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Investimmob, le mentor des expatriés français en matière d’immobilier

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[Article partenaire] Lorsqu’on réside à l’étranger, investir dans l’immobilier en France est intéressant pour de nombreux expatriés, mais semble être une tâche complexe. Sylvain, fondateur d’investimmob.fr est souvent considéré comme un mentor par les nombreux expatriés ayant fait appel à ses services pour lancer leurs projets d’investissement immobilier en France, et vous donne quelques unes de ses clés.

Faciliter l’investissement immobilier des expatriés

De nombreux expatriés souhaitent investir en France pour plusieurs raisons légitimes :

– commencer à se créer une future retraite,
– placer de l’argent / faire fructifier un capital,
– initier les démarches en vue d’une future transmission, etc.

Mais peu d’entre eux savent réellement :

– où investir en fonction de leurs objectifs,
– quels interlocuteurs contacter pour lancer leur projet,
– trouver le bien idéal en fonction de leurs critères,
– comment optimiser leur investissement,
— appréhender la fiscalité d’un tel investissement en tant qu’expatrié.

Comment procéder

Sylvain d’investimmob.fr propose des accompagnements dédiés aux expatriés afin de faciliter leur investissement immobilier. Il propose toujours un premier échange téléphonique ou un appel vidéo, durant lequel il est important de faire le point sur la stratégie et les objectifs de l’investisseur, en analysant plusieurs points importants tels que :

– le budget à allouer à l’investissement,
– la localisation du bien à acquérir,
– l’apport personnel disponible et nécessaire en fonction des conditions d’emprunt actuelles,
– la rentabilité du projet en fonction des objectifs.

Si nécessaire, le budget pourra être affiné en faisant appel à un courtier spécialisé dans la mise en place de financement pour les expatriés. Ce premier échange a pour but de définir un cahier des charges détaillé du projet d’investissement.

La mise en place du projet

Lorsque les critères de recherche sont définis suite au premier échange, Sylvain communique le cahier des charges du projet auprès de son réseau.

Son réseau est composé de plus de 50 chasseurs de rentabilité et agents immobiliers indépendants. La plupart de ces acteurs s’occupent de l’intégralité du projet. En effet, au-delà de la recherche du bien, les travaux éventuels (définition des plans, sélection des entrepreneurs en charge de la rénovation, suivi de chantier, ameublement et décoration) seront pilotés par le chasseur. Il n’est donc pas nécessaire de se déplacer ou de s’impliquer personnellement dans le projet. C’est ainsi une formule qui est très appréciée des expatriés et qui leur permet de mettre en place un projet d’investissement à distance.

Au cours de la phase de recherche, lorsque les contacts de Sylvain trouvent une opportunité intéressante et qui correspond au projet d’un investisseur, Sylvain analyse la cohérence du projet. Enfin, si l’opportunité répond aux besoins/objectifs du projet, il la propose à l’investisseur.

Un point est alors fait ensemble avec l’investisseur afin de lui présenter le projet avec des photos et vidéos ainsi qu’une étude détaillée du projet financier (et de la fiscalité associée). Sylvain partage aussi son analyse d’investisseur en considérant tous les points de vigilance (prix, demande locative, emplacement, estimation de loyer, rentabilité, liquidité, etc.)

Tout au long du projet

Sylvain propose de faire des points réguliers tout au long du projet. Plusieurs phases du projet sont déterminantes et l’œil d’un investisseur aguerri vous permettra de sécuriser votre investissement :

– étude des documents avant compromis (RCP, PV d’AG, Diagnostics…),
– relecture du projet de compromis avant signature,
– optimisation du montage financier et de la structuration du projet (apport, régime fiscal),
– aide aux démarches et à la négociation pour le financement bancaire,
– décisions liées aux travaux / agencement du bien, etc…

Aujourd’hui, investimmob.fr facilite grandement les démarches des expatriés sur chacun de ces points. Par l’expérience et son réseau de son fondateur, vous pourrez définir vos objectifs, les traduire en critères de recherche et bénéficier des opportunités de son réseau.

Un partage de connaissances et de réseau

En 2017, Sylvain s’est d’abord fait connaître en lançant un blog sur l’investissement locatif appelé investimmob.fr.

Au travers d’articles longs et détaillés, il a d’abord partagé auprès de ses lecteurs :

– sa vision de l’investissement locatif,
– les différentes stratégies d’investissement envisageables en fonction des objectifs de chacun,
– les astuces à connaître pour réussir son investissement locatif,
– les optimisations fiscales possibles.

Depuis quelques années, Sylvain intervient aussi dans des conférences et autres podcasts / vidéos en partageant son expérience et philosophie sur l’investissement immobilier locatif.

