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Louis Le Guyader

Age et lieu de naissance: né à Long Island

Lieu d’habitation: inconnu

Etudes

  • Formation scientifique
  • Doctorat de Business à Columbia University
  •  Master of Business Administration au Darden School de l’University of Virginia

Profession

  • Membre du service national de PricewaterhouseCoopers
  • Banquier d’affaires à BNP Paribas
  • Professeur à Columbia University et Princeton University

Parcours politique: inconnu

Internet et réseaux sociaux: http://www.louisleguyader.com/

Raphaël Clayette

 
Age et lieu de naissance : 32 ans, Saint Germain en Laye (Yvelines-France)
 
Situation familiale: célibataire
 
Lieu d’habitation : Montréal, Québec, Canada
 
Etudes : Master 1 de psychologie, BTS d’orthopédie orthèses
 
Profession : orthésiste
 
Parcours politique : Militant depuis 2006 au Piratpartiet (Parti Pirate original), avant de rejoindre le Parti Pirate français
 
Internet et réseaux sociaux :
 
– Site officiel 
 
– Facebook
 
– Twitter: @partipirate_adn


 

Rob Temème

Age et lieu de naissance : inconnus

Lieu d’habitation : inconnu

Etudes : inconnues

Profession : inconnue

Parcours politique : inconnu

Internet et réseaux sociaux : inconnus

Jean-Michel Vernochet

Age et lieu de naissance : 64 ans, né dans le XIXe arrondissement de Paris.
Situation familiale : divorcé, un enfant
Ville/Pays de résidence : Paris, France
Etudes : Droit (DEA), Philosophie (DEA), Ethnologie (DEA)
Profession: Journaliste, géopolitologue et écrivain
Parcours politique :

  • milite pour les libertés réelles, parmi lesquelles la “libre entreprise”
  • fondateur en 1977 d’une ONG environnementaliste “Terre Future”

Internet et réseaux sociaux:
– site de campagne: http://www.democratie-totale.fr/
– site personnel: http://terrefuture.blog.free.fr/
 
 


Brooklyn Post-Industriel

Les vastes bâtisses abandonnées sont souvent propices à l’installation de galeries d’art… Ainsi, à l’image du PS1 annexe du célèbre MoMA installée dans une ancienne école du Queens, le français Lucien Zayan transforme une vieille usine de Cobble Hill en un centre culturel contemporain : The Invisible Dog Art Center (51 Bergen St, 347-560-3641).
Mais ce sont surtout les magiciens de la nuit que les locaux défréchis inspirent le plus. Ainsi, pour dîner, boire un verre, danser, vous aurez l’embarras du choix…
À commencer par Fette Saw (345 Metropolitan Ave, 718-963-3404), ancien garage reconverti en typique barbecue américain où vous pourrez déguster une délicieuse viande grillée accompagnée d’une salade de pommes de terre, installés sur de larges tables de pique-nique en bois.
Juste à côté, au Roebling Tea Room (143 Roebling St – entrée sur Metropolitan Ave, 718-963-0760), c’est dans une atmosphère cosy, lumière tamisée, que vous pénétrerez. Cet espace industriel a été restauré avec goût et sera parfait pour un diner romantique.
Sur une note plus retro, le restaurant Moto (394 Broadway, 718-599-6895), niché sous la bruyante voie ferrée, métamorphose un centre de dépôt de chèque et redonne à cet immeuble en forme de fer à repasser son charme oublié avec ses petits concerts acoustiques et son ambiance chaleureuse.

Le Pete's Candy Shop ... n'est plus un magasin de bonbons

Puis, vous pourrez siroter un cocktail et danser dans le patio d’Union Pool (484 Union Ave, Williamsburg, (718) 609-0484), ancien magasin de matériel de piscine, ou encore écouter un concert live au Pete’s Candy Store (709 Lorimer St, 718-302-3770) qui, comme son nom ne l’indique pas, n’est plus une boutique de confiseries mais bien un bar branché, vestige du passé.
 
Pour en apprendre davantage sur le vin direction la Brooklyn Winery (213 N 8th St, 347-763-1506) nouvellement ouverte par deux passionnés, où vous pourrez même participer à la fabrication de votre propre cuvée.
Quand à l’origine du building, si l’on en croit les managers, la liste est longue… Dans le désordre: usine de papier, fabrique de cornichons, garagiste, crèmerie…
Le vin, c’est bien, mais la tendance est au Beer Garden… Vous connaissiez la Brooklyn Brewery (79 N 11th St, 718-486-7422), cette fabrique de bière vieille de plus de 20 ans et aujourd’hui dans le top 40 des meilleures bières américaines mais vous découvrirez Radegast Hall (113 N 3rd St, 718-963-3973), ancienne fabrique de bonbons, et vous installerez sous l’immense verrière pour entrechoquer votre pinte avec les hipsters du quartier.
Pour changer des traditionnelles sorties nocturnes, les sorciers de Brooklyn redoublent d’inventitivé et proposent de nouvelles activités. La plus prisée: le cinéma indépendant avec Indie Screen (285 Kent Ave, 347-227-8030) qui a investi les anciens bureaux appartenant au complexe de la fameuse Domino Factory. Dans ce lieu de diverstissement nouvelle génération, vous pourrez visionner un vieux film en petit comité et diner en même temps.
Le Brooklyn Bowl : 16 allées de bowling et une salle de concert dans 2000 m2

