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"Il y a peut-être des puritains aux Etats-Unis mais aussi des libertins."

Les Françaises n’ont pas fini de faire jaser.  Après The Sexual Life of Catherine M., l’éditeur américain de Catherine Millet publie Jealousy, The Other Life of Catherine M (Jour de souffrance est sorti en France en Août 2008).”La Vie sexuelle de Catherine M.  a été un immense succès ici”, explique Lucinda Karter, directrice du French Publisher’s Agency à New York. “A un moment, tous les éditeurs de New York voulaient savoir si on avait une autre Catherine Millet. Ils nous disaient : Si vous avez quoique ce soit “comme ça”, envoyez-le nous.”
Dans Jealousy, Catherine Millet directrice de la rédaction de de la revue d’art contemporain Art Press raconte les trois années d’enfer  qu’elle a vécues en découvrant les maîtresses de son amant/mari Jacques Henric. Quand elle tente de le confronter, elle se heurte à un mur : «Pas une seule fois il n’a répondu si ce n’était à ma question, du moins à mon attente. Il me renvoyait à mes propres affaires, au fait que je n’avais jamais cessé d’aller dans des partouzes et que surtout, pendant de longues périodes, mon désir m’avait portée ailleurs et détournée de lui.”
Catherine Millet a rencontré Jacques Henric en 1972, quand elle avait 24 ans et ils se sont mariés  en 1991. Elle s’est livrée aux orgies relatées dans La Vie Sexuelle quand elle vivait avec lui, ce qui fait dire au journaliste du New York Times dans la critique parue dimanche : “Oh, those funny French!”.
Comment expliquez-vous votre succès aux Etats-Unis ?
Je me souviens qu’avant la sortie de La Vie Sexuelle aux Etats-Unis, beaucoup de gens m’avaient dit : “Les Américains sont puritains ou bien sont sous l’influence du féminisme” . On m’a tenu des propos alarmants. Ce sont des stéréotypes: certes il y a des féministes mais elles sont capables d’avoir des jugements nuancés. Il y a peut-être des puritains mais il y a aussi des libertins.
Pensez-vous que la figure de la Parisienne que vous incarnez a contribué au succès?

Il sont peut-être été attirés par la figure de la Parisienne mais ils ont lu le livre car, dans ma façon de raconter mes histoires personnelles, je rejoins des préocupations universelles.  Il y a d’autant plus de choses qui sont universelles dans la jalousie.
Qu’attendez-vous de ce nouveau livre?
J’attends la même curiosité. Comme on le sait, je m’intéresse à moi-même. Je lirai les critiques avec beaucoup de curiosité.

Quel est votre rapport à New York ?

Mes références dans l’art moderne sont new yorkaises. J’ai biberonné dans la critique américaine et essentiellement new yorkaise. C’est ce qui m’a nourrie. Quand on a commencé à travailler  [avec Art Press], ce sont aussi les écrivains  américains qui nous ont influencés. Donc quand on vient à New York, on a une impression de très grande familiarité : on est bien à New York ! Je le suis de plus en plus. Les premières fois où je suis venue à New York, j’étais très jeune, je parlais mal l’anglais. Tout cela m’intimidait beaucoup. Petit à petit, j’ai fait mon nid culturel. Et puis je trouve qu’il y a un mode de vie que j’aimerais bien voir importer en France. Je crois que les rapports professionnels sont très durs mais ils sont enrobés dans une urbanité. Cette pratique des Américains d’appeler très vite par le prénom facilite les rapports.
New York est-il toujours le centre de gravité de l’art contemporain ou le centre  s’est-il déplacé ?
Ca ne s’est pas déplacé pour aller ailleurs; ça s’est dispersé. On va aussi bien à Londres ou à Pekin. Ceci dit, il faut quand même remarquer que New York est la ville où viennent les artistes. Nous sommes en train de préparer un numéro d’Art Press sur la scène iranienne. Shirin Neshat a choisi New York. J’ai beaucoup d’amis artistes français qui sont installés ici. Tout ce qui se fait de nouveau dans la création n’est pas à New York mais New York attire toujours les artistes du monde entier.
Jealousy forme-t-il un diptyque avec La Vie sexuelle de Catherine M. ou bien prévoyez-vous de faire un triptyque?
J’espère qu’il y aura un troisième volet. J’aimerais bien remonter dans le temps et revenir sur l’enfance. J’ai un autre gros chantier avant de me mettre à la rédaction de ce troisième pan mais disons que dans ma tête, c’est décidé.