Sylvain est avant tout un investisseur qui, tout au long de son parcours, a mis en place de nombreux projets d’investissements. Cette expérience lui a permis de se former, d’apprendre dans l’action et aussi de se créer un réseau important.

Pour en savoir plus sur le parcours de Sylvain et sa philosophie d’investissement, voici deux interventions de Sylvain sur YouTube :

Pourquoi faire appel à Sylvain ?

Sylvain n’est pas un chasseur immobilier, mais un investisseur averti qui met à disposition ses connaissances d’investisseur et son réseau.

En le contactant afin de mettre en place votre projet d’investissement en France, il vous sera possible d’accéder à son carnet d’adresses composé de plus de 50 interlocuteurs partout en France. Également, vous profiterez de son expérience et de ses réflexes d’investisseur. Cette formule d’accompagnement / proposition d’opportunités a déjà fait ses preuves auprès de nombreux d’investisseurs expatriés souhaitant avoir un interlocuteur qualifié et connecté auprès des meilleurs chasseurs du marché.

Prenez directement rendez-vous avec Sylvain via WhatsApp :

Pour plus d’informations, rendez-vous directement sur le blog de Sylvain ou contactez-le par email à l’adresse suivante : [email protected], par WhatsApp au +33 6 24 86 75 03 ou également sur LinkedIn


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Léa Kubyska, une fromagère avec du punch, au cœur du « frenchly » Brooklyn

S’il y a une compétition pour savoir quel coin de New York est vraiment «⁠⁠⁠ Little Paris », Smith Street, à Brooklyn vient de marquer des points. Une nouvelle fromagerie, Léa fromages, a ouvert il y a peu dans ce quartier de Boerum Hill/Carroll Gardens, avec ses rideaux à carreaux, ses fromages soigneusement sélectionnés, ses aliments pendus au plafond, au milieu de… Quelques paires de gants de boxe (on y reviendra).

Une passion familiale

« Dans ma famille, la gastronomie, c’est dans les gènes » raconte Léa Kubyska, 31 ans, la maîtresse des lieux. Son père, chef et ancien restaurateur parisien avant de devenir traiteur, lui a transmis très tôt l’amour des bons produits. « Lui-même tenait ça de ses aïeules, et ma grand-mère maternelle, pied-noire, nous a toujours initiés aux bonnes choses. »

Après son école de commerce, Léa Kubyska n’a jamais quitté le monde de la gastronomie. Son premier stage, il y a neuf ans, à La Maison du Chocolat à New York, marque un tournant. « Depuis, cette ville ne m’est jamais sortie de la tête » confie-t-elle. De retour à Paris, elle crée une première entreprise de traiteur dès sa sortie d’école. Mais la pandémie met un coup d’arrêt à cette aventure, renforçant toutefois son envie de se réinventer.

C’est finalement via un VIE dans le fromage à New York qu’elle se reconnecte à son amour pour les produits artisanaux. « Après quelques entretiens, c’était clair : je voulais lancer un projet à moi. Et dans la food, ce que je préfère, c’est le fromage (et la boulangerie). » Pas un hasard si ses amis new-yorkais l’appellent déjà Léa Fromages…

Smith Street, un coup de cœur

Et pas un hasard non plus si elle choisit ce nom pour sa boutique. Qu’elle a décidé d’implanter sur Smith Street, une rue qui lui rappelle son dernier quartier en France, à La Garenne-Colombes : « C’est une rue commerçante avec des artisans, une vraie vie de quartier. Je ne me voyais pas en plein centre-ville. »

Le concept de sa boutique est clair : rappeler l’authenticité d’une fromagerie traditionnelle, tout en mettant en avant une sélection pointue. « On travaille avec des laiteries moins connues, comme Gabriel Coulet pour le roquefort, au lieu des grandes marques habituelles » souligne-t-elle. La Française privilégie les petites productions et les produits de terroir, tout en incluant 20 à 30% de fromages américains (Vermont, New York, Wisconsin).

Pour compléter son offre, l’épicerie fine fait honneur à Brooklyn, avec du chocolat, du pain, et d’autres spécialités artisanales, toutes produites localement.

