Accueil Blog Page 549

Gloria Gaynor en concert gratuit au Design District

Fan de la chanson « I Will Survive » ?  Vous aurez l’occasion de fredonner l’air culte, devenu l’hymne de la Coupe du monde 1998 (et de celle de 2018).
Le vendredi 12 avril, la « Disco Queen » Gloria Gaynor donnera une représentation gratuite à Palm Court, inaugurant la reprise des shows du Miami Design District Performance Series, ces concerts hebdomadaires ayant lieu tous les vendredis et présenté par le producteur de musique multi-récompensé Emilio Estefan en collaboration avec le Miami Symphony Orchestra. Un happy hour attend les fêtards dès 5pm au restaurant Estefan Kitchen.
Pour pouvoir assister à cette représentation gratuite, il faut réserver votre place. Cette réservation donne accès au concert, mais ne garantit pas un siège (premier arrivé, premier servi). Vous survivrez ?

"Nocturnes", un spectacle immersif à la frontière du rêve à Brooklyn

C’est une expérience où la frontière entre rêve et réalité seront brouillées. Du jeudi 4 au dimanche 7 avril, le spectacle immersif « Nocturnes » se tiendra à Williamsburg (Brooklyn) dans un lieu qui sera communiqué aux participants.
Initié par la Française Lisa Cohen (co-créatrice), Kseniya Ovchinnikova (designer), Matt Miazgowicz (scénariste), ce show mélange plusieurs formes artistiques (danse, théâtre, expériences sensorielles et interactives) pour embarquer le spectateur dans le royaume du songe. Le lieu précis de l’évènement sera dévoilé après l’achat du ticket.
Chez le “Docteur”, vous serez invité à vivre un rêve dans un état de lucidité. Plus les minutes passeront, plus les frontières du réel et de l’irréel s’effondreront. Cette expérience promet d’explorer différents univers: l’amour, la sensualité, la créativité, la foi, la peur… Rien que ça. Réservez rapidement votre ticket car le nombre de places est limité.

Le chef français Thierry Marx arrive à Miami

Nouveau challenge pour Thierry Marx qui, après avoir fait saliver tout Paris à l’une de ses tables de l’hôtel Mandarin Oriental et ouvert un restaurant gastronomique à Tokyo, met un pied aux États-Unis. Le chef français doublement étoilé et fondateur de Cuisine mode d’emploi(s), une école culinaire gratuite à Toulouse, signe la carte du restaurant MILA, qui devrait ouvrir ses portes au mois de novembre en plein coeur de Miami Beach.
Pour ce nouvel établissement niché sur Lincoln Road, à l’angle de Meridian Avenue, l’ancien juge de l’émission de télé-réalité culinaire « Top Chef », qui a par ailleurs fait ses armes auprès de Joël Robuchon, prévoit de concocter des recettes inspirées de la cuisine japonaise et méditerranéenne, tout en y apportant une touche locale.
Ainsi, le restaurant, qui pourra accueillir près de 250 personnes, dont une centaine en extérieur sur un rooftop, disposera d’une carte riche de plats tels qu’une soupe miso, du sashimi de saumon mariné ou encore des grillades de wagyu, un boeuf japonais. Selon Ludovic Barras, le directeur marketing et relations presse de l’établissement, Thierry Marx insistera également sur une cuisine saine et équilibrée ainsi qu’une traçabilité des produits afin de célébrer ce mariage des saveurs entre le Japon et la Méditerranée.
Cette nouvelle adresse, fondée par Grégory Galy, un Français qui a fait carrière dans le secteur de l’hôtellerie dans le sud de la France ainsi qu’aux États-Unis, proposera par ailleurs une vaste liste de cocktails élaborés par la française Jennifer Le Nechet. Elle a été élue en 2016 meilleure bartender du monde au terme du prestigieux concours Diageo Reserve World Class.