On a l’impression que l’écriture est thérapeutique pour vous. Etes-vous guérie de la jalousie ?

Je crois que cela est surtout vrai pour le deuxième livre, pas pour le premier. Je n’avais pas à me guérir de quoi que ce soit concernant la façon dont j’avais mené ma vie du point de vue de la sexualité. Quand j’ai entrepris le livre sur la jalousie, il fallait déjà être un peu guérie. Je ne suis pas comme mon amie Christine Angot qui écrit dans l’instant où les choses lui arrivent. Il faut que j’ai déjà pris du recul. Le livre a parachevé cette prise de distance. Surtout, c’est par le livre que j’ai beaucoup mieux compris les mécanismes. Je ne comprenais pas comment moi j’étais capable d’une chose pareille [être jalouse]!
Quel est cet autre gros chantier sur lequel vous travaillez?
C’est une histoire d’Art Press [qui paraîtra chez Gallimard]. Je suis dans le travail de relecture. C’est un gros chantier car il faut être assez précis.
Dernière question : quelle est la différence principale entre les Françaises et les Américaines selon vous?
Je n’aime pas trop les généralités. Je dirais que c’est dans la façon de se présenter devant les hommes qui fait la différence. Une femme américaine moderne ne dissimulera pas sa modernité dans son rapport avec les hommes. Une Française entretiendra une image plus traditionnelle. Le pouvoir qu’elles ont, les Françaises en jouent de manière plus perverse.
Jealousy : the other life of Catherine M.

Traduit par Helen Stevenson
Grove Press. $23

Des centaines d’enfants haïtiens attendus dans le système scolaire francophone de Floride

«L’ambassade de France à Washington nous a demandé de travailler en priorité sur le reclassement des élèves du Lycée Français de Port-au-Prince, quelle que soit leur nationalité » explique Norbert Duffort, attaché culturel en charge des questions liées à la scolarité. « Nous recevons également des demandes de parents français ou franco-haïtiens dont les enfants étaient dans d’autres écoles. Tout doit se gérer au cas par cas » ajoute-t-il.
En Floride du sud (Comtés de Miami Dade, Broward et Palm Beach,) le système scolaire public  propose le programme français agrée par l’Education Nationale. La scolarité y est gratuite, à condition d’être accepté dans les écoles qui imposent souvent des restrictions liées au niveau scolaire. Il y existe également quelques écoles françaises privées.
Outre le manque de places disponibles dans les écoles, un problème supplémentaire se posera avec les demandes de scolarisation en français des enfants ne possédant pas de double ou triple nationalité. Il semblerait que, pour l’instant, les demandes en la matière restent encore rares.
Un fait que confirme la directrice de l’Ecole Franco-américaine de Miami : « Les premiers Haïtiens que nous avons accueillis sont surtout des enfants de familles privilégiées, suivant précédemment leur scolarité au Lycée Français de Port-au-Prince. Apres un bref passage en Floride, un certain nombre d’entre eux a déjà quitté la Floride pour rejoindre Saint Domingue où le Lycée Français a proposé de les accueillir”. Mais beaucoup d’autres enfants vont continuer à arriver, “pour lesquels on n’aura pas de papiers officiels ni de références scolaires” précise Lena McLorin-Salvant, dont le mari est Haïtien.
Afin de faire face à l’afflux prévu, l’Alliance Française de Miami a proposé ses locaux «pour des enfants qui suivront une scolarité temporaire du type Cned (Centre national d’enseignement à distance) avec l’aide de tuteurs» annonce Jean-Francois Chenin, son directeur.
Si les lycées et le collège (Middle School) appartenant au programme à double cursus ont déjà accepté quelques-uns des nouveaux arrivants, une vingtaine d’entre eux  aurait été refusée dans une école primaire, «dans l’attente de consignes précises de la hiérarchie». Interroge sur le sujet, John Schuster, responsable de la communication pour les écoles du comte de Dade, affirme que “tous les enfants (refugiés) venant d’Haïti seront scolarisés en Floride,” notamment grâce aux nombreux programmes Esol (English for Speakers of Other Languages) en Créole. Des réponses qui ne règlent pas le problème des familles qui souhaitent que leurs enfants suivent une scolarité en français.

