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L’aventurier handicapé Philippe Croizon à la conquête de l’espace

Tout est parti d’un défi lancé en novembre 2020 sur Twitter. S’il dépasse les 50.000 abonnés, Philippe Croizon contactera Elon Musk pour lui demander de partir dans l’espace. Une heure plus tard, le chiffre est atteint. “Quand j’ai posté le tweet, j’espérais bien qu’il allait répondre. Et il l’a fait ! Comme je suis un peu culotté, j’ai poursuivi l’échange en lui proposant de me contacter en privé, et après quelques échanges, il m’a mis en contact avec Jared.

L’athlète polyhandicapé, connu pour avoir traversé la Manche, couru le Paris-Dakar ou encore relié les cinq continents à la nage, est à Cap Canaveral, en Floride, pour assister au lancement de la mission SpaceX Inspiration4 prévu mercredi 15 septembre. Il sera témoin du premier vol spatial entièrement constitué de personnes de la société civile. Son défi ? Être un jour à leur place. “Jared Isaacman, qui commandera la mission, m’a invité au lancement d’Inspiration4. Quelques jours plus tard, quand la mission rentrera sur terre, je pourrai le rencontrer et discuter d’un possible départ.

Pas de réponse de Richard Branson

Ce vol dans l’espace serait l’accomplissement d’un rêve de gosse. Philippe Croizon avait déjà tenté sa chance auprès de Richard Branson, mais son email, en 2010, était resté sans réponse. “Avec les réseaux sociaux, c’est tout de suite plus facile. Et puis Branson s’était quand même écrasé deux fois…”, ne manque-t-il pas de souligner avec malice.

Philippe Croizon, interviewé par Arthur Hoeflinger et Noa Azoulay, élèves du Lycée français de San Francisco. Crédit : Frédéric Neema fnphoto.com

Avant de se rendre en Floride, Philippe Croizon a fait un petit détour par San Francisco pour rencontrer les élèves du Lycée français (LFSF), et revenir sur son parcours exceptionnel. Frédéric Patto, directeur artistique du Théâtre du LFSF, lui servira de traducteur lors de sa visite à Cap Canaveral. Le message de Philippe Croizon est simple, et il le martèle avec conviction : “Tout est possible !” Il lui a fallu pourtant des années avant d’arriver à cette conclusion. En 1994, à l’âge de 26 ans, il perd ses jambes et ses bras à la suite d’une électrocution accidentelle. “Pendant les sept premières années qui ont suivi l’accident, je suis resté dans mon canapé à regarder la télé. J’étais complètement renfermé sur moi-même, et je ne me considérais que comme une personne handicapée“, explique Philippe Croizon. “Ma femme m’a quitté, et quelques temps plus tard, j’ai rencontré Suzana, ma nouvelle compagne, mon ange gardien, qui ne m’a pas donné des ailes, mais des palmes…Depuis mes exploits, ce n’est plus l’handicapé que je vois dans la glace, mais Philippe.

Il cache à son équipe qu’il ne sait pas nager

La traversée de la Manche reste, selon ses propres dires, son aventure la plus marquante. “C’est une des traversées les plus dures du monde, mais je savais que si je réussissais, ma vie changerait. Je me suis entraîné pendant près de deux ans, nageant plus de 4000 kilomètres en piscine. Et ce n’était vraiment pas gagné : le premier jour dans le bassin, j’ai coulé à pic, avec mes prothèses de trois kilos chacune. J’avais oublié de préciser à mon équipe que je ne savais pas nager…” Chaque nouveau défi requiert au moins deux ans de préparation, à la fois physique et mentale. Philippe Croizon a utilise la sophrologie pour réguler ses émotions : “Je suis très émotif. Je pleure quand je suis heureux, je pleure quand c’est dur. On m’appelle “la chialouze”“, révèle-t-il en riant.

