Mercredi soir, elle accueille une soirée de la FACC. Vous pourrez échanger votre “business card” avec les autres invités tout en profitant d’un apéro à la française (Vins de Provence, hors d’oeuvres Les Trois Petits Cochons…).
Et peut-être investirez-vous dans l’une des photographies contemporaines exposées, proposées à des prix accessibles.
Où ? YellowKorner Gallery, 100 Wooster Street (près de Spring Street), New York, NY 10012 Quand ? Mercredi 23 Mars de 18h30 à 20h30 Combien ? Membres FACC $45 / non-members $70
Plus d’informations sur www.faccnyc.org et au (212) 867-0123
La décision de Nicolas Sarkozy de mener des actions militaires françaises en Libye fait couler beaucoup d’encre outre-Atlantique. Excepté le Wall Street Journal qui déclare clairement dans ses colonnes “soutenir l’action militaire même si elle est très tardive”, les autres médias portent un regard plutôt critique sur les motivations du président français à bombarder la Libye. Sans demi-mesure, Michael Elliott titre dans un éditorial du Time “Comment la Libye est devenue une guerre française et anglaise”. Il expose les trois principales raisons qui pourraient justifier la position de la France : les réserves en gaz et pétrole libyennes, une vague d’immigration vers l’Europe consécutive au conflit orchestré par Kadhafi et enfin la nécessité pour Sarkozy de se racheter une légitimité politique nationale et internationale.
Les journaux soulignent avec sarcasme tout le paradoxe du chef d’Etat français très en retrait lors des récentes révolutions mais qui cette fois prend la direction des opérations. “Monsieur Sarkozy motivé par les échecs français à répondre rapidement aux révolutions en Tunisie et en Egypte […] a amené avec l’Angleterre, l’Europe et les Etats-Unis vers un engagement militaire dans le monde arabe que même des alliés clés comme Washington et Berlin n’ont jamais voulu”, lit-on dans le New York Times. Nombreux sont les médias à voir dans cette décision de Nicolas Sarkozy une volonté de revenir sur le devant de la scène politique avant les prochaines élections présidentielles alors qu’il est encore au plus bas dans les sondages et que les dernières élections cantonales n’ont pas été brillantes pour l’UMP. “Le président français avait désespérément besoin de renforcer sa stature politique. Et samedi, il l’a fait“, lit-on dans le Los Angeles Times. La France se sent aussi davantage concernée par ces événements du fait de ses relations proches avec les anciennes colonies mais aussi, selon l’Associated Press parce que la France “espère avec les bombardements de samedi effacer des mémoires son passé de complaisance avec les dictateurs.” Le Los Angeles Times n’est pas tendre non plus avec un président français tout en paradoxe, qui ordonne de bombarder la Libye alors qu’il y a 3 ans, il “avait déroulé le tapis rouge à Kadhafi à Paris, l’accueillant les bras ouverts et autorisant même le chef d’Etat libyen à planter sa tente bédouine près de l’Elysée.” La Libye est au coeur des préoccupations françaises du fait de ses pays frontaliers alliés stratégiques de la France (Tunisie, Algérie, Tchad et Niger) et parce que Total contrôle une partie importante du parc pétrolier libyen.
Vague de nostalgie chez Renault. Après la Mini de BMW ou la Fiat 500, le constructeur automobile français pourrait lui aussi relancer la production de l’un de ses vieux modèles : la célèbre et très populaire R5 commercialisée en France en 1972. Cette “iconique mini” selon le site internet de Fox news, voiture la plus vendue en Europe au moment de sa sortie, avait été exportée aux Etats-Unis au milieu des années 70 sous le nom Le Car, où elle n’était pas exactement devenue synonyme d’excellence automobile… Que les amoureux de la R5 ne s’emballent pas trop. Selon Fow News et Insideline.com qui révèlent l’information, ce modèle de supermini trois portes revisité ne devrait pas sortir avant 2014 et “contrairement à Fiat, Renault n’a aucun plan pour réintroduire le marché américain dans un futur proche.”