Une assurance santé pour les Français aux USA

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Bonjour Arnaud C., pouvez-vous nous parler de votre couverture santé, étant Français résident aux Etats-Unis ?
Quant je suis arrivé aux Etats-Unis il y a 4 ans je ne connaissais pas le système de santé américain. Ce dernier est bien différent de celui de la France puisque pour être couvert, il faut prendre une assurance privée. En arrivant il y a deux ans, j’avais souscrit une assurance pour ma famille (ma femme et mes 2 enfants) et pour être couvert à 100% je payais plus de 20.000$ par an. Ce qui me gênait au-delà du prix, c’était le manque de simplicité pour aller voir un médecin puisque ma précédente assurance possédait un réseau restreint de praticiens affiliés. Par ailleurs, un de mes enfants a dû subir une hospitalisation, et nous nous sommes rendus compte que nous avions une franchise de 4,000 USD qui n’était pas prise en charge par cette assurance.

Êtes-vous encore assurés par le biais de cet assureur privé ?

Non, un de mes amis m’avait parlé de sa couverture santé, souscrite auprès de Crystal Finance et il en était très content.
Qu’est-ce qui a fait que vous avez changé d’assurance ?
La couverture santé proposée par Crystal Finance dont l‘assureur est Vanbreda, est destinée spécifiquement aux non résidents Français et Européens à travers le monde entier. Au delà du prix très compétitif qui m’a permis de faire une économie de près de 30 % par rapport à ce que je payais précédemment, cette assurance santé est d’une grande souplesse. En effet, nous avons la possibilité de nous rendre chez n’importe quel médecin ou spécialiste (notre choix n’est pas limité) et si nous devons subir une hospitalisation nous pouvons appeler la hotline dont les opérateurs parlent en français et sont disponibles 7j/7 – 24h/24. Ce qui a été très utile pour ma femme qui ne parle que très peu l’anglais. Par ailleurs l’hospitalisation est couverte à 100 % sans franchise.
Comment êtes-vous remboursé de vos soins ?
Eh bien c’est très simple. J’avance les frais que je paye avec ma carte de crédit à débit différé et l’assureur Vanbreda me rembourse sous 10 jours maximum directement sur mon compte bancaire aux USA.
Êtes-vous assuré seulement aux USA ?
Avec mon ancienne assurance américaine, nous étions couverts uniquement aux USA. Avec Crystal et Vanbreda ma couverture est mondiale, ce qui est très pratique car je voyage beaucoup. D’autant plus que nous rentrons de temps en temps en France pour les vacances et je sais que nous sommes pris en charge à 100 %. De plus, Crystal m’a proposé un bilan patrimonial très complet afin de m’aider à gérer ma situation financière actuelle aux Etats-Unis et éventuellement préparer mon retour en France car j’avais une problématique retraite, du fait que je ne cotise plus en France.
A propos de Crystal Finance
Crystal Finance est une Société Française indépendante, qui depuis 1992 accompagne ses clients Français à travers le monde. Présente dans plus de 30 pays dans le monde, avec plus de 10,000 clients, Crystal Finance s’est spécialisé dans une approche globale dans la gestion de patrimoine des non-résidents. Crystal Finance est le distributeur exclusif de Vanbreda aux Etats-Unis.
Pour plus d’informations et toute demande de devis personnalisé vous pouvez contacter : http://www.groupe-crystal.com/prev_usa.html
New-York : Eric THOBY au 917-684-3599 – [email protected]
New-York : Jérôme KHASKI au 516-477-0373 – [email protected]
Avertissement: Cet article est une publicité financée par l’annonceur. Il ne saurait engager French Morning ni impliquer un quelconque soutien de la rédaction de French Morning aux produits ou services présentés.

