C’est l’été, ou presque. Les tickets pour le bal masqué de l’Ambassade de France aux Etats-Unis, samedi 20 juillet, sont en vente.
Pour l’occasion, les convives sont invités à porter du blanc, même si ce n’est pas obligatoire. Tandis que les hommes sont attendus en smoking, les femmes devront porter une tenue de cocktail.
Buffet français, open bar, musique… La soirée promet d’être divertissante. Deux types de tickets sont en vente: une entrée avec boissons à volonté et un buffet de desserts, et une entrée VIP qui permettra d’entrer plus tôt, de déguster du champagne à l’arrivée et de dîner sur place.
Un bal masqué estival à Washington
7 restaurants végans qui plairont aux carnivores à New York
New York a été classée deuxième ville américaine par l’organisation de protection animale PETA (derrière Los Angeles) en matière de véganisme – ce mode de vie qui consiste à bannir toute consommation d’origine animale. Que ce soit pour lutter contre la cruauté envers les animaux, protéger l’environnement, prendre soin de son corps ou toutes ces raisons réunies, French Morning a sélectionné, testé et approuvé pour vous sept restaurants entièrement végans à des prix raisonnables, qui plairont à nos amis carnivores et lachanophobes (phobiques des légumes).
Terri
Il faut être dans la confidence ou avoir l’œil pour le savoir : cette enseigne sur la 23e rue est 100% vegan. Faux « poulet grillé », « thon » ou encore « meatballs » sont à la carte du take-out sans prétention qui revisite les sandwiches et salades traditionnelles avec des recettes à base de pois-chiches, tofu et autres champignons. Prix du repas sur la photo (salade « caesar » et brownie) : 15,97 dollars. 60 W 23rd St, New York, NY 10010. Site
Délice et Sarrasin
Cette petite crêperie fondée en 2015 par la sympathique famille française Caron-Soriano était à l’origine un restaurant traditionnel. Il y a quelques années, ces restaurateurs ont décidé de servir des plats à leur image: 100% végans. La carte a de quoi surprendre: elle comprend un cassoulet toulousain, un boeuf bourguignon et du coq au vin (tous deux à base de protéine de pois) et même un steak tartare végétal. Le restaurant, dont on aime le cadre intimiste et chaleureux, conserve une belle sélection de galettes et de crêpes sucrées vendues entre 10 et 16 dollars. La Léonard de Vinci, à la ratatouille, coûte 15 dollars. 20 Christopher Street, New York, NY 10014. (212) 243-7200. Site
Beyond Sushi
Les véganes amoureux de gastronomie japonaise peuvent se tourner vers cette chaîne de six restaurants à Manhattan qui propose des sushis à base d’ingrédients de saison, ce qui rend sa carte variée et sa cuisine fraîche. Les fans de dumplings y seront particulièrement heureux. Prix du repas sur la photo (« lunch special » : dumplings « The Badge » et sushis « Chic Pea ») : 14,61 dollars. Voir les différentes adresses ici. Site
By Chloe
Cette chaîne végan revisite elle aussi la cuisine américaine, avec entre autres son burger à base de plantes (vous ne tromperez cependant pas vos amis carnivores avec le steak, qui a un net goût de légumes). On recommande l’adresse pour ses desserts, aussi appétissants à voir qu’à déguster. L’enseigne est toutefois victime de son succès et il est vivement conseillé de pré-commander son repas en ligne. Prix du repas sur la photo (« The Classic Burger », frites et cupcake : 19,54 dollars) Voir les différentes adresses ici. Site
The Cinnamon Snail
Connu pour avoir été le premier food truck végan des Etats-Unis, The Cinnamon Snail s’est finalement établi au cœur du Pennsy Food Hall avec sa carte bien garnie, entre sandwiches roboratifs et large sélection de pâtisseries, le tout servi avec le sourire. Leur devise : « Si vous n’aimez pas les chiots, les arc-en-ciel et les licornes, vous allez détester notre cuisine. » Tout est dit. Prix du repas sur la photo (« Cheesy Portobello Steak Baguette » et un « Cinnamon Snail ») : 16,25 dollars. The Pennsy Food Hall, 2 Pennsylvania Plaza, New York, NY 10121. Site
