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Quand deux Français réinventent la radio

Si vous entrez dans la chambre d’un adolescent d’aujourd’hui, vous constaterez l’absence de chaîne hi-fi et l’omniprésence de l’ordinateur, de la console de jeu et, bien sûr, du téléphone portable, devenu objet à tout faire, notamment, nouveau support d’écoute de la musique. Le phénomène n’a pas échappé à Roberto Ciurleo alors qu’il est encore Directeur de l’antenne et des programmes de la radio FM NRJ à Paris.« C’était il y a trois ans. Avec mon associé Emmanuel Jayr, on a réalisé que l’écoute de la radio était en train de changer radicalement chez les jeunes. C’est ce qui nous a donné l’idée de créer un nouveau media radio qui soit totalement lié au numérique et à l’adresse IP. À l’époque, inutile de vous dire que c’était de la pure science-fiction ! »
Le temps de mûrir le projet, de lever quelques millions d’Euros et le portail Goom radio apparaît sur le Net, il y a un peu plus d’un an.
« Notre objectif était clair : combler le retard qui existait entre ce que les jeunes écoutaient sur Internet et ce que diffusaient les radios traditionnelles, même les plus récentes. Autre idée essentielle : l’auditeur doit pouvoir composer sa propre radio en virant tout ce qui ne lui plaît pas.»
Et ça marche, très fort et très vite… Goom radio, en France, totalise actuellement 9 millions de players par mois, alors que le site n’a pas deux ans.
Grand fan de Madonna, Roberto Ciurleo propose rapidement à la star d’avoir sa radio, puis ses équipes développent des radios pour des marques. Le Crédit Mutuel, l’opérateur téléphonique SFR et pour la dernière en date la SNCF qui a demandé à Goom radio de créer 22 radios régionales chargées d’informer les voyageurs de toute difficulté survenant pendant le trajet, parfois avant même le contrôleur du train.
Musique et informations arrivent, tout à fait naturellement, sur les mobiles et les ordinateurs des passagers.
Autre phénomène n’ayant pas échappé à Roberto Ciurleo, la provenance, pour 70% de ce qui est écouté par les jeunes Français, des Etats-Unis. Autrement dit, ce sont toujours les US qui alimentent très largement la production musicale.
Mais plutôt que de subir ce déferlement, sans pouvoir le canaliser, Roberto et son associé décident de venir à la source.
«  Nous nous sommes installés à l’été 2009, dans les studios d’une ancienne radio, à Jersey City, en ayant l’ambition de créer du contenu pour la France en sélectionnant la musique à sa source. Et c’est en constant que le marché de la radio, ici aux Etats-Unis, a encore plus vieilli qu’en France et semble définitivement figé, que nous décidons d’ouvrir un Goom radio US ! »
Et là aussi ça marche, très fort et très vite…
« Tous les jours aux Etats-Unis, 50 millions d’auditeurs écoutent la radio sur Internet ! À nous de jouer. »
Mais rien n’étant jamais simple, le parcours s’avère plus difficile que prévu et la difficulté pas là où Roberto Ciurleo l’attendait.
Rien d’insurmontable sur le plan technique, l’audience visiblement est elle aussi au rendez-vous, alors, où est-ce que çà coince ?
« Ok, gérer une équipe de chaque côté de l’Atlantique, ce n’est pas simple. Mais là où j’ai été très surpris ici, c’est de me trouver en face de collaborateurs très compétents dans leur domaine, mais incapables de sortir de leur feuille de route. Je n’avais absolument pas anticipé le fait que ces gens-là ne sont visiblement pas préparés à faire, même ponctuellement, autre chose que ce pourquoi ils ont été embauchés. »
« En fait, il ne faut surtout pas s’entourer de gens qui ne sont pas prêts à vivre une expérience de start up, sinon, c’est l’échec. »

Et c’est ce qui a conduit les deux associés de Goom radio à faire un grand ménage parmi l’équipe recrutée à New York pour le lancement.
« D’excellents connaisseurs du type de musique qui est leur spécialité mais sans la volonté de jouer les pionniers, or, on se sent complètement l’âme de pionniers car, dans les medias et notamment en radio, ici des start up, il n’y en a pas eu depuis longtemps ! »
Visiblement, l’expérience américaine est riche en enseignements. Roberto Ciurleo et son associé s’accrochent, persévèrent, convaincus que «l’association entre la sensibilité française et les méthodes américaines fait toujours un carton ».
C’est bien parti, en tout cas et les bonnes vieilles radios traditionnelles ont du souci à se faire, ici comme en France. Ils ont tout compris les Goom radio’s boys.