Mais la palme de la reconversion revient au Brooklyn Bowl (61 Wythe Ave, 718-963-3369) qui a magnifiquement transformé l’ancienne usine Hecla Iron en une vaste salle de bowling de 2,000 m2 mêlant, avec brio, rustique et modernisme et accueillant 16 allées et une salle de concert.
La volonté de préserver les vestiges du passé est bien là et fait l’objet de vastes projets de réhabilitation comme celui de la Tobacco Warehouse de Dumbo. Construite en 1870, elle a été sauvée de la démolition en 1998 et remise en état par le NY State Office of Parks, Recreation & Historic Preservation et offre aujourd’hui plus de 2,300 m2 de surface dédiés à des programmes culturels.
Dans la lutte contre la démolition, les anciens et les passionnés n’ont pas dit leur dernier mot. Pourvu que ça dure…

Réunion pour amoureux de fromages

Cette soirée sera sous le signe de la finesse car vous n’y trouverez que des fromages exquis dégustés dans les règles de l’art sous l’œil attentif et les conseils d’Erin Hedley, spécialiste du fromage.  Le meilleur endroit pour connaître les trucs et astuces qui permettent de reconnaître un grand fromage.
Quand ? Mardi 24 mai 2011, de 18h30 à 20h30
Où ? A l’Artisanal Premium Cheese Center, 483 Tenth Avenue, 2nd Floor, Manhattan, NY 10001
Combien? $75
Pour plus d’informations ou acheter votre place, cliquez ici.

Times Square fait sa foire

10 blocs sont réservés à l’événement. Tout Broadway, depuis la 47th jusqu’à la 57e, est dédié à ce rassemblement qui connaît toujours plus de succès depuis sa création en 2000. Nourriture de tout pays, vendeurs de bijoux, antiquaires, ou encore différentes expositions de rues : il y a de quoi flâner  dans Broadway pour peut-être trouver votre bonheur ou simplement passer un moment agréable.
Quand ? Dimanche 22 Mai 2011, de 10h à 18h
Où ? A Times Square, entre la 47e et la 57e sur Broadway, NY.
Combien ? Gratuit

Elliott Erwitt choisit ses clichés préférés pour l'ICP

Présentée l’année dernière à la Maison européenne de la photographie de Paris, Elliott Erwitt: Personal Best retrace six décennies de carrière d’un des plus grands photographes contemporains. Cette rétrospective évènement, qui s’étale sur les deux étages de l’ICP, regroupe une centaine de photos choisies par l’artiste en personne, ainsi qu’une sélection de ses documentaires et ouvrages. On y retrouve aussi bien ses portraits de stars (Marilyn Monroe, Grace Kelly, Alfred Hitchcock, Jack Kerouac, Che Guevara…) qui l’ont fait connaître du grand public, que ses clichés iconiques de Paris, où il est né en 1928, et de New York, où il a ensuite immigré. C’est d’ailleurs aux Etats-Unis qu’il rencontre les figures incontournables de la photographie américaine de l’époque, Edward Steichen mais aussi Robert Capa, qui le prend alors sous son aile. En rejoignant leur agence, Magnum, Erwitt va avoir l’opportunité de parcourir le monde et de couvrir des évènements majeurs du XXe siècle. Du « Kitchen Debate » entre Khrouchtchev-Nixon en 1959 à Jackie Kennedy aux funérailles de son mari en 1963 en passant par la ségrégation dans le Sud des Etats-Unis, Personal Best nous rappelle qu’il reste aussi un photo-journaliste respecté… Sans jamais pour autant mettre de côté sa signature, un regard incisif et un « sens de l’humour décalé, mêlant douce fantaisie et observation ironique », conclue Brian Wallis, organisateur de l’exposition.
À voir dans la foulée, deux autres petites expositions ouvertes aussi depuis aujourd’hui :
Hiroshima: Ground Zero 1945 d’abord, une sélection d’images en noir et blanc de la zone japonaise touchée par l’attaque nucléaire d’août 1945. « Auparavant classées secrètes, ces photos documentent le pouvoir dévastateur de la bombe atomique » de manière scientifique, explique l’organisatrice de l’exposition Erin Barnett. Alors en mission au Japon pour évaluer les dommages, la division chargée des dégâts physiques va photographier et analyser méthodiquement l’impact de la bombe atomique… dans le but de servir les intérêts américains.
 