Peacefood Cafe
Autre institution du véganisme new-yorkais, ce restaurant calme porte bien son nom. Dans une ambiance qui n’est pas sans rappeler les bistrots français, le Peacefood café propose une carte variée, de la pizza (assez copieuse) au sushi en passant par les lasagnes et autres cookies – le tout, bien sûr, à base de plantes. Prix du repas sur la photo (pizza avec supplément fromage et « macaroon ») : 22,55 dollars. Voir les deux adresses ici. Site
Champs Diner
Du carrelage noir et blanc aux tabourets de comptoir, ce restaurant de Montrose à Brooklyn a tout du « diner » traditionnel américain. A la carte, on trouve des « philly cheese steak » à base de seitan, un Mac’n Cheese nourrissant, des faux « chik’n waffles » pour les fans de brunch et même des « mozzarella sticks » plutôt convaincants faits à partir de fromage végan. Prix du repas sur la photo (Mac’n Cheese avec « bacon » et « mozzarella » sticks) : 30 dollars. 197 Meserole St, Brooklyn, NY 11206. Site
Basket, baseball et grand cru: les vacances de Mbappe à Los Angeles
En vacances depuis la victoire de l’Equipe de France à Andorre le 11 juin (4-0), Kylian Mbappe s’est envolé pour la côte ouest des Etats-Unis le 13 juin à l’invitation de son équipementier Nike. Le Français a pu tester sa cote de popularité aux Etats-Unis.
Tout sourire, le joueur du PSG a d’abord assisté au bord du terrain à la victoire des Toronto Raptors face au Golden State Warriors, dans le match six des finales NBA le 13 juin à Oakland.
Le lendemain, il posait en photo avec la star des Lakers LeBron James, à qui il a offert une bouteille de Château Lafite Rothschild, cuvée de 1984, l’année de naissance de “King” James.
Le 15 juin, Kylian Mbappe a fait une apparition en grande pompe sur la pelouse des Dodgers de Los Angeles, où il a fait le traditionnel lancer de balle en ouverture du match de MLB (Major League Baseball) contre Chicago. Malgré la défaite des locaux, le Français de 20 ans a pris la pose avec plusieurs joueurs des Dodgers avant de leur offrir un maillot du PSG.
Kylian Mbappe a terminé son voyage le 16 juin en échangeant quelques balles (de football cette fois) dans les rues de Los Angeles, l’occasion de présenter un nouveau maillot du PSG créé en partenariat avec la marque Air Jordan.
Les sirènes envahissent Coney Island pour la Mermaid Parade
La mythique « Mermaid Parade » revient à Coney Island pour sa 37ème édition, samedi 22 juin. Pour célébrer les sirènes et le début de l’été, plus de 3.000 personnes vont défiler déguisées aux apparences de cette créature fantastique et d’autres figures de l’univers marin. Paillettes, écailles flashy, perruques de toutes les couleurs: les participants laissent s’exprimer leur créativité et c’est un spectacle à ne pas manquer.
La parade débutera à 1pm entre la West 21st Street et Surf Avenue. Elle poursuivra son chemin jusqu’à l’impressionnante attraction du Luna Park « The Cyclone ». Puis, elle tournera vers la plage et la longera jusqu’à la jetée. Les plus de 21 ans pourront participer à l’after party à partir de 5pm, sur le rooftop de Kitchen 21 où se produiront plusieurs groupes de musique. Pour être sûr d’avoir une place, il est conseillé de réserver à l’avance ici.
Moi impat: revenir métamorphosé(e) de son expatriation
Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi impat”, French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour ce 28ème épisode, c’est au tour de Sophie Savelli de témoigner. Après avoir passé 10 ans sur le sol américain, entre la Pennsylvanie et le New Jersey, la Française, son époux et leurs filles sont revenus en France en août 2018. L’annonce du retour a désarmé toute la famille, selon elle. “Cela a été difficile, mais j’ai voulu prendre le bon côté des choses”, confie-t-elle.