Pour se préparer à son aventure spatiale, Philippe Croizon apprend l’anglais depuis six mois, à raison de trois heures par jour. Au delà de la barrière de la langue, facilement franchissable, il sait qu’une telle mission comporte bien des obstacles liés à son handicap : “Elon Musk m’a dit que ce serait bien d’avoir au moins une main pour pouvoir s’accrocher lorsqu’on est en apesanteur. Des travaux sont en cours pour réaliser des prothèses spécifiquement conçues à cet effet. Chaque nouvelle aventure donne lieu à des avancées technologiques qui bénéficient les handicapés.

Malgré sa bonne humeur et son optimisme toujours de mise, Philippe Croizon sait que son voyage dans l’espace est encore à l’état d’ébauche, et que la mission Inspiration4 des jours qui viennent sera déterminante dans la réalisation de celui-ci : “Si ça ne se fait pas, ce ne viendra pas de moi, mais des ingénieurs de SpaceX qui auront besoin de plus de temps pour surmonter les challenges posés par cette mission.” En attendant, il continue de rêver d’entrer dans l’histoire de la conquête spatiale car “tout est possible !“.

Le bouleversant “Little Girl” de Sébastien Lifshitz sort en salles aux Etats-Unis

Quand le spectateur découvre “Little Girl” (“Petite fille”), le dernier documentaire de Sébastien Lifshitz, il est souvent surpris, questionné et toujours ému. Ce schéma risque de se répéter aux Etats-Unis : le film sera projeté dans les salles obscures de Los Angeles (Royal) et de New York (Film Forum) à partir du vendredi 17 septembre, avant une diffusion nationale.

Ce film aborde avec beaucoup de sensibilité le combat de la famille de Sacha, 7 ans, né garçon mais se sentant depuis toujours fille, face aux institutions pour la reconnaissance de sa dysphorie de genre. L’aspiration transgenre de Sacha se heurte notamment à la rigidité de l’école et de ses représentants, qui refusent de reconnaître Sacha comme une fille sans une “preuve médicale”.

Le réalisateur français et son équipe ont suivi cette cellule familiale (les parents de Sacha et ses trois frères et soeurs) durant un an. “Nous y allions de manière épisodique, souvent sur une journée pour ne pas trop perturber les enfants et que ça reste très naturel”, explique le cinéaste qui explore la question de l’identité de genre depuis 20 ans. “Nous avons été acceptés par la famille qui nous a intégrés dans son quotidien. Il y avait un sentiment de grâce inouïe, d’une générosité, d’un abandon de leur part…” Et le rendu est à cette image : naturel, hypnotique et vrai, tellement la caméra semble être invisible dans les moments intimes et sensibles.

Sans idées préconçues pour ce film, ni récit, le cinéaste nous explique qu’il voulait d’abord montrer “comment la transidentité peut survenir à un âge extrêmement jeune, et que ce n’est pas forcément lié à la découverte de la sexualité et à l’adolescence”. “C’est quelque chose que j’ai appris lors de ma rencontre avec Bambi – à qui il a dédié un autre documentaire”, rappelle Sébastien Lifshitz, également auteur des “Invisibles”, sur des homosexuels âgés, qui a reçu le César du documentaire en 2013.

Il se met alors à la recherche d’une histoire, contactant les écoles et les associations en vain. Finalement, il rencontre cette famille, dont la générosité et l’amour sautent aux yeux, sur un forum Internet où échangent les parents parfois paniqués, perdus et esseulés face aux démarches pour la reconnaissance de leur enfant transgenre. Karine, la mère de Sacha, accepte la proposition du réalisateur : “c’était miraculeux”, avoue-t-il.

Une histoire particulière avec les Etats-Unis

Les questions de l’identité et notamment sexuelle sont omniprésentes dans la filmographie du réalisateur, comme le sujet des personnages en construction et la recherche de liberté. “L’homosexualité, comme la transidentité, ont été si longtemps invisibilisées dans les arts, il a fallu du courage pour les rendre visibles et raconter les mémoires de ses vies”, explique-t-il.