L’exposition Ruth Gruber, Photojournalist rend quant à elle hommage à l’une des pionnières du photo-journalisme. Correspondante pour le New York Herald Tribune, Ruth Gruber est l’une des premières autorisées à faire des reportages en Arctique soviétique, en Alaska ou encore au goulag sibérien dès les années 30. Aujourd’hui presque centenaire, elle a consacré sa vie à des causes humanitaires et a prouvé son engagement à défendre la cause des communautés juives à travers le monde entier. Elle a notamment documenté les conditions des réfugiés juifs de l’Exodus 1947 vers la Palestine, les vagues d’immigration vers le nouvel Etat d’Israël et s’est même vu confier une mission par le gouvernement américain pour rapatrier des juifs européens sur le continent américain durant la Seconde guerre mondiale.
International Center of Photography, 1133 Avenue of the Americas (& 43rd Street)
Jusqu’au 28 aout

Anniversaire en Chorale

Le public sera sans doute charmé par la performance de la New York City Master Chorale et de ses accompagnateurs de prestige. Un véritable show qui procurera de nombreuses émotions. Et après le concert, le public pourra poser ses questions à Paul Leavitt (compositeur de Requiem) et Dr. Thea Kano (Directeur artistique de la chorale) concernant le concert.
 
Quand ? Vendredi 20 mai 2011, à 20h
Où ? Au Alice Tully Hall, Lincoln Center, W 65th Street sur Broadway, NY
Combien ? Entre $31 et $61, $21 pour étudiants et seniors
Pour réserver vos places, cliquez ici.

Yves Saint-Laurent dans l'intimité de l'IFC

L’Amour Fou de Pierre Thoretton diffusé en ce moment à l’IFC c’est un documentaire (sur l’art et la mode), un biopic (sur Yves Saint-Laurent), une histoire d’amour (celle qui unissait Pierre Berge à Yves Saint-Laurent). Au final c’est si beau à regarder que cela en devient une œuvre d’art à part entière.
 
Le film s’ouvre sur la fin d’une époque : le discours en 2002 par lequel Yves Saint-Laurent annonçait dans une vive émotion son retrait du monde de la mode. Les mots d’ Yves s’enchaînent comme des mannequins marcheraient sur un podium, rappelant l’influence de la littérature – et plus particulièrement de Proust – sur le créateur.
 
Le film rend d’ailleurs hommage à cette influence, à ce mariage des arts qui se fit entre les mots d’auteurs de chevets qui servirent de guides à Yves Saint-Laurent, la mode dont il définit le concept même et  son extraordinaire travail de collectionneur. Le film est en effet centré autour d’un conteur – Pierre Bergé – venu raconter son histoire préférée, celle dont on ne veut pas trop vite connaître la fin, mais il est aussi peuplé d’images d’archives qui nous replongent dans la magie des défilés Saint-Laurent et centré autour d’un fil conducteur la vente de la collection de Pierre Berge et Yves Saint-Laurent.
 
Ce film est donc un véritable voyage stylistique : les images sont superbes et si la vie des deux hommes fut en demi-teintes l’expérience pour le spectateur n’est que calme, luxe et volupté entre Marrakech, Paris et New York. La voix et les mots de Bergé sont toujours justes et nous bercent, nous dévoilant avec pudeur et honnêteté une romance de quarante années.
 
Les intervenants sont peu nombreux et toujours justes. Quelques femmes – celles qui furent les muses d’ Yves Saint-Laurent – nous rappellent la part que joua le créateur dans l’appropriation d’une mode « égalitaire ». Jack Lang vient souligner le rôle déterminant du couple sur l’acceptation de la communauté LGBT.
 
Les images finales de la vente aux enchères sont envoutantes et cette valse des millions ramènent les spectateurs a la réalité financière du couple jusque la oubliée dans ce cocon de raffinement.

Peinture abstraite chez Joe’s

Ni l’un ni l’autre n’a besoin d’exposer ailleurs que dans sa galerie, mais ce lieu propose une alchimie qui fait recette et attire les plus grands noms de la peinture, comme les collectionneurs du « tout L.A ».
Il n’y a encore pas très longtemps c’était Ed Moses et Ed Ruscha qui accrochaient leurs toiles. Charles Christopher Hills présentent deux grandes toiles sobres et puissantes en noir et blanc qui s’inspirent de motifs du Zaïre et quatre papiers dont les motifs, ici réduits à l’essentiel, sont extraits des grottes de la Pasiega, en Espagne. Peter Lodato montre quant à lui de petits formats, largement encadrés de blanc, contenant deux rectangles qui, selon l’association de couleurs qu’il choisit, passent tantôt de l’état de plein à celui de vide.
Où : Joe’s Restaurant, 1023 Abbot Kinney Boulevard, Venice, CA
Quand : Jusqu’au 26 juin

Allison Miller, des poèmes au bout du pinceau

Allison Miller privilégie une gestuelle intuitive, laissant sa main choisir la couleur et guider le pinceau. Elle rejoint le grand mouvement américain d’abstraction lyrique de Pollock ou De Kooning, mais avec une écriture plus resserrée, moins emphatique. Allison construit un dialogue intime avec sa toile qu’elle développe au fil de ses traits et aplats conférant à son œuvre un univers poétique rare.
Où : ACME, 6150 Wilshire Boulevard Los Angeles, CA, 90048

Quand : Jusqu’au 21 mai