Continuer à vivre et à apprendre

Mardi 19 Janvier. Yves Thézé le proviseur du lycée français de New York reçoit un coup de fil d’Haiti. Au téléphone, une élève de 3ème du lycée français de Port au Prince lui demande de lui venir en aide en l’acceptant dans son établissement. “Elle m’a supplié de la prendre se souvient Yves Thézé. « Elle voulait absolument continuer ses études. Je pensais qu’elle serait la seule mais très vite nous sommes arrivés à 35 demandes ». Les différents établissements de la région de New York se sont alors coordonnés pour se répartir les élèves. L’école Franco-Américaine, le Lyceum Kennedy, l’école internationale de New York ont également intégré des élèves.


Au lycée français, le dispositif d’accueil ne tarde à se mettre en place. Le Board accepte la gratuité de leur scolarité. L’association des parents d’élèves de son côté finance l’achat des livres et la cantine. Ils sont aujourd’hui 9 à avoir fait le voyage Haïti-Etats-Unis. Ralph vit chez sa tante à Brooklyn en compagnie d’une cousine et d’une très proche amie arrivées comme lui de Port au Prince il y a 2 semaines. Sa maison du quartier aisé de Pétionville est trop fissurée pour y habiter. Sa maman dort dans le jardin. Le Lycée français où il était inscrit a été transformé en hôpital de campagne. Très calme, ce garçon de 15 ans, toujours souriant, raconte qu’il ne veut plus prendre de nouvelles d’Haiti. « J’en ai trop entendu, j’ai peur d’entendre encore des malheurs ». Dimanche dernier, une réplique a de nouveau touché son pays. Il a aussitôt appelé pour savoir si sa famille restée là-bas allait bien. « Tout va bien » soupire-t-il « mais il faut que je pense à moi, à mes études, à mon avenir ». C’est ce qui l’a poussé à faire le trajet : Port au Prince-Santo Domingo en voiture puis l’avion pour rejoindre New York.


Ariel elle aussi souhaitait poursuivre ses études. Elle est en terminale. Comme Ralph et les 8 néos étudiants du lycée français, elle connait très bien New York pour y venir chaque été en vacances, rendre visite à sa famille. La région de New York compte près de 270 000 haïtiens (juste derrière le Sud de la Floride avec 313 000). « Je ne me sens pas perdue » dit-elle en mélangeant parfois l’anglais et le français, « je vis dans le Queens chez mon oncle. A l’école c’est pareil, le programme n’est pas très éloigné, je trouve même que c’est plus facile qu’en Haïti. Ici, on reçoit beaucoup d’aide et de soutien. A Port au Prince, il fallait que l’on se débrouille seul ».


Dans le couloir, en attendant de rencontrer Jean-Pierre Raffarin en visite à New York, le « club des 9 » discute et échange des nouvelles d’ Haïti. La conversation tourne assez vite autour des angoisses et des peurs. Progressivement, Ariel, Ralph et plusieurs autres élèves confient leurs difficultés à vivre normalement, même aux Etats-Unis, plus de 3 semaines après le séisme. Il y a le 6 ème étage du lycée qui effraye Emmanuelle. « Je cherche à chaque fois par quelle porte ou par quelle fenêtre je pourrais sauter si cela tremble. J’essaie de ne pas y penser mais je n’y arrive pas ». Il y a aussi Joséphine et son angoisse de la secousse. « J’étais dans un mall hier, le métro est passé en dessous, j’ai ressenti le sol trembler et j’ai eu peur » avoue-t-elle en se le reprochant. Loïc poursuit : Moi j’étais chez la psycholoque du lycée. C’est un lieu calme. Il ya un drapeau dans son bureau. Le vent s’y est engouffré. Il y a eu un grand bruit, j’étais complètement paniqué. J’essaie de ne pas y penser mais c’est là… Je ne peux m’en empêcher.”

Autour de Loic, ses amis essaient de plaisanter pour penser à autre chose. Dans quelques minutes ils seront en vacances. Lui continue, emporté par son envie de parler : « A la fin c’est une obsession. Le choc que l’on prend avec le tremblement de terre est inexpliquable. » Joséphine l’interrompt : « Et ça on l’aura en nous pour toute la vie, quoique l’on fasse ». Même à des milliers de kilomètres… A New York ou ailleurs.


