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Junior Aho et Wilfried Pene, deux espoirs français vers la NFL ?

Glendale (AZ) accueille ce dimanche le Super Bowl LVII opposant les Philadelphia Eagles aux Kansas City Chiefs. Si les téléspectateurs du monde entier attendront avec impatience les spots publicitaires de la mi-temps et la prestation de la chanteuse Rihanna, d’autres comme Junior Aho et Wilfried Pene scruteront attentivement le terrain en se disant que ce sera sans doute bientôt leur tour.

Coéquipiers en Équipe de France Junior

Les deux Français partagent beaucoup de points communs. Ils ont tous les deux pratiqué des sports de combat dans leur enfance, avant de découvrir le football américain sur le tard, à respectivement 15 ans pour Junior Aho et 14 ans pour Wilfried Pene. « Un ami jouait au football US dans le club des Aigles Rouges de Nice. J’ai été séduit par l’esprit d’équipe et le jeu qui demande un mélange de physique, technique et beaucoup de tactique », explique Junior Aho, 23 ans. « J’ai débuté à Tours avec le club des Pionniers de Touraine. J’ai très vite progressé, au point où mes coaches m’ont conseillé d’intégrer le pôle France à Amiens en 2016, qui forme les meilleurs espoirs du pays », raconte Wilfried Pene, qui a eu 22 ans en décembre.

Junior Aho n’est resté que quelques semaines dans un pôle espoir privé à Montpellier, avant de rejoindre le club des Blue Stars de Marseille, où il a signé en 2017, à l’âge de 17 ans. Un tremplin vers l’Équipe de France Junior où il a rencontré Wilfried Pene, sélectionné lui aussi. « Wilfried, c’est mon gars sûr. On a été vice-champions d’Europe ensemble en 2017 », raconte celui qui culmine à 1,91m pour 120 kg. J’ai ensuite été surclassé en équipe de France senior avec qui nous avons gagné la Coupe d’Europe en 2018. »

JUCO, un tremplin vers l’université américaine

L’espoir d’une carrière dans le football américain passe évidemment par les États-Unis. Mais avant d’espérer intégrer une université, il faut déjà se mettre au niveau scolaire. « J’ai atterri en janvier 2019 à l’institut militaire du Nouveau Mexique à Roswell. Je ne parlais pas un mot d’anglais, ça a été très difficile au début, se souvient Junior Aho. J’ai redoublé d’efforts pour avoir mon diplôme en seulement trois semestres, ce qui m’a ouvert les portes de la Southern Methodist University de Dallas (SMU), qui évolue en Division 1 (le meilleur niveau national) ». Les JUCO, abréviation de Junior Colleges, sont des établissements moins chers et plus accessibles que les universités américaines traditionnelles. Elles permettent aux jeunes en manque de moyens ou en difficulté scolaire de se mettre à niveau pendant un ou deux ans, avant d’espérer rejoindre un établissement plus prestigieux.

Champion de France de Division 2 avec les Spartiates d’Amiens en 2018, Wilfried Pene a choisi de rejoindre les États-Unis dès le lycée. « Je cherchais à jouer à un niveau encore supérieur, alors j’ai rejoint Saint Thomas Moore dans le Connecticut, pour mes deux dernières années de lycée », explique le jeune tourangeau qui mesure 1,91m pour 132 kg. « J’ai eu la chance de pouvoir à la fois jouer au foot et me remettre à la lutte, car les deux saisons n’empiétaient pas l’une sur l’autre. J’ai fini parmi les meilleurs nationaux en catégorie poids lourd ». Les exploits physiques de Wilfried Pene vont finalement taper dans l’œil de la prestigieuse université de Virginia Tech (Division 1), qui lui offre une bourse d’études en 2020.

https://www.instagram.com/p/CoaK7-dAITz/

Junior Aho à l’International Pathway

Rejoindre une équipe de football universitaire n’est que le début du parcours du combattant, entre les blessures et la concurrence omniprésente dans les effectifs. « J’ai beaucoup joué dès ma première année, puis plus du tout, avant de changer de poste ma troisième saison », commente Junior Aho, qui vient d’obtenir son diplôme (senior year), et s’est installé comme un joueur titulaire sur la ligne défensive (defensive line), évoluant entre les postes de defensive tackle et defensive end« J’ai été assez performant pour être sélectionné parmi les 12 plus gros potentiels internationaux par la NFL. J’ai intégré l’International Player Pathway Program le 19 janvier, qui est un camp d’entraînement de dix semaines qui nous prépare à intégrer une équipe professionnelle ». 

Concrètement, quatre ou cinq joueurs seulement seront sélectionnés pour intégrer des équipes d’entraînement de NFL au bout du programme, où ils devront de nouveau prouver qu’ils peuvent intégrer l’équipe première. « Je suis confiant car je suis l’un des plus expérimentés du programme. Je commence à toucher mon rêve du doigt », estime Junior Aho.

https://www.instagram.com/p/CnXOQRuqGKf/

Wilfried Pene à la Draft en 2024 ? 

