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Anthony Kavanagh fait son coming out à New York

Après sa tournée canadienne et française, Anthony Kavanagh débarque aux États-Unis pour présenter son tout dernier one-man show, le 4 novembre au Hudson Theatre.

Humoriste, mais pas uniquement! En français ou en anglais, sur scène ou à la télé, Anthony Kavanagh a une carrière bien remplie. Le Canadien est aussi producteur, animateur, chanteur et comédien. Cette fois, c’est devant un public new-yorkais qu’il “fait son coming out”, comme l’indique le titre de son spectacle. Il promet de révéler et se révéler, répondre aux rumeurs et s’en moquer, parler politique et se révolter. L’humour sans limites!

Quand un ministre socialiste visite les entrepreneurs exilés

C’est la priorité du Quai d’Orsay en ces temps économiques moroses : la « diplomatie économique », ou promouvoir les intérêts économiques français à l’international. Laurent Fabius a profité de sa présence à New York pour l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations-Unies pour rencontrer, lundi, des entrepreneurs français de la Grosse Pomme.
Le matin, il avait rendez-vous avec Fabrice Sergent, fondateur de l’entreprise d’applications pour smart phones Cellfish, et les fondateurs de OXL, hébergeur de petites annonces. Puis direction Bar Boulud, dans l’Upper West Side, pour un déjeuner avec des représentants de la gastronomie tricolore locale. « C’était très sympa. Je leur ai servi du foie gras», s’amuse Ariane Daguin, fondatrice des foies gras D’Artagnan.

Ces réunions entre un « Elephant » socialiste ayant participé à la mise en œuvre des 35 heures en tant que ministre de l’Economie, de 2000 à 2002, et des entrepreneurs qui ont trouvé leur bonheur en dehors de France, auraient pu avoir des allures de rencontre du troisième type. Parmi les fondateurs de OXL, on trouvait notamment Fabrice Grinda qui endosse volontiers le rôle de défenseur de la “flexibilité” américaine, n’hésitant pas à dire qu’il n’aurait jamais pu réussir aussi brillamment s’il était resté en France.

Mais les rencontres n’ont pas tourné au vinaigre. Pour Fabrice Sergent, de Cellfish, ce genre de visite “permet de mettre un coup de projecteur sur des secteurs qui marchent et de sortir de la morosité ambiante, c’est important”. Surtout, estime le Français installé à New York, et patron d’une entreprise de 250 salariés, “cela montre qu’en partant on sert aussi la France: je n’aurais jamais pu créer 150 emplois en France si je n’étais pas venu ici, c’est le projet de croissance globale de notre entreprise qui permet de créer des emplois en France ».

Une habituée de ce genre de rencontres en 28 ans aux Etats-Unis, Ariane Daguin a profité du déjeuner avec Laurent Fabius à Bar Boulud pour lui parler des obstacles administratifs à l’export. Elle a regretté l’absence d’acteurs économiques américains lors de la discussion. « Une fois de plus, c’était un rendez-vous franco-français, sans ouverture sur l’extérieur. Le rayonnement est important, mais on devrait arrêter d’en parler entre nous ».

Emmanuel Saint-Martin et Alexis Buisson

La French Heritage Society souffle ses trente bougies

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Elizabeth Stribling est devenue francophile dans le sud des Etats-Unis. “Je suis née dans l’Etat de Géorgie. Et quand je voyageais en France, je retrouvais beaucoup de coutumes que je connaissais du sud des Etats-Unis. En France, je me sentais vraiment chez moi”, raconte cette magna de l’immobilier de luxe, présidente de l’agence Stribling & Associates.

La francophilie de Mme Stribling l’a menée à la tête du conseil d’administration de la French Heritage Society (FHS). Depuis 1982, l’organisme, connu sous le nom de Friends of Vieilles Maisons françaises jusqu’en 2002, a pour mission de préserver les monuments historiques en France et ceux d’inspiration française aux Etats-Unis. Le 14 novembre, il fêtera ses trente ans lors d’un grand cocktail dînatoire au Union Club autour du thème Americans in Paris.

L’idée de fonder une association dédiée à la préservation des trésors historiques de la France est née d’une initiative de Michèle le Menestrel-Ullrich, une Française passionnée d’architecture,  entourée d’un cercle d’Américains francophiles. “Sur une base informelle, ils décidaient d’organiser des événements pour aider à protéger l’architecture française qu’ils aimaient tant, raconte Mme Stribling. Depuis, l’intérêt des donateurs et la reconnaissance publique de notre société n’ont cessé de progresser.