La méthode de régime alimentaire Dukan fait l’objet de plusieurs articles cette semaine notamment dans le New York Times ou dans le Los Angeles Times. Si cette méthode de perte de poids a fait la fortune du docteur Pierre Dukan en France avec 3,5 millions de livres vendus, elle n’a pas encore traversé l’Atlantique. Ce sera chose faite le mois prochain avec la publication de plus d’un million d’exemplaires de The Dukan diet. Cette méthode, qui fait débat parmi les diététiciens consiste en un régime en quatre phases avec une première période pendant laquelle il ne faut manger que des protéines mais l’avant-dernière étape autorise du vin et un dessert car “le régime est français après tout” souligne avec humour la journaliste du New York Times.
Le vol relatif, c’est un sport de l’extrême. Imaginez quatre garçons, ou quatre filles, à 3500 mètres d’altitude, qui sautent d’un avion, en grappe, c’est-à-dire accrochés les uns aux autres, et qui vont tomber vers le sol à la vitesse de 200 km/h. En compétition, comme c’était le cas à Deland (au Nord d’Orlando, Floride), ce week-end ils ont à effectuer un maximum de figures imposées pendant les 35 secondes qui les amèneront à l’altitude de 1000 mètres, où ils pourront ouvrir leurs parachutes. Chaque équipe est accompagnée d’un « vidéo-man », qui saute quelques secondes plus tard, et qui va survoler ses quatre co-équipiers pendant toute leur descente. Ce sont les images qu’il rapportera qui permettront aux juges d’établir un classement.
Au total, les Français ont passé quinze jours en Floride, pour un stage puis la compétition du “Shamrock Showdown 2011”, sur l’aéroport de Deland, à quelques kilomètres au nord d’Orlando. Pour cause de météo hivernale en France, ils viennent régulièrement s’entraîner aux USA: en janvier dernier, ils étaient en Arizona.
Mais qui sont-ils, ces fous du ciel? Des passionnés, bien sûr, mais surtout des amateurs, par définition non rémunérés, qui ont souvent du mal à vivre leur passion. Ce sport leur demande en moyenne deux semaines d’entraînement par mois. Comment concilier cela avec une quelconque occupation professionnelle? La plupart d’entre eux travaillent dans la fonction publique, assez conciliante, d’autres sont militaires, d’autres travailleurs indépendants. Ceux qui viennent du privé peuvent espérer obtenir des pouvoirs publics une compensation financière destinée a leurs employeurs. Mais tous s’accordent a reconnaître que la France est plutôt bonne fille quand il s’agit d’aider ses sportifs de haut niveau. En Floride, mais pas chez Disney! L'entraînement au sol
A Deland, en Floride centrale, ils étaient exactement 13 à vivre cette nouvelle aventure: les deux équipes de quatre, les deux vidéo-men, les deux entraîneurs, et… le plieur! Lui, c’est l’homme de l’ombre, dont le rôle est essentiel. Imaginez que durant un stage chaque membre de l’équipe va effectuer en moyenne une dizaine de sauts par jour. Cela veut dire une centaine de pliages à réaliser quotidiennement, sans aucun droit à l’erreur, même si chacun dispose d’une voile de secours.
Chaque jour, durant ce stage, les deux équipes ont sauté de 8 h du matin à 4 h de l’après-midi, avec, après chaque saut, visionnage des séquences et debriefing. Pas trop le temps d’aller s’amuser à Disneyworld, pourtant tout proche! Une vie donc assez spartiate, confinée aux abords de l’aéroport et rythmée par le bruit incessant des avions qui, inlassablement, emmènent par groupe de 10 la centaine d’athlètes venus de 10 nations différentes pour participer à ce challenge. Que du bonheur!