Finalement, les enfants se sont rapidement adaptés à leur nouvelle vie, tout comme la mère de famille, malgré ses inquiétudes liées au retour sur le marché du travail français. L’ancienne assistance de direction avait en effet vécu plusieurs autres vies professionnelles aux Etats-Unis, l’amenant même à être professeure de pilates. “On revient métamorphosée”, lance Sophie Savelli, expliquant que l’expérience de l’expatriation a du bon et apprend même le “positivisme”.
Listen to “Episode 28 : Sophie Savelli” on Spreaker.
Marie Riou, une navigatrice-star face aux eaux de New York
Les bateaux les plus rapides de la planète, réunis pour une course au pied de la skyline. C’est le spectacle qui se déroulera les 21 et 22 juin à New York, dans le cadre de SailGP.
Cette compétition nautique, dont c’est la première édition, voit s’affronter six pays : l’Australie, la Chine, les Etats-Unis, le Japon, la Grande-Bretagne et la France. L’Hexagone est dignement représenté par un équipage de cinq personnes, parmi lesquelles Marie Riou, élue meilleure navigatrice au monde en 2018 à l’issue de la Volvo Ocean Race et première femme à remporter cette course qui s’étire sur 83.000 km. Née il y a 37 ans dans le Finistère et initiée très tôt à la voile, cette sportive a un parcours remarquable : sacrée championne du monde de 420 (un petit dériveur) à l’âge de 18 ans, elle fait partie de l’équipe olympique de voile française depuis les JO de 2014.
Marie Riou est une habituée des défis, mais la SailGP n’est pas une course comme les autres : elle voit s’affronter des catamarans planant à 1 mètre 50 au-dessus de l’eau et atteignant des vitesses inédites allant jusqu’à 50 noeuds (92 km/h). “Ce sont les Formule 1 des bateaux : particulièrement rapides et super impressionnants, confirme Marie Riou. Avec ce genre d’engins, c’est toujours très grisant de prendre le départ”. Cette célérité exceptionnelle rend aussi la course relativement dangereuse : “On essaie de rester en sécurité, mais en même temps, c’est ce qui nous donne de l’adrénaline”, affirme la skipper. Tous les équipages ont reçu une formation aux mesures de sécurité, portent des combinaisons renforcées et sont assurés par un détendeur pour ne pas rester bloqués sous le bateau en cas de chute.
Pour apprendre à maîtriser ces trésors de technologie, Marie Riou et ses co-skippers se sont entraînés dans un simulateur basé à Londres. Une première session a eu lieu en octobre, avant la toute première navigation, suivie d’une seconde après les deux premières courses, car le fonctionnement du bateau a reçu quelques modifications entre-temps. Marie Riou espère que ces quelques heures supplémentaires leur auront permis de progresser après les étapes de Sydney et San Francisco.
Le rôle de Marie Riou sur le bateau est essentiel. Sa dénomination technique, régleuse de vol, évoque plutôt la conduite d’un avion que celle d’un navire. Il consiste à manoeuvrer les foils, c’est-à-dire les ailes situées en dessous de la coque qui soutiennent le bateau dans les airs. “Le but est d’être en vol tout du long si l’on veut garder une vitesse maximale. Pour l’instant, nous n’y sommes pas encore parvenus”, confie-t-elle.
Son co-skipper, Billy Besson, est à la barre et s’occupe de la tactique de course. C’est lui qui a d’abord été contacté par Russell Coutts, patron de la course, pour représenter la France. Les deux navigateurs forment un duo solide : quadruples champions du monde, ils ont couru ensemble aux Jeux Olympiques de Rio, où ils ont navigué sur un Nacra 17, et préparent également ceux de 2020 à Tokyo. La participation de Marie Riou à l’aventure semblait donc aller de soi, “et puis conduire des bateaux aussi exceptionnels, c’est une opportunité qui ne se refuse pas !”
Seule ombre au tableau pour Marie Riou: sur les 30 compétiteurs, elle est la seule femme. Elle espère cependant que les avancées technologiques représentées par ces navires high-tech inciteront les navigatrices à prendre la barre. “Les bateaux sont les mêmes que lors de la dernière Coupe de l’America, mais ils étaient difficiles à manoeuvrer physiquement, ce qui pénalisait la participation des femmes. Ils ont été modifiés depuis et certaines commandes fonctionnent désormais de façon électronique. Des courses comme la SailGP offrent l’opportunité à tout le monde, hommes comme femmes, de montrer leur valeur”.