Business, politique et boue: François Hollande en visite discrète à New York

On est loin du bain de foule de Times Square en 2015. François Hollande était à New York, lundi 11 mars, pour une visite aussi rapide que discrète. L’ancien chef de l’Etat a participé à des rencontres avec des entrepreneurs sociaux et environnementaux dans le cadre des activités de la Fondation La France s’engage, dont il est le président. Cette structure soutient des projets d’innovation sociale en France.
Notre objectif était d’apprendre de nos interlocuteurs. Le rapport aux autres est moins facile quand il y a des caméras. Il n’y avait pas d’enjeu politique. C’était vraiment une expédition d’apprentissage“, explique Nils Pedersen, responsable des relations institutionnelles au sein de la fondation lancée en 2017, pour justifier le caractère non-médiatisé du voyage.
À New York, l’ancien locataire de l’Elysée et quelques représentants de La France s’engage (dont Alice Barbe, co-directrice de l’association d’aide aux réfugiés Singa France, soutenue par la fondation française et lauréate de la Fondation Obama) a visité l’incubateur de l’université Columbia et dialogué avec plusieurs jeunes entrepreneurs sociaux sur place. Il s’est ensuite rendu à Brooklyn Grange, une impressionnante ferme urbaine au Brooklyn Navy Yard, où il a goûté quelques-unes des cultures de ce centre consacré au développement durable.
C’est la première fois qu’un ancien chef d’Etat visitait cette ferme, devenue une référence de l’agriculture urbaine. “Il était très intéressé. Il a posé des questions sur notre modèle de business et nos pratiques en tant qu’employés. Il a été courageux de marcher dans la boue !“, explique Anastasia Plakias, co-fondatrice de Brooklyn Grange. Cette dernière se dit admirative des initiatives françaises de promotion de l’agriculture urbaine et a partagé son expertise avec plusieurs projets dans l’Hexagone dans le passé. “Nous sommes intéressés par le potentiel de collaboration entre New York et Paris dans ce domaine“.
Avant de se rendre à New York, l’ex-président était à Boston où il a participé à une conférence sur l’Europe à la Kennedy School d’Harvard et rencontré des chercheurs et entrepreneurs du laboratoire d’innovation sociale SICI de l’université. “L’objectif du voyage était de créer des partenariats avec Harvard et Columbia, de partager des connaissances, d’établir des échanges d’acteurs de l’innovation sociale entre la fondation et les Etats-Unis, résume Nils Pedersen. Il est important de partager avec d’autres organisations pour créer un réseau autour de l’innovation sociale“.
La politique n’était pas absente de cette visite éclair. Le socialiste en a profité pour rencontrer le Secrétaire général des Nations-Unies Antonio Guterres et se rendre à la 63ème session de la Commission de la condition de la femme.
Il a conclu sa visite, lundi soir, en rencontrant pendant une heure une vingtaine de sympathisants socialistes de New York dans un hôtel. Ils ont échangé sur “l’actualité, comment faire ré-entendre la parole socialiste, la lutte contre les populismes, l’Europe, ce que cela signifie de militer à l’étranger”, énumère Sylvie Poulain, responsable de la section new-yorkaise du PS et organisatrice de la rencontre. Elle décrit une réunion “très conviviale où il s’est intéressé à qui on était et ce qu’on faisait à New York“.
Tout le monde est sorti enthousiaste et re-boosté et séduit par sa convivialité et sa présence. En même temps, on a senti qu’un chef d’Etat s’exprimait“, se souvient-elle.

Où voir la floraison en 2019 autour de Los Angeles ?

