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5 activités à faire ce week-end à New York

Qui a dit que New York était morte ? Après des mois de sommeil, la Big Apple rouvre doucement ses portes. Nous avons sélectionné cinq activités à ne pas manquer ce week-end.

Prendre de l’altitude sur un rooftop

Crédit photo : Shutterstock Paper Cat

Quoi de mieux qu’une activité typiquement new-yorkaise pour commencer le week-end ? De nombreux rooftops ont rouvert à Manhattan, et parmi eux le plus célèbre : l’Empire State Building. Profitez d’une vue à 360 degrés sur Central Park, Jersey City, Midtown et Brooklyn. Comptez 42$ le ticket à réserver en ligne à l’avance. En raison de la Covid-19, l’Empire State Building ne peut accueillir que 500 personnes en même temps. Masque obligatoire. Edge, le plus haut rooftop de l’hémisphère ouest, culmine à 344 mètres dans le nouveau quartier d’Hudson Yards. Cette terrasse impressionnante vitrée au dessus du vide a rouvert le 2 septembre, comptez 36$ la visite. Le Rooftop du Rockfeller, le Top Of The Rock, peut également de nouveau accueillir des clients (38$ par personne). Le One World Observatory (One World Trade Center) est quant à lui toujours fermé.

Aller voir un spectacle de stand-up sur un rooftop

Crédit photo : impression écran Instagram The Tiny Cupboard

C’est une autre activité très new-yorkaise qui nous manquait. Si les salles de spectacle sont toujours fermées dans la ville, le Tiny Cupboard à trouver la solution : organiser des événements de “stand-up comedy” en extérieur sur son rooftop. Situé à la frontière entre Bushwick et Bedstuy (métro Chauncey St), cette mini salle de réception ne peut abriter en général que quelques personnes. Bien plus grand, son rooftop accueille jusqu’à 50  personnes avec vue sur Manhattan. Plusieurs comédiens se relaieront sur scène ce vendredi 18, à 7pm, avant une performance individuelle à 8:30pm. Samedi, c’est une artiste de Queens, Natalie Cuomo, qui prendra le micro à 7pm, avant un comédien de Brooklyn à 8:30pm, Phil Rizdon. Comptez 7$ l’entrée par spectacle.

Jouer à la pétanque au Carreau Club

Crédit photo : The Carreau Club

La France vous manque ? Nous aussi. Alors direction le Carreau Club, le premier bar à pétanque de New York! Comptez seulement 20$ pour deux heures de jeu sur l’un des quatre terrains du Carreau Club, qui a ouvert début septembre à Industry city à Brooklyn. L’établissement sert également bières, cocktails, verres de vins et mêmes des pains bagnats dans un petit kiosque attenant. Ô Peuchère, tu tires ou tu pointes?

Aller voir une expo

“Dream Together”, l’oeuvre de Yoko Ono, sur la façade du Met (Credit: Met Museum)

La plupart des musées de New York ont rouvert leurs portes entre fin août et début septembre. Parmi eux, le MoMA est gratuit jusqu’au 27 septembre. Parmi les nombreux expositions prévues, “The Shape of Shape” dédiée aux formes dans l’art (jusqu’au 4 octobre), et “Félix Fénéon”, qui retrace la carrière de ce critique d’art et anarchiste français de la fin du XIXème et du début du XXème siècle (jusqu’au 2 janvier 2021). Du coté du Met, on vous recommande l’exposition “Photography’s Last Century”, qui célèbre la photographie du siècle dernier avec notamment des clichés extraordinaires de Diane Arbus et Andy Warhol (25$ l’entrée et expo visible jusqu’au 30 novembre). Vous êtes à Brooklyn? Le Brooklyn Museum a rouvert la semaine dernière. Parmi les expositions immanquables, “Studio 54: Night Magic”, qui retrace l’histoire du club le plus célèbre de New York (entrée 16$). Attention, le nombre de visiteurs est limité dans tous les musées et nécessite de réserver ses billets en avance.