Déjà venue à New York l’espace de quelques jours lors d’une escale à Newport pendant la Volvo Race, Marie Riou n’y a encore jamais navigué. “Avec le panorama sur Manhattan, ça devrait être un beau spectacle !”
Pourquoi les Américains ont-ils autant de coussins et d'oreillers ?
Dans les chambres américaines, un détail surprend souvent les visiteurs français: la quantité de coussins sur le lit. Il y en a parfois tellement que la plupart se retrouve sur le sol quand on essaie de se frayer un chemin sous la couette. Cette obsession se vérifie quand on regarde les publicités pour accessoires de chambre. Les lits sont très souvent recouverts de coussins décoratifs de toutes tailles et couleurs. Faites une recherche Google si vous ne nous croyez pas.
Les oreillers, utilisés pour dormir, n’échappent pas à la règle. Selon un sondage datant de 2011 de la National Sleep Foundation, groupe militant pour l’amélioration des conditions de sommeil aux Etats-Unis, les Américains utilisent en moyenne 2,2 oreillers pour dormir (28% en utilisent au moins trois). En 2012, la prolifération de ces appuie-têtes était telle que le New York Times s’est senti obligé de tirer la sonnette d’alarme: “l’explosion d’oreillers enterre l’Amérique“, a averti le quotidien dans une chronique parlant d’une “surpopulation” d’oreillers et d'”obsession” des Américains pour cet objet.
Pourquoi les Etats-Unis les aiment-ils tant ? Pour Bruce Feiler, l’auteur de la chronique du Times, le phénomène provient notamment de l’industrie hôtelière, qui a commencé à la fin des années 90 à utiliser l’image de l’oreiller et du coussin pour promouvoir des chambres confortables et reposantes. Certains hôtels haut-de-gamme, dit-il, vont jusqu’à offrir un “menu” d’oreillers dans lequel les clients peuvent sélectionner leur favori avant leur arrivée. Il cite l’exemple du Benjamin Hotel à New York, dont le menu compte douze oreillers. Les “best sellers” seraient le “Cloud”, équipé d’une technologie qui permet de maintenir la tête au frais pendant la nuit, et le “Lullaby”, qui diffuse de la musique au moyen d’un système audio très sophistiqué.
La passion des Américains pour la literie n’est pas nouvelle. Dès le XVIIIe siècle, les familles les plus aisées commencent à investir dans leurs chambres, en particulier leur lit (qui était jusqu’alors très sommaire). Ils mettent leur argent dans des matelas et dans des oreillers, autant de signes extérieurs de richesse. La tendance se démocratise après la Guerre de Sécession en 1865. “L’Amérique entre à ce moment-là dans l’ère de la consommation. Il fallait améliorer le confort domestique”, explique Roger Ekirch, spécialiste de l’histoire du sommeil à l’université Virginia Tech.
Pour l’expert, les oreillers, comme les coussins qui ornent les lits, sont devenus une manière simple et peu coûteuse d’habiller les chambres. “Les Américains sont portés sur l’ostentatoire. Les oreillers et les coussins sont faits pour les yeux avant tout“. Il précise qu’il en a lui même plusieurs sur son lit, mais il reconnait que c’est “peu pratique“. “Ils terminent en général par terre, ce qui fait plaisir au chien, lance-t-il. Il y a trois-quatre siècles, en Europe, les coussins et les oreillers avaient plusieurs fonctions, dont le sommeil. Ils étaient aussi utilisés pour être montrés aux voisins et aux amis. Aujourd’hui, sauf si votre maison est en train d’être prise en photo, je n’en vois pas l’utilité. Ils servent uniquement à satisfaire un besoin personnel et décoratif, pas fonctionnel“.
La multiplication récente des oreillers et leur sophistication grandissante (peut-on parler des oreillers infusés à la camomille s’il vous plait ?) sont symptomatiques, d’après l’historien, des problèmes de sommeil que rencontrent les Américains. Le Center for Disease Control (CDC), l’agence fédérale de santé publique, a estimé en 2016 qu’un tiers de la population dormait moins longtemps que la durée recommandée, entrainant des accidents et des problèmes de santé (obésité, dépression, maladies cardiaques…).