Certes, FHS n’est pas la première initiative philanthropique américaine pour restaurer des monuments en France, mais la particularité de la Society réside dans le fait que l’argent n’est pas levé pour une seule institution, mais pour des projets dans toute la France et aux Etats-Unis. « Une abbaye dans le sud-ouest, un escalier en Gascogne, un opéra à San Francisco ou une maison dans le quartier de Tremé à la Nouvelle-Orléans. C’est un ensemble”, explique Mme Stribling.

Les 400 membres de la French Heritage Society sont organisés en 14 délégations, dont 13 aux Etats-Unis et une à Paris. Pour obtenir un prix de restauration, le monument, “même s’il est privé, doit être ouvert au public”, souligne Greg Joye, directeur général de la FHS. A ce jour, quelques 9 millions de dollars ont été levés pour plus 500 projets.

Outre lever de l’argent, le groupe organise des échanges d’étudiants et d’architectes pour perpétuer le savoir-faire dans le domaine de la restauration, en partenariat notamment avec le Smithsonian Program et le musée du Louvre. En trente ans, plus de 300 échanges ont pu être réalisés.“Ce n’est pas que des Américains riches qui donnent de l’argent pour la France, mais une véritable rue à deux sens”, précise Greg Joye.

Cependant, la situation économique actuelle n’est pas favorable aux préservationnistes. La crise “rend plus difficile la levée d’argent”, confirme Mme Stribling. “Même pour les entreprises, il est plus difficile de faire des dons pour des projets dans notre secteur, car elles doivent rendre des comptes à leurs actionnaires”, ajoute Greg Joye. En cette année de trentenaire, la FHS veut lever 560.000 dollars pour 18 projets de restauration en France et aux Etats-Unis. Parmi eux, le Pavillon de l’Etang du Château de Fontainebleau et le musée Rodin à Philadelphie.

Valérie Trierweiler en visite privée à l'Invisible Dog

Valérie Trierweiler s’est offert, mardi matin, une petite escapade culturelle brooklynite, en marge du déplacement de son compagnon à New York, pour l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations Unies.

Direction le centre d’art Invisible Dog, à Carroll Gardens, pour une visite privée en présence de l’épouse de l’Ambassadeur de France François Delattre et des artistes du centre. « Elle est restée deux heures », s’exclame le directeur-fondateur du centre Lucien Zayan. « C’est un grand honneur, un grand plaisir et un énorme boost. Il y a tellement de lieux qu’elle aurait pu visiter à New York ».

La « First Lady » a visité l’exposition “Shaboygen” des frères Steven et William Ladd (organisée dans le cadre du Festival Crossing the Line avec le Fiaf), puis a vu les ateliers de Joanna Neborsky, Prune Nourry, Malcolm Brown, Mac Premo et Anne Mourier, tous artistes en résidence à Invisible Dog. Elle a aussi rencontré le photographe franco-marocain 2FIK. La visite tombe à pic pour le centre d’art de Bergen Street qui a lancé, en septembre, sa première campagne de levée de fonds.

Crédit: Invisible Dog

Crédit: Invisible Dog

Crédit: Invisible Dog

"Pas touche à mon vin": la nouvelle guerre franco-américaine

Les articles parus dans la presse américaine la semaine passée ont un air de déjà vu. Les Français, d’après les Américains, “semblent vivre dans un univers parallèle concernant l’économie“, note le New York Times pour la énième fois. Pas assez de flexibilité sur le marché du travail, se plaint l’Associated Press, dans un article repris par ABC News. Plus grave encore : M. Hollande “a banni le mot même de «flexibilité» de la langue vernaculaire du gouvernement, il renvoie plutôt au mot « souplesse »“, affirme le Wall Street Journal. “Un test à venir pour l’exception française“, juge le New York Times.

Mais cette fois-ci les divergences de points de vue entre cette France éternellement réticente à s’ouvrir au monde et les Etats-Unis libre-échangistes touchent un sanctuaire français : le vin.