Une aventure humaine

En un mois et demi, Léa Fromages a déjà conquis de nombreux curieux. « Les retours sont très positifs, que ce soit sur la sélection ou l’ambiance de la boutique » se réjouit la jeune femme. Elle note que ses clients, bien qu’en majorité américains, sont souvent connaisseurs : « Ils arrivent avec des idées précises, mais sont très ouverts à la découverte. Beaucoup posent des questions sur les accords fromage-vin ou cherchent à essayer de nouvelles saveurs. »

Travailler en boutique six jours sur sept a transformé son quotidien : « C’est intense, mais génial. Ce contact direct avec les clients, c’est ce qui me manquait. » Pour l’aider, elle a déjà recruté un employé à temps partiel, mais reste très impliquée dans tous les aspects de son activité, de la sélection des fromages à la gestion quotidienne. « Chaque fromage que je vends, j’y crois vraiment » martèle Léa Kubyska. Et si, comme toujours, les bons fromages sont chers de ce côté de l’Atlantique, ici personne ne s’en plaint : « Les retours sont surtout sur la qualité, et ça, ça fait vraiment plaisir. »

La boxe, aux sources de l’ambition entrepreneuriale

Où puise-t-elle cette détermination ? La réponse fuse, inattendue : la boxe. « J’ai commencé la boxe thaï il y a huit ans, et c’est grâce à ça que je suis devenue entrepreneure, affirme Léa Kubyska. Ça m’a appris la discipline, le dépassement de soi, le respect. Tout ce qu’il faut pour se surpasser. » D’où les paires de gants de boxes qui, entre saucissons et gousses d’ail, pendent au plafond de sa boutique. Mais, elle l’assure, jamais un client ne lui a donné l’envie de les enfiler…

Nathalie Azoulai présente «⁠⁠⁠ Toutes les vies de Théo » à la Maison Française de NYU et à Princeton

Nathalie Azoulai, lauréate du prix Médicis 2015, explore, avec son nouveau livre, les obsessions identitaires du temps. Elle présente « Toutes les vies de Théo » (éditions P.O.L) ce mois-ci à New York où elle participe à deux rencontres : l’une à NYU le lundi 24 février à 6pm et la seconde à Princeton le mardi 25 février à 4:30pm. Échange avec l’auteure et retour sur ce nouveau livre drôle et grave.

«  Une harmonie qui se fissure »

« Toutes les vies de Théo » retrace la formation puis la désintégration d’un couple mixte, celui de Théo et Léa, l’un catholique, l’autre juive. Non pratiquants, ils incarnent dans un premier temps une famille ouverte, où le croisement des cultures et des croyances nourrit intérêt et fierté. Le temps passe, ils ont un enfant. Théo est un historien, précisément en art, spécialiste de la Shoah. Il semble, selon l’auteure, qu’il « a toutes les clés pour comprendre Léa ». Cependant, suite aux événements dramatiques du 7 octobre 2023, Léa renoue de manière obsessionnelle avec la culture juive. Une distance se crée alors inexorablement entre les deux époux. Ce qui nourrissait leur curiosité réciproque se transforme en incompréhension.

Nathalie Azoulai décrit, au travers de détails cruels mais aussi teintés d’effets comiques irrésistibles, les fissures qui, peu à peu, réduisent le couple à deux individualités incapables de communication. Puis Théo entame une nouvelle relation avec une jeune femme arabe, une artiste émancipée. Va-t-il reproduire ce même schéma ? Quelles seront ses pérégrinations dans une culture qui lui est moins connue ? Sera-t-il à nouveau l’observateur du désastre au sein de son foyer ?

Qui est Théo ?

Au fond, qui est Théo, le héros central de ce livre ? Difficile à dire, tant il se construit au travers des obsessions des autres : sa mère, une Allemande dans un chemin expiatoire constant, puis ses compagnes, absorbées par les causes de leur sang. Nathalie Azoulai le dit « créature moderne, tournée vers une altérité fantasmatique perpétuelle ». À la manière d’un Flaubert fuyant la France pour Carthage après le procès fait à «⁠⁠⁠ Madame Bovary », Théo fuit sa propre identité et, comme Nathalie Azoulai le souligne, « se fait écho de celle des autres. Il incarne la capacité des hommes et femmes occidentaux d’aujourd’hui à se projeter sur des univers lointains, plus malheureux qu’eux ».

Lorsque le héros se déplace au Liban avec sa deuxième femme, l’auteure souligne finement sa capacité à s’adapter encore à une autre culture, plus viriliste. Cette fois-ci, sa candeur cède la place à l’opportunisme puisqu’il ne résiste pas aux charmes d’une société masculiniste qui lui promet une réussite professionnelle. Dans cette nouvelle vie, Théo est prêt à renoncer à son histoire personnelle. 

Toutes les vies de Théo, Nathalie Azoulai, Édité chez P.O.L. Parution janvier 2025

Ce qui se dessine au travers du livre de Nathalie Azoulai, c’est aussi l’expression de la judéité de son auteure. Si le héros est bien le catholique Théo, c’est, malgré tout, son rapport à la culture juive qui préside à son destin. L’écriture est rythmée, moderne, drôle. L’écrivaine affirme avoir écrit « avec Flaubert sur son épaule », pour conserver un ton à distance de son sujet. Elle décrit les péripéties des protagonistes avec un sens de l’humour et du dérisoire qui nous piège souvent. L’apparente simplicité des situations ouvre en réalité à des questionnements politiques ou sociétaux d’une grande gravité.