“On pense que le moins nous dormons, plus notre sommeil doit être parfait. D’où notre obsession grandissante pour les médicaments qui nous aident à dormir, les matelas très chers et les nouvelles formes d’oreillers dont les bienfaits ne sont pas prouvés, observe Roger Ekirch. Nous passons notre journée à boire du café et des boissons énergisantes pour lutter contre les effets du manque de sommeil. Tout ceci est utilisé par les grandes entreprises spécialisées dans la literie pour nous vendre leurs produits”.
Ubees remporte l’étape new-yorkaise du Startup Tour 2019
Ubees, « l’apiculteur qui veut sauver les abeilles », selon son co-fondateur Maximilian Ebrard, a remporté l’étape new-yorkaise du Startup Tour. Cette compétition de start-ups francophones organisée par le réseau FrenchFounders et BNP Paribas, se tient dans sept villes en Amérique du Nord et à Paris. Les vainqueurs de ces étapes locales se retrouveront en septembre à New York pour une grande finale.
Ubees, lancée avec Arnaud Lacourt et Jean-Charles Morisseau, s’est mesurée à cinq compétiteurs : Ana Luisa, une bijouterie responsable, Extend, une plateforme pour faciliter la distribution de cartes de crédit, Upfluence, une plateforme de mise en relation entre les marques et les influenceurs, Syntony, qui développe un GPS souterrain et Elsi, start-up dédiée aux produits pour les peaux sensibles (et lauréate du Prix FAEA 2019).
Ubees a séduit le jury de huit entrepreneurs, investisseurs et autres personnalités des affaires avec sa mission ambitieuse et écologique : faire reculer la mortalité des abeilles par « l’apiculture de précision », selon Maximilian Ebrard. Pour y parvenir, l’entreprise fondée en 2017 mise sur la technologie en équipant ses quelque 15.000 ruches de capteurs et autres appareils de mesure pour surveiller, comprendre et s’adapter aux besoins de chaque essaim.
Les deux mines d’or de la start-up : le miel lui-même, que les entrepreneurs récoltent, et la pollinisation – la fécondation du pistil d’une fleur par le pollen transporté par les abeilles – « un marché peu connu mais immense aux Etats-Unis parce que toutes les exploitations agricoles de fruits en ont besoin », explique l’apiculteur formé à HEC.
En clair, les apiculteurs louent leurs ruches aux agriculteurs, notamment en Californie, dans le Dakota et au Texas selon les saisons, qui récolteront des fruits de meilleure qualité grâce aux abeilles. « 80% des plantes que nous avons autour de nous ont besoin des abeilles pour se reproduire et exister. Donc si les abeilles meurent, ces 80% de plantes, et notamment tous les fruits, disparaissent », a-t-il alerté.
Et le marché (d’un milliard de dollars, selon la start-up) semble juteux : « Il y a 20 ans, une ruche posée dans une exploitation d’amende valait 20 dollars. L’an dernier, nous en avons loué pour 200 dollars », assure le lauréat, qui vise le déploiement de 100.000 ruches d’ici 2023 et compte devenir « le leader sur le marché américain ».
Mathieu Bastareaud à New York: "découvrir un autre pays, une autre culture"
Cocorico! Le joueur de l’Équipe de France Mathieu Bastareaud s’est engagé le 12 juin avec le Rugby United New York. Pour le centre de 30 ans, qui évoluait à Toulon, “il y a pire que New York comme endroit pour jouer au rugby et pour découvrir autre chose”.
Le Français intégrera en février 2020 la Major League Rugby, un championnat “d’un bon niveau technique et de vitesse”. A New York, Mathieu Bastareaud vient “découvrir un autre pays, une autre culture”, et essayer de “construire quelque chose avec de nombreux joueurs de différentes nationalités, comme on l’a fait à Toulon”.
Ateliers pour enfants : archéologues en herbe, préparez-vous à remonter le temps cet été
Ces ateliers s’ouvrent à partir du 1er juillet pour 5 semaines et s’adressent aux enfants entre 9 ans et 14 ans. Ils seront animés par Véronique, diplômée d’histoire et de géographie à l’Université de Paris IV Sorbonne.