Pique-niquer à Red Hook

Crédit photo : Shutterstock Felix Lipov

Cet ancien quartier industriel ne se résume pas au magasin Ikea. Il attire de plus en plus les New Yorkais en quête de tranquillité et de magnifiques vues sur la baie. Profitez du beau temps pendant qu’il est encore là en vous rendant au Pier44 Waterfront Garden, un tout petit parc sous les arbres face à la jetée et qui donne directement sur la Statue de la liberté, en face. Pour un pique-nique réussi, vous trouverez votre bonheur au grand supermarché Food Bazaar qui se trouve juste à côté. Si vous poussez jusqu’à l’heure du goûter, on vous conseille les délicieuses tartes au citron de Steve’s Authentic Key Lime Pies,  très réputées dans le quartier.

Des croisières pour observer les baleines à New York

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Observer des baleines fait désormais partie des activités sympas que l’on peut faire à New York. Suite à différentes mesures améliorant la qualité de l’eau, les baleines sont de retour le long des côtes new-yorkaises depuis quelques années. Il y a 10 ans, le nombre de baleines aperçues se comptaient sur les doigts d’une main; elles sont désormais plusieurs centaines chaque saison. En provenance de l’Antarctique, avant de migrer vers les eaux plus chaudes des Caraïbes, les baleines à bosse (Humpbacks) peuvent maintenant s’accorder une halte à New York car elles y trouvent de quoi se nourrir. 

Croisières organisées pour aller voir les baleines

Entre mai et novembre, plusieurs compagnies comme American Princess Cruises et Capt Lou Fleet organisent des croisières permettant d’observer les baleines. On peut d’ailleurs aussi avoir la chance de voir des dauphins. Les sorties durent généralement entre 3 et 4 heures. Outre le bateau et un abri en cas de météo incertaine, elles permettent surtout de se déplacer avec des spécialistes qui repèrent les baleines, et sont même capables de les identifier en examinant le dessous de leur nageoire caudale. Sa forme, sa couleur et ses tâches, sont uniques, un peu comme nos empreintes digitales. Ces experts vous indiqueront tout le long de la croisière où observer les baleines en désignant les directions par des heures, comme sur un cadran de montre (baleine à 3 heures, baleine à 9 heures…). Ne vous privez cependant pas de regarder un peu plus loin, cette croisière est aussi l’opportunité de profiter d’une belle vue sur la skyline de New York City.

Quelques astuces pour rendre la croisière plus agréable 

Même si vous ne venez que pour observer des baleines, préparez-vous un peu pour que la croisière soit plus agréable. Commencez par vous équiper. En mer, il fait plus froid et il y a plus de vent. Prévoyez donc pull et coupe-vent. Pour vous protéger du soleil, apportez lunettes, casquette et crème solaire. Le bateau risque de tanguer un peu, donc si vous êtes sensible, préparez-vous au mal de mer. Contrairement à ce que l’on pense, il faut bien manger avant de monter à bord. De même, pendant la croisière, il est préférable de ne pas rester dans la cabine mais plutôt mettre le nez dehors. Apportez un pique-nique, un snack et de l’eau (même si on trouve des choses à bord). Le temps est comme suspendu sur un bateau, et quatre heures, cela peut être long, surtout pour des enfants. N’hésitez donc pas à prévoir une petite activité pour la fin. Enfin, bien sûr, n’oubliez pas d’apporter tout ce qui est propice à l’observation des baleines et aux souvenirs comme une paire de jumelles, un appareil photo ou une caméra/GoPro. Vous verrez qu’il est souvent plus facile de capter la magie en filmant…

 

Le restaurant français Le Vacher s’installe dans le Hill Country

Très attendu, le nouveau restaurant français « Le Vacher », vient d’ouvrir ses portes à Dripping Spring, non loin d’Austin. Située dans le Hill Country, cette petite ville est devenue le nouvel eldorado pour les retraités fortunés, la transformant peu à peu en une destination gastronomique au Texas.

Dernier à rejoindre la cohorte d’établissements existant, Le Vacher apporte une touche d’élégance, de raffinement et de finesse. Le jeune chef Jacob Euler a voulu mélanger les traditions régionales texanes avec la cuisine française mettant en évidence les similitudes entre les deux terroirs. La vache est la star de la carte avec une récapitulation de chaque découpe de l’animal, inhabituelle pour les américains, aux plats typiquement français comme le steak tartare. Le chef a aussi fait une sélection de sauces et autres ingrédients à assortir aux différents morceaux de viande choisis tel que le contre-filet pavé au poivre et au crabe oscar ou la côte de bœuf avec sauce verte et foie poêlé. Le menu comprend aussi des  plats d’inspiration texane, « riches et décadents conçus pour être partagés » comme le Parfait au foie gras et le Spaetzle croustillant. Les produits sont locaux et se déclinent selon les saisons.