Wilfried Pene vient de terminer sa deuxième saison à Virginia Tech (Sophomore), où il avait été recruté en tant que joueur offensif (tight end), avant de remplacer plusieurs blessés sur la ligne défensive aux postes de defensive end et defensive tackle. « J’ai gagné ma place en défense aujourd’hui, et les entraîneurs me disent que j’ai des chances pour la draft l’année prochaine si je continue comme ça », explique le Français de 22 ans. « Mais je ne veux pas y aller pour y aller. Mon objectif est d’obtenir un bon choix de draft, quitte à attendre jusqu’à 2025 », ajoute-t-il.

Junior Aho se laisse également la chance d’être sélectionné à la draft dès cette année, qui aura lieu du 27 au 29 avril à Kansas City. Il devra marquer les esprits début mars aux Pro Days, des journées de tests physiques et techniques organisées par les franchises NFL. « Ça me laisse plusieurs opportunités et de vraies chances, car mes performances athlétiques sont au-dessus du lot », explique le Niçois. Rejoindre la plus grande ligue de sport au monde serait un exploit pour nos deux Français, puisqu’aucun tricolore ne joue actuellement en NFL, et que le dernier à y avoir goûté était Richard Tardits en 1992 avec les New-England Patriots.

Preligens, une pépite de la «French Tech» pour aider le Pentagone

La France, c’est le croissant, le vin, la mode… et le renseignement géospatial. C’est du moins ce que rappelle la success story de Preligens, une société française spécialisée dans l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pour traiter de grandes quantités de données à des fins militaires. Lancée en 2016, elle est en train de renforcer sa présence aux États-Unis avec le but de pérénniser ses liens avec le Pentagone.

« C’est très rigolo. Les Français sont plus surpris par notre existence que les Américains », observe Arnaud Guérin, son co-fondateur qui s’est installé à Washington avec sa famille, en décembre, pour développer les activités de l’entreprise de ce côté-ci de l’Atlantique. « Quand on a commencé à se développer aux États-Unis, tout le monde nous a dit que ce n’était pas possible pour des Français d’apporter quelque chose aux Américains. On se perçoit comme en retard. On nous a lancé : ça ne sert à rien, vous allez passer pour des tocards… »

L’IA sur les champs de bataille

Nommée Earthcube à sa création (et devenue Preligens à la suite d’une levée de fonds de 20 millions d’euros en 2020), la société est le bébé d’Arnaud Guérin et de son beau-frère Renaud Allioux, deux ingénieurs qui évoluaient jusqu’alors dans le domaine du nucléaire (Areva) pour le premier, de la défense et du spatial (Airbus) pour le second.

Après quinze ans au sein du géant énergétique français, Arnaud Guérin a eu envie de monter sa propre entreprise. « Je cherchais un truc très tech, avec des enjeux de souveraineté nationale ». Son futur associé attire son attention sur le boom du secteur des satellites et de l’observation de la terre. « À l’époque, en 2015, Space X commençait à faire parler de lui. Beaucoup d’autres boîtes peu connues en Europe se lançaient. Elles ont maintenant plus de satellites que les entreprises historiques, comme Airbus et Thales », poursuit-il.

Les deux hommes décident de se focaliser sur « l’aval », à savoir la masse de données grandissante générée par les nouvelles sources d’images et de données, en particulier dans le domaine militaire, « le plus gros marché ». Ils développent une solution utilisant l’IA pour analyser les données recueillies par des avions, drônes ou encore des satellites pour aider leurs clients à identifier des équipements ennemis (tanks, navires…) ou des infrastructures au sol, par exemple. La technologie de Preligens permet notamment de compter le nombre de blindés ou d’avions sur un espace donné, suivre leurs mouvements, repérer les « protections passives » (murets, barrières…).

Leader européen

Cartographier des zones, signaler toute activité anormale sur un site (port, camp…), classer des actifs militaires : la technologie aux usages variés permet à ses utilisateurs un gain de temps énorme, d’autant que le traitement de ces volumineuses données est souvent fait manuellement.

« Un directeur du renseignement aux États-Unis nous a dit qu’il aurait besoin de 3 à 5 millions d’analystes s’il voulait passer au crible toutes les informations qu’il recevait. Ce n’est juste pas possible, glisse Arnaud Guérin. Nous combinons la puissance de l’intelligence artificielle, qui automatise des tâches très simple, au savoir-faire des analystes, qui ont la possibilité de prendre du recul, comprendre le contexte et faire des déductions ».