Il fallait beaucoup de talent pour traiter d’un tel sujet, dans l’effervescence de l’immédiate actualité. Rebondissant sur la sortie de ce livre, Nathalie Azoulai élargit d’ailleurs la question par le biais des rencontres qui auront lieu ce mois-ci à la Maison Française de New York University et au Jones Hall de Princeton. Intitulées « Cacher et chercher : le judaïsme dans la fiction », elles donneront à la Française l’occasion d’évoquer la manière dont elle a, tout comme de nombreux auteurs européens, tels Franz Kafka, Romain Gary ou Patrick Modiano, élaboré une production écrite qui, selon l’auteure, « encrypte la judéité ». Ce sera l’occasion de confronter cette écriture « masquée » à la littérature juive états-unienne.

Rétrospective Tamara de Lempicka au MFA de Houston

Sa vie est digne d’un roman à rebondissements. Née à Varsovie en 1894, morte au Mexique en 1980, exilée à Paris, puis aux États-Unis, Tamara de Lempicka a marqué de son nom la peinture Art déco. Rare femme dans un milieu artistique dominé à l’époque par les hommes, elle impose son style reconnaissable entre tous avec des portraits d’aristocrates et des nus inspirés par la vie parisienne flamboyante de l’entre-deux-guerres. Ouvertement bisexuelle et cocaïnomane, elle fréquente André Gide, Colette ou encore Suzy Solidor, chanteuse et romancière qui va populariser la figure de la garçonne dans le...

Les avantages de l’immersion linguistique précoce à The International School of San Francisco

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[Article partenaire] Dans une salle de maternelle à The International School of San Francisco, un enfant de quatre ans réalise avec application une expérience scientifique, et cela, entièrement en français. Il s’agit d’un accomplissement assez remarquable, surtout lorsqu’on sait que cet élève n’a été initié à cette langue qu’il y a quelques mois.

Le pouvoir de l’immersion linguistique précoce

Ces scènes, observées quotidiennement dans les classes de l’école, illustrent le pouvoir transformateur de l’immersion linguistique dès la petite enfance. Au sein de l’établissement international le plus ancien et le plus fréquenté de San Francisco, les enfants débutent dès l’âge de deux ans un cursus bilingue qui façonne leur parcours scolaire et leur ouvre les portes d’un avenir riche en opportunités.

Depuis 1962, l’école accueille des élèves en maternelle dans un environnement linguistique immersif, sans exigence préalable de connaissance du français ou de l’anglais. « Le cerveau est fait pour le bilinguisme » explique Melinda Bihn, proviseure de l’établissement. « Nous exploitons simplement les capacités naturelles des élèves au bon moment. »

Ce principe est au cœur de l’approche soigneusement élaborée de l’école pour l’apprentissage précoce des langues. En maternelle, les élèves passent 80 à 90 % de leur journée immergés dans un environnement francophone, avec des résultats impressionnants. « Nos élèves passent d’un niveau de français inexistant à la compréhension et à la communication en l’espace de quelques mois à un an seulement », explique Mme Bihn.

En classes de CP et CE1, les élèves continuent à développer et à acquérir des compétences fondamentales. Ils poursuivent leur apprentissage en français à 80 % avant de passer à une répartition équilibrée de 50 % entre les deux langues en CE2.

Un processus de pensée plus approfondi

Si la maîtrise précoce d’une seconde langue est impressionnante, elle n’est qu’un des nombreux bienfaits de l’apprentissage bilingue. Des études montrent que l’exposition dès le plus jeune âge à une deuxième langue façonne et renforce le processus de pensée des enfants. « L’apprentissage bilingue favorise une réflexion critique plus approfondie », explique Mme Bihn. « Les personnes bilingues sont plus adaptables, et mieux préparées à résoudre des problèmes complexes. Elles bénéficient également d’avantages indéniables dans leur parcours professionnel et dans leur recherche d’un établissement d’enseignement supérieur où ces compétences sont reconnues et appréciées par les universités. »

Dès leurs premiers jours à l’école, les élèves commencent à poser les bases d’une citoyenneté mondiale. « Nos familles viennent de partout », explique Mme Bihn. « Les élèves sont en classe avec des camarades issus de toute la baie et de familles du monde entier, évoluant ainsi dans une diversité culturelle au quotidien. » Cet environnement multiculturel enrichit leur apprentissage précoce en les exposant à une variété de traditions, de fêtes et de perspectives, tout en favorisant la création de liens authentiques.