Deux articles mettent en lumière les enjeux “du combat le plus récent dans la guerre trans-Atlantique du vin“, pour reprendre les termes du Wall Street Journal. Cette dernière oppose les viticulteurs français aux exportateurs de vin américain. Son origine : la Commission européenne devait se prononcer ce mardi sur une demande déposée par les Etats-Unis visant à obtenir l’autorisation de vendre en Europe des vins américains portant la mention “château”.  Un affront pour la France ! Le vote a été reporté sine die. “Ils essaient de voler notre réputation, les vrais châteaux ne sont certainement pas aux Etats-Unis“, tonne Dominique Haverlan, un viticulteur français, dans les colonnes du Washington Post. “Comment les viticulteurs américains peuvent-ils prétendre de mettre “château” sur leur étiquette de vin du nouveau monde ? Quel château ? Y-a-t-il des châteaux aux Etats-Unis ? Le mot même est français, poursuit-il. De la triche. Détournement. Distorsion de la concurrence“, résume le Wall Street Journal pour expliquer la position française.

Pour le Washington Post “la préservation du terme “château” sur les étiquettes de vin est un chapitre supplémentaire dans la longue bataille de la France, entre tradition et mondialisation“. Les viticulteurs français se considèrent comme les “héritiers d’un trésor national qui doit être sauvegardé de la même manière que l’Egypte a sauvegardé ses pyramides“. Et pour souligner cette volonté d’isolement, le Wall Street Journal cite le Président de la Fédération des Grands Vins de Bordeaux Laurent Gapenne : “La Commission européenne est en train de troquer notre héritage et notre poids économique au profit de la mondialisation“.

Outre-Atlantique, les Américains estiment qu’ils sont “écartés de manière injuste du marché“. Ils ne voient pas où est le problème. “Les gens utilisent les mots avec des sens différents“, affirme Cary Greene de Wine America, dans le Wall Street Journal. Et le quotidien de donner la définition américaine de “château” : un vin produit avec “des vignes utilisées traditionnellement par un producteur de vin ou un groupe de producteurs de vin.”  “Une fraude”, juge Haverlan dans le Washington Post.

Le Wall Street Journal, lui, ne se prive pas de rappeler à ses lecteurs que c’est bien un vin californien qui a gagné la dégustation à l’aveugle, le “Jugement de Paris”, en 1976. “Ceci n’a jamais cessé de vexer les Français“, lance le quotidien.

Charlie Hebdo : le Wall Street Journal applaudit la France

Egalement au centre de l’attention de la presse américaine, les caricatures du prophète dans le journal satirique Charlie Hebdo. Les titres américains et français sont d’accord sur le sujet : la liberté d’expression est importante, mais elle ne doit pas être instrumentalisée pour inciter à la haine religieuse. Par conséquent, la tentative de François Hollande d’empêcher la publication des caricatures qualifiées de “vulgaires” par le New York Times a été soutenue par la presse. Un article de l’Associated Press repris par Newsday rappelle que Charlie Hebdo est un petit hebdomadaire qui “attire souvent l’attention en ridiculisant le prophète Mohammed“. Et le site Star News Online rappelle que “peu de choses sont sacrées” pour Charlie Hebdo.

Même le Wall Street Journal loue le gouvernement Ayrault pour sa gestion de la polémique: “Vive la France : Paris défend les valeurs américaines plus vigoureusement que Washington“. Le journal insiste : contrairement au gouvernement américain, Laurent Fabius aurait suffisamment défendu la liberté d’expression, cette valeur évidemment “américaine“, tout en critiquant Charlie Hebdo, et cela bien que “le régime français de la liberté d’expression est plus faible que celui des Etats-Unis.

Marseille, capitale de la criminalité

Pour terminer cette revue de presse, gros plan sur la cité phocéenne. Deux reportages réalisés par NPR et le New York Times dressent une image sombre de la ville du Vieux Port.

Le New York Times fait plonger ses lecteurs dans une ville impitoyable qui ressemble plus à Sin City qu’à la capitale européenne de la culture 2013. Les premières lignes de l’article donnent le ton: “Walid Marzouki et sa petite amie ont arrêté leur Renault Twingo noire à un feu rouge sur le boulevard Casanova, désert, tard dans une nuit d’août. Une autre voiture s’est arrêtée à côté. Le chauffeur a ouvert sa fenêtre, sorti un fusil automatique et tué M. Marzouki, en utilisant plus de 20 tours.” M. Marzouki, un “dealer de drogue“, comme le rappelle le journal, est “une des 20 personnes qui ont été tuées” à Marseille dans les neuf derniers mois.

La criminalité liée au trafic de drogue “est devenue tellement incontrôlable qu’une femme politique locale a fait l’appel à l’armée pour restaurer l’ordre“, souligne Eleanor Beardsley, la correspondante de la radio NPR en France, dans son reportage.  Le New York Times précise que la situation est devenue particulièrement inquiétante à cause de “l’usage croissant d’armes automatiques“, et cela en dépit du fait que “les armes sont strictement réglementées en Europe.