« Ce restaurant atypique est une brasserie aux allures texane », m’explique Bryan Mc Connough, amateur de bonne chère et fidèle client. La carte des vins est également un reflet de cette expérience culinaire avec des nectars français mais aussi des cépages américain de qualité. « Je me suis toujours trouvé plus à l’aise dans une petite ville et je suis prêt à connaître tous nos clients afin de m’assurer qu’ils sont aussi excités que moi », déclare Jacob Euler. Pour cet amoureux de la cuisine, originaire de Washington DC, le défi résulte à allier une cuisine rustique familiale issue de la ville natale de sa mère, Honey Grove au Texas, à celle de ses maîtres formateurs que sont Joël Robuchon et Michael Mina.

Pour le moment, le restaurant qui comprend 120 places a ouvert partiellement, respectant les mesures sanitaires. « L’ouverture pendant la pandémie a été une expérience d’apprentissage  énorme et nous sommes reconnaissants de l’opportunité de nous mettre au défi de prendre en compte la santé de nos clients dans tout ce que nous faisons » déclare Jacob Euler, heureux propriétaire d’un concept dont le modèle pourrait se reproduire un peu partout au Texas. Affaire à suivre.

 

 

« Miami Live 2020 », le salon professionnel virtuel de la FACC de Floride

En cette période de pandémie, les salons professionnels se réinventent grâce au virtuel. Du mardi 13 au jeudi 15 octobre se tiendra « Miami Live 2020 », un salon professionnel virtuel organisé par la FACC de Floride (Chambre de Commerce Franco-Américaine) pour tous ceux qui souhaitent se lancer dans l’aventure entrepreneuriale floridienne ou développer les ressources de leur entreprise déjà existante.

Durant 72 heures, une plateforme en ligne permettra aux participants de se connecter dans le monde entier afin de rencontrer individuellement la cinquantaine d’exposants locaux conviés et participer à une série de conférences et ateliers, tout en développant leur carnet d’adresses.

Trois jours de salon professionnel virtuel autour de trois thématiques. La première journée, intitulée « French Tech Miami », comprendra plusieurs tables rondes animées par des entrepreneurs locaux qui mettront en avant notamment les nouvelles technologies. Ce jour-là, six start-ups pré-sélectionnées auront également l’opportunité de présenter leur pitch devant un jury d’experts et d’investisseurs spécialisés afin de trouver un financement permettant de soutenir leur développement initial.

Santé, biotechnologie, événementiel, marketing de luxe, tourisme ou encore logistique et transport, sont autant de secteurs d’activité qui seront au coeur des conférences proposées par des chefs d’entreprises locaux lors de la seconde journée de ce salon professionnel virtuel.

Enfin, « Pourquoi et comment ouvrir et développer son entreprise en Floride ? », c’est la question à laquelle tentera de répondre un panel d’experts composé d’avocats, d’experts comptables ou encore d’agents immobiliers locaux lors de la troisième et dernière journée du « Miami Live 2020 ».

Pourquoi est-il plus avantageux d’investir dans l’immobilier aux États-Unis qu’en France ?

 

[Article partenaire] Avec une économie particulièrement dynamique, les États-Unis font partie des destinations de choix pour la diversification de votre patrimoine immobilier. Le pays de l’Oncle Sam attire le plus important volume d’investissements étrangers de la planète. Pour preuve, plus de 450 milliards de dollars de capitaux internationaux ont été investis aux USA en 2016. Cette donnée constitue sans aucun doute un gage irréfutable de confiance pour des Français souhaitant investir dans l’immobilier locatif aux États-Unis. Cependant, il existe de nombreuses autres raisons de privilégier un investissement immobilier aux USA. Découvrez en quoi un placement financier dans l’immobilier aux États-Unis est plus bénéfique qu’en France.

Pourquoi privilégier un investissement immobilier locatif aux USA ?