Après un hiver particulièrement pluvieux, il est (enfin) temps de profiter d’un “superbloom” autour de Los Angeles. Plus ou moins loin, les spots offrent des spectacles divers, de l’invasion de collines par les coquelicots à une marée de fleurs sauvages colorées. French Morning vous guide à travers champs.
Les floraisons de coquelicots à aller voir (en urgence)
Pour profiter du spectacle offert à Lake Elsinore (à 1h30 au sud-est de Los Angeles), il faudra vous dépêcher. Car l’explosion florale a commencé : les coquelicots californiens (orange) recouvrent d’ores-et-déjà les collines autour de Walker Canyon. Pour éviter de les abîmer, il faudra suivre les sentiers balisés. Attention : en raison de sa floraison anticipée, il y aura de la circulation le week-end sur l’Interstate 15.
Le bloom d’Antelope Valley (à 1h15 de Los Angeles) est également très populaire. Mais, la floraison de la réserve de pavot de Lancaster n’est pas encore à son apogée, elle devrait apparaître de fin mars à mi-avril. Si vous ne voulez pas attendre, vous pourrez toujours voir les Joshua Tree en fleurs. Pour information, les coquelicots s’ouvrent au milieu de la matinée et se recroquevillent en fin de journée, et lorsque les températures baissent. Pour une vue imprenable, optez pour la randonnée de 1,5 mile jusqu’à Vista Point.
Plus d’options pour contempler les fleurs sauvages
Vous pourrez vous rendre du côté de Malibu Creek State Park, à 50 minutes au nord-ouest de L.A. Malgré les ravages de l’incendie Woolsey, la pluie a apporté de la verdure. Et selon les prédictions des experts, une super-floraison miracle pourrait recouvrir la région dans les prochains jours.
Sur la péninsule de Palos Verdes (50 minutes en voiture), les fleurs sauvages fleurissent toute l’année grâce à son emplacement côtier, et plus spécialement en mars et avril. En cette saison, vous pourrez découvrir de nombreuses réserves naturelles fleuries – celles de Palos Verdes, Linden H. Chandler, George F. Canyon ou de White Point.
Pour observer la floraison à la Cold Creek Preserve (Santa Monica Mountains, à 50 minutes au Nord), il faudra arpenter le Stunt High Trail. Lors de cette randonnée, vous pourrez observer des Cardamine californica (blanches), toujours précoces dans les montagnes de Santa Monica. Et prenez votre livre d’horticulture, car vous en aurez besoin pour dénicher des morelles pourpre, des groseilliers à fleur de fuchsia et des concombres des Antilles.
Autre option : la randonnée Ray Miller (5 miles) dans le parc de Point Mugu, dans le comté de Ventura. Elle a l’avantage de combiner fleurs sauvages et vue imprenable sur l’océan.
Plus au sud, se trouve le parc d’Anza Borrego (à 3 heures de route). Selon les rangers, la floraison s’annonce extraordinaire cette année. Chaque canyon (Borrego Palm Canyon, Henderson Canyon Road ou encore Coyote Canyon) propose différentes variétés de fleurs sauvages. Pensez à vérifier si votre véhicule est adapté aux routes locales -endommagées par les pluies.