Avant de se lancer à la conquête des États-Unis, Preligens voulait devenir un leader européen. C’est chose faite : elle travaille notamment avec le ministère des armées français, l’OTAN et le gouvernement japonais. En octobre dernier, elle a décroché un contrat de 240 millions d’euros sur sept ans auprès de la Direction générale de l’armement (DGA) pour l’utilisation de sa technologie. Trois ans plus tôt, la DGA lui faisait déjà confiance pour développer des solutions d’intelligence artificielle pour la détection de cibles par les avions de chasse.

Renforcer la filiale américaine

Les premiers contacts avec le Department of Defense (DoD) américain remontent à 2019 dans le cadre d’une initiative du ministère et de l’Ambassade de France aux États-Unis autour des entreprises industrielles innovantes. La compagnie de 250 employés s’est vue confier un premier projet – « un suivi d’activité sur des infrastructures civiles » – qu’elle mène toujours aujourd’hui.

Preligens entend à présent devenir un fournisseur de long-terme du Pentagone, un objectif qui nécessite de renforcer sa filiale américaine. C’est la mission actuelle d’Arnaud Guérin. Pour le moment, la compagnie ne compte que trois employés aux États-Unis, mais elle aimerait en avoir, à terme, autant qu’en France, soit 250. « Nous allons commencer par un premier socle de dix-vingt salariés américains, explique le fondateur. Pour devenir un acteur majeur ici et développer des produits, il faut qu’on arrive à créer une structure locale avec une vraie ingénierie ». Avec un défi supplémentaire : pour des raisons de secret défense, seuls des citoyens américains peuvent être recrutés.

Mais la guerre en Ukraine a ouvert de nouvelles opportunités pour des pépites internationales, comme Preligens. « Avant l’invasion russe, les Américains auraient peut-être attendu 12-18 mois qu’une tech sorte de leur R&D (recherche et développement). Aujourd’hui, on ne peut pas attendre. Proposer un outil déjà utilisé dans des zones de combat, comme le nôtre, nous donne un avantage, conclut Arnaud Guérin. On pense que les Français n’exportent que du vin et des sacs Vuitton, mais ce n’est pas le cas. »

Bourses scolaires 2023-2024: Derniers jours pour déposer les dossiers à SF

Les parents dont les enfants sont scolarisés dans un établissement relevant de l’AEFE peuvent encore faire une demande de bourse scolaire pour la rentrée 2023-2024. Le consulat général de France à San Francisco accepte les dossiers jusqu’au vendredi 17 février inclus.

Pour rappel, peuvent bénéficier d’une bourse, au sein de la circonscription consulaire de San Francisco, les enfants qui remplissent les critères suivants :

  • être de nationalité française
  • résider avec leur famille (père et/ou mère, tuteur légal)
  • être inscrits au registre des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourse (père, mère, tuteur)
  • pour ceux inscrits dans une école maternelle, être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
  • fréquenter un établissement homologué par le ministère de l’Éducation nationale ou, à titre dérogatoire, en cas d’absence, d’éloignement ou de capacité d’accueil insuffisante d’un établissement homologué, un établissement dispensant au moins 50% d’enseignement en français
  • fréquenter les cours régulièrement
  • au-delà de l’âge de scolarisation obligatoire (16 ans), ne pas avoir un retard scolaire de plus de 2 ans (excepté ce cas, l’attribution d’une bourse n’est pas subordonnée aux résultats scolaires).

Le dépôt du dossier s’effectue au consulat après avoir pris rendez-vous ici. Comme l’indique le consulat, seules les demandes des familles déjà installées dans la circonscription sont prises en considération pour cette première phase de la campagne. Le conseil consulaire des bourses se réunit une première fois au printemps. Il émet un avis et fait des propositions soumises à l’avis de la Commission nationale des Bourses qui se réunit à Paris en juin. Les familles sont ensuite avisées individuellement par courrier de la décision prise par cette commission.

Au sein de la circonscription de San Francisco, 10 établissement sont homologués, pour tous les niveaux ou pour certains : À SF et dans la Baie, le Lycée Français de San Francisco (de la maternelle à la terminale), le Lycée International Franco-Américain (de la maternelle à la terminale); l’Ecole Bilingue de Berkeley (de la maternelle à la 4e); la Silicon Valley International School à Menlo Park & Palo Alto (de la maternelle à la 4e); l’École franco-américaine de Sunnyvale et de la Silicon Valley (FASSV, de la maternelle à la 6e). À Seattle, l’École franco-Américaine du Puget Sound (FASPS, de la maternelle à la 4e) et l’École d’immersion française de Washington (FISW, de la maternelle au CM2). Dans l’Oregon, l’École Franco-Américaine de Portland (de la maternelle à la 4e), L’Etoile, French Immersion School de Portland (de la maternelle au CM2) et l’International Leadership Academy (ILA, de la maternelle au CM2).