Photo: Jean-Pierre Raffarin, conseiller de Nicolas Sarkozy pour la Francophonie, avec les élèves haïtiens accueillis au Lycée français.

Crise d’identité franco-belge

C’est à 21 ans qu’Andrée Vermeulen a enfin appris la vérité sur son identité. Malgré tout le brie et les escargots ingurgités pendant son enfance, elle a dû accepter qu’au lieu d’être franco-américaine, elle était à moitié belge. Un tel secret de famille peut paraître dérisoire. Mais cinq ans plus tard, c’est autour de ce déchirement culturel que la jeune actrice construit son one-woman show, « French Toast », au théâtre de l’Upright Citizens Brigade (UCB).
Le scénario est tiré de l’histoire personnelle d’Andrée, dont le père a quitté la Belgique à onze ans pour aller dans une école équestre française. Depuis, il a cessé de mentionner ses origines flamandes, et ce n’est que peu avant sa mort qu’Andrée a découvert la vérité, grâce à une histoire de visa.
Ces questions délicates sont abordées dans « French Toast », trente minutes de monologue entrecoupées de vidéos. « La Belgique, c’est comme le New Jersey de l’Europe…Personne ne veut être belge ! » crie Andrée, avant de se disputer avec le fantôme de son père. Gaufres contre baguettes, qui va l’emporter ? La jeune Vermeulen va-t-elle enfin comprendre que la Belgique est un pays formidable ?
L’histoire familiale est intéressante, mais le spectacle est plutôt inégal, avec un humour moins déjanté que la plupart des autres shows de l’UCB. Les Belges auront droit à quelques blagues sur Jean-Claude Van Damme, et les Français seront peut-être gênés de se voir encore associés au French cancan et aux bérets.
Un des moments les plus drôles est une vidéo dans laquelle l’acteur Thomas Middleditch mimique un fonctionnaire de l’ambassade de France, un moustachu renfrogné avec une cravate marron. Il annonce à Andrée, en recrachant son café sur elle (et en la traitant d’oie), que Vermeulen est un nom belge. Le Quai d’Orsay n’a pas à s’inquiéter, la scène est entièrement fictive. Mais ce petit employé pénible aide Andrée à renoncer enfin à la France.
De retour sur scène et après une lutte intérieure chaotique, ses derniers mots sont « Je suis Belge ! » French Morning a confirmé : la comédienne new-yorkaise adore Bruges, les moules frites et la bière. Chaque année, elle va même rendre visite à sa grand-mère à Oostende. Mais pour la double nationalité, elle a laissé tomber. Trop de paperasse.
Mercredi 10 février à 20 heures (dernière représentation)
« French Toast », suivi de « Highly Evolved Human », par Nick Ross
Le tout pour 5$
Upright Citizens Brigade Theater
307 W. 26th Street, New York NY
www.ucbtheater.com

Winter Jam Festival 2010

Pendant une journée, vous allez pouvoir profiter de la neige et vous imaginer sur les pistes, en plein coeur de New York. Ski, raquettes ou bonhommes de neiges, à vous de choisir. Des professeurs de ski, de hockey seront pour vous aider à vous perfectionner. Pour les plus passionnés, une projection du Red Bull Project X, un court métrage sur les entraînements de Shaun Withe. Parce que le ski ça creuse, un marché s’installera autour du festival.
Samedi 6 Février
11.00am- 4.00pm
Lieu: Central Park, the Bandshell Area (entrée 72nd Street)
Plus d’infos: http://www.nycgovparks.org

Operetta Burlesque au Slipper Room

L’OFNY revient avec une nouvelle revue musicale, Operetta Burlesque, ou l’histoire d’une soprano pensant passer des essais pour un spectacle burlesque alors qu’il s’agit en réalité d’une audition pour l’opéra.  Le Slipper Room accueille la mezzo-soprano Emily Johnson, la soprano Joanna Foote, le célèbre Monsieur Choade et Bunny Love pour quatre représentations exceptionnelles.