Un accompagnement complet

L’établissement accueille de nouveaux élèves en maternelle tout au long de l’année scolaire. Lors des visites du campus et des rencontres avec les parents d’élèves, les familles peuvent découvrir par elles-mêmes les nombreux avantages de cette approche éducative unique. L’équipe des admissions accompagne chaque famille  à chaque étape du processus, de la demande initiale aux démarches d’aide financière, afin de faciliter leur intégration dans cette communauté internationale dynamique. Ici, l’éducation bilingue précoce ouvre des portes qui restent ouvertes toute la vie.

Pour en savoir plus et rejoindre la plus ancienne communauté scolaire internationale de San Francisco, contactez le bureau des admissions pour planifier une visite du campus et observer ces jeunes citoyens du monde en action. Consultez InternationalSF.org pour commencer !


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Bruno Dufourmantelle se dévoile chez Amélie du Chalard jusqu’au 22 février

La Maison d’Art d’Amélie du Chalard expose, jusqu’au samedi 22 février, les œuvres de Bruno Dufourmantelle. Des tableaux et dessins de grand et petit formats qui viennent servir un concept de galerie ici réinventé. L’appartement spacieux voit se côtoyer un ensemble d’objets, de sculptures, de pièces de mobiliers choisis, éclairés, orientés avec une quête d’harmonie élégante qui bénéficient beaucoup au travail du peintre français puisque, sorte d’embuches magnifiques, ils ralentissent le chemin vers l’œuvre.

Bruno Dufourmantelle, Nocturne 4, 2024 – B. Dufourmantelle, Carton entoilé V, 2012. © Maison d’Art

Les tableaux de Dufourmantelle s’imposent d’eux-mêmes. Surface vibrante, majoritairement dans les teintes de bleu, violet, terre et vert, ils apparaissent, de prime abord, presqu’abstraits. Le peintre se réclame d’ailleurs de cette première intention. Mais, il explique : « Il n’y a pas de préparation en amont d’un tableau ou même d’un dessin : je ne sais jamais où je vais au départ. […] La peinture, pour moi, est un cheminement, mais également une façon de vivre. » Donc, puisqu’aucun croquis – ou même idée – ne préfigure son travail, c’est le geste qui, finalement, guide l’œuvre vers sa destination figurative. Lorsqu’on s’approche, on voit apparaître des traces, une surface, une matière poudrée d’où jaillissent l’idée de la nature. Des fleurs flétries succèdent aux nuages, des arbres surgissent d’un brouillard de graphite. 

Bruno Dufourmantelle, Forêts brisées I, 2012. © Maison d’Art

On comprend d’où procède la rencontre entre la galeriste et le peintre. Ces œuvres trouvent, dans la Maison d’Art, un espace qui leur donne le temps de se découvrir au visiteur. Il convient de ne pas précipiter sa visite et de procéder par étapes, d’un point de vue à un autre. Observer de loin, peut-être debout, le tableau qui est encore abstrait, puis, s’approcher de quelques pas, au rythme des variations de la lumière. S’assoir sur le canapé et saisir, dans la brume vibrante du pigment, le geste qui se dessine pour enfin venir dans l’intimité de l’œuvre, comme dans la mécanique d’un objet, accéder à la forme figurative, à la lumière, à l’espace, peut-être au monde, comme l’artiste en fait le vœu. 

« Diane von Furstenberg : Woman Before Fashion » au Skirball Cultural Center

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« Diane von Furstenberg : Woman Before Fashion » au Skirball Cultural CenterC’est l’exposition fashion à voir à Los Angeles. La créatrice de mode Diane von Furstenberg, d’origine belge et installée à New York, invite, après Anvers et New York, son exposition itinérante à Los Angeles au musée Skirball Cultural Center. Inaugurée en octobre autour d’un parterre de stars – de Cindy Crawford à Jessica Alba en passant par Lauren Sanchez -, l’exposition présente 75 pièces issues des archives de la marque.

Incontournable de l’expo, la robe portefeuille inventée en 1974, se décline sous toutes les coutures, et nombreux imprimés inspirés par la nature, l’art et la liberté avec quelques modèles phares zébrés ou en hommage au peintre Jackson Pollock et à Andy Warhol. Se découvrent aussi des souvenirs personnels de la créatrice, de son immigration aux États-Unis à ses unes de magazines jusqu’à ses nombreux travaux de philanthropie. D’astucieux miroirs et un escalier final où prendre la pose de star concluent une exposition prévue pour durer jusqu’au 31 août 2025. Au Skirball cultural center, 2701 N. Sepulveda Blvd.