L'Art Victorien du Photocollage

Dans une petite salle du Metroplitan Museum, entre les Rodin et les Picasso se tient l’exposition Playing with the Pictures: L’art Victorien du Photocollage. Pour la première fois un musée met en valeur le phénomène peu connu du Photocollage créé par l’aristocratie féminine victorienne des années 1860.  Entre fantaisie, fantastique, imagination, humour, plaisir et création, tout se mélange, se colle et se surexpose dans cet art, représentant des têtes humaines dans des paysages imaginaires, sur des cartes  à jouer, des timbres ou encore des objets, cette exposition aborde surtout des sujets variés comme l’évolution ou les conventions strictes de l’époque.
A l’origine conçus pour le plaisir privé, dans les salons de divertissement,  plutôt que la représentation publique, les albums affichés sur les murs du MET constituent une collection absurde, loufoque, surréaliste et drôle d’ auto-portrait de cette société, révélant alors les esprits les plus éduqués et les mains les plus expertes. Vous retrouverez dans ces collages un univers semblable à celui d’Alice au pays des merveilles faisant place à l’imagination, au rêve et au bouleversement,  avec des portraits chics et stricts collés sur des champignons ou des têtes humaine sur des corps d’animaux.
Avec 48 œuvres provenant de collections publiques et privées, Playing with the Pictures offre une fenêtre fascinante sur les possibilités créatives de la photographie du 19e siècle. L’exposition sera accompagnée d’une variété de programmes éducatifs,   d'”albums virtuels” sur les écrans d’ordinateurs qui permettent aux visiteurs de voir le contenu intégral des photocollages et aussi des rencontres.
Dimanche 7 Mars : Rencontre avec Elizabeth Siegel, conservatrice associé de la photographie à l’Institue d’Art de Chicago à 2.00pm et Ann Bermingham, professeur au département d’Art et d’Architecture de l’Université de Californie à 3.00pm
Samedi 17 et 24 Avril: Pour les adolescents (15-18ans): Discussion sur l’exposition et experimentation avec des collages, photographies, dessins…Infos 212 570 3961
Dimanche 14, 21, 28 Mars et 11 Avril: Pour les enfants (3-7ans): création artistique inspirée par l’exposition puis tour de l’exposition.
Jusqu’au 9 Mai 2010
Plus d’Infos: www.metmuseum.org
Adresse: 1000 Fifth Avenue at 82nd Street
De 9.30am à 5.30pm

Eco-Fashion Week

La New York University’s Gallatin School of Individualized Study recevra ” Eco Fashion Week”.
L’événement mettra en évidence les tendances de l’éco-mode dans le monde, à travers le travail des membres de Gallatin. Les participants pourront discuter de l’environnement et de la mode et de la signification des termes “éco” et “vert” dans le monde de la mode.
Une pièce d’identité avec une photo est obligatoire pour accéder à l’évènement.
Lundi 25 de 5:30 à8 p.m
Mardi 26  2 à 5 p.m
Mercredi 27 6:30 p.m
Gallatin School of Individualized Study, 1 Washington Place (at Broadway).
Téléphone 212.992.7762

Antoine Compagnon à la Maison Française

Antoine Compagnon sera à la Maison Française de l’université de Columbia pour une table ronde sur la littérature et la collaboration à l’occasion de la publication de son nouveau livre, Le cas Bernard Faÿ, du Collège de France à l’indignité nationale (Gallimard, 2009). Cet ouvrage porte sur l’itinéraire d’un ancien professeur à Columbia et au Collège de France, Bernard Faÿ, responsable de la répression contre les Francs-maçons sous le régime de Vichy.
Le jeudi 4 février, de 6:00 à 8:00pm
Columbia University, Maison Française, 180-8 New York 25, Queens
Pour plus d’informations sur cet événement, contacter [email protected]

Festival Marguerite Duras à New York

Marguerite Duras a révolutionné la forme du roman et les conventions cinématographiques au XXème siècle par sa modernité et sa diversité. À l’initiative de l’Ambassade de France, et en partenariat avec l’Anthology Film Archives, la Baryshnikov Arts Center et la FIAF, le festival ” In the Words of Duras” présentera l’œuvre de la romancière et cinéaste française.
Du 18 février au 18 mars, les services culturels de l’Ambassade de France présentent une exposition de photos prises par Hélène Bamberger, qui a photographié Marguerite Duras en Normandie entre 1980 et 1994, pendant les étés qu’elles passaient ensemble à Trouville. Ces photos donnent au public un rare aperçu de Duras intime.
Parmi les autres évènements marquants de ce festival, vous pourrez aussi assister les 26 et 27 février au Skyroom à une pièce d’Astrid Bas Diptych rassemblant deux oeuvres majeures de Duras, L’amant et La Musica Deuxième. Le Anthology Film Archives center propose de son côté une retrospéctive du travail de la cinéaste française et de son approche expérimentale du 12 au 18 mars.
Programme détaillé du festival:
www.fiaf.org

Princess of the sun à la FIAF

Réalisé par Philippe Leclerc, La Reine soleil raconte l’histoire d’Akhesa, 14 ans, fille de Nefertiti et du pharaon Akhenaton. Accompagnée du prince Thout, Akhesa doit traverser l’Egypte dans l’espoir de retrouver sa mère exilée.
Le samedi 6 février à 3:30 pm
Tinker Auditorium, 55 East 59th Street
Prix: $10, $7 pour les membres
Tickets: 212 307 4100 ou Ticketmaster.com