Il est d’autant plus heureux de rendre visible ce documentaire à travers le monde. “Quand le film voyage, il questionne l’identité et j’espère qu’il permettra de nourrir le débat sur les sujets queers aux Etats-Unis”, ambitionne Sébastien Lifshitz qui trouve le sujet “universel”. Cela pourra être l’occasion d’aborder les droits des personnes transgenres dans le pays et leurs évolutions. En juin 2020, la Cour suprême américaine a validé définitivement l’interdiction pour un employeur de licencier un salarié sur des critères d’orientation ou d’identité sexuelle. Mais plus récemment, les droits des personnes transgenres ont été fortement attaqués dans plusieurs Etats républicains.

Le film a déjà été présenté au public américain en ouverture du Rendez-Vous with French Cinema à New York en 2021, pour lequel le cinéaste s’est prêté à un Q&A “virtuel”. “Les spectateurs développent une telle empathie pour Sacha qu’ils me demandaient de ses nouvelles, une extension du film”, raconte-t-il très ému. Et il se prête volontiers au jeu, ayant gardé contact avec la famille : la petite fille, qui a désormais 11 ans, “s’épanouit, semble apaisée et assurée dans son choix”.

Outre l’ouverture du débat et la relation avec l’audience, cette sortie américaine n’est pas anodine pour Sébastien Lifshitz. “J’ai une relation très forte avec les Etats-Unis qui me passionnent.” Son histoire avec le pays s’est accélérée en 2001, quand il y a accompagné son meilleur ami qui recherchait son père, un ancien G.I. (soldat de l’armée américaine pendant la deuxième guerre mondiale). Ce parcours de quatre mois à travers les US, il en a fait un film intitulé “La traversée”. “Ce fut une expérience de cinéma et humaine qui me laissera une empreinte indélébile.”

Vingt ans plus tard, il revient tourner un documentaire sur le sol américain. “Il se déroulera à New York et dans les montagnes Catskills”, précise-t-il, ne voulant pas dévoiler la trame du documentaire, mais lâchant que c’est “une histoire folle qui se passe dans les années 60, liée à la culture queer, et dont on a récemment retrouvé la trace.”

Pass sanitaire obligatoire à NYC : mode d’emploi

Depuis le lundi 13 septembre, il faut désormais obligatoirement être vacciné contre la Covid et le prouver à l’entrée des bars, restaurants, salles de cinéma, de spectacle et de gym de New York. La mesure est en vigueur depuis le 16 août mais la municipalité avait accordé une période de transition avant d’envoyer ses inspecteurs pousser la porte des établissements. En cas de non-respect de l’obligation de vaccination, l’amende pour les propriétaires pourra atteindre 1000 dollars, voire plus s’il y a récidive.

Comment prouver votre statut vaccinal ?

Trois façons de le faire si vous avez été vacciné dans l’Etat de New York:

– montrer votre QR code généré par Excelsior Pass, l’application de l’Etat de New York. Le concept est celui du passeport vaccinal utilisé en France. Une fois l’application téléchargée, il faut indiquer vos nom, prénom, ZIP code, date de naissance et celle de votre dernière injection anti-covid (1ère dose pour le vaccin Johnson & Johnson; 1ère ou 2ème dose pour les vaccins Pfizer et Moderna). Le système vérifie les demandes par rapport aux registres de vaccination de la ville et de l’État avant de générer un QR code à conserver. Il faut être attentif à entrer les bonnes informations car la moindre faute de frappe empêche la création d’un code QR.

– montrer la photo de votre carte de vaccination sur NYC COVID SAFE, l’application de la ville de New York. Une fois téléchargée et après avoir indiqué vos nom et prénom, l’application vous permet de prendre une photo de votre carte et de la conserver. Aucune information à entrer concernant le type de vaccin et la date de son administration, aucune vérification que la carte photographiée n’est pas une fausse.

– présenter votre carte de vaccination du CDC ou une photo de votre carte.

Cas particuliers :

– Vous êtes vacciné aux Etats-Unis mais pas dans l’Etat de New York : vous pouvez montrer votre carte de vaccination ou une photo de votre carte. Les New-Yorkais vaccinés hors de l’État peuvent obtenir un QR code via Excelsior Pass mais doivent demander à leur médecin ou pharmacien de télécharger ces informations dans les registres de vaccination de New York.