Le cinéma francophone s’invite aux 40 ans du Miami Film Festival

Les cinéphiles trépignent d’impatience. Grand-messe du septième art dans le Sud de la Floride, le Miami Film Festival se tiendra du vendredi 4 au dimanche 13 mars, pour une édition anniversaire, dans trois salles obscures de l’aire métropolitaine de Miami : Silverspot Cinema, Cosford Cinema et Coral Gables Art Cinema. 10 jours de festivités durant lesquels seront projetés plus de 140 longs-métrages, documentaires et courts-métrages, en provenance d’une trentaine de pays, dont de nombreuses productions francophones.

Le célèbre chorégraphe français Benjamin Millepied foulera le tapis rouge du festival pour venir présenter son premier long-métrage intitulé « Carmen » (jeudi 9 mars à 7:15pm), une adaptation actualisée de l’ultime chef-d’œuvre du compositeur Georges Bizet, l’un des opéras les plus populaires et les plus joués au monde.

L’humoriste Dany Boon donne de nouveau la réplique à la chanteuse, comédienne et meneuse de revue nordiste Line Renaud, sous la direction de Christian Carion, dans « Une belle course » (samedi 11 mars à 12:45pm), une comédie dramatique drôle et touchante sur le temps qui passe inexorablement.

Saluée par le prix spécial de la soixante-quinzième édition du Festival de Cannes, le nouveau film des frères Jean-Pierre et Luc Dardenne, « Tori et Lokita » (vendredi 3 mars à 7:15pm et jeudi 9 mars à 9pm), est un thriller social qui suit les pas de deux adolescents exilés clandestinement en Belgique, joués par Pablo Schils et Joely Mbundu, tous deux totalement novices.

Les Cyclades © Miami Film Festival

Les amoureux du septième art français pourront aussi découvrir le long-métrage « À plein temps », signé par le réalisateur franco-québécois Éric Gravel, avec notamment la pétillante Laure Calamy. L’étoile montante du cinéma français est par ailleurs à l’affiche du film « Les Cyclades » (samedi 4 et samedi 11 mars à 12:15pm), aux côtés de Kristin Scott Thomas, une comédie réalisée par Marc Fitoussi.

Dans cette programmation s’ajoute « La gravité » (dimanche 5 mars 12:30pm), le premier long-métrage en solo du scénariste et acteur franco-burkinabé Cédric Ido, un film de science-fiction relatant l’impact d’un mystérieux alignement de planètes qui embrasent le ciel et inquiètent les habitants d’une ville.

En lice pour le César de la meilleure actrice, la comédienne belgo-française Virginie Efira incarne une rescapée des attentats du 13 novembre 2015 en quête de réponses et de reconstruction, auprès de Benoît Magimel, dans « Revoir Paris » (samedi 4 mars 2:45pm), de la scénariste parisienne Alice Winocour. 

Petite fleur © Miami Film Festival

Melvil Poupaud, de son côté, excelle dans la comédie « Petite Fleur » (dimanche 5 mars à 5:30pm), le quatrième film du réalisateur argentin Santiago Mitre, une comédie grinçante adaptée du roman éponyme de l’auteur buenos-airien Iosi Havilio, le tout dans la langue de Molière.

L’industrie cinématographique québécoise brillera notamment grâce à « Falcon Lake » (mercredi 8 mars 6:45pm), le premier long-métrage de la cinéaste Charlotte Le Bon, pour lequel elle a adapté la bande dessinée « Une sœur » de l’auteur parisien Bastien Vivès.

Le Miami Film Festival présentera également « Chevalier » (mercredi 8 mars à 7pm) du cinéaste américain Stephen Williams, qui retrace l’histoire de l’une des personnalités les plus brillantes du XVIIIe siècle : le violoniste et escrimeur guadeloupéen Joseph Bologne de Saint-George, surnommé « le Mozart noir »,  qui maniait aussi bien l’archet que le fleuret. Le réalisateur sera présent après la projection afin d’échanger avec la salle.

Le LADD Miami Circus Arts Center fait son cirque à Coral Gables

Adepte du cirque contemporain, le LADD Miami Circus Arts Center organise une nouvelle édition de sa « Soirée des Arts ». Implantée au cœur de la métropole floridienne, cette école des arts du cirque fait son show le jeudi 9 février à 6:30pm au bien nommé Sanctuary of The Arts à Coral Gables.

Concoctée par l’acrobate français Nicolas Allard, le directeur des opérations du LADD Miami Circus Arts Center, cette création est un savant mélange de numéros préparés par les élèves de l’école et d’acrobaties réalisées par la troupe professionnelle. Cette dernière est composée d’artistes circassiens internationaux, la plupart d’entre eux ayant intégré, par le passé, des formations de renom à l’image du Cirque du Soleil.

Une nouvelle représentation qui promet de nombreuses acrobaties aériennes, de la contorsion et de la jonglerie, mais aussi de la danse ou encore du chant. Chaque numéro sera par ailleurs accompagné d’une musique de film, à l’image de « Pirates des Caraïbes » et d’« Avatar ».

