissez.
Souvenez-vous. “Les copains d’abord”, “Je me suis fait tout petit” ou encore “Chanson pour l’Auvergnat”, il s’agit bien sûr de Georges Brassens. L’artiste reste malgré tout peu connu aux USA, avec en cause des textes difficiles à traduire. Pas de panique, mardi 29 janvier, le salon “2nd floor On Clinton” accueille Pierre de Gaillande. Le jeune auteur, chanteur et compositeur franco-américain, revisite le répertoire de Georges Brassens en anglais. Pierre de Gaillande a crée avec son groupe Bad Reputation un spectacle dans lequel l’incontournable poète-chanteur anarchiste français, prend des accents anglais.
L’ambition est de préserver la musicalité tout en respectant la richesse des textes originaux. Le pari est-il réussi? A vous de juger! Réservation fortement conseillée.