– Vous êtes vacciné dans le New Jersey : vous pouvez montrer votre carte de vaccination ou une photo de votre carte. Le New Jersey propose également une application gratuite, Docket, qui indiquera votre statut vaccinal et qui est accepté à New York.

– Vous n’êtes pas vacciné aux Etats-Unis : vous pouvez montrer vos documents – ou les télécharger sur les applications – prouvant que vous avez reçu l’un des huit vaccins approuvés par l’Organisation mondiale de la santé.

Aujourd’hui, 67% des New Yorkais de plus de 12 ans ont reçu au moins une dose de vaccin, 60% sont totalement vaccinés.

La France ferme ses frontières aux touristes américains non vaccinés

Paris durcit le ton. Face à la propagation galopante du variant delta, les touristes américains doivent désormais arriver vaccinés sur le sol français. Aucune contrainte particulière ne leur était imposée depuis juin. Or le nombre de nouveaux cas de Covid-19 dépasse les 140.000 par jour aux Etats-Unis et la vaccination ralentit : 54% des Américains de plus de 12 ans sont totalement vaccinés contre 63% des Français.

La France a donc placé, dimanche 12 septembre, les Etats-Unis sur sa liste “orange” et a rejoint le banc des pays européens qui imposent de nouvelles restrictions aux voyageurs américains. Les touristes non vaccinés ne peuvent venir que pour des “raisons essentielles” et doivent présenter un test PCR ou antigénique négatif, s’engager sur l’honneur à se soumettre à un deuxième test ou à un examen médical à leur arrivée en France, à s’isoler durant sept jours et à réaliser un troisième test à l’issue de cette quarantaine.

Ces mesures font suite à la décision de l’Union européenne, le 30 août dernier, de retirer les États-Unis de sa liste “verte” des pays sûrs en raison d’un pic de cas de Covid-19, notamment dans le sud du pays. Il ne s’agissait que d’une recommandation, chaque pays étant libre d’établir sa propre politique sanitaire en matière de voyages.

Le Danemark, les Pays-Bas et l’Espagne refusent eux aussi d’accueillir les touristes américains non vaccinés. L’Italie a ajouté des conditions d’entrée, même pour ceux qui sont vaccinés. La Suède a, quant à elle, adopté la mesure la plus stricte : ses frontières sont fermées à tous les touristes autres qu’européens, quel que soit leur statut vaccinal.

Ces nouvelles restrictions pourraient inciter Washington à – enfin ! – assouplir ses conditions d’entrée pour les Européens vaccinés. L’administration Biden l’a laissé espérer fin août mais n’a toujours pas tranché.

Rentrée : qu’est-ce qui est ouvert à Washington ?

Pendant la pandémie de Covid-19, Washington a fermé la plupart de ses attractions touristiques aux visiteurs. Heureusement, depuis la fin de l’été, les musées ont rouvert leurs portes et le célèbre National Mall de la capitale américaine redevient très populaire. French Morning fait un tour d’horizon des ouvertures et des restrictions actuelles.

Les musées ouverts sans restriction mais sur réservation 

Bonne nouvelle pour les muséophiles, la plupart des sites culturels de la capitale sont à nouveau accessibles. À commencer par ceux qui font la renommée de Washington : The Smithsonian Institution, qui regroupe une quinzaine de musées sur le National Mall. Si la plupart ont retrouvé leur fonctionnement habituel, sans limitation ni restriction, certains musées demandent aux visiteurs de réserver leurs billets gratuitement en ligne. C’est le cas du National Zoo et du National Museum of African American History and Culture. Reconnu pour sa collection de peintures allant de la Renaissance à l’art contemporain, The Phillips Collection a rouvert et célèbre ses 100 ans avec une exposition : “Seing Differently : The Phillips Collects for a New Century.” La galerie requiert également de prendre ses billets en ligne. En revanche, The National Gallery of Art autorise les entrées sans réservation.