Le rugby passe à l'offensive à Washington

Le “soccer” a connu un essor important ces dernières années aux Etats-Unis. Serait-ce au tour du rugby ?
A Washington DC, la bonne nouvelle est arrivée début septembre. La Major Rugby League veut lancer une équipe professionnelle dans la capitale fédérale. “Washington est un terrain propice pour une équipe professionnelle grâce aux résidents internationaux très actifs dans la ligue amateur“, explique Christopher Dunlavey, le président d’Old Glory DC, le nom officiel du club de rugby de Washington DC.
Cet ancien joueur au sein des Washington Irish est rentré dans la mêlée pour recruter des rugbymen américains, mais aussi internationaux. “Nous espérons pouvoir recruter des Anglais, des Irlandais, des Français ou encore des Néo-zélandais“, confie-t-il. Pour l’entraîneur, pas encore de noms, mais “nous recherchons à l’international“.
Pour la phase de recrutement, les essais auront lieu début mars à Columbus dans l’Ohio, le 17 mars à Philadelphie, le 24 mars à Charlotte en Caroline du Nord et le 31 mars à l’Université catholique de Washington DC. En ce qui concerne le stade d’Old Glory, le club est à la recherche d’un site universitaire, mais espère se construire un site bien à lui après quelques saisons.
Néanmoins, l’équipe s’est déjà trouvée un sponsor, l’entreprise Cuisine Solutions, dirigée par le Français Stanislas Vilgrain. Leur logo s’invitera sur les maillots des joueurs, en tant que partenaire principal d’Old Glory DC.
Pour Christopher Dunlavey, qui est à la tête du cabinet de conseil Brailsford & Dunlavey, la phase de construction d’un club de A à Z est devenue “un deuxième emploi à plein temps“. A ses côtés, Paul Sheehy est aussi de la partie. Cet ancien joueur de haut niveau a participé à la Coupe du Monde de rugby de 1991 au sein de l’équipe des Etats-Unis.
Ce qui plaît à Christopher Dunvaley dans ce sport européen ? “Les valeurs du rugby, de la solidarité et de la camaraderie“. D’ailleurs, quand les deux compères organisent un sondage pour savoir combien de personnes seraient intéressées par un abonnement à la saison l’an passé, Old Glory DC reçoit plus de 1.000 réponses de supporters potentiels.
Christopher Dunvaley espère transformer cet essai en victoire : “Nous avons six mois pour que tout soit prêt et mettre en place la meilleure équipe“.
Le rugby professionnel avait tenté une percée en 2016 avec cinq équipes de la ligue Rugby pro. Cela s’était soldé par un échec. En 2018, Major Rugby League a voulu relancer une ligue professionnelle avec sept équipes : Austin Elite Rugby et Cats de Houston (Texas), Raptors de Glendale (Colorado), Gold de La Nouvelle-Orléans (Louisiane), Legion de San Diego (Californie), Seawolves de Seattle (Washington), et Warriors de l’Utah à Salt Lake City.
En 2019, deux nouvelles équipes rejoindront la deuxième saison : les Rugby United New York et Toronto Arrows. Aux côtés des Old Glory DC, les New England Free Jacks à Boston et l’Atlanta MLR Team préparent également le recrutement de ses joueurs pour préparer la troisième saison en 2020. Treize équipes de rugby professionnelles s’affronteront en janvier cette année-là, du jamais-vu aux Etats-Unis.

Gala Rochambeau 2019 : un tour du monde en une soirée

(Agenda partenaire) Le samedi 23 mars, 80 nationalités seront représentées en un seul endroit à Washington. L’occasion de faire le tour du monde en une soirée. Présentez-vous au Mayflower Hotel dans la tenue traditionnelle de votre pays, ou avec vos habits les plus élégants. Vous n’aurez pas besoin de passeport… Rejoignez Rochambeau et que l’aventure commence ! 

Au programme : des ventes aux enchères, un somptueux dîner, des cocktails, et une piste de danse animée par des musiciens.

Vous allez adorer enchérir pour des objets et voyages fabuleux tels que des billets Air France, un séjour à la Nouvelle-Orléans, des spécialités gastronomiques du monde entier, des tickets de théâtre… 

Lecteur(rice)s et ami(e)s de French Morning, profitez de cette occasion aussi festive que cosmopolite en utilisant le code promo FRENCHMORNING avec lequel vous bénéficierez de $30 de réduction sur votre billet.

Prenez vos billets ici pour une expérience inoubliable!

———
Note: les “agendas partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

9 bars calmes pour s’entendre parler à New York

Entre la musique assourdissante et les conversations passionnées, le niveau sonore peut grimper en flèche dans les bars new-yorkais. Vous aimeriez passer une soirée calme et discuter avec votre voisin de tablée sans vous assourdir et/ou vous casser la voix ? Voici une sélection de bars, que vous aimiez la bière, les cocktails exotiques ou le whisky, pour ménager vos oreilles.
Bloom’s Tavern

Crédit : Bloom’s Tavern

Ce pub élégant s’étend sur deux étages dans le quartier des antiquaires sur la 58e rue (à deux pas de Bloomingdale’s), qui a le mérite d’être en marge de la folle cadence de Midtown. Depuis le comptoir ou les tables à disposition, la musique pop-rock reste à un niveau sonore raisonnable. 208 E 58th St, New York, NY 10022. Site
Jadis
Crédit : Jadis