Déborah Laurent (vidéo) : Comment se créer un réseau à Los Angeles ?

Pour rencontrer rapidement d’autres Français et francophones à Los Angeles, il faut connaître les bons réseaux. Soirées apéro après le boulot, panel de discussions, karaoké pour rigoler… les évènements ne manquent. Déborah Laurent vous fait découvrir quelques-unes de ces associations qui permettent de se créer un réseau professionnel connecté ou un cercle d’amis élargi.

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Les associations citées :

Un panel sur les femmes dans la tech avec French Cluster et les Elles Collective à Los Angeles

« Women in Tech », c’est l’affiche du très beau panel organisé jeudi 6 mars à West Hollywood par French Cluster et les Elles Collective, consacré à « l’innovation par et pour les femmes ». C’est la première fois que ces deux associations francophones actives (notamment) à Los Angeles s’associent pour une soirée, qui mettra à l’honneur les startups dédiées à la santé des femmes. Ouverte à tous, Français comme Américain, hommes ou femmes, la discussion aura lieu au Sunset Marquis Hotel, à West Hollywood, à partir de 6pm (en anglais) et sera suivie d’un cocktail décontracté pour networker autour d’un verre. Les inscriptions sont ouvertes ici.

Quatre experts -trois femmes et un homme- prendront la parole lors de cet échange modéré par la coach de startups Isabelle Bart : Ikram Guerd, general manager US d’Aspivix (qui a développé une technologie réduisant les douleurs et saignements lors de procédures gynécologiques); Coralie Gallis, CTO de SM24 à Las Vegas (qui élabore un patch non-invasif capable de surveiller en continu plusieurs biomarqueurs); Claire Chabaud, CEO de sa startup Braave (qui utilise les technologies 3D pour créer des soutiens-gorges sur-mesure) et Santosh Devati, un angel investor « très engagé sur l’inclusion, la diversité et les femmes » se réjouit Ikram Guerd.

« Un de nos gros challenges, comme entrepreneures, c’est de lever des fonds, rappelle-t-elle. Ce sera très intéressant d’entendre la perspective de Santosh Devati sur le sujet, alors que d’autres hommes ne voient pas le potentiel énorme du marché de la santé des femmes. Cela inclut  la contraception, la fertilité, les maladies cardiovasculaires, l’endométriose, la ménopause… » énumère-t-elle. Avec Aspivix –lauréat en 2024 d’un French American Entrepreneurship Award- l’entrepreneure se bat pour lever les biais qui freinent encore le financement et l’innovation de ce secteur, qui concerne 51% de la population mondiale. Les échanges s’annoncent captivants.

À Miami, le Français Billy Tartour inaugure sa première galerie d’art contemporain avec de jeunes talents

S’il y en a un qui est convaincu que Miami est une ville attractive en matière d’art contemporain, c’est bien Billy Tartour. Ce trentenaire originaire de Paris vient d’inaugurer, jeudi 13 février, sa toute première galerie, nommée Opa Projects, au sein du bâtiment IronSide à Little River. « Je veux promouvoir de nouveaux artistes, alors cela me paraissait logique d’ouvrir un espace dans un quartier émergent. Et puis nous sommes entourés de cabinets de designers d’intérieur et d’architectes, c’est idéal » affirme celui qui a travaillé pour une maison de ventes aux enchères après avoir étudié l’histoire de l’art à Paris.

Billy Tartour a débarqué à Magic City il y a deux ans et a découvert une ville vibrante. « Miami offre un énorme potentiel en matière d’art, et cela va bien au-delà d’Art Basel. À l’intérieur de la ville, il y a un écosystème entre les collectionneurs et les artistes qui permet de faire grandir ce monde-là. À travers cette galerie, j’aimerais participer au développement de l’art contemporain ici » précise-t-il avec enthousiasme.

Billy Tartour avec des membres de l’Institute of Contemporary Art de Miami. © Gary Schimmel-Bauer

Pour son inauguration, la galerie Opa Projects met en lumière trois types d’artistes. Les émergents; ceux plus installés dans le milieu, comme le sculpteur Ryan Schneider; et les noms que l’on ne présente plus, comme Alexander Calder. Tous « dialoguent » et se font écho pour former une exposition intitulée « Transfigurations of Reality ». « L’idée, c’est de présenter des œuvres figuratives qui montrent la façon unique de chaque artiste de voir la réalité. On a une œuvre très réaliste, qui ressemble même à une photo, qui répond à un paysage surréaliste par ses couleurs et ses formes » exlique Billy Tartour.