Côté monuments historiques, The Washington Monument est désormais accessible et les billets sont à réserver à l’avance ici. Située en face du Capitole, la Librairie du Congrès ouvre ses portes les jeudis, vendredis et samedis et exige également de réserver les billets en ligne. Pour ceux qui espèrent admirer la Déclaration d’indépendance américaine, National Archives Building autorise l’accès au public muni de billets réservés sur le site. Située à Georgetown, la Dumbarton House invite les visiteurs à venir sans réservation.

À l’extérieur de la capitale et située sur les bords du fleuve Potomac, Mount Vernon, la résidence historique du premier président des Etats-Unis, George Washington, est désormais accessible sans restriction mais avec des billets réservés en ligne.

Les théâtres et salles de concert requièrent une preuve de vaccination 

Depuis le 1er septembre, plusieurs salles de théâtre de la capitale demandent une preuve de vaccination ou un test PCR négatif pour entrer. C’est le cas de l’historique Ford’s Theatre ou encore du Kennedy Center. Une quinzaine de salles de concert ont également rendu obligatoire une preuve de vaccination à l’entrée. C’est le cas de la populaire salle de concert 9:30 Club ou encore de The Anthem.

Les matches de sport autorisés 

Avec une jauge fixée à 10.000 personnes, Nationals Park peut désormais accueillir la saison de baseball et l’équipe des Nationals de Washington. Il est également possible de soutenir son équipe préférée de basket au Capital One Arena ou encore l’équipe de football D.C. United à Audi Field. Aucune preuve de vaccination n’est, pour le moment, demandée.

Le Capitole toujours fermé au public 

Malgré une ouverture de la plupart des musées et établissements, certains lieux restent fermés jusqu’à nouvel ordre. C’est le cas du Capitole qui n’a pas ouvert ses portes depuis avril 2020. Même constat pour le National Geographic Museum, la Washington National Cathedral ou encore le jardin intérieur de l’U.S. Botanic Garden.

Immigrer en 2021/2022 : ce qui est possible, ce qui ne l’est pas

Entre les restrictions d’entrée sur le territoire d’un côté ou de l’autre de l’Atlantique et les administrations tournant encore parfois au ralenti, immigrer aux Etats-Unis peut en ce moment paraître un véritable parcours du combattant.

Mais c’est possible !

Avec Sophie Raven, avocate spécialiste d’immigration, nous vous avons proposé lundi 13 septembre 2021 une conférence en ligne dédiée à l’immigration aux États-Unis.

Nous avons fait un point sur les dernières règles liées à la pandémie de Covid-19, les Presidential Proclamations en cours, leurs exceptions, ainsi que sur la NIE (National Interest Exemption), ses critères d’éligibilité et les moyens de l’obtenir.

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Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

 

Acheter un bien immobilier à New York : conseils d’experts

Vous souhaitez acheter un bien immobilier aux États-Unis ? La Big Apple est depuis de nombreuses années l’objet de toutes les convoitises.

À l’occasion de notre salon en ligne “Bien Vivre aux États-Unis“, nous vous proposions lundi 13 septembre 2021 une conférence dédiée au marché immobilier new-yorkais.

Avec trois invités experts, Betty Benzakein d’HSBC, Amélie Deschênes d’OFX et Yann Rousseau de Barnes, nous avons notamment abordé :
– Le processus d’acquisition et de location à New York
– Le point sur l’état du marché immobilier à New York & dans le Westchester sur le troisième trimestre 2021
– Les formalités d’installation ou de “relocation”
– Les quartiers à privilégier
– Les différents produits immobiliers disponibles
– Le rôle de l’agent immobilier

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Art Forms Us: des artistes francophones qui “comptent” à El Barrio

Ils sont neuf, issus de pays et de disciplines différentes (photographie, sculpture, peinture…). Art Forms Us, un collectif d’artistes basés à Harlem, présente huit vidéos courtes et intrigantes inspirées du thème du “comptage”. Retrouvez-les au El Barrio Artspace PS 109 (le samedi 18 septembre) et au Marcus Garvey Park (le mercredi 29 septembre). C’est gratuit.