Le ton du reportage devient fataliste quand le Times cite une infirmière qui connaissait M. Marzouki : “Nous sommes habitués aux meurtres ici. C’est mektoub, le mot arabe pour destin.

Esquisses de maîtres à la Frick Collection

Picasso, Matisse, Cézanne, Van Gogh, Dürer… La somptueuse collection Courtauld de Londres exporte ses plus belles esquisses de maîtres à New York. La Frick Collection présentera ces 54 pièces au public dès le 2 octobre.

L’exposition “Mantegna to Matisse: Master Drawings from The Courtauld Gallery” a été présentée plus tôt dans l’année à Londres. Elle comprend une sélection d’esquisses d’artistes qui s’étend sur toutes les époques, depuis le Moyen-Âge jusqu’aux années 1920.

Ces 54 esquisses ont des styles et des buts variés, mais elles offrent toutes un témoignage exceptionnel sur  six siècles de création artistique en Europe. Les plus grands artistes européens ont leur place dans cette superbe compilation d’oeuvres : Leonard de Vinci, Albrecht Dürer, Peter Paul Rubens, Thomas Gainsborough, Francisco Goya, William Turner, Edgar Degas, Vincent van Gogh, Henri Matisse, Pablo Picasso… Tous à portée de mains le 2 octobre.

Expat US, pour une installation facile

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(Article Partenaire) Expat US et Meeschaert s’associent pour offrir aux cadres des entreprises et aux familles une expatriation sans accroc.
Première société indépendante de gestion privée en France, Meeschaert est installée à New York depuis 2007, sous l’égide de Cédric Meeschaert, petit-fils du fondateur. Son objectif: accompagner les expatriés dans leur gestion de patrimoine des deux côtés de l’Atlantique.
Afin d’offrir un service complet , Meeschaert s’est associé avec Expat US, société spécialisée dans l’accompagnement des expatriés lors de leur installation aux Etats Unis. Expat US  a été crée en 2007 par Caroline Scemama.
Du choix de l’école à la sélection d’un appartement en passant par l’ouverture d’un compte en banque, Caroline est la reine du bon plan et la solution pour un atterrissage serein.

Caroline Scemama, fondatrice d’Expat US

Tout commence à la visite de repérage, organisée pour maximiser le temps. “Les familles n’ont pas de temps à perdre. Il faut que tout soit prêt, explique-t-elle. Nous allons les chercher à l’aéroport et les emmenons de rendez-vous en rendez-vous. En deux jours tout est bouclé”.
Avant cette visite, les équipes d’Expat US ont pré-visité des appartements, sélectionnés à partir d’un questionnaire détaillé rempli par les futurs expatriés. “On visite jusqu’à 25 appartements, pour en retenir 8 au bout du compte, qui seront visités en une seule journée par les nouveaux arrivants”. Au soir du premier jour, le contrat est généralement signé.
Cette première visite sera aussi l’occasion d’achever la sélection de l’école des enfants, un comptable ou le banquier pour l’ouverture du compte en banque.
La famille -ou la partie venue en éclaireur- repart en France pour finir de préparer son déménagement. Pendant ce temps, Expat US s’occupe de tout. Réception des documents de la banque, des clefs du logement sélectionné, installation du câble/internet ou du téléphone, électricité/eau/gaz: toutes ces démarches interminables du nouvel arrivant, Expat US s’en charge.
Un investissement qui ne vaut pas seulement pour la tranquillité d’esprit: entre les voyages de repérage épargnés, les frais de brokers minimisés et les logements temporaires évités, les économies peuvent atteindre plusieurs milliers de dollars.

Les Français (légèrement) plus accros à Facebook que les Américains

Les utilisateurs français de Facebook ne « like » pas : lundi, nombre d’entre eux ont assuré que le réseau social avait rendu publics leurs messages privés. Des affirmations démenties par un porte-parole de Facebook: il s’agirait en réalité d’anciens messages publics ayant refait surface avec le passage à la « Timeline», le nouveau mur du réseau.

Comment douter de la parole des « Facebookers » français quand on sait qu’ils passent plus de temps sur le réseau social que beaucoup d’autres nationalités, dont nos amis américains? Selon une étude réalisée par le site Badoo sur les usages de la plateforme à travers le monde, les Français passent en moyenne 21 minutes et 53 secondes chaque jour sur Facebook, contre 20 minutes et 46 secondes pour les Américains. Singapour, avec 38 minutes et 46 secondes, se hisse à la première place de ce glorieux classement, suivi de la Nouvelle-Zélande, l’Australie et du Royaume-Uni.