Cristiana Reali incarne Simone Veil au TLF

De Simone Veil, on connaît tous son combat pour la légalisation de l’IVG, en 1974. Décédée en 2017, elle est enterrée au Panthéon avec son époux l’année suivante, car Simone Veil est plus qu’une loi. Toute au long de sa vie, elle a mené de nombreux combats pour améliorer la condition des femmes et des laissés pour compte.

Inspirée de l’autobiographie de Simone Veil, intitulée Une vie, la pièce « Les combats d’une effrontée » retrace les étapes marquantes de la vie de l’ancienne ministre : la déportation pendant laquelle elle perd sa mère, son père et son frère; son désir de reprendre des études pour devenir magistrate alors qu’elle est déjà mère de trois enfants; ses postes successifs de ministre, son élection à la présidence du Parlement européen, une première pour une femme, puis son entrée à l’Académie française en 2008.

Cristiana Reali incarnera Simone Veil sur scène le samedi 18 mars au théâtre Erik Moreau du Lycée Français, dans une mise en scène de Pauline Susini. Ce rôle a d’ailleurs valu à l’actrice franco-brésilienne une nomination aux Molières l’an dernier.

Appel aux dons pour les victimes du tremblement de terre en Turquie et Syrie

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Le tremblement de terre de magnitude 7,8 qui a frappé, le 6 février dernier, la Turquie et la Syrie, se révèle comme l’un des plus meurtriers de l’histoire de ces deux pays, avec plus de 35 000 morts et des milliers de blessés déplorés dans les deux pays. 1200 enfants se retrouvent sans famille, leurs parents décédés ou portés disparus. Et le bilan ne cesse de s’alourdir.

Deux organisations, impliquées depuis plusieurs années dans cette région du monde, lancent un appel aux dons pour apporter une aide d’urgence aux populations sinistrées.

La Fondation de France s’emploie à mettre en place rapidement des actions de première nécessité pour venir en aide aux victimes grâce à des partenaires locaux. Sa mission est de soutenir directement les associations locales turques et syriennes impliquées auprès des populations touchées par le séisme, « sans discrimination, et ayant déjà fait leurs preuves », précise l’organisation caritative. Un appel relayé aux États-Unis par l’organisation Friends of Fondation de France. Les donateurs peuvent envoyer leurs dons ici.

Médecins du Monde/Doctors of the World est également sur place, avec des équipes qui ont pu intervenir dès les premières heures pour venir en aide aux victimes (distribution de nourriture, eau potable, kits médicaux, tentes..). L’organisation a d’ailleurs perdu plusieurs de ses membres dans le séisme et certaines de ses cliniques, à Hatay, Antakya, Afrin et Idlib, sont totalement détruites, indique Médecins du Monde. Vous pouvez faire un don ici.

Bourses scolaires 2023-2024: dernier jours pour envoyer les dossiers en Floride

Les parents dont les enfants sont scolarisés dans un établissement relevant de l’AEFE peuvent encore faire une demande de bourse scolaire pour la rentrée 2023-2024. Mais attention, plus que deux jours pour envoyer le dossier. Le consulat général de France à Miami a en effet avancé d’un mois sa première campagne cette année et n’acceptera les dossiers que jusqu’à vendredi, le 10 février.

Pour rappel, peuvent bénéficier d’une bourse, au sein de la circonscription consulaire de Miami, les enfants qui remplissent les critères suivants :

  • être de nationalité française 
  • résider avec leur famille (père et/ou mère, tuteur légal) 
  • être inscrits au registre des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourse (père, mère, tuteur) 
  • pour ceux inscrits dans une école maternelle, être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
  • fréquenter un établissement homologué par le ministère de l’Éducation nationale ou, à titre dérogatoire, en cas d’absence, d’éloignement ou de capacité d’accueil insuffisante d’un établissement homologué, un établissement dispensant au moins 50% d’enseignement en français
  • fréquenter les cours régulièrement
  • au-delà de l’âge de scolarisation obligatoire (16 ans), ne pas avoir un retard scolaire de plus de 2 ans (excepté ce cas, l’attribution d’une bourse n’est pas subordonnée aux résultats scolaires).

Le dépôt du dossier se fait désormais par courriel, en écrivant à [email protected]. Comme l’indique le consulat à Miami, « la capacité de la boîte mail étant limitée », il faut joindre les différents justificatifs en plusieurs envois. Au sein de la circonscription, 5 établissements sont entièrement homologués : la French American School of Tampa Bay, la French American International School of Boca Raton, le Lycée franco-américain International School (à Cooper City), l’International Studies Charter School, l’École franco-américaine de Miami.