Les raisons d’investir aux USA dans l’immobilier locatif sont multiples.

1/ Une forte croissance économique

Les États-Unis sont la première puissance économique mondiale depuis plusieurs décennies. En 2019, le PIB américain, estimé à 21.482 milliards de dollars, est en hausse de 4 % par rapport aux performances de 2018. Ces chiffres les placent loin devant des pays tels que la Chine et le Japon avec des PIB respectifs de 14.217 milliards $ et 5.176 milliards $. Se situant autour des 1,75 % contre 1,25 % en Europe, le taux de croissance augure des perspectives plus intéressantes pour un investissement locatif aux USA.

2/ Un faible taux de chômage

C’est l’une des raisons majeures pour investir dans l’immobilier locatif aux États-Unis. Les indicateurs concernant l’emploi sont excellents et les perspectives pour les prochaines années sont optimistes. Au niveau fédéral, le taux de chômage américain ne dépasse pas les 4 %, alors qu’il tourne autour de 7,1 % en France. Par conséquent, les investisseurs qui réalisent un placement financier aux États-Unis dans l’immobilier locatif auront très peu de chance d’avoir des loyers impayés.

3/ Une accessibilité du prix de l’immobilier aux États-Unis

À surface équivalente avec la France, les prix de l’immobilier aux États-Unis sont plus accessibles. Estimé en moyenne à 2.245 € en zones urbaines, le coût d’achat d’une maison aux USA est largement inférieur à celui du marché français. Selon le portail combien-coute.net, investir aux USA dans l’immobilier revient 48 % moins cher que dans un pays comme la France.

4/ Des prix de loyers constamment en hausse

Depuis environ une dizaine d’années, ces derniers augmentent constamment pour s’établir à $1.469 par mois en moyenne en 2019. La bonne santé du secteur de l’immobilier américain s’explique aussi par le faible taux de vacance locative dans l’ensemble des 51 États. Celui-ci étant de 4,8 %, le taux d’occupation des logements reste très élevé aux USA. Avec ces indicateurs positifs, les conditions sont réunies pour que les investisseurs profitent d’une rentabilité à deux chiffres. Il faut noter que le rapport loyer/prix pour l’achat d’un bien immobilier aux États-Unis est nettement plus attrayant qu’en France.

5/ Un marché immobilier diversifié

Lorsque vous décidez d’investir dans l’immobilier locatif aux États-Unis, vous pouvez vous orienter vers les condominium ou appartements. Il est également possible de miser sur un immeuble (multi family home), une maison individuelle (single family home) ou encore l’achat d’une maison mitoyenne aux USA. Chacun de ces biens immobiliers possède ses avantages et ses limites. Il vous appartient donc de les analyser attentivement afin de faire le meilleur placement financier dans l’immobilier.

6/ Une fiscalité attractive en matière d’immobilier aux États-Unis

Les règles fiscales applicables aux plus-values et revenus fonciers sont plus attrayantes aux États-Unis qu’en France. Votre investissement locatif immobilier aux USA peut être amorti sur une période 27,5 ans. Quant à l’imposition sur les plus-values provenant d’un tel placement financier aux États-Unis, il est de 20 %. Or, le taux d’imposition dans ce cas de figure est de 34,5 % en France. Par ailleurs, les investisseurs français qui font le choix d’investir dans l’immobilier aux USA échappent à la double imposition. Ils profitent en effet du système de crédit d’impôt prévu par la convention fiscale franco-américaine.

7/ Une liquidité du marché immobilier

Comme tout placement financier aux États-Unis, les transactions immobilières se caractérisent par leur célérité. La durée de cette opération est de 15 jours pour un paiement cash et de 45 jours en cas d’achat de maison aux USA par prêt. Sur les marchés immobiliers américains, une vente de maison et d’appartement se conclut dans un délai compris entre 60 et 90 jours.

8/ Une législation protectrice des propriétaires

Avec un investissement immobilier locatif aux USA, les risques d’impayés de loyers sont minimes. Les locataires sont triés sur le volet après avoir vérifié leur background parfois jusqu’à 10 ans en arrière. De plus, ils ne bénéficient pas de la même protection légale qu’en France. Bien au contraire, la loi américaine est du côté des propriétaires.