Parmi les bars à vin que nous avions sillonnés pour notre sélection de vins chauds, celui-ci était sans doute le plus calme, étant donné sa taille. Dans une ambiance tamisée dans le Lower East Side, Jadis est une destination idéale pour éviter les migraines de lendemains de soirées. 42 Rivington St, New York, NY 10002. Site
Mosaic
C’est une petite perle dénichée à Astoria. Ce bar confortable n’est jamais bondé. Installez-vous confortablement sur l’un des sofas chics à disposition ou sur l’une des tables hautes. On n’y va pas uniquement pour l’ambiance tamisée, mais aussi pour la sélection de bières provenant de tous les Etats-Unis. 25-19 24th Avenue, Astoria. Site
Blue Bird
Bluebird Brooklyn

C’est un des piliers de Lefferts Garden, ce quartier à l’est de Prospect Park. Ce bar est composé de trois espaces: une terrasse, une salle centrale avec le bar et un feu de cheminée et une salle connexe avec des tables de billard. La salle centrale n’est jamais remplie à ras bord. Le menu comprend un très bon hot dog et un sandwich BLT. Parfait après une balade à Prospect Park. 504 Flatbush Ave, Brooklyn. Site
Coogan’s
Crédit : George Cade Photography/Coogans

Plus au nord de Manhattan, dans le quartier surprenant de Washington Heights, cette institution locale est l’incarnation parfaite du pub irlandais, les éclats de voix en moins. Le bar, ouvert depuis 1985, se définit comme un « saloon de quartier avec une touche irlandaise et une clientèle multiculturelle ». Conseil: allez-y pour le brunch. 4015 Broadway, New York, NY 10032. Site
Arte Cafe
Arte Cafe

Ce restaurant-bar italien très spacieux fait le bonheur de l’Upper West Side. Situé sur la 73ème rue, il se trouve à l’écart du bourdonnement des avenues Columbus et Amsterdam. Ici, on prend place autour du grand comptoir dans l’entrée pour profiter d’une belle sélection de vins rouges et de plats italiens. Passez dans la salle voisine pour dîner. Si l’on devait faire une recommandation de plat, les pizzas, relativement copieuses, sont vendues entre 15 et 19 dollars et valent le détour. 106 W 73rd St, New York. Site
Fraunces Tavern
Crédit : Fraunces

A l’autre bout de Manhattan, dans le Financial District cette fois, ce grand pub historique de New York a l’avantage de proposer plusieurs espaces, dont un coin particulièrement calme – et chauffé au feu de bois – réservé aux amateurs de whisky. 54 Pearl St, New York, NY 10004. Site
Surf Bar
Crédit : Surf Bar/Facebook

Direction Brooklyn qui, côté bars calmes, n’est pas en reste. On recommande particulièrement ce bar au sol recouvert de sable (même l’hiver pour les nostalgiques de la plage) dans un décor exotique très réussi. Si le Surf Bar attire plus de monde l’été et le week-end (le personnel veille à l’entrée à ce qu’il ne soit pas bondé), il est souvent très calme en semaine. 139 N 6th St, Brooklyn, NY 11249. Site
DuMont Burger
Crédit : DuMont Burger/Facebook

Toujours à Williamsburg dans une ambiance plus intime, ce petit bar de Bedford Avenue offre quelques places au comptoir et une tablée conviviale au centre d’une salle unique et cosy, dans laquelle il est agréable de discuter autour d’une bière ou d’un burger maison. 314 Bedford Ave, Brooklyn, NY 11211. Site
 