Le vendredi 12 et e samedi 13 février à 7:30pm, puis à 9pm (2 représentations chaque soir)

The Slipper Room, 167 Orchard Street

Prix: $10-$20

Réservations : 212-632-5565

www.ofny.org

Mattia Bonetti à la Paul Kasmin Gallery

Mattia Bonneti transforme un collier de perle en table,  un vase brisé en lampe ou encore une armoire en gigantesque cadeau. Depuis maintenant 30 ans Mattia Bonetti travaille comme designer et décorateur en créant des collections de meubles et d’objets en pièce unique ou en série limitée. Après avoir fait un logo et une chartre graphique pour Lacroix, un emballage pour Nina Ricci, une carafe et bouteille pour Ricard, ou en réinventant le tramway et l’Airbus pour la ville de Montpellier et en redécorant entièrement l’hôtel Cristal des Champs-Elysées, Mattia Bonetti expose aujourd’hui à New-York à la Paul Kassim Gallery.

D’origine suisse et résident à Paris cet artiste photographe a reçu tout au long de sa carrière de nombreuse récompenses:  le prix du designer de l’année, l’oscar de l’emballage pour le “teint Nina Ricci” et en 2005 la presse anglo-saxonne lui décerne le prix du meilleur design pour sa collection de meubles exposée à la Gallerie David Gill de Londres.

Du 11 Février au 13 Mars

De 10am à 6pm

Adresse: 293 10 Avenue New York, NY 10001

Plus d’Infos: http://www.paulkasmingallery.com/

Bocuse d'Or dans la vallée de l'Hudson

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L’ambiance promet d’être au rendez-vous de la compétition du Bocuse d’Or : 2000 places dans les gradins et la crème des chefs: Daniel Boulud, Thomas Keller, David Chang, Tom Colicchio, Eric Ripert, Alain Sailhac, Laurent Tourondel. Le vainqueur ira disputer la finale qui aura lieu les 25-26 Janvier 2011 à Lyon. La competition est gratuite et ouverte au public.
Programme :
* 8am-6pm : Compétition nationale au Student Recreation Center
* 9am–9:45am : Dégustation d’agneau Danny Kaye Theatre
* 12:45pm –1:30 pm : Dégustation de foie gras par Rougié Foie Gras au  Danny Kaye Theatre
* 2:30pm –3:15 pm : Table rond de chefs “Maintenir l’excellence” (David Chang, Timothy Hollingsworth, Daniel Humm, Gabriel Kreuther, Charlie Trotter, Michael Cimarusti) – Danny Kaye Theatre
* 7:30pm–10pm Dîner de gala au Farquharson Hall. Entrée $150
Directions du campus :
Le Culinary Institute of America est situé à Hyde Park, si la rive est de la rivière Hudson, à 3 miles au nord de Poughkeepsie, entre New York City et Albany sur la U.S. Route 9.
Culinary Institute of America
1946 Campus Drive (Route 9),
Hyde Park, NY 12538-1499.
Le CIA est à environ 1 heure et demi de New York en voiture et en train
En train : le Metro-North Commuter Railroad de Grand Central Terminal à New York jusqu’à Poughkeepsie, NY.
Taxis disponibles de la gare de Poughkeepsie au CIA