Perrine Sanchez a aujourd’hui 26 ans. C’est une passionnée à qui la grande sœur, également parachutiste, a transmis le virus. Depuis 2007, elle pratique la chute libre, d’abord en PAC (progression accompagnée en chute), puis toute seule. Elle s’est entrainée du côté d’Avignon, puis au Maroc, avant de rejoindre, en 2010, le pôle Espoir de la Fédération, et d’intégrer, cette année, l’équipe de France. Elle est l’une des deux nouvelles recrues du team français, dans lequel elle dit s’être parfaitement intégrée. N’empêche: il y a un titre mondial à défendre… Mais Perrine refuse de «se mettre une mauvaise pression», et ne confie de sa toute nouvelle expérience que trois mots: «Que du bonheur!». Au terme de la compétition de Deland, les garçons se sont classés en deuxième position (derrière l’équipe américaine d’Arizona et devant la Belgique). Les filles (qui concouraient dans la même compétition), un peu plus loin, à la 7ème place. Mais, souligne l’un des entraîneurs Jérémie Rolett: «Les prochains championnats du monde ont lieu en 2012. Cela nous laisse le temps de progresser dans la cohésion des équipes».
Les équipes:
Vol relatif féminin: : Sophie Deremaux (capitaine), Laurence Hervé, Perrine Sanchez, Amélie Tirman; Remy Grandcler (vidéo).
Vol relatif masculin: Mathieu Bernier; Guillaume Bernier; Julien Degen; Emmanuel Sarrazin; Olivier Henaff (Video).
L’Organisation Internationale de la Francophonie, l’Université des Nations Unies et le Département de l’Information des Nations Unies organisent dans le cadre de la célébration de la Journée de la Langue française aux Nations Unies, un Séminaire sur le thème : «Chorus pour les langues: le multilinguisme, des principes aux actes». Le Séminaire a pour but de susciter un débat interactif sur la problématique de la diversité culturelle et linguistique au sein des organisations internationales.
Quand ? Lundi 21 mars, de 13h00 à 14h45
Où ? Salle Secrétariat 8,
Siège de l’Organisation Nations Unies,
New York
Si votre connaissance de la cuisine belge se réduit aux moules, frites et gauffres, la “Belgian restaurant week” de New York du 23 au 30 mars est l’occasion de découvrir d’autres mets. Sept restaurants ou chaînes de restaurants comme Le Pain Quotidien et Wafels&Dinges, participent à l’événement en proposant des prix plus avantageux sur leurs cartes.
Ainsi, B.Café met son menu à $20, chez BXL Café le brunch est à $13 et le lunch à $15, chez Markt le plat de moules et le verre de bière sont à $20, enfin Rouge tomage offre une bière et des toasts à ses clients.
Les restaurants Petite Abeille proposent des animations pour les enfants avec par exemple un questionnaire sur Tintin (Programme ICI). Quand : Du mercredi 23 au mercredi 30
Liste des restaurants et adresses ICI.
Après la New York restaurant week le mois dernier, c’est au tour de Brooklyn d’organiser son événement culinaire pendant 10 jours avec “Dine in Brooklyn”. Du 21 au 31 mars, plus de 200 restaurants proposent un brunch ou un déjeuner à $20,11 et un dîner à $25.
C’est donc l’occasion de tester des restaurants et pourquoi pas quelques français comme le Saint-Germain à Bay Ridge, Bacchus à Boerum Hill, Autour du monde restaurant à Clinton Hill, Ici et Chez Oskar à Fort Green, Moutarde à Park Slope…
Autre avantage de cette fête des papilles, il est également possible dans certains restaurants d’avoir deux brunchs, déjeuners ou dîners pour le prix d’un. Quand : Du lundi 21 au jeudi 31 mars
Consulter la liste de restaurants ICI.
Le 20 mars, les collections femmes des marques DVF, Catherine Malandrino, Rebecca Taylor et plus encore, sont soldées de 50 à 65 %. C’est au magasin Diane T à l’occasion de sa braderie d’hiver. Les prix varient de 30 $ à 250 $. Où ? 174,rue Court, nr. Bergen St.
Le 22 mars, l’association caritative Housing Works propose de découvrir sa collection printemps-été : vêtements, meubles et objets d’art se mettront aux couleurs de la saison. En ce qui concerne les bonnes affaires, l’association brade ses plus belles pièces…Les sandales Marni sont à seulement 200 $, le trench Burberry est à 150 $, les sacs Marc Jacobs à 225$ , les robes Vivienne Tam passent à 125 $ ! L’entrée est à 10 $. Divers horaires et des lieux.