Tout savoir sur "March Madness", l'événement basket de l'année aux US

C’est l’un des plus grands événements sportifs de l’année aux Etats-Unis. Du 17 mars au 8 avril, les Américains délaisseront la NBA pour la folie de “March Madness”. Voici tout ce qu’il faut savoir sur ce tournoi de basket.
Qu’est-ce que c’est ?
Organisé chaque année depuis 1939, “March Madness” est le tournoi de basket universitaire américain (NCAA Division I Men’s Basketball Tournament) disputé à la fin de la saison régulière. Il regroupe 68 équipes des quatre coins des Etats-Unis qui s’affrontent dans des matches à élimination directe pour le titre de champion du pays. Ce gigantesque tournoi étalé sur trois semaines donne lieu à des résultats imprévisibles et des scénarios de matches fous, qui passionnent les Américains.
Pourquoi un tel engouement?
“March Madness” se joue autant sur le terrain que dans les tribunes. Le sport universitaire étant très suivi aux Etats-Unis, le basket ne fait pas exception à la règle avec ces stades pleins à craquer, et ses supporteurs surexcités. L’ambiance y est bien plus déjantée qu’en NBA. La forme du tournoi à élimination directe participe à l’engouement collectif. Elle donne lieu à des matches au suspense total et à des surprises qui rendent presque impossible tout bon pronostic.
“March Madness” est également pour beaucoup de joueurs le dernier tremplin avant la NBA, et donc l’occasion pour les spectateurs de voir jouer les stars de demain. Enfin, le tournoi génère plusieurs millards de dollars grâce aux droits TV et à la publicité, la compétition étant diffusée par des grandes chaînes américaines comme TBS, TNT, TruTV ou CBS. A titre d’exemple, les diffuseurs ont empoché 1,24 milliard de dollars en revenus publicitaires en 2017. On estime cependant à 6 milliards de dollars les pertes pour l’économie américaine puisque les matches de “March Madness” se jouent en semaine pendant les horaires de bureau.
Organisation
Le championnat universitaire américain (NCAA) est réparti en 32 conférences. Les universités victorieuses de ces 32 conférences sont directement qualifiées pour le tournoi de “March Madness”: on les appelle les “automatic bids”. Les 36 autres équipes sont sélectionnées par un comité composé de commissaires et directeurs sportifs issus des universités et des conférences (on parle de “at-large bids”). Ce vote, qui aura lieu cette année le 17 mars, est appelé “Selection Sunday”.
Le même jour est constitué la structure du tournoi avec 4 groupes régionaux de 16 équipes. A un détail près: parmi ces 68 équipes en lice, les 4 moins bonnes équipes vainqueurs de leur conférence (“automatic bids”) doivent d’abord affronter les 4 moins bonnes équipes repêchées (“at-large bids”) dans un tournoi préliminaire (matches prévus entre le 19 et 20 mars). Il s’agit du “First Four”. Les 4 équipes gagnantes intègrent définitivement le tournoi composé de 64 équipes. Il s’agit du “First Round” qui sera joué les 21 et 22 mars.
Les 32 équipes qualifiés participent ensuite au “Second Round”, puis les 16 équipes suivantes au “Sweet 16”, et les huit restantes au “Elite 8”. “March Madnes”s se termine par un “Final Four”, l’équivalent des demi-finales, qui regroupe les quatre dernières équipes en lice, puis par la grande finale “National Championship”, qui sera jouée le 8 avril. 
Pourquoi appelle-t-on le tournoi “March Madness”?
C’est la chaîne CBS -l’un des diffuseurs du tournoi- qui a utilisé en premier le terme de “March Madness” lors du tournoi de 1982. Le terme, resté depuis, représente à merveille l’engouement et la ferveur qui entoure l’événement pendant les trois semaines de compétition.
Remplir son “bracket”
C’est une tradition partagée par plus de 40 millions d’Américain(e)s avant le tournoi. Celle de pronostiquer sur l’intégralité des matches en remplissant sur les sites de paris ou entre ami(e)s son “bracket”, soit son tableau du tournoi. Même l’ancien président américain Barack Obama s’y colle chaque année. En 2018, pas moins de 10 millards de dollars ont été pariés sur “March Madness”, c’est plus de deux fois plus que pour le Superbowl. Voici une version imprimable pour remplir votre “bracket”.
Les derniers vainqueurs et équipes à suivre
Les Wildcats de Villanova University (Pennsylvanie) ont remporté le troisième “March Madness” de leur histoire l’année dernière face aux Michigan Wolverines après deux premières victoires en 1985 et en 2016. Ils devront cependant remporter le tournoi de leur conférence (du mardi 13 au 16 mars prochain) pour espérer se qualifier directement pour “March Madness”. Parmi les autres équipes à suivre, UCLA (Los Angeles) détient le record de victoires dans le tournoi avec onze trophées. Il faudra également surveiller les performances de deux équipes réputées de Caroline du Nord, les Duke Blue Devils et les North Carolina Tar Heels, et compter sur les deux meilleures équipes actuelles du pays, les Gonzaga Bulldogs (Etat de Washington) et les Virginia Cavaliers (Virginie).
Les joueurs à suivre
C’est LE joueur de tous les superlatifs: un monstre physique, de vitesse et d’adresse au shoot. L’ailier fort des Duke Blue Devils Zion Williamson sera à n’en pas douter la sensation de ce “March Madness” 2019. Régulièrement comparé à LeBron James, ce poids lourd de 2,01 mètres pour 129 kilos devrait être le premier joueur drafté en NBA après le tournoi. Ses co-équipiers R.J. Barrett et Cam Reddish font également partie des meilleurs joueurs de la ligue. Markus Howard (Université Marquette de Milwaukee) est l’un des meilleurs marqueurs et Brandon Clarke (Gonzaga) le meilleur défenseur. Plusieurs joueurs français devraient être en lice dans le tournoi. Parmi eux, la sensation de Wake Forest University (Caroline du Nord) Jaylen Hoard, déjà promis à un brillant avenir en NBA.