9/ Des frais d’achat peu élevés

Les frais liés à un achat de maison aux États-Unis sont plus abordables que ceux d’une telle opération sur le territoire français. Si vous envisagez d’investir dans l’immobilier locatif aux États-Unis, vous ne paierez que 10 % de ceux-ci. Les 90 % des frais étant supportés par le vendeur.

Où investir dans l’immobilier aux États-Unis ?

Pour réussir votre projet d’investissement dans l’immobilier locatif aux USA, vous devez accorder une attention toute particulière au choix du lieu de sa réalisation. Si vous cherchez donc où investir aux USA dans l’immobilier et obtenir une meilleure rentabilité, il faut prospecter du côté de certaines villes bien spécifiques comme la ville de Cleveland dans l’Ohio.

Nous vous invitons à lire l’article sur les raisons d’investir à Cleveland, dont voici un résumé des points capitaux qui font de Cleveland une destination attractive où investir aux USA dans l’immobilier :

– Une ville avec une population haut de gamme et jeune

Plus de 63 % des habitants de Cleveland ont un âge compris entre 18 et 34 ans. De plus, cette tranche de la population est diplômée et constitue une base de locataires solvables.

– Une fiscalité allégée

Sur l’ensemble du territoire des États-Unis, cette ville de l’Ohio se classe au 28e rang des destinations les moins onéreuses en matière de fiscalité immobilière. Ce qui permet d’obtenir une rentabilité à 2 chiffres.

– Une destination avec un environnement agréable et sécurisé

Grâce à une politique de gentrification réussie avec un investissement de 19 milliards de dollars réalisé ces dernières années, Cleveland offre à ses habitants un cadre plus sécurisé. Cette quiétude retrouvée ne manque pas d’attirer à la fois des particuliers et des entreprises (11 entreprises de Fortune500 sont à Cleveland).

– Une rentabilité élevée

Ville avec une vie culturelle particulièrement animée, Cleveland possède des prix de l’immobilier très attrayants. Pour un achat de maison aux États-Unis dans cette cité du Nord-est, il faut compter un tarif d’entrée se situant entre 55.000 et 65.000 dollars. Les personnes qui optent pour un investissement locatif à Cleveland peuvent bénéficier d’une rentabilité dépassant les 13 %.

Investissement immobilier locatif aux USA : la nécessité de connaître la procédure

Le succès de votre projet d’investissement immobilier locatif aux USA passe par une préparation minutieuse de celui-ci. Pour ce faire, vous devez maîtriser tout le processus de placement financier dans l’immobilier aux États-Unis. Cette procédure comporte plusieurs phases aussi importantes les unes que les autres.

– La définition de votre projet d’investissement locatif immobilier aux USA
Cette étape est capitale. Elle consiste à définir avec précision le type de bien dans lequel vous comptez investir aux USA : immobilier locatif saisonnier, ou classique. Ensuite, il faut établir un budget pour votre placement financier. Enfin, les délais ainsi que les zones géographiques dans lesquels vous planifiez votre achat de maison aux USA doivent être définis.

– La sélection de l’agence immobilière
L’assistance d’une agence immobilière est fortement recommandée pour la réalisation de votre projet d’investissement immobilier aux USA. Pour vous simplifier au maximum la tâche, contactez INVEST US, agence immobilière spécialisée dans l’accompagnement des francophones pour leurs investissements immobiliers aux États-Unis.

– Le versement du deposit sur le compte de la title company
Celui-ci intervient après l’acceptation de l’offre à la fois par le vendeur et l’acheteur. Il s’agit d’effectuer un dépôt d’un montant compris entre 1.000 et 10.000 dollars sur le compte de la title company. Celui-ci est l’équivalent du notaire en France. Au cours de cette phase, une inspection du bien qui vous intéresse peut être réalisée par un professionnel. Bien que cette opération engendre des frais allant de 500 à 1.000 dollars, elle est nécessaire pour détecter tous les défauts du bien immobilier dans lequel vous souhaitez investir.

– La signature des actes de vente
Elle est la phase finale d’un projet d’investissement locatif immobilier aux USA. Une fois cette signature des actes de vente, ou closing, effectuée, le vendeur peut repartir avec son chèque et l’acheteur avec ses clés. Pour des investisseurs qui sont dans l’incapacité de se déplacer aux États-Unis, il est possible d’accomplir cette formalité en signant électroniquement depuis la France.