Miami : Michael Wiesenfeld décrypte le marché immobilier post-pandémie

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[Article partenaire] Si Miami a longtemps souffert de préjugés et d’une réputation de ville caricaturale, bruyante, voire parfois vulgaire, réduite aux clichés des Spring Breakers et compagnie, la tendance semble s’être définitivement inversée depuis la crise du COVID.

En effet, selon Michael Wiesenfeld, agent immobilier francophone basé à Miami, la pandémie a permis de mettre la ville en lumière et de dépoussiérer les mentalités à son égard. Selon le broker, Miami se hisse désormais parmi les grandes villes américaines et mérite plus que jamais sa place lors de réflexions quant à un investissement immobilier aux États-Unis, qu’il s’agisse d’immobilier locatif ou d’achat de résidence principale.

Miami, grande gagnante de la pandémie de COVID

Lors d’un webinaire avec French Morning en janvier 2022, Michael Wiesenfeld affirmait que Miami était jusqu’alors la « grande gagnante » du COVID. Cela s’est confirmé depuis. La pandémie a permis de révéler aux yeux de beaucoup tout le travail effectué par la ville depuis le début des années 2010.

Les gens venaient au départ à Miami pour fuir les restrictions (la Floride avait l’une des politiques de restrictions sanitaires les plus souples du pays), et se sont vite rendu compte du potentiel de Miami : grande scène tech de plus en plus importante (y compris « French Tech »), multitude d’entrepreneurs en tout genre, explosion de la scène blockchain et cryptomonnaies, restaurants gastronomiques, musées et mise en avant de l’art et de la culture en général…

« La ville est passée à un niveau supérieur, déclare Michael Wiesenfeld, et s’est établie aux yeux des Américains ». Miami, c’est donc bien la plage et le soleil, mais pas que.

Un retour à un marché immobilier plus calme

La conséquence de cette fuite des grandes villes américaines vers la baie de Miami a été, naturellement, une accélération fulgurante du marché immobilier. Le sentiment d’urgence et l’inventaire disponible, somme toute assez faible, ont provoqué une forte hausse des prix, que ce soit à l’achat ou à la location.

Aujourd’hui, la situation sanitaire s’étant considérablement calmée, le marché immobilier tend à se stabiliser. Les prix se maintiennent, car il y a toujours une demande significative et un manque d’inventaire relativement important. Mais la hausse est beaucoup moins importante. « Les gens ne sont plus dans la peur, et donc plus dans l’urgence de trouver un bien à l’achat ou location quel qu’en soit le prix. Aujourd’hui, les gens viennent parce qu’ils sont intéressés par la nouvelle version de Miami, qui se rapproche plus de ce qu’ils aiment, avec une énergie proche des grandes villes. Ils sont plus rationnels dans leur approche et il y a par conséquent moins de folies », conclut l’agent immobilier.

Quel genre de biens sont disponibles à Miami en ce moment et à quel prix ?

La première chose à savoir est que Miami est devenue un marché de vendeurs, qu’il s’agisse des maisons, ou plus récemment des condos. L’évolution de Miami s’est ensuivie d’une augmentation de la demande en matière d’immobilier et l’inventaire reste faible. « Le marché des condos a bien décollé au deuxième et troisième trimestre de 2022 », explique Michael Wiesenfeld.

On pourrait penser, au vu de l’engouement et des efforts fournis par la ville depuis plusieurs années, que la tendance soit à la construction pour augmenter l’inventaire immobilier. Cependant, « on construit beaucoup, mais soit dans l’ultra luxe, soit dans les habitations pour la ‘classe moyenne’. L’essentiel des nouvelles constructions ne constitueront donc pas un inventaire de substitution/complément qui viendrait diluer ce qui existe déjà », déclare Michael Wiesenfeld. Pas question de compter sur de nouveaux produits donc. Il faudra s’armer de patience et saisir les opportunités qui s’offrent à vous parmi les biens existants.

Un produit semble néanmoins tirer son épingle du jeu : les townhouses. « C’est un produit qui a été délaissé pendant longtemps, commente le broker. Pourtant, il s’agit d’un produit hybride, qui peut avoir trois, quatre ou cinq pièces, offre du volume car sur deux étages et est architecturalement sympathique ». Les prix des townhouses sont plus intéressants que ceux des maisons et condos, avec une échelle de prix entre $3,500 et $8,000 du mètre carré dans de bons quartiers.

Miami et investissement locatif : une ville toujours attractive ?

Pour l’agent immobilier, pas d’hésitation : oui, Miami est toujours attractive pour de l’investissement locatif. « Même si les prix d’achat ont augmenté, les loyers ont suivi. L’augmentation des loyers a même eu un rythme plus soutenu que les prix de vente sur l’ensemble du parc immobilier ». En effet, les loyers ont augmenté de plus de 60% entre 2021 et 2022. Le ticket d’entrée est donc certes plus cher, mais la rentabilité est également plus élevée car beaucoup de demandes et peu d’inventaire.