Shopping pré-Saint Valentin

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Se looker pour Valentin :
Le concept store Kisan propose des soldes exceptionnelles pour vous looker de la tête aux pieds!  Moins 70% sur les vêtements femmes: Vanessa Bruno, Joseph, Ella Luna, Hanii Y, Antipast. Moins 80%  sur Prairies de Paris, Sonia Rykiel, Orla Kiely. Les accessoires sont aussi en soldes : moins 50% sur Sophie Digard, Oyuna et sur les chaussettes et collants, moins 60% sur les sacs Jérôme Dreyfuss, Jamin Puech, Sonia Rykiel. Pour messieurs,  70% sur toutes les collections, 60% sur les accessoires Hartford et 50% sur la marque 66° North. Parce que Kisan n’oublie pas vos bambins, de 50 à 70% sur les vêtements, jouets, livres, DVD… 125 Greene Street. Jusqu’au 6 Février.
Du chic et du tendance à petits prix? Ne cherchez plus. La boutique Aloha Rag va vous combler. Entre Alexandre Wang, Elizabeth & James, Jil Sander tout est à moins 50 et 70%! 505 Greenwich St. Jusqu’au 15 Février.
La boutique Maryam Nassir Zadeh offre moins 60 et 70% sur ses vêtements Isabel Marant, Ohne Titel, Vena Cava et bien plus encore! 123 Norfolk St. Jusqu’au 5 Février.
Une multitude de tee-shirts, jupes, pantalons, robes… et de toutes les couleurs sont à moins 40 et moins 60% de réduction au Pleats Please Issey Miyake. Le tee-shirt passe de 165$ à 83$, vous trouverez une petite robe à 148$ au lieu de 295$, et enfin une veste, manteau pour le printemps à 530$ au lieu de 1060$. Et parce que l’hiver continue, tous les manteaux sont à moins 50%. 128 Wooster St. Jusqu’au 7 Janvier.
Parce que l’hiver new yorkais ne s ‘arrête jamais, courez dans cette boutique pour vous réchauffer! La collection hiver de Daryl K et Kerrigan affiche moins 60%  21 Bond St. Jusqu’au 22 Février.
Envie de bottes, de chaussures ou de sacs à mains? La vente Dusica Dusica brade ses prix et vous offre moins 50%. Jetez-vous sur les bottes Becta à 447,50$, les bottines Jill à 485$ et si cela ne vous convient pas d’autres bottes sont à 250$ et les chaussures à 150$. 67 Prince St. Jusqu’au 28 Février.
Vous ne vous découvrez pas d’un fil? Pulls, vestes, manteaux, tout est à moins 75% à Chocheng 51 E. 63rd St.Jusqu’au 28 Février.
La petite Princesse offre ses créations uniques de bijoux très originaux fait mains. Cette saison, les femmes s’arrachent des bijoux aux couleurs acidulées, plaqué or ou argent ; ou encore de grosses bagues et bracelets incrustés de pierres précieuses. Et seulement pour vous, si vous venez de la part de French Morning le magasin vous  10 % pour l’achat de 2 bijoux.
Se faire une beauté pour Valentin :
Exceptionnellement Beljanski offre entre $50 à $85 sur ses lots de 2 ou 3 soins. A cette occcasion le Deluxe Package comprenant un soin du visage et un massage est à $300 au lieu de $385… 150 East 55th Street, 6th Floor, beljanskiwellness.com, Jusqu’au 28 février.
Trouver un cadeau pour Valentin :
Parce que la Saint Valentin ne doit pas uniquement être un pretexte pour faire son shopping pour soi, la boutique vintage pour hommes Laurel Canyon Vintage est à moins 50%. Vous trouverez forçement un cadeau pour Jules entre les tee-shirts, bottes, chaussures, pantalons, accessoires… 63 Thompson St. Jusqu’au 1 Mars.
Shopper le V-Day (Valentine’s day) :

La marque Samatha Thavasa brade ses prix pour faire et vous faire plaisir à l’occasion de la Saint Valentin. Tout les accessoires seront affichés à moins 40%. Cette boutique girly est typiquement américaine, vous aurez le choix entre sacs en cuir ou fourrure,  pochettes, portefeuilles… Seulement en ligne: Ici . Jusqu’au 14 Février.
Si vous voulez vous couvrir de bijoux sans compter, la boutique Bittersweets vous offre moins 15% le jour de la Saint Valentin. Bagues, bracelets et colliers tout est là. Un bracelet en or et 14 carats est à 276$ au lieu de 325$, une bague en or et 14 carats passe de 125$ à 104$ et enfin thé Garnet Heart and Dagger est à 420$. Seulemement Online: Ici. Le 14 Février.
Parce que c’est la Saint Valentin et que tout n’est qu’ amour et passion… La boutique AC Gears vous offre moins 15% sur tout les articles rouges et roses! 69 E. 8th St. Le 14 Février.



Eric Clapton et Jeff Beck en concert au MSG

Classé par le magazine Rolling Stone 4ème meilleur guitariste de tous les temps, Eric Clapton est aussi chanteur, compositeur de blues et de rock. Jeff Beck fait lui aussi parti des guitaristes de génie. Il a remporté 4 Grammy  Awards et a été choisi pour faire l’ouverture en 2009 du Rock and Roll Hall of Fame.