Plusieurs artistes français et francophones figurent dans ce collectif qui s’est formé en 2020, pendant la pandémie. Parmi eux, les artistes visuelles Capucine Bourcart (France), Dominique de Cock (Belgique), Viviane Rombaldi-Seppey (Suisse) ou encore l’artiste multimédia français Xavier Roux.

Les vidéos exposées plongent les visiteurs dans des univers variés: la formation d’une gerbe géante en hommage aux disparus du Covid, la résilience des arbres de Harlem, le bruit de la rue, la dénonciation de la consommation de masse à travers le défilé d’une artiste dans le quartier vêtue de sacs plastiques…

La liste complète des artistes: Capucine Bourcart, Dominique de Cock, Noreen Dean Dresser, Undine Groeger, Salem Krieger, Leah Poller, Vivian Rombaldi Seppey, Xavier Roux, Allicette Torres.

Moi Impat : « J’ai eu 100% raison de revenir »

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Comme si elle n’arrivait pas à se défaire de son expatriation, Chloé Cortes notre 73ème invitée, nous fait de son retour en France, un récit sensible entrecoupé de silences parlants.

Après avoir passé 3 ans à Atlanta et 1 an en Thaïlande, Chloé considérait qu’il était temps de prendre soin d’elle et de se recentrer sur la famille. Sa nouvelle activité découverte hors de nos frontières contribue à la conforter sur ses projets. Et même s’il est trop tôt pour savoir si elle estime son retour  réussi, elle se trouve finalement chanceuse d’avoir pris cette difficile décision avant l’étendue de la pandémie.

Listen to “Episode 73: Chloe Cortes” on Spreaker.

Bien Vivre aux États-Unis : le salon en ligne des expats francophones fait son grand retour en septembre

Retrouvez toutes les conférences en replay !
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Famille, business, patrimoine, santé, immigration… trouvez les réponses à toutes vos questions pour bien vivre votre expatriation !

Rendez-vous du 13 au 17 septembre 2021 pour un salon en ligne dédié aux Français et francophones expatriés – ou préparant une expatriation – aux États-Unis.

Au programme : de nombreuses conférences d’experts sur les thèmes de l’immigration, de la santé, du patrimoine, mais aussi de la vie quotidienne de l’expatrié, le but étant de vous donner les clés pour vivre votre expatriation de la meilleure manière possible.

Le salon en ligne est 100% gratuit. Nous vous demandons simplement de vous inscrire afin de recevoir les rappels par email.

Aperçu des thèmes des conférences
– L’arrivée aux US : bons plans d’expats
– Acheter un bien immobilier à New York : conseils d’experts
Immigration en 2021/2022 : ce qui est possible, ce qui ne l’est pas
– Acheter et investir dans l’immobilier à Miami
– Expatriation et reconversion professionnelle : comment réussir votre “portable business” ?
– Lancer son entreprise aux États-Unis
– Gérer son patrimoine et sa retraite entre la France et les États-Unis
– Bien manger aux États-Unis : mission possible
– La couverture santé pour les Français aux USA
– “Je suis endetté donc je suis” : comprendre le crédit à l’américaine
– S’expatrier en famille : les impacts juridiques
– Comment attirer, retenir et récompenser ses salariés ?
– Comment être plus écolo en vivant aux États-Unis ?

Inscription gratuite

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

 

Bien vivre son arrivée aux États-Unis : bons plans d’expats

Si vous venez d’arrivez aux États-Unis ou projetez d’y immigrer bientôt, vous avez certainement commencé à vous renseigner sur les principales démarches à faire et les milles choses à préparer. Mais quoi de mieux qu’une discussion avec des personnes qui ont vécu cette situation pour vous aiguiller sur les choses à ne pas oublier ou à prioriser ?

Lors d’un salon en ligne organisé du 13 au 17 septembre 2021, French Morning vous proposait une conférence intitulée “L’arrivée aux US : bons plans d’expats”, lors de laquelle vous avez pu rencontrer virtuellement des expatriés francophones installés aux États-Unis.

Formalités administratives, budget, écoles, choc culturel : les intervenants vous ont partagé leur expérience et ont répondu à vos questions en direct.