Autrement, le broker conseille des villes périphériques à Miami, comme Delray Beach, Boca Raton, Plantation ou encore Davie : « le ticket d’entrée y est relativement moins cher, on en a donc un peu plus pour son argent ».

Vigilance lors de l’achat pour de l’Airbnb à Miami

Attention : Miami a une politique très stricte vis-à-vis des locations Airbnb. À Miami Beach par exemple, louer en Airbnb est quasiment impossible, sauf sur de rares buildings, qui se comptent sur les doigts de la main et sont, pour la plupart, très chers. Dans le reste de la ville, c’est un peu plus souple. Les locations Airbnb de plus d’un mois sont possibles, sous réserve d’avoir une licence.

L’investissement Airbnb est donc envisageable, mais il est primordial de faire attention à toutes les règlementations du bien et du quartier lors de l’achat.

Les quartiers où investir à Miami

Pour investir, que l’on y vive ou pas, Michael Wiesenfeld recommande l’ouest de Coral Gables. Schenley Park par exemple est un quartier très résidentiel et en pleine transformation, à deux minutes du cœur de Coral Gables. « Schenley Park a beaucoup de potentiel et se situe au cœur de tout. Les prix ont augmenté mais restent tout de même plus bas que dans les autres quartiers résidentiels similaires et agréables à vivre comme Coconut Grove ou Coral Gables ». Autrement, juste au nord de Miami, Davie et Plantation sont de bons endroits pour investir. « On y trouve de très bonnes écoles, des propriétés plus grandes pour moins cher. Il y a tout ce que l’Amérique et le sud de la Floride ont à offrir ».

En matière d’écoles, les quartiers de Coral Gables, Coconut Grove et South Miami permettent un accès à d’excellents établissements scolaires, publics et privés. Les écoles publiques avec des programmes francophones font partie des meilleures écoles des États-Unis. Pareil au niveau des universités, qui sont en train de monter et de se hisser parmi les plus prestigieuses du pays.

Perspectives d’évolution : que deviendra Miami à moyen et long terme ?

Pour Michael Wiesenfeld, Miami s’apprête à vivre une nouvelle phase de transition, du fait de l’augmentation du coût de la vie. Une partie de la population va être très aisée. « Avant, on venait en Floride parce que c’était plus abordable que New York ou d’autres grandes villes américaines, et que ça offrait une belle qualité de vie. Maintenant, on est sur les mêmes niveaux de prix que New York en termes de coût de la vie », explique le broker. On peut ainsi imaginer un chamboulement à venir, avec une moyenne de revenu par habitant significativement plus élevée, avec tout ce que cela engage au niveau de l’évolution des infrastructures et de la culture de la ville

Pour conclure, Michael Wiesenfeld déclare « Miami a passé le stade de la grande ville, c’est donc maintenant les dernières bonnes années pour investir. Les prix sont certes plus élevés qu’il y a quelques années, mais ils vont continuer d’augmenter ».

Pour investir à Miami, contactez Michael Wiesenfeld

Michael Wiesenfeld et sa femme Zelda forment le Freud Group, au sein du Corcoran Group à Miami, l’une des agences immobilières les plus prestigieuses des États-Unis.

Le Freud Group offre un large éventail de services, de l’achat à la vente, en passant par la location et la gestion de bien pour leurs clients basés à l’étranger. Michael et Zelda vous accompagnent dans les différentes étapes de l’investissement immobilier : fiscales, juridiques, vie du bien. Par ailleurs, le Freud Group met un point d’honneur à créer une relation privilégiée et de confiance avec ses clients et offre un accompagnement qui va au-delà de l’immobilier.

Pour votre investissement immobilier à Miami, n’hésitez pas à contacter Zelda et Michael au +1 646-785-5388 ou par email à [email protected].

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

[Vidéo] Considérations fiscales américaines pour les expatriés -ou futurs expatriés- aux États-Unis

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Ce webinaire gratuit d’une heure a pour but d’aider toute personne expatriée aux États-Unis, ou projetant de s’y expatrier, à comprendre le système de taxes américain, en répondant aux questions suivantes :

– Quels sont les points de réflexion essentiels (impôts sur les revenus, donations, successions) ?

– Sélection d’un visa, quelles sont les implications fiscales ?

– Quel régime d’imposition s’applique pour les non-résidents, non-domiciliés (« NRND ») américains qui investissent ou font affaires aux États-Unis ?

– Comment structurer vos investissements/vos affaires aux États-Unis en tant que NRND américains ?

– Quelles sont les conséquences fiscales au décès du NRND américain ?

– Qui est un contribuable américain ?

– Quel régime d’imposition s’applique aux contribuables américains (impôts sur les revenus, donations, succession) ?

– Quelles sont les responsabilités fiscales du contribuable américain ?

– Quelles sont les erreurs déclaratives les plus fréquentes commises par nos clients devenus contribuables américains ?