Paris Under Water

Après 13 ans de recherche dans les archives parisiennes Jeffrey H. Jackson revient sur l’ inondation de Paris en Janvier 1910. Après des semaines de pluies, la Seine avait débordé inondant les immeubles parisiens et provoquant la fuite de nombreux habitants. L’auteur et professeur d’histoire vous propose de découvrir plus en profondeur les dessous de cette catastrophe naturelle.
Mercredi 3 Février à 7.00pm
Adresse : 16 Washington Mews (corner of University Place) New York, NY 10003
Entrée Gratuit
Plus d’Infos: http://www.nyu.edu

Gilles Mendel au FIAF

Cet hiver, le FIAF réunira trois créateurs légendaires pour discuter notamment de la modernisation des marques de luxe et de la “pipolisation” des créateurs de mode. Le premier à être reçu au Florence Gould Hall est le créateur parisien Gilles Mendel, prince héritier et chef styliste de J. Mendel. Fondée en 1870 à Paris, la marque de luxe est surtout connue pour ses fourrures. En 2003, Gilles Mendel décide de déménager le siège de la marque à New York et lance avec un succès retentissant sa collection de prêt-à-porter.
Le FIAF recevra également Tommy Hilfiger et Marc Jacobs respectivement les 3 et 22 mars.
Jeudi 25 février à 7:00pm
Florence Gould Hall, 55 East 59th Street
Prix : $25, et $65 pour assister aux 3 conférences.
Billets : 212 307 4100, http://www.ticketmaster.com

Soirée L'AFTERWORKS

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La prochaine soirée organisée par L’Afterworks se déroulera au Gansevoort Hotel Rooftop. Les 100 premières femmes qui se présenteront à cette soirée auront la chance de participer à une tombola afin de gagner 2 entrées pour le CurveNY Lingerie Fashion Show, à l’occasion de la fermeture de la Fashion Week le lundi 22 Février.
Le mercredi 3 février à partir de 7:00pm
Gansevoort Hotel Rooftop, 18 9th Avenue
Plus d’infos sur www.lafterworks.com / NYC

Les Gascons envahissent New York

Ariane Daguin a fondé la société D’Artagnan il y a 25 ans dans le but d’introduire aux Etats-Unis les spécialités culinaires de sa Gascogne natale. Pour célébrer cet anniversaire, une délégation de grands cuisiniers, vignerons, sportifs et musiciens gascons sera à New York du 17 au 22 février. Pour participer à la fête, suivez le guide :
Mercredi 17 février, 3:45pm
ACCUEIL DES GASCONS

Pour souhaiter la bienvenue aux Gascons, rendez-vous à JFK où vous pourrez voir 200 bérets descendre du nouvel Airbus réquisitionné pour l’occasion. La fête commence dès la sortie de la douane.
Jeudi 18 février, Midi
BERETS, BAGUETTES ET ‘BLUES’

Le coup d’envoi de cette semaine de fête sera donné au High Line. Une réception et un lancer de bérets seront organisées sur fond de musique gasconne avec les Jazzmagnacs. Gratuit, ouvert au public. The High Line, dans le Meatpacking District, accès: www.highline.org
Jeudi 18 février, 6:30pm
DINER A LA JAMES BEARD HOUSE

La James Beard House recevra ensuite les chefs gascons pour un dîner coordonné par le chef du Cercle Rouge, Pierre Landet. Musique live tout au long de la soirée et intronisations dans la Confrérie des Mousquetaires de l’Armagnac, société fondée au 17ème siècle par D’Artagnan lui-même.
James Beard House Dinner, 167 West 12th Street
Réservations 212-627-2308 ou www.jamesbeard.org – Utilisez le mot-code: Estragon (Prix réduit : $200)
Dimanche 21 février, 1:00pm
MATCH DE RUGBY A CENTRAL PARK
Venez regarder ce match exceptionnel entre des stars du rugby gascons et une équipe newyorkaise composée des grands chefs de la ville et de footballers américains. Parmi les joueurs du côté gascons: Bonneval, Cadieu, Califano, Charvet, A. Costes, Debros, Jordana, Labit, D. Lacroix, N’Tamack, Portolan, Jean-Pierre Rives, Soulette, Tabaco, Tournaire & Verger.