Les critères de choix d’un investissement locatif immobilier aux USA

Le choix d’un investissement immobilier aux États-Unis ne se fait pas au hasard. Pour mettre toutes les chances de votre côté et réussir un tel projet, il faut prendre en considération plusieurs paramètres. Ainsi, on peut citer parmi les facteurs à ne pas négliger :

1/ La qualité des écoles situées à proximité du bien acheté

La qualité des écoles se trouvant dans le secteur choisi pour votre investissement immobilier aux États-Unis a une incidence sur la rentabilité locative. Il faut donc investir aux USA près d’un établissement de niveau A.

2/ La progression démographique

Cette croissance s’apprécie sur les dernières années.

3/ Le taux de chômage dans la ville

Ce taux de chômage doit être le plus bas possible sachant que la moyenne nationale se situe actuellement autour de 4%.

4/ Le revenu moyen des ménages

Il s’agit d’un indicateur fiable sur la possibilité de bénéficier d’un bassin de locataires potentiels solvables.

En définitive, nous pouvons retenir qu’investir dans l’immobilier locatif aux États-Unis et plus particulièrement à Cleveland est une option avantageuse pour diverses raisons. Celles-ci sont non seulement liées à la bonne santé de l’économie américaine, mais aussi à l’attractivité de son marché immobilier. Sur bon nombre de points, un investissement locatif immobilier aux USA est plus rentable qu’en France. Nous vous conseillons de faire appel à un professionnel comme INVEST US pour vous accompagner tout au long de votre projet.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Dominique Ansel ferme définitivement les portes de son restaurant à Los Angeles en raison de la Covid-19

Les célèbres Cronuts de Dominique Ansel rejoignent la liste des victimes de la Covid-19 à Los Angeles – dont fait partie Trois Mec de Ludo Lefebvre. Après trois ans d’existence, le restaurant-boulangerie (Dominique Ansel Bakery et 189), qui était situé au Grove, a définitivement fermé ses portes depuis plusieurs jours. “C’est ironique de fermer quand nos derniers souvenirs sont des files d’attente tous les week-ends, des réservations tous les soirs, des éclairages sur les arbres et des fêtes de finale … LA n’a pas toujours été facile pour nous, car nous avons placé la barre aussi haute que possible, mais c’était toujours un challenge excitant”, écrit le chef français sur Instagram, faisant ses adieux à la cité des anges.

Le pâtissier est devenu célèbre grâce à ses créations hybrides, dont le Cronut, le Frozen S’mores et le DKA (un kouign-amann revisité), qui a fait parler de lui pour les files d’attente de plusieurs heures qu’il déclenchait devant les boutiques de New York, Londres et Los Angeles.

L’équipe n’a pas annoncé de futur projet dans la ville californienne. Mais le chef écrit sur le réseau social : “Reste en sécurité LA. Et restons sur un ‘à bientôt’.” Le lieu sera désormais utilisé pour le restaurant-concept Picnic Society.

Non le “travel ban” n’est pas levé

La nouvelle s’est répandue sur les groupes Facebook, créant l’espoir : le “travel ban” qui interdit à la plupart des voyageurs venant de France d’entrer sur le territoire américain aurait été levé par le Department of Homeland Security (DHS). C’était une fausse nouvelle.

La confusion est venue d’une annonce, celle bel et bien faite par le DHS, sur la “levée de certaines restrictions à l’entrée sur le territoire” qui entre en vigueur ce 15 septembre. Cette “notice dispose que “les restrictions à l’arrivée sont levées pour certains vols”. Il n’en fallait pas plus pour affoler internet, y compris certains spécialistes, qui, ayant lu trop vite, ont annoncé la bonne nouvelle. Seulement le texte ne concerne en réalité qu’une règle : celle qui limitait depuis le mois de mars le nombre d’aéroports autorisés à recevoir des vols en provenance de Chine, d’Iran du Royaume-Uni, d’Irlande et de l’espace Schengen. Désormais, les avions venant de ces zones peuvent se poser dans n’importe quel aéroport américain. Mais toutes les autres restrictions en place demeurent, et notamment l’interdiction d’entrer aux Etats-Unis faite à toute personne ayant séjourné dans les 14 derniers jours dans ces pays (pour en savoir plus sur le “travel ban” lire ici).