?  Visionnez le replay et accédez aux coordonnées des intervenants sur le site de l’événement

Cet événement est sponsorisé par USAFrance Financials, cabinet de gestion privée et patrimoniale pour les francophones expatriés aux États-Unis.

 

Streaming français : des films, émissions TV, documentaires et dessins animés français vous attendent sur France Channel

[Article partenaire] FranceChannel.tv, LA plateforme de streaming entièrement française, est enfin disponible aux États-Unis.

Inspiré de Britbox, un service SVoD dédié aux contenus britanniques, le service de streaming français France Channel est désormais officiellement lancé au prix de $7,99/mois ou $79,99/an et propose la meilleure et la plus grande offre de programmes français aux États-Unis. Pour y accéder, connectez-vous facilement sur www.francechannel.tv.

Un service dédié à la culture française

France Channel est une offre 100% dédiée à la culture et à la création françaises. Il s’agit de la première plateforme de “Culturetainment”, s’adressant à tous les francophiles américains ; les personnes apprenant le français ; et les français vivant à l’étranger souhaitant profiter du meilleur de ce que la France a à offrir.

Une large gamme de programmes français

Le service rassemble la plus large gamme diversifiée de programmes français, avec une grande sélection de films, de séries, de documentaires et magazines, de spectacles vivants, de dessins animés pour enfants et la diffusion en direct de la chaîne d’information internationale France 24, en français et en anglais.

Créé par Julien Verley, ex-dirigeant de Canal+ et de France Télévision, cette nouvelle plateforme entend promouvoir la France et la création audiovisuelle française dans le monde.

Une offre cinéma très riche

Afin de se démarquer des services de streaming traditionnels, la plateforme s’appuie sur une offre cinéma très riche et pour tous les goûts, de “César et Rosalie“, avec Yves Montant à “Rien à déclarer“, de Dany Boon, tout en proposant aussi “Contre-Enquête”, avec le célèbre acteur de “The Artist“, Jean Dujardin, ou “Arsène Lupin” de Jean-Paul Salomé avec Romain Duris, proposé en clin d’œil à la série phénomène de Netflix.

Julien Verley dit “[Compter] sur le pouvoir de séduction d’un cinéma français original avec un catalogue de 350 à 400 films”.

Des séries “made in France”

Pour la première fois aux Etats-Unis, France Channel proposera également au public américain les séries françaises quotidiennes qui rencontrent un immense succès à la télévision française.

Des programmes et documentaires pour (re)découvrir la culture française

S’adressant à tous les Français aux Etats-Unis, au-delà des seuls cinéphiles, France Channel propose une vaste collection de programmes permettant de retrouver pleinement la culture française, autour de la gastronomie, du tourisme, de l’histoire, du luxe et de l’art de vivre avec des programmes emblématiques comme “Secrets d’Histoire“, “des Racines et des Ailes” ou encore “Échappées Belles“.

De nouveaux contenus seront ajoutés chaque semaine pour enrichir l’offre. Par exemple, en septembre, France Channel ajoutera de superbes titres comme “Le Dîner de Cons“, du maître de l’humour français Francis Weber, ainsi que “Chocolat“, avec Omar Sy.

Une plateforme permettant d’apprendre le français

Si on exclut l’espagnol, le français est de loin la langue étrangère la plus apprise aux États-Unis” poursuit Julien Verley. Ainsi, France Channel se positionnera également comme un outil unique d’apprentissage de la langue française avec une sélection de programmes sous-titrés en anglais et en français. L’outil idéal pour les conjoints anglophones et/ou enfants !

France Channel est disponible sur le Web, sur les applications mobiles Apple et Android, ainsi que sur la boutique Roku. L’offre sera également accessible sur Struum, la nouvelle plateforme lancée par l’ancien PDG de Disney, Michael Eisner.

Rendez-vous sur www.francechannel.tv pour commencer votre essai gratuit de 7 jours et profiter de cette première offre de streaming international entièrement française !

Les lecteurs de French Morning bénéficient d’une réduction de 10% sur les abonnements mensuels grâce au code : FRENCHM10.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.