Les babioles
Samedi 19 et dimanche 20 mars : caméras, lentilles, sacs, tee-shirts et accessoires sont réduits de 15 à 50 % à la boutique Lomography Gallery. Où ? 106 E. St. 23, à Park Ave.
Du 23 au 27 mars : Sacs, petite maroquinerie, accessoires, foulards et cravates sont à 40 % de réduction à la vente d’échantillons Hermès. Oui oui, vous avez bien lu, Hermès ! Où ? Haskin Soiffer, 317 W. 33rd St. 8ème Av
Du 24 au 26 mars, femmes et hommes à lunettes se donnent RDV à Felice Dee Eyewear pour ses soldes annuelles. Ils vont pouvoir profiter de 80% de réduction sur les montures Alain Mikli, Lafont, Thierry Lasry et plus encore. Les prix varient de 25 $ à 800 $. Lentilles de prescription sont aussi réduites de 20 %. Où ? 69 E. 71st St., nr. Madison Ave.
Le nid
Du 19 mars au 4 avril, c’est le moment de refaire le déco de l’appart’. Toutes les nouvelles commandes sur les meubles et accessoires pour la maison sont à 20 % de réduction et des pièces sont soldées à 60 % à l’occasion de la vente bi-annuelle de chez Property’s. Où ? 14 St. Wooster, nr. Grand St.
Le 31 mars : bougies, vaisselle, accessoires de décoration, la literie et le mobilier d’époque sont de 30 à 70% de réduction pour la fermeture de la boutique Apt 48’s. Où ? Apt. St. 12 W. 17th, nr. Fifth Ave.
Mercredi 23 Mars, la soprano française Marie Zamora se produira au Lycée Français de New York pour un concert unique, intitulé “An Evening of Songs from Musicals and Movie Musicals”. Elle y interprètera des morceaux extraits de comédies musicales et de films à succès, comme Le Fantôme de l’Opéra, Chicago ou Les Parapluies de Cherbourg.
Les bénéfices du concert seront reversés à la fondation du Lycée Français New York. Où ? Lycée Français de New York, 505 East 75th Street, New York, NY 10021
Quand ? Mercredi 23 Mars à 19h30
Combien ? $35 ($15 pour les étudiants) en vente au 212-439-3820
Tout récemment rentré de mission spéciale à Houston, Arnauld Dumont arrive au volant de sa Citroên DS pour nous rejoindre dans un restaurant de la 3rd avenue promenade à Santa Monica. Il travaille avec des gouvernements et de grandes institutions, ses outils sont à la pointe de la technologie, et il voyage beaucoup pour des activités qui restent souvent confidentielles. Il n’est cependant pas agent secret, mais bien géomètre.
Arnauld Dumont est arrivé à Los Angeles en 2006, pour créer son entreprise spécialisée dans la photogrammétrie 3D, une technologie qui permet de recréer le modèle en 3 dimensions d’un objet mesuré à partir de photos prises en environnement hostile (sous l’eau, dans le vide, dans les souffleries, dans le nucléaire…). L’intérêt ? “L’intérêt c’est que, dans l’industrie, dès qu’il y a un problème, les gens veulent voir… », nous dit Arnauld. Il est vrai que nous sommes ravis de savoir que la Cogema sait où se trouvent leurs équipements dans les sites de déchets nucléaires de La Hague, et ce grâce à la technologie d’Arnauld.
L’ingénieur francilien né au Havre et diplômé de l’Institut français de topométrie (CNAM) a commencé sa carrière en tant que cartographe et topographe. Après avoir fait ses armes en France, ses racines italiennes et son éducation internationale au Lycée International de Saint-Germain-en-Laye le poussent au voyage, et Arnauld part pour l’Afrique, où il reste près de 5 ans. Sa première mission spéciale, Arnauld s’en rappelle: un jour, il reçoit l’appel du musée du Louvre, qui le convoque pour mesurer par photo un mur ancien, enterré là où la pyramide doit être construite.