Contacté par French Morning, un porte-parole du DHS a confirmé que cette notice ne concernait “que le nombre d’aéroport aux US accessibles aux vols en provenance des zones désignées”. Pour le reste, confirme le DHS, “les proclamations présidentielles (…) sur le travel ban restent en vigueur”. En juillet dernier, l’administration américaine a introduit des assouplissements pour certains titulaires de visa, au cas par cas, mais le principe reste celui de l’interdiction d’entrée pour les étrangers ayant séjourné dans les 14 jours précédant dans les pays visés.

Plan de réouverture de la Californie : ce qui est ouvert dans la Bay Area

Rouge, violet, orange, on se perd un peu dans l’arc-en-ciel qui codifie la réouverture de la Californie. Annoncé le 28 août dernier par Gavin Newsom, le gouverneur de l’Etat de Californie, il remplace le plan en quatre phases appliqué jusqu’alors. Les couleurs sont assignées en fonction du nombre de nouveaux cas par 100 000 habitants, et le pourcentage de tests positifs, et représente le risque posé par le virus, de minimal à étendu.

Ces nouvelles couleurs déterminent quelles enseignes peuvent ouvrir, et dans quelles conditions. Pour corser les choses, les couleurs varient d’un comté à l’autre. A ce jour, dans la Bay Area, seuls les comtés de Napa, San Francisco, Santa Clara et Santa Cruz sont en zone rouge (risque substantiel), tandis que tous les autres comtés restent en violet (risque étendu).

Pour les comtés de la zone rouge, en plus des enseignes déjà ouvertes, les activités intérieures et extérieures à faible risque suivantes peuvent reprendre dès le 14 septembre:

— coiffeurs, barbiers, ongleries, services de massage, tatouages et piercing, à l’intérieur et en capacité limitée.

— salles de sport et séances de training individuelles, à l’intérieur et en capacité limitée.

— hôtels et autres locations de villégiature.

— Lieux de cultes : une personne à la fois à l’intérieur, pour une prière individuelle ; jusque 50 personnes à l’extérieur.

— Bus touristiques et croisières touristiques, en capacité limitée.

— Cinémas de plein air, en capacité limitée.

— Mini golf, circuits de kartings, en capacité limitée.

Le 21 septembre, ces autorisations s’étendront aux

— musées, zoos et aquariums, en capacité limitée, à condition d’avoir soumis un plan sanitaire à l’avance. Le De Young Museum a déjà annoncé sa réouverture le 25 septembre, tandis que le musée de la Legion of Honor devrait réouvrir mi-octobre.

— écoles primaires (K-6th), qui pourront à  nouveau accueillir des élèves en personne, à condition d’avoir soumis un plan sanitaire à l’avance.

Pour retrouver les informations propres à chaque comté, consultez le site officiel.

 

“Perspectives franco-américaines sur l’élection US” : une discussion organisée par le FIAF à New York

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Le FIAF en partenariat avec la French American Foundation organise une discussion en ligne le 16 septembre à 6:30pm (ET) sur le thème de l’élection présidentielle américaine de novembre.

L’expert politique américain Paul Begala, ancien conseiller de campagne de Bill Clinton et Barack Obama, sera accompagné de la Française Célia Belin, docteur en sciences politiques et auteure du livre Des Démocrates en Amérique. Ils donneront chacun leurs perspectives sur l’élection 2020 et analyseront la campagne démocrate du candidat Joe Biden.

Cette conférence est gratuite pour les membres du FIAF, 10$ pour les non-membres. Tickets ici.

Bien Vivre aux États-Unis : retrouvez toutes les conférences en rediffusion

C’était une première et vous avez été au rendez-vous ! Le tout premier salon en ligne Bien Vivre aux États-Unis a réuni samedi plusieurs milliers de participants qui ont assisté à une ou plusieurs des quelque 19 conférences organisées, ou ont rencontré individuellement nos experts sur leurs “stands virtuels”.