– Contribuables délinquants, quelles sont les pénalités encourues, et comment régulariser sa situation fiscale ?

– Quelles sont les conséquences fiscales américaines liées à un retour dans son pays d’origine (l’abandon du statut de carte verte ou de la citoyenneté américaine) ?

Visionnez le replay sur notre chaine YouTube

Contactez les intervenants
Me Michael Vandormael – Carlton Fields, P.A
? [email protected]
? 305 – 539 – 7270

Jean-Philippe Saurat, expert-comptable et diplômé de CPA américain – Massat Consulting Group
? [email protected]

Dallas International School, l’école multilingue et multiculturelle de Dallas-Fort Worth

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[Article partenaire] Dallas International School (DIS) est la seule école internationale de l’agglomération de Dallas-Fort Worth.

Fondée en 1991, l’école suit le programme scolaire national français et les directives sur les connaissances et compétences essentielles du Texas en primaire et au collège. Au lycée, les élèves choisissent l’un des deux programmes de baccalauréat – le baccalauréat français ou le baccalauréat international – pour leurs deux dernières années. Ces deux programmes sont des cours pré-universitaires rigoureux, dispensés dans le monde entier, qui répondent aux besoins des lycéens très motivés.

Apprendre dans un environnement international dès la maternelle

De la maternelle à la terminale, les élèves de DIS sont initiés à une perspective globale, grâce notamment à des programmes académiques multilingues et multiculturels uniques. Les élèves grandissent dans un environnement international et se mettent au défi, explorent leur créativité et augmentent leur confiance et leurs compétences métacognitives en apprenant dans deux langues ou plus.

C’est un fait : le monde est interconnecté comme jamais auparavant. C’est pourquoi il est primordial de faire en sorte que nos jeunes soient capables de naviguer dans cette réalité. À DIS, les étudiants sont habitués à côtoyer des personnes du monde entier dès leur plus jeune âge. Ils sont habitués à travailler avec des personnes différentes d’eux, à parler d’autres langues, à embrasser des cultures différentes.

Les enseignants de DIS sont eux-mêmes de nationalités différentes et viennent d’autres continents et cultures. Les élèves absorbent donc l’esprit du monde très tôt et cela devient un mode de pensée naturel pour eux. Ils deviennent des penseurs matures et ouverts d’esprit, capables de se débrouiller dans de nombreux contextes différents et stimulants. 

La maîtrise de plusieurs langues : un atout majeur pour leur avenir

La maîtrise du français, de l’anglais et d’une ou plusieurs autres langues vivantes est un facteur crucial pour la réussite des futurs citoyens du monde. Apprendre une autre langue, ce n’est pas seulement ouvrir les portes essentielles de la communication, c’est aussi découvrir une autre façon de voir le monde, d’aborder les problèmes et de trouver des solutions à ces problèmes.

Les élèves multilingues savent qu’il existe plus d’une manière de résoudre les problèmes et d’appréhender le monde. Ils sont ouverts aux autres, ce qui signifie qu’ils ont une empathie et une compréhension accrues. Ils peuvent synthétiser ce qu’ils apprennent dans leurs cours dans les différentes langues, en abordant le contenu académique sous différents angles. C’est un avantage indéniable que DIS offre à ses élèves par rapport aux autres écoles monolingues.

À propos de Dallas International School

Pour en savoir plus sur Dallas International School, rendez-vous sur le site internet de l’école.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Cécile Atta: l’expatriation au long cours, d’Abou Dabi à New York en 12 mois

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L’expatriation… Certains partent sur un coup de tête, d’autres pour vivre autre chose, voire changer totalement de vie. Dans French Expat, on a vu aussi que l’expatriation peut être subie, ou encore, dans certains cas, qu’il s’agit tout simplement d’une étape ou d’un procédé qui se répète.

Peu importe les raisons de l’expatriation : quand on part de chez soi, de là d’où on vient, le fait de quitter son pays, que l’on soit préparé ou non, représente toujours un chamboulement important, et pas seulement les premières semaines.

Au cours des 12 derniers mois, j’ai échangé avec l’une d’entre vous après que celle-ci n’apprenne son départ pour New York.

Maman de 2 jeunes enfants, alors basée aux Émirats Arabes Unis, elle m’a raconté sans concession comment elle se préparait à cette nouvelle vie, comment elle parlait de ces changements à venir à ses enfants ou encore quels étaient ses états d’âme avant le départ, pendant le déménagement et après son arrivée aux États-Unis.

Cécile Atta, que vous connaissez peut-être aussi sous le pseudo de Desperate DiploWife, se livre sans filtre et je vous mets au défi de ne pas y retrouver une petite partie de votre histoire à vous aussi. Et pour clore tout ceci, nous avons enregistré toutes les deux une conversation afin de faire le point quelques mois après son arrivée dans la ville qui ne dort jamais.


French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.