Arnauld élabore alors un logiciel de photogrammétrie, et reproduit un modèle du mur en 3 dimensions. « C’était une technologie très pointue qui, à l’époque [dans les années 90 NDLR], n’existait pas aux Etats-Unis, donc on a eu des opportunités… » Le géomètre français se lance donc à la conquête de l’Amérique: il enchaîne de nombreuses missions de mesure et contrôle de télescopes pour la NASA, y compris pour le programme SETI de recherche d’intelligence extra-terrestre dans les années 90.
Il s’installe à Los Angeles il y a 5 ans, séduit par la position géographique privilégiée de la ville : «on n’est pas loin de l’Asie… », nous explique-t-il. Sa mission « locale » actuelle : aider l’université de Californie et ses partenaires (CalTech et A.C.U.R.A) à la construction du T.M.T, ce gigantesque télescope de trente mètre de diamètre qui explore la formation des galaxies et la création de l’univers. Quand il ne joue pas au foot dans l’équipe des parents d’élèves du Lycée Français de LA., Arnauld forme également les ingénieurs de la US. Navy, part en mission pour Shell, BP, et le géant de l’énergétique américain Excelon. Ces missions l’amènent à se retrouver dans des situations parfois extrêmes: sa dernière formation de survie consistait à s’extraire d’un hélicoptère retourné et submergé dans l’eau de mer, et ce 5 fois de suite.
Quand s’arrêtera-t-il ? Pas de si tôt : « La photogrammétrie 3D, c’est un marché croissant et en constante demande car les installations viellissent », nous dit Arnauld, « et partout dans le monde on assiste à une augmentation des contrôles et des actes de maintenance. » Jusqu’aux tragiques évènements de la semaine passée, Arnauld était en contact avec une société japonaise intéressée par ses services d’inspection de fissures (ponts, bâtiments, barrages…). “Avec les évènements, je ne sais pas trop ce que cela va donner, la priorité étant bien évidemment l’aide aux sinistrés et la prévention de toute catastrophe nucléaire”, commente-t-il. Une chose est sûre: le chef d’entreprise sait que sa technologie de contrôle pourrait aider à déterminer exactement l’état des dommages de ces centrales, et savoir si elles peuvent encore faire face à d’autres tremblements de terre et autres tsunamis…
Dominic Mojon sera le prochain conférencier sur les thématiques de l’Art contemporain et le challenge qu’il existe en organisant des expositions.
Dominic Molon rejoint Musée d’Art Contemporain de Saint-Louis, comme conservateur en chef en Septembre 2010. Dans son poste précédent de conservateur au Museum of Contemporary Art de Chicago, il a organisé des expositions thématiques “du site de production: L’Atelier du peintre Inside – Out” (2010) et “Sympathy for the Devil: art et rock and roll depuis Expositions 1967 “(2007), ainsi que solo de Liam Gillick (2009), Wolfgang Tillmans (2006), et Sharon Lockhart (2001).
Prochainement: une exposition du projet de Susan Philipsz pour le MCA de Chicago (Février 2011) et une rétrospective de l’artiste australien David Noonan pour le CAM de Saint-Louis (Septembre 2011). Molon a contribué à de nombreuses publications, y compris Art Review, Whitewall, art sur papier, contemporain, et Tate: le magazine Art ainsi que des catalogues d’exposition pour Karin Mamma Andersson, Karen Kilimnik, et Elmgreen et Dragset, entre autres. Quand ? Vendredi 18 mars à 19h Où ? Musée D’Art contemporain de La Cruz. 23 NE 41ST STREET, MIAMI
Dans le cadre du Mois de la Francophonie, quatre grands conteurs francophones des Amériques et d’Afrique de l’Ouest sont réunis en une veillée à l’initiative de la Délégation Générale du Québec à New York et le Centre de la francophonie des Amériques.
Au programme de cette longue nuit de récits, un conte caribéen Grandes Antilles et animaux légendaires raconté par Mimi Barthélémy, le récit québécois Un voyage entre mer et terre de Myriame El Yamani, Récits et légendes du monde cadien par Barry Jean Ancelet et Contes d’Afrique de l’Ouest de Bienvenu Bonkian.
Un verre de l’amitié sera servi pendant l’entracte. Quand : Lundi 21 mars de 18h00 à 22h00 Où : Alliance française – Auditorium Tinker – 22 EAst 60th Street
Informations ICI.