Une gouache sur papier d’Alexandre Calder et une sculpture en bois de l’artiste américain Ryan Schneider. © Gary Schimmel-Bauer

Deux Français parmi les artistes de l’exposition inaugurale

Parmi les artistes en devenir, on trouve deux jeunes Français. Pauline Guerrier et Fabien Conti, tous les deux nés dans les années 1990. La première est multidisciplinaire et travaille entre Paris et Lisbonne. Elle utilise la marqueterie de paille, une technique ancestrale et trouve son inspiration dans la spiritualité. Le second, passé par les Beaux-Arts, est originaire de Paris et explore le pouvoir destructeur mais aussi la beauté mystérieuse de la nature à travers des paysages comme la fonte des glaces.

Les marqueteries de paille et les œuvres sur toiles de jute de la française Pauline Guerrier. © Gary Schimmel-Bauer

Avec ses jeunes artistes, Opa Projects entend bien devenir un acteur majeur dans la communauté artistique de Miami. Le directeur de L’Insitute of Contemporary Art (ICA) de la ville ainsi que plusieurs de ses membres étaient présents à l’inauguration de la galerie. « Notre but est d’encourager et de soutenir toutes les initiatives qui mettent en avant le milieu de l’art à Miami » indique Alex Gartenfeld, le directeur de l’institut. Kathleen, une de ses fidèles, en est convaincue : « Cela va prendre du temps, mais Miami va devenir une place importante pour l’art, tout comme le sont Los Angeles ou New York. Tout change rapidement. »

Les paysages mystérieux (huile sur toile) de l’artiste français Fabien Conti. © Gary Schimmel-Bauer

« Transfigurations of Reality » se tient jusqu’en avril. Billy Tartour veut continuer de promouvoir les group shows, ces expositions à plusieurs artistes. La thématique du prochain vernissage n’est pas encore connue, mais une chose est sûre, les jeunes talents internationaux y auront toute leur place.

La galerie OPA Projects pendant la soirée de lancement. © Gary Schimmel-Bauer

Été 2025 : Les Summer camps en français à Los Angeles

Les inscriptions aux camps d’été ouvrent à Los Angeles et dans la région. Art, cuisine, jeux, sport, activités en bord de mer… Et, bien sûr, français ! French Morning fait le tour des propositions pour occuper les enfants durant la période estivale, en immersion dans la langue de Molière. Stay tuned, d’autres écoles doivent ouvrir leurs inscriptions dans les jours qui viennent. Nous les ajouterons à cet article.

À la plage avec l’École Claire Fontaine

A quelques encablures de l’Océan Pacifique, à Venice Beach, l’École Claire Fontaine propose un Summer by the Sea, du lundi 14 juillet au vendredi 15 août, sur le campus d’Abbot Kinney ou sur le Fontaine Campus. Des journées bien remplies attendent les enfants de 2 à 6 ans  : art, cuisine, réparation de vélos, échecs, chorale, escalade, français, jardinage, méditation… Sans oublier le sport et les sorties à la plage. Les activités se déroulent en français, anglais et espagnol. Breakfasts, lunchs et snacks bios sont inclus dans les tarifs et préparés sur place avec des produits frais. On peut inscrire son enfant à la demi-journée (le matin ou l’après-midi) ou choisir trois, quatre ou cinq journées complètes. Comptez 1030$ pour une semaine complète, de 8:30am à 6pm ( 5pm le vendredi ) ; 937$ pour 4 jours, et 762$ pour trois journées. Rajoutez 110$ de frais d’inscription. École Claire Fontaine 352 Westminster Ave Venice, California 90291 – (310) 314-9976. Contact : [email protected]

Cuisine, mode et théâtre à Irvine avec Delphine Pilarski

C’est dans sa maison, à Irvine (Orange County), que Delphine Pilarski accueillera les enfants en juin et en juillet, pour cinq semaines en français placées sous le signe de la créativité. Du lundi 9 au vendredi 13 juin, un camp d’architecture est prévu pour les 8-12 ans. Place à la mode du lundi 16 au vendredi 20 juin, avec un « Paris Fashion Show » destiné aux 7-12 ans. Au programme : dessin, couture, crochet, et préparation du défilé de mode. Du lundi 23 au vendredi 27 juillet, Delphine Pilarski partagera aux 7-12 ans une autre de ses passions, avec un atelier théâtre autour d’Azur et Asmar, inspiré du film d’animation de Michel Ocelot. Une deuxième semaine de théâtre aura lieu du lundi 7 au vendredi 11 juillet, cette fois sur les légendes grecques, pour les 10-15 ans. L’été se terminera par une semaine dédiée à la cuisine française, pour les 7-12 ans, du lundi 14 au vendredi 18 juillet. Les journées, de 9:30am à 2pm, incluent des jeux d’extérieur dans son grand jardin. Comptez 480$ par semaine. Les inscriptions sont ouvertes ici. Contact : [email protected]