À savoir : les Français sont désormais plus de 24 millions sur le réseau, soit 38,5% de la population. Un chiffre qui place la France au neuvième rang des nations les plus consommatrices de Facebook. Les Américains sont, eux, un petit peu plus de 165 millions selon le site Social Backers, soit 53,22% de la population. Ils sont, sans surprise, en tête du classement.

L.A Accueil fait sa grande rentrée

L’association francophone Los Angeles Accueil a fait mercredi sa grande rentrée autour de son traditionnel Café de septembre.

Qu’ils soient nouveaux expatriés, jeunes actifs, parents avec bébés, retraités ou tout simplement francophiles, au total une centaine de personnes a répondu “présent” à l’invitation de rentrée, qui a eu lieu au très huppé Beverly Hills Country Club, dans le quartier de Cheviot Hills. “Nous sommes très heureux cette année d’avoir avec nous le nouveau consul Axel Cruau (ndlr : qui a pris officiellement ses fonctions le 4 septembre dernier), qui nous a fait l’honneur de participer à ce moment important de l’année pour Los Angeles Accueil” a expliqué la présidente de l’association Marie-Carole De La Cruz.

Très disponible et souriant, le Consul a bavardé avec les membres de l’association, pris brièvement la parole devant l’assemblée puis s’est éclipsé, direction le Consulat où l’attendait un emploi du temps chargé. Récemment renouvelée, la nouvelle équipe de L.A Accueil a présenté ses différentes activités (Chorale, Book Club, Aquarelle, Sorties Musée, Ski, Qi Jong …). Avec ses quelques 500 membres, l’association, qui vient de fêter ses 20 ans, doit aussi renouveler l’année prochaine sa présidence. Après trois ans à la tête de L.A Accueil, Marie-Carole De la Cruz doit en effet céder sa place. Avis aux candidats intéressés ! En attendant, prochain rendez-vous de l’association: le barbecue de la Rentrée, le dimanche 30 septembre au Cheviot Hills Park.

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Hélène Conway-Mouret invitée d'Expat United

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Expat United, réseau d’entraide pour les expatriés français et francophones dans le monde entier, organise des web-conférences destinées aux Français de l’étranger. La prochaine aura lieu le 18 octobre à 9h (heure New York) avec Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l’étranger.

Pendant deux heures, la ministre échangera avec les internautes français et francophones en direct via webcam. Hélène Conway-Mouret s’adressera d’abord aux invités de la vidéo-conférence, avant de leur laisser la parole. Ils pourront ainsi lui poser des questions et lui faire part des problématiques rencontrées dans leurs pays respectifs.

Les meilleures vidéos de la toile à Brooklyn

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La plateforme française de vidéos Dailymotion et le Nitehawk Cinema donnent rendez-vous aux fans de vidéos en ligne pour une soirée consacrée au meilleur de Dailymotion. L’événement trimestriel “Cinema Selects” aura le 24 septembre au cinéma de Brooklyn.
Au programme : des courts métrages, sketchs ou clips musicaux réalisés par Eclectic Method, Tom Sachs, Good Cop Great Cop, Aaron Kheifets, Daniel Koren, Alex Beh et beaucoup d’autres cinéastes du web. Les spectateurs pourront poser des questions aux réalisateurs. L’événement gratuit se terminera par une fête au bar du cinéma.
Regarder la bande-annonce :
 
Trailer Cinema Selects – 2nd Edition by CinemaSelects

Wax Tailor, le DJ du cinéma

Wax Tailor, compositeur, producteur de musique et DJ français, donne un concert le 11 octobre au Gramercy Theatre. Il présentera des morceaux de son quatrième album Dusty Rainbow From the Dark, sorti en septembre.

Jean-Christophe Le Saoût, alias Wax Tailor, est né à Vernon, dans l’Eure, en 1975. En France, il est notamment connu pour avoir enregistré le titre Seize The Day (ce qui signifie “saisis le jour”) avec Charlotte Savary qui apparaît dans le film “Paris” de Cédric Klapisch. Son style mélange des éléments de hip-hop et de musique électronique. Dans ses chansons, le DJ français intègre souvent dans ses compositions des extraits sonores de films américains, comme des citations issues des œuvres de Charlie Chaplin, Alfred Hitchcock et Woody Allen.