Participez à la Dictée Gabrielle Roy à Washington

Ce n’est pas tout à fait la dictée qu’on connait. La 2ème édition de la Dictée Gabrielle Roy se tiendra le jeudi 21 mars en simultané aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique. À Washington, elle aura lieu dans les locaux de la Délégation de la Fondation Alliance Française à l’Ambassade de France. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 19.
Cette dictée géante, basée sur un texte de l’auteure franco-canadienne Gabrielle Roy, sera lue en live streaming depuis le Canada à partir de 5:45pm heure de Washington. Il faut avoir plus de 12 ans pour participer. Il n’y a ni perdant ni gagnant. Trois participants tirés au sort recevront un lot d’encouragement.
 

Un "Goût de France" à l'accent provençal à New York

Le menu de l’édition 2019 du festival gastronomique “Goût de France / Good France” sentira bon le Sud à New York. En plus de cartes spéciales proposées dans plusieurs restaurants français de la ville du 18 au 23 mars, les gourmets et les gourmands pourront se plonger dans l’univers de la cuisine provençale lors d’une série d’événements présentés du 20 au 23 mars par le consulat de France. Le programme complet est ci-dessous.
Pour ce premier festival “Provence x New York”, plusieurs chefs étoilés de la région se déplaceront à New York. Le coup d’envoi sera donné au consulat de France avec un banquet provençal préparé par les chefs Georgiana Viou (La Piscine) et Sébastien Baud (consulat de France). Pendant les quatre jours de festivités, plusieurs ateliers et cours de cuisine seront organisés autour de la dégustation de vin (avec Pascaline Lepeltier, l’une des meilleures sommelières au monde) et la préparation de spécialités provençales, comme la bouillabaisse, le pistou ou la ratatouille notamment.
En soirée, des chefs locaux et leurs collègues venus de France mettront les petits plats dans les grands. Le 22 mars, le restaurant Racines accueillera un dîner à cinq plats accompagnés de vins choisis par Pascaline Lepeltier, tandis que le chef étoilé Dan Bessoudo (Restaurant Dan B, Aix-en-Provence) concoctera un dîner à six plats au consulat. Les recettes (financières bien sûr) de ce dernier seront reversées à la Food Dreams Foundation de la famille Vongerichten. Le lendemain, rendez-vous au Bernardin pour un dîner préparé par deux monstres sacrés de la gastronomie tricolore, Eric Ripert et le triple-étoilé Gérald Passédat (Le Petit Nice à Marseille), au bénéfice de City Harvest.
Le programme complet: 
20 mars
7:30pm: Banquet Provençal
Chef Georgiana Viou (La Piscine, Marseille)