L’École du Soleil au Lycée international de LA

Cet été encore, le campus de Los Feliz du Lycée international de Los Angeles (Lila) vibrera au rythme de l’École du soleil. Ses cinq semaines de camp, du lundi 23 juin au vendredi 25 juillet, de 8 am à 5 pm, mixent loisirs et classes de français pour débutants ou confirmés. La « petite école » accueille les petits qui entrent en preschool ou en pre-Kindergarten tandis que la « grande école » s’adresse aux enfants du Kindergarten au 5th grade. Comptez 500$ par semaine. Campus de Los Feliz du Lila, 4155 Russell Avenue Los Angeles, CA 90027

Ninou Preschool, un nouveau camp en français à West Adams

Cette année, pas de summer camps à LA French Academy, et pour cause : sa directrice, Christelle Cenatiempo-Jorda, est en train d’ouvrir une nouvelle école, Ninou preschool, qui devrait commencer à accueillir les enfants en avril dans le quartier dynamique de West Adams. Et cet été, c’est Ninou Preschool qui proposera un summer camp aux petits, de 2 à 5 ans, dans ses locaux tout neufs. Plus d’informations à venir bientôt.

Publié le 18 mars 2024. Mis à jour le 19 février 2025.

4 bars speakeasy à découvrir à Houston

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Faux cabinet d’avocat, bar coquin, salle de concert cachée… On vous emmène dans ce que Houston a de plus secret. Suivez le guide.

Houston Watch Company

© houstonwatchcompany.com

C’est un magasin de montres centenaire, situé à quelques pas de Market Square dans le Downtown. En tout cas, on pourrait le croire en passant devant sa devanture. L’établissement ne fait pourtant plus dans l’horlogerie depuis 1995 mais dans les cocktails, préparés sur place et facturés à des prix raisonnables (9$ pour les classiques comme le Old Fashioned). Au-delà de son aspect historique, l’intérêt du lieu réside dans les toilettes puisque une porte blindée d’antan trône toujours ici, et n’a d’ailleurs jamais été ouverte par ses nouveaux propriétaires. « Ça nous coûterait trop cher d’essayer, mais il y a peut-être des montres et un trésor à l’intérieur », nous glissait le serveur lors de notre visite mi-octobre. Mystère… Houston Watch Company, 913 Franklin St.

Captain Foxheart’s Bad News Bar & Spirit Lodge

© Maxime Aubin

Celui-ci se trouve à seulement deux blocs du premier sur Main St., là où passe la Red Line du tramway de Houston. L’adresse donne sur un cabinet d’avocats à la devanture noire. Il faut entrer, monter les escaliers feutrés du bâtiment et pousser la première porte à gauche au deuxième étage. À l’intérieur, la surprise est de taille puisqu’on entre dans un long bar sombre avec son vieux bois et ses chandeliers d’une autre époque. La bière y est bon marché (5-7$) et les cocktails sont également affichés à des prix raisonnables (13$). L’établissement dispose également d’une terrasse sur la rue. Captain Foxheart’s Bad News Bar & Spirit Lodge, 308 Main St. 

Marfreless

© Maxime Aubin

Marfreless se trouve à la frontière entre les quartiers chics de River Oaks et de Hyde Park. Rien n’indique qu’un bar se trouve ici, l’adresse donnant sur un parking où on peut simplement apercevoir une porte bleue. Soyez bien sûr de vous avant de la pousser, puisque la serveuse à l’intérieur vous accueille en tenue très légère. Vous avez mis les pieds dans un lieu où les couples aiment venir consommer leur amour… et être vus. Tout se passe à l’étage où les personnes seules peuvent également venir profiter du spectacle. La réputation de Marfreless a dépassé le cadre de Houston. Lors de notre visite, un couple était venu d’Austin pour attiser sa curiosité. Marfreless, 2006 Peden St.

Last Concert Cafe

© Facebook Last Concert Cafe

Changement d’ambiance à Last Concert Cafe dans le Warehouse District. Devant cette belle bâtisse colorée à l’architecture mexicaine, on a l’impression d’être tombé chez un particulier. Il faut en fait toquer deux fois à la porte rouge pour découvrir cette salle de concert couplée à un restaurant tex-mex. Un espace deux en un, entre l’intérieur et l’extérieur, qui n’a cessé d’être en activité depuis les années 1940. Attention, l’établissement n’est pas ouvert tous les jours. Regardez bien leur site internet ou leur Instagram pour voir la liste des concerts. Last Concert Cafe, 1403 Nance St.

Public le 2 novembre 2023. Mis à jour le 19 février 2025.