Le salon Bien Vivre aux États-Unis était organisé par French Morning et présenté par USAFrance Financials. Inauguré par le nouveau Consul général de France à New York, Jérémie Robert -et conclu par son homologue à San Francisco Frédéric Jung-, le salon a permis d’aborder une multitude de sujets qui préoccupent les Français des États-Unis, ou ceux qui veulent s’y installer. On a donc parlé assurance santé, fiscalité, gestion de patrimoine, mais aussi éducation, alimentation, et de bien d’autres sujets encore.

Retrouvez ici chacune de ces conférences individuellement en replay: 

Rencontre avec Jérémie Robert, Consul général de France à New York

Rencontre avec Frédéric Jung, Consul général de France à San Francisco

L’Amérique pour les nuls, avec Marine Havel (Philadelphie), Emilie Nolf (San Francisco) et Béatrice Leydier (DC)

Entreprendre au temps de la Covid avec Amel Derragui, Tandem Nomads

Gérer son patrimoine entre la France et les États-Unis, par USAFrance Financials

Parlez-vous américain ? par Louise Egan, fondatrice de Soho Language Group

? Attirer, retenir et récompenser ses salariés, avec Alexis Martin (YER), Cedric Sage et Adrien Eyraud (USAFrance Financials) et Jean-Philippe Saurat (Massat Consulting Group)

Comment développer son marketing digital aux USA ? avec Olivier Gruère (Royal Cheese Digital)

Tout comprendre à la fiscalité américaine, avec Alexandre Leturgez-Coianiz (Roche Legal)

Acheter à New York avec Renaud de Tilly (DE TILLY REAL ESTATE), Mathias Youbi (Cinotti LLP) et Amélie Deschênes (OFX)

Acheter/investir en Floride avec Gilles Danard (Vaneau Miami), Michael Vandormael (Carlton Field) et Amélie Deschênes (OFX)

Immigrer en 2020 avec Sophie Raven, avocate

Ouvrir une franchise aux États-Unis avec Stéphane Deneux (DNX Consulting), Florian Dauny, avocat et Andrew Massat (Massat Consulting Group)

Vivre l’expatriation en couple avec Alix Carnot et Béatrice de Carpentier, d’Expat Communication

Le bonheur est dans la cuisine… américaine avec Estelle Tracy (37 Chocolates), Isabelle Guglielmi (Univers-Aroma) et Alexandra Gabalda (Teuko)

La couverture santé pour les Français aux USA avec Eric Thoby (Agora Expat)

Éducation : Génération Bac 2021 avec Caroline Minialai (Averroes e-learning)

L’actualité juridique pour les familles aux US avec Hélène Carvallo et Anne-Carole Plaçais, avocates

Je suis endetté donc je suis avec Alexandre Quantin, USAFrance Financials.

 

The Thing About France, ep.5, avec Graydon Carter

Graydon Carter est le cinquième invité de la saison 3 de “The Thing About France”, un podcast dédié aux Américains francophiles produit par les services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis.

Ancien rédacteur en chef de Vanity Fair, Graydon Carter a quitté New York pour vivre sur la Côte d’Azur, où il rédige actuellement un mémoire et travaille sur sa nouvelle publication hebdomadaire en ligne “Air Mail”. Il est question dans ce nouveau podcast de l’amour de Gradyon Carter pour les kiosques à journaux, de comment il imagine Cannes devenir un grand festival de cinéma en “drive-in”, et de son inappétence pour les réseaux sociaux.

French Boss, François Huré: “le plus important est de bien s’entourer”

Pour ce premier French Boss réalisé à la fois en vidéo (Facebook, YouTube) et en audio, François Huré, 35 ans, cofondateur en 2015 de CapM, cabinet de conseil stratégique et financier en fusions et acquisitions, nous accueille dans ses bureaux de New-York.

Le début de carrière de François, on ne peut plus prometteur, s’appuie sur un souci constant d’internationaliser ses prestations de conseil. C’est pour cette raison qu’il s’est installé à Manhattan, après avoir terminé ses études aux Etats-Unis. Rencontre avec un homme qui n’a ni modèle, ni idole, qui adapte en permanence son conseil en fonction de la personnalité à qui il l’adresse, et qui – c’est selon lui la principale recette du succès – croit plus que tout aux valeurs du collectif.

A écouter aussi en podcast:

Listen to “François Huré, fondateur de CapM. N° 27” on Spreaker.