Le 18 et 19 Février au Madison Square Garden
Tickets: http://www.ticketsnow.com

Tables rondes autour du cinéma français

Intitulée “French Cinema and American Audiences: Changing Tastes (1960-2010)”, la première table ronde examinera l’évolution des relations entre le cinéma français et la culture américaine. Les invités seront François Garçon, professeur agrégé à l’Université Paris I, Julien Rouch de l’Association des Producteurs de Cinéma et Phil Watts, spécialiste du cinéma et de la littérature française du 20ème siècle.
Le mardi 9 Février 9 de 2:00pm à 4:00pm à Columbia University, Buell Hall
Ouvert au public

La deuxième table ronde concerne cette fois l’écriture, la production et la promotion de films en France. Les invités de “Writing, Producing and Promoting Movies in France: Is there a New Agenda?”  seront Etienne Augé, docteur en histoire de l’EHESS, Kristian Feigelson, spécialiste du cinéma des pays d’Europe central, Stéphane Goudet, maître de conférences en cinéma à l’Université de Paris I, Denis Offroy, PDG de Cofiloisirs et Mehdi Sabbar, responsable financier de Soficinema.
Le mardi 9 février de 5:30pm à 7:30pm aux Services culturels de l’Ambassade française, 972 Fifth Avenue (entre la 78e et la 79e rue)
Plus d’infos et RSVP: [email protected]

Gay Marshall chante Piaf

Sa vie, Gay Marshall la compare à une chasse au trésor. Lorsqu’elle découvre Edith Piaf en lisant une de ses biographies, elle se sent inexplicablement investie d’une mission. « C’était plus fort que moi, je devais découvrir tout de Piaf et de ses chansons » confie-t-elle. Après avoir interprété Diana Morales dans la comédie musicale de Broadway A Chorus Line, elle décide de quitter son Ohio natal et de suivre le chemin de son idole. Elle s’envole donc pour Paris où elle découvre les rues de Pigalle et de Belleville, le monde de la poésie française, et le photographe Jean-Louis Blondeau (Man On Wire), en qui elle trouve ce que Piaf aura cherché toute sa vie : le grand Amour.
Cette expérience parisienne lui inspire un One Woman Show, If I were Me…, où elle raconte la difficulté de vivre en France quand on est « trop américaine ». « Au premier abord, les Français sont arrogants et ils ont mauvais caractère. En réalité, leur façon de penser est admirable: les Français ont tous envie d’exister, peu importe leur position sociale. Il m’a fallu être très patiente pour comprendre et apprécier cela. » Gay chante aussi dans la production française de Cats, aux Folies Bergère dans Les Z’années Zazous ou encore au Cirque d’Hiver dans Emilie Jolie.
Vingt ans plus tard, de retour à New York, Gay Marshall réalise un album en hommage à Piaf, La vie l’Amour, et un spectacle, Piaf : Queen Of Heart. De par sa formation de comédienne, elle envisage chaque chanson comme un film dont elle interprète le rôle principale. « J’étais sur le chemin de la comédie et Piaf m’a lancé dans une aventure à laquelle je ne m’attendais pas. Je ne voulais pas prendre de cours de chant, et elle m’a appris à chanter». Loin de l’imitation donc, on retrouve tout de même dans l’interprétation de Gay Marshall la voix gouailleuse et l’esprit sans entrave de Piaf. Elle sera au Metropolitan Room, entourée d’Eric Svejcar au piano, Steve Gilewski à la basse, Martha Colby au violoncelle, Deni Bonet au violon (qui a également accompagné Cyndi Lauper en tournée) et Bill Schimmel à l’accordéon. En suivant le chemin de Piaf, Gay Marshall a trouvé sa voix, Paris et l’homme de sa vie. « Je dois beaucoup à Piaf».
PIAF : Queen Of Heart au Metropolitan Room: 34 W. 22nd St
Les jeudis 18 et 25 février, 4, 11 et 18 mars à 7:30pm
Prix : $25 + 2 boissons
Réservation : Metropolitanroom.com ou 212 206 0440
http://www.gaymarshall.com/
Pour acheter l’album Gay Marshall sings Piaf: La vie l’Amour: http://www.cdbaby.com/cd/gaymarshall

Jay-Z en concert

Rappeur, producteur et homme d’affaires Jay-Z sort chaque année au moins un tube. Sacré meilleur chanteur de Hip Hop au MTV EMA en 2009, son dernier album Blueprint3 sorti le 8 septembre 2009 s’est classé dès la première semaine numero 1 des ventes aux Etats-Unis  et en Europe. Il sera à New-York pour un concert exceptionnel.
2 Mars au Madison Square Garden à 8.00pm
Tickets: http://www.ticketsnow.com