  • Chef Sébastien Baud (Maître cuisinier de France – Académie culinaire de France – Chef of the Consulate General of France)
  • Wine pairing included
  • Consulate General of France

21 mars
10:00am to 12:00pm

  • Cooking class “Don’t mess with the bouillabaisse”
  • Chef Serge Devesa (Loews Regency New York Hotel – Le Marseillais, NYC – Maître cuisinier de France)
  • ICC – International Culinary Center

1:30pm to 3:00pm

  • Workshop demo “Panisse with Aioli sauces and tapenade”
  • Chef Hervé Malivert (Director of Culinary Arts & Technologie ICC – Maître cuisinier de France)
  • ICC – International Culinary Center

3:30pm to 5:00pm

  • Workshop demo “Pistou soup and Saint-Victor’s navettes”
  • Chef Olivier Reginensi (Maison Kayser, NYC – Maître cuisinier de France)
  • ICC – International Culinary Center

5:30pm to 7:00pm

  • Workshop demo ” Ratatouille and Chichi-Fregi”
  • Chef Florian Hugo (Maison Hugo, NYC)
  • ICC – International Culinary Center

7:30pm to 9:30pm

  • Cocktail reception “La Marseillaise”
  • Chef Jean-Louis Dumonet (President Maître Cuisiner de France)
  • Chef Jean-Louis Gerin (President Académie culinaire de France)
  • Chef Sébastien Baud (Maître cuisinier de France – Académie culinaire de France – Chef of the Consulate General of France)
  • ICC – International Culinary Center

22 mars
7:00pm

  • 5-course Wine Dinner pairing
  • Pascaline Lepeltier (Best French sommelier 2018)
  • Chef Diego Moya (Racines, NYC)
  • Racines

7:30pm

  • 6-course Gala Dinner, benefiting the Food Dreams Foundation
  • Chef Dan Bessoudo (Restaurant Dan B, Aix-en-Provence – 1 Michelin star)
  • Wine pairing included
  • Consulate General of France

23 mars
3:30pm

  • Advanced Wine Boot Camp (4 wines from Provence + bites)
  • Pascaline Lepeltier (Best French sommelier 2018)
  • La Compagnie des vins surnaturels

6:30pm

  • 7-course dinner, benefiting City Harvest
  • Chef Gérald Passédat (Le Petit Nice, Marseille – 3 Michelin stars, Chair of Goût de France and Godfather of MGP2019)
  • Chef Eric Ripert (Le Bernardin, NYC – 3 Michelin stars)
  • Wine pairing included
  • Le Bernardin Privé

9:00pm

  • After dark wine tasting (3 wines from Provence + bites)
  • Pascaline Lepeltier (Best French sommelier 2018)
  • Aldo Sohm (Wine Director, Le Bernardin, NYC – World’s Best Sommelier 2008)
  • Aldo Sohm Wine Bar

Tournée consulaire à Seattle pour les demandes de pièces d'identité

Vous devez faire une demande de passeport ou de carte d’identité ? Le consulat général de France à San Francisco organise une tournée consulaire à Seattle du 25 au 29 mars. Les inscriptions sont ouvertes. Les rendez-vous auront lieu à l’Agence consulaire de France à Seattle au World Trade Center.
Pour prendre rendez-vous, il faut envoyer les noms, prénoms, date et lieu de naissance, téléphone, adresse e-mail et numéro consulaire NUMIC des demandeurs (enfants inclus) à l’adresse [email protected]. Le consulat demandera d’autres documents en fonction de la requête. Il rappelle qu’il ne pourra pas opérer les mises à jour d’informations personnelles. Celles-ci doivent être réalisées en ligne.