Les enfants remonteront le temps à la découverte des monuments historiques inscrits pour la plupart au patrimoine mondial de l’UNESCO. Vero’s French Classes on the Road collabore avec des musées nationaux de France pour assurer des supports pédagogiques de très grande qualité.

[email protected]
Alliance Française Silicon Valley : 408 – 445 – 2095
Tarifs : $80 chaque atelier, $140 pour la semaine.


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Où courir à Washington DC ?
En 2017, Washington a été élue la sixième ville la plus sportive des Etats-Unis. La capitale américaine a même été première du classement pendant trois ans. Avec ses nombreux parcs, espaces verts et immenses avenues, la capitale américaine n’est pas seulement une ville politique, mais est également celle des sportifs. Voici une liste d’endroits pour se préparer au prochain marathon de Washington.
The National Mall, pour les citadins
Courir au cœur d’une ville n’est pas toujours très respirable. Situé en plein centre de Washington DC, le National Mall est pourtant idéal pour les sportifs. Long d’environ trois kilomètres, ce parc ouvert au public s’étend entre le Capitole et le Lincoln Memorial. Il est animé par les nombreux touristes qui viennent admirer les monuments iconiques de la ville, et par les coureurs à la recherche d’un lieu agréable et sans voiture. Le National Mall est particulièrement agréable à la tombée de la nuit.
Autour du Bassin Tidal, pour les passionnés de culture
Chaque année au mois de mars, le Bassin Tidal accueille la course du Cherry Blossom, lors du Cherry Blossom Festival. Environ 4 kilomètres entourent le bassin Tidal, avec plusieurs monuments comme Martin Luther King Memorial et Jefferson Memorial. Contrairement au National Mall, le bassin Tidal est un peu moins fréquenté. Ouvert tous les jours, gratuit.
The Rock Creek Park, pour les amoureux de la nature
Ce parc est l’un des plus anciens de tous les parcs nationaux américains et il est idéal pour ceux qui souhaitent s’éloigner du bruit de la ville. Rock Creek Park s’étend de Washington DC jusqu’au lac Needwood près de Rockville. En tout, il est possible de courir sur plus de 22 kilomètres entre la capitale et le nord du parc. Il est également possible de faire de multiples randonnées et d’admirer la nature foisonnante. Ouvert tous les jours, fermeture à la nuit tombée. Gratuit.
Le trail du Mount Vernon, pour les sportifs
Le trail du Mount Vernon suit le fleuve Potomac pendant près de 30 kilomètres. Ce sentier, fréquemment utilisé par les cyclistes, est plutôt plat et dispose de plusieurs aires de repos avec de très jolies vues sur la célèbre rivière qui sépare la Virginie et le Maryland. Le trail commence au niveau de l’île Theodore Roosevelt et se poursuit jusqu’au Mount Vernon, demeure du célèbre président américain George Washington. 1198 George Washington Memorial Pkwy, Alexandria jusqu’à Mount Vernon.
Georgetown Waterfront, pour ceux qui veulent respirer l’air marin
Poux ceux qui veulent courir en ville tout en évitant les grandes avenues, il existe un compromis : Georgetown Waterfront. Le Capital Crescent Trail commence au cœur de ce quartier historique de Washington et s’étend jusqu’à Silver Spring, à Bethesda. Attention, le trail est très occupé le weekend, car de nombreuses familles viennent s’y promener. Entrée du trail via Colesville Road à Georgetown. Ouvert tous les jours et fermeture à la nuit tombée. Gratuit
L’Arboretum, pour ceux qui aiment courir au milieu des fleurs
Rien de tel qu’un jogging au milieu d’un jardin luxuriant. Le National Arboretum est composé de 180 hectares de plantes, d’arbres et de fleurs. En plus de visiter l’un des trésors de Washington, vous pouvez tester votre résistance cardiaque en tentant l’ascension du Mount Hamilton. 3501 New York Avenue NE. Ouvert tous les jours entre 8am et 5pm. Entrée gratuite.